A ses pieds, Aoki vint se plonger dans le minou de la Chatte Noire. Elle s’épilait à cet endroit précis. Et il fallait dire qu’elle s’épilait même plutôt bien, car sa paroi intime était complètement lisse et propre, douce et délicieuse, et l’était d’autant plus qu’elle mouillait. Et elle mouillait d’autant plus qu’Aoki vint poser ses lèvres à son corps, pour l’enfoncer dans sa bouche, et lécher avec avidité. Félicia soupira, gémit, attrapant les cheveux d’Aoki, yeux clos. Comme elle devait être heureuse, cette petite blonde ! Elle avait tout pour l’être après tout : les pinces lui martelaient les seins, et elle devait encore avoir sur elle les sensations des griffures, griffures que Félicia continua à faire avec ses mains, caressant la nuque et le cou de la beauté.
*Et le plug, Félicia, n’oublie pas le plug enfoncé dans son cul ! Hey, il y a là de quoi faire hurler n’importe qui, tu ne crois pas, non ?*
Assurément. Aoki se lâchait, et finit par jouir. Félicia put le sentir quand la tête d’Aoki se redressa, et, en baissant les yeux, elle vit effectivement une flaque de mouille s’étaler sur le sol, entre les jambes de la blonde. Le désir traversa à nouveau le corps de Félicia, remontant tout le long de son corps, s’exprimant à travers des frissons de plaisir. Oh, si c’était bon ! La Chatte Noire serra les lèvres, et ne put s’empêcher d’insulter à nouveau Aoki, comme cette dernière l’avait demandé :
« Tu n’es qu’une sale petite traînée, Aoki ! Une vilaine petite pute ! »
Elle lisait dans les yeux d’Aoki un désir vorace, et la Chatte Noire en tremblait. Elle récupéra la cravache, et vit la langue d’Aoki pendre, la faisant ressembler à une espèce de chienne assoiffée, alors qu’elle la suppliait de jouir dans sa bouche. La proposition était tentante, et, même si, pour ça, la Maîtresse aurait normalement dû sévèrement la punir, vu qu’Aoki lui avait dicté des ordres, la Chatte Noire était bien trop excitée pour refuser. Elle abattit toutefois fermement la cravache sur le dos d’Aoki, et gémit en entendant le claquement. Elle frappa une seconde fois, plus ou moins au même endroit, et plaqua la bouche d’Aoki contre son intimité, tout en hurlant :
« Ah, tu aimes, hein, petite chienne ?! Tu en as envie, hein ? HEIN ? Alors, ouvre grand la bouche, ma salope, et prépare-toi, car je vais venir ! Ouvre bien ta belle grande gueule de chienne, et prépare-toi ! Haaa ! »
Et, tout en parlant, Félicia continua sur sa lancée. Elle remua son corps d’avant en arrière, rapidement, le frottant contre la bouche d’Aoki, tout en continuant à la battre, la cravache claquant de plus en plus, parfois heurtant le cul de la blonde, parfois frappant entre ses cotes. Son autre main agrippait la nuque de la blonde, s’en servant comme d’un appui pour enfoncer ses lèvres intimes contre les siennes.
Et ce fut naturellement comme ça qu’elle en vint à jouir rapidement. Ce fut un orgasme superbe ; la Chatte Noire était dans un tel état qu’elle n’eut pas qu’un seul orgasme. Un deuxième le rejoignit très rapidement, mais, quand celui-ci survint, elle n’était alors plus dans la bouche d’Aoki, et se doigta donc sous ses yeux, ressentant du coup la sensation exquise qu’Aoki avait du éprouver quand elle avait enfoncé en elle un doigt. La souffrance fut noyée dans des jets de cyprine qui vinrent éclabousser les joues, le cou, le nez, le menton, et les seins de la blonde.
« HAAAAAAANNNN, HAAAAAANNNNNN !!!! »
Les longs soupirs de Félicia témoignaient de ce plaisir important qu’elle ressentait. La Chatte Noire était heureuse, et lâcha des giclées de cyprine. Quand elle en eut terminé, elle rouvrit lentement les yeux, se sentant bien plus sereine, mais, dans ses yeux, la lueur de l’envie brillait toujours. Comme Aoki lui semblait belle, avec ses pinces, son plug, ses mains emprisonnées, et cette mouille qui dégoulinait le long de son corps. Le bout de la cravache de Félicia vint glisser entre les seins d’Aoki, dessinant une petite ligne en remontant pour se glisser dans ses lèvres.
« Lèche, ma belle esclave. Ma délicieuse petite salope. Goûte donc au jus de ta magnifique Maîtresse ! »