Ici, seule l'imagination est votre limite. Incarnez qui vous voulez dans cette partie, et faites ce que vous voulez !

Un fantasme inavouable (PV)

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Chloé Faure
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Erika Kamachi était une élève en apparence comme il pouvait y en avoir des dizaines, voire des centaines, au sein du lycée Jinmu. Sociable, avec un groupe d'amis étendu, sans pour autant être considérée comme la star du lycée, elle était aussi une élève plutôt correcte. Elle ne s'élevait pas dans le podium du classement de sa propre classe, ni même du lycée, mais était suffisamment intelligente, et travaillait assez pour que son avenir scolaire ne soit pas un problème pour elle, et que ses professeurs s'accordent pour dire que, l'un dans l'autre, Erika était une bonne élève. Elle était aussi très belle, et elle le savait, la nature l'avait pourvue d'un généreux corps qui s'était bien développé avec la puberté. Elle avait d'ailleurs déjà eu quelques proposition de certains de ses camarades, pour qu'elle devienne leur petite amie, mais avait systématiquement, et poliment, refusée ces avances. Pour elle, ses études étaient plus importantes, et elle ne voulait pas risquer une baisse de ses résultats, une chose par ailleurs que ses parents, qui l'avaient mise en internat ici même, étaient plutôt fiers.
Mais derrière cette façade de jeune fille bien élevée voulant se préserver, se trouvait une autre Erika qui...ne pouvait pas vraiment se laisser s'exprimer. La puberté chez cette jeune lycéenne de 16 ans s'était accompagné, sans trop qu'elle sache vraiment comment de...et bien...de fantasmes assez particuliers. Bien sûr, même si elle n'avait pas officiellement de petit ami, ça ne l'empêchait pas de parler de la "chose" avec ses amies, qui avaient somme toute des standards assez "normaux". Elles aimaient les mecs musclés, grands et bien bâtis, et Erika faisait bien évidemment semblant de se conformer à cette norme devant ses amies.
Mais en réalité, si elles savaient...ses amies la traiteraient sans doute de dégénérée, voire de folle. Elle gardait donc pour elle son attirance pour les hommes plus âgés qu'elle, et surtout qui n'étaient pas forcément des copies du dieu Apollon, c'était même tout le contraire. Son intérêt pour les hommes en dehors des canons de beauté traditionnels, elle avait commencée à le découvrir quand, en cachette dans les libraires, elle lisait des hentai, ceux qui l'intéressaient le plus étaient ceux ou de jeunes filles se faisaient molester par des vieux hommes, souvent en surpoids. Pourquoi ? Elle ne se l'expliquait pas, mais c'était ainsi...et la veille de ce jour, au cours d'un examen blanc, Erika avait sautée le pas.

Itachi Goro était le professeur de mathématiques de la classe d'Erika, ainsi que leur professeur principal. Il était âgé d'une quarantaine d'années, et de ce que Erika en savait, célibataire depuis plusieurs années suite à un divorce. Bedonnant et manquant de style, il n'était pas vraiment un objet de fantasme pour la lycéenne normale souhaitant se faire tringler par un professeur, ce qui était officieusement tout de même monnaie courante à Jinmu. Mais dans le cas d'Erika...depuis qu'elle l'avait comme professeur, l'idée de plus en plus folle de devenir secrètement son amante s'était peu à peu insinuée en elle, à mesure qu'elle se masturbait en l'imaginant la prendre, et l'écraser sous son gros ventre. Une imagination qui la rendait honteuse mais...oh elle ne pouvait plus faire comme si de rien n'était, et Erika était presque certaine que Goro-senseï n'avait personne dans sa vie.
C'était fou, et peut-être dangereux, mais Erika avait alors tentée le tout pour le tout. Au début, la jeune femme s'était contentée de petits regards, de sourires, espérant attirer son attention, mais soit son professeur ne faisait pas attention, soit il les ignorait. Erika était alors passée à la vitesse légèrement supérieure lorsque, lors des changements réguliers de place dans leur classe, elle s'était retrouvée sur le devant. A un moment de chaque cours que prodiguait Goro-senseï, Erika avait pris l'habitude de décroiser ses jambes, ce qui, vu la petitesse de la jupe de son uniforme, donnait forcément à l'homme une belle visions sur son sous-vêtement.
Mais là aussi, il n'y avait eu aucune suite, pas de convocation en tête à tête, rien. Consciente alors qu'elle n'obtiendrait sans doute rien à moins de se montrer parfaitement claire...Erika avait tentée le tout pour le tout, et au moment de rendre la copie de son contrôle, avait glissée dedans un petit cadeau, que Goro-senseï ne pourrait que voir lorsqu'il corrigerait la copie, chez lui le soir.
Une photo d'elle complètement nue, forcément, on ne devait pas faire plus clair que ça. La nuit d'Erika avait toutefois été pour le moins mouvementée, car elle attendait et redoutait en même temps le lendemain où elle retournerait en cours de mathématiques, si son professeur n'était pas réceptif. Elle y était néanmoins retournée avec une légère boule au ventre, et cette fois, eu effectivement pour consigne de rester dans la classe après la fin du cours, lorsque son professeur lui rendit sa copie...qui ne contenait plus sa photo.
Autant dire que l'heure de cours promettait d'être longue, et elle le fut jusqu'à la sonnerie. Erika resta donc en classe, même si elle s'était bien entendu relevée pour s'approcher du bureau de Goro-senseï.

Vous vouliez me voir, Goro-senseï ?

La jeune lycéenne était à la fois stressée et excitée, dans l'expectative de la réaction de son professeur, maintenant qu'ils étaient seuls...

Re: Un fantasme inavouable (PV)

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Reine Alice Korvander
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Goro-sensei était un homme discret, qui était arrivé au lycée Jinmu depuis plusieurs mois. Très professionnel, et très mystérieux sur son passé, il était acquis que l’homme était un célibataire endurci, qui, disait-on, avait été divorcé. La réalité était en un sens encore plus strict, car Goro-sensei ne s’était jamais marié. Mais, au Japon, c’était là une infamie complète. L’homme avait bien sûr déjà été amoureux, mais cela n’avait jamais marché vraiment. Il était timide, et manquait surtout de confiance en lui, en raison de son embonpoint. L’homme était né gros, et avait toujours été ainsi. Il avait bien tenté plusieurs régimes, mais le poids finissait toujours par revenir. Goro-sensei portait donc ses kilos en trop, et avait prévu d’aller voir des prostituées locales, tant on disait que celles-ci étaient talentueuses.

Le fait est que l’homme était quelqu’un de très sérieux, un professeur consciencieux, mais qui avait un fantasme pour les lycéennes. Il adorait leurs uniformes, renifler leurs odeurs, voir ces jeunes corps en mouvement… Il avait eu vent de rumeurs folles sur ce lycée, sur l’existence d’une prostituée locale qui satisfaisait les désirs de tout le monde, et en était au stade du point de bascule. Goro-sensei appréciait notamment l’une de ses élèves, Kamachi-san, mais ne pouvait s’imaginer avec elle… Même si l’idée le tentait de plus en plus.

Aujourd’hui, il avait organisé un contrôle, et interprétait maladroitement chaque signe, comme il l’avait toujours fait. Kamachi-san aimait lui sourire quand les cours se terminaient, et était toujours la dernière à sortir. Une fois, il avait même cru voir l’ourlet de sa culotte ! Tout un tas de signes, mais rien de probant, et Goro-sensei ne voulait surtout pas être considéré comme un pervers ! Un professeur célibataire reconnu coupable de pensées impures sur une élève, ce serait la fin de sa carrière ! Certes, Goro-sensei aimait bien enseigner les mathématiques, mais il devait bien admettre que sa verge le démangeait de plus en plus.

Quand les élèves remirent leurs copies, Kamachi-san lui sourit encore. Il ne vit pas immédiatement la photographie, et ramena le tas de copies chez lui. Goro-sensei vivait dans un modeste appartement, et, comme il n’avait rien à faire ce soir, alluma la télévision. Tandis que le journal télévisé défilait, il sortit les copies, et, en les récupérant, l’une glissa sur le sol. Surpris, Kamachi-san s’abaissa, et récupéra la feuille… Pour constater qu’elle n’avait pas la même texture qu’une copie.

*Mais qu’est-ce que ça veut dire ?*

Il souleva le papier glacé, et écarquilla les yeux en voyant une photographie intégralement nue de Kamachi-san ! Il l’observa encore, ne pouvant y croire.

*C’est une blague !*

Était-ce un photomontage ? C’était impossible. Elle était là, nue, magnifique, avec ses seins volumineux, son corps parfait, ses jambes interminables, ses hanches, et… Goro-sensei sentit sa queue se contorsionner dans son pantalon en constatant qu’elle était parfaitement épilée ! Le professeur reposa le cliché, et se massa le front. Une mauvaise blague ? Le cliché était tombé de l’une des copies. Il récupéra rapidement celle d’Erika, et constata qu’un trombone se trouvait à l’intérieur, destiné à retenir la photographie.

Il constata donc qu’elle l’avait déposé là… Une photo prise visiblement avec un retardateur, mais dans sa chambre. Posant toute nue, elle souriait à l’objectif, et il déglutit doucement.

*Est-ce que c’est un piège ? Mais à quelle fin ?*

Goro-sensei essaya de se calmer, mais finit par se masturber le soir sur la photographie d’Erika. Il jouit joyeusement, et laissa ensuite son esprit divaguer, le corps parcouru de tremblements, de frissons électriques trahissant une excitation fébrile. Se pouvait-il vraiment que elle… ? Lui et elle… ? Ensemble… ?! Non, non, non ! Il devait rêver, assurément ! Goro-sensei se sentit ensuite divaguer de nouveau, et saisit sa queue poisseuse, tirant dessus une nouvelle fois.

Autant dire qu’il passa une nuit confuse, cette photographie venant perturber son emploi du temps. Même au petit main, l’idée le hantait toujours. Pourquoi cette image ? Soit c’était une plaisanterie cruelle et très dangereuse, soit…

*Elle est si belle, pourquoi aurait-elle envie d’un vieux croulant comme moi ?
Ça ne peut pas être un coup fourré, elle a pris elle-même cette photo ! Même si elle voulait te faire chanter, jamais elle n’irait ainsi se compromettre !
Tu ne devrais pas être surpris, plein de filles fantasment sur les gros, je suis même sûr que ça porte un nom…
Tout le monde est laid quand il s’agit de baiser, et, crois-moi, mieux vaut un gros qu’un maigre au pieu !
Mais qu’est-ce que j’en sais, moi ? Je suis sa prof’, bordel !
*

À force de vivre seul, Goro-sensei avait pris cette habitude d’avoir plusieurs voix dans sa tête qui débattaient. Oh, il n’était pas schizophrène, loin de là, mais il avait toujours eu cette manie, extériorisant ses pensées par le biais de différentes voix, envisageant toutes les hypothèses possibles.

L’homme arriva finalement au lycée. Il retrouvait la classe dès la première heure, et Goro-sensei annonça qu’il n’avait pas encore terminé d’examiner les copies (*tu n’en pas fait une seule !*), et demanda à Erika de venir le voir ensuite.

« Je dois te parler, Kamachi-san. »

Les élèves ne pipèrent mot, et le professeur s’absorba dans les mathématiques, oubliant jusqu’à la sonnerie le corps parfait de la jeune femme. Puis, quand la sonnerie repense, il repensa à cette photo, ce cliché qu’il avait avec lui. Les élèves partirent, et il ne resta plus que Kamachi-san, dont les seins semblaient toujours être extrêmement serrés dans son uniforme.

« Peux-tu refermer la porte, s’il-te-plaît ? »

Celle-ci obtempéra donc, et, quand elle se retourna, Goro-sensei avait sorti de ses affaires la photographie. On pouvait encore voir les traces d’éponge dessus, là où il avait nettoyé les traces de sperme.

Il espérait bien que la jeune femme n’y verrait rien !

« Est-ce que tu peux m’expliquer ce… Ce cliché, Kamachi-ch…-San ! » se rattrapa-t-il habilement.

Confondre le suffixe « -chan » et « -san », le second étant bien plus affectueux que le premier, c’était une erreur fatale ! Il espérait que la jeune femme ne le verrait pas… Tout comme les traces d’éponge sur la photographie, ou la sueur qui commençait doucement à parler…
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Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Goro-senseï avait passé toute l'heure à leur faire cours vraiment comme si de rien n'était, ce qui laissa sur le moment Erika quelque peu perplexe. Est-ce qu'il avait mal pris sa tentative, certes audacieuse, de lui envoyer un signe impossible à manquer ? Erika savait que dans le cas où son professeur portait ça à un conseil de discipline, Erika risquait tout de même cher, un renvoi pur et simple du lycée, et pour une raison qui risquait de lui coller à la peau par après. Elle parvint tant bien que mal à suivre le cours, mais la sonnerie retentit autant comme une délivrance que comme un glas potentiel. Ses camarades partirent de la salle en bon ordre, et si elle rangea également ses affaires dans son sac, Erika était elle restée assise, jusqu'à ce que Goro-senseï ne lui demande d'aller fermer la porte.

Oui bien sûr senseï.

Difficile pour elle de dissimuler le fait qu'elle était un peu stressée, mais elle se leva, et alla fermer la porte, tout en tournant le verrou de l'intérieur de façon à ce que personne ne vienne les surprendre lors de leur discussion...privée. Et en effet, lorsque Erika se rapprocha à nouveau du bureau de son professeur, elle vit déposé dessus la photographie qu'elle avait fait développer, et dissimulée dans sa copie hier. Goro-senseï lui demanda alors des explications, mais certainement pas avec un ton aussi assuré et autoritaire qu'il aurait peut-être voulu montrer, ce qui ne manqua pas de mettre la puce à l'oreille de la jeune femme.

*Se pourrait-il que...*

Rapidement, Erika nota que lui aussi semblait quelque peu mal à l'aise, il avait quelques gouttes de sueur qui perlaient sur son front. Mais aussi et surtout, deux petits détails achevèrent de convaincre intérieurement Erika qu'elle n'avait probablement pas trop à s'en faire. Sur le coup, Goro-senseï avait bien failli l'appeller Kamachi-chan, et deuxièmement, il y avait quelques traces résiduelles plutôt suspectes sur sa photo d'elle, que la jeune femme assimila aussitôt à une seule possibilité vraiment sérieuse.

*Oui...il s'est branlé dessus et a essayé de nettoyer après !*

Mais au lieu de s'en sentir choquée, la jeune femme se sentit au contraire rassurée et...plutôt excitée par cette perspective, car cela voulait dire que Goro-senseï n'était pas insensible à ses charmes, mais peut-être méfiant, ou il n'en croyait pas ses yeux. Cela devait lui sembler surréaliste que l'une de ses belles élèves lui laisse une photo nue d'elle pour attirer son attention. Mais quoi qu'il en soit, le professeur demandait des explications, et Erika venait de prendre suffisamment de confiance pour lui répondre en toute franchise.

Oh...bien sûr que je peux Goro-senseï. C'est hum...tout ce que j'ai trouvée pour attirer votre attention de cette façon là, en vérité. Mes sourires, mes regards, et même quand j'écartais mes jambes pour que vous puissiez regarder ma petite culotte...rien ne semblait vous mettre la puce à l'oreille...alors j'ai pris ce risque.

Et quel risque ! Mais visiblement il était payant. Erika profita de ce moment, où probablement son professeur devait être déboussolé, pour contourner le bureau, et vernir s'asseoir dessus, sur la droite, ses jambes pendant dans le vide, et sa petite jupe relevée laissant bien voir ses belles cuisses.

Je...je suppose que vous avez du vous dire que c'était une farce, ou une espèce de piège...mais ce n'est rien de tout ça Goro-senseï. Je n'aurais pas pris le risque de glisser une photo de moi toute nue si je n'étais pas sérieuse. Je...c'est un peu honteux pour moi d'en parler...mais...j'aime les hommes plus âgés que moi et qui...qui ont de l’embonpoint comme vous. Et puis...vous êtes un bon professeur et...enfin vous savez...le bon vieux fantasme de la lycéenne et de son senseï...

Elle se mordilla la lèvre, un peu gênée tout de même, car elle n'avait jamais pu jusque là parler "ouvertement" de ses vraies attirances. Et elle tentait tout de même de séduire son professeur principal, ce qui pour elle qui n'avait pas vraiment d'expérience dans le domaine, était périlleux !

J'espère que vous ne m'en voulez pas senseï...même si...bon...les traces sur la photo suggèreraient que vous avez apprécié mon petit cadeau, non ?

Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Goro-sensei n’en menait vraiment pas large face à elle. Kamachi-san vit bien vite tout ce qu’il ne voulait pas qu’elle voie : le truchement de sa voix, et les traces d’eau sur la photographie. Il avait nettoyé le cliché, mais, ce faisant, on pouvait voir les marques de l’eau, formant comme un dégradé. Bien sûr, il aurait pu nier, dire qu’il avait renversé de la sauce sur la photographie, mais, au lieu de ça, elle le rejoignit encore, et franchit son espace intime, en s’asseyant sur le rebord du bureau. Déglutissant lentement, Goro-sensei la regarda faire, et nota bien sûr sa minijupe, avec ses jambes fuselées interminables, qu’il s’imaginait déjà lécher avidement. C’était là un véritable fantasme de sa part, un fétichisme qu’il avait toujours eu sur les belles jambes féminines. Et force est d’admettre que Kamachi-san avait de superbes jambes, en plus du reste.

Il déglutit alors, et frissonna quand elle avoua avoir un appétit pour lui, vouloir… Sortir avec lui ! Goro-sensei écarquilla les yeux, et la regarda lentement, ne sachant pas si elle était sérieuse ou non. Elle avoua avoir un fantasme sur les personnes obèses, ce qui le surprit… Même si l’idée le faisait furieusement bander. Il sentait de nouveau sa queue se redresser entre ses jambes, pointant contre son pantalon, durcissant doucement. Il se racla la gorge en s’efforçant de rester calme.

Elle termina de sa petite voix douce, en se mordillant la lèvre, un geste qui excita brusquement Goro-sensei. Tâchant de conserver son calme, il soupira lentement, et l’observa à nouveau, sans contester le fait qu’il avait joui sur sa photo.

« Tu… Tu n’es pas… »

Goro-sensei se redressa alors, faisant crisser sa chaise.

« Ce n’est pas un sujet de plaisanterie, Kamachi-san ! Tu pourrais te faire renvoyer pour ça ! »

Il haussa le ton, en brandissant la photographie. En s’éloignant d’elle, il la voyait de manière plus complète, et ne pouvait confirmer qu’une chose : elle était belle à s’en damner ! Une beauté magnifique, et Goro-sensei loucha encore sur ses jambes, ses divines jambes.

« Ou une caméra cachée ? »

Son pantalon peinait à dissimuler son érection, et il tira sur sa ceinture, rehaussant son pantalon, cherchant surtout à mieux masquer son érection naissante… Car là, en ce moment, tout ce qu’il avait envie, c’était de se jeter sur elle, de lui déchirer sa culotte, et de la baiser contre le bureau ! Une pulsion forte qu’il refréna en serrant les mains.

« Il y a plein de garçons qui seraient ravis de sortir avec toi, et tu voudrais me faire croire que c’est moi qui t’attire ? Je… Je ne suis pas dupe, et j’ignore à quel jeu tu joues, mais… Il ne faut pas ! »

Goro-sensei essayait d’être le plus convaincant possible… Car c’était surtout lui qu’il cherchait à convaincre ! Chaque seconde passée ici lui donnait l’envie d’aller l’embrasser, ou de soupeser contre ses mains ses solides seins ! Alors, il essayait de se convaincre qu’elle ne pouvait être sincère…
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Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Erika se rendit assez rapidement compte que sa photo d'elle nue...ne serait pas suffisante pour convaincre Goro-senseï de sa bonne foi quand à ses intentions. D'un autre côté, elle ne pouvait pas non plus en être si surprise. Il y avait bien une raison pour laquelle elle ne partageait pas son attirance pour les hommes en surpoids, même avec ses amies les plus confidentes, qui lui racontaient tout de leurs ébats sexuels, et cette raison était que c'était plutôt rare et assez mal vu. Erika était une très jolie fille, le genre de fille qui aurait très aisément pu viser dans le haut du panier pour ses prétendants, alors son professeur devait se dire que forcément, c'était une mauvaise blague. Pourtant, l'homme ne devait pas être réticent à l'idée d'avoir sa jeune élève comme amante, vu comment il bandait...
Oui, Goro-senseï avait beau tenter de le cacher, une telle déformation au niveau de l'entrejambe ne pouvait pas passer inaperçu, il y avait ça et d'autres indices, et mais l'homme semblait déterminé à refuser de croire qu'Erika pouvait être attirée par lui. L'homme était donc tiraillé entre son désir physique, visiblement bien présent, et son doute qui le prenait toujours malgré tout.

Je...ce n'est pas un jeu senseï...comme vous l'avez dit je pourrais être renvoyée du lycée pour cette photo, alors je ne l'ai pas fait à la légère.

Erika avait beau être une adolescente, dont le comportement pouvait paraître comme complètement irrationnel, elle n'était absolument pas une idiote, et avait longuement hésitée avant d'en arriver là. Mais si un nude n'était pas suffisant, alors Erika n'avait pas pour autant l'intention d'abandonner. Elle l'aurait sans aucun doute fait si son professeur ne montrait pas d'évidents signes que, au fond, il voulait ça, mais une telle trique, ces regards qu'il lui lançait, ça ne pouvait pas être interprété autrement. Alors la jeune femme prit une inspiration, pour se donner du courage, puis se releva du rebord du bureau où elle s'était assise, et traversa bien vite l'espace qui la séparait de Goro-senseï.
Bien qu'ayant des formes généreuses, Erika n'en demeurait pas moins une adolescente, et était donc légèrement plus petite que son professeur, qui faisait bien une bonne tête de plus qu'elle en hauteur, ce qui fit qu'elle du se hisser sur la point des pieds en arrivant près de lui, pour poser ses lèvres contre les siennes.

Hmm...

La jeune lycéenne se lova contre le corps massif de son professeur, en saisissant d'une main la cravate de l'homme pour qu'il ne lui prenne pas l'idée de se reculer, tout en posant l'autre, de façon assez instinctive par ailleurs...sur sa queue. Les délicats doigts d'Erika se glissèrent sur la bosse qui déformait son pantalon, et en moulèrent la forme, le temps que ses lèvres restent collées à celles de l'homme. Oserait-il user alors de ses mains pour pelotter ses seins, voire même son insolent petit cul ? Quoi qu'il en soit, la jeune femme se retira quelques secondes après, plongeant son regard dans celui de l'homme...avant de dériver vers l'horloge, juste derrière eux. Erika commençait tout juste sa journée de cours, et si ses camarades n'étaient sans doute pas encore rentrées dans leur autre classe, et qu'elle pourrait justifier d'un léger retard du fait de son entrevue avec un professeur, Erika n'avait de fait plus beaucoup de temps.

Hum...je vais devoir retourner en cours sous peu senseï alors...je vais devoir sortir des arguments très convaincants pour vous prouver ma bonne foi.

Erika n'aurait pas pensée en arriver là aussi vite mais...qu'importait, elle en avait envie. A l'aide de ses délicates mains, la jeune femme déboucla la ceinture de Goro-senseï, puis déboutonna alors son pantalon, et tira sur la fermeture éclair. Puis, tout en abaissant le pantalon de son professeur, Erika entreprit de se mettre à genoux devant lui.

Je vais vous sucer, Goro-senseï...parce que j'en ai envie, et que vous aussi. J'espère juste que ça ne sera pas trop mauvais...c'est la première fois que je fais ça.

Et oui, ne s'étant jamais mise en couple, Erika était vierge, ce qui pouvait surprendre vu sa beauté, mais c'était bel et bien le cas. La jeune femme en tout cas abaissa également le caleçon de son professeur, et se retrouva avec sa grosse trique tendue juste en face d'elle.

Wow...elle est...si grosse et dure senseï...

Erika était sincèrement étonnée que son professeur soit si bien membré, comme dans les hentai qu'elle lisait, mais ne perdit pas de vue le fait qu'elle devait "faire vite"...alors elle approcha son visage, en ouvrant sa bouche...pour finalement enfermer le sexe de Goro-senseï entre ses délicieuses petites lèvres, et tout en le masturbant à l'aide d'une de ses mains, la jeune femme commença à le sucer...

Re: Un fantasme inavouable (PV)

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Reine Alice Korvander
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Était-elle sérieuse ? Il le croyait, mais, d’un autre côté, ce ne serait pas la première fois qu’on se moquait de lui. Si Goro-sensei avait changé d’établissement, ce n’était pas pour rien. Si les professeurs étaient généralement très respectés, il existait aussi des exceptions. Goro-sensei était très marginal, et, dans son ancien lycée, ses collègues ne l’appréciaient que peu. Il était un célibataire endurci, qui côtoyait de près les prostituées, et son embonpoint n’encourageait guère à le rendre sympathique. Il avait eu une mauvaise réputation, celle d’être un pervers. Des rumeurs avaient enflé autour de lui, sur sa passion pour les culottes, son envie de les lécher. Goror-sensei avait déménagé avant le scandale, reposant en grande partie sur des rumeurs infondées… Mais aussi sur une certaine réalité. Oui, il aimait beaucoup les lycéennes. Le sailor fuku, l’uniforme des lycéennes japonaises, était un fantasme national, qui avait même contaminé le monde entier. Comment ne pas aimer les filles bien roulées comme Erika-san ? Alors, là, face à lui, il était confus.

Sentant son trouble, Erika bondit alors du bureau. Goro-sensei déglutit sur place en la voyant se rapprocher, une lueur intense brûlant dans ses regards. Une lueur profondément déterminée, celle d’une fille prête à tout… Non, ce n’était pas le regard d’une femme prête à se moquer de lui ! Goro-sensei sentit son rythme cardiaque s’emballer, et tenta de reculer… Mais Erika le rejoignit, et titra sur sa cravate, l’enroulant dans sa main. Ses mains se posèrent sur les épaules d’Erika, pour se retenir au début. Il chercha ensuite à la repousser, mais, quand elle l’embrassa, ses mains se crispèrent sur son chemisier.

« E-Erika, je… Hmmmm… ! »

Erika l’embrassa ensuite, et il sentit son corps fluet s’écraser contre le sien, beaucoup plus lourd et compact. Goro-sensei frémit encore, et ses mains se serrèrent donc sur la chemise de la jeune femme… Puis commencèrent lentement à glisser. Il s’avança un peu, reniflant la magnifique odeur de la femme, et ferma les yeux. Sa queue gonfla encore, devenant plus douloureuse que jamais, tandis que la langue d’Erika se faufila dans sa bouche. Et, loin de la repousser… Quand Goro-sensei sentit cette langue sur la sienne, il remonta sa langue, et joua avec la sienne. Pleine de passion, la femme lui offrit un séduisant et renversant French kiss, qui le laissa… Pantois, pétris d’admiration.

Lorsque le baiser se rompit, Goro-sensei déglutit doucement. Ça, ça, on ne pouvait pas l’inventer ! C’était totalement impossible, bien trop spontané, bien trop… Bien trop naturel ! Goro-sensei en perdait sa salive, et ce ne fut que quand Erika envisagea de lui faire une fellation qu’il revint à lui.

« Oh… Erika, non… Non… ! »

Il essaya de prononcer ce second « non » avec la plus grande conviction possible, mais cela ne faisait guère illusion. S’agenouillant, Erika défit la boucle de sa ceinture, tout en avouant que ce serait là sa première fellation. Un membre épais et volumineux ne tarda pas à apparaître, émergeant au-dessus d’une forêt collante de poils pubiens. Déglutissant lentement, le professeur de mathématiques cherchait quoi dire, comme si on avait avalé sa salive et tout ce qu’il était capable de dire.

Goro-sensei la vit donc se rapprocher, son souffle rebondissant sur son membre assoiffé.

« E-Erika-chan, non… » glissa-t-il, d’une petite voix faible et plaintive.

Mais sa main alla au contraire se serrer sur les cheveux de la jeune femme, et il s’appuya contre le mur, soupirant en sentant la tête d’Erika relever son ventre, et sa bouche se perdre sur son sexe. Son membre tendu, son vit turgescent, disparut contre la bouche d’Erika, dans une impression qui avait l’air surréaliste. Oui, c’était irréel, Goro-sensei avait l’impression de flotter, de flotter au loin, son esprit divaguant, s’envolant dans des firmaments de plaisir.

Il soupira encore, la tête d’Erika filant d’avant en arrière. C’était particulièrement agréable, un contact onctueux, et il frémit une nouvelle fois, la laissant faire. Sa queue semblait s’épanouir dans sa bouche, et il se laissa peu à peu absorber. Impossible de la repousser, impossible de se défaire de cette délicieuse emprise, de cette sérénade agréable et jouissive. Oh, que c’était bon ! Ah, comme il aimait ça ! Se pinçant les lèvres, l’homme se laissait petit à absorber par tout cela, et…

…Sa queue tressauta sur place. Il se mit à jouir compulsivement, assez vite, somme toute. Mais, après tout, il n’avait pas une forte expérience sexuelle ! Il se relâcha donc, ses mains se décrispant lentement, avant de se serrer encore, et, lors de son orgasme, il plaqua d’ailleurs la petite tête d’Erika contre sa queue.

« Oh, Erika… ! » soupira-t-il.

Une vague de bonheur le traversa alors, tandis que sa queue expulsait son foutre dans sa délicieuse bouche.
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Re: Un fantasme inavouable (PV)

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Chloé Faure
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Erika se serait arrêtée si elle avait décelée que, effectivement, Goro-senseï ne voulait pas de ça, ne voulait pas qu'elle le suce. Elle avait failli hésiter au début, quand il avait commencé à dire, mais sa queue était bien trop tendue, bien trop dure, pour que ça soit vraiment autre chose qu'une espèce de réflèxe de l'idée qu'il lui était inconcevable qu'elle veuille coucher avec lui. C'était bien la raison pour laquelle Erika n'avait jamais parlée à qui que ce soit de son fantasme, si particulier, sur les hommes en surpoids, et plus vieux qu'elle. En plus d'être son professeur, Goro-senseï cochait ces cases, et était en plus un professeur très respectueux avec ses élèves, même si sous cette apparence, elle l'imaginait volontiers...un peu pervers. La façon dont il avait maté ses jambes, ça n'avait pas échappé à la jeune femme, qui se disait qu'il voudrait probablement les lui lécher ? Mais c'était encore un peu tôt pour ça, là, Erika était toute concentrée sur le fait d'avoir pour la toute première fois le sexe d'un homme dans sa bouche, et c'était...plutôt excitant en vérité !

Hmmmf...

Erika poussait de délicats soupirs en remuant sa tête, faisant coulisser ses lèvres le long du dard tendu de son professeur, qui après une dernière vaine tentative de dire non, avait en même temps posé une de ses mains sur ses cheveux. Mais loin de vouloir la faire se retirer, il crispait au contraire ses doigts dessus, et ne cherchait pas à l'empêcher de continuer, et semblait même vouloir plutôt qu'elle continue, ce qu'elle fit. La jeune femme le suçait...et bien comme pouvait le faire une débutante, elle n'en était clairement pas à pouvoir le prendre en gorge profonde, surtout que sa queue était très grosse, mais elle jouais de sa langue dessus, et le branlait en même temps avec une de ses mains.
Comme elle s'y attendait, plus ou moins, Goro-senseï ne parvint pas à se retenir bien longtemps, et là aussi pour la première fois, elle le sentit se tendre, et sa queue tressauta dans sa bouche, éjaculant les premiers filets de sperme directement sur sa langue. Initialement surprise, Erika se reprit toutefois bien vite en le branlant un peu plus rapidement, et en commençant bien vite à avaler. "Confrontée" pour la première fois à du sperme, Erika ne savait pas trop à quoi s'attendre, à ce goût âcre, légèrement salé, mais surtout à cette texture visqueuse et chaude qu'elle trouva...étonnament bonne. La jeune lycéenne déglutit donc pour acceuillir en elle ce flot de semence, afin qu'elle n'en mette pas sur son uniforme, laissant tranquillement son professeur se vider les couilles en elle, jusqu'à ce que le flot ne se tarisse.
Erika, comme pu rapidement le constater Goro-senseï, avait avalée jusqu'à la dernière goutte, puis se retira en souriant.

Alors Goro-senseï...vous aimez ma petite bouche ?

La jeune femme tourna toutefois vite la tête en direction de l'horloge, et constata que l'heure avait tout de même un peu avancée ! Elle se redressa donc en se recoiffant rapidement.

Hum...il faut vraiment que j'y aille senseï, j'ai encore des cours mais...

Réfléchissant vite, elle se précipita sur son sac pour sortir une feuille et un stylo, notant rapidement une série de chiffres, elle posa ensuite la feuille sur le bureau de son professeur.

C'est mon numéro de portable...si vous voulez à tout hasard me faire un cours du soir, vous n'avez qu'à m'envoyer un sms !

Puis elle fila, en courant, sinon elle allait être vraiment en retard ! Allait-il oser le faire ? Comme Erika était en internat ici même, dans le cas de cours du soirs, il fallait que les professeurs eux mêmes téléphonent à la réception de l'internat pour les prévenir que leur pensionnaire ne pourrait pas rentrer, vu que les entrées et sorties étaient interdites passées une certaine heure. Il n'était donc pas si étonnant que des élèves passent parfois la nuit chez leur professeur, et c'était même...tout un système bien rôdé !

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Reine Alice Korvander
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Demande de RP
Dans son élan, Goro-sensei ne réfléchissait plus. Le sexe l’aliénait, et il se mit à jouir compulsivement dans la délicieuse bouche d’Erika-chan. Lorsqu’il sentit l’orgasme affluer, ses mains se crispèrent sur les cheveux de la jeune femme, appuyant fermement dessus. Il l’étouffait presque et grogna en se relâchant, sentant tout son corps trembler nerveusement sur place. En sueur, le professeur ventripotent s’abandonna à l’orgasme, et jouit confusément dans la bouche de la jeune femme. Il l’inonda de sperme, avant de reprendre progressivement ses esprits. Légèrement troublé, le professeur s’affaissa sur son fauteuil, et défit lentement sa cravate, tout en voyant Erika-chan se relever. Et il nota que, au lieu de recracher son sperme, elle… Elle l’avala.

*Mon Dieu…*

Il regarda ce spectacle, et la contempla, médusé. Quand elle lui demanda s’il avait apprécié, il se racla lentement la gorge, et s’épongea le front, constatant deux choses. D’une part, sa main tremblait nerveusement, et, d’autre part… Même s’il avait joui, et que son désir était donc rassasié, il avait encore envie d’elle. Son regard lubrique se posa sur elle, et il était à deux doigts de se jeter sur elle, de déchirer sa chemise, et de la baiser sèchement. C’est probablement ce regard qu’Erika perçut, et qui l’amena à revenir à la réalité, en lui rappelant qu’elle avait cours.

« Oh… »

Surpris, Goro-sensei regarda l’horloge, et constata qu’elle avait effectivement une dizaine de minutes de retard. Elle se remit donc en place, s’apprêtant à partir, tandis que l’homme grommelait sur place.

« Erika-chan, attends, je… »

Mais, soucieuse de ne pas avoir une heure de colle, elle fila, non sans lui laisser son numéro de téléphone portable, l’invitant à la contacter pour un « cours du soir ».

« Oh, euh, je… Erika-chan, je… D’accord… » bredouilla-t-il.

Lui-même avait d’ailleurs pris un peu de retard sur son prochain cours, et se dépêcha de se remettre en état, remettant son pantalon, puis sa cravate.

*Je n’ai pas rêvé, j’ai senti ses douces lèvres sur ma queue, ses douces et tendres lèvres… Ses soupirs, ses cheveux…*

Pour s’en convaincre, Goro-sensei regarda encore sa main. Au moment de l’orgasme, il avait serré trop fort, et avait une mèche de cheveux. L’homme alla finalement accueillir ses nouveaux élèves, et mit quelques minutes à se replonger dans le cours… Un cours qu’il assuma de manière mécanique, car toutes ses pensées étaient focalisées sur Erika-chan. Il eut d’ailleurs en plein milieu du cours une nouvelle érection, et tremblait de lui envoyer un SMS, de profiter encore de son corps. Non, il n’avait pas rêvé, Erika-chan, cette belle et parfaite femme aux formes angéliques, au corps de rêve, voulait bel et bien de lui ! Aussi incroyable que ce soit, elle fantasmait sur lui ! Ça, ça ne pouvait pas être une plaisanterie ! Non, elle ne pouvait aller jusqu’à simuler une fellation, et avaler son propre sperme !

Confus, Goro-sensei mit fin au cours même avant la sonnerie, ce qui surprit les élèves. La récréation approchait, et il envoya à la jeune femme un SMS, profitant de la discrétion de la salle du corps :
Erika-chan,

Si ce que tu dis est vrai, je veux que tu ailles aux toilettes de la section C, et que tu m’envoies avant ça une photographie de ta culotte. Je t’attendrai là.
Attendre jusqu’à ce soir ? Impossible ! Ses doigts étaient encore en sueur, et il dut serrer ses poings à plusieurs reprises pour finir ce SMS, avant de l’envoyer. Comme il avait fini une minute avant la pause, il put se rendre tranquillement aux toilettes, fourrant sa main dans ses poches, et pensa avant à relever sa verge, la coinçant sous son pantalon, afin de dissimuler une érection persistante.

Goro-sensei avant envie de satisfaire l’un de ses fantasmes : porter la culotte d’une fille ! Cette simple idée le faisait bander presque aussi fort que le souvenir de son vit chaud disparaissant entre les lèvres d’Erika-chan…
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Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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C'est en courant dans les couloirs qu'Erika parvint tout juste à arriver avant la deadline critique des 10 minutes de retard à un cours, et encore, elle était parvenue à se justifier vis à vis de son professeur d'histoire par le fait que Goro-senseï lui avait demandée de rester après le cours. Une heure de colle à laquelle elle échappait donc, et elle rejoignit sa place au fond de la classe, où elle était seule. Erika était loin d'être une cancre, mais sa place à l'arrière, dans ce cours d'histoire, s'expliquait justement par le fait que son professeur savait qu'elle était une élève studieuse et ne présentant pas de lacunes particulières, et qu'il tenait au contraire à avoir face à lui ceux un peu plus...dissipés.
Pourtant durant cette heure, Erika avait clairement l'esprit ailleurs. Oh elle notait machinalement ce que le professeur dictait, ou écrivait au tableau, mais elle savait dores et déjà que ça serait un cours qu'elle devrait revoir par elle même, car elle n'assimilait rien. Elle était bien trop occupée à intérieurement se ressasser ce qui venait tout juste de se passer, ce "quickie" dans la salle de cours de maths, sa première pipe, et sa première "dégustation" de sperme, dont elle avait toujours l'arrière goût âcre et salé dans le palais, comme pour lui rappeler ce qu'elle avait fait. Pas de regrets, elle avait même étrangement adorée ça...mais elle espérait juste que avec l'esprit plus clair, Goro-senseï n'allait pas prendre peur, se dire que c'était trop de risques.
L'heure de cours se passa, jusqu'à ce qu'Erika voie l'écran de son portable, qu'elle avait dissimulé devant sa trousse, s'allumer en sortant de son mode veille, car elle avait reçue un message. Pas de bruit ni de vibrations fort heureusement, elle l'avait en mode silencieux, et sa place faisait qu'elle pouvait sans trop de craintes consulter ses messages, à condition de continuer à avoir l'air de suivre le cours. Elle vit donc qu'elle avait reçu un sms d'un numéro inconnu et...et une bouffée d'excitation la traversa en en lisant le contenu. C'était Goro-senseï qui lui donnait rendez-vous dans les toilettes de la section C, après cette heure de cours, et lui demandait aussi de prouver sa sincérité en lui envoyant avant une photo de sa culotte.

*Oh mon dieu...*

Erika en était...toute émoustillée ! Il ne pouvait donc pas attendre jusqu'à ce soir alors ? Erika regarda discrètement l'heure sur l'horloge, constatant que le cours allait approcher de la fin. Elle se mordilla les lèvres, hésitante sur la façon de procédé puis...tenta le tout pour le tout, afin de gagner du temps. La jeune femme, tout en continuant de prendre des notes d'une main, afin de ne pas attirer l'attention, prit son portable de l'autre, et le glissa sous la table, puis entre ses cuisses qu'elle écarta. Ne pouvant pas vraiment regarder le cadrage, elle du estimer quand prendre la photo, mais fit rapidement pour ne pas risquer de ses faire surprendre. Cela ne serait évidemment pas une photo de pro, mais quand elle vit le résultat, elle en fut assez satisfaite pour envoyer ensuite un message de réponse à Goro-senseï.

Image
J'arrive dès que possible, senseï ! <3

Ce faisant, la sonnerie ne tarda pas à sonner par la suite, pour le plus grand soulagement de la jeune femme, qui trépignait presque sur place.

*Je vais le faire...oh putain...*

Erika était excitée comme une puce, tout en étant tout de même un peu stressée. Sans doute le fait que ça soit la première fellation d'Erika aurait mis la puce à l'oreille de Goro-senseï, mais son élève était vierge, et s'offrait concrètement à lui pour sa première fois. Toutefois, à ce stade, l'excitation dépassait et de loin l'appréhension, et Erika sortit rapidement de la salle, avança un peu dans le couloir, puis se mit à courir lorsque personne de sa classe ne pourrait plus la voir. Elle grimpa les escaliers en sautant plusieurs marches à chaque enjambée, et finit par arriver au dernier étage de la section C, et poussa alors la porte des toilettes des hommes, où effectivement Goro-senseï se trouvait. La jeune lycéenne était là, un peu essouflée, mais terriblement excitée.

Vous...vous vouliez me revoir, Goro-senseï ?

Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Demande de RP
Il arrivait toujours un stade où l’esprit lâchait, où la raison s’effaçait. Le sexe, c’était une ancre de sauvagerie, une enclume dans l’esprit de chaque individu. Et, quand on tirait le fil, qu’on le déroulait et que l’ancre tombait, elle écrasait tout le reste. Quand Goro-sensei reçut la photographie d’Erika-chan, cette enclume tomba. Il s’arrêta sur place, et manqua même glisser dans l’escalier. S’arrêtant sur le palier, il regarda cette magnifique culotte, et… Renifla son écran. C’était idiot, bien sûr, mais il pouvait sentir d’ici là la texture de cette culotte, l’odeur intime de la lycéenne. Il sourit ensuite, les mains moites, quand Erika-chan annonça qu’elle arrivait, et embrassa l’écran, sur l’emplacement de la culotte.

*C’est incroyable, il y a forcément un piège !
Tu rigoles ? Tu as vu comment elle est bonne ?!
*

Goro-sensei déglutit encore, avant de rejoindre les toilettes. C’était un choix judicieux, car, pendant la pause, aucun élève ne les utilisait. Tandis qu’il grimpait, la sonnerie résonna. Les élèves sortirent donc, et Goro-sensei les contourna. Il attendit néanmoins que le couloir soit vide avant d’entrer. L’homme respira alors, et constata que son érection ne diminuait pas, son esprit étant obnubilé par sa culotte.

Au Japon, les règles sur la pornographie étaient très strictes au sujet des seules parties intimes, ce qui signifiait qu’on pouvait tout montrer, sauf les organes sexuels. De cette législation particulière avait progressivement émergé tout un fétichisme autour des culottes. C’était du moins une explication potentielle, mais Goro-sensei ne s’expliquait pas vraiment ce fantasme. Pourquoi certains aimaient la sodomie et pas les pénétrations plus classiques ? Pourquoi d’autres adoraient les fellations ? Qui aurait pu donner les raisons ? Ce n’était sûrement pas lui. Le professeur regardait encore son téléphone, tout en tentant de se calmer. Mais sa queue commençait à le déménager, et il déboutonna son pantalon, glissant sa main dessous pour la libérer. Sa verge resta coincée dans ses vêtements, mais se libéra de sa ceinture, ce qui permit de le faire respirer.

Et, alors qu’il comptait remettre sa ceinture, Erika-chan entra brusquement !

« Ah ! »

Surpris, Goro-sensei lâcha son pantalon, et se retourna vers elle. Il était là, en plein milieu des toilettes, avec un boxer blanc déformé par sa queue, dont la pointe ressortait à l’air libre.

« E-Erika-chan ! »

Il se pencha alors.

« Je… Je ne voulais pas que tu me vois comme ça ! »

Goro-sensei releva son pantalon, et le reboutonna maladroitement, avant de se rapprocher d’elle. Il voulait récupérer sa culotte, mais il avait d’autres choses à faire avant. L’homme posa ses mains sur ses épaules, rougissant sur place… Et l’embrassa alors. Il ne put tout simplement pas se retenir, et, en faisant ça, il plaqua la femme contre le mur, l’écrasant sous son poids, sous sa graisse, sous son ventre rebondi qui l’écrasa contre le mur.

« Hmmm ! »

Ce fut un baiser assez baveux, avant que Goro-sensei ne le rompe.

« Ce qu’on a fait dans la salle de cours… Je vois bien que tu étais sérieuse, Erika-chan, et… Je te prie de me pardonner, j’ignorais qu’une fille aussi jolie fantasmerait sur moi. »

Le désir le désinhibait, et, en un sens, il voyait les choses plus clairement, mais avec, toujours, cette fébrilité en lui.

« Je… Tu vas peut-être avoir du mal à le croire, Erika-chan, mais… Je suis toujours vierge. Je veux que tu saches dans quoi tu t’engages avec moi. Je… Tes parents ne doivent rien savoir de ça, pas plus que les autres personnes. »

Il déglutit alors en se rapprochant d’elle.

« Et… Si tu me le permets, je… J’aimerai voir ta culotte, j’aimerai… J’aimerai la renifler et… Et l’embrasser. »

Jamais il n’aurait cru avoir un jour la force de dire de telles choses, et pourtant… Cela semblait si naturel !
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Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Erika tomba nez à nez avec Goro-senseï qui, visiblement surpris par sa venue aussi rapide, avait relâché son pantalon qu'il était en train d'ajuster, et qui se retrouva à ses chevilles. Cela fait, la jeune femme pu voir qu'il bandait comme un taureau dans son boxer, avant qu'il ne se penche fébrilement pour se rhabiller, visiblement un peu troublé que la jeune femme le...voie comme ça ? Erika n'était pas si surprise pour sa part, elle lui avait envoyée une photo de sa petite culotte et de ses belles cuisses, donc elle s'était potentiellement attendue à ce que peut-être il cherche à se branler dessus, mais ça ne semblait pas être le cas ce pendant.

Oh ce n'est rien Goro-senseï...et puis...j'ai déjà vu bien plus non ?

La jeune femme tenta d'un peu dédramatiser cette situation, alors que l'homme se rhabillait et...s'approcha d'elle. La jeune lycéenne eut le souffle court quand il posa ses mains sur ses épaules, et s'approcha assez d'elle pour que leurs corps soient en contact, et elle se trouva dos contre le mur des toilettes.

S-Senseï...

Les mots lui manquaient, alors que la jeune femme sentait sa gorge se nouer sous l'effet...d'une grosse bouffée d'excitation ! Goro-senseï approcha en effet, et cette fois de sa propre initiative, ses lèvres des siennes, et vint l'embrasser. Cette fois, c'était le professeur qui prit sur lui de glisser sa langue dans la bouche de son élève, et cette dernière en poussa un délicat gémissement de plaisir, tout en posant ses mains sur le ventre bedonnant de l'homme, juste avant qu'il ne se blottisse vraiment contre elle, et la plaque entre le mur et lui même. C'était inexplicable, mais Erika se sentit...vraiment devenir chaude à se faire ainsi "écraser" sous le poids de son professeur, sous ce gros ventre chaud qui semblait presque la recouvrir, alors qu'il l'embrassait vraiment goulument. Erika répondit joyeusement à ce baiser baveux et très audible, tout en sentant, en plus du gros ventre de Goro-senseï, également sa grosse queue pointer sous son pantalon contre elle.

Hmmm...

Oh oui, la jeune femme se tortillait sur place pour mieux sentir encore cette sensation d'écrasement, le temps que le baiser dure, jusqu'à ce que Goro-senseï ne l'arrête. Un léger filet de bave relia d'ailleurs leurs lèvres avant qu'il ne cède, preuve qu'il y étaient allés bien fort dans l'échange buccal ! Il s'excusa alors auprès d'elle, pour ne pas avoir directement cru à son offre.

Ce...ce n'est rien Senseï...je peux comprendre vous...vous aviez peur que ça soit un canular. Mais au moins, j'ai su me montrer convaincante !

Le tout avec un grand sourire, il lui apprit ensuite qu'il était encore vierge, ce qui là aussi, ne la surprenait pas vraiment vu à quel point il avait eu du mal à admettre qu'une fille comme elle puisse le trouver attirant. Il aurait pu aller voir des prostituées cependant, alors elle trouva même mignon qu'il soit toujours puceau. Il enchaîna ensuite sur le fait que personne, absolument personne, ne devait être au courant.

Ne vous en faites pas Senseï, ce sera notre secret rien qu'à nous. Et...pour ce qui est de votre expérience sexuelle...vous savez c'est...c'est la même chose pour moi...

Et oui, toute aussi belle qu'elle était, Erika était encore bel et bien vierge. Elle aurait pu avoir toutes les opportunités qu'elle voulait, mais justement, ce serait Goro-senseï qui aurait "l'honneur" de faire d'elle une femme. Puis, il lui demanda alors si il pouvait voir sa culotte en vrai, la renifler, et l'embrasser, ce à quoi Erika se mordit instinctivement la lèvre inférieure.

Oh senseï...

La réalité était qu'Erika n'attendait guère que ça ! Vu la façon dont il avait longuement regardé ses jambes, et sa demande de photo, Erika avait rapidement fini par se douter que son professeur devait avoir un tas de fétiches, qu'elle allait volontiers satisfaire ! La jeune femme posa alors ses deux mains sur les rebords de sa mini-jupe, et tout en prenant appui sur le mur derrière elle, elle la releva complètement en écartant ses cuisses donnant à Goro-senseï une vue imprenable dessus.

Vous l'aimez ? Je dois vous avertir cependant...le fait de me prendre en photo comme ça, et de vous l'envoyer...je crois que je suis un peu mouillée là en bas...

Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Demande de RP
Goro-sensei s’agenouilla donc, et sentit ses tempes battre furieusement. Erika-chan venait de lui confesser être également vierge, ce qui était tout de même assez surprenant dans ce lycée… Il y avait quantité de garçons, et même de filles, qui auraient été ravies de coucher avec une fille aussi belle ! Goro-sensei, qui n’était pas suffisamment expérimenté pour savoir si elle mentait ou non (mais il se disait tout de même que, vu le ton timide et peu assuré qu’elle employait, ce devait être vrai), tremblait sur place. Allait-il vraiment avoir une relation sexuelle avec une élève ? C’était immoral, bien sûr, mais… En réalité, cette perspective ne le retenait pas plus que ça. Le professeur avait toujours fantasmé sur les élèves, et ils étaient à Jinmu, un lycée dont la réputation sulfureuse ne lui avait pas échappé. Alors, pourquoi s’en priver ? Erika-chan était magnifique, une beauté redoutable, bien trop belle pour lui. Elle était ce type de femmes sur qui il fantasmait le soir, ces élèves avec qui il voulait faire l’amour. Ce baiser volé qu’il venait de lui faire en était la plus pure démonstration !

Face à lui, Erika-chan accepta alors sa proposition, et releva sa jupe. Lui soupira doucement, et s’agenouilla devant elle. Il vit ses jambes, recouvertes par de magnifiques collants, et commença par caresser l’une de ses jambes, puis releva sa tête… Et observa sa belle culotte. Un frisson le traversa lentement devant cette belle culotte rose à dentelle. Il déglutit lentement, et se rapprocha alors, tandis qu’Erika-chan lui avoua qu’elle s’était « un peu mouillée ». Cet aveu l’excita encore, et sa verge se redressa doucement, gonflant contre son pantalon.

« Oh, Erika-chan, tu es si belle, et… »

Son visage se rapprocha encore, et son nez effleura la texture de sa culotte. Il glissa dessus, et renifla cette culotte. Une délicieuse odeur de renfermé, une… Une odeur de fille, aurait-il pu dire, même si cela relevait surtout du fantasme. Goro-sensei tremblait lentement, et déposa un baiser dessus ensuite.

« …Tu sens si bon, aussi. Je n’arrive pas à y croire… C’est… C’est comme dans un rêve. »

Il embrassa à nouveau cette culotte, et observa ensuite, sur celle-ci, les petites tâches trahissant la présence de cyprine. Sa queue continua à lui faire mal, et il embrassa alors cette zone. Bien sûr, il ne sentit rien, si ce n’est le contact du tissu, mais c’était délicieux. Cela, Goro-sensei ne pouvait se l’expliquer, et il continua à lécher cette culotte. Il s’y attaqua longuement, glissant dessus, crispant ses mains sur les pans de sa culotte. Il la lécha activement ici, à l’emplacement probable de son sexe, sentant sa langue s’enfoncer contre une sorte d’ouverture. Il remontait sa langue sur la culotte, avant de la relâcher, et reprenait, ou embrassait, parfois.

Et, tandis que les minutes défilaient, qu’il pouvait entendre son élève soupirer, Goro-sensei sentit encore sa queue lui faire mal, et se redressa alors. Il observa la jeune femme, et sa main alla caresser sa joue, glissant dessus. Ses yeux luisaient lentement, tandis que le désir s’était clairement emparé de lui.

« Je… Je veux te faire l’amour ici, Erika-chan. Te prendre contre le mur avec ton uniforme. Ensuite… Nous ferons encore l’amour ce soir, cette nuit… »

Il respirait lourdement, sûr de son fait. Cela pouvait sembler hâtif, et pas forcément très romantique, mais Erika-chan allait vite constater que Goro-sensei n’était pas vraiment un grand rêveur…
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Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Erika sentit son souffle lui manquer lorsque Goro-senseï se mit à genoux face à elle, entre ses cuisses écartées pour qu'il puisse avoir un bel accès à sa petite culotte rose à dentelle. C'était un de ses sous-vêtements qui sortaient des ordinaires autres culottes qu'elle avait, et qu'elle avait spécialement mise aujourd'hui, sans doute dans l'espoir et l'attente que cette situation se présente. Alors qu'elle était adossée au mur, la jeune femme utilisait ses deux mains pour maintenir sa jupe relevée, elle ne pouvait donc pas exactement voir ce que Goro-senseï allait faire...mais oh qu'elle pouvait le sentir ! Erika frissonna en sentant l'une des mains de l'homme remonter le long d'une de ses cuisses, la palpant, avant de sentir finalement le souffle de son professeur se rapprocher de son aine, et du tissu de sa culotte.

Han...s-senseï...

Il s'approcha encore, commentant combien il la trouvait belle, et qu'elle sentait bon, ce qui lui fit se mordiller la lèvre, alors que justement elle ressentit le bout du nez de son professeur heurter sa culotte, juste à l'endroit de l'ouverture de sa fente intime, là où justement il y avait la petite trace de cyprine qui avait imbibée le tissu. Et puis...vint sa langue.

Huuuuum...

La jeune femme crispa ses doigts contre le tissu de sa mini-jupe, alors que, plus ou moins, elle recevait là son premier cunnilingus. Goro-senseï ne léchait pas vraiment sa moule à proprement parler, car il y avait toujours le tissu de sa culotte entre son intimité et cette langue vorace, mais même ça envoyait de délicieux frissons de plaisir à la jeune femme, qui n'était guère habituée qu'à la sensation de ses propres doigts pour ses plaisirs intimes. La jeune femme se mordait les lèvres pour ne pas gémir trop fort, des fois que quelqu'un se trouve quand même dans le couloir proche, mais elle se laissait quand même aller, poussant des petits couinements et des gémissements, alors qu'elle se sentait devenir toute chaude, surtout au niveau de son bas-ventre. Mais toute aussi bonne que soit la sensation de la langue de Goro-senseï qui parcourait sa culotte, c'était aussi assez frustrant, car il devint vite évident pour Erika qu'il ne la ferait pas jouir ainsi, il ne faisait que la chauffer, et sa culotte s'en trouva un peu plus imbibée de sa mouille.
Ainsi, quand l'homme fini par se redresser face à elle, en déclarant qu'il voulait lui faire l'amour ici, là, tout de suite, contre le mur de ces toilettes...Erika était tout simplement trop excitée pour refuser. En temps normal, sans doute aurait-elle voulu attendre ce soir, chez lui, pour perdre sa virginité de façon un peu plus...normale ? Mais là, Erika avait la chatte en feu, et la jeune femme prit donc l'homme par le col pour aller l'embrasser, gémissant sur place, tout en glissant son autre main sur le pantalon de l'homme pour palper avec la grosse bosse qui était formée là.

M-moi aussi senseï...je...je veux vous sentir en moi...je veux vous sentir me prendre ma virginité...

Re: Un fantasme inavouable (PV)

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Reine Alice Korvander
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Goro-sensei ne voulait pas, initialement, lui faire l’amour là. Non, il imaginait plutôt ça chez lui, dans son lit, une première fois classique, mais ô combien efficace, une première fois qui le marquerait à jamais. Mais l’amour a ses raisons que la raison ignore, et c’était bien là ce qui se passait. Incapable de lutter contre ce désir naissant, contre cette vague qui s’emparait de son être, Goro-sensei avait une envie furieuse de la baiser. Cette soif remontait en lui, et elle le dominait totalement. Incapable de lutter contre ça, il passa donc aux choses sérieuses. Lécher cette culotte, renifler l’odeur intime d’Erika-chan, sentir le contact soyeux de ses collants contre ses joues, ce corps parfait à la peau si infiniment douce contre lui, c’était… C’était irrésistible ! Oui, le professeur ne pouvait tout simplement pas lutter. Comment aurait-il pu ? Erika-chan était si belle, magnifique, l’une de ces beautés rares et fulgurantes qu’on ne pouvait pas laisser passer quand on la rencontrait ! Cette fois, il en avait acquis l’intime conviction, comme une sorte de coup de foudre à retardement.

Face à lui, il lut le désir dans les yeux d’Erika-chan, un désir qui partageait sa place avec l’indécision… Puis la main d’Erika-chan attrapa sa cravate, et tira dessus. Elle l’écrasa contre son corps, et ils s’embrassèrent à nouveau, tandis que, avec son autre main, Erika-chan attrapait sa verge. Elle pressa son membre sous son pantalon, et Goro-sensei trembla encore. Avide de désir, elle mordilla sa lèvre inférieure, et déclara qu’elle était prête, elle aussi, et qu’elle souhaitait qu’il prenne sa virginité.

Goro-sensei en frémit doucement.

« Oh, Erika-chan… »

Même s’il voulait que cette première fois soit inoubliable, Goro tremblait furieusement. Une excitation nerveuse qui secouait et qui agitait tout son corps. Dans de telles circonstances, il allait tout simplement être difficile de se retenir, ou de baiser proprement Erika-chan, de la prendre comme elle le méritait ! Il grogna alors, et commença par tirer sur la culotte d’Erika-chan, venant l’écarter avec ses doigts, et la laissa se redresser. L’homme n’avait pas le temps de se déshabiller. Sa chemise commençait à avoir, ici et là, de belles auréoles de sueur. Il était en même temps très excité, alors cela se comprenait, car sa température corporelle avait dû monter de quelques degrés.

« Retire ma ceinture, Erika-chan… » grogna-t-il.

Tandis qu’elle s’exécutait, et qu’il entendait le cliquetis de la boucle de la ceinture, le professeur l’embrassa dans le creux du cou, léchant et mordillant sa chair, avant de sentir enfin le pantalon tomber. Il se rapprocha alors, et glissa une main sur sa verge, puis se rapprocha du bassin de la jeune femme. Goro sentit le contact moelleux de la culotte, et décala sa verge. Il tâtonna un peu en écartant le tissu, mais avait envie de le faire ainsi, de prendre Erika dans son sailor fuku

Goro-sensei écrasa Erika-chan contre le mur, tout en s’avançant encore… Et heurta alors quelque chose de plus creux, de plus… Visqueux.

*Ses lèvres intimes !*

Elles étaient , l’attendant impatiemment ! Son trésor secret ! Il se rapprocha alors, titillant cette zone, et grogna en sentant son membre se heurter à la résistance de ses parois.

« E-Erika… Erika-chan… »

Fermant les yeux, Goro-sensei se concentra un peu, reprit son souffle, et gesticula lentement, afin de faciliter sa position. La culotte d’Erika-chan glissait contre sa verge, mais sans les gêner, puisqu’il avait réussi à se glisser en elle.

Et, même si c’était éprouvant et douloureux, car il peinait à s’enfoncer en elle, et sentait sa verge se comprimer…

…C’était merveilleux !
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Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Elle allait le faire, elle allait "vraiment" le faire ! Perdre sa virginité dans des toilettes publiques n'était vraiment pas la façon dont Erika aurait envisagée la chose, du moins au début, mais elle ne pouvait pas nier que là, elle avait vraiment envie de sentir la queue de Goro-senseï la pénétrer. C'était même à se demander si, au final, ce lieu un peu "sale", la présence des urinoirs juste à côté, ne tendait pas à l'exciter un peu encore plus. Mais la jeune femme était bien trop fébrile pour vraiment réfléchir à une telle hypothèse, car bien vite, Goro-senseï ne resta pas de marbre face à l'acceptation de sa demande. Il s'approcha d'elle, la plaquant, certes délicatement, mais tout de même, contre le mur. Erika n'aurait vraiment pas su expliquer rationnellement pourquoi elle aimait ça, sentir cet homme obèse l'écraser sous sa masse de graisse...mais ça la rendait absolument folle.

Oh senseï...

Elle frémit à l'idée de ce qu'il allaient faire, et tandis que son professeur se blotissait contre elle, la jeune femme parvint avec ses doigts fins à déboucler sa ceinture, et à faire ainsi coulisser son pantalon le long de ses jambes. L'homme se trouva donc avec le sexe à l'air, bien tendu, dirigé vers la jeune lycéenne qui sentit des frissons d'excitation la parcourir. Goro-senseï s'approcha alors encore un peu, alors qu'il avait les mains sous sa min-jupe, Erika le sentit écarter les pans de sa petite culotte pour libérer l'accès à sa chatte humide. Elle, elle écarta ses jambes du mieux qu'elle le pouvait, un peu maladroitement, afin de lui laisser l'accès à sa précieuse intimité. Elle sentait tout, son souffle contre son cou, ses mains, son ventre...et son sexe contre sa fleur intime.

Ah...

Oh oui ça y est, elle pouvait l'anticiper, il allait s'enfoncer en elle ! Erika se tendit un peu sur le coup, absolument pas habituée à sentir quelque chose qu'elle estimait...plutôt gros se frayer un chemin dans sa petite chatte humide. Elle le sentait, progressivement, jusqu'à ce que son pénis ne déchire son hymen. La jeune femme laissa échapper un petit gémissement, la sensation étant tout de même un peu douloureuse, mais heureusement moindre que ce qu'elle avait craint auparavant. Il fallait dire que, même si elle était vierge, Erika mouillait quand même assez abondament, et ses parois intimes s'en trouvaient donc assez lubrifiées, ce qui facilitait la pénétration de Goro-senseï. La jeune femme, elle, posa ses mains sur les épaules de l'homme pour se maintenir, alos qu'elle releva une de ses jambes qu'elle amena autour du bassin de son professeur pour que la voie lui soit d'avantage ouverte, son autre jambe continuant de la faire tenir au sol, et contre le mur.
Oui, ça y est, c'était sa première fois, avec son professeur, bien plus vieux qu'elle, obèse, et dans les toilettes des hommes et...et elle ne regrettait absolument rien. Elle était même surprise de la relative vitesse avec laquelle la douleur de son hymen déchiré semblait s'évanouir, face aux délicieuses sensations de ce sexe coulissant en elle, alors que l'homme commençait à faire des va et viens. C'était...très différent de quand elle se touchait intimement, car là elle ne contrôlait rien, et la sensation de ce sexe en elle c'était...oh bon Dieu, c'était déjà bon !

Oh oui...huuuum senseï...oh je sens...je la sens...votre bite en moi...Oooooh...

Elle avait un peu de mal à parler, mais se disait intérieurement que l'encourager un peu ne pourrait pas faire de mal, vu les hésitations qu'il avait eu initialement !

Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Demande de RP
Dans l’absolu, si on avait dit à Goro-sensei que sa première fois serait avec une lycéenne dans les toilettes du lycée, il n’y aurait pas cru ! Mais, pourtant, ils étaient bien là, elle était là, et il ne rêvait pas. Son corps massif s’aplatissait contre elle, écrasant furieusement Erika-chan contre le mur. Il avait conservé une main sur les cheveux de la jeune femme, et déplaça l’autre pour attraper un tuyau à côté. Il était légèrement chaud, et, tandis qu’il grognait, il entendit la chasse d’eau émanant de l’étage du dessus. Sans trop savoir pourquoi, ce son l’excita encore plus, et il grogna encore, se pinçant les lèvres, et embrassa la jeune femme, plaquant ses lèvres tremblotantes sur elle.

« C’est… Bordel, je s-savais pas que… Que ce serait si douloureux ! »

Elle l’encourageait, et il frissonnait à chacun de ses mots. Son nez renifla son odeur, magnifique, poisseuse. Il était furieusement en sueur. En fait, Goro-sensei ne savait pas trop comment définir ce qu’il ressentait. Son corps réagissait très bizarrement à tout ça, à toutes ces sensations qui se bousculaient en lui. Cette femme le hantait, il avait une envie furieuse d’elle, mais il se sentait à la fois et… Ailleurs. Une sorte de dédoublement très curieux, comme si, inconsciemment, il peinait encore à croire que c’était bien lui, ce gros tas moche et puant, qui baisait l’une des bombes sexuelles du lycée. Comment le réaliser ? Et pourtant… Elle soupirait, et il grogna.

Sa queue s’enfonçait en elle, et, Dieu, Dieu, que cette sensation était bonne ! Par tous les kamis, il faillit bien juter là, et se retint en allant mordre le cou de sa femme, faisant hurler Erika-chan. Ce cri manqua d’ailleurs aussi de l’achever, et il déglutit, avant de se reculer encore, et grogna à nouveau. Trop excité pour parler, il aurait voulu l’insulter, il aurait voulu la haranguer, il aurait voulu qu’elle s’insulte, qu’elle l’encourage à la baiser. Il y alla fort, bien fort… Du moins, c’était là l’impression qu’il avait !

« Hrrrmmmrrr… !! »

Il aurait aimé tenir plus, mais… Mais… ! Goro-sensei ferma les yeux, car le simple fait de voir Erika-chan était irrésistible. Mais, quand elle soupira encore, il la vit, il, il… Ooooh !!

*Si belle, elle est si belle !*

Son visage rougi, ses lèvres pincées, ce gonflement de ses joues, ses longs cheveux sauvages tombant en cascade, cet air de fille souillée… Mais son regard ! Oh, oh, ce regard ! Larmoyant, magnifique, il perforait Goro comme un missile pulvériserait un château-fort en quelques secondes. Des yeux-revolvers, comme disaient les Français, qui le transpercèrent sur place. Magnifique, une pure beauté descendue du Ciel, qui l’avait touché de sa grâce immatérielle.

Il juta presque instantanément. Sa queue le trahit, et expulsa des filaments de foutre en elle. Sa première performance n’avait en réalité rien d’honorable, un orgasme rapide, après quelques minutes, et après trop peu profité de la chatte de la femme. Mais il resta contre elle, sa verge nichée en elle, flottant dans un liquide amniotique. Après un temps qui sembla infini, il entendit alors la sonnerie, annonçant la reprise des cours, et se redressa doucement, respirant encore fortement.

« On… On va devoir parler ce midi, Erika-chan. Retrouve-moi… Ici. Prends un sandwich à la cafétéria, et on se retrouve là, il… Il faut qu’on en parle. »

S’il serait en état de parler… Il se retira de son corps, et constata que la culotte d’Erika était sur le sol. Il l’attrapa alors, et allait la lui rendre… Quand il se ravisa.

« Je… Il est plus prudent que je la garde, Erika-chan. »

Plus prudent… Mais il n’y avait pas que ça ! Elle avait mouillé dessus, et, instinctivement, ses doigts remuaient sur la zone humide de ce sous-vêtement !

« Tu… Tu n’y vois pas d’inconvénient ? »[/i]
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Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Erika pour sa part, et pour le peu qu'elle parvenait encore à réfléchir dans cette situation, était pour le moins surprise. Elle s'était attendue à ce que sa première fois soit plus douloureuse, et même si elle avait effectivement sentie une légère douleur lorsque Goro-senseï avait percé son hymen, ça s'était rapidement fait remplacé par une délicieuse sensation de plaisir !

Ah...Ohhhh G-Goro-senseï...

La jeune femme adorait tout, le fait d'être plaquée contre le mur, avec le gros ventre de son professeur qui l'écrasait, son souffle rauque, ses va et viens contre elle, et la sensation de sa grosse queue dans sa petite chatte humide. Malheureusement, l'homme ne parvint pas à se retenir très longtemps, et eu assez rapidement un orgasme. Goro-senseï se vida pendant un bon moment en elle, et son élève sentit les pulsations de la verge de l'homme en elle, et ce sperme qui tapissait ses parois internes, un peu. Erika aurait été sur le point de se remettre à genoux pour le sucer un peu, afin de lui redonner de la vigueur pour qu'il revienne ensuite la prendre, car elle même n'avait en revanche pas eu le temps de jouir...mais la sonnerie retentit au moment où Goro-senseï se retira d'elle.

C'est...déjà l'heure ?

Erika n'avait pas vu le temps passer ! Heureusement son prochain cours se trouvait dans ce bâtiment, elle n'avait qu'à descendre deux étages, elle ne serait donc absolument pas en retard si elle partait vite, mais ne pouvait du coup clairement pas se permettre de suggérer un deuxième round. Elle se recoiffa un peu, tandis que Goro-senseï se pencha pour récupérer sa culotte qui avait été jetée à terre tantôt. Il suggérait d'ailleurs qu'elle le retrouve ici ce midi, qu'elle prenne un sandwich pour gagner du temps et...profiter des deux heures que ça lui laissait.

D'accord senseï !

Erika ne pouvait pas vraiment dire non, frustrée qu'elle était de ne pas avoir pu jouir alors qu'elle avait pourtant senti son orgasme commencer à pointer le bout de son nez. Elle était alors sur le point de demander à son professeur de lui rendre sa culotte quand...il déclara justement qu'il était plus "prudent" qu'il la conserve. Erika ne vit pas tout de suite en quoi c'était plus prudent, car ce n'était pas le cas et puis...elle comprit.

Oh...je...et bien...je suppose que...vous pouvez la garder ?

Cela voulait concrètement dire qu'elle irait en cours sans culotte, et c'était sans doute ce que Goro-senseï voulait, en plus d'avoir sa culotte légèrement couverte de cyprine pour lui. Elle lui adressa un sourire, avant de reprendre ses affaires, et de filer en cours pour ne pas risquer d'être en retard ! Elle avait déjà failli l'être tantôt, et elle ne voulait pas éveiller les soupçons. Elle était donc partie pour deux heures d'histoire et...Erika fit de son mieux pour suivre le cours, même si ça se révéla compliqué. Elle repensait à tout ça, à Goro-senseï qui venait tout juste de lui prendre sa virginité dans les toilettes, au plaisir qu'elle avait rapidement ressenti, à quel point elle était pressée de recommencer...et au fait qu'elle ne portait pas sa culotte, tout en imaginant ce que son professeur pouvait bien faire avec.
Ce fut deux heures très longues, mais qui finirent par arriver à leur terme. A l'issue de ces deux heures, Erika marcha rapidement en direction du self pour se prendre un sandwich à emporter, suffisamment pour être la première, et n'avoir ainsi pas à faire la queue. Elle se dirigea ensuite à nouveau vers son lieu de rendez-vous, et arriva sans doute un peu en avance vu que Goro-senseï n'était pas encore là. La jeune femme...mouillait, et avait presque des crampes au bas-ventre à force de ne pas avoir pu contracter un orgasme.

Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Demande de RP
Goro-sensei observa sa culotte, tandis qu’Erika-chan partait rapidement, sans culotte. Le professeur observa encore sa belle culotte rose, comme une sorte de divine relique, et… La renifla. Le Japon était connu des Occidentaux pour leurs fantasmes particuliers, notamment ce fétichisme autour des culottes. Ce fétichisme s’expliquait en grande partie par la législation nippone sur la pornographie, qui autorisait tout, sauf la diffusion d’organes génitaux. C’était pour contrer cela que les films pornographiques avaient développé, soit la censure sur les appareils génitaux, soit l’usage de cameltoe avec des culottes. Goro-sensei enfila finalement la culotte de la femme, et sentit sa verge l’élancer douloureusement.

Le professeur se déplaça alors, sortant de son refuge, et se dirigea vers la salle de cours. Son érection revenait, tandis qu’il constatait avoir perdu sa virginité dans les toilettes du lycée… Et n’en ressentait nulle gêne, bien au contraire ! Très excité, Goro-sensei retourna faire cours, mais n’y était clairement pas. Il ne pensa qu’à Erika-chan, et, à chaque interruption, consulta régulièrement son portable, dans l’espoir qu’elle lui écrive. S’appuyant contre son bureau, il s’amusa aussi à se masturber discrètement sur le rebord du meuble, frottant sa queue gonflée. Tout ce qu’il voulait, c’était retourner dans la chatte de la jeune femme, se nicher en elle, et jouir abondamment. À chaque fois que son téléphone portable vibrait dans sa poche, il s’attendait à ce qu’elle lui écrive, mais, au lieu de ça, il s’agissait de SMS inintéressants, sans saveur…

Les deux heures semblèrent durer une éternité, et, quand ils se terminèrent, un étudiant alla lui parler. Prodigieusement agacé, Goro-sensei dut toutefois s’efforcer de l’écouter. Il avait profité de la pause pour se masturber frénétiquement dans les toilettes, imaginant le doux visage soyeux d’Erika-chan venir pomper sa queue. Mais, très rapidement après ce soulagement, le souvenir d’Erika, son odeur, la douceur de son corps… Tout ça lui revint en mémoire.

Il finit donc par congédier le lycéen, et se déplaça ensuite, se dépêchant de rejoindre leur lieu de rencontre, évitant les élèves qui partaient en sens inverse vers le réfectoire ou vers la sortie. Il remonta l’escalier, et ouvrit précipitamment la porte des toilettes.

« Erika-chan ! »

Elle était là, aussi fébrile que lui, les joues rouges. Il referma la porte, et se dépêcha de l’embrasser. L’homme la souleva sans problème, et la plaqua contre le lavabo, venant fourrer sa langue dans sa bouche, une main sur ses cheveux, l’autre filant sous sa minijupe, palpant ses fesses. Ils avaient deux heures à tuer ensemble, et le professeur comptait bien ne pas en perdre une seule minute.

« Hmmm… »

Il l’embrassa plutôt longuement, savourant son odeur, retrouvant là toutes les sensations qu’il avait apprécié. Cette femme était véritablement une nymphe, magnifique et onctueuse ! La savourant longuement, il rompit ensuite le baiser, le cœur fébrile.

« Tu m’as manqué, Erika-chan… Ces deux heures m’ont semblé être une éternité… C’est dingue, quand on y repense… »

Goro soupira longuement, avant de la relâcher un peu, et de l’amener à se retourner.

« Appuie-toi contre le lavabo, Erika-chan, je… Je vais te prendre là, j’en ai tellement besoin ! »

Oui, contre le lavabo, dans ces toilettes… Il ne pouvait plus se retenir, et Erika avait d’ailleurs sans aucun doute pu sentir sa verge massive se frotter contre elle au cours de ce baiser fiévreux !
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Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
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Erika, qui était arrivée aux toilettes des garçons du troisième étage visiblement un peu en avance, était fébrile et toujours un peu anxieuse. Il était en réalité très rare que ces toilettes soient utilisées, mais ça pouvait arriver, et elle ne pouvait se défaire de l'idée de ce qui se produirait si un garçon rentrait et la voyait ainsi dans ce lieu, surtout en ne portant pas de petite culotte. Ce n'était pas visible en soit mais...les légères lignes que formaient les gouttes de cyprine coulant le long de ses cuisses si, et elle était tellement excitée et frustrée que l'envie de se caresser était forte.
Heureusement pour elle, elle n'eut pas à attendre très longtemps. La porte des toilettes s'ouvrit, et si une poussée d'adrénaline la mit sur ses gardes, cela retomba bien vite quand elle constata que ce n'était pas un de ses camarades lycéen, mais bien son professeur, qui avait ouvert la porte un peu précipitament, visiblement lui aussi pressé de continuer ce qu'ils avaient commencé.

Goro-senseï...

Erika n'eut toutefois pas vraiment eu le temps de dire quoi que ce soit de plus, car Goro-senseï se rua presque sur elle pour l'enlacer, et l'embrasser. L'homme y allait maintenant avec beaucoup moins d'hésitations, et en était même à prendre des initiatives semblait-il, comme cette main qu'il glissa sous la mini-jupe de son élève pour aller palper ses fesses nues.

Hmm !

La jeune femme en fut surprise, mais pas de façon négative, bien au contraire même ! Si Goro-senseï se mettait à prendre les rennes, voilà qui correspondait plutôt bien à son fantasme de coucher avec un professeur. Il la poussa jusqu'à un des lavabos de la pièce, et échangèrent un long et langoureux baiser, au cours duquel Erika pu sentir sous le pantalon de Goro-senseï, contre son bas-ventre, une érection bien dure. Les doutes du professeur quand à la perspective d'avoir ce genre de liaison avec un de ces élèves semblaient bien avoir disparu, et quand il retira ses lèvres, il déclara qu'elle lui avait manqué.

Moi aussi senseï, j'ai eu...beaucoup de mal à ne pas repenser à ce qu'on a fait...

Puis il posa ses mains sur ses hanches, et la retourna pour faire face au lavabo, et au miroir qui se trouvait juste au dessus. L'homme l'invita à s'appuyer contre pour...qu'il puisse la prendre. La jeune femme sentit comme une boule d'excitation se former dans son ventre, il allait la prendre par derrière ? Oh mais combien de fois avait-elle pu en rêver ? Erika posa alors ses deux mains sur le lavabo, et se courba tout en écartant ses jambes l'une de l'autre légèrement. Sa mini-jupe de lycéenne était si courte que ses parties intimes furent aisément révélées, et elle était très humide.

J'ai tellement mouillée en pensant à vous Senseï...venez...

Re: Un fantasme inavouable (PV)

Message par Reine Alice Korvander »

Reine Alice Korvander
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Il fallait remonter à très loin pour que Goro-sensei se rappelle un jour d’avoir subi une telle excitation. Sa queue l’élançait douloureusement, elle était très dure. Remonter jusqu’aux toilettes avait été difficile, et il avait sans doute bousculé quelques élèves au passage, impatient de retrouver sa petite poupée. Erika-chan l’attendait, et ses lèvres étaient sucrées, délicieuses… Oh, si bonnes, si mielleuses, oui ! Il se pressa donc contre elle, et la retourna ensuite, la plaquant contre le lavabo. Toute frétillante, toute excitée, Erika-chan avait laissé loin derrière elle ses hésitations initiales, ses émois de jeune fille à l’idée de coucher avec son professeur. Elle sentit son membre épais, et se pressa donc, écartant les jambes, facilitant l’accès pour Goro-sensei, tout en lui demandant d’y aller, de la prendre, de venir.

Les mains moites, Goro-sensei posa une main sur sa verge, afin de la guider, et soupira en observant le spectacle magique du corps d’Erika-chan s’étaler devant lui. Son ventre rebondi tapa contre elle, et il regarda encore ce magnifique uniforme scolaire. Elle était si belle, si mignonne ! Ah, comment ne pas l’aimer profondément ? Son autre main caressa tendrement les longs cheveux d’Erika-chan, les serrant et les pressant doucement…

« Oh, Erika-chan… »

Puis il la pénétra. Son membre s’enfonça douloureusement en elle, et il grogna lentement, sentant la résistance de ses lèvres intimes. Sa queue tendue et assoiffée frémissait sur place, comme un petit volcan prêt à rentrer en éruption. Il l’entendit gémir, et remua encore, essayant de bien se caler. L’homme potelé n’était pas très habitué, mais il savait qu’il était désormais accroc au corps d’Erika-chan, et qu’il lui ferait longuement l’amour.

« Hnnn… Tu es si étroite, E-Erika-chan… Ma petite poupée d’amour, hrrrmmpfff… »

Goro-sensei grogna lentement, et remonta plus profondément en elle, avant de repartir en arrière, et se pencha vers sa chérie. Son ventre s’écrasa sur son dos, et il la plaqua sur le lavabo, bavant contre elle, salivant sur son épaule. Ses mains remontèrent ensuite, et il palpa les généreux seins d’Erika-chan à travers sa chemise, les sentant se durcir, les tétons pointant. Avec ses mains, il déboutonna la chemise sur le devant, et put ainsi attraper les seins de la femme, retirant son soutien-gorge. Il les pressa ainsi, malaxant les seins, pinçant les tétons entre ses doigts boudinés, et poursuivit son office, grognant longuement.

« Oui, je… Je t’aime, ma Erika-chan, hummm… Et toi, ma poupée ? Tu… Tu aimes sentir ma grosse queue en toi, hmmm ? Dis-le-moi ! Dis que tu aimes combien je m’occupe de toi, hn ! »

Car lui, il adorait franchement ça !
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