L'amour a toujours eu bien des formes, restant si simple et si compliqué à définir. Dans les histoires, on voit toujours le bonheur amoureux comme une chose merveilleuse et douce, plein de rose, d'amour et terminant en happy end. Que ce soient les contes que ses parents lui lisaient le soir, ou les histoires de sa famille, que ce soit ses parents ou de lointains parents dans la famille Kaguya – et parfois Shizuka – c'était toujours de belles choses, mais ça finissait par se ressembler au final. Et pourtant, maintenant elle savait que cet amour avait bien des variations, que ce soit dans la douleur, l'humiliation ou le nombre. On parle souvent de couple, donc, de deux personnes, mais elle savait que dans certains états, la polygamie était tolérer. Cette actrice, Poison, a bien deux épouses. Non pas que Kokoro s’intéresse à cette femme et son travail, mais une de ses petites sœurs était une grande fan de cette jeune influenceuse d'Uatis qu'était la fille de cette actrice donc forcément, elle la connaissait dans les grosses lignes, sans se pencher sur la femme ou du moins, sa carrière. Pourtant, dans le palais, une autre de ses sœurs possédait certains de ses films, mais nous nous égarons. La princesse avait souvent vu ses parents se bécoter, n'allant jamais plus loin qu'un baiser ou deux devant leurs enfants, surtout dans l'Onsen, déjà qu'elles étaient inséparable alors nue dans l'eau chaude, elles étaient plus amoureuses que jamais. Elle les avait toujours enviées, espérant trouver un jour ce même amour, et elle l'avait désormais à ses côtés.
Arya était si belle, si parfaite, même si leur nuit de noces commençait sur une note de domination, de curiosité, elle savait que tôt ou tard, elles passeront bien des nuits si différentes et si plaisante. Est-ce que ses parents avaient, elles aussi eut ce genre d'envie ? Sûrement, mais elle ne préférait pas imaginer ça... Imaginer ses parents dans ce genre de situation... Quel enfant le voudrait ? Suçant l'épaisse verge couleur caramel de sa femme, elle en profitait avec plaisir, venant s'en dégager un court instant, profitant de ce muscle tendue se frottant contre sa joue tandis que la jeune sorcière la força – avec amour – à l'avaler avec plus de rythme, allant ainsi jusqu'à l'orgasme, tandis que la princesse avait quelques larmes au bord des yeux. Rien de bien méchant, un rythme un peu trop intense, mais le plaisir en plus. Elle en avalait ce qui était dans sa bouche, même s'il en restait sûrement un peu caché ici et là dans les recoins de sa bouche. Arya en retira sa queue pleine de salive et de foutre, coulant le long de la bouche de Kokoro, le regard assez évasive mais si heureuse. La jeune femme restait à genoux, levant le menton vers son épouse, les yeux pétillant, mais le sourire aussi beau que lorsqu'elle lui avait dit « oui ». Sa main se relevait, caressant cette salive mêlée à la foutre autour de sa bouche.
« Oh... Arya... Je suis si heureuse... »
Un bref instant, elle n'était plus sa chose, redevenant juste son épouse sur laquelle elle agrippait à ses hanches. Sa peau pâle et douce se frottait sur sa peau bronzée et chaude, toutes les deux légèrement en sueur, elle glissa, jusqu'à ce que leur poitrine se presse mutuellement, puis ce fut le tour de leurs lèvres de se coller, un nouveau baiser, toujours débordant d'amour entre elles. Le clair, le sombre, la douceur du tissu, la raideur du latex, deux mondes qui s’unifiaient ce soir et à jamais. Ce n'était là que les prémices de leur nuit de noces, car pendant ce doux baiser, sa main glissa entre ses jambes, caressant sa belle bite humide, voulant ressentir sa raideur dans le creux de sa main pour de nouveau reprendre leurs petits jeux, que son épouse lui apprenne de nouvelles choses.
« Bande pour moi, mon amour... Je te veux encore, toute la nuit... »
Sa petite voix souffla près de son oreille, ses lèvres baisaient son cou, sa main remuait le long de sa verge, Lust ne pouvait que bénir le palais d'Edoras cette nuit.