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Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 10:30
par Fönn Verrières
Le cabinet médical accueillit Lissandre assez rapidement. C’était une journée particulière pour la femme, qui s’interrogeait sur ses capacités à pouvoir héberger la vie. La jeune femme avait récemment été l’amante d’un puissant incube qu’elle avait invoqué, Namaah Magoa. Ils avaient compulsivement fait l’amour, et Lissandre s’était attendue à être enceinte le lendemain. Namaah avait après tout tellement joui en elle qu’il y avait assez de substance crémeuse pour enfanter toute une ville ! Mais, malheureusement, le test s’était avéré négatif. La jeune femme avait pris rendez-vous avec une gynécologue pour savoir ce qu’il en était.

Le rendez-vous avait lieu aujourd’hui, mais Lissandre ignorait que sa séance avec Namaah avait été remarqué par d’autres personnes… Dont le propre père de l’incube, Alastar Magoa. Surnommé « Le Diablotin », il savait que le problème ne venait pas de cette jeune femme. Elle craignait sans doute que, après ses aventures avec la Slime Mélona**, le slime ait pu la rendre inféconde… Mais cela venait de son fils. Namaah était encore un tout jeune incube, et était de plus un « démon bâtard », sa mère étant une okami. Ceci faisait que son sperme était encore incompatible avec les humains, et ne le deviendrait qu’après plusieurs tentatives. Mais ça, évidemment, Lissandre l’ignorait. Alastar aurait bien sûr pu l’ignorer totalement, mais cette humaine lui plaisait. Elle était… Étonnamment belle, mais aussi sexuellement très endurante, et s’était découvert une envie d’enfanter, de porter la vie.

Le hasard avait voulu que Lissandre choisisse une gynécologue très particulière, le Docteur Fönn Lisbeth. Originaire de Scandinavie, elle était l’une des amantes d’Alastar, ayant déjà eu un bébé de lui, et un second en cours depuis quelques jours. Rien ne la comblait plus de bonheur, d’autant qu’elle était assez indépendante, ce qui convenait très bien à Alastar.

Quand Lissandre arriva dans le cabinet médical, une secrétaire l’accueillit, et la guida rapidement à travers les couloirs de l’établissement. La jeune Française rejoignit donc le bureau du Docteur Lisbeth, qui lui sourit doucement.

« Bonjour, Mlle Verrières. »

Ses beaux yeux bleus la détaillèrent des pieds à la tête, notant ses formes parfaites. Lissandre portait une veste par-dessus une étonnante combinaison en latex rose. Au Japon, les tenues affriolantes en pleine rue n’étaient pas si rares que ça, car elles étaient un moyen comme un autre d’exprimer son individualité dans une société très centrée sur la collectivité.

L’entretien commença donc. Elles s’assirent l’une face à l’autre, et Fönn croisa ses magnifiques jambes galbées, affichant un sourire légèrement cristallin.

« Donc, qu’est-ce qui vous amène dans mon cabinet ? »

- - - - - - -

* : Cf. RP « Invocation pour un câlin »,
** : Cf. RP « Idol Girl ».

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 10:40
par Lissandre Verrières
Désir maternelle [avec le Diablotin] – réponse n°1
« Bonjour, Docteure. »

Lissandre observa un peu trop intensément la Docteure Lisbeth. Etait-ce causé par ces récentes expériences avec la slime et le demi-incube ? Peut-être. Depuis ces deux rencontres, elle se sentait une autre femme. En fait, elle se sentait femme. Tout simplement.

*Quelle meilleure raison de penser ça que d’accepter que j’ai envie de porter un enfant ? Moi ! Lissandre la jeune sœur de la famille Verrières. Celle qui se voyait comme une éternelle célibataire, libre comme l’air. Décidément, la vie est bien étrange. *

En pensant à la notion de « vie », elle ne put s’empêcher de caresser son ventre. Donc de passer sa main sur sa combinaison de latex rose qui la moulait parfaitement. Elle releva les yeux et reprit la parole :

« Récemment, j’ai eu un partenaire très… énergique. Très procréateur, dirais-je. »

Le sourire qu’elle ne pouvait retenir donnait une idée du type de relation chaude qu’elle avait expérimenté.

*Mais comment vous dire que c’était avec un beau démon à la peau rouge ? Comment vous avouer que j’ai été tellement remplie que j’ai cru que ça allait ressortir par ma bouche ? Impossible !... *

« Il m’a rempli, si vous me pardonnez l’expression un peu crû, et j’étais certaine d’être tombée enceinte. Avec cet homme, c’était la première fois de ma vie que je pouvais concevoir de devenir maman. Car, avant lui, je ne voulais pas m’encombrer d’un petit enfant morne et terne qui m’enchaînerait à lui pour toute sa vie. Je voulais être libre. Je voulais être sauvage. Je voulais… je voulais tellement de choses. Et aujourd’hui, voilà que je m’inquiète de ne pas pouvoir porter la vie. »

Son discours si énergique, si véhément, se transformait en une phrase qui finissait avec une tristesse qui commençait à prendre possession d’elle. Si ça continuait, elle allait se juger. Elle l’avait déjà fait. Elle avait pensé que ce n’était pas son beau démon rouge le problème : mais elle. Elle releva une nouvelle fois les yeux de son ventre pour observer la belle gynécologue qui, décidément, lui plaisait beaucoup !

« J’aimerais savoir si c’est moi le problème. Je voudrais savoir si je peux donner la vie. Madame la docteure, sachez que ma famille est riche et que je suis prête à débourser une petite fortune pour que vous me veniez en aide. De quelque façon que ce soit. Mais je vous en prie, ne m’abandonnez pas à mes questions et à mes craintes. »

Elle osa avancer une main sur le bureau, pour prendre celle de la gynécologue. Un besoin de réconfort entre deux femmes ? Pour commencer, peut-être était-ce un geste innocent… Pour commencer…

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 10:41
par Fönn Verrières
Fönn lui sourit doucement en la laissant s’asseoir devant elle. Elle savait déjà tout ce qu’elle avait à savoir. Récemment, Alastar était venu la voir en compagnie de Namaah. C’était d’ailleurs là que Fönn avait eu un second enfant. Les deux incubes l’avaient baisé avec une énergie incroyable. Fönn, depuis qu’elle avait connu Alastar, avait multiplié ses amants, mais aucun n’arrivait à l’égaler. Alors, quand elle avait été la proie de deux incubes, Fönn avait pris une journée de repos le lendemain, tant elle était à l’ouest. Et Alastar lui avait alors parlé de cette Lissandre. Elle était donc prête, et ne fut donc pas surprise quand Lissandre sembla avoir des étoiles dans les yeux en évoquant sa séance de débauche avec Namaah.

*Oh, ça, ma chère Lissandre, je me fais une bonne idée… Imagine quand tu auras les deux en toi, à te labourer pendant des heures, à te pincer, à te claquer le cul en te sodomisant et en jouissant dans ta bouche…*

Lissandre voulait être enceinte, mais craignait d’être stérile. Fönn prenait de brèves notes, commentant surtout la beauté de sa future amante. Elle ignorait précisément ce qu’Alastar lui réservait, mais, à l’idée qu’il puisse venir la baiser ici, elle mouillait déjà un peu sur place. La riche Française termina sa diatribe en attrapant sa main, et Fönn lui sourit, serrant ses doigts sur les siens.

« Un sacré coup, hein ? Vous n’avez pas l’air d’être du genre à vous marier… Et je vous comprends. Moi aussi, je suis célibataire, et, comme vous, j’ai craint pendant longtemps de ne pouvoir accoucher. Mais j’ai moi aussi rencontré un homme magnifique… Qui m’a également bien rempli » avoua-t-elle en souriant doucement.

Fönn pouvait se montrer assez malicieuse, elle aussi, tout en cherchant surtout comment continuer à aborder les choses. Elle avait fait part au Diablotin de ce rendez-vous, et lui avait envoyé un SMS. Elle était un peu surprise qu’un incube puisse utiliser des technologies modernes, se demandant comment le réseau pouvait passer en Enfer ! Comme quoi, la vie pouvait révéler bien des surprises ! La docteur conserva donc la main de Lissandre entre ses doigts, savourant son latex, en lui offrant un sourire magnifique, plein de charme. Une magnifique beauté virginale, rousse et parfaite !

La docteure poursuivit ensuite :

« L’infertilité chez un homme ou une femme provient généralement de défauts avec une hormone, expliqua Fönn. On l’appelle l’hormone anti-müllerienne, ou, plus simplement, l’AMH. Mais il peut aussi y avoir des anomalies anatomiques ou une infection au niveau de votre vagin. »

Plusieurs tests étaient donc possibles, comme un examen sanguin pour vérifier la sécrétion d’hormones, ou encore un toucher vaginal. La pratique consistait à glisser deux doigts dans le vagin d’une femme pour examiner ses organes internes : vagin, utérus, col de l’utérus, et ovaires. Pour cela, on pouvait aussi utiliser un spéculum. Le toucher vaginal était en principe indolore, mais souvent mal vécu par les patientes, qui le vivait comme une véritable intrusion. C’était le signe qu’il fallait faire confiance au docteur, car, en principe, un médecin généraliste pouvait tout à fait réaliser ce test.

Fönn lui expliqua donc tout cela.

« Nous pouvons faire ça, Lissandre… Si vous en êtes d’accord, bien sûr. »

C’était un test standard, et, après avoir recueilli le consentement de Lissandre, Fönn lui sourit, et se releva alors. Elle invita Lissandre à la suivre, en attrapant sa main, et l’installa sur une table médicale. Des étriers étaient présents, et elle attacha les jambes de Lissandre, puis ses mains. Il fallait que la patiente ne remue pas trop, et elle en profita pour caresser doucement ce latex attirant, le faisant crisser.

« Je vous sens un peu nerveuse, ce qui est normal… Mais tu ne crains rien, Lissandre. Tu peux conserver ton latex, il suffira juste que j’ouvre. »

Elle sentit toutefois son angoisse, et, en regardant son sac à main, souriant en voyant une magnifique petite poupée rose. Elle avait une grosse tête sur un petit corps sculpté dans de la cire, et l’attrapa alors. C’était la Poupée-Mélona de Lissandre, immobile, et Fönn sourit doucement, avant de la poser sur le ventre de Lissandre.

« Voilà… Pour te détendre ! Tu es prête à ce que nous commencions, Lissandre ? »

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:28
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°2
Hormone anti-müllerienne. Anomalies anatomiques. Infection du vagin. Tous ces termes avaient jeté un froid chez Lissandre. Elle se sentait maintenant définitivement chez le médecin et commençait à imaginer le pire.

« Je ne veux pas du speculum. Rien que le nom m’évoque un objet de torture. Je… »

La docteure était une belle femme. Mais ce contexte précis de cabinet et de possible maladie : toute idée de scénario porno et autres désirs s’étaient éclipsés. Même sa bonhommie était restée dans la salle d’attente.

« Je préfère encore sentir vos doigts en moi. Si, si ça ne vous dérange pas trop. »

*Quelle phrase idiote. C’est son métier, Lissandre ! Arrête de stresser et respire. *

Lissandre adora le simple geste de la Docteure à lui prendre la main pour l’accompagner vers le siège d’auscultation. Il y avait quelque chose de « gentleman » et ça la rassure un temps. Car vint très vite le moment où elle ne comprit pas pourquoi elle devait être attachée. L’inquiétude se vit d’ailleurs sur son visage.

Il y eut des signes. Mais Lissandre était trop inquiète de ce qui allait se passer. Elle commençait à ressentir de la peur à l’idée des résultats que la Docteure allait trouver en l’examinant. Donc elle ne remarqua pas le passage du vouvoiement au tutoiement. Comme elle ne remarqua pas la réflexion concernant son latex. Comme si elle la connaissait déjà…

Elle ne ressentit que de vagues pressentiments qu’elle ignora.

« Merci beaucoup. Cette poupée est très importante pour moi. »

*Ce serait compliqué à expliquer. *

« Vous ne pouvez pas comprendre. »

Bien sûr que si elle comprenait. Elle avait eu un rapport détaillé de ce qu’elle avait expérimenté avec la slime.

« Mais… vous ne me trouvez pas trop vieille pour que je me promène avec une poupée ? Je veux dire, il se pourrait que je sois sensible au jugement aujourd’hui. Je sais que c’est le stress qui parle. C’est la peur qui me fait beaucoup parler. Ca et le fait que je sois attaché. Et aussi que j’ai maintenant une grande envie de devenir maman d’un petit démon. Hum, c’est une expression, hein ! Enfin bref, vous pouvez y aller. »

Elle laissa sa tête tomber dans le fauteuil. Pour une fois, sa curiosité ne faisait pas effet. Elle ne voulait pas voir la Docteure la pénétrer de ses doigts.

*Euh… Mélona ? Mélona, tu es là ? *

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:28
par Fönn Verrières
Avec quelques mots médicaux, Fönn était la chef d’orchestre ici. Si Lissandre espérait s’imposer dans son cabinet, c’était peine perdue ici ! Fönn avait clarifié les choses, et sentit la nervosité de Lissandre quand elle l’attacha. Elle serra un peu les sangles, mais se dit que sa patiente (et amante) n’y verrait nullement la différence. La poupée, en revanche, l’intrigua plus que de raison. Outre le fait qu’elle était très mignonne, il se dégageait d’elle une étrange aura. Elle sourit en tout cas quand Lissandre indiqua avoir envie d’accoucher d’un « petit démon ».

*Tu n’as pas idée, ma belle ! Crois-moi, les enfants d’un incube sont très spéciaux !*

Elle lui sourit tendrement, et caressa alors doucement la joue de la femme. Normalement, elle devait enfiler des gants en latex transparents, mais rien ici n’était normal. Elle savait déjà que le vagin de Lissandre allait très bien, et qu’elle n’avait sans aucun doute aucun problème de fécondité.

« En quoi ce serait ridicule ? C’est ta poupée porte-bonheur, non ? Tu sais, ce n’est pas parce que je suis une scientifique que je suis obtuse… »

Fönn sourit encore, et retira alors sa blouse. Elle se retourna alors, et écarta ses cheveux d’une main. Sous sa blouse, elle portait un chandail orange, qu’elle le défit un peu, permettant à Lisbeth de voir, dans le dos de Fönn, un étrange tatouage.

« C’est le vegvisir, Lissandre, un tatouage viking que les navigateurs Vikings utilisaient pour que les Dieux nordiques les protègent lors des expéditions. Étant, à ma manière, très éloignée de ma Scandinavie natale, je me suis tatouée ça sur le dos, et j’ai fait au Japon une rencontre flamboyante qui m’a permis d’avoir un premier enfant, et un second qui commence doucement à pousser dans mon ventre. »

Elle remit ensuite sa robe, puis sa blouse, et sourit à Lissandre en se retournant.

« Tu vois, je considère que la science ne fait que poser des mots savants et plus complets sur le savoir des Anciens. Alors, si les Anciens croyaient en des forces ésotériques, pourquoi ces forces n’existeraient pas ? Quand on regarde la physique quantique, on se rappelle juste la Troisième Loi de Clarke… Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. »

Une gynécologue ésotérique… Mais cela expliquait sans doute mieux pourquoi elle avait fait la rencontre du Diablotin. Elle sourit encore à Lissandre, et caressa du doigt sa peluche.

« Tout individu devrait croire en la magie, Lissandre… Mais je m’égare ! Ne t’inquiète pas, ma belle, j’ai déjà exploré bien des intimités, et je suis sûre que tu vas adorer mon traitement… »

Son ton oscillait entre un ton très professionnel mais aussi très affectueux. Elle se pencha vers sa patiente, et ouvrit sa fermeture Éclair. La peluche, elle, restait immobile. Fönn suçota ses doigts, et sourit encore, puis enfonça alors ses deux doigts en elle. Lissandre sembla frémir sur place. Elle ne pouvait pas lire dans ses pensées, mais la voix de Mélona ne résonna pas dans la tête de Lissandre. Mélona avait laissé une portion d’elle dans son corps, sur sa combinaison, mais cette portion était bien trop infime pour se réveiller aussi facilement, ou pour pouvoir parler.

« Hm-hmmm… »

Joueuse, la gynécologue glissa ses doigts en elle, les remuant sur place. Elle caressa doucement les parois intimes de Lissandre, et le fait est qu’elle était très douée… À tel point qu’elle alla également titiller son bouton de plaisir. Quand ses doigts heurtèrent son clitoris, Lissandre gémit alors, en rougissant doucement.

« Oh… Et bien, je constate au moins que tes zones érogènes fonctionnent parfaitement… Je te sens tendue, Lissandre, sache que je suis ton amie… Une femme qui enfonce des doigts dans ton sexe ne peut pas te vouloir du mal, non ? »

Et elle sourit encore, un sourire malicieux et doucement pervers…

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:28
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°3
« J’imagine que vous avez raison. »

*Mais… Une doctoresse ne devrait pas mettre les gants blancs et effrayants ? Peut-être que c’est plus facile pour elle de faire son examen de cette façon ? J’imagine. *

Lissandre était effectivement tendue. Sinon, elle aurait inondée de questions la gynécologue. Parce qu’elle en avait tendue des perches. Que ce soit la Scandinavie, le fait qu’elle soit déjà maman et de nouveau enceinte, ou encore le fait qu’elle parle de magie. Mais Lissandre avait les idées ailleurs et elle avait des difficultés à les poser. Comme quoi, il lui arrivait de manquer d’énergie et de positivité.

« En tout cas, vous êtes très belle. Je veux dire, je n’aurai jamais imaginé que vous aviez donné naissance à un enfant. Ça ne se voit absolument pas ! »

Et cette réflexion apporta le sourire. Si la doctoresse possédait ce corps, alors c’était un soulagement. Lissandre pourrait garder sa jeunesse et sa beauté. En addition d’avoir un petit démon ! C’était un réel soulagement et son corps se détendit. Elle avait toujours ses craintes mais la gynécologue commençait à le mettre à l’aise. Bon, c’était peut-être aussi parce que son examen était très… érotique. Si ce n’était pas plus, d’ailleurs !

« Euh, loin de moi l’idée de vouloir juger votre travail mais… comment dire ? Votre examen, il ne serait pas un peu spécial ? Parce qu’avant de venir, je m’étais imaginé les choses différemment. »

Avec moins de plaisir et plus d’administratifs, par exemple.

Sa curiosité revenait. Le fait qu’elle soit attachée, que la gynécologue lui parle de magie : tout cela faisait qu’elle devait poser une question. Lissandre observa avant la poupée Mélona. Elle n’entendait pas sa voix et… ça lui manquait. Comme si la slime avait emportée avec elle une partie de sa joie. Une partie de son âme.

« J’ai une question à vous poser. Etant donné que vous croyez en la magie et aux Dieux : est-ce que vous croyez aux démons et à l’Enfer ? Je veux dire, vous pensez qu’ils existent et qu’ils peuvent être invoqués dans notre monde ? »

*Elle va me prendre pour une folle. Ma pauvre Lissandre, tu es déjà attachée et ce sera que plus facile pour eux de te droguer et de t’enfermer dans une chambre à six matelas et un pyjama camisole de force. *

Dans le regard de Lissandre, il y avait de l’espérance. La jeune femme se rendait compte qu’elle n’avait pas de confidente pour parler de ses récentes expériences. Elle se sentait soudain seule. Même sa grande sœur lui paraissait être une étrangère impossible à approcher. Elle qui était si hautaine, si stricte et si froide. Lissandre observa de nouveau la doctoresse Lisbeth. Elle, elle était belle et chaleureuse. Elle avait déjà été enceinte et semblait là pour l’aider. Elle avait envie de se lier à elle. Elle avait envie de lui raconter ses secrets et ses véritables désirs.

*C’est impossible, ma grande. Même si elle dit croire en la magie, elle ne doit y croire que comme tous ses lecteurs de fantasy aimerait croire aux rencontres avec des orcs et des elfes. Lissandre, ma grande, je crois que tu places tes espoirs dans la mauvaise personne… *

Et elle ne pouvait même pas serrer la poupée Mélona dans ses bras pour obtenir un peu de réconfort…

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:29
par Fönn Verrières
À ce stade, Fönn avait envoyé tellement de signaux à Lisbeth qu’elle avait tracé un vrai boulevard entre elles ! Elle ne s’expliquait l’absence de réactions de Lissandre que par sa nervosité à l’idée d’être chez une gynécologue ! Celle-ci savait déjà que son vagin était parfait, mais elle continuait à la masturber. Lissandre tenait plutôt bien, signe que son corps devait être habitué à avoir des amants… Et même quels amants ! Fönn était tout de même un peu jalouse de savoir qu’elle avait couché avec le fils d’Alastar. Elle n’avait encore jamais eu le droit à ce dernier, et fantasmait à l’idée de coucher avec deux Incubes simultanément. Rien qu’à cette idée, elle en mouillait déjà sa culotte ! Mais Lissandre l’interrogeait justement sur les démons.

Fönn sourit alors, et retira sa main du vagin de Lissandre. Elle resta près d’elle, et remonta cette main, venant caresser la joue de sa patiente.

« Une patiente spéciale mérite un traitement spécial, Lissandre, tu ne crois pas ? » déclara-t-elle sur une voix sensuelle.

Elle rigola même ensuite, et se redressa un peu.

« Ton vagin est parfaitement formé, Lissandre… Pour le reste, j’ai beau être une gynécologue, je fais partie de ces gens qui pensent que la réalité ne se limite pas qu’à notre perception sensorielle, Lissandre. Tu sais, tout ce que notre science moderne découvre ne fait que confirmer ce que les Anciens pensaient. Nous ne faisons que réécrire et redécouvrir sous des formes plus savantes ce qui a été prophétisé et théorisé jadis. La physique quantique, par exemple, permet de théoriser l’existence de mondes parallèles, et, partant de là, pourquoi ne pas envisager l’existence de démons ? »

La doctoresse ne répondait pas vraiment aux interrogations de Lissandre, elle ne faisait que développer sa propre théorie. Toutefois, elle se déplaça un peu, et entreprit de libérer la patiente de ses sangles.

« Pendant longtemps, je n’arrivais pas à tomber enceinte aussi. Tout cela m’a énervé, et je finissais par me demander si le problème ne venait pas de moi. Je me suis rattachée à l’ésotérisme et à l’occultisme, j’ai acheté des livres, des artefacts magiques… La plupart d’entre eux étaient inutiles, de la camelote. Mais cela m’amusait. Certains aiment passer leur Dimanche à aller chasser des lapins en forêt, moi, je les passais à faire des pentagrammes à la craie… Et, il y a environ un an, ça a fini par marcher. J’ai invoqué un incube, et cet incube… Il m’a baisé comme jamais on ne m’avait baisé auparavant. Dans mes songes, je l’invoquais inconsciemment, et il revenait me prendre en pleine nuit, ou même ici, dans ce cabinet. C’est même là qu’il m’a mise en cloque, il y a un certain temps… Et il est revenu me voir ensuite, il y a une semaine, où il m’a donné un nouvel enfant… Et où nous avons parlé. »

Fönn sourit encore, et caressa la joue de Lissandre, avant de profiter de sa surprise pour l’embrasser sur les lèvres.

« Il m’a parlé de toi, Lissandre… De toi, et de cet incube que tu as invoqué, et de ta frustration en apprenant que celui-ci ne t’avait pas mise enceinte. Car cet incube est son fils, vois-tu… Et il tenait à te voir, à profiter de toi, et à te rassurer sur le fait que le problème ne venait pas de toi, mais de son fils… »

Une nouvelle révélation, que Fönn asséna d’un nouveau baiser sur les lèvres de Lissandre, plus long que le premier…

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:29
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°4
Avant le premier baiser, Lissandre était tellement surprise par le discours de la gynéco qu’elle n’avait même pas réalisé qu’elle était de nouveau libre de ses mouvements.

La révélation suivante lui fit autant plaisir qu’elle la surprit. Son égo était fier d’être déjà connu du plan des démons. Et en même temps, ça voulait dire qu’ils existaient vraiment. Elle le savait, vu qu’elle avait eu une nuit passionnante avec Namaah. Mais de là à imaginer qu’il y avait tout un monde ?!

Et enfin elle réagit. Elle manqua le coche de la première partie du second baiser. Mais elle se reprit, plaqua ses mains libres sur les joues de la gynéco et l’embrassa avec intensité. Cette femme… Cette femme était…

Leurs lèvres se décollèrent. Le visage de Lissandre était transformé. Au revoir les appréhensions ! Bonjour joie de vivre et grands sourires !

« Tu es- Tu es magnifique ! »

Lissandre regarda sous un nouveau point de vue la gynéco. Elle découvrait son visage qui avait une forme similaire au sien qui donnait une impression d’enfant. Mais la gynéca avec une belle crinière de feu qui faisait ressortir ses yeux d’un bleu qui donnait envie de plonger au-dedans.

« Je veux dire. Tu es belle. J’aime tes cheveux roux et tes yeux bleus. J’aime ton joli visage innocent qui cache un esprit qui invoque des démons. Tu es- Tu pourrais carrément être un personnage que j’aurai inventé pour mes fictions ! »

Et cette fois, ce fut Lissandre qui alla embrasser Fönn. Elle se rendit alors compte qu’elle avait toujours le vagin à l’air. Et cette idée la fit sourire. Elle se sentait un peu comme une naturiste –bien qu’elle soit à l’intérieur d’un cabinet fermé-.

« Donc il y a papa démon qui veut me voir ? Et tu disais que tu avais déjà accouché d’un petit bébé rouge ? Est-ce qu’il est vraiment rouge ? Il a des cornes et peut se transformer ? »

Libéré de ses peurs, l’esprit de Lissandre recommençait à fonctionner. Toutes les questions qui étaient coincés à l’arrière de son crâne allaient toutes plus vites les unes que les autres pour sortir par la seule bouche qu’elle avait.

Récupérant sa Poupée-Mélona qui était tombée par terre, Lissandre la serra contre ses bras. A cet instant, elle ne pensait plus au fait qu’elle n’avait pas pu lui parler. Les événements de la fois dernière étaient relégués à l’arrière-plan. Ils importaient peu maintenant.

« Et, hum, cet examen intime dont je viens de profiter : c’était un vrai examen ? Je veux dire, je peux imaginer que tu as vraiment regardé avec ton sens du toucher si j’allais bien mais, on est d’accord qu’il y avait plus que ça ? »

*Est-ce que Fönn a envie de moi ? Ce serait vraiment fou ! Je veux dire, la réalité dépasse carrément mes fictions maintenant ! Ah ah ah ! Dire que mes futures productions risquent de devenir des autobiographies de ma vie et que les gens de la Terre croiront que ce sont des œuvres tout droit sorti de mon imagination ! Ah ah ah ! *

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:29
par Fönn Verrières
Fönn sourit doucement en voyant le regard de Lissandre s’illuminer de joie. Elle lui avait tout dit, elle avait lâché le morceau, mais elle avait dû, pour cela, prendre son temps. Si elle avait abordé le sujet dès le début de leur entretien, Lissandre se serait braquée sur place. La gynécologue mystique avait bien joué ses cartes, et elle sourit donc en voyant le regard de Lissandre témoigner d’une sorte de profonde affection, comme si elle venait de s’identifier à elle. Elle se pencha alors sur elle, et attrapa ses joues sur ses mains gantées. Ce contact fit frissonner Fönn, qui avait toujours été un peu masochiste, et elle répondit avec envie au baisser passionné de sa patiente, et désormais amante. Sa langue fila dans sa suave bouche, tandis que le rendez-vous prenait une direction très attendue, et bien différente de ce qu’un gynécologue était supposé faire avec sa patiente !

La doctoresse gémit longuement, avant que Lissandre ne rompe le baiser. Très excitée, elle la remercia alors, avant de la bombarder de questions. Fönn gloussa doucement, et répondit au fur et à mesure. Elle commença par se rapprocher de son bureau, et lui montra un cadre qu’elle avait posé dessus, qu’elle montra ensuite à Lissandre. On pouvait y voir Fönn, tout sourire, dans son jardin, frottant sa joue contre celle de son bébé, un magnifique bébé aux yeux bleus et à la peau rose.

« Il y a toujours un risque potentiel que l’enfant naisse démoniaque avec la peau rouge, la queue fourchue, et les petites cornes, mais Alastar m’a indiqué que c’était plutôt rare avec les humains, car c’est le gène de la maman qui influe là-dessus. Toutefois, si cela doit arriver, l’enfant grandit dans le palais du père. Mais, en ce qui me concerne, Adrian est un enfant tout à fait normal, qui a ses crises nocturnes, et qui aime beaucoup le lait mammaire. Il est aussi très gourmand, car il prend déjà de la chantilly à son âge… Et, de toute évidence, quand il atteindra la puberté, il risque de me donner des cheveux blancs. Mais c’est un amour. Tous les mois, Alastar me verse une pension confortable pour que j’éduque Adrian, mais tu dois t’attendre à ce que le père ne vienne pas souvent. Les incubes sont comme ça. »

C’était peut-être le seul regret qu’on put entendre dans la voix de Fönn… Comme si elle était tombée amoureuse d’Alastar, ce beau diable à la peau rouge et au sourire insolent. Mais, pour le reste, ses collègues attestaient que Fönn rayonnait de bonheur depuis qu’elle avait Adrian.

« Maintenant, j’en attends un second… C’est encore tout récent, et c’est à cette occasion qu’Alastar m’a parlé de toi. Il veille sur son fils, Namaah… Je t’avouer que l’idée d’avoir deux incubes en même temps pour me baiser m’excite furieusement… Mais, en ce qui te concerne spécifiquement, Alastar souhaite rencontrer. Il a beau être un démon, il aime beaucoup l’idée de donner la vie. »

À dire vrai, on relativisait assez vite les leçons du catéchisme. Le Bien et le Mal étaient des notions toujours très relatives, qui évoluaient avec les années et les époques historiques. Fönn était perdue dans ses pensées envers son fils, tout en caressant distraitement son ventre, songeant à ce deuxième enfant qui était en train de naître. Lissandre revint alors à son cas personnel, et la gynécologue sourit quand elle évoqua ce toucher vaginal.

Fönn se redressa alors, et remit le cadre sur son bureau, puis commença à retirer sa blouse. Sous celle-ci, elle portait des bottes noires, un minishort en jean, et un débardeur. Elle sourit encore à Lisbeth, et caressa sa jambe, voyant que celle-ci avait ramassé sa poupée au passage.

« Les deux… J’ai exploré ton sexe pour m’assurer qu’il était bien formé, ce qui est bien le cas… Mais j’admets en avoir aussi un peu profité. Alastar va t’adorer, tu sais… Mais on ne peut pas l’invoquer ici, il est plutôt du genre à se faire remarquer. Je te propose de l’invoquer ce soir, soit chez toi, soit chez moi. »

La gynécologue s’était à nouveau rapprochée de Lissandre, et retira alors son minishort, puis son débardeur. Son string descendit ensuite, et elle finit rapidement toute nue. On pouvait ainsi voir les tatouages floraux qui ornaient son bras gauche et descendaient sur sa jambe gauche, tout le long de son flanc. Elle se rapprocha à nouveau de Lissandre, et posa sa main sur le rebord du fauteuil, puis abaissa la partie supérieure, le faisant passer en mode lit, et grimpa dessus. Elle finit à quatre pattes devant Lissandre, vénéneuse femme, qui alla l’embrasser alors, s’allongeant progressivement sur elle.

« Hmmm… Mais je ne compte pas te laisser partir si vite, tu as payé pour un rendez-vous d’une heure, nous avons encore du temps devant nous, Lissandre… »

Sa voix était désormais chaude, sensuelle, témoignant de sa soif, de son excitation… Une excitation et un désir qu’elle entendait bien partager avec Lissandre.

« Tu es tout à fait féconde, Lissandre, je n’ai aucun doute là-dessus… Alastar t’offrira ton enfant… » rajouta-t-elle ensuite.

C’était, somme toute, tout ce que Lissandre avait besoin d’entendre en ce moment.

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:35
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°5
Lissandre ne put cacher sa déception. Ce n’était pas au sujet du père absent. Bizarrement, elle s’en fichait d’avoir un homme dans sa vie. Homme qui serait le père de son enfant. Non, si elle avait affiché de la déception, c’était au sujet de la peau rouge. Elle était tellement certaine de donner naissance à un petit démon. Au sens littéral du terme.

« J’achèterais du maquillage pour que les gens ne voient pas sa couleur rouge. Je lui ferai faire des chaussures sur mesure pour cacher ses petits sabots. Je lui apprendrais même à cacher sa petite queue pointue pour que les autres enfants ne l’embêtent pas avec ça. Mais j’aimerai tant donner naissance à un petit démon… Mais je ne veux pas qu’il me soit enlevé non plus… »

Elle était déchirée entre les deux possibilités. Elle était prête à aller vivre en Enfer s’il le fallait. Mais le pourrait-elle ? Son corps résisterait-il aux flammes ? Les autres démons la laisseraient-elle vivre sa propre vie ? Ou devrait-elle toujours se méfier de la violence et des viols ? D’idées en idées, Lissandre se demanda si elle ne pouvait pas être la première femme terrienne à implanter son entreprise de cinéma pornographie en Enfer. Ce serait cocasse !

Allongée, la gynécologue sur elle, Lissandre exaltait. Sa vie était merveilleuse !

« Tu es superbe. Ton tatouage. La couleur de ta peau. Tes beaux yeux bleus qui font ressortir ta crinière de feu. »

Elle se redressa comme elle put et alla chercher un nouveau baiser. Puis elle se laissa retomber contre le dossier.

« C’est facile de tomber amoureuse d’une femme telle que toi. Je crois que je pourrais être faible et me laisser avoir. »

Elle lui sourit ensuite. Elle était heureuse, vraiment. Comment pouvait-on vivre une vie pareille ? Il y a encore quelques mois, Lissandre n’aurait pu faire que l’imaginer. Imaginer une vie impossible à base de sexe et de démons. Aujourd’hui, c’était sa vie à elle. Et elle en frissonnait d’excitation. Elle avait tellement hâte de découvrir Alastar. Elle avait tellement hâte de sentir la vie grandir en elle. Elle avait tellement hâte de découvrir son enfant unique ! Son petit démon à elle !

« Embrasse-moi ! »

Les mains de Lissandre passèrent dans le dos de Fönn. L’une glissait sur son dos en direction de ses fesses pour les caresser. L’autre tenait toujours Poupée-Mélona. Lissandre en oubliait complètement l’aventure qu’elle avait passé avec la slime et le cadeau qu’elle lui avait laissé. Si elle devait se réveiller… Woh ! Ce serait une péripétie surprenante pour les deux femmes ! Mais actuellement, Mélona n’habitait pas les pensées de la bourgeoise française.

« Annule tes rendez-vous. Restons ensemble jusqu’à ce soir toi et moi. Et quand l’heure sera venue, allons chez toi pour invoquer Alastar. Je veux découvrir comment tu habites. Tu es, oui, tu es une sorte de modèle pour moi. Tu sais tellement de choses que je désire apprendre. Fönn, moi qui invente des personnages haut en couleur, tu as battu mon imagination. Tu ne peux pas savoir comment je veux tout connaître de toi. Ton histoire. Ta maison. Tes passions. Mais aussi… »

La main qui était sur ses fesses glissa le long de sa hanche pour passer au-dessus de son sexe qui était allé cacher par seulement un string et un mini short en jean. En pleine séance de gynécologie !

« Mais aussi tout ce qui est intime. Je veux tout connaître. Tout ! »

Et elle se releva sa tête comme elle put pour aller chercher un autre baiser.

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:35
par Fönn Verrières
La femme semblait… Assez peu réaliste ! Éduquer un enfant démoniaque était impossible ici ! Comment masquer ses cornes, sa queue ? Fönn n’insista pas outre mesure, car, de son côté, elle était heureuse que son bébé soit un humain « normal ». En fait, elle aurait sans doute dû dire à Lissandre qu’un démon pouvait adopter une apparence humaine ou démoniaque, mais elle avait eu peur que cela fasse trop pour elle. Après tout, les gens avaient encore bien du mal avec le concept des démons, avec le surnaturel et le mysticisme ! Fort heureusement, Lissandre semblait accepter tout cela plutôt facilement… Mais c’était aussi compréhensible, vu qu’elle avait déjà invoqué un démon, un magnifique incube fougueux qui avait dû la besogner avec une force incroyable ! Fönn sourit donc devant les déclarations de Lissandre, qui alla jusqu’à dire qu’elle pourrait bien tomber amoureuse de Fönn !

La gynécologue ne put que rire, tout en frottant son corps nu contre celui de sa patiente, et désormais amante.

« Tu as l’air de tomber très facilement amoureuse, toi… Mais bon, tu es une Française, alors je ne devrais pas être surprise. »

Elle ne lui répondit pas tout de suite pour l’amour, car cela lui semblait tout de même un peu prématuré ! Cependant, Lissandre ne souhaitait pas que Fönn s’éloigne, et lui demanda d’annuler tous ses rendez-vous, pour passer sa journée avec elle, qu’elles fassent l’amour jusqu’au soir, et qu’elles invoquent ensuite Alastar. C’était un plan fou, délirant, le genre de plan que seuls des Français pouvaient élaborer en toute tranquillité !

Fönn répondit avec envie à ses baisers, frissonnant quand Lissandre palpa ses fesses.

« Tu crois pouvoir endurer ma présence toute la journée, Lissandre ? Je peux passer la journée chez toi, et nous invoquerons ensuite Alastar, c’est dans mes cordes… Mais pas avant que je te soumette un dernier petit défi… »

La gynécologue se redressa doucement, et se mit à califourchon sur le corps de Lissandre. Fönn connaissait désormais la magie, et observa encore la poupée-Mélona. Elle sourit à nouveau, et l’attrapa alors. Elle lut la surprise dans les yeux de Lissandre, qui se partageait au désir, et observa la poupée.

« Alastar est venu chez toi, tu sais… Après que tu aies invoqué son fils. Il a senti la magie rose dans ta maison, mais aussi sur toi… Tu as déjà croisé le surnaturel avant d’invoquer son fils, non ? Et je suis sûre que cette poupée que tu tiens y est liée… »

Fönn sourit encore, et continua à onduler sur place. Elle frottait son bassin contre le sien.

« Je vais te cuisiner, ma chérie, mais, avant ça… Il y a cette chose, ici, à Yoake que j’ai toujours eu envie de tester, et je suis sûre que tu peux me l’offrir… »

La gynécologue se pencha à nouveau vers sa partenaire, et l’embrassa tendrement. Elle se redressa encore, et crispa ses mains sur ses épaules, avant d’avouer son fantasme.

« L’hermaphrodisme… Sentir une femme me pénétrer, si tu savais comme ça m’excite ! Alastar m’a dit qu’il y avait des femmes comme ça qui pouvaient le faire, celles qui avaient bénéficié de la magie rose… Alors, si tu veux qu’on passe la journée ensemble, Lissandre, c’est ça que tu dois faire… Je veux que tu me baises ! »

C’était clair et net, proprement avoué !

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:35
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°6
« Que je te… baise ? »

Comment savait-elle ? Est-ce que Reiko avait parlé ? Non. Fönn venait de dire que c’était le démon qui avait senti la magie rose sur elle. Donc elle était à ce point transparente aux autres ? Ce n’était pas la question. Lissandre s’emmêlait les pinceaux. Il n’y avait qu’une chose qui comptait : Fönn voulait qu’elle la baise.

« C’est possible. »

Un sourire malicieux apparut sur son visage.

« Et tu as raison. Cette poupée est liée à la magie rose. C’est une petite partie d’une femme magnifique et magique que j’ai rencontré. Elle m’a laissé un petit cadeau avant de repartir. »

Comment est-ce que ça fonctionnait déjà ? Il n’y avait pas de mode d’emploi. Pas de procédure avec des petits dessins comme les meubles nordiques à monter soi-même. Mais ça allait aller. Bien sûr que ça allait aller ! Lissandre avait une partie de son esprit qui était encore enfantin. Alors, quand la slime était partie en lui laissant ce cadeau : bien entendu qu’elle avait joué avec.

*Et c’était très jouissif : hi hi ! *

« Par contre, ce petit cadeau ne fonctionne pas aussi simplement qu’un claquement de doigt. C’est… c’est un peu comme les cadeaux de Noël. Pour en avoir, il faut avoir été sage toute l’année, tu vois ? Mais dans notre cas, être sage serait une malédiction, non ? »

Son sourire s’agrandit. Ses yeux allaient de Fönn à la poupée-Mélona. Lissandre revoyait la verge slimesque. Elle se remémorait les sensations de la main blanche de Mélona qui était apparu au niveau de son nombril pour la masturber. C’était tellement irréaliste ! Et c’était pour cette raison que ça avait été aussi bon !

« Dans notre cas, si tu veux avoir ton cadeau, il va falloir me rendre très lascive. Il va falloir que tu m’excites. Que je mouille ! Quand je serais prête, si tes yeux plongent dans les miens, tu les verras devenir rose. Tu auras une très belle surprise ! Hi hi ! »

Lissandre alla embrasser une nouvelle fois Fönn. Elle joua avec sa langue. Elle avait très envie de la gynécologue mystique !

« Tic-tac. Tic-tac. Il me semble qu’il te reste bien moins qu’une heure pour obtenir ton cadeau. Tic-tac. Tic-tac. »

La situation s’était retournée. C’était à Fönn maintenant de réaliser son désir avant que leur séance commune prenne fin.

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:35
par Fönn Verrières
Fönn était une femme appréciant beaucoup le mysticisme. Si elle avait rejoint Yoake, c’était à cause de ça, en ayant entendu toutes les rumeurs circulant sur cette ville. Sur Internet, Yoake était dépeinte comme le « nouveau Roswell », une ville remplie de phénomènes incroyables. Pour le coup, la gynécologue n’avait pas été déçue, vu qu’elle avait rencontré un incube qui lui avait donné un premier enfant, et bientôt un second. Et, maintenant, elle rencontrait une jeune femme en combinaison de latex moulante qui aimait le sexe déraisonnablement, et avait rencontré un autre incube, ainsi qu’une poupée de magie rose ! Fönn aurait pu croire à une plaisanterie, mais elle savait que tout cela était très sérieux. Son cœur battait doucement la chamade tandis que Lissandre se rapprochait d’elle, et l’embrassait.

« Hmmm… »

Le corps nu de Fönn se frotta contre le latex de Lissandre, provoquant moult délicieux crissements. Gémissant tendrement, Fönn prolongea le baiser. Lissandre venait de la provoquer, de la titiller, conditionnant la potentielle verge à ce que Fönn l’excite bien.  Un défi amusant, loin d’être insurmontable à accomplir pour Fönn ! La belle Norvégienne termina le baiser en mordillant la lèvre inférieure de Lissandre, la coinçant entre ses dents, et tira tendrement dessus. Une main sur ses cheveux, l’autre glissa le long de ce dos pendant tout ce baiser, jusqu’à terminer sa course sur ses fesses. Cette main caressa son postérieur sans vergogne, et le pinça ensuite… Puis Fönn poursuivit le délice en relevant sa main, et fessa ce délicieux cul.

Elle sentit Lissandre sursauter contre elle, avant que leurs corps ne continuent à se presser. Un nouveau baiser vint ponctuer leur relation. Fönn gémissait de plaisir, tout en attardant volontiers sa main sur le postérieur de Lissandre. Tout ce latex était un paradis pour fétichiste, et magnifiait aussi à merveille le corps parfait de Lissandre.

« Tu es vraiment incroyable, tu sais… Largement à la hauteur de la réputation des Françaises en matière de baisers… »

Fönn l’embrassa ensuite sur la joue, puis dans le creux du cou, mordillant doucement sa chair. Elle se déplaça ensuite, et se rapprocha du bureau, où elle réfléchit un peu. Quelle partie Lissandre préférait-elle ? Devant, derrière ? Tant de possibilités s’offraient à elles ! Lissandre semblait de plus être sortie de sa léthargie initiale, comme si ce rapprochement sexuel l’enhardissait, la ramenait dans des terrains conquis. La belle Française soupirait doucement contre elle, et Fönn se rapprocha donc de son bureau.

Elle poussa encore Lissandre, amenant ainsi celle-ci à s’asseoir sur le bureau, et déplaça sa bouche, venant s’attaquer à ses seins, qu’elle lécha et mordilla tendrement. Un soupir onctueux s’échappa de ses lèvres, et elle mordilla un peu plus fort à hauteur du téton, consciente que le latex protègerait la peau de Lissandre.

« Tu aimes ça, hein ? Je dois admettre que le latex te va à merveille, ma chérie. Comment sont les sensations quand je te mords, hum ? Est-ce que ça te plaît ? Dis-moi tout, ma chérie… »

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:35
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°7
Quand Fönn fessa Lissandre, celle-ci sursauta en repensant aux sensations que Mélona avait provoqué. Elle avait tellement sensibilisé son latex de sa magie rose la fois dernière, que Lissandre avait cru qu’elle sentirait bien plus la fessée. Mais ça allait. Ça la fit sourire que son corps ait gardé cette mémoire.

Elle se laissa guider jusqu’au bureau où elle s’assit dessus. Elle aimait que Fönn prenne le contrôle des opérations. Elle appréciait tout particulièrement ces moments car c’était diamétralement opposé à son travail de réalisatrice de films X. Elle lâchait les rennes et laissait ses désirs s’exprimer. Tout le contraire de quand elle devait utiliser sa tête pour faire ressortir le désir de ses acteurs et actrices.

« Continue à jouer avec mes tétons. Tu as dû voir qu’ils durcissaient et appuyaient contre mon latex rose, non ? Hi hi ! »

Cette situation était excitante. Pourtant, Lissandre devait admettre que le côté « magie » lui manquait. Depuis qu’elle avait goûté à Mélona et Namaah, le sexe classique entre humains ressemblait à une photographie qui avait terni. Le cadrage et les sujets restaient jolis mais tout était gris…

*Si seulement Mélona était encore avec moi aujourd’hui… *

« J’adore le latex. J’adore cette peau que j’ai choisi et qui me mets en valeur. »

La main de Lissandre glissa sur le bras de Fönn. Le bras qui était tatoué.

« En fait, toi et moi on est pareils. On a toutes les deux décidées que la nature ne nous avait pas donné le corps que nous voulions. Moi je l’ai habillé de latex. Toi, tu l’as couvert d’encre. C’est très joli. Ça te rend plus… toi. Oui, sans tes tatouages, tu serais un peu « vide ». Tu comprends ce que j’essaie de te dire ? »

Son visage s’approcha ensuite de celui de Fönn. Elle l’embrassa une nouvelle fois. Elle joua beaucoup avec sa langue. Et finit comme la gynécologue. En mordillant sa lèvre et en tirant dessus. Puis elle posa un baiser sur sa joue. Comme si une touche de légèreté était la bienvenue.

Ses mains se posèrent sur chacune des joues de Fönn et elle ajouta :

« Tu devrais jouer avec mon bouton de rose de la même façon que tu as joué avec mes lèvres. »

Elle lui sourit grandement et fit ensuite un clin d’œil complice.

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:36
par Fönn Verrières
Fönn adorait la sensation de sa main claquant du latex, la manière dont le latex ondulait contre ses doigts, c’était… C’était vraiment exquis ! Elle avait donc giflé avec entrain Lissandre, se régalant de ses cris en réplique à ses attouchements. Elle palpa ensuite ses tétons, tirant dessus en en coinçant un avec deux de ses doigts, et constata effectivement que le latex les moulait parfaitement. Elle se lova ainsi dans le dos de Lissandre, avant que la Française ne se retourne, et partage avec elle un intense baiser, un baiser où elle n’hésita pas à mordiller sa lèvre inférieure, tirant joyeusement et malicieusement dessus. Lissandre en profita pour lui indiquer que, là où son latex la singularisait, chez Fönn, c’était ses tatouages, permettant de la rendre moins vide. Fönn sourit doucement face à cette remarque, et caressa les hanches de ses mains. Elle descendit ensuite, progressivement, jusqu’à presser ses deux fesses ensemble.

« Hmmm… Je dois t’avouer que je me sens un peu vide en ce moment, ma belle Lissandre… Surtout entre mes cuisses ! »

La gynécologue ne s’embarrassait plus de formalités maintenant, car elle et Lissandre étaient unies par un lien encore plus intense que celui unissant une patiente à son docteur, ou un amant à un autre. Elles étaient unies par le secret de la magie, par cette connaissance que des forces surnaturelles existaient. Un tel lien était très fort, et allait sensiblement les renforcer… Au point qu’elles vivent ensemble ? Fönn se doutait que Lissandre ne serait pas hostile à cette idée, mais elle… Elle allait devoir y réfléchir. Éduquer seule des enfants était difficile, mais la gynécologue tenait trop à son indépendance pour vouloir s’enchaîner à quelqu’un d’autre. Ceci étant dit, Lissandre semblait être aussi indépendante qu’elle, alors peut-être était-elle la femme qui convenait à la Norvégienne ?

Pour l’heure, Fönn avait compris ce que Lissandre demandait, et elle l’embrassa donc dans le creux du cou, puis au-dessus de ses seins, et s’amusa à lécher et à mordiller ce latex, descendant progressivement. Bien sûr, ses seins n’échappèrent pas à ses baisers, et même à ses mordillements. Elle tira avec plaisir dessus, faisant couiner la jeune femme, et continua son office. Imperturbable, Fönn y passa un certain temps, s’occupant avec amour de chaque sein, et continua ensuite à descendre, tout en poussant Lissandre, l’amenant à s’asseoir sur son bureau.

« Hmmmm… Oui, c’est si bon, je pourrais passer des heures à simplement te lécher et t’embrasser, ma Lissandre… Ma belle petite pomme d’amour française… »

Elle se laissait prendre au jeu, et descendit sur son ventre. Ses baisers se multiplièrent autour de son nombril, ainsi que des coups de langue appuyés. Elle embrassa encore le nombril, et sentit le latex onduler sous sa langue, remuer dessus, et continua encore à descendre, tout en relevant ses yeux vers Lissandre… Et lécha enfin son sexe, entre ses jambes. Sa langue remua dessus, et elle se frotta avec appétit, léchant avec appétit. Certes, le latex la gênait, l’empêchant d’accéder directement à sa chatte, mais elle sentait le latex s’humidifier de plus en plus…

« Tu aimes ça, hein ? Sache que je compte te lécher jusqu’à ce que ma sucrerie vienne, Lissandre ! »

Lissandre allait vite constater, si elle ne l’avait pas déjà remarqué, que Fönn était indéniablement une femme passionnée !

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:36
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°8
C’était bon de se laisser faire. De lâcher les rênes et de se laisser porter par les désirs de l’autre. Le lâcher-prise permettait d’arrêter de réfléchir : et surtout de ressentir !

Fönn avait bien fait de ne pas partager avec Lissandre sa pensée qu’elles vivent ensemble. La bourgeoise française aurait rebondi dessus avec beaucoup d’attention. La perspective de vivre avec une femme ayant un lien avec les démons ? Une femme magnifique ? Une femme qui démontrait déjà des compétences exquises sexuelles ? C’était certain que Lissandre aurait demandé où et quand.

« Ma sucrerie ? »

Pendant un bref moment, elle avait pensé à Mélona. La slime raffolait des sucreries autant que l’amour. Ça avait perturbé Lissandre.

« Oh ! Oui, ma sucrerie. Hi hi ! »

Il y avait quelque chose d’incorrect à penser à la slime et pas seulement à Fönn. Mais ça fonctionnait. La combinaison des talents de langue de la gynécologue associé aux souvenirs slimesque déclenchait des pics de plaisir.

« Tu sais, j’ai autant de patience qu’une enfant devant une boutique de bonbons. Donc, hum ! Donc, ça ne devrait pas tarder avant que, que j’allume la fontaine à chocolat. Hum… Vas-y. C’est bon ce que tu me fais là. »

En y repensant, rapidement bien entendu étant donné que la gynéco se trouvait entre ses cuisses, Lissandre remarqua qu’elle avait déjà passé bien plus de temps la foufoune à l’air que derrière son latex. Certes, ça ne faisait pas une heure qu’elles se connaissaient toutes les deux. Mais ça annonçait la couleur !

*Rose. La couleur. Pardon, Lissandre. Jeu de mot nul. Hi hi ! *

Posant ses deux mains sur la tête de Fönn, elles exercèrent un mouvemente gentil pour la retirer de sa foufoune.

« Excuse-moi, ma belle. Mais je crois que c’est le moment. »

Les deux doigts de la main droite de Lissandre disparurent. Elle se masturba toute seule, exerçant une pression sur une zone de sensible. Le fameux point G ? Peut-être bien. LIssandre commençait à sentir la vague de plaisir gagner en puissance. Gagner en intensité.

« Han ! J’y suis presque. J’y suis presque ! Hmm… »

Elle lâcha un cri et sentit la magie se libérer d’un seul coup. Conjointement avec son plaisir qui venait de provoquer des soubresauts dans son corps. La magie opérait en utilisant le latex rose imbibée de magie rose.

La sucette se formait !

« Et voici pour toi, ma belle Fönn. Ton cadeau sucrée et magique. Tu ne l’avais peut-être pas vu de cette taille mais je suis sûre que cette couleur rose latex doit étonner. Hi hi ! »

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:38
par Fönn Verrières
Fönn s’attendait bien sûr à ce que cela dérape avec Lissandre, mais… Pas aussi vite ! À vrai dire, elle ignorait si cette femme était vraiment hermaphrodite ou non, mais elle savait que les Futanaris existaient. Alastar le lui avait dit, mais il avait refusé de lui faire pousser une verge, préférant la fourrer lui-même. Depuis lors, Fönn menait des recherches. Elle s’intéressait notamment au plus gros lycée de la ville, le lycée Jinmu, nommé ainsi en référence au premier Empereur du Japon, une figure davantage mythologique que vraiment historique. Un lycée curieux où quantité d’informations et de légendes circulaient. À ce jour, Fönn essayait de se rapprocher du lycée, et avait une touche par l’intermédiaire d’une secrétaire administrative du lycée, Shani Stevens… Qui, malgré ce nom très anglais, était une Française, comme Lissandre. Qui sait ? Dans un futur proche, Fönn les amènerait peut-être toutes les deux à se raconter ? Shani était l’une de ses clientes, et une de ses amantes, mais elle n’était pas Futanari, tout en lui ayant confirmé leur existence. Alors, la perspective d’en avoir enfin une excitait furieusement Fönn. Bien sûr, celle-ci ignorait que le timing était le bon, et que, à quelques jours près, lécher la foufoune de Lissandre n’aurait rien donné… Mais, depuis lors, Lissandre avait rencontré une Slime très perverse, qui avait amélioré sa combinaison, mélangeant le latex à son slime, en formant un véritable symbiote.

La gynécologue remuait longuement sa langue en elle, et sentit les deux mains de Lissandre sur sa tête. Ses doigts se crispaient sur ses longs cheveux roux, et Fönn se délectait de l’entendre gémir fortement. Le temps passait longuement, trop rapidement, jusqu’à ce que Lissandre écarte brusquement la tête de Fönn. Les lèvres imbibées de mouille, elle cligna des yeux, et vit la femme se masturber frénétiquement devant elle. Muette, la gynécologue l’observa, et vit l’utérus de Lissandre se déformer. Ses parties intimes libérèrent alors une magnifique verge rose, et Fönn écarquilla les yeux. La verge tapa son visage, glissant contre son nez, et la pointe fila près de son œil, sous ses lunettes.

« Ah ! »

Surprise, Lissandre renifla cette verge, et ne répondit pas tout de suite à Lissandre. Au lieu de ça, elle attrapa ce membre, et le remua doucement, le caressant doucement, le pétrissant. Elle le pinça même, faisant couiner sa partenaire, mais constata que cette verge avait toutes les caractéristiques d’une verge, cette élasticité incroyable, cette mollesse se transformant en une épaisse dureté… Ce membre phallique se dressait joyeusement devant elle, et elle continua à l’observer, souriant ensuite en voyant la présence de testicules. Elle les lécha tendrement, et déposa quelques baisers dessus, sans rien exagérer. Elle voulait juste s’imprégner de cette texture, de cette sensation… Ce qui fit que, pendant plusieurs minutes, elle ne dit rien, elle ne suça même pas, elle caressa, elle embrassa, elle… Elle renifla. Elle renifla longuement cette verge, les testicules, semblant adorer cette odeur.

« C’est vraiment indescriptible… Chaque verge a une odeur très particulière, celle d’Alastar était exquise, et la tienne… Elle y ressemble beaucoup, avec une odeur de latex, et… Quelque chose de sucré. En fait, j’adore la lécher, j’ai l’impression de lécher de la barbe à papa ! »

Elle gloussa alors, et l’embrassa à nouveau, sur la pointe. La verge semblait réagir à elle, et elle la lécha encore sur tout le pourtour. Mutine, elle coinça alors un morceau, et le mordilla. Avec du latex, la sensation serait douloureuse pour Lissandre, mais non moins agréable, la douleur restant moindre. Quand Fönn relâcha sa verge, elle l’embrassa à nouveau, et vit autour des testicules, sur la base de la verge, de petits tentacules qui pointaient, formant comme des veines le long de cette verge, se décollant ensuite.

« C’est incroyable, vraiment. Je… Je peux… »

Fönn déglutit un peu, avant de reprendre, rougissant doucement en croisant le regard de sa partenaire. Son cœur battait lourdement dans sa poitrine, et elle le demanda finalement :

« Est-ce que je peux te sucer ? »

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:39
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°9
*De la barbe à papa ?! *

« Elle a vraiment une odeur sucrée ? C’est génial ! »

Fönn était complètement charmée. Si elle avait été susceptible, Lissandre aurait pu devenir jalouse de sa verge. Mais ça aurait été délirant étant donné qu’elles deux, la verge goût barbe à papa et-

« Aie ! »

*Elle m’a mordillé ?! Je l’adore : Hi hi ! *

Donc, que la verge goût barbe à papa et elles ne faisaient qu’une. Preuve en était de la douleur qu’elle venait de ressentir. Lissandre laissa donc faire sa nouvelle amante découvrir ce qu’elle convoitait. Elle n’allait pas se plaindre de toutes ses petites attentions. Surtout que ça la mettait elle aussi en condition. Ce mélange de magie phallique et de tendresse rousse était une combinaison qui fonctionnait pour la bourgeoise française.

*Oh, et ces petites joues qui rougissent. Elle est vraiment trop mignonne ! *

« On doit dire s’il te plaît. »

Lissandre afficha un grand sourire malicieux.

« Moi je n’attends que ça, attention ! Mais il faut me le demander poliment. Parce que, étant une vraie bourgeoise française, je peux vite changer d’humeur et remballer la marchandise. Et ce serait dommage de voir la porte de la confiserie annoncer une absence indéterminée, n’est-ce pas ? »

La victime de ce blabla était qui déjà ? Etait-ce Fönn qui était mis au supplice de ne pas pouvoir goûter cette verge collée à une femme ? Ou était-ce Lissandre qui était dure et qui ne pouvait pas ressentir la douce chaleur de la bouche de la gynéco mystique ?

La main de Lissandre glissa sur son pénis. Et, en faisant un aller-retour tranquille dessus, elle découvrit de petites choses à la base. Au début, elle s’inquiéta et l’expression passa fugitivement sur son visage. Est-ce qu’il était mal formé ? Est-ce qu’il était en train de se décomposer parce que la magie avait été mal invoqué ?

*Mais… Je rêve ou ce sont de petits tentacules ?! Hi hi ! *

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:39
par Fönn Verrières
Fönn était comme subjuguée par cette verge, par ce délicieux appendice qui pointait sous son nez. Elle l’avait même mordillé ! Mais Lissandre souhaitait que Fönn fasse sa demande correctement. L’intéressée sourit alors, peinant à décrocher son regard de la verge. Elle sentait le même impact magnétique en voyant cette verge que face à la queue d’Alastar. Soit Fönn était vraiment une perverse, soit la magie rose l’aidait aussi à se concentrer ainsi, à se focaliser presque exclusivement sur ce membre épais et assoiffé. Elle déposa un dernier baiser sur sa queue, et vit de petites tentacules en émerger. Fönn sourit lentement, et joignit alors ses deux mains devant elle, en signe de prière, puis releva finalement le regard en observant Lissandre.

« Ô Lissandre, belle et forte Lissandre, noble et magnifique Française, m’autorisez-vous à, sans vouloir offenser votre auguste personne, à… Vous sucer en profondeur ? »

Elle pencha alors la tête sur le côté, et sourit brièvement.

« S’il-te-plaît ? »

Comment résister à une telle bouille ? Fönn se rapprocha ensuite, et sentit les tentacules se rapprocher d’elle quand elle souffla sur sa verge. La main de Lissandre cessa de se masturber, et, avant qu’elle ne s’éloigne, Fönn l’attrapa alors, et déposa quelques baisers dessus, avant de les renifler.

« Tu sais, tu vas me trouver folle, mais j’adore l’odeur d’un pénis… Avec les amants que j’ai eu, j’adorais lécher et renifler leurs mains après qu’ils se soient masturbés ! »

Maintenant que les deux femmes avaient partagé leurs secrets magiques, Fönn était prête à avouer tous ses fantasmes. Elle suçota donc ses doigts, sentant la verge de Lissandre caresser ses cheveux. Elle cessa alors de la faire patienter, et appuya ses lèvres sur cette verge, puis commença à remuer. Un délicieux frisson la traversa. L’odeur déferla en elle, mélange indescriptible de sexe, de latex, et de sucrerie. Oui, elle avait parlé d’une « verge barbe à papa », à défaut de savoir comment appeler ça autrement. C’était… Oh, c’était si bon ! Elle remuait d’avant en arrière, cette verge lisse remuant dans sa gorge.

Elle s’enfonça encore, gémissant en faisant une longue gorge profonde, et posa ses deux mains sur les fesses de Lissandre, qu’elle palpa sur place. Elle mouillait également, et sentit alors une main jaillir. Une queue caudale avait jailli depuis le dos de Lissandre, et vint la caresser intimement. Est-ce que Lissandre avait généré ce tentacule ? Ou s’agissait-il du symbiote en elle ? Difficile à dire, car Mélona avait expliqué à Lissandre que le symbiote avait une volonté propre, et était en train de grandir. Alors, tout était possible ! Et Fönn ne put que gémir tendrement quand on commença à la titiller intimement, suçant encore la queue de Lissandre…

Re: Désir maternel [Lissandre Verrières]

Posté : 11 nov. 2024 12:39
par Lissandre Verrières
Désir maternel [avec le Diablotin] – réponse n°10
Ce mélange de formules alambiquées et de trogne kawaii… Lissandre avait été incapable de résister !

« Han !... C’est trop mignon. Comment je peux résister à ça ? C’est accordé, gente dame ! »

*Renifler ma main ? *

Formuler de cette façon, Lissandre avait trouvé ça bizarre. Les sourcils froncés, elle s’était demandé ce qu’il pouvait y avoir d’érotique à renifler une main. Elle ne comprenait pas mais… elle adorait Fönn ! Alors elle la laissa faire. Et, malgré que le geste en soi ne l’excitait pas, voir la gynéco dans une telle position éveillait tout de même quelque chose.

*J’aurai aussi un côté dominatrice comme ma grande sœur Faustine ? *

Impossible de continuer à réfléchir. Les lèvres faisaient disparaitre sa queue sucrée.

« Hum… »

Maintenant, c’était sa gorge qui lui faisait un tour de magie rose ?!

« Han ! »

Les mains sur ses fesses. La chaleur de la bouche de Fönn englobant sa drôle de barbe à papa. C’était un bon début. Un très bon début ! Lissandre ne réalisa pourtant pas l’émergence du membre caudale. Possiblement parce qu’elle avait une autre idée en tête. Non, ce n’était pas une idée à ce niveau-là : c’était une pulsion créatrice.

Les petits tentacules en-dessous sa verge rose s’allongèrent encore et encore pour venir enlacer le cou de Fönn. Lissandre avait l’impression de sentir une odeur sucrée se répandre dans le cabinet. Est-ce qu’elle l’imaginait ? Ou était-ce le produit de sa nouvelle sueur magique ? Peu importait ! Elle adorait ça. Le sexe et le sucre. Oui, elle comprenait parfaitement les besoins vitaux de sa slime-chérie.

Les petits tentacules commencèrent à se resserrer autour de la gorge de Fönn.

Les bras tendus. Les doigts tendus. Lissandre regardait le plafond et fermait les yeux pour ressentir plus intensément les vagues de désir qui l’assaillaient.

« Han, c’est trop bon, Fönn. C’est toi la magicienne de nous deux. C’est toi qui a fait disparaître ma baguette magique ! »

Puis ses doigts se détendirent et remontèrent pour commencer à jouer avec ses tétons tout dur.