« Soit… Mais je me demande vraiment en quoi cela te choque, Val’nadi… Ne veux-tu pas d’une mère ? Une maman qui veillerait sur toi ? Je ne cherche pas à remplacer ta mère biologique, mais je peux vous adopter, toi et tes petites-sœurs… »
Streeaka lui sourit doucement, et l’embrassa à nouveau, remuant de haut en bas. Sa verge tendue frottait son intimité avec passion. La Matriarche drow était à vrai dire de plus en plus excitée par cette situation, et avait du mal à contenir son excitation pénienne. Le durcissement de sa queue ne mentait pas sur ce qu’elle ressentait actuellement, et son regard croisa celui de l’elfette. Val’nadi était si jolie… Et la jeune elfe ne savait plus où se mettre ! Elle venait de jouir, mais Val’nadi savait que cela ne faisait que commencer, que cette séance allait être plutôt longue.
Val’nadi ne le réalisait pas encore, mais vivre dans l’Outreterre n’était pas facile, psychologiquement parlant. Le soleil ne venait jamais les éclairer, sauf quelques très rares rayons venant de la surface. Vivre ici, c’était donc vivre dans l’obscurité quasi-totale, et, sans les rayons solaires, les gens venant du Dessus avaient tendance à déprimer. C’était un choix désespéré que de venir à Menzoberranzan. Val’nadi et ses petites-sœurs allaient donc avoir besoin de tout ce que Streeaka pouvait leur procurer, y compris de l’amour… Ce qui, ici, était une notion rare, et difficile à trouver.
« Je vais te faire l’amour, ma chérie… Je vais faire de toi ma petite femme, ma Val’nadi… Est-ce que tu souhaites que je te prenne comme ça, ou tu préfères me chevaucher ? »
C’était la seule option que Streeaka lui laissait, car il était désormais temps de consommer leur union, de la concrétiser dans le stupre…