The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Avoir un public ne pouvait qu’exciter Joana, tout comme cela excitait fortement Bobbie. Elle pénétra donc sa femme avec force, optant pour une sodomie. Depuis leur transformation, le couple si bien rangé des Eberhart avait indéniablement gagné en fantaisie et en audace. Pour Bobbie, Joana et elle s’étaient fortement rapprochées, partageant une relation bien plus fusionnelle, bien éloignée de ce qu’on pouvait imaginer. Bobbie se faisait totalement à cette nouvelle vie, et n’aurait à aucun moment envisagé de revenir en arrière ! Les hurlements de Joana se terminèrent rapidement quand la queue tendue de Jessica s’enfonça dans sa bouche. La main de l’hermaphrodite se posa sur ses cheveux, et, dans un sourire pervers, Jessica commença à remuer. Elle donna des coups de reins, et, peu à peu, Joana se retrouva tout simplement prise par les deux femmes. Baisée à quatre pattes, elle offrait au couple Valentios un spectacle qui les faisait gémir. Si Maria mouillait, Luke avait une érection très impressionnante, et ce dès qu’il avait senti le plug s’enfoncer dans ses fesses. Il suffisait de le voir pour constater qu’il rêvait d’être à la place de Joana, d’être pris par deux Futanaris en rut. Il connaissait Jessica depuis longtemps, il connaissait sa réputation car il était membre du conseil municipal, alors cela devait sans doute faire longtemps qu’il fantasmait sur elle, sur sa queue magique, sur l’idée d’être l’un de ses clients… Un fantasme qui était désormais à partie !

« Petite salope… Regarde comme nos invités aiment te voir comme ça, Joana… Transformée en une chienne qui se fait défoncer le cul ! »

Tout en l’insultant, Bobbie la fessait, et chacune des claques résonnaient dans la cave, faisant soupirer Maria. Un détail qui n’échappait pas à la vigilance de Joana, qui haletait entre les deux femmes. Les deux mains de Jessica serraient désormais ses cheveux, et elle continuait à la prendre, ses couilles venant fouetter son menton, tandis que sa queue s’enfonçait dans la gorge de Joana, s’y plongeant régulièrement, arrachant à la jeune femme de longs soupirs de plaisir. Et, à chacune des fessées de Bobbie, Joana soupirait, son délicieux cul se mettant à rougir sous les fessées régulières. C’était assurément un spectacle impressionnant, qui s’étirait dans la durée. Bobbie tenait la cadence, s’enfonçant avec délectation dans le cul de sa femme, un corps qui l’excitait toujours autant. Joana n’était pas sa femme pour rien !

Ce spectacle était très agréable, autant pour celles qui y participaient que pour ceux qui étaient condamnés à le regarder ! Joana se fit ainsi prendre pendant une bonne demi-heure, un spectacle impressionnant, mais qui, somme toute, était presque banal à Stepford. La sueur se mélangeait aux soupirs des amants, et les deux Futanaris finirent chacune par jouir avec force dans le corps de Joana, remplissant tant son cul que sa bouche.

« Là… Putain, j’adore me vider les couilles !! »

Jessica était toujours aussi passionnée, et elle soupira longuement en crachant pendant une bonne minute sa semence, ce qui se manifesta par d’épaisses giclées de sperme, tapissant la bouche de Joana. Celle-ci se retrouva la bouche pleine, mais, au lieu de l’avaler, elle préféra la partager avec Maria. Bobbie, qui était en sueur, était plus magnifique et dangereuse que jamais. Sa respiration lourde, ses cheveux mouillés et défaits qui collaient à sa peau… Tout en elle donnait envie, appelait au sexe sauvage et débridé. Jessica, qui les avait rejoints sur le tard, était encore raisonnablement en état. Elles regardèrent Joana rouler une longue pelle à une Maria qui peinait à rester sur place, et qui répondit avec emphase à ce baiser humide, enfonçant sa langue pour avaler ce divin foutre.

« Ta femme est toujours aussi insatiable…
-  Je la forme en ce sens… Mais qu’est-ce qui t’a pris autant de temps, au fait ?
-  Je m’amusais avec Zoey… »

Zoey Downstar, sa secrétaire à la mairie. Elle et toute sa famille avaient formé la première véritable famille que les Eberhart avaient rallié à leur cause. De son côté, Joana venait de terminer son baiser, et demanda à Maria si elle voulait se faire fesser. Jessica, de son côté, se rapprocha de Luke, et lui retira son gag-ball.

« Alors, Monsieur Valentios, avez-vous envie que je vous prenne ? »

Sa verge était joyeusement tendue, signe de son besoin frénétique de jouir.

« Je sais que vous aviez voté à l’époque pour que je bénéficie de ce logement social à Stepford… Au fond, vous avez toujours eu envie que je vous prenne, Monsieur Valentios…
-  Tu… Oui, tu as raison… »

La cravache de Bobbie fusa, et fouetta Luke au visage. Avec son autre main, elle attrapa son collier, et le jeta au sol, où elle posa son pied sur son sexe, l’écrasant avec force, lui arrachant un cri.

« Nous sommes tes Maîtresses, petit chien ! Ne t’avise pas encore de nous manquer de respect ! Pour moi, tu n’es qu’une fiotte, un cul de plus à remplir !
-  Haaaa… Pa-Pardonnez-moi, Maîtresse… ! »

Bobbie sourit encore, puis retira son pied. Jessica se pinça les lèvres, et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Maria, de son côté, croisa le regard magnifique de Joana, et se pinça les lèvres, avant de lui répondre :

« Oui… Punissez-moi, Maîtresse Joana… Frappez-moi, fouettez-moi, humiliez-moi, je vous appartiens, et je veux ressentir à quel point je suis… Votre chose ! »

[Shykarka]

Pendant que Bobbie et Jessica s’occupaient de Luke, Joana concentrait toute son attention sur Maria. Si elles voulaient que le couple Valentios les rejoigne il ne fallait pas seulement faire tomber le mari de son piédestal, il fallait aussi faire monter la femme dessus. Elle lui enleva son gag-ball et son invitée lui répondit aussitôt qu’elle voulait être punie, énonçant explicitement qu’elle voulait plus qu’une simple fessée. Elle lui sourit et caressa ses cheveux.

« Oh Maria, j’apprécie ton enthousiasme… mais si je te fouette tout de suite la soirée sera trop vite finie. Il faut prendre le temps de bien faire les choses. »

La main de Joana continua de descendre jusqu’à atteindre le sein de Maria, le malaxant avec plaisir en souriant légèrement.

« Nous allons te faire connaître le vrai visage du plaisir. Ca va être long, intense, douloureux parfois… mais au final tu découvriras ce qu’est vraiment le sexe. Jusqu’à présent tu n’as été attentive qu’aux désirs de ton mari… ce soir je vais te faire découvrir tes propres désirs. »

Joana installa Maria sur un chevalet, attachant fermement ses poignets et ses chevilles aux pieds de l’engin pour l’immobiliser avant d’aller chercher le premier instrument avec lequel elle comptait punir sa nouvelle esclave : un paddle en bois. Elle lui présenta l’outil et donna de petites tapes sur ses joues pour qu’elle en apprécie la dureté, puis elle passa dans son dos et, sans crier gare, donna un premier coup qui retentit dans la pièce, tout comme le couinement de la femme.

« Tu ferais bien de t’accrocher ma belle, je ne fais que commencer. »

Joana passa les minutes suivantes à abattre son outil sur le délicieux cul de Maria, s’évertuant à faire rougir sa peau d’ébène. De temps en temps elle lui demandait de s’insulter ou d’en réclamer plus, elle l’obligeait à extérioriser ce plaisir qu’elle prenait à tromper son mari juste devant ses yeux pendant que ce dernier se faisait rabaisser par des futas en rut bien décidées à en faire leur petit chien. Elle s’était d’ailleurs assurée de bien installer la femme en face du mari pour qu’elle ne rate rien du spectacle.

« Tu es une salope Maria… une belle salope que je vais me faire un plaisir de punir. Mais bientôt, ce sera à toi de punir ton mari. Alors tu vas endurer tout ce que je vais te faire… tu vas me remercier pour ça… et tu vas m’en demander toujours plus. C’est compris, ma salope ? »

C’était presque aussi amusant pour la ménagère de briser le conditionnement de cette femme que de se faire baiser par sa femme.

[Reine Alice Korvander]

Résumer Joana à être la soumise de Bobbie serait un raccourci erroné, comme Maria était en train de le découvrir. Car, derrière la ménagère, la femme au foyer, il y avait surtout une femme sexuellement épanouie, qui n’avait pas peur de séduire les autres, et qui, par ses nanites dans ses yeux, pouvait d’ailleurs envoûter quiconque croisait son regard. Si Bobbie était la « force brute », avec sa verge tendue et ses réactions très marquées, Joana, elle, était une force plus douce, mais non moins ferme. Et cela, Maria le constata quand Joana l’attacha à un chevalet. Ses fesses ressortaient, et Joana, après les avoir palpés, la fessa avec un sex toy très particulier : une petite pagaie en bois. Elle donna des coups sur son cul, et Maria, peu habituée à être ainsi malmenée, se mit à hurler.

« Han, Maîtresse ! Hmmm… ! V-Vous me faites maal, Maîtresse ! »

Ce genre de déclarations, qui ne visaient généralement qu’à se faire battre encore, remplissaient toujours leur office. Joana continua à meurtrir son cul, tout en lui intimant de s’insulter.

« Ouiii, ouuuiii, je suis votre salope, votre petite salope, haaaa… !! »

La douleur la faisait jouissivement délirer, l’amenant à raconter n’importe quoi, ou plutôt à dire ce qu’elle n’oserait pas dire en temps normal. Elle sentait le chevalet craquer, remuant légèrement en la faisant se pencher quand Joana la frappait fort. Sa Maîtresse avait promis de la fermer, afin qu’elle-même soit enfin apte à dresser son mari. Il y a encore quelques jours, une telle hypothèse aurait été impensable pour Joana, qui se devait après tout d’être une bonne ménagère, docile et obéissante. Mais, désormais, les choses avaient changé. Et, après tout, cette perspective ne pourrait que faire plaisir à son mari, donc, dans un sens, elle ne trahissait aucune de ses promesses.

Joana l’insulta encore, et Maria, qui en aurait presque eu les larmes aux yeux, soupira encore. Elle avait bavé sur le chevalet, et elle commençait aussi à mouiller, ce qu’elle n’avait pas encore clairement réalisé, en raison de l’intensité des fessées qu’elle recevait.

« Oui… Oui, Maîtresse, faites de moi une parfaite salope… Je… Je vous remercie, Maîtresse, et… Je vous promets de punir mon mari à la hauteur de ce que vous allez me punir… »

Devant elle, Luke était à quatre pattes, et subissait à son tour l’énergie endiablée de ses amants. Jessica s’était enfoncée dans son cul, et il portait désormais une laisse avec un collier. Bobbie avait été chercher un masque noir en latex, une belle cagoule, qu’elle lui mit sur la tête, non sans lui avoir enfilé un gag-ball auparavant, étouffant ainsi ses gémissements. La cagoule recouvrait son visage, son nez, ainsi que ses oreilles, atténuant ses sens pour renforcer les coups de reins qu’il recevait avec énergie dans le cul. Bobbie, en souriant, se retourna vers Maria, qui était propche de Luke, et lui caressa le visage.

« Regarde bien, Maria, Luke est toujours ton mari, mais il sera ensuite ton petit-chien… Un petit-chien que tu vas devoir dresser et éduquer comme ma femme le fait en ce moment avec toi ♥ ! »

Quel merveilleux couple !

[Shykarka]

Joana savait que Maria n’avait pas l’habitude d’être malmenée mais elle fut quand même un peu surprise de voir à quel point quelques petites fessées avec le paddle suffirent à faire hurler son invitée. En plus la douleur semblait la débrider, elle s’insultait avec joie et en avait presque les larmes aux yeux tellement elle prenait son pied. Elle promit à sa maîtresse de devenir une parfaite salope et de punir son mari à la hauteur des punitions qu’elle recevait.

Son mari, justement, était lui aussi en train de passer un cap. Bobbie lui avait enfilé une cagoule en latex noir pour lui bloquer la vue, lui avait mis un gag-ball dans la bouche et l’avait laissé entre les mains expertes de Jessica, qui se faisait une joie de lui défoncer le cul avec sa verge tendue. Joana se lécha les babines en regardant sa femme expliquer à Maria que bientôt, Luke serait son petit chien qu’elle allait devoir dresser et éduquer.

« Hhhmmm… oui… tu seras une bonne maîtresse pour ton petit chien. Mais d’abord… tu dois devenir une belle salope. »

La ménagère reprit les claques sur son cul de plus belle, se délectant de chaque cri de plaisir de son invitée tout en anticipant déjà la suite. Si Maria réagissait aussi bien à un paddle, qu’est-ce que ça allait donner avec des outils plus avancés ? Le fouet, la cravache, la cire chaude… Clairement la soirée s’annonçait incroyable.

Après plusieurs minutes Joana rangea son paddle et détacha Maria du chevalet. La punition était loin d’être finie, elle estimait qu’il était temps de passer au niveau supérieur. D’abord elle prit un plug anal de belle taille qu’elle enfonça dans le fondement de la femme, aussi bien pour le préparer à la suite pour le plaisir de la voir se tortiller de plaisir sur place quand elle lançait la fonction vibrante.

« Ce plug est relié à une télécommande pour que je puisse le faire vibrer. Comporte-toi bien et tu prendras ton pied. »

Puis elle installa son invitée sur un nouveau support, un cheval de bois SM dont l’arête centrale était très fine, causant chez la personne qui s’asseyait dessus aussi bien plaisir que douleur. Et pour compléter le tableau elle lui attacha de petits poids aux chevilles pour s’assurer qu’elle s’appuyait bien sur le cheval afin d’en profiter au maximum. Joana l’avait installée de telle sorte qu’elle soit bien en face de son mari en train de se faire enculer par Jessica.

« Surtout ne détourne pas les yeux Maria. Je veux que tu regardes ton mari devenir un chien… aahh… que tu prennes ton pied en le voyant être rabaissé et baisé. »

Et sur ces bonnes paroles elle enclencha le plug logé dans son cul pour lui donner encore plus de plaisir.

[Reine Alice Korvander]

Tout ici était filmé. Bobbie ne cherchait même pas à faire chanter ses amants, mais elle se disait que, d’ici quelques années, elle prendrait plaisir à consulter ces vieilles vidéos, avec sa femme. C’était après tout l’histoire de Stepford qui s’écrivait ici, à travers chaque coup de reins, chaque orgasme, chaque soupir. Une magnifique histoire qui ne visait qu’à améliorer Stepford, à la corriger de ses imperfections. Jessica besognait Luke avec force, s’enfonçant de plus en plus profondément en lui. Sous la cagoule, l’homme gémissait, mordillant son gag ball. Il n’avait pas besoin de parler, son érection parlait pour lui ! Jessica soupirait, heureuse, attrapant Luke par la cagoule, tirant en arrière, le giflant, frappant violemment son cul, tout en s’enfonçant en lui jusqu’à la garde. Oui, elle aimait coucher avec des femmes, bien sûr, mais sodomiser des hommes, humilier ces mâles arrogants qui pensaient avoir droit de vie et de mort sur elles, cela n’avait pas de prix ! Jessica y allait donc franchement, et cela ne pouvait contribuer qu’à renforcer l’excitation de Maria, qui couinait déjà joyeusement en se faisant frapper le cul par sa femme.

Bobbie la regarda faire. Elle souriait doucement, se masturbant légèrement. Elle n’avait pas fait qu’appeler Jessica, et elle attendait, elle aussi, son tour… En attendant, Joana guida Maria sur un cheval en bois, où l’intéressée allait pouvoir frotter sa chatte trempée sur de fines cordes pensées pour. Maria regardait son mari, et cela l’excitait encore plus. Puis Joana enclencha le gode. Maria se tortilla alors en remuant sur place. Le gode comprenait une belle queue poilue derrière qui se mit à remuer quand Joana activa la fonction vibrante. Bobbie rejoignit sa femme, et se lova dans son dos, frottant sa queue assoiffée contre ses fesses.

« Maîtresse, c’est si beau de voir mon mari comme ça, hmmm… »

Bobbie embrassa Joana dans le creux du cou, doucement excitée par cette scène.

« On dirait que tu t’en sors bien, ma chérie… Je savais que nous risquions de ne pas être assez nombreux, donc j’ai appelé une autre de nos amantes… »

Sans donner l’identité de cette nouvelle invitée, Bobbie alla embrasser Joana. Elle l’embrassa pendant une bonne minute, tandis que les Valentios continuaient à sombrer dans la luxure. On entendit ensuite la porte du sous-sol s’ouvrir, puis des bruits de pas rapides le long de l’escalier… Et ce fut ensuite la vision de celle qui, pour l’heure, était leur plus jeune esclave : Cassie Maxwell, leur baby-sitter. Elle écarquilla les yeux en voyant les Valentios.

« Oh ! Maîtresses, vous… Vous êtes vraiment incroyables…
-  Les flatteries viendront plus tard, Cassie, tu es en retard ! Ma queue a très envie qu’on la suce ! »

Bobbie ne voulait pas perturber trop Joana pendant qu’elle dressait Maria, et elle alla s’asseoir sur son fauteuil, attrapant un verre de vin, et laissa Cassie venir entre ses cuisses pour la sucer. Bobbie, elle, tenait à profiter de ce spectacle exquis…

[Shykarka]

Joana se délectait autant de la vue de Maria soumise à tous ces traitements érotiques que Maria se délectait de la vue de Luke en train de se faire dresser par Bobbie et Jessica. Pourtant Bobbie finit par laisser Jessica s’occuper seul de leur invité et rejoignit sa femme pour lui annoncer qu’elle avait appelé une autre de leurs amantes pour se joindre à la fête.

« Vraiment ? Et qui est-ce ? »

Bobbie ne répondit pas à cette question et préféra l’embrasser, ce dont Joana n’allait pas se plaindre. Au bout d’une bonne minute de baiser la porte du sous-sol s’ouvrit et le mystérieux invité de sa femme arriva : Cassie Maxwell, leur babysitter.

« Oh, excellente idée. Ce sera un bon moyen de poursuivre sa formation. »

Evidemment la jeune fille fut bien étonnée de voir que la soirée avait déjà autant avancée mais Bobbie se dépêcha de la mettre au pas en lui ordonnant de venir la sucer tandis qu’elle s’installait dans son fauteuil, un verre de vin à la main. Joana profita de cette nouvelle arrivée pour continuer son travail sur son invitée.

« Tu vois Maria, ici nous ne faisons pas que rééduquer les adultes… nous préparons également la future génération à un avenir meilleur.
Regarde Cassie : si nous restons dans le système actuel, elle n’aura aucune autre perspective que celle d’être une ménagère et une poule pondeuse pour son mari. Mais avec notre projet, elle pourra devenir tout ce qu’elle veut. Et pas seulement elle… tes enfants aussi. »

La ménagère avait encore en tête sa discussion de plus tôt avec son invitée à propos de Sunny, sa fille aînée, qui rejetait le modèle stepfordien et voulait même quitter la ville. Elle avait là un parfait levier pour guider la femme dans leur direction.

« Tu aimerais que ta fille reste à Stepford n’est-ce pas ? Qu’elle puisse mener une vie heureuse et paisible, comme toi, loin des dangers de ce monde devenu fou. Mais Sunny rejette tout ce que représente Stepford, elle rêve d’autre chose. Et si cette autre chose… c’était nous ? Si nous changeons le modèle de cette ville, que nous lui offrons de nouvelles perspectives et plus de liberté pour son avenir… elle restera ici, tu ne crois pas ? »

Elle l’encouragea ensuite à regarder en direction de Cassie, qui se régalait à pomper allègrement le vit de sa femme.

« Cassie et Sunny ont presque le même âge. Si nous avons pu la rééduquer, nous pourrons le faire aussi pour ta fille. Et je t’assure qu’elle n’aura plus envie de quitter Stepford une fois que ce sera fait. »

Et afin de bien enfoncer le clou…

« Cassie ? Est-ce que tu as envie de quitter Stepford ? »

[Reine Alice Korvander]

La petite Cassie était toujours la bienvenue ici. Leur baby-sitter était aussi l’une de leurs esclaves les plus dévouées, qui leur fournissait quotidiennement des informations et des renseignements sur la jeunesse de Stepford. Tout le monde ici avait des enfants, c’était une obligation pour vivre à Stepford. Et les enfants étaient toujours plus aisément malléables que les adultes, surtout à l’âge adulte, un âge où ils étaient en train de se construire. C’était donc l’âge parfait pour frapper ! Bobbie ne se faisait pas d’illusions, elle savait qu’elle rencontrerait beaucoup de mâles qui ne fonctionnaient pas comme Luke. Pour eux, il allait donc falloir frapper après avoir convaincu leurs proches de devenir plus raisonnables. Des proches comme Cassie, qui renifla sa verge, puis la caressa. Elle la frotta entre ses deux mains, ses belles joues rougissant sous le désir. On aurait dit une dévote devant son outil de vénération. Elle embrassa alors la grosse queue durcie de Bobbie, la lécha ensuite, sentant un délicieux liquide séminal s’écouler contre ses lèvres. Cassie remuait ses jambes nerveusement, cherchant à se masturber, mais préférant avant tout s’attaquer à cette queue, renifler son odeur, ce musc, sentir la dureté de cette verge contre sa bouche.

Ses mains se déplacèrent, et elle caressa les deux testicules de sa Maîtresse avec ses mains, les malaxant et les remuant, tout en continuant à lécher la queue de Bobbie. Sans ses mains pour la repositionner, la verge de Bobbie remuait sur le visage de Cassie, barrant son visage en deux, heurtant son nez, frottant sa peau. C’était très excitant, et Cassie soupirait doucement. Bobbie releva la tête, et sourit doucement en voyant que Joana motivait Maria, lui disant que ses filles pourraient être comme Cassie. Elle mentionna Sunny, et Maria soupira doucement, se tortillant sur le cheval, mouillant dessus.

« Oh, Cassie… Hmmm… Tu es… Une amie de Sunny… »

Bobbie sourit, et, quand Joana l’interrogea, Cassie se retourna, et secoua la tête.

« Partir ? M’éloigner de vous ? De cette vie ? Jamais ! Oh, pitié, Maîtresses, ne me forcez pas à partir ! »

La femme hermaphrodite sourit, et caressa les cheveux de Cassie.

« Parle-moi de Sunny…
-  Elle fait partie du club des pom-pom girls… Elle parle souvent de vouloir rejoindre la ville… Pour des virées, ce genre de choses…
-  Je crois qu’il va falloir que nous nous intéressions de près à ce club, mon amour… C’est très bien, Cassie, viens chercher ta grosse sucette en récompense… »

Cassie soupira, et commença donc à sucer avec appétit la solide et grosse verge de Bobbie, tandis que Maria était convaincue.

« Oh, Maîtresse, je crois que ma fille… Cherche à se faire dépuceler… Et je ne vois que vous pour ça, Maîtresse… »

[Shykarka]

Joana était plus que ravie d’entendre Cassie dire combien elle était heureuse de son nouveau quotidien aux côtés de ses maîtresses et les supplier de ne pas la forcer à partir.

« Du calme Cassie, personne ne te force à partir. Du moins… tant que tu restes une bonne fille obéissante et gourmande. »

Exactement ce qu’elle voulait que Maria voie. Cassie parla plus en détail de Sunny, avec qui elle était amie, et Bobbie ajouta qu’elles allaient devoir s’intéresser au club des pom-pom girls.

« Ce sera avec joie, mon amour. »

Un club rempli de jeunes demoiselles en chaleur qui passent leur temps libre à transpirer et à se donner en spectacle dans des costumes ridiculement trop révélateurs ? Il n’y avait pas à hésiter, c’allait être un merveilleux vivier de nouvelles recrues.

Cassie avait bien joué son rôle mais ses paroles eurent un effet auquel Joana ne s’attendait pas : Maria voulait offrir la virginité de sa fille aînée à ses maîtresses.

« Oh ? Tu veux que ce soit nous qui dépucelions ta fille ? C’est une sacrée demande que tu nous fais là. Tu es vraiment sûre de toi ? »

Joana ne comptait pas refuser, une sympathisante de plus dans la famille Valentios ça ne pouvait pas faire de mal, mais elle voulait voir à quel point son invitée était sérieuse dans ses propos. Elle augmenta l’intensité de la vibration du plug niché dans son cul.

« J’espère que tu ne dis pas ça juste parce que tu es en train de prendre ton pied en regardant ton mari être dressé. C’est vrai que ta fille est appétissante… mais elle ne couchera pas avec nous juste parce qu’on lui demande gentiment. Il va falloir la convaincre… et on aura besoin de tout le monde pour ça. De toi bien sûr, mais aussi de Cassie et peut-être d’autres de ses copines. »

Voir leur nouvelle amie s’enfoncer si profondément dans la luxure qu’elle était prête à offrir la virginité d’un de ses enfants à ses nouvelles maîtresses… c’était si bon. Joana l’aurait bien baisée à même le sol immédiatement si elle n’était pas si occupée à briser son conditionnement, mais elle voulut quand même l’encourager sur cette voie.

« Cassie ? Est-ce que tu sais si Sunny a quelqu’un en vue pour son dépucelage ? »

Garçon ou fille, peu importe, s’il y avait une personne alors ce serait elle que les Eberhart cibleraient en premier.

« Et toi Maria, qu’est-ce que tu sais des goûts de ta fille en matière de sexe ? Est-ce que tu sais si elle a des fantasmes, quelque chose qu’on pourrait mettre en place pour la convaincre ? »

De toute façon elles parviendraient à se faire Sunny, aucun ado de cette ville ne pouvait leur résister, mais si elles savaient par quel angle attaquer la question ça faciliterait les choses.

[Reine Alice Korvander]

La perspective de dépuceler de jeunes femmes ne manqua pas de stimuler Bobbie, et il avait suffi que Cassie évoque le club des pom-pom girls, puis que Maria évoque ses filles, pour que sa verge gagne en dureté .Cassie put le sentir dans sa bouche, puis dans sa gorge, ou à la manière dont le corps de sa Maîtresse réagit. Ses cuisses se resserrèrent, et sa main se crispa sur les cheveux de Cassie, l’incitant à venir prendre au plus profond de sa bouche sa grosse queue. Cassie gémit doucement, sentant des larmes monter à ses yeux quand, du fait de cette gorge profonde, elle en eut la respiration coupée. Oh oui ! Cette queue était vraiment magique ! Pour elle, Cassie était prête à tout ! Elle mouillait chaudement en imaginant recevoir à nouveau ce membre dans sa petite chatte, et l’idée d’offrir d’autres jeunes femmes à sa Maîtresse ne pouvait que l’exciter davantage. De son côté, Joana était elle aussi emballée, et commença par interroger Maria sur Sunny.

De ses trois filles, Sunny était la plus âgée, et assurément la plus compliquée. Luke se mit à gémir quand le sort de Sunny était évoqué. Jessica continuait à le sodomiser, s’enfonçant jusqu’à la garde en lui, et il parla à la place de sa femme :

« Maî-Maîtresse, hmmm… Sunny… Sunny est en âge de se trouver un époux, mais… Notre fille refuse… Le choix de son époux fait partie de l’ordre du jour du prochain conseil municipal, hmmm…
-  Oui, Su-Sunny est rebelle, hmmm… Elle veut quitter Stepford, vivre ailleurs, haaa… Elle ne sait pas ce qui l’attend dehors. Sa place est ici, et… Hmmm… Elle et mes deux autres filles, nous vous aiderons, Maîtresse. »

Bobbie laissa Cassie respirer un peu, et l’incita à grimper sur ses cuisses. La jeune femme obtempéra, et partagea un baiser appétissant avec sa Maîtresse, qui serra ses cheveux d’une main et pressa de l’autre ses délicieuses fesses.

« Alors, Cassie, crois-tu pouvoir nous aider ?
-  Haaaa, Maîtresse… »

Cassie frottait ses lèvres intimes contre l’épaisse trique de Bobbie, avec l’envie certaine de s’empaler dessus, mais sans pouvoir le faire.

« Sunny a une amie proche au sein des pom-pom girls, Becca… Elle, elle n’est plus vierge, elle est très perverse, et très populaire… »

Bobbie sourit doucement, et laissa Cassie s’empaler sur sa verge. La jeune femme eut un orgasme en sentant cette grosse queue durcie s’enfoncer dans sa chatte, et Bobbie soupira longuement en sentant les lèvres intimes de Cassie se serrer sur sa queue.

« Alors, on commencera par là… Le club des pom-pom girls… »

[Shykarka]

Les parents de Sunny ne savaient pas grand-chose sur les goûts de leur fille, ils savaient juste qu’elle refusait de se marier et voulait quitter Stepford pour aller vivre ailleurs. Son comportement serait d’ailleurs à l’ordre du jour du prochain conseil municipal, mais maintenant les parents comptaient plutôt sur leur nouvelle maîtresse pour les aider avec leur fille.

Ces maudits conseillers municipaux… Ils croient qu’ils peuvent décider de l’avenir d’un être humain juste parce qu’ils sont riches et influents ?

Joana et Bobbie avaient des alliés à la mairie mais personne pour les renseigner de ce qui se passait dans les hautes sphères. Pour l’instant elles ne pouvaient pas s’opposer à la Fondation Viritas frontalement, elles devaient d’abord étendre leur sphère d’influence à Stepford.

« Bien sûr que nos allons vous aider ma belle. Ne t’inquiète pas, bientôt ta fille oubliera ces idées idiotes de voyage et elle vivra heureuse et épanouie à Stepford. »

De son côté Bobbie récupérait des infos auprès de Cassie, qui en savait plus sur la vie personnelle de Sunny. Apparemment elle avait une amie proche au sein des pom-pom girls, une certaine Becca, qui semblait être une fille très populaire et très perverse. Il n’en fallut pas plus à Bobbie pour décider de commencer par le club des pom-pom girls.

« Avec joie ma chérie, mais vas-y doucement. Je ne voudrais pas que tu rendes toutes les pom-pom girls accros à ton chibre. »

Joana se concentra à nouveau sur Maria, lui donnant des fessées à grands coups de paddle tandis qu’elle endurait la douleur d’être montée sur ce cheval de bois et savourait le plaisir de voir Luke se faire sodomiser par Jessica. Elle qui espérait seulement faire sombrer la femme au cours de cette soirée, elle allait aussi gagner le mari et la fille ainée, voir peut-être même les autres filles puisque Maria avait dit que toute la famille les aiderait pour convaincre Sunny de renoncer à ses idées de voyage.

« Tu es prometteuse Maria… on va pouvoir passer à l’étape suivante. »

La ménagère fit descendre son invitée du cheval SM pour la mettre à genoux devant elle. Entretemps elle avait remis le gode-ceinture utilisé plus tôt et le présenta devant le visage de son amante, tapant contre ses joues avec.

« Tu as encore des progrès à faire pour apprendre à t’en servir correctement… mais pour l’instant je veux juste te voir me sucer. Ça tu dois savoir le faire non ? Je parie que tu as sucée ton mari plus d’une fois. »

[Reine Alice Korvander]

Joana s’amusait à éduquer Maria, à la punir, à la battre, à la fesser, et à savourer la suite. Elle signala toutefois à sa femme qu’elle ne devrait pas rendre accroc toutes les filles du club de pom pom girls à son chibre. Bobbie sourit en relevant la tête, laissant Cassie la sucer encore. Sa main se posa sur sa tête, ; et elle appuya fort, l’empêchant de se retirer, souriant doucement en l’entendant gémir. Cassie s’étouffait sur sa grosse queue joufflue et trempée, elle disparaissait devant elle, petite chose fragile, véritable fucktoy sur pattes.

« Hihi, tu veux ton compte toi aussi, hein ? Ma chérie, mes esclaves sont tes esclaves… Et ces petites putes en manque de sexe du club de pom pom girls seront à nos pieds, mon amour… »

C’était si joliment dit ! Cassie soupira doucement, fantasmant sans doute déjà à l’idée d’une orgie dans le vestiaire. D’un autre côté, Cassie trouvait quand même excitant le fait d’être la seule esclave adolescente de ses Maîtresses, mais elle savait aussi qu’elle ne pouvait le rester indéfiniment. Ses Maîtresses étaient là pour perfectionner Stepford, pour faire de cette ville ce qu’elle aurait toujours dû être : le point de départ vers une société enfin matriarcale, une société où les hommes obéiraient aux femmes, Le rêve ! Cassie soupirait donc cette belle queue, tandis que Bobbie avait devant elle un sacré spectacle. Luke continuait à se faire rabattre, humilier, et prendre avec force par Jessica, tandis que Joana se mit à maltraiter encore Maria.

Après l’usage du paddle, elle mit Maria à genoux, et enfila sur elle un strap-on. Maria déglutit, et hocha la tête en se rapprochant.

« O-Oui, Maîtresse… C’est exact… »

Cependant, Maria devait bien admettre qu’elle était un peu jalouse de Cassie en ce moment. Elle aussi, elle voulait sucer un tel bracquemart, et l’idée de se faire prendre par ces deux belles Futas…

« Maria… Hmmm… Maria a surtout aimé sucer ma queue. Luke, lui, préfère se faire pénétrer que de pénétrer les autres.
-  Maî-Maîtresse, haaaa, pitié… »

Pour seule réponse à la supplication de Luke, Jessica le fessa à nouveau, et l’homme ne tarda pas à jouir encore, la verge de Jessica s’enfonçant régulièrement jusqu’à la garde, ses bourses claquant contre ses fesses. Maria, de son côté, suça donc le sex toy de Joana, tandis que Bobbie commençait à se demander si elle ne devait pas se rapprocher de Kelly pour faire aussi de sa femme une Futanari.

*Comme ça, on pourrait baiser les pom pom girls à deux…*

Elle se pinça les lèvres, en se disant que cela ferait peut-être un beau cadeau d’anniversaire pour sa si charmante épouse…

[Shykarka]

La formation de Maria consistait aussi bien à lui faire découvrir de nouvelles choses qu’à perfectionner ses acquis. D’après Jessica, Maria avait passé beaucoup de temps à sucer sa queue tandis que Luke préférait se faire pénétrer. Du coup elle mit son invitée à genoux devant elle et lui fit sucer son strap-on comme si c’était une verge de futa.

Une verge de futa… qu’est-ce que ça ferait si j’en avais une vraie ?

Parfois Joana se demandait comment les choses auraient tourné si ça avait été elle que la Fondation Viritas avait désigné comme celle à qui il fallait donner la verge. C’était elle qui baiserait Bobbie tous les jours, déverserait son sperme sur sa peau et dans ses orifices, offrirait sa belle friandise à toutes les femmes en manque de sexe de la ville… Bien sûr ça faisait rêver, mais elle pensait aussi que deux futas dans un même couple le rendrait trop dysfonctionnel. Elle était heureuse d’avoir gardé ses organes génitaux et de se faire joyeusement baiser tous les jours par sa femme, les choses n’auraient plus la même saveur si elle ne pouvait plus avoir sa grosse queue joufflue dans sa chatte.

« C’est bien Maria… pompe cette queue comme si c’était celle de ma femme. Imagine que tu veux avoir tout son bon sperme dans ta bouche… que tu veux lui faire plaisir… et te régaler en même temps. »

Joana posa ses mains sur la tête de Maria et commença à baiser sa délicieuse bouche avec son strap-on. Pas question de la ménager, elle devait apprendre à être une bonne salope et à utiliser tout son corps pour satisfaire ses nouvelles maîtresses. De temps en temps elle sortait son jouet de la bouche de son amante pour la biffler avec.

« Ça te plait hein ? Être à genoux devant ta maîtresse et lui pomper la queue. Je parie qu’une belle salope comme toi a un très gros appétit de bite. Mais si tu veux avoir le droit de sucer de vraies sexes chauds et veineux, tu dois nous montrer que tu sais t’y prendre avec les jouets d’abord. »

Jessica avait beau dire qu’elle avait plusieurs fois sucé sa queue, Joana voulait se faire son propre avis. En plus les futas étaient déjà occupées avec d’autres partenaires à sauter, et enfin la ménagère était bien trop contente de voir son invitée à genoux devant elle pour lui faire une fellation.

« Les filles… qui veut venir se faire sucer par Maria ensuite ? »

[Reine Alice Korvander]

À ce stade, il n’y avait plus vraiment de doute sur le fait que les Valentios leur appartenaient. Luke était aux anges, assumant enfin cette part de désir sexuel en lui qu’il avait toujours refoulé. Ce désir était lentement en train d’exploser, de se manifester sous sa forme la plus primaire, et il l’acceptait. Jessica souriait donc, continuant à lui défoncer le cul, tout en regardant également la femme de Luke, Maria. Elle suçait le strap-on de Joana avec une réelle emphase, et il n’échappait guère aux deux Futas que Joana y prenait elle aussi son pied. Bobbie se promit de se renseigner auprès de Kelly pour savoir s’il n’était pas possible d’améliorer encore le corps de sa femme en lui permettant d’être hermaphrodite. Elle sentait que cela plairait à sa femme. De plus, et à bien y réfléchir, leur anniversaire de mariage se rapprochait. Ne serait-ce pas là un très beau cadeau ? Sa verge frémit lentement à cette idée, et elle entendit Cassie gémir lentement, en s’étouffant un peu sur son mandrin.

*Oui, je vais même me renseigner dès demain sur la faisabilité de ce projet…*

Joana finit par repousser Maria, qui tremblait d’excitation, et demanda quelle verge elle pouvait venir sucer. Jessica sourit alors, et se retira du cul de Luke, qui soupira lentement.

« Viens, ma belle, ne me fais pas poireauter ! »

Luke et Maria se retrouvant seuls, Bobbie se racla la gorge. Cassie continuait à la sucer, et Joana rejoignit Jessica, et sa belle verge tendue. Après tout, elle était occupée à sodomiser Luke, alors sa queue était bien grosse, solide, sur le point de cracher sa semence… Ce qui risquait tout de même de prendre un certain temps, au vu de la redoutable endurance des deux femmes ! Quant aux Valentios, Maria récupéra le strap-on qu’elle avait sucé, puis s’empressa de l’enfiler, et alla à son tour sodomiser Luke.

« Lu-Luke, je… Je t’aime…
-  Oh, ma chérie… Si tu savais… Comme c’est bon ! »

Tout le monde se faisait plaisir ! Mais, évidemment, de toutes les personnes présentes ici, Bobbie s’intéressait avant tout au plaisir de Joana. C’était bien naturel, puisque c’était sa femme, et que Bobbie était une épouse soucieuse de satisfaire sa femme !

[Shykarka]

Maria venait d’offrir au couple Eberhart un nouvel angle d’attaque pour s’assurer de sa loyauté : séduire sa fille. Elles se pencheraient sur la faisabilité de ce projet plus tard, pour l’instant elles devaient encore mettre les parents de leur côté. Après avoir été bien sucé par Maria, Joana demanda qui voulait être la prochaine à goûter à sa bouche. Jessica se retira aussitôt du cul de Luke et leur fit signe d’approcher. Pourtant, alors que la ménagère s’attendait à voir son invitée se mettre à genoux devant la futa pour la pomper, elle fut surprise de la voir enfiler le strapon qu’elle avait sucé juste avant pour aller sodomiser Luke à son tour.

« Oh oh… on dirait que mon élève commence à retenir ses leçons. »

Joana était surprise mais aussi très satisfaite. Que Maria prenne de telles initiatives seulement quelques heures après le début de leur session de baise, c’était indéniablement la preuve que son conditionnement stepfordien était en train de céder. En plus Luke semblait prendre les choses de manière plutôt positive.

« Ces deux-là vont être bien occupées. Du coup… c’est moi qui vais m’occuper de toi, on dirait. »

La ménagère se mit à genoux devant Jessica, soufflant son souffle chaud sur sa queue érigée et la tripotant entre ses doigts. Elle n’avait pas joui en sodomisant Luke mais elle semblait clairement tout proche de le faire. Montrant tout son talent elle raffermit sa prise sur cette lance de chair veineuse et se mit à l’astiquer tout en utilisant son autre main pour caresser les couilles de son amante.

« J’ai envie… d’une bonne giclée… sur le visage. »

Oui elle avait parlé d’une fellation mais elle pensait que ce serait Maria qui s’y collerait. Puisque c’était elle, elle voulait offrir plus à son invitée. Elle usa habilement de ses mains jusqu’à en faire jouir son amante et elle récolta toute la semence ainsi expulsée sur son visage, comme promis.

« Aaahhh… qu’est-ce que tu en penses ? J’ai l’air d’une belle salope comme ça ? »

Elle ne prit même pas la peine de se nettoyer avant d’enchaîner aussitôt avec une fellation, avalant le membre de la futa dans sa bouche, toujours avec une main sur ses couilles mais sans la prendre en gorge profonde tout de suite. Pas la peine de se presser, autant savourer l’instant.

[Reine Alice Korvander]

La débauche sexuelle continuait avec délectation. Bobbie avait fini par relevber Cassie, et, après avoir sucé sa queue, Cassie s’empala dessus, le dos tourné à Bobbie, ce qui lui permettait de voir le spectacle. Elle soupirait doucement en sentant les mains de sa Maîtresse sur ses hanches, puis sur ses seins, et surtout sur son cou. Bobbie l’embrassa dans le creux du cou, tout en serrant sa main sur son cou, l’étranglant.0 Elle rajoutait à cette séance une couche de strangulation sexuelle, relâchant ensuite le cou de Cassie, pour que chaque bouffée d’air frais l’excite encore. Sa verge remuait déjà dans une chatte bien trempée. Cassie faisait partie des premières adolescentes que les Eberhart comptaient séduire, une nouvelle génération qui allait être le fer de lance de la nouvelle Stepford. La jeune Cassie se tortillait sur place, doucement excitée, surtout en voyant le couple Valentios. Ici, à Stepford, tout le monde se connaissait, et elle avait vu les Valentios depuis des années, que ce soit à la kermesse, aux fêtes de village… Elle avait même été aux fêtes d’anniversaire des trois filles du couple Valentios. Ils étaient bien intégrés au sein de la communauté, et les voir ainsi ne pouvait que conforter Cassie dans son choix.

« Hmmm… Je sens tes parois vaginales qui se contractent, ma petite salope…
-  Oh, Maîtresse, c’est que… C’est si gênant, devant les Valentios… Haaa… Je les connais depuis que je suis toute petite, hmmm… »

Bobbie gloussa doucement, plus amusée qu’autre chose par les remarques pleines d’innocence de Cassie. Elle observait surtout sa femme, qui pompait la queue de Jessica. La belle blonde posa sa main sur la tête de Joana, puis la seconde, et commença à remuer. Après son premier orgasme, sa queue restait toujours bien dure, et elle constata que Joana était visiblement très assoiffée. Jessica continua à la prendre, remuant d’avant en arrière.

« Hmmmm… Tu devrais y mettre plus d’entrain, ma chérie ! »

Jessica soupirait longuement, tandis que Maria, elle, prenait son pied. Allait-elle, elle aussi, devenir une Futanari ? Il allait vraiment falloir que Bobbie s’entretienne de ce sujet avec Kelly ! Mais, pour l’heure, Jessica finit par se retirer de la bouche de Joana, et rapprocha son membre turgescent de ses seins.

« Branle-moi avec tes gros seins, ma salope… »

Bobbie sourit doucement, et sa queue se durcit. Elle aussi, elle aimait sentir les seins de sa femme avaler sa queue, et il lui arrivait fréquemment de jouir abondamment contre ses seins, la purée blanche remontant alors jusqu’à son visage !

[Shykarka]

Jessica ne fit pas de commentaire sur l’allure de Joana maintenant qu’elle avait du sperme sur le visage, elle lui répondit juste qu’elle devrait mettre plus d’entrain dans ce qu’elle faisait.

« Plus d’entrain ? Je t’ai fait arroser mon visage avec ton foutre, tu n’as pas trouvé ça entraînant ? »

Cependant la ménagère comprenait qu’une futa ait des standards élevés quand il s’agissait de sexe. Qu’à cela ne tienne, elle reprit son sexe en bouche et commença les gorges profondes afin de bien stimuler son amante.

« Mmmhhh… »

Il y a assez d’entrain là ?

Joana pensait être sur la bonne voie mais Jessica finit par se retirer de sa bouche pour mettre son membre veineux entre ses seins, lui demandant de la branler.

« Avec joie très chère. »

La femme posa ses mains sur sa poitrine pour avaler le sexe de son amante entre ses seins et se mit à le branler énergiquement. Pas question de faire preuve de la moindre retenue cette fois, elle voulait entendre la futa gémir de plaisir et couiner abondamment lorsqu’elle jouirait. Elle faisait montre de tout son talent dans l’art de satisfaire les femmes membrées, un talent développé pendant ses longues journées et nuits d’amour passionné avec sa femme.

« Aaahhh… c’est à ton goût… comme ça ? »

De temps en temps Joana jetait des coups d’œil en direction de sa femme et de leurs invités pour voir où ils en étaient. Bobbie continuait de baiser Cassie qui dansait sur son chibre et Maria affirmait son autorité sur Luke en le sodomisant de plus en plus vite et fort. Tout prenait exactement la direction espérée, aussi bien pour la génération actuelle que pour la prochaine. Bientôt leur groupe étendrait son emprise sur Stepford et éliminerait la Fondation Viritas. Mais pour l’instant elle se réjouissait seulement de voir autant de plaisir autour d’elle et que la soirée ne faisait que commencer.

« Jessica… oohh… tu vas me faire gicler ta purée blanche jusqu’au visage… pas vrai ? »

[Reine Alice Korvander]

Bobbie regardait naturellement sa femme pomper la puissante verge de Jessica. Comment ne pas apprécier cette vue ? Sa femme était parfaite. À chaque fois que Bobbie la voyait, elle était emprise d’un irrépressible élan d’amour envers elle. Elles avaient beau être très perverses, nymphomanes, et multiplier amantes et amants,  elles n’en restaient pas moins très amoureuses l’une de l’autre. C’était un peu comme si tous ces amants variables les ramenaient à leur passion mutuelle, l’une à l’autre. Bobbie sentait donc Cassie danser sur elle, et, comme elle regardait un peu trop Bobbie, Cassie fronça les sourcils.

« Ce… Ce n’est pas très gentil de m’ignorer ainsi, Maîtresse… »

La rouquine se retourna vers elle, et sourit à Cassie, avant d’aller l’embrasser, puis de pincer ses fesses. Elle sentit Cassie soupirer, sentit ses parois vaginales se contracter sous l’effet d’un spasme musculaire qui traversa le corps de la jeune femme. Sensuel, le baiser devint plus mordant quand Bobbie coinça la lèvre de Cassie entre ses dents, et tira dessus, amenant la jeune femme à gémir de douleur, poussant un délicieux couinement.

« Je suis ta Maîtresse, Cassie, je fais ce qu’il me plaît !
-  Haaan, Maîtresse, vous êtes si cruelle…
-  Non, c’est juste toi… Hmmm… Qui oublies que tu es juste ma petite salope d’adolescente nymphomane… »

Se faire insulter ainsi fit rougir Cassie jusqu’aux oreilles, mais elle ne pouvait guère nier l’évidence. Cassie était une petite perverse, et cela, elle le devait assurément à sa redoutable et perverse Maîtresse. Bobbie se déplaça un peu, ayant surtout hâte de retrouver sa femme, et de la baiser avec Jessica. De son côté, la plantureuse blonde faisait également durer le plaisir, provoquant Joana. C’était une bonne manière de la stimuler, et elle sourit donc quand Joana lui demanda si elle allait juter sur son visage.

« Bien sûr, tu aimes sentir mon foutre sur ton visage… Et puis, il y a votre esclave d’adolescente pour te nettoyer… »

Un ordre qui ne déplairait pas à Cassie, tandis que, dans un soupir, Jessica comprima ses muscles, et se mit à jouir avec joie, éclaboussant abondamment le visage et la poitrine moelleuse et chaude de Joana…

[Shykarka]

Pourquoi simplement faire jouir son partenaire quand on pouvait faire durer le plaisir et le savourer pendant des heures, voir une nuit entière ? C’était cette réflexion si simple et complètement ignorée par la Fondation Viritas qui permettait désormais à Joana et Bobbie de rallier de plus en plus de gens à leur cause, que ce soient des adolescentes comme Cassie ou des femmes adultes comme Maria. Et bien sûr c’était une voix qu’on était obligée d’emprunter quand on couchait avec des futas, bien plus gourmandes et endurantes que des hommes. Joana faisait d’ailleurs la preuve de ses talents avec Jessica, massant sa queue entre ses seins dans l’attente de la voir jouir. D’ailleurs son invitée était ravie de pouvoir répandre son foutre sur son visage pour voir ensuite cette vilaine cochonne d’adolescente la nettoyer.

« Oh oui… je suis sûre qu’elle se fera une joie de nettoyer. »

La ménagère continua son office jusqu’à mener son amante à l’orgasme, qui éclaboussa abondamment son visage et sa poitrine avec sa semence en couinant. Elle ne pouvait qu’être ravie devant une telle récompense et attendit bien que la futa ait fini d’éjaculer pour libérer sa queue. Le sperme dégoulinait sur sa peau, elle était poisseuse et collante mais des plus ravies d’avoir donné un tel plaisir à son invitée. Elle resta un moment à genoux devant elle, se léchant sensuellement les lèvres et le contour de la bouche pour ramasser quelques gouttes de semence et les avaler goulument.

« Hhhmmm… tu as bien joui Jessica. Maintenant… je vais me faire nettoyer. »

Joana se leva pour rejoindre Bobbie et Cassie. L’adolescente dansait sur le chibre de sa femme en se faisant insulter et pincer les fesses, ce qui ne devait que l’exciter encore plus. Cette jeune demoiselle était déjà une belle nymphomane bien avant que les Eberhart ne l’accueillent dans leur petit cercle et elles avaient su stimuler sa perversion pour en faire une parfaite amante dévouée à leur cause. La ménagère posa une main sur sa joue pour qu’elle la regarde.

« Tu t’amuses bien Cassie ? J’ai un cadeau pour toi : viens lécher. »

Tandis que la jeune fille nettoyait le foutre sur sa peau, Joana s’amusait aussi à lui pincer les fesses et à échanger des baisers avec Bobbie.

« La soirée s’annonce merveilleuse mon amour. Maria est en train de dompter Luke bien plus vite que ce qu’on espérait, je te parie qu’il nous demandera de l’enculer comme une belle petite pute d’ici demain matin. Et je peux déjà te dire que Maria salive d’envie à l’idée que tu la baises vraiment. Maintenant qu’elle a goûté au fruit défendu elle va en vouloir plus. En revanche essaie de garder des forces avant la fin de la soirée, je tiens absolument à être prise en sandwich entre toi et Jessica avant d’aller dormir. »

Après que l’adolescente l’avait bien nettoyée et avalé tout le sperme qu’elle avait sur la peau Joana la récompensa avec un baiser qui dura trente bonnes secondes, durant lesquelles elle lui mit plusieurs claques sur le cul pour la garder bien excitée.

« Quand à toi petite salope, tâche de satisfaire ma femme si tu ne veux pas être punie. Et demain tu me présenteras des pom-pom girls aussi dévergondées que toi, on les baisera ensemble et on organisera une grande orgie avec elles pour accueillir Sunny dans notre famille. »

Même si le sexe débridé était très plaisant en soi il ne fallait pas oublier le grand objectif derrière tout ça. Et justement Joana rejoignit Maria qui était en pleine séance de sodomie avec Luke pour voir si les choses allaient dans le bon sens.

« Alors Maria… est-ce que ton nouveau chien te satisfait ? »

[Reine Alice Korvander]

L’ambiance était particulièrement chaude et sensuelle. Bobbie le ressentait avec délectation, et elle frémit en voyant Joana les rejoindre. Comme toujours, son épouse ressortait du lot. Bobbie avait pourtant de quoi comparer, amis, plus elle couchait avec d’autres personnes, et plus cela tendait à renforcer son amour indéfectible pour sa femme. Bobbie frémit donc en la voyant se rapprocher, avec le foutre sur ses seins, et elle ordonna à Cassie de lécher. La jeune femme soupira lentement.

« Oui, Maîtresse… » soupira-t-elle.

Elle obtempéra sans rechigner, et lécha donc les seins de sa Maîtresse, remuant sa langue partout où elle le pouvait, tandis que Joana s’installa à son tour sur les cuisses de Bobbie, et posa ses mains sur ses fesses, les pinçant, ce qui fit gémir celle-ci. Bobbie se redressa alors, tout en sentant les parois internes de Cassie se crisper, trahissant son plaisir subit. Les deux femmes s’embrassèrent avec appétit, Bobbie posant sa main sur la nuque de sa femme. Elles s’embrassèrent donc, écrasant le corps de Cassie entre leurs généreuses poitrines, et Bobbie put sentir Cassie jouir contre elle, n’arrivant plus à se retenir. Cassie continua donc à lécher, puis Joana expliqua à Bobbie que la soirée se passait bien, ce qui ne lui avait pas échappé.

Bobbie lui sourit donc.

« Alors, ma prochaine étape sera de la baiser… »

Cette idée n’était évidemment pas pour lui déplaire. Joana embrassa ensuite Cassie longuement, pendant une moitié de minute. L’intéressée se mit à mouiller à nouveau, puis Joana lui annonça qu’elle comptait ensuite l’utiliser pour se taper dès demain de multiples pom-pom girels dévergondées. Cassie rougit en soupirant longuement, et hocha la tête :

« J’attends ce moment depuis tellement longtemps, Maîtresse… »

Bobbie se redressa alors, et se retira de Cassie, qui gémit longuement. Le temps pour la jeune femme de reprendre ses esprits, et Jessica se rapprocha, puis frotta sa verge contre sa bouche.

« J’ai toujours adoré baiser des adolescentes perverses… Ouvre la bouche, je vais te marquer… Et je veux que tu conserves mon urine dans ta bouche pendant que je vais te sodomiser… »

Souriant malicieusement, Jessica pressa sa verge, et libéra son jus doré dans la bouche de la jeune femme, venant l’humilier et la marquer. À proximité, Bobbie rejoignit Joana, et frotta contre ses fesses sa verge tendue en se lovant contre elle. Elle l’enlaça, et l’embrassa dans le creux du cou.

« Je vais te baiser jusqu’à l’aube, ma chérie… »

Ce serait une autre nuit où elles ne dormiront pas ! Cela leur arrivait souvent, et elles étaient tellement accroc au sexe qu’elles arrivaient très bien à gérer ces nuits intenses. Maria annonça être très satisfaite.

« C’est si bon… De le sodomiser comme ça, de se sentir observée… Je vous aime, mes Maîtresses ! »

Bobbie sourit, et masturba Joana tout en observant le couple, sentant la mouille de sa femme contre ses doigts.

« Demain matin, Kelly va venir… Tu devrais avoir ta verge, toi aussi… Alors, tu auras toutes ces pom-pom girls nymphomanes pour l’essayer sur elles… Je pense que je t’accompagnerai, je veux les baiser, moi aussi. »

[Shykarka]

Joana regardait avec amusement la façon dont Maria commençait à s’affirmer face à Luke. Elle sodomisait son petit chien avec joie, elle disait combien elle était satisfaite de pouvoir le baiser et de se sentir observée et réaffirmait son amour pour ses nouvelles maîtresses. Joana lui mit une claque sur le cul.

« C’est très bien Maria. Continue comme ça et Bobbie s’occupera bientôt de toi. »

Dès qu’elle entendit ça Maria se mit tout de suite à intensifier sa sodomie, faisant d’autant plus aboyer son petit chien. Bobbie aussi semblait contente, elle vint se coller dans le dos de Joana et la masturba tout en observant le couple, la mouille de sa femme coulant sur ses doigts. Elle lui annonça que Kelly allait venir demain matin et qu’il était peut-être temps de devenir aussi une futa. Comme ça elle pourrait baiser toutes ces pom-pom girls nymphomanes qu’elles iraient voir ensemble pour les joindre à leur cause.

« Oh… tu voudrais que je sois futa moi aussi ? Aahh… mais qui est-ce que tu baiserais toute la nuit dans ce cas ? Il y aura toujours mon petit cul bien sûr mais… hhhmmm… tu ne pourras plus sentir ta queue dans ma chatte trempée. Ça ne va pas te manquer ? »

L’idée de pouvoir baiser un tas de pom-pom girls nymphomanes était séduisante mais Joana n’était pas convaincue que ce soit un argument suffisant pour renoncer à son vagin pour toujours.

« Viens, je vais te montrer comme c’est bon de me baiser la chatte. Et on va en profiter pour montrer à nos invités ce que c’est qu’une vraie baise. »

La ménagère alla chercher un fauteuil qu’elle installa juste devant Maria et Luke puis elle prit sa femme par la main et l’installa dedans avant de grimper au-dessus d’elle. Elle frotta la verge érigée de la futa contre sa vulve humide en gémissant, faisant un peu monter la tension et s’assurant qu’elle avait bien l’attention des Valentios avant de s’empaler dessus.

« Aaahhh… ooouuuiii… tu la sens en moi ? Ooohhh… c’est tellement bon. »

Joana se colla contre Bobbie et l’embrassa sauvagement tout en dansant sur son chibre.