Alice soupira donc, crispant ses mains. Elle rougit quand Ishtar indiqua qu’elle allait la « déconstruire ».
*On s’est détruit, on a reconstruit…* songea-t-elle.
Ishtar s’écarta, puis entreprit de la rhabiller. Elle commença par lui mettre un bandeau noir autour des yeux, puis un casque sonore qu’elle posa sur ses oreilles. Les oreillettes comprenaient des rebords en mousse, étouffant totalement le son. Alice s’entendait à peine respirer, et soupira quand elle entendit des bruits lascifs, des gémissements, et des bruits de claquement. La chair heurtant la chair, suivi de sons plus sonores, comme quand une main claquait la peau. Elle sentit ensuite les mains gantées de sa Maîtresse glisser sur sa peau, et elle frémit en sentant une sorte de liqueur forte, qui lui donna l’impression immédiate qu’on enflammait sa peau… Puis qui laissait ensuite un doux sentiment d’excitation. Alice soupira, et gémit quand les mains d’Ishtar glissèrent sur ses seins, les pétrissant, les malaxant, répandant le baume. Elle comprit alors que c’était un baume sexuel, un lubrifiant qu’Ishtar répandit sur tout son corps, accompagnée par les gémissements et les soupirs de sa prisonnière.
Elle prit tout son temps, provoquant des bruits de mastication, Ishtar la lubrifiant patiemment. Une fois prête, le corps d’Alice semblait luire sous les effets lumineux. Elle mouillait alors, peinant à conserver son calme, frustrée. Ishtar la rhabilla ensuite, détachant une jambe pour y glisser un collant, puis un bras pour y mettre un autre gant3. Alice soupirait à chaque fois, et se laissa faire. Ishtar la retournait sans problème, et répandit du lubrifiant sur son dos, sur ses fesses… Elle ne cherchait pas à les pincer ou à les gifler, elle était concentrée à transformer Alice en sa poupée de sexe, puis continua à l’habiller. Alice put sentir un corset métallique l’étouffer, comprimant sa poitrine, ainsi qu’une cage de chasteté, avec un vibromasseur qui s’enfonça dans sa chatte, et un autre dans son cul. Ishtar verrouilla ensuite le tout, à l’aide de chaînes et de cadenas.
« Haaaa… Maî-Maîtresse, hmmmm… »
Elle ne voyait pas cette tenue. Elle était encore plus lourde et compacte que la précédente, surtout avec le lourd corset. Alice soupira longuement, puis se redressa ensuite. En ironisant, Ishtar lui indiqua qu’elle était dans « son enfer », puis la libéra. Alice put s’observer, et rougit en se voyant devant le miroir. Des chaînes avaient été rajoutées, et elle constata qu’elle avait l’amplitude suffisante avec ses bras pour les mettre derrière sa nuque. Elle comprit vite qu’il devait être possible de la restreindre davantage avec les chaînes. Elle sentit alors le solide bras d’Ishtar s’enrouler autour de son cou, et se refermer sur elle.
Alice déglutit lentement, et sentit Ishtar appuyer encore. Peu à peu, l’air vint lui manquer. Elle gémit à nouveau, et posa ses deux mains sur le bras d’Ishtar, se crispant dessus. Des points noirs commençaient à danser devant ses yeux quand Ishtar relâcha la pression. L’appel subit d’air déstabilisa la jeune femme, qui se maintint, avant de sentir la main ferme d’Ishtar l’agenouiller.
« Maî-Maîtresse… »
La jeune femme obtempéra, et se retrouva devant l’épaisse verge assoiffée d’Ishtar, qui s’amusa alors à la frapper avec. Alice frémit quand la verge d’Ishtar fila sur sa joue droite, lui faisant tourner la tête, puis sur la joue gauche. Ishtar amplifiait petit à petit le rythme, optant pour une série de bifles, laissant sa traînée sur les joues d’Alice, ainsi que l’odeur de son sexe. La tête blonde haletait et gémissait tandis que les coups se multipliaient, la laissant pantelante. Elle déglutit ensuite quand Ishtar enroula sa queue caudale autour de son cou, et serra à nouveau, tout en lui ordonnant de l’implorer d’enfoncer sa queue dans sa gorge.
« Haaaa… Maî-Maîtresse… Apprenez-moi… Déconstruisez-moi et refaçonnez-moi pour être votre poupée… Pitié, Maîtresse, fourrez votre grosse queue dans ma bouche, inondez-moi de votre foutre, nourrissez-moi de votre jus… Faites de moi vôtre, je suis prête… Et, quand je serai prête, je serai votre ryu, celle qui portera votre enfant… »