« Petite salope… Regarde comme nos invités aiment te voir comme ça, Joana… Transformée en une chienne qui se fait défoncer le cul ! »
Tout en l’insultant, Bobbie la fessait, et chacune des claques résonnaient dans la cave, faisant soupirer Maria. Un détail qui n’échappait pas à la vigilance de Joana, qui haletait entre les deux femmes. Les deux mains de Jessica serraient désormais ses cheveux, et elle continuait à la prendre, ses couilles venant fouetter son menton, tandis que sa queue s’enfonçait dans la gorge de Joana, s’y plongeant régulièrement, arrachant à la jeune femme de longs soupirs de plaisir. Et, à chacune des fessées de Bobbie, Joana soupirait, son délicieux cul se mettant à rougir sous les fessées régulières. C’était assurément un spectacle impressionnant, qui s’étirait dans la durée. Bobbie tenait la cadence, s’enfonçant avec délectation dans le cul de sa femme, un corps qui l’excitait toujours autant. Joana n’était pas sa femme pour rien !
Ce spectacle était très agréable, autant pour celles qui y participaient que pour ceux qui étaient condamnés à le regarder ! Joana se fit ainsi prendre pendant une bonne demi-heure, un spectacle impressionnant, mais qui, somme toute, était presque banal à Stepford. La sueur se mélangeait aux soupirs des amants, et les deux Futanaris finirent chacune par jouir avec force dans le corps de Joana, remplissant tant son cul que sa bouche.
« Là… Putain, j’adore me vider les couilles !! »
Jessica était toujours aussi passionnée, et elle soupira longuement en crachant pendant une bonne minute sa semence, ce qui se manifesta par d’épaisses giclées de sperme, tapissant la bouche de Joana. Celle-ci se retrouva la bouche pleine, mais, au lieu de l’avaler, elle préféra la partager avec Maria. Bobbie, qui était en sueur, était plus magnifique et dangereuse que jamais. Sa respiration lourde, ses cheveux mouillés et défaits qui collaient à sa peau… Tout en elle donnait envie, appelait au sexe sauvage et débridé. Jessica, qui les avait rejoints sur le tard, était encore raisonnablement en état. Elles regardèrent Joana rouler une longue pelle à une Maria qui peinait à rester sur place, et qui répondit avec emphase à ce baiser humide, enfonçant sa langue pour avaler ce divin foutre.
« Ta femme est toujours aussi insatiable…
- Je la forme en ce sens… Mais qu’est-ce qui t’a pris autant de temps, au fait ?
- Je m’amusais avec Zoey… »
Zoey Downstar, sa secrétaire à la mairie. Elle et toute sa famille avaient formé la première véritable famille que les Eberhart avaient rallié à leur cause. De son côté, Joana venait de terminer son baiser, et demanda à Maria si elle voulait se faire fesser. Jessica, de son côté, se rapprocha de Luke, et lui retira son gag-ball.
« Alors, Monsieur Valentios, avez-vous envie que je vous prenne ? »
Sa verge était joyeusement tendue, signe de son besoin frénétique de jouir.
« Je sais que vous aviez voté à l’époque pour que je bénéficie de ce logement social à Stepford… Au fond, vous avez toujours eu envie que je vous prenne, Monsieur Valentios…
- Tu… Oui, tu as raison… »
La cravache de Bobbie fusa, et fouetta Luke au visage. Avec son autre main, elle attrapa son collier, et le jeta au sol, où elle posa son pied sur son sexe, l’écrasant avec force, lui arrachant un cri.
« Nous sommes tes Maîtresses, petit chien ! Ne t’avise pas encore de nous manquer de respect ! Pour moi, tu n’es qu’une fiotte, un cul de plus à remplir !
- Haaaa… Pa-Pardonnez-moi, Maîtresse… ! »
Bobbie sourit encore, puis retira son pied. Jessica se pinça les lèvres, et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Maria, de son côté, croisa le regard magnifique de Joana, et se pinça les lèvres, avant de lui répondre :
« Oui… Punissez-moi, Maîtresse Joana… Frappez-moi, fouettez-moi, humiliez-moi, je vous appartiens, et je veux ressentir à quel point je suis… Votre chose ! »