The Multiversity

Rose Cross était un ancien orphelinat chrétien qui, après avoir été abandonné pendant des années, avait été reconverti. Depuis, Rose Cross était le nom donné à une très prestigieuse école privée. Cette école était aussi discrète que riche, et sa clientèle se composait des plus riches aristocrates et contribuables du Japon. L’idée était d’y former l’élite du pays, en les éloignant des plébéiens, et en leur offrant des cours particuliers, spécifiques. L’école disposait de deux sites : le « site-A », réservé aux garçons, et le « site-B », réservé aux filles. Aucun des deux sites ne communiquait avec l’autre, de manière à éviter les confusions, et à offrir à chaque élève des leçons spécifiques en fonction de leurs sexes.

Le site-B avait lieu dans l’ancien couvent de l’orphelinat, et était tenu par une religieuse aussi belle qu’autoritaire, Sœur Louisa. Louisa pouvait se montrer aussi revêche que sympathique, et on disait qu’elle aimait encore se promener avec un fouet.

Parmi les membres du personnel enseignant, il y avait Itokuni Ichiro. Ichiro-sensei était un homme assez laid. Obèse, il avait aussi quelques boutons sur le visage, et suivait un traitement récurrent auprès d’un dermatologue pour les faire sauter. L’homme était pour le reste très compétent, et s’habillait toujours de manière chic. Célibataire endurci, il était aussi, et surtout, un redoutable pervers, qui avait mis des caméras d’espionnage dans le dortoir des filles, ainsi que dans les toilettes. Il savait ainsi que les filles et les garçons des deux sites continuaient à essayer de se voir, n’hésitant pas à soudoyer des vigiles. Ichiro-sensei avait accès à tout ça. Il enseignait l’informatique dans cette école, et avait géré l’installation de la fibre optique dans le lycée. Cette installation avait nécessité de creuser des tranchées souterraines, et c’était de cette manière que les ouvriers avaient trouvé une ancienne crypte.

Ichiro-sensei s’y était rendu, et avait constaté qu’il s’agissait de la cellule du dernier père supérieur de l’orphelinat, Père-Bénédicte. Il avait découvert une vieille malle abritant des chaînes, et plusieurs livres. Il y avait le journal de Bénédicte, mais aussi un étrange livre noir sans titre. Curieux, Ichiro-sensei avait conservé pour lui les deux ouvrages, et, en lisant le journal de l’ancien père supérieur, avait découvert le secret de Rose Cross. Tous les pères supérieurs de cet orphelinat appartenaient à la même famille, chacun étant le fils du précédent père supérieur. Avant d’être un orphelinat chrétien, le lieu était un sanctuaire shinto, un sanctuaire dédié à un kami très particulier. Le livre, que les religieux avaient appelé « Bible Black », détenait les pouvoirs du kami. Ces pouvoirs se transmettaient dans chaque père supérieur, et leur permettaient de coucher avec n’importe quelle femme. Pour cela, il suffisait de leur faire l’amour.

La tradition s’était terminée avec Père-Bénédicte, qui s’était emmuré dans sa cellule, afin de se repentir. Ichiro-sensei avait considéré avec scepticisme le témoignage du père supérieur, puis avait ouvert le livre. Le journal de Bénédicte contenait la formule et les gestes à faire. Le Bible Black recherchait un propriétaire, un Maître à qui se lier. En apposant son sang sur le livre, Ichiro-sensei avait vu ce dernier s’illuminer, et avait compris que ce n’était pas un mensonge, que c’était exact… Et que, de toute évidence, la lignée de Père-Bénédicte s’était terminée.

Aujourd’hui, dans son bureau, Ichiro-sensei était prêt à passer à l’action. Le lycée assurant un suivi très particulier, chaque élève devait venir dans le bureau des professeurs pour un entretien particulier. La verge tendue, Ichiro-sensei attendait la venue de Arisa, une très belle élève aux cheveux bleus. Le fait est qu’Ichiro-sensei était sacrément en manque, et qu’il avait très envie de coucher avec les élèves du lycée. Riches et belles, elles faisaient le fleuron du Japon.

*Et elles feront le mien…*

Depuis qu’il s’était lié à ce livre, Ichiro-sensei était de plus en plus excité. D’après Père-Bénédicte, un simple baiser suffisait. Certes, la femme pouvait résister, mais, tôt ou tard, elle succombait. Cependant, il fallait user de ce pouvoir, car, moins il le ferait, et plus ses pulsions sexuelles le dévoreraient. Le Bible Black n’encourageait pas à l’amour, mais à la luxure. Père-Bénédicte avait essayé de brûler ce livre impie, et avait fait pénitence, trépassant dans sa crypte.

Mais Ichiro-sensei était très loin d’avoir les scrupules de Père-Bénédicte, et comptait bien mettre à profit ses pouvoirs pour restaurer l’héritage de Rose Cross…

Suzuki Arisa était, comme la totalité de ses camarades à Rose Cross, la fille d'un couple très aisé, assez pour payer à leur fille unique des études dans l'école la plus prestigieuse et stricte du Japon. Les cours étaient exigeants, le personnel de l'école, qui faisait aussi office d'internat, aussi, mais tout était mis du côté des pensionnaires pour qu'elles réussissent leurs études. Elles étaient même strictement séparées de leurs camarades masculins, qui se trouvaient dans un tout autre bâtiment bien séparé, afin que même des amourettes de jeunesse ne viennent pas perturber la concentration de ces jeunes femmes destinées à un brillant avenir, la future élite du Japon.
Au contraire de certaines de ses camarades, Arisa n'était pas d'ascendance noble ou quoi que ce soit du genre, mais son père avait fait fortune grâce à internet et à ses multiples sites très fructueux, et puisqu'il en avait les moyens, voulait que sa fille unique dispose de la meilleure éducation possible. Elle était du genre assez discrète, sans pour autant être d'une timidité maladive, loin s'en fallait. Arisa avait son petit cercle d'amies au sein de l'école, elle n'était juste pas la plus extravertie du campus. Elle était en revanche très studieuse, et avait une bonne mémoire, ce qui lui facilitait grandement la tâche dans les matières scientifiques, qui étaient le domaine de spécialisation vers lequel elle souhaitait s'orienter.

Mais toute aussi douée soit-elle, Arisa avait droit comme tout le monde à un entretien individuel régulier avec un professeur de Rose Cross, pour faire le point sur ses notes, ses projets, et ses éventuels points faibles à corriger. Ce n'était pas vraiment un exercice qu'Arisa aimait faire, particulièrement vu le professeur qui lui était assigné. Vu sa spécialisation, c'était Ichiro-senseï qui se chargeait de son suivi régulièrement, et la jeune femme était très mal à l'aise en la présence de son professeur d'informatique, surtout seule avec lui dans son bureau. Elle se demandait si elle se faisait des films, mais elle était presque certaine que l'homme matait régulièrement elle ou certaines de ses amies. Il fallait dire que pour une école privée catholique, les uniformes réglementaires étaient plutôt courts, surtout en ce qui concernait leurs jupes...
Mais ce n'était pas à elle de se plaindre des standards des uniformes, pas plus qu'elle ne pouvait être certaine de ce qu'elle pensait, à savoir qu'Ichiro-senseï était un gros pervers qui se rinçait bien l'oeil. Et en l'absence de preuves très concrètes, Arisa ne se risquerait jamais à lancer des accusations qui pouvaient potentiellement être sans fondements, d'autant que même si il était laid et un peu étrange par moments, Ichiro-senseï était une pointure dans son domaine donc...

C'était donc après ses horaires classiques de cours qu'Arisa prenait le chemin du bureau d'Ichiro-senseï, suite à quoi elle pensait ensuite aller à la bibliothèque, ou bien retourner dans sa chambre de l'internat pour étudier et réviser. Si elles ne pouvaient pas quitter l'enceinte de l'établissement sans autorisation, les filles de Rose Cross pouvaient en revanche circuler tout à fait librement en son sein. Elle arriva donc à la porte, toqua poliment avant de l'ouvrir, et de rentrer dans le bureau.

Bonjour Ichiro-senseï, je viens pour mon entretien personnalisé.

Elle parlait d'une voix fluette et délicate, et transpirait la jeunesse et l'innocence, autant dire une première proie de choix pour le professeur pervers !

Ichiro-sensei avait une réputation redoutable au lycée. Plusieurs de ses collègues voulaient le renvoyer, car plusieurs filles l’avaient accusé de parfois les observer avec un peu trop d’insistance pendant les cours. Les filles portaient généralement un uniforme léger, avec une petite cape recouvrant leurs épaules, les protégeant ainsi du froid. Ichiro-sensei savait aussi que Sœur Louisa ne l’aimait pas, qu’elle avait le pressentiment qu’il n’était pas net.

Arisa-chan finit par arriver, arrachant l’homme à ses pensées. Il alla la voir, et ouvrit la porte.

« Bonjour, Suzuki-san. Installe-toi, je t’en prie. »

Il referma la porte derrière lui, et pensa à tourner la clef dans la serrure. Rien qu’en voyant le beau visage d’Arisa, sa longue chevelure bleue, et ses formes parfaitement proportionnées, Ichiro-sensei sentit une nouvelle érection le saisir. Comme on pouvait s’y attendre, l’homme n’avait jamais été très heureux en amour. Quand il avait l’âge d’Arisa, on se moquait de lui. Les Japonais étaient exemplaires en cours, mais pouvaient aussi se montrer très cruels entre eux. Il avait été un ijime, exclu du groupe. Une « bouboule ». Les professeurs se moquaient de lui, le professeur de sport le raillait, et il se rappelait encore des gloussements moqueurs des filles du lycée quand il n’arrivait plus à courir.

Mais là, il détenait le pouvoir, et renifla la délicieuse odeur d’Arisa-chan, son doux parfum de vanille. Elle s’assit sur la chaise, et le professeur se retourna vers elle.

« Tu peux retirer ton manteau, Suzuki-san, il fait vite chaud dans les bureaux. »

Elle obéit sagement, dévoilant ses belles épaules. L’uniforme mettait joyeusement ses seins en valeur, et Ichiro-sensei s’assit lourdement devant elle. Il avait sorti son dossier scolaire, comprenant toutes ses interrogations, les contrôles, et les observations d’Ichiro-sensei. Au sein de la classe, Arisa-chan était un peu la fille-modèle. Elle était très douée en informatique, souriante et avenante envers tout le monde. Elle priait tous les soirs, connaissait ses prières par cœur… Une cible idéale pour Ichiro-sensei.

« Alors, alors… Tes résultats dans ma matière sont excellents, Suzuki-san, ce qui ne me surprend pas outre mesure. Ton père est un génie dans ce domaine, après tout. »

En d’autres circonstances, Arisa-chan aurait pu être sa fille. Son père, contrairement à lui, était beau, mince, svelte. Lui était né gros, et n’avait jamais pu lutter contre sa boulimie. Son obésité n’avait fait que s’accentuer par la suite, jusqu’à la situation actuelle. Il loucha encore sur les seins d’Arisa-chan, sans grande discrétion, maintenant sa phrase en suspens.

« Enfin… Tu as toutes mes félicitations, Suzuki-san. Je sais que les élections des déléguées se rapprochent, est-ce que tu envisages de postuler ? »

Il essayait de se calmer, mais, plus le temps passait, et plus le parfum de cette jeune fille l’enivrait. Il y avait peu de classes à Rose Cross, tout au plus deux classes de filles et trois classes de garçons. Le poste de déléguée était donc très prisé, et Suzuki-san était bien partie. Ichiro-sensei mit finalement fin à l’entretien après quelques minutes, et invita la jeune femme à aller récupérer le formulaire d’évaluation qu’il avait rempli au cours de l’entretien.

Pour cela, elle dut se rapprocher de lui, contournant le bureau. Lui anticipait. Il craignait toujours que rien ne se passe comme il le devait, que le sortilège ne fonctionne pas… Et, quand elle se pencha vers lui, et qu’elle récupéra le cahier, il releva soudain sa main, et l’attrapa au visage. Tout alla ensuite très vite. Il ne voulait pas qu’elle hurle, et il se pencha brusquement vers elle, puis l’embrassa. Au pire… Au pire, il serait bon pour un renvoi ! Il l’embrassa pendant de longues secondes, et entendit la jeune femme se débattre. Le baiser se rompit ensuite, et il se redressa, face à elle, paniquée.

« Agenouille-toi, Arisa-chan. »

S’il ne contrôlait pas encore son esprit, son corps serait normalement sien… Et elle obéirait donc, sans pouvoir lutter… Exactement comme il le souhaitait !

Arisa avait toujours une petite boule dans le ventre au moment de ces entretiens. Pas fondamentalement par la nature même de ces entretiens, vu qu'elle savait pertinemment qu'elle n'avait rien à craindre, que ce soit vis à vis de ses résultats ou de son attitude...mais Ichiro-senseï avait le don de la mettre mal à l'aise. C'était un peu moins le cas lors des cours, car elle n'était pas seule avec lui, mais lors de ces entretiens qu'elle passait régulièrement avec lui, elle avait vraiment l'impression qu'il la dévorait du regard, et qu'il la coincerait volontiers dans un coin si il en avait l'occasion. Ichiro-senseï lui ouvrit donc la porte peu après qu'elle aie toquée, et la jeune femme rentra donc dans le bureau, en sentant immédiatement la différence de température. Il faisait indéniablement plus chaud dans le bureau de son professeur que...dans presque n'importe quelle autre salle du bâtiment, et silencieusement, elle fit donc ce que le professeur lui demanda, à savoir retirer son manteau, qu'elle posa sur le dossier de sa chaise.
Il s'agissait d'une longue tunique en tissu, que les élèves disposaient en plusieurs épaisseurs en fonction de la période de l'année, et qui permettait de ne pas...systématiquement se trouver avec seulement leur uniforme. Cela avait été instauré sous soeur Louisa, afin de rassurer les élèves qui trouvaient ce costume, certes traditionnel, mais bien révélateur. Arisa se retrouva donc dans le bureau avec "juste" son uniforme, et prit place sur la chaise face au bureau de son professeur, le tout en croisant ses jambes. Sa jupe était si courte que si elle ne le faisait pas en étant assise, on pouvait clairement voir sa petite culotte.

Arisa en était mal à l'aise, car elle se doutait qu'il s'agissait là d'une tactique mise en place exprès par Ichiro-senseï pour qu'il puisse mater. Même si elle était un peu plus timide que la moyenne, Arisa n'en était pas une asociale pour autant, et elle discutait avec ses camarades, et elle n'était pas la seule à être mise mal à l'aise face à cet homme. Elle sentait son regard sur son corps, sur ses belles jambes épilées, comme tout le reste de son corps, et sur ses seins tout de même bien moulés par son uniforme. Mais...accuser un professeur de la regarder, ce n'était pas une tâche évidente à prouver.

Merci Ichiro-senseï, je travaille d'arrache pied pour obtenir de bons résultats.

Elle faisait de son mieux pour ne pas laisser transpirer le malaise qui était le sien, surtout qu'elle notait bien les regards qu'il lui lançait de temps en temps, quand il relevait légèrement les yeux de son dossier scolaire, pour les poser sur elle. Il ne semblait même pas chercher à se cacher, conscient que la jeune femme ne pouvait pas non plus l'accuser de poser un regard sur elle.

*Quel pervers...vite, pourvu que ça se finisse vite...*

Le sujet des élections de délégués tomba alors, et elle confirma qu'elle envisageait de se présenter, ce qui serait un bon élément en plus sur son dossier scolaire. Mais plus le temps passait, et plus Arisa sentait la gêne en elle monter, comme si son corps essayait de l'avertir de quelque chose, et il y avait aussi quelque chose dans l'attitude de son professeur qui était...encore plus dérangeant qu'à l'accoutumée. Mais enfin, il mit fin à l'entretien, et l'invita à venir chercher sa feuille d'évaluation. Comme d'habitude, et là aussi, Arisa se doutait qu'il le faisait exprès, la jeune femme devait contourner le bureau pour s'approcher de l'homme, afin de pouvoir prendre cette feuille. Arisa se releva donc, s'approcha, passant du côté où se trouvait Ichiro-senseï...et là...
Arisa ne comprit même pas ce qui se passa, tant tout alla vite. A peine avait-elle pris le cahier d'évaluation qu'une main de son professeur se posa fermement sur son visage, et sans qu'elle aie le temps de réagir...elle se retrouva avec les lèvres de son professeur contre les siennes !
Son esprit fut comme frappé par un long moment de blanc, qu'on aurait pu mettre sur le compte du choc et de la surprise, mais qui était en réalité aussi l'oeuvre d'un sort la frappant. Elle sembla toutefois reprendre ses esprits dès lors que le contact se brisa, et elle sentit une bouffée d'angoisse et de peur la prendre, ce qui la fit reculer alors que son professeur, lui, se redressait. Elle allait crier mais...ensuite Ichiro-senseï lui ordonna de s'agenouiller. Cet ordre sonna en elle comme un impératif à obéir absolument, qui ne souffrait d'aucune discussion, d'aucun débat. Le corps d'Arisa sembla se mouvoir sans qu'elle n'aie le moindre contrôle dessus, et la jeune femme se mit effectivement à genoux par terre, tout en étant effectivement paniquée.

M-mais...qu'est-ce que...qu'est-ce qui m'arrive ?

La jeune femme voulait se relever, mais elle en était parfaitement incapable...un sentiment de panique la parcourait donc, au point qu'elle ne nota même pas la grosse bosse au niveau du pantalon de son professeur, qui la toisait.

Un sourire ravi et pervers étira les lèvres d’Ichiro-sensei devant ce spectacle. Arisa-chan s’agenouilla devant lui, et il lut la détresse dans son regard. Tout cela le fit encore sourire, et il se déplaça doucement, se rapprochant d’elle. Une belle bosse déformait alors son pantalon. Ichiro-sensei laissa encore passer quelques secondes, avant de se racler la gorge, tout en retirant sa ceinture, qui tomba sur le sol.

« Tu ignores les secrets de cette école, hein ? Avant d’être une école, cet endroit était un orphelinat abritant un couvent… Un endroit très particulier, tu vois, Arisa-chan. Et, avant l’orphelinat, c’était un sanctuaire voué à une ancienne divinité… Ou à un démon, je ne sais pas trop. En tout cas, à un esprit très particulier, un esprit qui s’investissait dans le corps d’un homme. Des femmes se sacrifiaient alors pour satisfaire l’esprit, et pour le maintenir ici. Quand les Chrétiens sont venus au Japon, ils ont réussi à enfermer cet esprit dans un livre. »

Ichiro-sensei se redressa lentement, et ouvrit son tiroir, sortant le livre. C’était un livre noir, qu’il déposa sur le sol, devant Arisa-chan. Elle put l’observer, et sa main se glissa alors, venant caresser les cheveux de la jeune femme.

« La tradition s’est perpétuée sous le couvent… Toutes les sœurs religieuses n’étaient que des amantes pour les hommes de l’orphelinat. Le Père supérieur se faisait plaisir, crois-moi, et je soupçonne même Rose Cross d’avoir versé dans l’inceste. »

L’orphelinat avait terminé de façon tragique, par un incendie, visiblement fait par Père-Bénédicte, pour mettre fin à cette lignée néfaste fondée sur la luxure. Le professeur abaissa son pantalon, révélant son caleçon, qu’il ôta également. Un sourire pervers se dessina sur ses lèvres, et Arisa-chan pouvait alors constater que… Que son sexe puait fortement. Il ne s’était pas lavé ici, et avait beaucoup joui dans son caleçon, ce qui donnait à son membre tendu et veineux une odeur puante et crasseuse.

Sa queue gonfla doucement sur place, comme si elle appréciait d’être à l’air libre.

« J’ai retrouvé ce livre, ma belle… Et j’entends bien perpétuer cette vieille tradition. Si tu savais comme tu me fais bander, Arisa-chan… Tu ne peux plus m’échapper, c’est comme ça. Sois heureuse d’être la première choisie, Arisa-chan, car je compte bien convertir toute cette école. »

Il sourit encore à cette idée, et sentit une nouvelle vague traverser sa queue.

« Quand je t’ai embrassé, je t’ai fait mienne. Tu es désormais obligée de m’obéir, et laisse-moi te dire que mes pouvoirs sont plutôt forts, car le livre n’a pas été utilisé depuis longtemps ! »

Tout cela ressemblait à un mauvais rêve, à une sorte de cauchemar éveillé, mais Ichiro-sensei ne plaisantait pas. Il se rapprocha encore, tant et si bien que sa queue frôla le nez de la jeune lycéenne.

« Tu sais depuis combien de temps je bande sur les lycéennes comme vous ? Quand j’avais ton âge, les filles comme toi se moquaient de moi… Et je sais que vous continuez encore à vous moquer de moi, qu’il y a une pétition qui circule pour demander mon exclusion. Mais il n’y aura rien de tout ça, Arisa-chan. Tu seras la première fille à comprendre quelle est ta place dans ce monde… Celle d’être une chienne au service du mâle dominant ! Et, cette fois, c’est moi, le mâle dominant ! »

Oui, c’était lui, et non plus tous ces garçons qui se moquaient de lui, qui l’humiliaient, qui lui volaient ses affaires, qui l’enfermaient dans son casier… Indéniablement, Ichiro-sensei aurait dû être interdit d’enseigner, et aurait sans aucun doute dû suivre une thérapie. Il n’avait jamais pu échapper à ses traumatismes, le plus terrible ayant été d’avoir été enfermé dans une poubelle pendant toute une nuit. Il avait bien cru mourir quand le camion-benne était passé, et n’avait dû sa survie qu’en tambourinant furieusement contre la poubelle. Les garçons de la classe l’avaient auparavant déshabillé, lui avaient collé à la glu un masque de porc sur la tête, l’avaient sodomisé avec un gode, et avaient terminé en lui pissant dessus, avant de le jeter dans la poubelle. Une issue logique pour celui qu’ils appelaient « Le Porcinet », et qui était tombé dans un piège. Car, à l’époque, il avait cru qu’une fille du lycée l’aimait, et qu’ils sortiraient ensemble au bal de fin d’année. Mais, quand il avait été la voir, dans son smoking flambant neuf, faute de voir la belle déléguée, il avait juste vu un porc, et le rire goguenard d’autres élèves ayant masqué leur visage derrière des masques de porc… Puis les humiliations qui avaient suivi, son smoking déchiré, les moqueries, tandis que les élèves singeaient des cris de porc, se moquaient du Porcinet pervers

Oui, les enfants pouvaient être très cruels, et des filles comme Arisa-chan, Ichiro-sensei en avait croisé toute sa vie, des gamines prétendant être de bonnes sœurs, mais qui détournaient les yeux. Personne ne l’avait jamais aidé, personne n’était jamais venu la secourir. Ce livre était comme une bénédiction, et le ressentiment d’Ichiro-sensei ne faisait que rendre l’interaction avec le livre plus fort.

« Oh oui, je vais te baiser, Arisa-chan, je vais te défoncer comme jamais on ne t’a défoncé… Et je défoncerai ensuite les autres, et vous serez toutes mes putes. Tu ne me crois pas ? Tu crois encore pouvoir m’échapper ? Ha ! Commençons ! »

Il saisit sa queue, et la frotta sur le visage de la jeune femme.

« Tu aimes cette odeur, hein, salope ? Tu ferais mieux de t’y habituer, crois-moi ! Commence bien comme il faut… Renifle ma queue. Lèche mes testicules. Embrasse ma bite. Renifle bien fort, imbibe-toi les poumons de cette odeur, car tu la ressentiras tous les jours, Arisa-chan ! »

Arisa était effectivement terrifiée, et avait toutes les raisons de l'être. Son corps semblait ne plus lui obéir comme par magie ! Elle voulait fuir, se relever, courir vers la porte et chercher de l'aide, mais ses muscles, ses membres, refusaient de lui répondre, comme si quelque chose d'autre avait vraiment le contrôle de son corps.

Au secours...n-non...

A ce stade là, la jeune femme commençait à pleurer car ses craintes se révélaient être fondées, le semblant de masque que cet homme mettait pour faire plus ou moins bonne figure était tombé, et Arisa le voyait tel qu'il était vraiment, un prédateur sexuel. Les quelques mots pour appeler à l'aide, qu'elle venait de prononcer, elle avait initialement voulu les hurler à s'en casser les cordes vocales, pour que quelqu'un puisse l'entendre. Au lieu de ça, ce ne fut qu'un délicat sanglot tout juste audible par son professeur car il se trouvait dans la pièce, même quelqu'un se trouvant à cet instant face à la porte n'aurait pas pu l'entendre, et c'était pour ça qu'elle se mettait à pleurer, car elle se rendait compte qu'elle était...piégée. Elle écarquilla les yeux en voyant Ichiro-senseï défaire sa ceinture pour la jeter à terre, ayant alors une grande appréhension lui parcourant tout son beau corps, qui pourtant refusait toujours de bouger.
L'homme commença alors à lui parler, à lui raconter l'histoire de ce lieu, et à lui montrer un livre à la couverture noire. Elle sanglotait, dramatiquement effrayée, encore à se demander ce qui lui arrivait, pourquoi elle ne pouvait pas se relever, pourquoi elle ne pouvait pas hurler, elle était prisonnière de son propre corps, ce qui était absolument terrifiant ! Elle ne pu donc lutter quand, en s'approchant d'elle, l'homme glissa ses gros doigts dans ses cheveux soyeux.

Non...arrêtez ça...

Puis vint le moment où Ichiro-senseï déboutonna son pantalon pour le retirer, ainsi que son caleçon, tout en se trouvant non loin d'elle. Arisa se fit presque immédiatement agresser par l'odeur répugnante qui s'échappa, au point qu'elle en eu un haut-le-coeur, sans aller toutefois jusqu'à vomir...mais ça n'en était pas passé loin. L'homme avait du passer au moins une semaine à ne pas se laver à cet endroit pour dégager une telle odeur, mélange de sperme et de sueur macérée, c'était absolument horrible !
Puis il continua à parler, sous le regard terrorisé de la jeune femme, alors qu'il parlait de la violer, et qu'elle était en son pouvoir. De...de la magie ? Arisa ne pouvait y croire, ce n'était que de la fantasy pour des romans et des films. Mais elle ne pouvait toujours pas bouger, et ne pu donc lutter, encore une fois, quand l'homme s'approcha assez pour poser le bout de son sexe puant directement sur le petit nez de la jeune femme. Elle ferma alors les yeux dans une moue de dégoût qui parcourait son visage.

Non...je ne veux pas...au secours...

Et il continua à l'effrayer d'avantage, en décrivant à quel point il allait la baiser, elle, qui avait mis de côté toute idée d'avoir un petit ami le temps de réussir ses études, elle qui était vierge comme la neige immaculée, et le tout en se mettant à frotter sa bite contre son visage délicat.
Puis...puis il lui ordonna de faire des choses, et ces ordres eurent un effet très particulier sur la jeune Arisa. Tout d'abord, l'odeur de sexe non lavé sembla d'une seconde à l'autre ne plus la dégoûter, et elle rouvrit alors les yeux pou voir juste contre elle ce gros mandrin tout tendu, puant, avec une touffe épaisse de poils pubiens, et des testicules elles aussi poilues.

Qu'est-ce que...

Elle n'eut pas le temps de finir sa question, qu'elle se retrouva, à sa plus grande surprise, le nez fourré contre les couilles de son professeur, et elle inspira alors à plein poumons l'odeur qui s'en dégageait. Elle le fit à plusieurs reprises, et il était tout à fait audible pour Ichiro-senseï qu'elle prenait de très grandes inspirations, tout en ayant son nez parfaitement fourré contre. Puis la jeune femme ouvrit sa bouche pour laisser sortir sa langue, et tandis qu'elle posa ses délicates petites mains sur les cuisses de l'homme pour pouvoir prendre appui, elle se mit à lui lécher les couilles. Un goût désagréable, à la hauteur de l'odeur, l'assaillit, mais elle se trouvait bien incapable d'arrêter. Sa langue glissait sur ses testicules tendues, sur les poils qui s'y trouvaient aussi.

Hnnnn...

Impossible pour elle alors de parler, mais intérieurement Arisa était partagée entre l'incompréhension, la peur et...de l'excitation ? C'était comme si, en insinuant que la jeune femme aimait cette odeur, que le sort avait alors influé l'esprit de la jeune femme pour qu'effectivement, elle se mette à apprécier cette odeur de sexe puant. La jeune Arisa resta un moment à lécher les couilles de son professeur, avant de délicatement remonter un peu plus haut, vers sa bite, où elle commença à déposer une multitude de baiser bien humides, le tout en continuant de respirer à plein nez l'odeur.

Ichiro-sensei sourit malicieusement quand Arisa-chan se pressa vers lui, et renifla longuement sa queue. Il la laissa faire, silencieux pendant un certain temps. Depuis combien de temps rêvait-il de la baiser ? De la dominer ? Qu’elle le supplie, qu’elle hurle… Dans ses fantasmes, Ichiro-sensei ne rêvait pas d’une amoureuse, d’une femme qu’il pourrait aimer et chérir. Ses fantasmes étaient pervertis par ce qu’il avait vécu, par sa colère, par sa rage et par sa frustration. Il voulait donc les faire souffrir, les faire hurler. Il voulait les humilier, les battre, les dominer, qu’elle gémisse son nom, qu’elle devienne ses salopes. Oui ! Oui, c’était ça, et juste ça ! Il voulait qu’Arisa-chan soit sa première salope, sa chienne personnelle ! Toute l’affection qu’il ressentait potentiellement pour elle était pervertie par sa manière d’agir, par son comportement intense et brutal.

« Hmmm… Là, là, c’est bien, Arisa-chan… Tu le sens, n’est-ce pas ? Cette vague qui remonte en toi… Ce désir inattendu qui trahit tes pensées profondes… Je ne peux contrôler tes pensées, Arisa-chan, mais ton corps de poupée est mien. Pourquoi donc crois-tu que Rose Cross est resté secret pendant si longtemps ? Qu’aucune religieuse n’a jamais ébruité le secret de ce lieu ? Le pouvoir du Livre… Il influe sur le corps des femmes. J’aurai beau te violer pendant des heures, te battre, te torturer, ton corps en redemandera toujours… »

L’esprit de la jeune femme devait sans doute être horrifié à cette idée, et elle continua à lécher sa queue, qui grossit encore. C’était un membre bien veineux, très gros. Ichiro-sensei était suffisamment lucide pour savoir qu’il n’avait jamais eu une érection de cette taille et de cette épaisseur. C’était le pouvoir magique du Livre qui influait sur lui.

« Il y a plein de petits détails, tu sais… Par exemple, le Livre disait que, si je prends l’hymen d’une vierge, celle-ci ne pourra aimer que ma queue. Si quelqu’un d’autre tente de te pénétrer par la suite, tu trouveras le goût fade et amer, sauf si je t’ordonne le contraire… »

Devant la réaction des yeux d’Arisa, Ichiro-sensei sourit encore, comprenant que la jeune femme était bel et bien vierge, ce qui corroborait ce qu’il savait. Beaucoup de filles du site-B forniquaient secrètement avec les garçons du site-A, mais pas Arisa. Si ses parents étaient fortunés, ils avaient tout de même dû dépenser beaucoup d’argent pour la conduire ici, et avaient notamment dû s’endetter. Elle travaillait donc d’arrache-pied, et il ricana encore, grassement.

Sa main caressait ses cheveux, tandis qu’elle continuait à embrasser sa queue, s’enivrant de son odeur. Petit à petit, son membre se recouvrait de sa salive.

« Shht-shhht… Reprends tes esprits, Arisa-chan. »

Elle s’agenouilla à nouveau devant lui, incapable de se relever. C’était comme si des fils invisibles manipulaient son corps, comme si un marionnettiste était en train de jouer avec son corps.

« Tu seras la première des élèves, Arisa-chan. Tu m’aideras ensuite à convaincre les autres. Comme tu le sais, après les élections des déléguées, vous devez vous réunir pour élire le Professeur principal du lycée. J’envisage de concourir à ce poste, et de bénéficier sur vos voix, pour pouvoir ensuite me débrouiller pour virer du lycée tous les éléments les plus nuisibles, et conserver à mon service une petite bande de salopes en manque de bites comme toi et le reste de tes amies. »

Le Professeur principal disposait d’un pouvoir important. À Rose Cross, l’élection des déléguées avait une véritable fonction politique, avec des pouvoirs importants, l’idée étant de sensibiliser dès l’adolescence les jeunes élites du pays au sens des responsabilités, y compris en matière politique. Ce poste permettrait à Ichiro-sensei d’asseoir son autorité de façon indiscutable sur le lycée.

« Je ne suis pas cruel, tu sais… Je vais même t’offrir le choix. Un choix qui sera pris en fonction de ce que tu désires le plus, sans aucun doute… Soit tu me suces et ma première jouissance ira dans ta bouche, soit tu me donnes accès à ta petite chatte, et je te baise comme une chienne pour que tu sois jamais mienne. »

C’était un choix… Pour autant qu’on puisse parler d’un choix en telle situation. D’une voix doucereuse, il poursuivit :

« De toute façon, tous tes trous vont y passer. Ensuite, c’est toi qui reviendras me voir en rampant pour que je te défonce à nouveau… »

Alors qu'elle goûtait à la bite d'Ichiro-senseï contre ses lèvres, le sort faisait de plus en plus d'effets sur Arisa, qui commençait à ne même plus pouvoir contrôler ses paroles. Intérieurement, elle voulait hurler, crier à l'aide pour qu'on vienne la sortir de ce cauchemar éveillé, mais plus aucune fonction de son corps, autre que son esprit, ne semblait être sous son contrôle. Et si seulement il n'y avait que ça, mais elle commençait aussi à se sentir excitée, à force de lécher et d'embrasser la queue puante de son prof. La suggestion qu'elle aime cette odeur s'était marquée profondément en elle, et contre son gré, la jeune femme en devenait toute émoustillée.

*Je...je ne contrôle plus rien...*

Seules ses pensées étaient encore les siennes, mais pour combien de temps encore ? Si son corps la trahissait, combien de temps avec qu'elle même ne finisse par céder ? Alors qu'elle s'attelait à lécher la grosse queue tendue de son professeur, ce dernier continua à lui parler, de ce livre, de ce pouvoir qu'il possédait désormais, et surtout de la particularité concernant les vierges...qui effraya encore plus Arisa. Car effectivement, la jeune femme était une vierge parfaite, ce que son professeur pu deviner en voyant son regard paniqué à l'évocation du fait qu'elle n'aimerait que sa queue si il lui prenait sa virginité. Comment ? Pourquoi ? C'était à ce stade là des détails, mais Arisa n'en était plus au stade de se questionner sur la réalité de ce qui était en train de se passer, elle voulait juste s'enfuir, mais ça semblait de plus en plus compromis.

*Non pas ça...j'ai peur...*

Mais rien n'y faisait, la jeune femme pouvait tout au plus gémir et soupirer alors qu'elle continuait à parcourir le sexe d'Ichiro-senseï avec ses lèvres et sa langue, tout en continuant à humer son odeur poisseuse. Puis il lui ordonna, au bout d'un long moment, de s'arrêter. Arisa reprit alors sa position initiale, toujours agenouillée, avec son visage faisant face au sexe d'Ichiro-senseï, qui était désormais bien couvert par sa salive. Et, puisqu'elle était sous son emprise, il lui détailla son plan, qui était de l'ensorceller elle et d'autres candidates au poste de déléguée, afin qu'elles votent ensuite pour lui au poste de professeur principal, et qu'il puisse ainsi se constituer un harem, tout en évictant ses rivaux. C'était...tout bonnement fou, et ça en aurait été risible aussi si Arisa ne se trouvait pas dans pareille situation.
Puis...l'homme lui laissa un choix, si on pouvait dire ça ainsi. Cependant, comme elle ne pouvait pas consciemment faire de choix entre ces deux propositions, vu qu'elle n'avait qu'envie de s'enfuir, le sort qui faisait effet sur elle puisa dans son subconscient pour trouver la réponse...et Arisa se redressa alors doucement.

*Que...qu'est-ce que je fais ? Non !!!*

La jeune femme prit un air paniqué au niveau de ses yeux, en constatant que ses mains se dirigèrent sous sa jupe pour empoigner les rebords de sa culotte, qu'elle fit ensuite glisser le long de ses jambes fuselées, couvertes toutefois en majorité par son élégante paire de collants. Elle retira alors sa culotte, puis se dirigea vers le bureau, grimpant dessus pour s'asseoir sur le rebord. Sa jupe était tellement courte qu'elle n'avait même pas besoin de la relever, juste d'écarter bien les jambes pour qu'Ichiro-senseï aie une vue parfaite sur sa petite chatte, qui était d'ailleurs parfaitement épilée, et Arisa glissa alors une main près de ses lèvres intimes pour les écarter, permettant ainsi à l'homme de voit un peu mieux l'intérieur de son vagin, au point de pouvoir en distinguer la fine membrane de son hymen.

Hmmm...

Elle était donc là, les cuisses écartées...s'offrant contre son gré à son professeur dans une "invitation" qui ne laissait guère place au doute.

Ichiro-sensei était prêt à le faire. Prêt à unir définitivement Asura-chan à lui. Il n’avait évidemment pas tout dit à elle, car lui-même ne savait pas trop les règles du Livre. Ce qui était sûr, c’est que chaque porteur successif avait dû féconder son propre héritier. Pourquoi y avait-il un seul homme et que des femmes ensuite ? Ichiro-sensei n’en savait encore trop rien, mais il était intimement convaincu que, si quelqu’un au sein de Rose Cross devait porter son fils, ce serait elle. L’homme délirait sans doute, poussé par la jubilation du plaisir et de l’excitation. Mais il s’imaginait bien restaurer Rose Cross sous un jour nouveau. Quand Arisa-chan serait convaincue, elle lui obéirait fidèlement.

Il pouvait sentir l’hésitation dans son regard… Puis la jeune fille se redressa, et abaissa sa culotte. Elle s’assit ensuite sur le rebord du bureau d’Ichiro-sensei, et se caressa intimement, écartant tant et si bien les jambes qu’elle révéla sa vulve. Le professeur déglutit, et frémit sur place, sa queue continuant à lui faire mal. Il aurait presque pu imaginer un serpent remuer à l’intérieur, sifflant sur place ne souhaitant pénétrer cette femme. Elle s’amusa à écarter ses lèvres intimes, se tortillant sur place, tout en gémissant lascivement. Des ondes de douleur remontèrent dans son corps, et sa queue lui fit mal, frémissant sur place en se redressant.

« Oh bordel… Tu es vraiment une belle petite salope, Arisa-chan… »

L’homme entreprit alors de se déshabiller. Il défit sa cravate, qui tomba au sol, retira son gilet, puis sa chemise, révélant un corps massif et velu. Pesant près de 120 kilos, Ichiro-sensei était massif, et acheva de se déshabiller pleinement. Son gros ventre tapait sur sa verge, celle-ci semblant creuser un léger pli au milieu de son estomac. Tout nu, il se rapprocha d’elle, sa puanteur remontant encore, notamment au niveau des aisselles.

Ichiro-sensei avait prévu de ne plus se laver beaucoup, maintenant. Il venait de constater que le sortilège fonctionnait, et il comptait bien l’utiliser sur chaque femme de Rose Cross ! Les lycéennes, bien sûr, mais aussi les professeurs, et même les surveillantes ! Asura-chan ne serait que la première, son égérie ! Il se rapprocha encore elle, et se pencha alors lourdement, son ventre venant heurter le corps de la jeune femme. Ses narines reniflèrent son cou, son délicieux parfum, et il posa sa main sur ses cheveux, avant de ricaner grassement, dans le creux de son oreille.

« Héhé, tu es tellement en manque, Arisa-chan… Je sais que ma vue te rebute, tu me prends pour un idiot ? Je n’ai toujours inspiré que deux choses aux gens : du mépris, ou de la pitié. Toi, tu ressens les deux pour moi… Ou, plutôt, tu les ressentais jusqu’à présent. Maintenant, tu ressens de la peur… Et aussi du désir. Et je vais te défoncer, ma chérie. Tu sens ma queue qui se frotte contre toi ? »

Il ricana encore. Ichiro-sensei s’était lentement abattu sur elle, et le bureau, qui avait beau être solide, couina doucement en se reculant. Il retenait Arisa-chan contre lui, tandis que son membre disparaissait sous sa minijupe, titillant la délicate peau de la jeune femme.

« Je suis sûr qu’au fond de ton esprit, tu te dis que tu vis la pire journée de ton existence… Et ça m’amuse. Maintenant… Enroule tes bras autour de mon cou. »

Elle s’exécuta docilement, et il la souleva sans difficulté, posant une main sur ses jambes, et une autre sur son cul. Il sourit en sentant cette délicieuse masse moelleuse et chaude, et sortit sa langue baveuse, léchant son visage, glissant sur ses lèvres, puis sur son nez. Il se déplaça à nouveau, et l’allongea en plein milieu du bureau, lui-même se couchant à son tour. Les jambes de la femme disparurent sous son corps, et son gros ventre s’écrasa sur son corps, avant de s’enfoncer et de déborder sur le rebord. Il se concentra alors…

…Et la pénétra d’un coup sec. Ichiro-sensei frémit lentement, puis commença à remuer, tout en grognant sur place.

« Hnnn… Ce que tu es serrée, ma salope… Si étroite, si bonne… Hihi… La chatte d’Arisa-chan est à moi, ainsi que son beau petit hymen… Oh, ma Arisa-chaaaaaann… !! »

Il ricana encore, grognant également sur place. Sous l’effet de l’excitation, son surnom de « Porcinet » se justifiait, car il avait tendance à siffler du nez, à grogner, comme les grognements d’un cochon… Pour le dire clairement, la première fois d’Arisa-chan ne serait clairement pas romantique et pleine d’amour ! Il comptait la baiser sans remords, et user de son corps comme d’une poupée sexuelle, sans rien lui épargner !

A ce stade d'envoutement, il n'y avait guère plus que le regard d'Arisa-chan qui pouvait refléter à quel point elle était intérieurement paniquer. Le reste de son corps était sous l'effet du sort, sous l'influence de la volonté d'Ichiro-senseï, qui s'était répandu en elle comme une sorte de maladie très rapide. Jamais de son propre chef, Arisa n'aurait fait quelque chose d'aussi indécent, retirer sa petite culotte pour ensuite exposer ainsi sa chatte à la vue de quelqu'un, et encore moins de cet homme là, et pourtant c'était exactement ce qu'elle venait de faire.

*NON ! NON PAS ÇA ! AU SECOUUUUUURS !!!!*

Mais rien d'autre que quelques gémissement parvenaient à sortir de ses lèvres, alors qu'elle avait les yeux fixés sur son professeur...qui termina alors de se déshabiller. Arisa le vit alors complètement nu, obèse et poilu, il ressemblait à une espèce d'ours qui en plus de ça était mal lavé, sans doute de façon volontaire pour qu'Arisa se sente encore plus souillée. Elle le vit alors s'approcher, à sa plus grande horreur, avec sa verge tendue qui, si elle ne pouvait rien faire, allait la pénétrer, lui voler sa virginité...et selon ses dires, faire d'elle son esclave pour de bon. Tout ça semblait surréaliste, mais Arisa y croyait complètement vu ce qui était en train de lui arriver, et elle avait peur...serait-elle seulement encore elle même ? L'homme vint se glisser contre elle, entre ses cuisses écartées, et la jeune femme pu alors sentir la verge massive d'Ichiro-senseï filer sous sa mini-jupe, et se frotter contre son mont de vénus. La jeune femme, même si elle était vierge, prenait autant la peine de s'épiler son intimité que ses jambes ou ses aisselles, ne supportant pas les poils, le bout du gland de l'homme toucha donc à sa peau toute doucereuse, terriblement proche de l'entrée de son antre intime.

Hnnn...

Intérieurement, la jeune femme hurlait sans relâche, se trouvant emprisonnée dans son propre corps, incapable d'en avoir le moindre contrôle, et devant assister à ce qui lui arrivait comme à une simple spectatrice, sans la moindre possibilité de réagir. Elle était désespérée, effrayée, ne restait guère que les larmes coulant de ses délicats yeux pour en témoigner, mais du reste, c'était Ichiro-senseï qui avait les commandes. Collé contre elle, il posa une main dans ses cheveux, tout en venant la renifler dans son cou, lourdement, pour s'imprégner de sa délicate odeur de vanille et de jeune femme, tandis qu'il continuait à la narguer. L'homme était bien conscient qu'intérieurement, Arisa était terrorisée, et cela semblait au contraire l'exciter encore d'avantage...puis il lui ordonna d'enrouler ses bras autour de lui.

*NOOOOOOOOOON !!!!*

Son corps toutefois agissait comme en ayant sa volonté propre, ou plutôt, celle de son professeur qui s'imposait. La jeune femme enroula alors ses bras autour de la nuque d'Ichiro-senseï, qui la souleva alors contre lui. Tout en se déplaçant, ce porc léchait goulument le visage de la jeune femme, laissant des traces de sa salive sur sa belle peau, comme un prélude à ce qu'il allait faire, la souiller de partout, la corrompre. Puis il l'allongea au milieu du bureau, de tout son long, et tandis qu'il la rejoignait, Arisa écarta ses cuisses pour l'acceuillir en elle. Elle le voyait se positionner au dessus d'elle, elle sentit son gros ventre l'écraser progressivement, recouvrant une partie de son corps sous cette masse de chair, de graisse et de poils.

*Non...non...*

Il n'y avait maintenant plus d'échappatoire, et le corps de la jeune femme se tendit comme une corde de violon quand, d'un coup sec mais précis, Ichiro-senseï enfonça sa grosse queue dans la petite chatte de son élève. Il brisa son hymen immédiatement, la faisant légèrement saigner, avant de commencer à remuer en elle, sous les gémissements qu'elle poussait. Arisa-chan faisait donc pour la première fois "l'amour", et c'était avec ce gros porc d'Ichiro-senseï, qui l'écrasait sous sa masse, en se lovant contre ses cuisses écartées. De petits bruits humides s'échappaient de sous sa mini-jupe, car sous l'effet du sort, Arisa avait tout de même un peu mouillée...et elle sentait cette chaleur au niveau de son bas-ventre commencer à grandir. Le peu de résistance qu'elle offrait jusque là était en train de disparaître, alors que le sort allait achever de prendre effet sur elle. Ichiro-senseï pouvait d'ailleurs constater que les yeux de son élève prenaient une teinte rosâtre, tandis qu'au niveau de son mont de vénus, progressivement, un étrange tatouage commençait à apparaître sur sa peau, devenant de plus en plus discernable à mesure que l'homme remuait en elle.

Hmmm...Aaaaaah...I-Ichiro-senseï...

Arisa était en train de succomber, en conséquence de quoi, le sort laissait progressivement la jeune femme retrouver l'usage de son corps, puisque rapidement, il n'y aurait plus besoin de la forcer. Elle poussait dores et déjà des petits soupirs de plaisir, et l'homme pouvait sentir qu'elle se mettait à bien mouiller contre sa queue, qui lui labourait sa petite chatte. Elle resserra ses cuisses contre les flancs de l'homme, tout en allant glisser ses mains dans son dos poilu.
Elle était déjà sous son emprise, et sous peu, elle le serait complètement, définitivement, et volontairement

Un sourire moqueur et jouissif étirait ses lèvres. Arisa-chan était si belle ! Oui, elle était magnifique, somptueuse ! Et l’horreur qu’il avait lu en elle disparut bien rapidement. Il s’enfonça progressivement dans sa petite chatte, grognant lentement, et perça son hymen. Le contact le fit frémir. En temps normal, il aurait déjà joui, mais le pouvoir pulsait en lui, retenant son orgasme, tout comme il retenait celui de la jeune femme. Les deux jouiraient ensemble, et cette jouissance mutuelle achèverait définitivement Arisa-chan. Elle serait définitivement sienne.

Quand l’hymen se brisa, il sentit le corps de la jeune femme frémir. Son regard, sans aucun doute l’une des seules parties de son corps qu’il ne pouvait contrôler, évolua alors. Ses joues rougirent, et elle hoqueta. Il caressa ses cheveux, et se redressa lentement, juste pour voir un curieux cœur violet apparaître sur son ventre. Il avait entendu parler, dans les confessions de Père-Bénédicte, d’un signe démoniaque apparaissant sur les femmes victimes du Démon. Était-ce cœur ? Ichiro-sensei n’en savait rien, mais vit également les yeux d’Arisa-chan prendre brièvement une teinte rosâtre. Elle se tortilla sur place, et, alors que le sang virginal coulait sur sa queue, elle commença à mouiller, et à hoqueter.

« A-Arisa-chan… »

L’homme tremblait furieusement sur place. Il avait depuis très longtemps envie de coucher avec elle, comme pour prendre une sorte de revanche intime. Arisa-chan lui rappelait son ancien humour, cette fille sage et studieuse qui, jadis, s’était moquée de lui. Il grogna encore, et recula lentement, coulissant dans son corps. Son con était étroit, sa chatte bien serrée, et il soupira, sentant la sueur couler sur son corps. Ses mains se serrèrent sur les hanches de la jeune femme, et il grogna encore, donnant un coup sec, crispant ses doigts sur sa peau, pinçant la chair de la jeune femme.

« Hnnn… Mi-Misérable salope, tu es… Tu es si étroite, bordel ! »

Autoritaire, et toujours aussi cruel, il s’enfonça encore, et entendit Arisa parler, rompant le sortilège de mutisme… Ce qui arrivait parfois quand le sujet allait dans le sens de l’homme. Ichiro-sensei ricana à nouveau, sa queue tendue remuant à nouveau, au fur et à mesure que la chatte de la jeune femme s’humidifiait.

« Gnnn… Je vais… Je vais te baiser comme si tu étais ma chienne attitrée ! » grogna-t-il.

Que c’était bon, que c’était bon ! Ichiro-sensei s’enfonça à nouveau, jusqu’à taper le col de l’utérus de la jeune femme, et sa salive coula alors, tombant sur le torse d’Arisa-chan, entre ses seins, et y compris sur ses lèvres. Il se pencha à nouveau vers elle, et la souleva brusquement. Il la maintint d’une main sur ses fesses, l’autre serrant ses cheveux. L’homme se retourna ensuite, et alla la plaquer lourdement contre le plus proche mur. Debout, avec le mur comme soutien derrière, il put s’enfoncer brutalement en elle, et la laissa hurler.

Il grogna encore, et lécha ses lèvres.

« On va jouir ensemble, et tu seras à jamais ma chienne, Arisa-chan… Est-ce que cela te plaît ? Hmmm… D’être… D’être à jamais ma pute privilégiée ! Oh, nous allons tellement nous amuser, toi et moi ! »

Ichiro-sensei s’écrasait contre elle, l’étouffant à moitié, et continua à la baiser contre le mur, accélérant de plus en plus. Sous la pression, il pouvait voir des larmes couler le long des joues de la belle lycéenne, et l’embrassa encore, mordillant ses lèvres, puis continua ses coups de reins, se félicitant de sentir les mains moites et tremblantes de la jeune femme sur sa tête.

« Hmmm, si douce, si douce, ma petite chienne… »

Il commençait à suer, et lécha encore sa joue, se pressant contre elle. Sa queue lui faisait très mal, mais il était aussi furieusement excité par ce qu’il lui faisait subir.

« A-Aboie… Aboie comme une bonne chieznne, salope ! Et insulte-toi ! Donne envie à ton Maître… Hnnn… Donne-lui envie de te baiser comme la dernière des putes, Arisa-chaaaaaaann !! »

Le plaisir sexuel ne le rendait pas plus sage, mais encore plus pervers…

Arisa-chan se sentait "partir" au fur et à mesure que son professeur obèse se mettait à remuer dans sa petite chatte serrée, mais qui, sous l'effet du sort, semblait accueillir avec envie la grosse queue d'Ichiro-senseï. Elle était en train de partir dans le sens où en lui prenant sa virginité, Ichiro-senseï était en train de la lier à lui à un niveau qui était difficilement compréhensible, mais c'était à terme comme si une Arisa différente allait prendre sa place, une version nymphomane, et pour qui obéir aux ordres de son maître était primordial.

Aaaaah...I-Ichiro-senseïïï...

L'homme était en train de la prendre dans son bureau, s'écrasant de tout son poids sur elle, alors qu'elle écartait pleinement ses cuisses pour le laisser lui labourer son vagin, qui était déjà bien humidifié par sa cyprine. Elle mouillait comme une petite salope, et gémissait dores et déjà comme une chienne en chaleur. L'homme était lourd, et l'écrasait avec son gros ventre, mais les va et viens qu'il commençait à faire étaient en train d'arracher des gémissements de plaisir à Arisa-chan. Et il l'insultait tellement, de salope, de chienne, et elle n'en était même pas choquée...au contraire c'était...comme si à chaque fois qu'il la traitait de tous les noms, elle n'en était que d'autant plus excitée. Puis, Arisa écarquilla les yeux quand, dans un ultime coup de rein, Ichiro-senseï s'enfonça complètement en elle. Ses couilles tapèrent contre la peau délicate de la jeune femme, alors qu'il la remplissait pleinement, tapant jusqu'au plus profond de son vagin, et elle s'en crispa contre l'homme.

HAAAAAAN !!!

Difficile maintenant pour Arisa de retenir ses cris, car elle lui résistait de moins en moins. Son tatouage sur son mont de vénus gagnait en intensité au fur et à mesure qu'Ichiro-senseï la prenait. Puis, l'homme se redressa en la soulevant elle aussi. Un peu surprise, Arisa était toutefois bien trop en transe pour faire quoi que ce soit d'autre que...de se "laisser" faire. Ichiro-senseï la souleva, puis alla lourdement la plaquer contre un mur proche, en la bourrant comme un boeuf. Il l'étouffa momentanément à ce moment, puis, une main sur son cul, l'autre sur sa nuque, l'homme recommença à remuer, mais cette fois plus intensément. Il était vraiment en train de la baiser, et Arisa enroula ses jambes autour du corps de l'homme, tout en posant ses mains sur ses épaules couvertes de poils. Il était semblable à un ours, et la chargeait comme tel.

Ha...HAAA...Oh S-Seigneur... AH ! AAAAAH !!!!

Des bruits de succion s'échappaient de la chatte d'Arisa, désormais tellement lubrifiée que le sexe d'Ichiro-senseï n'avait plus tellement de mal à coulisser dedans, ce qui se sentait vu comment il remuait en elle. De la cyprine coulait le long du sexe de l'homme, coulissant sur ses couilles, mais tombait aussi sur le sol directement depuis l'entrejambe d'Arisa. Cette dernière sentait comme une vague remonter en elle, au niveau de son bas ventre, alors que son corps remuait au rythme des assauts de son professeur. Il était gros, il puait, était grossier, un vrai porc, mais elle adorait se faire baiser par lui !

Ou-Ouiiiiii !!! HAN OUI MAÎTRE !!!! HAAAA !!! Hnnnn !!! J-je suis votre...votre pute...v-votre chienne...rien qu'à vous...Haaaaan...Han pitié maître...I-Ichiro-senseï...b-baisez moi...baisez moi fort...oui...HAN OUI FOOOORT !!! JE SUIS UNE PUTE QU'IL FAUT BAISER FOOOOORT !!!! HAAAAAAN !!!

Comme possédé, Ichiro-sensei ne se reconnaissait plus. Il nourrissait des fantasmes pervers depuis des mois, des mois de frustrations à Rose Cross au milieu de toutes ces midinettes facétieuses et perverses ! La fine fleur de l’élite japonaise ressemblait pour lui à une sorte d’aristocratie décadente, de noblesse romaine se vautrant dans le stupre et le sexe, comme à l’époque de la décadence de l’Empire romain ! Ce n’était évidemment pas le cas d’Arisa-chan, mais ce n’était pas non plus comme si Ichiro-sensei était capable de faire preuve de discernement. Toutes, il les voulait toutes ! Arisa-chan n’était que son premier choix, mais Ichiro-sensei sentait que son appétit débonnaire ne pourrait se contenter d’une seule femme, quand bien même cette femme était aussi agréable qu’Arisa-chan !

« Haaaannn oui, ma salope, ma petite PUTE rien qu’à moi ! Ma Arisa-chaaaannn… !! »

L’efficacité du sortilège le surprenait lui-même. Nu, il écrasait son corps massif et poisseux contre le sien. Ichiro-sensei était en sueur, écrasant le petit corps replet et doux d’Arisa-chan. La situation devait être très agréable pour elle, car, même si Ichiro-sensei n’avait pas un corps de mannequin, dans ce genre de situations, cela importait peu ! Son poids l’écrabouillait, sa graisse l’étranglait, la plaquant furieusement contre le mur. Il prenait à peine vaguement conscience qu’il l’étouffait par moments, à force de la serrer contre sa chair. Grognant encore, Ichiro-sensei enfonçait son avantage, sa queue pénétrant Arisa-chan jusqu’à la garde, s’enfonçant dans sa délicieuse chatte humide.

Soupirant lourdement, Ichiro-sensei l’embrassa encore, fourrant sa langue dans sa bouche, sentant Arisa-chan remuer contre lui. Ce contact était tout simplement délicieux, faisant frémir de toutes parts le professeur obèse, qui n’avait envie que d’une chose, que cela continue encore ! Comment se lasser du corps parfait d’Arisa-chan ? De ses délicieuses jambes ? Sa main se déplaçait pour s’appuyer sur sa cuisse, et il la sentit s’enrouler autour de lui, leurs lèvres se soudant encore l’une à l’autre. Ichiro-sensei se redressa, et retourna l’écraser contre le mur, donnant des coups de reins solides.

De la salive s’échappait même de ses lèvres sous l’effort.

« Hmmmm, petite pute… ! »

Avec lui, il ne fallait pas s’attendre à beaucoup de romantisme. Ichiro-sensei ne recherchait pas une petite-amie avec qui fonder une famille, mais un parterre de jeunes femmes serviles et perverses. Un fantasme intense et cruel que les pouvoirs magiques qu’il détenait lui permettait de réaliser. Et il ne reviendrait sûrement pas en arrière ! Ichiro-sensei continuait donc son office, faisant gémir à nouveau Arisa-chan. Les minutes défilaient rapidement, jusqu’à ce qu’Arisa-chan et lui atteignent le point culminant, névralgique, de leur désir respectif.

Dans un grand soupir, Ichiro-sensei se relâcha copieusement dans la chatte d’Arisa-chan, s’abandonnant longuement et puissamment en elle, achevant ainsi de sceller son appartenance. Sauf à ce que lui la répudie et renonce au sortilège, ou à ce qu’Arisa-chan subisse un exorcisme, elle était désormais conquise. Chaque coup de sperme en elle était comme une vague supplémentaire qui allait noyer l’indépendance d’Arisa-chan. Elle serait désormais l’esclave d’Ichiro-sensei, prête à accomplir la moindre de ses volontés sans rechigner.

Il jouit donc en elle, et la relâcha ensuite. Arisa-chan tomba au sol, et Ichiro-sensei sentit encore sa queue l’élancer. Il prenait vaguement conscience que le sortilège semblait le stimuler davantage, et se masturba frénétiquement… Ce qui l’amena à terminer sa jouissance en éjaculant généreusement sur le visage d’Arisa-chan et sur son bustier, dans un ultime soupir.

« Hmmm… Voilà qui est mieux comme ça, ma Arisa-chan. Te voilà désormais marqué par le jus de ton Maître ! » claironna-t-il finalement, très fier de sa performance.

Le fait est qu’il n’avait jamais baisé les prostituées qu’il côtoyait avec autant d’énergie que ce qu’il avait fait en ce moment avec Arisa-chan ! Tout cela augurait de jours merveilleux à venir pour Ichiro-sensei, indéniablement !

Il ne restait quasiment plus rien de la tendre et timide Arisa, dont la conscience était progressivement mise en sommeil à mesure que le sort faisait effet sur elle. Ce dernier avait grandement pris la place lorsqu'elle avait perdue sa virginité par la queue du lanceur de sort, et à mesure qu'elle approchait de l'orgasme, et son professeur aussi, la "vraie" Arisa allait se retrouver comme mise en sommeil au sein de son propre esprit, et remplacée par une version plus...apte à combler les désirs d'Ichiro-senseï. Là, il la baisait sauvagement contre le mur, l'écrasant sous son poids et la prenant comme une chienne, l'insultant de pute, alors qu'elle même s'insultait de la même façon.
Rien, plus rien de la timide Arisa, alors qu'elle se tortillait sous le corps de l'homme qui la bourrait avec de plus en plus de véhémence, elle écartait les cuisses comme une bonne salope, et s'offrait sans aucune honte à lui. Cet homme obèse, puant car il ne s'était pas lavé, odieux avec elle, et il allait la faire jouir. Arisa le sentait en elle, venir comme une vague impossible à arrêter, alors que le tatouage sur son pubis brillait maintenant de milles feux, sur le point de se retrouver tatoué de façon indélébile sur sa peau pour marquer son appartenance à Ichiro-senseï, son maître. Lui aussi allait jouir, en plein dans sa petite chatte, vierge il y a encore quelques minutes, il allait la souiller, la marquer à jamais en scellant ainsi le sort pour en faire son esclave.
Et il vint, effectivement. A la seconde même où Ichiro-senseï, dans un ultime et brutal coup de rein pour se fourrer au plus profond de la chatte de la jeune femme, se mit à jouir en elle, Arisa elle même se mit à contracter un puissant orgasme qui la laissa sans voix. Son corps se tendit entièrement, alors qu'elle prenait, encore et encore, le sperme de l'homme dans son intimité, et qu'il la marquait pour qu'elle soit définitivement sienne. Il joui longuement en elle, et elle aussi, contractant ses parois vaginales contre le pénis du professeur, le couvrant d'une belle quantité de cyprine, et ce, jusqu'à ce qu'il se retire. L'homme n'en avait pas pour autant fini, et il laissa tomber à terre la jeune femme, qui se retrouva à genoux au sol, avant de se masturber face à elle pour se finir sur son visage, et le haut de son uniforme.

Aaaaah...

Les regard un peu hagard, Arisa ouvrit néanmoins par réflexe la bouche et tira la langue, sur laquelle quelques filets de sperme atterrirent, même si elle en recu la majorité sur ses joues, le bout de son nez, son front...et son bustier. Elle attendit comme une bonne petite chienne qu'ichiro-senseï aie fini de jouir, avant de rentrer sa langue dans sa bouche pour avaler ce sperme, qu'elle trouva absolument délicieux ! Pourtant, le sperme d'Ichiro-senseï était âcre et salé, pas vraiment goûtu, mais le sort qui la marquait l'obligeait à le trouver délicieux.

Huuuum...oui mon maître, vous m'en avez mis partout, vous m'avez marquée comme une bonne salope que je suis...

La jeune femme semblait se délecter de cette sensation de ce sperme gluant et chaud sur sa peau, elle aurait volontiers pu commencer à se nettoyer mais...elle n'en avait pas reçue l'ordre, et peut-être qu'ichiro-senseï voulait la laisser comme ça, avec son sperme sur sa peau ? Quoi qu'il en soit, à genoux face à l'homme, elle était dans une parfaite position pour se rendre compte qu'il bandait toujours aussi fort !

Oh...mon maître...vous êtes encore bien dûr...et tendu...comment voulez vous que votre petite chienne vous soulage ? Je ne peux pas vous laisser dans cet état !

Allait-il lui ordonner de se foutre à poil ? De le sucer ? Voulait-il à nouveau lui prendre la chatte, ou bien au contraire souhaiterait-il la sodomiser ? Il y avait ça, et tellement d'autres choses, qu'Arisa ne lui refuserait jamais...elle était à lui, corps et âme, complètement dévouée, la meilleure esclave sexuelle imaginable !

Ichiro-sensei se sentait un homme nouveau. Le sortilège avait fonctionné mieux que jamais ! Des idées multiples se diffusaient dans son esprit après avoir joui dans le corps d’Asira-chan, et avoir orné son visage de son foutre chaud… Mais aucune de ces idées n’impliquait qu’il s’arrête en si bon chemin ! Au contraire, il réfléchissait à la suite, tant immédiate, que lointaine. Car il ne comptait évidemment pas se limiter à Arisa ! Non, il allait prendre tout cet internat ! L’ivresse du sexe se couplait à une sorte d’arrogance masculine préhistorique l’amenant à fantasmer comme le maître d’une école faite de filles qui obéiraient à sa volonté. De plus, chaque année, il aurait de nouvelles esclaves potentielles ! Comment ne pas continuer à bander en imaginant ça ? Mais Ichiro-sensei imaginait bien aussi se servir des hommes de l’internat ! Également possédé par le même sortilège qu’Asira-chan, le professeur ventripotent envisageait la suite, ses projets concernant Rose Cross. Son érection venait avant tout de là, de ce sentiment d’omnipotence, de toute-puissance, en imaginant une cour composée de magnifiques nymphes offrant à lui leurs corps, sous le regard frustré d’hommes qui ne pourraient que le voir s’envoyer en l’air, sans jamais goûter aux corps de ces beautés !

Le professeur sortit finalement de ses pensées quand le nez d’Asira-chan se rapprocha de sa queue, et qu’elle lui demanda de s’occuper de son membre. Il sourit alors, et baissa la tête vers elle. Il bandait effectivement très dur, ce qui était assez impressionnant… Car il n’avait jamais joui aussi fort qu’en ce moment. Le pouvoir du kami se diffusait en lui, et il hocha la tête, avant de regarder l’heure à une horloge accrochée au mur.

« Nous avons encore plusieurs heures avant que le soir n’arrive, Arisa-chan. Je compte te baiser jusqu’à ce soir, et, ensuite, tu iras me chercher l’une de tes petites copines. J’ai déjà une cible toute trouvée ! En fait, tu pourrais sans doute aller la chercher dès maintenant, mais… Ton corps mérite que je le baise bien davantage ! »

Une lueur perverse brillait dans les yeux du professeur, qui commença à se déshabiller intégralement.

« Garde ta tenue de lycéenne, Asira-chan, et appuie-toi contre le bureau en me présentant ton cul de salope… Et continue à me supplier, j’aime ça. J’aime entendre ta petite voix de suceuse réclamer désespérément ma grosse lance pour épancher ta soif. »

Autant dire que le romantisme n’allait jamais faire partie de leur relation. Tandis qu’Ichiro-sensei l’observait se positionner, il enchaîna tout de même un peu :

« Sois fière de toi, Asira-chan, tu resteras pour toujours ma première salope. Quand j’aurai fait de ce lycée de putes en devenir mon harem personnel, tu auras une position privilégiée, Arisa-chan. »

Que demander de mieux ? Il se rapprocha finalement, après avoir récupéré un collier en cuir avec une laisse, et mit le collier autour du cou d’Asira-chan, puis l’attacha à la laisse à l’aide d’une sangle située à l’arrière. Il tira alors dessus, redressant le corps de la jeune femme, et se lova contre elle, l’une de ses mains filant contre le corps d’Asira-chan, pétrissant sa chair contre ses fesses. Il tira encore, jusqu’à pouvoir approcher son visage du sien, et lécha son oreille. Il bavait encore un peu, et laissa du coup un peu de salive sur cette oreille, ainsi que sur ses cheveux.

Ichiro-sensei ricana encore, et l’embrassa sur la joue.

« Tu sens ça, n’est-ce pas ? Ce sentiment exquis d’être une petite chienne à mon service ? j’ai encore quelque chose pour toi… »

L’homme récupéra une petite clochette dorée, qu’il accrocha alors sur le devant du collier. Ainsi habillée, Arisa-chan était prête ! Ichiro-sensei releva sa seconde main, et glissa ses doigts sur le visage de la femme, récupérant son sperme.

« Je ne compte pas lubrifier ton cul avec ma salive, tu ne mérites pas ça… Et puis, entre ma salive et mon foutre, ma petite pute préfère le foutre, non ? »

Il ricana encore, et enfonça alors un doigt dans la porte arrière de la jeune femme. Il se délectait de ses gémissements, de ses petits cris, et remua en elle, enfonçant ce doigt aussi loin que possible, puis recueillit encore du sperme, et continua ainsi à la lubrifier.

« Je vais te prendre par là, Asira-chan. Je vais t’éclater ton cul comme un chou-fleur ! » grinça-t-il.

Sa queue bandait très fort, lui faisant un mal de chien.

Dieu, que c’était bon !

Une puissante magie était à l'oeuvre sur le jeune Arisa, qui s'était transformée en moins d'une heure en une véritable salope de compétition, soumise, et bien incapable de refuser quoi que ce soit à Ichiro-senseï, qu'elle considérait maintenant comme son propriétaire exclusif. A genoux devant lui et son sexe puant, elle était prête à faire n'importe quoi, pourvu qu'il lui demande. La jeune femme s'attendait presque à ce qu'il lui ordonne de le sucer, vu sa position, mais son professeur et maître avait d'autres plans. Elle était en tout cas heureuse d'apprendre qu'Ichiro-senseï comptait la baiser au moins jusqu'à ce soir, durant plusieurs heures.

Oh merci maître ! Je ne vous décevrais pas !

Il était aussi question qu'elle finisse par lui ramener l'une de ses camarades, ce qui aurait du l'horrifier, mais plus maintenant, plus alors qu'elle était complètement sous les effets de ce sortilège. Ichiro-senseï, tout en achevant de se déshabiller alors devant elle, lui ordonna d'aller se positionner contre son bureau.

O-oui tout de suite maître !

La jeune femme semblait enthousiaste à l'idée de se faire prendre à nouveau, même si Arisa était de base une jeune femme assez timide. Elle se redressa donc, puis s'approcha du bureau, posant alors ses mains sur les rebords tout en se penchant, et en cabrant bien son magnifique cul en direction de son professeur.

Je ferais tout pour vous satisfaire mon maître, c'est ma joie la plus grande que de vous servir, et de me faire baiser par vous...oh oui...

Arisa remuait légèrement ses fesses, qui étaient bien visible en étant ainsi courbée du fait de sa courte jupe, et qu'elle ne portait plus de culotte. Arisa était impatiente de sentit l'homme obèse à nouveau la baiser, et il ne tarda pas à venir la rejoindre en se plaçant derrière elle, mais non sans agrémenter la tenue d'Arisa d'un petit ajout. La jeune femme se trouve en effet avec un collier en cuir autour du cou, accroché à une laisse que l'homme prit ensuite en main pour tirer dessus.

Urf...m-maître !

Le corps d'Arisa se redressa en même temps qu'Ichiro-senseï se lovait dans son dos, et avec un tremblement d'anticipation, elle sentait la grosse queue de l'homme taper contre ses fesses, dure comme tout à l'heure. Il la possédait entièrement, et tout en léchant une de ses oreilles, l'homme glissa alors un de ses doigts sur une de ses joues, qui était couverte de son sperme après la petite faciale qu'il lui avait fait peu de temps auparavant. Elle comprit alors, car il lui lui expliqua, qu'il comptait la sodomiser maintenant. Elle était vierge là aussi, mais étrangement, la perspective de se faire enculer par ce gros porc l'excita plus que jamais.

Ou-ouiiii...m-maîîîître...

La jeune femme était toute chaude et respirait fortement, alors qu'elle sentit la main de son professeur se glisser sous sa minijupe, et finalement son index recouvert de sperme se frayer un chemin entre, pour atteindre son anus. Ichiro-senseï l'enfonça en elle sans aucune cérémonie, ni délicatesse, le remuant un peu, avant d'aller rechercher du sperme sur le visage d'Arisa pour continuer ainsi. Arisa était alors tendue comme une corde de violon, à cette nouvelle sensation, que de sentir un doigt dans son cul...et elle aurait presque pu jouir sur place quand il déclara qu'il comptait effectivement la sodomiser très fort.

Oh oui maître ! P-pitié fourrez moi le cul comme une sale chienne...pitié !

Ichiro-sensei était vraiment un homme comblé. Le Bible Black était assurément un livre magique, absolument génial, qui était en train de progressivement transformer sa vie. Il était assez lucide encore pour savoir qu’il y aurait sûrement des effets secondaires, mais, en l’état, tout ce qu’Ichiro-sensei voyait, c’était ce pouvoir incroyable que le puissant livre lui donnait. Le pouvoir de transformer n’importe quelle fille en une nymphomane, une salope grand luxe, et de lui donner une vigueur sexuelle qui ferait pâlir d’envie des dizaines d’acteurs pornographiques. Tandis qu’il palpait l’intérieur du cul d’Arisa-chan, l’homme ne put que sourire en entendant celle-ci gémir lentement, se tortillant sur place en sollicitant l’épaisse verge de son Maître.

« Oh oui, tu es une vraie traînée, toi, tu sais… Sous tes airs de sainte-nitouche, tu es une dévergondée qui a terriblement envie de sortir ma grosse bite lui élargir le cul ! »

Pervers et mesquin, Ichiro-sensei se frottait joyeusement contre elle, son mandrin jouant sur ses fesses. Lentement, il entendait Arisa-chan gémir, le supplier, et chacun de ses mots sonnait à ses oreilles comme une merveilleuse symphonie. Le professeur releva sa minijupe, puis grogna doucement, et approcha sa verge. Ses mains tremblaient nerveusement tandis qu’une excitation furieuse le titillait. Oh, voilà qu’il bandait à nouveau très fortement ! Sa queue lui faisait un mal de chien, et il se mit à grogner, constatant vite que le sexe devenait maintenant une pensée obsessionnelle. Plus tard, Ichiro-sensei comprendrait aussi que l’un des effets négatifs du Bible Black était qu’il en pouvait plus jouir en se masturbant. Le plaisir ne pourrait venir qu’en faisant l’amour avec des femmes, et les pulsions sexuelles s’étaient fortement amplifiées en lui. Il était désormais incapable de penser à quoi que ce soit d’autre que sa verge se frottant contre le cul d’Asira-chan, à ses soupirs langoureux…

Lentement, son membre remontait, et tapa contre la croupe de la femme. La jeune lycéenne se tortilla encore, puis Ichiro-sensei banda ses muscles… Et la pénétra ensuite.

« Hmmm… Ooohh… !! »

C’était… C’était si étroit, bordel ! Une vague de douleur le heurta tandis qu’il frémit, constatant qu’il…

« Bordel, t’es… T’es si étroite, ma salope… »

Grognant furieusement, il n’arrivait pas à s’enfoncer en elle, et glissa ses pouces, écartant ses fesses l’une de l’autre. Il sentait bien un léger enfoncement de la peau, là où il avait préalablement niché son pouce, mais cette porte était si petite… Ichiro-sensei grogna à nouveau, se recula, et repartit en avant, sentant à nouveau la porte arrière de la jeune femme. Son trou se dilatait progressivement, mais s’enfoncer dedans était douloureux, terriblement douloureux… Ichiro-sensei fut même tenté de renoncer, mais une force irrésistible l’encourageait à continuer.

Il gémit encore, se pinçant les lèvres, et gagna petit à petit de la place, le fondement d’Asira-chan se dilatant progressivement, permettant une insertion de plus en plus profonde de son membre. Et cette douleur, aussi insoutenable soit-elle, devenait aussi particulièrement jouissive, exquise… Impossible de s’en lasser, tout simplement !

Totalement transformée sous l'effet de la puissante magie qui la liait désormais à Ichiro-senseï, La jolie et timide Arisa s'était rapidement transformée en une grosse chienne nymphomane assoiffée de la bite de son professeur, oh elle pouvait encore passer volontiers des heures et des heures entières à savourer la queue de son maître, et à recevoir son foutre par tous les orifices de son corps. Mais Arisa n'était pour le moment plus vierge que d'un seul de ses trois orifices intimes, la perte de sa virginité avait permis de sceller sa condition d'esclave via la magie, et maintenant, c'était par son cul que Ichiro-senseï allait la "déflorer". Appuyée contre le bureau, la jeune femme ondulait légèrement son cul libéré de sa culotte contre la queue dressée de son maître, qu'elle était impatiente de sentir en elle après qu'il lui aie un peu doigté le cul, et l'homme la gratifia encore d'insultes, ce qui ne manquait pas de l'exciter d'avantage.

Ouiiii mon maître...je ne suis qu'une grosse pute, une sale traînée à votre service...oh senseï...pitié...j'ai tellement hâte de vous sentir dans mon cul...

Jamais l'ancienne Arisa n'aurait prononcée de pareilles obscénités, mais elle appartenait désormais corps et âme à son professeur qui était nu dans son dos, et la plaquait contre son bureau, sur lequel elle se maintenait à l'aide de ses mains. La jeune femme soupirait lourdement et sentait son corps trembler d'excitation, à mesure qu'elle sentait surtout la grosse verge de son professeur et maître frotter contre ses fesses, puis finalement commencer à se diriger entre, au niveau de la raie de ses fesses pour chercher l'entrée de son anus. Même si elle était très envieuse de se faire sodomiser sauvagement par Ichiro-senseï, cela ne changeait rien au fait qu'Arisa était parfaitement vierge, et donc que son cul n'était nullement habitué à recevoir des "corps étrangers", encore moins de la taille monumentale de la bite du professeur pervers. Malgré tout, Arisa le sentit alors commencer à pousser le bout de sa queue contre sa petite porte arrière.

Aaaaah...oh senseï !!!!

Forcément, une pointe de douleur la traversa au moment où son cul commença à se faire violer ainsi, mais elle était bien incapable de ressentir autre chose qu'un vrai plaisir qui, si il n'effaçait pas la douleur, en faisait au contraire une part intégrale du plaisir qu'elle se ressentait à se faire baiser par cet homme obèse, à qui elle avait déjà offert sa virginité, et qu'elle allait tout simplement laisser faire ce qu'il voulait d'elle. Malgré tout, la largeur de cette queue fit qu'il fut impossible pour l'homme de s'enfoncer d'un coup dans son cul, et alors qu'il poussait pour forcer le passage, Arisa s'étala sur le bureau, les bras étendus devant elle pour agripper l'autre extrémité du meuble afin de mieux se maintenir, mais aussi de bien ainsi redresser son cul. Arisa portait encore la totalité de son uniforme scolaire, à l'exception notable de sa culotte, mais sa jupe était si courte que dans une pareille position, elle laissait une magnifique vue sur son fessier rebondi qui était la cible principale de son professeur, qui se reculait alors pour revenir s'enfoncer entre ses fesses, tâchant de travailler ses parois internes.

Hmmmmgnyaaaaa...oh seigneur s-senseï...vous êtes tellement grooooooos pour mon petit cul...a-allez-y maître...forcez le passage je...défoncez moi le cul !!!

Arisa prit alors sur elle d'ammener ses mains sur chacune de ses fesses pour les écarter elle même, afin de laisser l'opportunité à Ichiro-senseï de les placer ailleurs pour avoir une meilleure emprise. Arisa faisait de son mieux pour se détendre et ainsi faciliter la pénétration, mais elle avait aussi délicieusement mal alors elle se crispait par réflexe. Mais elle était convaincue qu'il suffisait que son maître force encore un peu le passage, car elle avait terriblement envie de le sentir s'enfoncer tout en elle, de sentir ses testicules taper contre ses fesses tant il se serait inséré, puis ensuite le sentir la sodomiser comme la grosse chienne qu'elle était.

Ichiro-sensei avait l’impression de vivre un véritable rêve éveillé, un rêve dont il aurait aimé ne jamais avoir à sortir. Le sortilège s’avérait finalement terriblement efficace, tant et si bien qu’il besognait Arisa-chan avec une force incroyable. Plus il la baisait, et plus il avait envie de le faire. Une telle endurance était tout simplement surnaturelle, et était sans aucun doute liée au livre magique qu’Ichiro avait utilisé. Mais allait-il vraiment s’en plaindre ? Il vivait ici, dans une école religieuse entourée de filles riches, perverses et belles. Si Ichiro donnait le change devant Sœur Louise, au fond, il n’avait qu’une seule envie : toutes les baiser ! Il avait un appétit sexuel débordant, et l’idée de faire de Rose Cross son harem personnel ne manquait pas de l’exciter furieusement.

Ichiro-sensei s’enfonçait donc en elle, et vit Arisa-chan approcher ses propres mains de ses fesses. Elle écarta alors chaque fesse l’une de l’autre, et le professeur grogna un peu. Il fallait bien admettre que son cul était serré, et, quand elle en fit la remarque, Ichiro grogna, et la gifla, claquant son cul.

« Oui, salope, ton cul me fait mal, putain… ! Tu es… Si é-Étroite, bordel !! »

Grognant encore, il remuait à nouveau, sentant le corps d’Asira se tendre sous lui. Il partit en arrière, puis repartit en avant, dilatant petit à petit les parois anales de la femme. La douleur était forte, lui donnant envie d’accélérer, agissant comme une sorte de moteur. Il était motivé par les hurlements d’Arisa-chan, par ses longs soupirs langoureux, et poursuivait donc son office. Imperturbablement, il s’enfonçait en elle, dilatant petit à petit son cul, sans ménagement, en grognant sous l’effort. Arisa-chan était si belle, si tendre, et, plus les minutes passaient, et plus il gagnait du terrain.

Petit à petit, ses bourses claquèrent contre les testicules de la femme, et il remonta sa main sur son dos. L’une s’appuya sur son épaule, et Arisa put sentir le ventre rebondi d’Ichiro s’écraser contre elle, la coinçant contre le bureau. Comme il avait l’impression qu’elle basculait, il attrapa ses cheveux, et tira dessus, relevant son buste. Il relâcha ensuite la pression en posant sa main sur son cou, et alla s’aplatir contre elle. Il s’écrasa dans son dos, et embrassa son cou, mordillant sa chair, et lécha sa peau.

« Gnnn… Tu aimes ça, hein ? Me sentir en toi, sur toi… Tu es ma petite pute, Arisa-chan, une bonne petite chienne que… Gnnn… Je vais adorer fourrer ! Hmmm… »

Ichiro-sensei se redressa encore, et gifla à nouveau le cul de la jeune femme. Ces claques l’aidaient, et il frappa encore, claquant son cul, pour avoir mal aux mains. Sa queue s’enfonçait désormais profondément, et la douleur n’avait pas diminué… Sauf que le plaisir, lui, avait cru, plaçant Ichiro-sensei dans une sorte d’état second, de transe de désir. Il se faisait l’effet d’une sorte de taureau fougueux besognant sa proie, la soumettant à chaque coup de reins.

« Hurle pour moi, salope, hurle pour ton Maître ! »

Arisa gémissait comme une chienne en chaleur, plaquée ventre contre le bureau de son professeur, alors que ce dernier était progressivement en train de fourrer sa bite dans son petit cul serré. La jeune femme était une telle prude que jamais l'idée de se faire sodomiser ne lui serait venue, mais le sortilège l'avait profondément changée en en faisant la poupée sexuelle d'Ichiro-senseï, et elle ne pouvait rien lui refuser. Elle avait mal bien sûr, le sexe de son professeur était long et large, et il forçait comme une brute pour pouvoir se faufiller en elle, mais peu à peu il gagnait ainsi du terrain, et Arisa le sentait de plus en plus profondément en elle, et l'homme se motivait en l'insultant et en la fessant régulièrement.

Aaaaah...Oooooh Maître...

Finalement, au bout de plusieurs minutes à le sentir aller et venir pour peu à peu dilater ses parois internes, Arisa le sentit parvenir à s'enfoncer une dernière fois au plus profond d'elle. La jeune femme sentit le gros ventre de son senseï taper contre ses fesses, de même que ses testicules à présent qu'il s'était enfoncé dans son cul jusqu'à la garde. A ce moment, l'homme prit ses cheveux dans une de ses mains en tirant dessus, tout en se penchant pour bien s'écraser contre son dos et la plaquer contre le bureau. Elle le sentit embrasser son cou, tout en lui murmurant des insanités perverses qui la faisaient mouiller comme une petite folle !

Oh oui mon Maître...je suis votre petite pute, votre petite chienne...Aaaaah...

Oh que oui elle aimait ça, qu'il l'insulte, la traite comme une grosse pute, Arisa aimait même son odeur corporelle à ce stade, elle aimait tout, car elle ne pouvait pas faire autrement ! Ichiro-senseï se redressa alors après l'avoir longuement écrasée ainsi, et se mit à claquer ses fesses, tout en se mettant à remuer en elle. Cette fois l'homme pouvait commencer à la sodomiser proprement, les parois anales d'Arisa se serraient encore fortement contre cette queue massive, mais le professeur pouvait définitivement se mouvoir maintenant en ayant de moins en moins à forcer, et alors qu'elle restait ainsi plaquée contre le bureau, Arisa sentait son corps se faire remuer par ces coups de rein qu'elle subissait, et qui gagnaient en intensité.

Haaaaaaaan senseï...O-OUIIII !!!! Han je vous sens tellement bien...dans mon cul...mon petit cul de salope...HAAAAAA !!!!! Oh OUI, FOURREZ MOI MAÎTRE, BAISEZ MOI, ENCULEZ MOI !!!! COMME LE GROSSE PUTE QUE JE SUIS !!!! HAAAAAAN !!!!

The Multiversity

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