The Multiversity

[Aoki Kou]

Cela avait beau durer depuis un moment déjà, pour Aoki et Felicia, ce genre de séance, du moins dans la durée, ça restait dans la moyenne. Après, il y a de nombreuses choses qui peuvent faire varier la durer. Le nombre de partenaires, de gadget, de position, bref, tout un système ! Doutzen commençait à ressentir les effets de cette ceinture, car même Aoki y avait déjà goûter pour quelques occasions et sur une femme comme elle, cet outil était un véritable enfer ! Car oui, Felicia savait être sadique autrement qu'en laissant des marques de griffures ou de morsures sur son corps. Tandis que la caméra changea de main, le temps pour son élève de venir la rejoindre, d'abord en douceur, et sous la demande d'Aoki, elle voulait plus, bien plus. Baiser, caresse, mais surtout, se débarrasser de cette chose entre ses cuisses. Un détail qui fit glousser la Japonaise. Comme Felicia le disait, elle risquait de souvent porter cette ceinture, ainsi que d'autres petites choses...

« Huuum, oui... ma chérie... Si tu es sage... je pourrais... te le retirer... »

Pas dans l'immédiat, mais Aoki tenait là un bon moyen de pression pour l'avenir. La forcer à bien travailler, à être une bonne chienne pour éviter ce retour. Car le pire n'était pas de porter ça une journée, c'était de porter ça face à deux belles femmes qui s’adonnaient à tant de plaisir. Pour le moment, Doutzen profitait de tout cela, de tout ce plaisir surtout venant du corps d'Aoki, où sa bouche passait sur ses seins, mais tôt ou tard, ce sera aussi elle qui sera sur le film à se faire prendre par Aoki, Felicia, si ce n'est les deux à la fois où plus ? Qui sait, elle pourrait tomber un jour lors d'une visite surprise de Pamela et d'Harley ? Entre temps, sa chérie venait à lui donner un moyen de se libérer quelque peu en lui donnant l'accès à un gode ceinture, elle avait l'embarras du choix dessus. Aoki profita que Doutzen cherche de quoi la soulager et se coucha sur sa Black Cat. Son corps se couchant sur le sien, laissant le latex crisser pendant que leur bouche se scellèrent entre elles.

« Mmmmh, haaaan Féli-nyaan... Continue... à me baiser... haaaaa.... remplit ma... petite chatte... »

Elle comptait le faire, certainement, mais en attendant, Doutzen ne tardait pas à revenir avec une nouvelle arme entre les jambes. Sa ceinture de chasteté était toujours là, mais il y avait autre chose à présent, un gode ceinture. Aoki ignorait encore quel modèle, mais elle ne tarderait pas à le savoir. Sa ceinture de chasteté était toujours là, mais il y avait autre chose à présent, un gode ceinture.

« Hum, elle a raison... si tu me satisfais pas... gare à toi... »

Une menace qui pourrait plaire à Doutzen mine de rien, mais il ne vaut mieux pas lancer Aoki sur ce sujet, quand elle imaginait ses punitions, ça pouvait aller très loin. Le cul bombé, elle n'attendait plus que son élève se mette au travail et quand ça arriva... ce fut presque d'un coup sec ! De quoi lui faire lâcher un petit gémissement avant de sentir son aimée et son élève remuer en elle pour la satisfaire au plus haut point. La petite suivait les conseils de la voleuse, laissant peu de répit à Aoki. Comme quoi, elle écoutait bien ses maîtresses. Elle sentait le gode remuer en elle, vibrant, ses petites pointes remuant le long de ses parois anales. Son visage était si près de Félicia, les plans caméra ne devaient pas être fameux sur le moment, mais elle aimait se presser contre son corps.

« Haaaaan ! Haaaaaaaan ! Encore ! Allez encore !!! Vas-y... Hum ma salope, Vas-Y ! Baise moi... De toutes tes putains de forces !!! »

Cela s'appliquait surtout à Doutzen, Felicia savait comment était Aoki, mais bon, ne sait-on jamais, une piqûre de rappel ne faisait pas de mal. Profitant de la proximité, elle embrassait sa chérie avec appétit, venant faire sentir tout son amour et sa passion dans ce baiser. L'idéal serait peut-être qu'elle se recule un peu pour que le film soit mieux, mais pour le moment, elle ne voulait pas quitter ses lèvres.

[Doutzen Kroes]

Ces deux femmes avaient repoussé toutes les limites. Doutzen ne regrettait qu’une seule chose en ce moment : qu’elle porte un simple gode-ceinture, et non un gode-ceinture avec des vibromasseurs internes. Elle avait vu que Félicia avait des modèles de ce type, mais, avec la ceinture de chasteté, c’était impossible. Elle allait donc se frustrer encore, mais c’était après tout son rôle. Elle était leur esclave, et, à ce moment, plus qu’à aucun autre moment, Doutzen prenait conscience de la chance qu’elle ressentait. De la chance, oui, car elle était tout simplement en train de vivre un rêve éveillé, une sorte de long fantasme où elle s’envoyait en l’air avec deux amantes redoutables, deux femmes d’exception qui semblaient n’avoir aucune retenue.

En retournant vers eux, Doutzen vit que Kou-san s’était penchée contre Hardy-san. Elle faisait encore frotter leurs combinaisons en latex, tout en s’embrassant goulûment. L’une des mains de Hardy-san s’était crispée sur les cheveux de Kou-san, et elle lui roulait une pelle mémorable, sa langue s’enfonçant dans la bouche de sa partenaire, son corps se collant au sien. Doutzen avait presque l’impression de voir des griffes perler sur les doigts de Félicia, qui rompit le baiser, et invita alors Doutzen à venir sodomiser sa Maîtresse. Celle-ci lui présentait d’ailleurs ses fesses, bombant outrageusement son postérieur. Les joues rougies sous l’effet conjugué de la honte et du désir, Doutzen les rejoignit lentement. Sa respiration était lourde, son cœur se balançant dans sa poitrine, et elle caressa les fesses d’Aoki, des fesses moulées par sa culotte. Ses doigts tirèrent ensuite sur la délicate fermeture Éclair qu’elle vit, et l’abaissa, révélant l’accès à sa croupe. Un délicieux petit cul qui se trémoussait sur place, et elle guida ensuite le vibromasseur, puis couina en sentant les parois internes de Kou-san, la résistance naturelle de son fondement.

« Maî-Maîtresse, hmmm… »

Doutzen força le passage, et sentit les parois anales de sa Maîtresse se dilater, presque aussi vite que les siennes, ce qui confirmait le fait que Hardy-san devait la sodomiser fréquemment. Doutzen frémit en sentant tout son corps trembler nerveusement. Des espèces de claquements nerveux, fruits de l’excitation qu’elle ressentait. Elle serra ses doigts sur la ceinture de Kou-san, et donna même une petite gifle sur son cul, comme pour faire circuler le sang, et pour reprendre le contrôle d’elle-même. Aoki lui ordonna d’y aller vite, de la baiser de toutes ses « putains de force », sous peine de recevoir une lourde punition.

Aussi docile et soumise soit-elle, Doutzen avait toujours, en elle, ce fond d’orgueil, ce sursaut de malice, ce frisson qui la traversa en ce moment, et qui l’amena à se dire… Qu’elle avait très envie de lui défoncer le cul. Elle fila en arrière, et repartit en avant, sentant son gode s’enfoncer de plus en plus.

« Vas-y, Doutz’… Aoki aime tellement qu’on lui défonce le cul, humm… Gifle-là, allez ! »

Il serait difficile pour Doutzen d’insulter sa Maîtresse, ce que Félicia voyait bien. Alors, à défaut, la jeune fille donna une nouvelle fessée, abattant sa main sur l’une des fesses d’Aoki, et accéléra encore. Elle poussait des grognements, se mordillant les lèvres en fermant les yeux, et gémissait sous l’effort, avant de se retirer, et de s’enfoncer encore. Elle voyait le dos de sa Maîtresse, ses magnifiques cheveux, son corps parfait, ses soupirs interminables, délicieusement langoureux… Tout ça formait un cocktail exquis de sensations jouissives et explosives, régalant Doutzen.

Elle accélérait donc, continuant à la sodomiser, enculant sa Maîtresse en poussant de longs soupirs. C’était tout simplement jouissif, exquis ! Félicia remuait également, mais, comme Aoki était couchée sur elle, c’était surtout Doutzen qui rythmait désormais le trio. Et, évidemment, Félicia filmait toujours de sa main libre, tout en embrassant régulièrement Aoki. La caméra permettait de retranscrire le plaisir évident, vorace, que Doutzen était en train d’avoir, au fur et à mesure qu’elle enculait sa Maîtresse…

Nul doute qu’une fois tout cela terminé, elle aurait quand même droit à sa punition !

[Aoki Kou]

Pour Aoki, qui était au centre des attentions, c'était un véritable petit paradis. Le simple fait de partager un moment intime avec Felicia rendait déjà tout cela follement excitant alors en plus avec sa petite Doutzen, un pur régal. Elle était en plus un peu dominante vu la position de sa Maîtresse, mais bon, Aoki était souvent la dominée avec sa chérie, et de même pour ses amies. Il n'y avait que dans le petit cercle d'Aoki qui la voyait dominante, pas les autres. Elle se fichait bien de son image, même si par la suite Doutzen viendrait tâter le terrain, elle se rendra compte qu'elle n'avait pas perdu de son mordant. Si Aoki décide de se faire dominer, c'est d'accord, sinon, elle montrera de quoi elle était capable.

« Huuuummm haaaaaaaa. »

La queue de son aimée était tellement délicieuse à ressentir en elle. Aoki avait beau la connaître par cœur, elle ne pouvait s'en lasser, jamais. C'était un choix de Felicia que d'avoir cette queue sur son corps, elle voyait là une preuve d'amour, ce qui la touchait beaucoup. Après tout, Aoki avait montré combien elle était épanouie et ravie de coucher avec une Felicia qui avait une vraie queue, et elle avait fait en sorte qu'elle soit toujours aussi ravie. Doutzen, c'était son petit bonus. À l'origine, elle ne voulait pas l’amener dans ce monde, même si Reto lui avait dit de le faire, elle était dans une période amoureuse ou elle n'était pas réellement avec Felicia, qu'un amour secret qu'elle maquillait en simple sex-friend. Mais, convaincue par son amie lors des cours de théâtre, elle a essayé et elle a aimé faire ça avec Doutzen, retrouver ses racines de dominantes ! Et depuis, outre le fait de se rapprocher de Felicia, elle était plus libérée avec elle aussi. Preuve en est ce soir.

Le latex crissait entre elles, le plaisir ne faisait que grimper pour Aoki, sentant Doutzen y mettre un peu plus de sérieux. C'était bien, elle écoutait Felicia, elle faisait plaisir aussi à sa Maîtresse, elle était une bonne esclave, elle ne devra pas oublier de le lui dire, mais il fallait savoir jouer. Et donc aussi la punir pour venir la dominer, même si c'était une chose qu'Aoki adorait ressentir en ce moment.

« Haaaaaan, mmmmh ouiiiiiii.... Remplis-moi la chatte... et dit moi que tu m'aimes ! »

Envoutée, Aoki se perdait dans les yeux de Felicia entre deux baisers, elle était amoureuse de sa belle Américaine, elle l'aimait plus que tout. Mais Doutzen aussi comptait pour elle, surtout à l'avenir, elle allait être plus présente, que ce soit avec elle et sûrement au sein du couple. Elle continuait de donner ses coups de reins, venant aussi la gifler, comme indiquer par la Black Cat. Prise en sandwich par les deux femmes, Aoki se laissait aller au plaisir, venant quand même, ne pas oublier sa petite Doutzen. Elle se redressa un peu, se détachant du corps de sa partenaire, pour sentir la poitrine de Doutzen se presser dans son dos.

« Huuum, ma petite chérie... Si tu veux que je te libère après ça... Ta intérêt à y aller... Très... Très Fort... Han... et après... on te fera ta fête. »

Elle sera libérée de sa petite prison, et elle va jouir comme jamais ! Enfin peut-être pas.... Est-ce que la suite sera mieux que la double pénétration qu'elle a reçu ? Ça reste à voir, mais en tout cas, ça va la soulager. Maintenant, à elle de donner les plus puissants coups de reins de sa vie et de maltraiter ce délicieux cul qu'elle était en train de pénétrer.

[Doutzen Kroes]

C’était Doutzen qui avait fait connaître à Aoki les pilules d’hermaphrodisme, Doutzen qui lui en avait porté. À Jinmu, elle était après tout déléguée de classe, ce qui impliquait d’être au courant des activités du lycée. En réalité, elle avait découvert ces pilules en assistant aux réunions du conseil des élèves, regroupement de tous les délégués de Jinmu. Si les activités du conseil des élèves impliquaient normalement de parler des problèmes de l’école, c’était aussi l’occasion, pour les délégués, de se livrer à des orgies avec d’autres élèves, chacun apportant ses propres soumis. Doutzen avait ainsi découvert ces pilules, et avait, peu à peu, appris à s’y faire. C’était quelque chose d’assez surnaturel, d’assez incroyable. Les pilules roses ne faisaient pas que la doter d’un phallus, elles la rendaient bien plus énergique, bien plus insatiable, plus perverse. En gros, elles augmentaient les performances sexuelles de l’utilisatrice. Elles fonctionnaient aussi chez les hommes, provoquant des effets différents. Mais là, Doutzen avait donc cette queue, et sentait une force nouvelle l’envahir, durcissant son membre, le redressant douloureusement.

Et, au-delà de tout le reste, Maîtresse Hardy l’avait autorisé à… À sodomiser Maîtresse Kou ! Pour Doutzen, c’était un véritable retournement des valeurs, car, habituellement, c’était évidemment Aoki qui la sodomisait, qui s’enfonçait longuement dans son cul, la prenant sur son bureau, se régalant de ses couinements, la giflant et la pinçant au passage. S’en humectant les lèvres, Doutzen se mit en position dans le dos d’Aoki. Elle était alors lovée sur le corps de Félicia, couchée dessus. Les dominant, Doutzen posa ses mains sur les fesses d’Aoki, et frémit en sentant les doigts nacrés de latex de Félicia, qui caressèrent ses doigts. Sa verge glissa contre la croupe d’Aoki, et elle posa sa main sur sa hampe, puis la guida dans sa croupe, et couina en sentant le fondement de la jeune femme.

« Hmmm… »

Doutzen, après avoir observé les deux femmes s’envoyer copieusement en l’air, les rejoignait donc, et sa queue s’enfonça doucement, lentement. Elle soupira à ce contact, sachant que les parois anales d’Aoki allaient naturellement résister. Mais, en réalité, maintenant que Doutzen avait pu voir que sa Maîtresse avait une amante également dominante, elle constata que les parois anales d’Aoki se dilataient vite. Elle en sourit doucement, et, quand Aoki se redressa, et glissa une main dans son dos pour l’attraper, Doutzen se lova contre elle. Elle déplaça ses mains pour s’appuyer sur les seins de sa Maîtresse, et les pinça. Aussi soumise soit-elle, Doutzen s’était déjà retrouvée dans cette position, et donna plusieurs coups de reins, sentant sa queue s’enfoncer dans le fondement de sa Maîtresse.

Rougissant de plaisir et sous l’effort, Doutzen se montrait également bien plus mutine, allant mordiller le creux du cou de sa Maîtresse, sentant contre ses doigts le mélange de chair et de latex. Commençant à prendre ses aises, Doutzen vint donc la narguer :

« Ma… Ma queue s’enfonce si bien dans votre cul, Maîtresse, hmmm… Vous… Vous devez être habituée à ce qu’on vous prenne par là, haaaa… Je vais essayer de vous baiser aussi fort que Maîtresse Hardy doit vous baiser… »

Félicia, qui les observait, sourit malicieusement, et caressa les hanches de celle qu’elle considérait déjà comme sa femme.

« Je… Je crois que ton esclave te nargue, Aoki… Il va falloir que tu la dresses mieux que ça, hmmm… Quand nous aurons fini de baiser ton petit corps de salope, hmmm… »

Il était hors-de-question de s’arrêter maintenant ! Doutzen se mit à remuer plus fort, se serrant contre le corps d’Aoki. Elle ne comptait effectivement rien lui épargner, et la besogna plus férocement, enfonçant sa queue dans son cul, jusqu’à la garde, filant d’avant en arrière, son membre tendu et durci exprimant tout le plaisir qu’elle ressentait, toute l’envie de lui faire l’amour, de s’unir longuement à elle… Sa Maîtresse, son amour !

[Aoki Kou]

Cette soirée torride continuait toujours de plus belle, Aoki était servit ce soir, entre sa belle chatte qui continuait de prendre soin d'elle avec sa grosse queue, continuant de la prendre avec autant de plaisir que de vigueur. Et dans son dos, il y avait sa petite Doutzen en manque qui commençait à lui prendre le queue avec son gode ceinture. Autant dire que c'était Aoki qui était au centre du plaisir. Bien que les deux autres prenaient aussi leur pied, c'était elle qui en prenait le plus. Elle n'allait pas se fatiguer après avoir joui, mais cela la consumait petit à petit. Felicia était bien placée pour savoir que sa petite Japonaise obscène n'allait pas agiter le drapeau blanc si facilement. Les mains de son élève passaient sur sa poitrine, sur son corps, mais il faut bien avouer que Doutzen visait la partie bien moelleuse de sa maîtresse, venant quelque peu la narguer même si elle disait aussi la vérité. Felicia adorait enfoncer sa trique d'enfer dans son cul alors oui, elle était habituée.

« Huuum haaaan... Ne t'inquiète pas, Feli-nyan... Elle sera... notre petite pute... »

Même si pour le moment, c'était elle au milieu de ce délicieux sandwich, gémissant toujours de plus en plus en sentant ses deux-là s'occuper d'elle. Avec difficulté, elle arrivait à arracher un baiser à sa belle Doutzen avant de la relâcher pour venir avoir un nouveau baiser torride avec sa partenaire, l'amour de sa vie. Quelques secondes d'un plaisir assez mordant avec sa belle chatte, avant quand même d'avouer que sa faiblesse était de plus en plus exposée..

« Huuuum.... Allez y... Donnez tout... Faites moi jouir à fond ! »

Les bras tendus sur le lit, elle était autant proche de Felicia que de Doutzen. L'une pouvait l'embrasser ou jouer plus ou moins avec sa poitrine, et la seconde pour se tendre sur elle et bien s'y agripper. Aoki maintenait la position en les sentant donner à leur tour, toutes leur force dans ce dernier assaut. Elle résistait, se retenant en serrant les dents. Cela ne retenait pas ses gémissements, ni sa salive qui coulait doucement le long de ses commissures, mais elle savourait, s'accrochant avant de sentir son entrejambe abandonné, trahit par le plaisir.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !!!!! »

Hurlant son plaisir, elle sentait son entrejambe expulsé dans un geyser sa cyprine, pour arroser sa femme, pendant que les vibrations anales la rendait toute chose. Sans compter le fait que la semence de Felicia l'avait achever. Toute sa brutalité, sa force, son autorité étaient bonnes à jeter. Elle s'écroula sur Felicia, la respiration lourde, se décalant doucement sur le côté pour respirer sur le dos, observant le plafond, son cœur battant si fort. Une petite pause. Après, elle y retournera, mais pour le moment, pouce.

« Haaaaa.... han, mon amour... C'était... Ouah... »

Doutzen aussi avait fait là un très bon travail, qui méritait quand même punition, mais là, elle n'avait même pas la force de lui pincer le cul. Elle tendait sa main vers son visage, un léger sourire sur les lèvres.

« Toi ma cocotte... Je vais te... rendre la pareille... »

Elle allait lui retirer sa ceinture de chasteté et son gode pour lui faire la même chose. Après, anale, vaginale, ça reste à voir si Felicia veut y participer et/ou changer de trou, mais pour le moment, le repos. Bien qu'elle aimait sa petite européenne, elle était amoureuse de sa belle Américaine qu'elle regardait avec douceur en posant sa tête sur son épaule. Peu importe la brutalité, les insultes, les marques, après avoir joui ensemble, c'était toujours cet amour qui les unissait.

[Doutzen Kroes]

Sodomiser sa Maîtresse était suffisamment rare pour que Doutzen y prenne clairement son pied. Oh, que c’était bon ! Aoki était délicieuse, et Doutzen était tout simplement totalement enjouée. Elle accélérait encore, sentant le gode remuer dans les profondeurs du corps d’Aoki. Celle-ci était une amante exceptionnelle. Doutzen n’avait encore jamais vu une femme pareille, et Aoki était bel et bien digne d’être sa Maîtresse. Doutzen couinait longuement, sentant sa Maîtresse se tendre. Elle hurla vigoureusement, tandis que Félicia gémissait également. Ses deux Maîtresses se mirent à jouir alors, Aoki se relâchant dans un hurlement furieux. Doutzen, elle, n’avait pas pu jouir, ayant sa ceinture de chasteté, sans gode implanté en elle, et vit Aoki s’affaler sur le corps de Félicia.

Reprenant ses esprits, Félicia caressa les cheveux en sueur d’Aoki, et sourit doucement, sentant sa femme se lover tendrement contre elle. Aoki avait besoin d’une petite pause, la verge de Félicia toujours plantée en elle. La Chatte Noire caressait doucement le bas de son dos, et Aoki se retourna vers Doutzen. Sa main gantée caressa le visage de Doutzen, et pinça alors ses cheveux pendant quelques secondes, tout en promettant de lui rendre la pareille ensuite. Doutzen rougit légèrement à cette idée, et Félicia embrassa Aoki.

« Ne me dis pas que tu es fatiguée, Aoki… »

Félicia la narguait doucement, et la câlinait encore. Le latex crissait doucement et tendrement entre elles, ce qui était très excitant. Doutzen restait agenouillée à côté, et Félicia lui fit signe de les rejoindre. La jeune femme s’allongea alors à côté d’Aoki, se lovant à son tour contre le corps chaud et voluptueux de Félicia. Le visage de Kou-san lui faisait face, et Doutzen rougissait doucement, avant de sentir la main de Félicia caresser encore ses cheveux, glissant dessus.

Devant cette pause bienvenue, Doutzen se laissa aller à un petit compliment, son visage se frottant tendrement sur le sein de Félicia :

« Vous… Vous êtes vraiment incroyables, ensemble… »

Félicia sourit malicieusement, et caressa encore les cheveux des deux femmes

« Et encore, tu n’as pas idée… Tu es la première élève qui nous rejoint, mais pas la première femme avec qui nous jouons ensemble…
-  Oh ? »

Quoi de mieux pour entretenir la flamme que raconteur leurs anecdotes ? Aoki embrassait Félicia dans le creux du cou.

« Il y a environ quelques mois, je me suis livrée à une formation sexuelle intensive avec Aoki. Je la baisais tous les jours, et elle n’avait aucun moment de répit, car je n’hésitais pas à l’amener à se balader en public avec des sex toys très intenses sous ses vêtements lourds et amples Ses exploits sexuels ont fini par attirer l’attention d’une ancienne camarade de classe d’Aoki, une jeune femme brillante et très intelligente… »

C’était Aiko Iwase, une petite brune très sûre d’elle, qui avait réussi sa vie. Elle était devenue une avocate, et, quand elle avait vu le sort réservé à Aoki, Aiko était venue la voir. Félicia parlait de tout cela avec une voix chaude, empreinte de désir, et attrapa ensuite une télécommande. Un écran plat apparut depuis une trappe au plafond, et elle alluma ce dernier, puis navigua à travers les menus, jusqu’à arriver à un répertoire appelé « Aiko Iwase ».

« Quand j’ai vu ça, j’ai décidé de m’occuper d’Aiko… Aoki est venue la voir à un restaurant… »

Félicia afficha alors plusieurs images. Doutzen put voir sa Maîtresse, les yeux bandés, portant un lourd manteau blanc dissimulant ses formes. Sur une autre image, elle put voir ce qu’il y avait dessous… Et rougit furieusement en voyant une tenue très érotique, moulant les formes d’Aoki à la perfection. C’était le genre de tenue que Félicia lui faisait porter. En la voyant ainsi, Aiko avait failli défaillir, et Félicia avait ensuite endormi la femme à l’aide de chloroforme.

« Nous l’avons rééduqué sexuellement pendant plusieurs semaines, Doutzen… »

Félicia lui montra alors une séquence très spécifique. Doutzen sentit sa mouille venir en voyant la scène.

Agenouillée devant Aiko, Aoki souriait, dominatrice. Elle portait un gros gode qu’Aiko léchait, tout en étant suspendue en l’air, retenue par des liens immobilisant ses bras, maintenue en l’air. Elle portait une tenue de soubrette, et des sangles à hauteur de ses chevilles la retenaient également. Deux vibromasseurs étaient nichés dans son corps, et elle léchait tendrement le gode d’Aoki. La caméra filait lentement, et on pouvait entendre les propos crus d’Aoki, qui la narguaient, et l’humiliaient.

« Nous nous sommes beaucoup amusés avec Aiko…
-  Où… Où est-elle, maintenant ?
-  Elle a repris sa vie normale… Mais elle reste notre esclave. Toi, Doutzen, tu es la première adolescente que nous formons, mais j’aime autant te dire qu’Aoki va vouloir te punir… Et j’espère bien que cette petite anecdote t’a réveillé, Aoki. Ta chienne est encore trop rebelle pour que tu te permettes de dormir… »

Doutzen regarda encore l’image, et rougit encore, certaine qu’Aoki allait déployer sur elle son plein potentiel. Et l’idée d’être la victime sexuelle de ces deux femmes pendant plusieurs semaines, comme cette Aiko l’avait été, déclenchait en elle une soif d’excitation profonde. Indéniablement, elle ressentait à l’encontre de cette Aiko une certaine forme de jalousie !

[Aoki Kou]

Aussi douée et endurante soit-elle, Aoki restait humaine donc après une telle séance de bonheur avec sa Felicia, et en plus Doutzen qui venait de la sodomiser, elle avait besoin de souffler une minute. Surtout que ce n'était pas le premier orgasme de la soirée donc elle pouvait bien souffler un peu. Même d'habitude, à deux, il y avait toujours une petite pause tôt ou tard alors forcément là, elle avait une charge de travail en plus avec Doutzen. Couchée contre son corps, elle pourrait bien s'y endormir. Elle était bien installée, elle venait de jouir, pour peu, elle le ferait. Ça lui était arrivée plus d'une fois de se dire que c'était juste une pause pour s’endormir avec sa Felicia. Mais pas cette fois, elles avaient une invitée quand même. Sa voleuse venait d'ailleurs expliquer leur petite aventure avec Aiko, une de ses anciennes amies. Enfin, amie et rivale à la fois, car toutes les deux cherchaient à obtenir les meilleures notes possibles, comme bien des étudiants de Todai, mais étant ensemble à de nombreux cours en commun, forcément, elles se mesuraient.

Mais ses petites visites ici ont fini par en faire une autre femme. Toutes les deux avaient fait d'elle leur véritable petite chienne. Bien des choses se sont passé avec elle, ce que Doutzen vivait ce soir, ce n'était que la partie visible de l'iceberg. Même sa chère et tendre voleuse venait à la secouer légèrement pour reprendre la suite avec Doutzen. Elle tournait son visage vers elle, caressant du dos de sa main la joue de sa petite européenne.

« Oh ma petite Doutz-chan... Quoi qu'il puisse t’arriver dans l'avenir... jamais tu n'oublieras cette soirée. »

Elles avaient déjà laissé une belle marque dans sa mémoire, mais ce n'était pas fini. Sa main glissa doucement le long de son corps, lentement avant de se poser sur sa fausse queue. Elle le lui retira doucement, avant de l'apporter à sa bouche, enfonçant doucement son faux gland dans sa bouche.

« Suce ça en attendant... »

Sans en dire plus, Aoki remit sa main entre ses jambes, venant retirer aussi sa ceinture, mais attention, elle ne comptait pas lui donner ce plaisir de si tôt. Nul doute que sentir sa ceinture se retirer va lui offrir déjà un frisson de plaisir ! Doucement, elle se retirait de sa femme, venant plus se concentrer sur elle, retirant le gode pour le laisser traîner plus loin. Étirant son sourire, cela n'aurait rien de bon. Du sexe, certes, mais à la sauce Aoki, ce qui voulait dire, pour elle avant celui de sa partenaire. Et Doutzen allait voir un de ses petits... pas un péché mignon mais ça n'en était pas loin. Elle l'avait déjà pratiqué avec Felicia, sur elle comme pour elle. Même avec Aiko, ce fut d'ailleurs un très bon outil pour son dressage alors puisque cela avait bien fonctionné, autant voir si fonctionnerait pour elle aussi ? Doutzen était installée près de sa voleuse, pendant qu'elle la chevauchait. Que comptait-elle faire ? Elle laissait son esprit travaillé pour elle.

« Chérie, tu t'occupes d'elle pendant que je teste ma méthode fétiche. »

Felicia savait sûrement de quoi Aoki parlait. Elle sera là pour la rassurer si besoin, mais en attendant, elle la libérait, venant se placer entre ses jambes. Que comptait-elle faire ? La doigter ? La lécher ? Utiliser le gode ? Non. Aoki avait un petit penchant pour une certaine pratique. Elle ne l'utilisait pas souvent avec Felicia, mais une fois de temps en temps, ouah, quel plaisir. Elle y enfonça un doigt, faisant un aller-retour, doucement, avant d'y ajouter un second doigt pour en faire de même. Aoki fit en sorte de placer sa main comme une pointe et doucement, elle enfonçait sa main en elle. Le fisting. Cela lui plaisait à petite dose, elle en avait abusé avant de connaître Felicia et à force... c'était plus pénible que délicieux donc forcément, elle avait abandonné pour ne l'utiliser qu'une seule fois. Aoki plaçait quand même sa bouche sur son clitoris, le baisant doucement pour la rassurer. Elle y allait doucement, sans être trop rapide, ça pourrait être douloureux.

« Mmmh... je vais te faire jouir, ma belle... comme jamais... Ma délicieuse petite chienne... »

Ses quatre doigts étaient en elle, c'était le moins pénible, et ensuite arrivait sa main, ce sera le plus long, le plus douloureux aussi, mais aussi ce qui garantissait le plus de plaisir.

[Doutzen Kroes]

Elles y étaient donc. Aoki et Félicia venaient de partager avec Doutzen un autre de leurs secrets, et pas des moindres. Elles lui avaient parlé d’Aiko, et le peu que Doutzen en avait vu et entendu parler lui avait évidemment mis l’eau à la bouche. Mais le meilleur était encore à venir. Doutzen avait sodomisé Aoki, elle l’avait enculé avec force, avec le poids de sa propre frustration. Même si Aoki avait été consentante, il était temps de rappeler à la petite esclave sa place, il était temps d’humilier Doutzen, de la punir sèchement et durement. Doutzen n’en méritait pas davantage, et Aoki était résolue à le faire. En parlant d’Aiko, Félicia avait visiblement réveillé l’appétit de son amante, la stimulant, la motivant pour qu’elle vienne baiser Doutzen plus énergiquement.

Aoki se déplaça donc, et commença par libérer Doutzen de sa ceinture de chasteté. Celle-ci soupira doucement, mais n’eut guère l’occasion de dire quoi que ce soit, car Aoki lui enfonça son vibromasseur dans la bouche.

« Hmmm… »

Preuve que les deux femmes se complétaient bien, Félicia se redressa à ce moment, et attrapa une sorte de serre-tête, qu’elle fixa au gode, puis le glissa derrière la nuque de Doutzen afin de le nouer proprement.

« Hmmm-hmmm…
-  Shhtt, ma beauté, laisse-toi faire, là… »

Ton doucereux, cajoleur, pour une réalité brute et humiliante. Soupirant lourdement, Doutzen couina encore quand le gode se mit à vibrer, claquant et ronronnant contre ses dents, sa langue, tout en s’enfonçant dans sa bouche. Elle en était contrainte à respirer par le nez, et Félicia s’amusa à poser son pouce sur cette verge. Aoki l’avait placé sur sa bouche, et une partie en ressortait, que Félicia s’amusait à enfoncer régulièrement, se délectant des couinements de réflexe de Doutzen, bien incapable de lutter contre ça, contre une telle débauche. Aoki et Félicia étaient bien décidées à la pousser dans ses derniers retranchements, comme si Doutzen n’avait pas encore assez souffert.

Aoki la mit donc à quatre pattes, Félicia devant Doutzen. Doutzen sentit alors les doigts de sa Maîtresse caresser son corps. Elle donna quelques coups de langue sur sa chatte trempée, et Doutzen gémit à nouveau, avant de sentir un doigt dans son corps. Le premier la laissa assez indifférente, après tout ce qu’elle avait déjà subi, tout comme le second. Puis elle commença à couiner à partir du troisième, et secoua la tête quand le quatrième s’enfonça en elle.

L’une des mains de Félicia attrapa alors son visage, et elle la fourra entre ses cuisses, le nez de Doutzen tapant contre le bas-ventre de Félicia, le gode niché dans sa bouche se fourrant entre ses cuisses.

« Aoki te fait sa spéciale, ma chérie ! Un bon petit fisting, hmm… Estime-toi… Honorée ! »

Incapable de parler, ou même de protester, Doutzen ne pouvait que subir. Elle déglutissait sur place, sentant la douleur revenir avec fureur, tant ses parois anales peinaient à se dilater. Aoki faisait tournoyer ses doigts nacrés de latex, les remuant dans cet espace intime et chaud. Mais elle n’avait pas encore glissé son pouce, se contentant pour l’heure de faciliter l’accès de sa main. Tremblant furieusement, Doutzen gémit encore.

C’était douloureux, bien sûr, mais cette douleur avait aussi quelque chose d’exquise et de jouissive !

[Aoki Kou]

Aoki avait fait une petite pause après avoir pris tant son pied avec elles, mais après ça, il fallait continuer de dresser Doutzen. Felicia va s'occuper du haut en calmant son élève, pendant qu'elle, elle s'occupera du bas avec un programme spéciale. Aiko avait elle aussi eut droit à ça donc, chacune son tour. Doucement, elle entamait la pénétration de sa main. D'abord doucement avec un doigt, puis deux, trois puis enfin quatre. Cela n'était que la véritable première étape. Elle repliait son pouce à l'intérieur de sa main pour que ce soit plus pratique à la pénétrer, mais elle ne fera pas ça d'un coup. Ce serait désagréable si c'était le cas.

« Tu mouilles tellement que je n'ai pas besoin de lubrifiant avec toi. »

Le liquide coulait le long de ses gants, pendant que doucement, elle s'amusait à faire tourner sa main de gauche à droite, comme pour creuser quand elle s'enfonçait doucement. Ça ne progressait que de quelques centimètres en quelques minutes. Aoki ignorait si Doutzen y avait déjà eu droit par le passé alors elle préférait faire ça doucement. De temps à autre, elle déposait un petit baiser sur son clitoris, la rassurer était importante.

« Tu vas tellement jouir, ma belle... Vivement que tu m'arroses le visage. »

Petit à petit, sa main s'enfonçait entre ses jambes, la moitié de sa main était déjà en elle, le plus dur était fait. Restait encore la seconde moitié. Toujours en douceur, elle progressait pour enfin finir au bout. Sa main était complétement en elle. Aoki s'amusait à la remuer en elle, ouvrant doucement sa main pour faire naître le plaisir au milieu de tout cela.

« Hum, maintenant que c'est fait... Je vais te montrer combien tu vas jouir, ma salope. »

Aoki se pencha plus sur elle, embrassant son ventre, pendant que son bras faisait des vas et viens, retirant un peu sa main pour l'enfoncer à nouveau. Jamais plus loin que son poignet. Sa main était peut-être un peu moins grande que la queue de Felicia, mais elle était plus grosse !

« Regarde-là, chérie... elle couine comme une petite pute ! Vas-y, aide-moi à la faire hurler de plaisir !!! »

Elle ne pouvait pas vraiment aller à son visage pour lui embrasser, à peine sa poitrine donc elle embrassait son ventre, le léchant aussi parfois, elle entendait ce petit bruit aqueux de sa mouille qui glissait contre son gant, ça l'excitait tellement ! La dresser sera tellement jouissif ! Mais évidemment, aussi docile soit-elle, ça ne se fera pas en une nuit, heureusement, elles pourront en profiter pendant tellement de temps.

« Tu n'as pas idée ma jolie... de tout ce qui t'attend dans cette chambre. »

Tellement de choses, ce soir et les prochaines fois aussi Doutzen avait mis un pied dans un redoutable piège, mais un piège aussi douloureux que plaisant et tout cela n'était que le début surtout.

[Doutzen Kroes]

Doutzen se retrouva couchée sur le dos, sa tête posée sur le ventre de Hardy-sama, et elle voyait devant elle sa Maîtresse. La belle Aoki souriait lentement. Son corps en sueur se mariait à la perfection à sa combinaison en latex, et elle enfonçait sa main dans sa chatte. La douleur était intense, terrible, et Doutzen poussa un nouveau cri, sa tête basculant en arrière. Elle heurta le ventre de Félicia, et sentit les mains gantées de Félicia caresser ses joues et son menton, avant de la forcer à regarder de nouveau sa Maîtresses. Les yeux embués de larmes, Doutzen se tortillait sur place, et Aoki jouait encore. Elle réussit à glisser sa main, et s’amusa à écarter ses doigts, puis à les replier, un sourire malsain sur les lèvres. Les joues rouges, Doutzen se tortillait, n’arrivant même plus à parler, ce qui amena Aoki à demander à sa concubine de venir l’aider.

Félicia se déplaça alors lentement, et s’écarta de Doutzen, venant s’asseoir à côté d’elle, sur les genoux. Sa main caressa la nuque d’Aoki, et elle alla l’embrasser, offrant à Doutzen une magnifique vue. Les lèvres de la jeune femme tremblaient nerveusement, tandis que le plaisir et la douleur étaient devenus indissociables en elle. Aoki continuait à la torturer, promettant à Doutzen une longue nuit de souffrance et de plaisir. Doutzen en mouillait encore, sentant le plaisir croître en elle, manquant la mener à l’orgasme.

« Je vais l’aider un peu, ma chérie… »

Initialement, Félicia aurait été tentée de s’asseoir sur la tête de Doutzen, mais cela aurait revenu à la priver de la vue de sa Maîtresse. Elle se pencha donc à hauteur de ses seins, et vint les suçoter. Les seins de Doutzen étaient lourds et tendus, couverts de sueur, témoignant de tout le plaisir qu’elle ressentait.

« Hmmmmm… Haaaaaa… »

Peinant à se retenir, ou même juste à rester calme, Doutzen divaguait, errant dans un état second, un état de pur plaisir, un état où elle ne ressentait rien d’autre. Elle gémit quand même quand Félicia mordilla son téton, la main gantée de Félicia s’attaquant à son sein libre, tirant sur le téton. Elle caressait son ventre, se rapprochant de la main d’Aoki, mais évidemment sans l’interrompre. La Chatte Noire jouait ainsi avec elle, poussant Doutzen dans ses derniers retranchements.

Et, évidemment, au bout de plusieurs minutes de ce traitement lourd et intensif, le corps de Doutzen se rompit. Dans un long soupir, la jeune femme se mit à jouir copieusement, arrosant la main gantée d’Aoki.

Oh, oh, que c’était bon !!

[Aoki Kou]

S'occuper de Doutzen était un vrai plaisir, mais si son entraînement devait commencer à passer à l'étape au-dessus, Aoki devait donc en faire de même. Que Doutzen se rassure, elle n'allait pas se faire fister à chaque fois qu'elle croisera sa maîtresse, mais ça se fera de temps à autre. La main enfoncée entre ses jambes, elle ne perdait pas jolie poupée des yeux, laissant sa main remuer faiblement en elle, tout doucement, sans se presser. Rien ne sert de courir. Doucement, sa main se tourna dans un sens puis dans l'autre avant de s'ouvrir doucement pour se refermer. Chaque couinement, chaque gémissement, voilà comme Aoki était récompenser et guider pour savoir si elle faisait ou non, bien son travail.

« Voilà, respire doucement, Doutz-chan... Prends ton temps... »

La rassurer était aussi une étape importante. Sa chérie venait donc lui donner un petit coup de main, ajoutant une couche de plaisir à son calvaire, faisant aussi son travail pour la rassurer. Ce soir, Aoki irait doucement sur ce sujet, elle pouvait être plus violente, plus rapide, mais elle verrait cela une prochaine fois, il ne faut pas brûler les étapes dans ce genre de choses. Sa belle Black Cat s'occupait de sa poitrine, léchant et mordillant ses tétons, la faisant toujours un peu plus couiner sous le regard d'Aoki. S'occupant tendrement d'elle, sa main plongé entre ses jambes, se promettant que quand elle sera assez habitué à ça, elle passera aussi à son trou arrière, mais une fois de plus, rien ne sert d'aller trop vite.

« Huuuum, j'adore te voir te tortiller comme ça, ma poupée... »

Petit à petit, le chemin jusqu'à l'orgasme se dessina et elle arrosa la main d'AOki, enfin plutôt son avant-bras qui avait échappé à cela jusqu'ici. Délicatement, elle se retira d'elle, laissant ses parois vaginale reprendre peu à peu leur forme d'origine même si pour le coup, elles étaient quelque peu dilater pendant quelques minutes. Tendant sa main entre elle et sa délicieuse chatte noire, elle commençait à lécher sa main, invitant Felicia à en faire de même. La mouille sur son gant de latex était tout frais. Partageant cette récompense, elle vint s'allonger près de Doutzen, lui caressant doucement le visage en se pressant à moitié sur son corps.

« Tu as bien travaillé, Doutz-chan... C'était très bien... Tu veux une petite récompense ? Vas-y, demande. »

Il n'y avait pas de piège, elle voulait la récompenser, un baiser, des caresses, lui donner le sein, une glace au chocolat, elle se doutait bien qu'après avoir été fister jusqu'à l'orgasme, elle ne pouvait pas lui demander grand-chose donc autant lui montrer que sa maîtresse était aussi très gentille quand on travail bien. Même si Doutzen était déjà au courant, c'était toujours bon de le rappeler. Elle avait le droit de souffler un peu après tout, c'était bien beau de se dire endurante et entrainer, mais il ne fallait pas trop se montrer gourmande. Attendant sa réponse, elle embrassait sa joue, continuant de caresser surtout son visage, sa Felicia de l'autre côté, leur poupée était très bien entourée ce soir et ce sera le cas jusqu'au petit matin. Et même les prochaines fois évidemment.

[Doutzen Kroes]

Doutzen était dans un état de rare fébrilité. Reto l’avait initié au sexe, au sexe hardcore, et cette formation avait été joyeusement complétée dans les clubs sexuels du lycée Jinmu. Et, avec Kou-sama, Doutzen goûtait encore à de nouvelles extrémités. Aoki semblait bien décidée à pousser la jeune femme dans ses ultimes retranchements, et c’était typiquement ce qui se passait en ce moment. Ce fisting intensif était incroyablement douloureux, et Doutzen savait bien qu’elle avait pleuré. Des larmes de souffrance et d’épuisement, mais pas de rejet, car elle voulait être à la hauteur pour ses Maîtresses. Doutzen couinait donc, peinant à émettre le moindre son, tant cette vague la submergeait. Mais elle mouillait clairement sur la main gantée d’Aoki, qui tortillait lentement ses doigts en elle.

« Haaaaa… !! »

L’orgasme fut pour le coup une véritable libération. Les mains de Doutzen se crispaient sur le lit, et, quand elle se mit à jouir, tout son corps se relâcha. Sa Maîtresse retira sa main de sa chatte, et titilla ses lèvres avec ses doigts trempés. Épuisée, Doutzen entrouvrit les lèvres, venant les lécher, tout en respirant lourdement.

« Maî-Maîtresse… »

Doutzen papillonna des yeux, et vit Aoki s’allonger contre elle. Après cet épisode très intense, elle se montrait bien plus douce, et l’embrassa dans le creux du cou, frottant son corps contre elle. Doutzen gémit encore en sentant le latex remuer sur sa peau nue et en sueur. Elle soupira donc, surtout quand Aoki l’invita à faire ce qu’elle voulait, lui offrant un cadeau, un cadeau pour son orgasme. Doutzen s’en pinça les lèvres, et, tandis qu’Aoki l’embrassait encore dans le creux du cou, Félicia alla l’embrasser sur les lèvres. Les jambes d’Aoki remuèrent doucement, tandis que les deux femmes s’allongeaient contre elles, écrasant son corps contre le leur.

Certes, ces deux femmes venaient de l’épuiser, mais, ce soir, Doutzen avait repoussé toutes ses limites. Elle ignorait comment les choses allaient se dérouler demain, mais, ce dont elle était sûre, c’est qu’elle n’avait pas envie que cela se termine ainsi. Doutzen voulait encore profiter de ces deux belles femmes, et, quand elle retrouva l’usage de ses lèvres, elle les observa encore. Que faire ? Que choisir ? Elle avait effectivement besoin de repos, mais elle ne voulait pas dormir.

« Je crois qu’elle est encore sous le choc, Aoki… »

Doutzen les regarda encore, et remonta ses mains, venant les caresser doucement.

« Je… Je sais qu’il existe des pilules pour… Pour remplir les… Pour remplir les silos graisseux et les alvéoles mammaires, et, et… »

Félicia sourit doucement, et compléta la phrase de Doutzen :

« Elle veut téter tes seins, Aoki. »

Celle-ci acquiesça alors, en rougissant furieusement. Félicia se redressa alors.

« J’ai ça en stock, je vais aller la chercher… »

Pendant ce temps, Doutzen attrapa la main d’Aoki, et é entreprit de la lécher. Même en lui laissant carte libre, Doutzen restait très soumise, ce qui se ressentait aussi dans ses choix.

« Laissez-moi nettoyer vos doigts, les suçoter, Maîtresse… »

Doutzen était encore toute chaude, et l’idée de pouvoir boire le lait maternel d’Aoki n’était clairement pas sans lui déplaire… Comme une sorte de fantasme qu’elle souhaiterait pouvoir réaliser à plusieurs reprises. Il n’y aurait qu’à légèrement écarter le sein de sa Maîtresse, puis à sucer son téton, et Doutzen retrouverait ainsi ses forces !

[Aoki Kou]

Après avoir subi une telle chose, surtout une première fois, il était normal pour Aoki de la récompenser en douceur, Doutzen n'avait rien fait de mal si ce n'est accepté de devenir la chose d'Aoki et de Felicia, pour la soirée. Venant coller son corps contre le sien, elle baisait son cou, ses lèvres en lui donnant autant d'amour et de tendresse qu'elle le désire, venant en plus avoir Felicia pour en rajouter une couche. Si là, elle n'était pas bien entourée, qu'est-ce qui lui faut de plus ? Sans la brusquer, elle lui laissait le temps de se reprendre et donc, de choisir ce que bon lui semble. Elle était aussi prête à s'arrêter et à juste dormir toutes les trois ensemble, si jamais Aoki avait poussé le bouchon trop loin, mais après un peu de repos, la petite européenne venait à délier la langue, entamant une route longue et pompeuse. Pourquoi un tel détour ? Elle n'était pas sur les planches.

« Dit-le simplement si tu veux me téter, je ne te mangerais pas pour si peu. »

Pourquoi autant se compliquer la vie ? Aoki lui baisa le front, toujours en se frottant doucement contre elle, pendant que Doutzen venait lui prendre doucement la main pour commencer à lécher son gant couvert de sa propre cyprine.

« Ne te force pas, Doutz-chan. Tu as bien travaillé, tu mérites un peu de repos. »

Presque comme une mère, Aoki venait lui caresser la tête, décalant sa frange pour venir y déposer un baiser sur son front, laissant tout le temps à d'aller chercher ce qu'il faut. L'ambiance était très douce et apaisante dans la chambre, Morphée aurait presque pu passer venir enlacer Doutzen, mais sa délicieuse compagne arriva et Aoki avala la pilule qui allait faire en sorte que sa poitrine soit gorgée de lait. Il fallait une bonne minute pour que cela fasse enfin effet. Elle sentait sa poitrine se serrer un peu plus dans son bustier, les mamelons plus fragiles. Elle venait à détacher son haut, libérant sa poitrine, elle s’allongeait contre Doutzen, de façon à avoir son visage dans sa poitrine, lui laissant le choix du sein, venant enlacer sa tête, la caressant avec douceur. Si jamais cela lui suffisait à la faire dormir, elle n'irait pas la déranger, elle s'était bien défendu ce soir, mais si elle en voulait plus, alors soit.

« Mmmmh... prend tout ton temps, Doutz-chan... »

Sentant un soulagement au niveau de son sein, elle levait les yeux vers Felicia, un regard plein d'amour et de tendresse. Imaginait-elle ensuite la Black Cat s'occuper de son autre sein ? De ce qui arrivera à Doutzen ou une chose plus douce, comme le fait de donner le sein à un bébé ? Une idée qui avait toujours séduit Aoki, mais elle savait la situation compliquée pour Felicia qui avait déjà deux enfants ailleurs, elle ne voulait pas remuer le couteau dans la plaie ou autre, elle respectait son choix et ne venait en rien tenter de le lui imposer. Après tout, dans un certain sens, Doutzen était leur petite fille, ce soir. 

« Bois autant que tu le veux, ma petite chérie... »

Aoki n'avait rien d'une maîtresse en ce moment, même avec son costume en latex, elle n'était qu'une femme, une femme avec une belle fibre maternelle pour l'occasion, de quoi lui donner un certain plaisir quelle ne trouvait pas avec sa chérie. Oui, aussi amoureuse soit-elle de sa belle Américaine, Felicia ne pouvait pas jouer le rôle du gentil petit chaton, c'était Aoki qui était encore et toujours sa chose, personne d'autre. 

[Doutzen Kroes]

La proposition de Doutzen était très intime, confinant presque à Aoki un rôle maternel. Mais Aoki savait aussi le passé confus de Doutzen. Ses propres parents l’avaient vendu à la Mafia russe pour épancher leurs dettes, et Doutzen avait fini entre les mains de Reto. Mais, si Reto avait fini par acquérir une figure paternelle, Doutzen, elle, n’avait jamais eu de substitut maternel, si ce n’est des gouvernantes et les concubines de Reto. En tremblant ainsi sur l’idée de téter Aoki, Doutzen ne faisait que confirmer intuitivement la manière dont elle percevait Aoki : comme une mère de substitution. Elle rougissait donc, et suçota avec appétit les doigts d’Aoki. Le fisting anal l’avait épuisé, et elle papillonnait des yeux. Certes, elle aurait pu s’endormir ici, mais… Dans un coin de sa tête, Doutzen voulait aussi que cela dure le plus longtemps possible. Elle ne voulait pas mettre fin précipitamment à cette nuit magnifique avec ses Maîtresses.

Pendant plusieurs minutes, elle suçota donc, presque comme un bébé se nourrissant au biberon. Ses lèvres s’imprégnaient de ces doigts en latex, elle les mordillait doucement, comme pour s’amuser, et, évidemment, les léchait régulièrement. Elle avait pris goût au latex en compagnie de Reto, de ses concubines, des prostituées de luxe l’habillant avec des tenues sensuelles, comme du cuir, ou du latex. Doutzen avait ainsi grandi, évolué, et, face à Aoki, en ce moment, elle la regardait avec des yeux rêveurs, attendris.

« Hmmm… »

Félicia finit par revenir, amenant avec elle un nouveau « bonbon » venant de Tekworld. Aoki l’avala donc, tout en libérant la bouche de Doutzen. Celle-ci se redressa doucement, s’asseyant sur ses genoux, sentant son cul l’élancer encore un peu. Loin de la frustrer, cette douleur était au contraire très agréable, comme une sorte de signature, de marque témoignant de ce qu’Aoki lui avait fait subir. Elle la vit donc avaler la pilule, et, rapidement, ses seins se gonflèrent un peu, réaction normale au fait de sentir ses mamelons se remplir de lait.

Aoki lui fit alors signe de venir, et Doutzen se rapprocha. Sa main délogea le téton de son corset, et elle se pinça les lèvres.

« O-Oui, Maman… »

Avait-elle réalisé qu’elle ne l’avait pas appelé ‘‘Maîtresse’’, mais avait utilisé un terme bien différent ? Doutzen ne poursuivit guère, car sa bouche se posa sur le téton d’Aoki, et elle se mit à le téter, sentant rapidement le lait affluer dans sa gorge.

« Hmmm-hmmm… »

Le lait ne tarda pas à se diluer dans sa bouche, et elle ferma les yeux, frissonnant à ce contact. C’était… C’était très bon. Son corps se pressait chaudement contre le sien, frémissant encore. Félicia les filma encore toutes les deux, avant de sourire doucement, puis reposa ensuite l’objectif. Sa main caressa les cheveux d’Aoki, et elle alla l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes, se collant au sien. Son autre main caressa les cheveux de Doutzen, qui rompit le contact, et s’attaqua à l’autre sein, le tétant à son tour, pompant goulûment le lait qui s’y trouvait.

Gourmande, Doutzen l’était, d’autant que les glandes d’Aoki continuaient à se remplir de nouveau. C’était très bon, et Doutzen ferma les yeux, avalant encore, sentant aussi tout son corps frissonner à ce contact.

« Ce n’est pas un lait naturel, Doutz-chan, c’est un aphrodisiaque, dont l’efficacité varie en fonction de la perversion de la femme qui le produit. Autant te dire que, avec Aoki, c’est un lait très intense… »

Doutzen ferma les yeux, soupirant encore, tandis que Félicia alla de nouveau embrasser la jeune femme. Doutzen aurait pu boire ce bon lait pendant des heures, tant il était revigorant. Elle finit toutefois par se redresser, et embrassa Aoki sur les lèvres, la bouche pleine de lait, et le partagea avec la femme. Toute cette scène, tout ça… C’était tout simplement surréaliste, et Doutzen avait le sentiment de vivre un long rêve éveillé.

« Hmmm… Maîtresse, je… Je suis tellement heureuse avec vous, oh, Maîtresse… »

[Aoki Kou]

Elle en prenait soin de sa petite Doutzen, elle l'aimait bien son élève. C'était pour elle qu'Aoki avait de nouveau pris goût à ses élèves. Depuis sa rencontre avec Felicia, elle avait au début mis un frein à ses relations extraconjugales. Non pas que la Black Cat voulait l'exclusivité d'Aoki, mais au début, la Japonaise avait beaucoup d'idée et de peur de perdre la femme dont elle était tombée amoureuse, elle avait voulu bien se comporter. Mais autant dire que c'était inutile, Felicia aimait jouer avec d'autres proies et savoir qu'Aoki en faisait autant l'excitait bien. Autant dire que dans un sens, Doutzen avait eut de la chance d'ouvrir une nouvelle page, c'était la première élève qu'elle rapportait ici, partager entre deux maîtresses. Elle faisait preuve d'une très grande douceur avec elle, venant de vivre son premier fisting, elle ne pouvait que se montrer douce pour tenter d'équilibrer la balance.

« Oh, ma petite chérie... »

Venant préparer le terrain une fois Felicia de retour avec sa pilule, elle délogeait son sein pour lui permettre de venir boire à la source. Le fait d'entendre « Maman » l'avait surprise, mais elle ne disait rien. Avait-elle dit ça sans le remarquer ou pour jouer ? Aoki était dans le doute... donc elle ne disait rien pour le moment, elle laissait juste Doutzen boire pour libérer sa poitrine de ce poids qui arrivait un peu trop vite. Doucement, elle caressait ses cheveux en la laissait faire, elle aurait presque cherché une berceuse à lui chanter, mais comme ce lait était aphrodisiaque, elle savait que ça ne lui donnerait pas envie de dormir. Felicia venait vers elle, l'embrassant doucement et un bref instant, elle en oubliait l'âge de Doutzen... Si un jour, la vie fait d'Aoki une maman, est-ce que ça pourrait se passer comme ça ? Aoki qui donnait le sein, Felicia qui viens rejoindre la scène avec un petit baiser. Ce serait beau.

Quand Doutzen se redressait pour partager un peu de ce lait avec Aoki, elle le buvait, naturellement, mais quand elle venait ouvrir la bouche, Aoki lui souriait tendrement.

« Non ma chérie... pour le reste de ta soirée, je ne suis plus ta maîtresse... Je suis ta Maman. »

Elle aurait bien mis Felicia dans le lot, mais le terme des enfants mettait toujours Aoki en doute, devait-elle en parler ou non, de peur qu'elle ne pense à ses enfants rester avec leur père ? Donc si Felicia voulait aussi rejoindre, elle pouvait le dire, mais Aoki n'irait pas risquer de décider pour elle. 

« Tu vas continuer de me téter, jusqu'à ce que je sois à court ou bien que ton petit ventre soit plein, et tu ne t'arrêteras pas avant. Cela dit, si ça te démange entre les jambes, dis le nous, on iras t'aider, ma chérie. »

Sans oublier qu'elle venait de se faire fister donc la douceur était toujours en priorité pour elles, prendre soin de leur petite Doutzen. Après ça, elle la laissait reprendre son activité en caressant ses cheveux. Quelle chance elles avaient d'avoir une telle fille pour elles. Levant son regard vers sa partenaire, elle lui souriait de façon moins tendre, du moins, plus aguichante.

« Toi aussi, tu veux venir me téter ? Si j'en ai assez pour ma petite chérie, j'en aurais aussi pour ma chérie. »

Les avoir agrippée à ses seins, hum, ça ne lui déplaisait pas comme image. 

[Doutzen Kroes]

Après tout ce que Doutzen avait subi, un peu de douceur ne serait pas de trop. Elle était toutefois encore très excitée, et luttait contre le sommeil. L’adrénaline battait encore dans ses veines pour l’empêcher de trouver le sommeil, alors même qu’elle aurait pu dormir à trois ou quatre occasions. Cette nuit était sans fin, et c’était typiquement ce que Doutzen voulait : ne jamais la terminer. Elle s’était intimement rapprochée d’Aoki, elle avait vu son couple fusionnel avec Hardy-san, et elle avait envie de continuer à la vivre, de continuer à s’amuser avec elles… De s’amuser sexuellement, bien entendu. Rien de tout cela n’était moralement acceptable, mais c’était comme ça. Et, quand Aoki indiqua à Doutzen de ne pas l’appeler ‘‘Maîtresse’’, mais ‘‘Maman’’, Doutzen rougit furieusement.

« Oui… Oui, ma Maman… »

Ses propres parents biologiques l’avaient abandonné au profit de la Mafia, comme dans une variante moderne de ces contes médiévaux où les parents vendaient leurs enfants pour quelques bouchées de pain. Et, à travers Aoki, Doutzen recherchait clairement, inconsciemment, une figure maternelle. Et Aoki incarnait cette figure. Doutzen se rapprocha donc, et, écoutant soigneusement ses instructions, alla téter. Elle posa sa tête contre son sein droit, mit ses lèvres sur son téton, et mordilla doucement, avant de sucer. Le bon lait ne tarda pas à venir, s’accompagnant des légers soupirs d’Aoki. La scène était incroyablement excitante, empreinte de douceur, de tendresse, de sensualité, de sexualité, et sans aucun doute d’une forme d’amour.

Doutzen soupira doucement quand la main gantée de Félicia caressa ses cheveux, et qu’elle se rapprocha de l’autre sein d’Aoki.

« Et si Maman Aoki laissait à Maman Félicia l’occasion de s’assurer elle aussi que son lait soit bon pour leur Doutzen chérie ? »

Félicia adhérait sans hésitation au petit jeu de sa chérie, et alla pomper son sein. Depuis leur séjour à Novac, les deux femmes s’étaient fortement rapprochées, à tel point que Félicia envisageait de plus en plus une relation allant au-delà du fait d’être de simples sex friends. Mais, pour l’heure, les deux femmes comptaient bien s’occuper des mamelons d’Aoki. Doutzen gémissait doucement, yeux clos, et recommença à mouiller, en sentant les mains d’Aoki et de Félicia venir caresser son corps, palpant doucement ses formes. La main malicieuse de Félicia fila même sur ses fesses, en serrant l’une d’elles. Doutzen en mordilla involontairement le sein d’Aoki, et continua son office.

Sa propre main caressait le corps d’Aoki, et, soucieuse de contre-attaquer, elle glissa sa propre main entre les cuisses d’Aoki, venant titiller sa peau à cet emplacement. Elle cherchait à la masturber également, et sentit également les doigts de Félicia, titillant aussi Aoki à cette position. Loin de refréner Doutzen, celle-ci joua donc avec les doigts de Félicia, chacune des deux femmes semblant bien décidée à faire jouir « Maman » Aoki aussi…

[Aoki Kou]

Assise dans le lit, Aoki devait prendre soin de sa petite Doutzen, puisque cette dernière l'avait accidentellement – ou pas – appelé Maman, alors elle sera sa maman. Peut-être un lapsus révélateur, mais ça faisait un bon jeu pour Aoki alors autant continuer sur cette lancée. Sa petite esclave venant téter doucement son sein, même si parfois, elle pouvait sentir dessus ses dents, elle savait que c'était accidentelle. Qu'importe que son lait soit aphrodisiaque, elle n'était pas encore assez prête pour une nouvelle chevauchée ensemble, elle était sûrement encore assez fatiguée sous la ceinture. Elle y aura droit à nouveau ce soir, mais pas si rapidement, même Aoki ne serait pas prête à reprendre de suite après ce qu'elle a subit alors elle... Qu'importe en tous cas, pour le moment elle continuait de lui tenir la tête, caressant ses cheveux avant que Felicia ne vienne elle aussi participer à ce petit jeu en se plaçant de l'autre côté.

« J'en ai assez pour notre petite chérie, j'en ai forcément assez aussi pour ma vraie chérie. »

Déplaçant ses bras pour qu'elle vienne s'y installer, ça rendait déjà Aoki un peu plus excitée. Si Doutzen serait reste seule, Aoki aurait privilégier la douceur et la tendresse, mais l'amour de sa vie était là aussi, ça lui redonnait un petit coup de fouet pour profiter de la suite. Toutes les deux venaient boire son lait, collée à elle en savourant tout cela, les mains de la Japonaise venaient caresser leur tête doucement, regardant doucement tantôt l'une, puis l'autre. Si elle était la maman, elle avait là deux beaux bébés à nourrir, bien que l'une d'elles était en clair, la seconde « mère » de Doutzen. Sa Felicia autant que sa petite Doutzen semblaient d'accord pour pousser la chose plus loin, leur main venant se glisser entre ses chambres, cherchant un petit point à titiller toutes les deux...

« Hmmm... Qu'est-ce que vous faites, toutes les deux ? »

Elle n'allait pas les empêcher d'agir, mais elle aimait les regarder dans les yeux, leur bouche fermée sur sa poitrine, reste à savoir laquelle des deux sera la plus douée pour la faire jouir ? Elle se pencha sur Doutzen, baisant son front, puis sur Felicia, en faisant de même, un peu plus prononcé, mais après tout, c'était sa chérie, quoi de plus normale. Elle fermait les yeux, savourant autant ce qui se passait sur sa poitrine qu'en ses jambes, penchant doucement la tête en arrière. Elle était chanceuse mine de rien, ça lui faisait tellement de bien...

« Allez-y mes jolies... Faite jouir Maman Aoki... hum... ha, en vous régalant. »

Elle était la proie, en train d'être dévoré par deux fauves... et elle adorait ça malgré son côté dominant. En soit, venant de Felicia, c'est normal, Aoki aimait jouer les chatons soumis pour elle, mais pour Doutzen, c'était beaucoup plus rare. Enfin, avec ce que la petite avait encaissé, elle pouvait lui laisser ce petit plaisir après tout.

[Doutzen Kroes]

Agenouillée devant Aoki, Doutzen était en train de vivre la meilleure nuit de son existence. C’était indéniable. Elle n’avait jamais autant baisé, ni autant joui, que maintenant. Et, paradoxalement, plus elle jouissait, et plus elle avait envie de continuer, que rien ne s’arrête. Cette nuit se devait d’être interminable, et Doutzen ne voulait pas que le soleil ne se lève. Elle ne voulait pas quitter ce lit, elle ne voulait pas quitter ces deux femmes. À travers cette débauche de sexe, Doutzen découvrait ce qui était le plus proche, à ses yeux, d’une famille. Ce « Maman Aoki » n’était pas qu’une pratique sexuelle et perverse, c’était aussi une expression de son inconscient, le rappel que Doutzen avait été vendue par sa propre famille à Reto Kroes. Somme toute, elle cherchait, à travers l’usage de son corps, à travers le sexe, à travers son rôle de Petit Chaperon Rouge, à ce qu’on l’aime vraiment.

Et Aoki semblait être la seule personne qu’elle ait jamais rencontré à lui témoigner de l’affection.

« Hmmm… »

Son délicieux lait fusait en elle, et elle relevait les yeux, soupirant en regardant Aoki. La femme était visiblement très heureuse qu’elle et Félicia s’attaquent réciproquement à ses seins, les pompant doucement et tendrement. Le lait continuait à fuser, et leurs doigts entremêlés jouaient avec l’intimité d’Aoki. Félicia dardait vers sa compagne un regard mielleux, doucement pervers, et pinça ensuite son clitoris. La Chatte Noire connaissait très bien le corps d’Aoki, et, en pinçant cette zone, la fit couiner. Ses doigts attrapèrent ensuite ceux de Doutzen, et elle les guida vers le clitoris. Aucune d’entre elles ne parlaient, préférant user du langage corporel, de leurs doigts et de leurs mains. Doutzen remua donc ses doigts, et pinça à son tour cette zone, faisant encore gémir sa « Maman ».

Elle alterna ainsi entre caresses et pincements. Félicia, quant à elle, mordilla le téton d’Aoki. Ses tétons étaient bien durcis, et, de manière générale, Aoki était très excitée. Elle approchait doucement de l’orgasme, ses réserves de lait n’arrivant pas à se tarir. De la part de Félicia, qui était la Chatte Noire, il était normal d’aimer le bon lait. Aoki gémissait plus fortement, sa respiration s’emballant. Doutzen insista davantage, et finit ainsi par la pousser jusqu’à l’orgasme, sentant les doigts gantés d’Aoki se crisper sur ses cheveux. Dans un délicieux soupir, sa Maîtresse s’abandonna à cette vague de plaisir.

Félicia se redressa ensuite, la bouche pleine, et embrassa longuement Aoki, fourrant son lait dans sa bouche. Un baiser très intense, mielleux. Doutzen se redressa à son tour, la bouche pleine, et Aoki alterna entre les deux femmes, perdant au passage un peu de son lait, qui glissa entre ses seins.

« Hmmm… !!
-  Mmmhmmm… !! »

Tandis que l’une embrassait Aoki, l’autre allait mordiller son cou, léchant sa délicieuse peau. Félicia était très douée dans ce domaine, poursuivant son office avec appétit, tandis que Doutzen se cramponnait aux lèvres d’Aoki, enfonçant sa langue dans sa bouche. Ce spectacle dura bien plusieurs minutes, avant que Doutzen ne se love contre les seins d’Aoki. La main de Félicia caressa ses cheveux.

« Bon… Souhaites-tu aller te coucher, Doutzen ? »

Somme toute, elle avait plus que fait sa part. Doutzen se retourna vers Félicia, et rougit doucement.

« Parce que… Vous allez vous coucher, vous ? »

La Chatte Noire fit mine de réfléchir.

« Je viens de boire le lait d’Aoki. Soit je pars cambrioler de riches criminels, soit je continue à violenter son corps… Et quelque chose me dit que ce sera plutôt la seconde option. »

Doutzen rougit doucement à cette idée.

« Mais tu as fait plus que ta part ce soir, alors tu peux aller te coucher, si tu veux… »

La jeune femme se pinça à nouveau les lèvres, réfléchissant longuement à cette proposition. Elle regarda alors Aoki, et frotta son visage contre ses seins.

« Non… Je veux encore rester avec vous. Je… Je veux encore vous faire l’amour… »

Félicia hocha la tête, un léger sourire sur le coin des lèvres.

« Bon… La nuit est encore longue, Doutzen, mais, avant de nous occuper toutes les deux de toi, je vais m’occuper de ma Aoki… Je veux te montrer comment je baise ta Maîtresse. Et, pour que tu sois à son niveau, je vais te faire subir une partie de sa formation. »

Doutzen déglutit, puis Félicia l’invita à se relever. Elle ouvrit ensuite un placard, et commença par l’habiller, avant de l’attacher sur une chaise qu’elle plaça à côté du lit. Il fallut bien un bon quart d’heure pour la préparer. Elle eut droit à des collants en latex, à un justaucorps moulant également en latex, laissant ses seins à l’air libre, et à un masque sur le visage avec un gag-ball et un bandeau.

« Je veux que tu fasses parler ton imagination, Doutzen… Que tu nous entendes, moi et Aoki, pendant que je vais la baiser. »

Félicia avait remis sa tenue de Chatte Noire, et Aoki sa tenue de dominatrice. Ensemble, elles achevèrent de préparer Doutzen, tout en s’embrassant régulièrement au passage.

Doutzen était désormais prête.

« Je te laisse lui mettre le bandeau, Aoki… Stimuler son imagination permettra au corps de notre petite Doutzen d’être fin prête à recevoir ensuite nos assauts incessants… »

[Aoki Kou]

Aoki savait aussi être très féline, ayant deux adorables chattes actuellement en train de la téter, elle le prouvait plutôt bien. Félicia comme Doutzen étaient en train de s'attaquer à sa poitrine, absorbant son délicieux lait aphrodisiaque, toutes les deux ne semblaient pas prête d'abandonner si facilement. Une main sur leur tête, elle caressait doucement leurs cheveux en alternant les regards. Doutzen était douce, bien accrochée à elle, mais douce et hypnotisée par son activité. Félicia aussi y mettais du siens mai sa partenaire la connaissais bien et était joueuse alors elle mordillait parfois le sein qui la nourrissais pourtant si bien. Elle gémissait doucement face à elles, sans les priver de son lait presque maternel. Leurs mains, à tour de rôle venaient pincer son clitoris, la faisant ainsi couiner, mais cela l'excitait tout autant. Les deux filles savaient y faire, mais Aoki était loin d'agiter le drapeau blanc. Elle n'était en rien une super femme, mais côté sexuel, elle avait une sacrée résistance.

« Hmmm, mes chéries... »

Venant baiser le crâne de Doutzen, elle se pencha plus sur elle, sa bouche se rapprochant de son oreille pour lui glisser un petit mot gentil.

« Maman est fière de toi, ma chérie... ha, continue comme ça... »

Elle baisa à nouveau sa tête avant de venir embrasser la tête de Félicia, elle aussi eut droit à un petit mot de sa part.

« Continue mon amour... Après, tu viendras me remplir avec ta grosse bite... »

Chacun son petit mot gentil. Les filles poussèrent cela jusqu'à la faire jouir, venant libérer toute sa cyprine, elle se sentait après ça comme sur un petit nuage, les yeux dans le vide. Après quelques instants, les filles semblaient d'accord pour revenir vers ses lèvres pour l'embrasser tout en lui faisant boire son propre lait. Une chose pas si étrange que ça. D'abord sa partenaire féline, puis ensuite sa future petite star. De délicieux baisers délicats et sensuels, où chacune avait du mal à lâcher l'autre, mais il le fallait bien pour pouvoir partager les lèvres d'Aoki. Sa petite Doutzen venait se blottir contre elle, à croire qu'elle pourrait venir finir sa nuit ainsi, Félicia venait justement à elle pour savoir son avis là-dessus ? Mais comme sa chérie ne comptait pas se remplir les poches ce soir, pas question que Doutzen s'endorme avant elles.

Félicia s'occupait de préparer Doutzen à ce qui allait arriver, bien que d'abord, Aoki aura droit à son petit moment rien qu'avec sa Black Cat chérie, mais Doutzen pourra rester là, en spectatrice. Préparant une jolie tenue, attachée à une chaise près du lit, Aoki vint l'aider peu de temps après, le temps de se remettre de ses émotions, trouvant les douces lèvres de son amante de temps à autres pour l'embrasser. Plaçant le bandeau sur les yeux de Doutzen, elle baisa sa joue une fois prête. Dommage qu'elle ne puisse pas voir ce qui va se passer, mais son cerveau va imaginer des choses qui seront sûrement proche de la vérité.

« Voilà, notre petite star est prête... Et moi aussi d'ailleurs. »

Aoki se rapprocha de Félicia, balançant ses hanches de façon sensuelle avant de se pendre à son cou en la regardant avec tout l'amour possible en sa possession. Elle trouvait ses lèvres pour un court, mais tendre baiser. Son corps blotti contre le sien, elle laissait sa partenaire passer les mains où bon lui semble, de façon chaste ou non.

« Et si l'on mettait en pratique ce que je t'ai demandé tout à l'heure ? »

Felicia n'était pas obligée de recourir une fois de plus ce soir à son membre masculin, mais si l'envie lui prenait, Aoki était prête à écarter les cuisses, les fesses ou les lèvres pour l'accueillir en elle. Elle avait bien envie de ce petit moment, rien que toutes les deux. Se frottant contre elle, ses lèvres venaient survoler les siennes, pour se glisser près de son lobe, glissant quelques mots de façon sensuel...

« Je me sens d'humeur... salope... »

De quoi laisser à la Black Cat une grosse marge pour assouvir ses fantasmes. Après tout, elle avait dit à Doutzen qu'elle allait baiser sa maîtresse... Une maîtresse qui baise une autre maîtresse comme une salope... voilà qui va faire beaucoup travailler l'imagination de la petite blonde.

[Doutzen Kroes]

Ainsi ficelée, Doutzen ne pouvait rien voir, mais elle sentait bien. Les godes remuaient en elle, les vibromasseurs s’occupaient tendrement et longuement de son corps. Évidemment, il n’était nullement dit que Félicia allait se contenter de ça, que la Chatte Noire n’allait pas modifier son look plus tard. Comme Aoki le pensait à juste titre, il eût été regrettable que la jeune fille ne puisse rien voir de toute cette séance. Aoki avoua qu’elle se sentait un peu « salope », et Félicia sourit doucement. La femme avait remis sa tenue de Chatte Noire, cette combinaison moulante ultra sexy qui se suffisait à elle-même pour tout ce qui était lié au sexe. Félicia se déplaça lentement vers elle, et sa main gantée caressa la joue d’Aoki. Elle alla doucement l’embrasser, se presser contre elle. Sa main se déplaça encore, et se posa sur son cul, pinçant doucement la chair chaude et moelleuse d’Aoki.

« Hmmm… »

Félicia termina ce bref baiser en mordillant ses lèvres.

« Tout ne sera pas aussi simple pour Doutzen… À chaque orgasme de ta part, Aoki, je compte modifier un peu sa situation, selon ce qu’elle voudra enlever… Les vibromasseurs, le gag ball, ou ce bandeau sur ses yeux… »

Pour cela, tout ce qu’il fallait était un orgasme. Ce n’était sans doute pas le défi le plus développé qu’elles avaient eu l’habitude de faire, mais Félicia devait faire en fonction des circonstances. Elles étaient au beau milieu de la nuit, et elles avaient longuement fait l’amour. Maintenant, elle devait réfléchir à ce qu’elle allait faire subir à Aoki. Difficile de faire dans l’originalité, car, de son humble point de vue, Félicia avait déjà fait subir à Aoki tout ce qu’il était humainement possible de lui faire subir. Elle portait encore sa verge, qui s’était lentement redressée pendant tout ce baiser, comme pour annoncer la suite.

Doutzen, quant à elle, entendait tout cela, et gémit encore. Elle baissa la tête, seule partie de son corps qui n’était pas immobilisée sur le fauteuil, et gémit à nouveau. Elle mouillait doucement, peinant à se contrôler, à se calmer. Elle avait beau être épuisée, les deux femmes savaient visiblement comment y faire pour la stimuler encore.

Félicia, de son côté, récupéra un autre produit, tout en incitant Aoki à se coucher sur le lit. Elle répandit ainsi sur ses seins une substance aromatique particulière.

« Je crois que je vais avoir besoin de renforts… » glissa-t-elle en souriant.

Tandis qu’elle répandait le produit, des chats ne tardèrent pas à arriver. Avec Félicia, le plaisir sexuel pouvait être très intense, et vraiment très pervers. Elle se mit au-dessus d’Aoki, et la pénétra à nouveau, tandis que deux chats se rapprochèrent, et vinrent titiller les seins d’Aoki. Leurs langues râpeuses et précises titillèrent ses tétons, et Félicia s’enfonça d’un coup sec en elle, gémissant sur place.

« Tu es toujours aussi bonne, Aoki, hmmm… Savoure donc, ma belle… J’ai besoin de l’aide de mes chats pour m’occuper de toi ! »

Sa main caressa l’un des chats, qui ronronna doucement, tout en continuant à lécher le téton d’Aoki, se concentrant dessus…