Il y a quelques semaines, Mélinda avait décidé de renforcer sensiblement ses liens avec l’une de ses esclaves préférées : Ai Aihara. Petite Futanari très perverse, Ai était pour elle la candidate parfaite afin de devenir une prêtresse de Luxure, ou même une « sorcière de Luxure », c’est-à-dire une sorcière servant la Déesse Lust, et maîtrisant la magie rose. Mélinda avait récemment pris la grande décision de rejoindre le culte de Lust, et elle était devenue une Prêtresse de Lust. Son influence s’étirait ainsi autant dans le pouvoir temporel que spirituel, par ses relations croissantes avec les sommités de l’Empire, mais aussi avec les Dieux. Suite à l’Olympomachie, les Olympiens cherchaient de nouveaux fidèles et dévots, et c’était par ce biais que Mélinda avait pu devenir plus influente. Elle avait donc déclaré à Ai qu’il était temps pour elle de maîtriser la magie rose. Cela n’avait pas été sans peine, car Ai avait été initialement très surprise, et avait même refusé, ce qui avait amené les deux femmes à se disputer. Finalement, la peur de l’abandon avait convaincu Ai, et les deux femmes s’étaient excusées mutuellement. Mélinda tenait à sa petite esclave, qui était à terme destinée à devenir à part entière membre du clan Warren.
Edessa était chargée de la former, et, aujourd’hui, la première leçon allait commencer ! Elle avait préparé une belle tenue de sorcière pour Ai, une sorte de longue tunique noire ouverte de partout. Ai ne savait pour l’heure pas trop ce qui allait se passer, et elle devait enfiler cette tenue dans une cabine d’essayage à côté de la chambre, où Edessa l’accompagnait en compagnie de deux des esclaves de Mélinda : Ambre, et Miyu. La première était une jeune femme issue d’un milieu aisé, qui avait conservé ce teint de belle petite bourgeoise. Miyu, elle, était un petit peu plus rebelle, et aimait porter du latex, avec une sorte de lingerie transparente par-dessus. Les deux jeunes filles étaient assises sur le lit, essayant de résister aux pulsions aphrodisiaques qui s’échappaient naturellement du corps d’Ai.
« Tu es prête, ma chérie ? demanda Edessa à Ai par l’embrasure de la porte. J’ai hâte de t’enseigner tout ce que je sais, je suis sûre que tu seras une merveilleuse apprentie ! »