The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Joana avait mal compris ce que Bobbie voulait, mais, avant qu’elle ne puisse lui faire de précisions, Joana suggéra de goûter de nouveau à sa chatte. Bobbie frémit à cette idée, et sa queue durcit lentement. Elle ordonna à Cassie de filmer la scène, et la jeune pom-pom girl obtempéra. Joana installa la scène devant Maria et Luke, et Maria frémit en voyant Bobbie s’asseoir, sa grosse verge érigée se redressant furieusement. Maria soupira devant ce chibre énorme.

« Tu vois, mon chéri, ça, c’est une vraie queue ! Rien à voir avec ta petite queue ! Je te ferai porter une cage de chasteté, hmmm… Tu devras t’habituer à ne plus utiliser ta queue, et à te faire prendre par moi… »

Bobbie sourit, heureuse de cette évolution. C’était ça qu’elle voulait pour Stepford ! Luke était un premier candidat idéal, car il était déjà un « déviant ». Les autres mâles risquaient d’être plus difficiles à soumettre et à corrompre, et Bobbie allait sûrement devoir se fier à la stratégie de Kelly, qui avait sûrement prévu un plan pour ça. Mais, pour l’heure, le regard de Bobbie se focalisa sur Joana, qui se dressa devant elle, avec son corps parfait. Des hanches magnifiques, de longues jambes fuselées, une poitrine aussi moelleuse qu’énorme, et une chatte qui assoiffait Bobbie. Elle était déjà bien trempée, et Joana se dressa donc. Bobbie frémit en caressant ses hanches.

« T’es vraiment magnifique, ma chérie… Si tu savais comme je t’aime… »

Joana se pencha vers elle, et Bobbie se redressa, venant l’embrasser, tandis que, d’une main experte, Joana attrapait sa queue tendue et trempée, et s’en servait pour s’empaler dessus. Les mains de Bobbie se déplacèrent sur les fesses de Joana, et elle les pinça, ses doigts se crispant dessus, quand elle sentit sa verge être avalée par cette chatte assoiffée.

« Haaaa, ma chérie, hmmm… »

Rompant le baiser, Bobbie observa sa beauté, et se redressa ensuite, venant suçoter ses seins. Elle mordilla un téton, et sentit du lait aphrodisiaque fuser dans sa bouche. Bobbie frémit sur place, et continua à suçoter ce sein, le titillant, tandis que les hanches de Joana filaient de haut en bas. Elle s’empalait en totalité sur sa verge, amenant Maria à déglutir sur place. Même si Joana était sa Maîtresse, elle ne pouvait s’empêcher de mouiller en s’imaginant à sa place. La verge de Luke durcit également furieusement en imaginant cette grosse queue lui pilonner le cul.

« Tu sais, je ne veux pas me priver de ta chatte… Mais te doter des deux sexes, pourquoi pas ? Mais jamais je ne me lasserai de ta chatte, haaaa… Comment pourrais-tu m’offrir d’autres bébés sinon, hein… ? »

Elle soupirait encore, laissant volontiers Joana agir, s’empalant avec appétit sur sa queue assoiffée…

[Shykarka]

Apparemment Joana avait intéressé Bobbie puisqu’elle avait demandé à Cassie de filmer la scène. Tandis qu’elle commençait à danser sur son chibre elle entendait Maria expliquer à Luke ce que c’était qu’une vraie bite, que plus jamais il ne se servirait de la sienne et même qu’elle le placerait en chasteté pour qu’il comprenne où était sa place désormais.

Oui Maria… soumets ton mari.

La ménagère gardait toujours un œil sur ses invités mais elle se concentrait surtout sur sa femme tandis qu’elle dansait sur son magnifique chibre. Elles échangeaient baisers, caresses et paroles coquines, la futa lui suçait les seins pour se régaler de son lait aphrodisiaque… un pur moment d’extase. Bobbie expliqua à Joana qu’elle ne voulait pas lui faire renoncer à sa chatte car elle comptait bien lui faire d’autres bébés, elle voulait la doter des deux sexes afin qu’elle puisse faire l’expérience des deux côtés.

« Aaahhh… si c’est ce que tu proposes… ooohhh… ce sera avec joie. »

Joana était bien sûr très excitée à l’idée d’avoir un vrai sexe masculin entre les jambes, elle pourrait s’amuser à baiser tous ceux qu’elle et sa femme avaient déjà converti à leur cause : les lycéens et lycéennes, les ménagères et leurs maris, les employés municipaux… Elle les baisait déjà avec un strap-on mais avoir la sensation d’un véritable chibre en érection qui viendrait se longer dans les bouches, les chattes et les culs de tous ses partenaires… ce serait véritablement le pied. Pourtant, de ce qu’elle savait des travaux actuels de Stepford sur le changement de sexe, il n’était pas encore possible de se doter d’une verge sans renoncer à son utérus. Ça s’était passé comme ça avec Bobbie : le sérum l’avait doté d’un sexe masculin en prenant la place de sa vulve, rendant l’accès à son utérus impossible.

Kelly aurait fait des progrès là-dessus sans m’en parler ?

Inutile de penser à ça maintenant. S’il était possible pour Joana d’avoir un sexe masculin tout en pouvant encore porter les enfants de Bobbie, ce serait avec joie. Pour l’instant elle voulait juste baiser avec sa femme et mettre ses invités en appétit avant de reprendre le dressage de Maria et Luke.

[Reine Alice Korvander]

La délicieuse orgie se poursuivait dans la cave de la maison des Eberhart. Du sexe sauvage et débridé. Bobbie et Joana faisaient souvent l’amour uniquement entre elles, mais elles s’habituaient maintenant à l’idée de coucher à plusieurs. Quand on avait comme projet de soumettre toute une petite ville, il fallait bien s’attendre à ce genre de choses. Dans ce domaine, Bobbie avait un indéniable talent, et une soif de sexe inextinguible, à l’image de Joana. Elles étaient deux nymphomanes qui assumaient parfaitement leur besoin de sexe. Toutes les Stepfordiennes étaient ainsi, c’était là le fruit des expériences de la Fondation Viritas. Bobbie soupirait longuement en sentant Joana danser sur sa queue. Son doux lait aphrodisiaque l’excitait encore, durcissant sa verge.

« Tu m’excites tellement, mon amour… Chaque fois que ma verge est en toi, j’ai l’impression d’être une jeune pucelle qui fait l’amour pour la première fois… »

Elle l’embrassa encore, oubliant tout le reste. Les coups de reins prononcés de Maria, le plaisir évident que celle-ci prenait à sortir de son conditionnement et à l’appliquer sur son mari, tout cela était bien secondaire face aux soupirs de Joana, à son corps parfait, et à la manière dont elle s’empalait sur sa verge. Bobbie soupirait à son tour. Bobbie n’avait pas parlé à Joana des recherches de Kelly, car elle ne voulait pas lui donner de faux espoirs… Mais, finalement, la tentation avait été plus forte. Kelly était sur le point de réussir lors de leur dernier échange. Le corps en sueur, Bobbie laissait Joana danser sur elle, faisant défiler les minutes. Joana connaissait Bobbie, et elle pouvait sentir, dans ses soupirs, que Bobbie en voulait davantage, que tout son corps était sur le point d’entrer en éruption.

Dans un soupir, un râle profond qui évoquait une bête en rut, Bobbie, se redressa brusquement. Son fauteuil partit en arrière, et Joana s’étala sur le sol, se couchant sur un tapis. Bobbie soupira, ses cheveux en bataille tombant sur son visage, se collant à sa peau sous l’effet de la sueur, renforçant son allure bestiale, sauvage.

« Tu m’excites trop, ma salope… Et tu as la chatte tellement en feu, je vais devoir te baiser bien fort ! »

Bobbie soupira longuement, et souleva les cuisses de Joana, puis releva ses jambes. La souplesse de sa femme allait bien lui servir, car Bobbie opta pour une position intense, la position de l’enclume. Les jambes de Joana se redressèrent donc en l’air, entourant la tête de Bobbie, qui retourna la pénétrer avec force, grognant et soupirant sur place. Elles étaient désormais proches de Luke et de Maria, Joana n’avait même qu’à tourner la tête pour voir le regard envieux de Luke, et son désir très explicite de se faire prendre par la verge de sa femme…

[Shykarka]

Joana dansait sur Bobbie, son corps en sueur luisant sous la lumière tamisée de l’éclairage de leur donjon sexuel, se délectant des paroles salaces de sa femme et de sa grosse queue logée profondément dans sa chatte.

« Aahh… aaahhh… »

Après plusieurs minutes de ce rodéo, Joana eut la surprise de voir Bobbie se redresser brusquement et elle se retrouva étalée sur le sol. Sa femme lui releva les jambes pour la mettre en position de l’enclume et recommença tout de suite à la baiser avec force. La ménagère entoura la tête de la futa avec ses jambes et fixa son regard dans le sien en couinant comme une folle.

« Oui mon amour… baise-moi fort… vas-y à fond ! »

Elles étaient désormais proches de Luke et Maria, Joana n’avait qu’à tourner la tête pour voir combien le mari était envieux de sa position actuelle.

Ne t’en fais pas petit chien… bientôt tu auras toutes les bites que tu voudras dans ton cul.

En attendant la ménagère profitait de celle qui s’enfonçait profondément dans sa chatte, gémissant de tout son souffle avec son lait qui continuait de gicler de ses tétons. La Fondation Viritas avait beau être un regroupement de misogynes arriérés, elle leur était néanmoins reconnaissante pour une chose : sa nouvelle endurance sexuelle, qui lui permettait de faire l’amour avec sa femme sans relâche et d’enchaîner aussitôt avec le dressage de leurs invités en les enculant férocement. D’ailleurs, entre deux orgasmes entre les mains de sa femme, elle s’interrogeait sur la suite du programme.

Maria est en train de prendre le coup avec Luke... c’est peut-être le bon moment pour les récompenser. D’abord Maria puisque c’est elle qui a fait le premier pas, Jessica pourrait s’occuper de Luke en attendant. Et moi je retournerais voir Cassie pour qu’elle me parle un peu plus des pom-pom girls.

Elle avait peut-être quelques anecdotes coquines sur la vie sexuelle de ses copines, ce serait amusant à écouter.

[Reine Alice Korvander]

Bobbie prenait sa femme avec passion, une passion forte et violente. Elle la prenait désormais à même le sol, après avoir relevé ses jambes. L’enclume, une position éprouvante, mais Joana y était habituée. Si Bobbie n’y avait pas été à fond, Joana aurait même pu s’interroger ! La jeune femme se devait donc de la prendre avec force, de le faire hurler, de lui casser les reins ! Elles étaient au milieu de cette délicieuse orgie, et Joana avait une vue plongeante sur le couple Valentios. Bobbie détournait parfois le regard de sa femme pour croiser le sien.

« Fi-Fixe-moi, je… J’aime t-te voir ainsi… » soupira Joana.

Ainsi, oui, à se faire prendre, à couiner, à soupirer, à gémir, à se tortiller sur place ! Joana était là, sous elle, magnifique beauté, une femme envoûtante, la perfection même. Plus Bobbie couchait avec d’autres amants, et plus elle se rappelait à quel point sa Joana était exceptionnelle. Alors, à chaque fois, elle redoublait de vigueur quand il s’agissait de lui faire l’amour, de la prendre, de la voir se tortiller sous son corps. Bobbie se déchaînait donc, et la scène était particulièrement plaisante.

Les minutes vinrent à défiler, jusqu’à ce que Bobbie ne finisse par jouir. En soupirant, elle se vida dans la chatte de sa femme, une chatte bien trempée.

« Haaa… Je… JE T’AIME, JOANA !! » s’exclama Bobbie en succombant à l’orgasme ultime.

Bobbie sourit ensuite en se redressant un peu, et embrassa une nouvelle fois Joana, avant de la retourner. Joana se retrouva à quatre pattes, et Bobbie, en se relevant, s’enfonça dans sa chatte. Elle était proche de Luke, mais Bobbie savait que Joana ne le toucherait pas… Sauf pour le sodomiser. Le brave Luke semblait en tout cas à bout de force. Sa femme le sodomisait après tout depuis un certain temps, et il n’avait pas l’endurance naturelle des Eberhart. La petite Cassie commençait elle aussi à atteindre ses limites. Jessica la besognait avec force, et la plaqua contre le mur, la prenant par l’arrière, tirant sur ses cheveux pour la maintenir dressée. Jessica grognait contre elle, et finit par jouir compulsivement en elle.

« Oh bordel… ! »

Jessica soupira, et, quand elle se retira de Cassie, la jeune adolescente glissa sur le sol, laissant derrière elle une traînée de bave et de sueur.

« Ce spectacle te plaît, ma belle ? Nos invités ont l’air rassasiés… Tu veux qu’on en conserve une pour dormir avec nous ? Cassie, peut-être… »

[Shykarka]

Joana se faisait joyeusement baiser à quatre pattes par Bobbie en réfléchissant à la suite de la soirée mais il semblait que certains arrivaient déjà au bout de leur endurance, notamment Cassie et Luke qui étaient clairement les moins endurants du lot. Maria commençait à montrer des signes de fatigue mais elle était sûrement encore capable de tenir si ses nouvelles maîtresses lui proposaient de prendre son pied avec elles.

Si je m’en tiens à ma première idée ça devrait aller. Au pire Bobbie et Jessica se partageront Maria.

Après un ultime orgasme de sa femme en elle qui la remplit de semence, la ménagère l’embrassa passionnément. Tout comme elle, elle voyait que leurs invités commençaient pour certains à être rassasiés et elle lui demanda si elle avait envie d’en garder une pour dormir avec elles ce soir.

« Ce sera sûrement Cassie. Maria, Luke et Jessica pourront rentrer chez eux sans trop de problème mais je doute que notre jeune demoiselle soit encore capable de marcher droit quand on en aura fini avec elle. »

Joana s’en faisait une joie d’avance d’ailleurs. Elle se redressa et passa dans le dos de Maria, caressant ses épaules en observant la façon dont elle sodomisait son mari.

« Tu te débrouilles très bien ma belle. D’ailleurs, après ton prochain orgasme, tu pourras laisser ton petit chien pour aller prendre ta récompense auprès de Joana.
Tu es d’accord, pas vrai ma chérie ? »

De son côté la ménagère alla rejoindre Cassie. La jeune adolescente était à moitié sur le sol avec une traînée de bave et de sueur derrière elle, elle l’aida à se relever et alla s’installer dans un fauteuil avec elle.

« Allez Cassie, on se reprend. Si tu veux faire partie de notre entourage tu dois travailler ton endurance. Heureusement on aura tout le temps pour ça au cours des prochaines semaines. Pour l’instant reprends des forces et parle-moi un peu des pom-pom girls. Tu sais s’il y en a parmi elles s’il y a des lesbiennes ou des bisexuelles parmi elles ? Tu connais certains de leurs fantasmes ou de leurs expériences ? J’ai besoin d’en savoir le plus possible si je veux les séduire. »

S’il y en avait une ou deux parmi elles qui étaient lesbiennes ou bisexuelles, qui aimaient particulièrement les douches collectives ou qui reluquaient ses camarades quand elles se changeaient, voir même qui fantasmaient sur l’idée de leur faire l’amour, ce serait vraiment idéal.

[Reine Alice Korvander]

Bobbie avait encore joui en Joana. Ce ne serait pas la dernière fois de cette  soirée, qui se transformait désormais en nuit. Un bref coup d’œil sur une horloge fixée au mur confirma à Bobbie qu’il était temps pour leurs invitées de partir. Joana acquiesça à l’idée de conserver seulement Cassie, mais Jessica n’y avait pas été de main morte. Après avoir encaissé Bobbie, la petite adolescente était épuisée. De fait, Bobbie sourit dopucement, et répondit à sa place :

« Laissons-là reprendre des forces, mon amour. Quand tu pourras à nouveau ressentir tes doigts, Cassie, tu vas appeler tes parents pour leur dire que tu dors chez une amie. »

Il fallut plusieurs minutes pour renvoyer tout le monde. Luke partit avec une cage de chasteté, et Maria promit aux Eberhart de bien le former, et de venir les voir la semaine prochaine.

« On organisera un barbecue, et vous verrez que je m’occupe bien de dresser mon mari… Et peut-être que vous pourrez coucher avec mes filles, Maîtresses… »

Une idée qui semblait réjouir Maria. Bobbie lui donna une fessée avant de l’embrasser, puis ils se rhabillèrent. À la faveur de leur nuit, ils pourraient rentrer sans problème chez eux. Jessica s’en alla à son tour, tout en promettant à Joana que, la prochaine fois, elle la baiserait. Jessica avait de toute façon de nombreuses femmes à satisfaire. Les invitées parties, Cassie put prendre une courte douche, histoire de se décrasser un peu après avoir prévenu ses parents. Ceux-ci n’émirent aucune objection. Il n’y avait pas de criminalité à Stepford, après tout. Cassie put ensuite rejoindre les deux femmes dans la cuisine. Elles avaient toutes deux enfilé un peignoir, tandis que Cassie restait nue. Elle retourna sur les cuisses de Joana tandis que Bobbie préparait un encas nocturne. Rien à craindre, car elles comptaient encore faire l’amour une bonne partie de la nuit. Elle tendit à Cassie un pancake. Elle commença à le manger, tout en se retournant vers Joana pour l’embrasser, et surtout pour sucer ses gros seins.

« Alors… »

Cassie commença par leur expliquer que la cheerleader de l’équipe s’appelait Becca Denning. Elle était aussi belle qu’intelligente, mais était aussi très perverse. Cela n’avait rien de surprenant, car sa mère était une MILF assez rigide, Scarlet Denning. Scarlet était une Stepfordienne influente. Membre du conseil municipal, elle travaillait au seul cabinet d’avocat de la ville. Son mari était lui-même avocat, et assurait à cette fin toutes les transactions immobilières et les successions.

« Becca a la réputation d’avoir sucé la moitié des mec sud lycée, à la recherche de celui qui a la plus grosse…
-  Elle me semble être un excellent choix. »

Bobbie s’assit sur une chaise, et amena deux tasses de café, une pour elle, et une autre pour Joana. Cassie leur parla ensuite d’une autre pom-pom girl, Lisa Wang. C’était l’élève le plus intelligent du lycée, ce à quoi sa mère, la très stricte Jun Wang, veillait scrupuleusement. Si Lisa avait une note en-dessous de A ou de 17/20, elle était punie. Elle travaillait dur. Jun Wang était, quant à elle, une femme avec une poitrine énorme. Son mari était membre du conseil municipal, et elle ne faisait pas partie des clientes de Jessica, alors qu’elle était là depuis des années. Elle travaillait comme experte-comptable à la mairie.

« Je vois… Et que conseilles-tu ?
-  Becca est très populaire. Vous n’aurez aucun mal à la soumettre, Maîtresses. Avec elle, vous pourrez ensuite contrôler les autres pom-pom girls… Mais, pour Lisa, il faudra passer par sa mère. C’est un nid de frustration… Elle a déjà giflé sa fille quand elle la surprenait en train d’embrasser un garçon sur la joue. Si vous en faites votre esclave, et que vous la baisez devant Lisa, vous l’aurez aussi… Et, avec Lisa, non seulement vous aurez les pom-pom girls, mais vous pourrez aussi envisager les autres clubs du lycée. »

Bobbie hocha la tête en buvant son café. Cassie était vraiment d’une aide précieuse, et cela méritait bien une grosse récompense pour la suite !

[Shykarka]

Joana pensait que la soirée allait se poursuivre longuement, que chaque participant aurait encore plusieurs occasions de s’envoyer en l’air les uns avec les autres, mais après un rapide coup d’œil elle se rendit compte que la nuit était déjà bien entamée et qu’il était temps que leurs invités s’en aillent. Dommage, elle aurait bien voulu voir Maria soumettre complètement Luke puis se faire prendre en sandwich par les futas.

Tant pis ce sera pour une prochaine fois.

Leur invitée leur promit néanmoins qu’elle aurait bien formé son mari d’ici la semaine prochaine et qu’elle les inviterait à un barbecue pour leur montrer ses progrès.

« Très bien. Et si tu as bien progressé, peut-être que Bobbie te laissera jouer avec sa lance. »

Jessica s’en alla en promettant à Joana qu’elle la baiserait sévèrement la prochaine fois qu’elle la verrait. Cassie alla prendre une douche puis appela ses parents pour leur dire qu’elle dormait chez une amie. Ceux-ci n’ayant aucune objection elle rejoignit les Eberhart dans sa chambre, s’installant tout de suite sur les cuisses de Joana et venant sucer ses gros seins.

« Hhhmmm… et Bobbie qui disait que tu avais besoin de reprendre des forces… tu m’as l’air en pleine forme. Alors… aahh… parle-moi un peu des pom-pom girls. »

La chef d’équipe, Becca Denning, était une fille très perverse et frustrée par les interdictions trop rigides de sa mère, Scarlet, une stepfordienne influente et membre du conseil municipal. Bobbie semblait intéressée.

« Je suis d’accord, c’est un très bon point de départ. »

Il y avait aussi Lisa Wang, une fille intelligente mais plus réservée, sous la coupe d’une mère autoritaire qui semblait n’avoir aucun problème de satisfaction personnelle puisqu’elle n’avait jamais fait appel aux services de Jessica.

« Très intéressant. Soit elle refoule ses désirs, soit elle a quelque chose en plus que les autres stepfordiennes. A moins qu’elle ignore juste ce que c’est que le vrai plaisir. Dans tous les cas ce sera une joie de la baiser. »

Cassie avait déjà une idée sur la façon d’approcher la situation : en commençant par séduire Becca, ses maîtresses pourraient utiliser sa popularité pour contrôler les autres pom-pom girls à l’exception de Lisa. Pour elle il faudrait forcément passer par la mère, ce n’était qu’en la voyant se soumettre au couple Eberhart que la fille se soumettrait, et avec elle il serait ensuite possible de s’attaquer aux autres clubs du lycée.

« Eh bien, on peut dire que tu connais ton sujet. Tu y penses depuis un moment pas vrai ? »

Cassie était, comme beaucoup de jeunes filles de Stepford, très intelligente mais aussi très frustrée. Les règles strictes et archaïques de leurs parents les empêchaient de s’épanouir, ou au contraire les poussaient à prendre de mauvaises décisions dans l’unique but de se libérer du carcan familial. La Fondation Viritas était si obsédée par sa volonté de maintenir le modèle de société de Stepford qu’ils ne se rendaient pas compte que la nouvelle génération qui grandissait ici était un vivier de jeunes talents prometteurs et facilement manipulables si on savait comme se servir de leur désir. C’était exactement ce que faisaient Joana et Bobbie, elles leur faisaient connaître les sommets du plaisir et les demoiselles rejoignaient leur cause de leur plein gré. La jeune génération allait être un allié de poids pour leur plan de prise de contrôle de Stepford. La ménagère laissa Cassie sucer tranquillement ses seins et se tourna vers sa femme.

« Si Becca est aussi frustrée et affamée de queues que Cassie le dit, il vaudrait mieux que ce soit toi qui t’en occupes. Quand elle aura goûté à ton membre elle ne pourra plus s’en passer. Moi je vais essayer de me rapprocher de Lisa, trouver une façon d’atteindre sa mère et comprendre pourquoi elle refuse de faire appel à Jessica. »

Joana était intriguée par cette femme qui semblait différente des autres stepfordiennes, elle voulait comprendre ce qui la rendait si hermétique au désir naturel qu’inspirait les futas.

[Reine Alice Korvander]

Les explications de Cassie amusèrent Joana, qui se demanda si celle-ci n’envisageait pas déjà depuis un certain temps cette action sur ses camarades. Cassie rougit confusément, et déposa un nouveau baiser sur les seins de la femme de Bobbie.

« Bien sûr que j’y pense, Maîtresse ! Mes copines ne savent pas ce qu’est vraiment le sexe, celles qui ont des copains sont toutes frustrées… »

C’était là sans doute quelque chose qu’on pouvait comprendre. Les filles nées de femmes modifiées par les mutagènes de la Fondation Viritas avaient dû hériter de l’endurance surnaturelle de leurs mères, et de leur appétit sexuel disproportionné. Il n’était donc pas surprenant qu’elles soient frustrées. Joana, de son côté, envisageait un plan de bataille consistant à s’attaquer à Becca, et à Jun Wang.

Bobbie s’était assise à son tour sur une chaise en face du couple, et buvait à son tour du café, sa verge à l’air libre, prête à rugir à nouveau. Cassie embrassa ensuite Joana, qui la pelotait doucement, pour le seul plaisir de l’exciter. Elle avait beau être très épuisée, Cassie avait rapidement retrouvé son endurance. C’était aussi ça qui rendait les Stepfordiennes si frustrées, car la deuxième génération de Stepfordiennes avait une régénération d’endurance assez phénoménale.

Bobbie reposa sa tasse.

« C’est un bon plan, ma chérie… Mais, comme je te l’ai dit tout à l’heure, Kelly envisage de t’améliorer encore. Nous avons un rendez-vous demain matin au Stepford Lake Lodge. Kara nous y attendra en compagnie de celle qui m’a doté d’une verge, le docteur Khymeira Ronson. »

Khymeira Ronson était une femme influente, l’épouse du docteur Patrick Ronson, le directeur du Stepford Lake Lodge. Cette institution clinique était l’ancrage de la Fondation Viritas à Stepford, c’était là que Bobbie et Joana avaient été transformées. Khymeira était toutefois une femme proche de Kelly, et qui avait opéré Bobbie pour la doter d’une verge.

Cassie enchaîna alors :

« Miss Khymeira est devenue récemment une Futa’, elle aussi… Elle a une fille adoptive, Poppy… Qui est très perverse. »

Cassie récupéra son téléphone portable, et leur montra une courte vidéo envoyée par Poppy. Prise dans le bureau du docteur Khymeira, on pouvait voir Poppy et Khymeira en train de discuter, Poppy portant une tenue très sensuelle, et Khymeira étant nue, sa verge épaisse durcissant contre le corps de Poppy.

« Que peux-tu me dire sur cette Poppy ?
-  C’est la fille de Jessica… Mais elle est née débile… J’veux dire, elle était atteinte de trisomie 21. Alors, Jessica l’a confié à Khymeira pour qu’elle essaie de la soigner et de la guérir à l’aide des mutagènes. Le résultat a plus ou moins marché… Poppy a gagné un corps plus aguicheur, mais elle reste une débile légère…  C’est elle qui vous a sucé quand Miss Khymeira vous a mis une verge, Maîtresse… Pour s’assurer que ça fonctionnait bien. »

Ces souvenirs restaient encore flous. C’était sans doute une raison supplémentaire d’aller là-bas. Bobbie se redressa, reposa sa tasse vide, et alla embrasser Joana, tout en caressant les cheveux de Cassie, puis embrassa à son tour la jeune femme.

« Bon… On devrait aller se coucher, mon amour, on a une petite poupée perverse à tringler, et je compte encore te baiser… » glissa Bobbie, dont la verge s’était durcie, glissant contre les fesses de Cassie.

[Shykarka]

Le plan de Joana semblait convaincre Bobbie et Cassie, qui avaient toutes les deux hâte de s’occuper de l’équipe des pom-pom girls. Mais avant ça Bobbie voulait que sa femme soit améliorée, Kelly leur avait déjà prévu un rendez-vous avec le Docteur Khymeira Ronson, la femme qui avait équipé la futa lors de sa transformation. Sa fille Poppy semblait également intéresser Bobbie, qui demanda plus de détails à Cassie.

« Attention mon amour, n’oublie pas que Patrick Ronson est un membre important de Viritas. S’il voit qu’on tourne trop autour de sa femme et de sa fille il pourrait contrarier nos plans. »

Il serait toujours temps de se poser la question plus tard, une fois qu’elles seraient suffisamment implantées à Stepford pour pouvoir se révéler face à leur ennemi, mais pour le moment il fallait rester discret. La conversation se reporta donc sur Cassie, toujours impatiente de se faire tringler.

« Allons-y mon amour… mais garde des forces pour moi hein. »

Joana s’écarta pour laisser Cassie changer de position. En guise d’apéritif pour bien se relancer elle allait branler la verge de Bobbie entre ses seins tout en la suçant. Pendant que la futa appuyait sur la tête de la jeune fille et lui donnait le rythme pour qu’elle avale son membre aussi profondément que possible, Joana était sur le lit, dos à leur amante, et se donnait en spectacle pour sa femme. Elle se caressait les seins, exposait ses fesses, mimait une fellation ou une branlette pour bien exciter sa chérie et s’assurer qu’elle jouisse au plus vite afin de prendre la place de l’adolescente. Même si elle n’avait pas été ignorée par sa femme au cours de la soirée, elle avait quand même passé la majeure partie de son temps à s’occuper du couple Valentios, et voir Maria prendre l’ascendant sur Luke l’avait bien excitée. Maintenant elle voulait que ce soit Bobbie qui prenne l’ascendant sur elle, qu’elle la ravage sans pitié et déverse abondamment sa semence en elle.

[Reine Alice Korvander]

Leur soirée et début de nuit avaient été assez agitées. Les Eberhart étaient désormais habituées à recevoir du monde chez elles, des femmes adultes ou adolescentes qu’elles baisaient ensuite toute la nuit pour faire sauter leur conditionnement. C’était une lente et irrésistible révolution sexuelle qui se mettait en place. Bobbie s’amusait souvent en se disant qu’elles étaient les « woke de Stepford », révélant aux ménagères leur plein potentiel, les éveillant à cette puissance endormie et intériorisée. Un concept qui avait toutefois ses limites, puisque l’idée était surtout d’en faire leurs amantes, soumises, et esclaves. Un statut cependant plus enviable, car elles adhéraient volontairement à cette soumission, plutôt que de l’intérioriser. Prendre conscience de son statut d’esclave, et y consentir, ce n’était plus quelque chose de forcé, mais de consensuel. Comme Cassie en ce moment. Elle avait l’immense honneur de pouvoir rester la nuit en compagnie de ses Maîtresses.

Le trio rejoignit donc la chambre des Eberhart. Souvent, Bobbie s’habillait de manière très sensuelle, optant pour des tenues en cuir, des combinaisons en latex, ou de la lingerie fine, des nuisettes transparentes… Bobbie opta finalement pour y aller tout simplement nue, car les deux femmes étaient suffisamment excitées comme ça. Elles rejoignirent le lit, et Cassie commença à la sucer. Bobbie avait bien compris le message de sa femme : garder des forces pour elle. Depuis que Bobbie était devenue une Futa’, elle n’avait jamais connu de panne sexuelle… Et, pourtant, Joana était une amante redoutable ! Rien à voir avec leur ancienne vie, où elles formaient un couple ayant des relations sexuelles normales, raisonnables… Depuis leur transformation ici, les deux femmes étaient passionnées, beaucoup plus énergiques l’une envers l’autre.

*Je ne l’ai pas assez baisé ce soir…*

Un manquement qu’il allait falloir régler ! Le fait que Joana la chauffe plutôt que de jouer avec Cassie était également très révélateur. En la voyant agir, Bobbie sentit sa verge durcir rapidement, et caressa fermement d’une main les cheveux de Cassie. Elle la suçait avec passion, mais Bobbie interrompit cela assez brutalement au bout d’une poignée de minutes. Elle tira sur les cheveux de Cassie, et la jeta au sol.

« Navrée, ma chère Cassie, mais je dois honorer mes devoirs conjugaux… Je veux que tu nous filmes pendant que je vais baiser ma femme. »

Cassie rougit. Bobbie lui enfila néanmoins avant une culotte rose moulante en latex, avec des vibromasseurs intégrés. Elle les enfonça dans la chatte et dans le cul de Cassie, puis verrouilla ensuite la culotte avec un petit cadenas, empêchant ainsi de la retirer. Ceci fait, Bobbie grimpa sur le lit, et s’allongea contre sa femme, la couchant sur le dos, puis la pénétra avec force en missionnaire.

« Hmmmm… Pa-Pardon, mon amour, avec cette longue soirée, je ne t'ai pas… Baisé suffisamment, hmmm… J’oublie parfois… Que tu es la plus grosse salope que je connaisse, hmmmm… »

Tout en disant cela, Bobbie l’embrassa avec passion, et commença à faire grincer le lit en multipliant les coups de reins. Le message était clair : elle comptait baiser sa femme… Et la baiser fort.

[Shykarka]

Joana s’attendait à ce que Bobbie s’occupe joyeusement de Cassie, qu’elle la fasse grimper aux rideaux et qu’elle remplisse sa petite chatte en chaleur de son foutre gluant avant de s’intéresser à elle. Mais à la place elle interrompit la fellation gourmande que l’adolescente lui faisait pour lui ordonner d’aller prendre la caméra pour les filmer elle et sa femme. Cette dernière fut un peu surprise mais pas repoussée pour autant.

« Dis-moi, ce n’est pas très gentil de laisser notre invitée sur sa faim. Mais bon… c’est toi qui commandes. »

Cassie avait certes une culotte rose en latex avec des vibromasseurs à l’intérieur mais ce n’était en rien comparable au plaisir brut de la baise avec une futa. Pour autant Joana ne dit rien de plus et se laissa coucher sur le dos par Bobbie, qui la pénétra aussitôt et commença à la baiser en missionnaire. Elle reconnut qu’elle n’avait pas assez fait l’amour à sa femme, la plus grosse salope qu’elle connaissait, et elle comptait bien se rattraper à présent.

« Aaahhh… oui mon amour… baise-moi… baise-moi sans pitié. Je suis une si grosse salope… ooohhh… il faut me sauter de toutes tes forces. »

Joana savait que, lorsqu’il était question de sexe, sa femme était dotée d’une endurance et d’une puissance défiant le commun des mortels, mais il fallait bien ça pour la satisfaire. Le processus de conversion stepfordien rendait les femmes dociles en les soumettant à leur mari par la promesse d’un plaisir immense procuré par l’approbation du conjoint et par la satisfaction sexuelle, cependant les responsables de la Fondation Viritas semblaient de toute évidence avoir mal réglé le curseur puisque l’appétit sexuel des stepfordiennes était si grand qu’un homme ordinaire ne pouvait plus leur donner assez de plaisir. Pourquoi ne pas avoir modifié les hommes dans ce cas, pour les rendre plus endurants, plus performants ? Peut-être par orgueil ou bien parce qu’ils savaient comment booster la féminité mais pas la masculinité. En tout cas ils avaient préféré créer les futas pour répondre à la demande, et maintenant ces futas étaient en train de préparer leur chute.

« Ooouuuiii… plus vite… plus fort ! »

En tout cas Joana était bien contente que les choses se soient faites de cette façon, sinon sa femme et elle auraient été séparées et elle se serait retrouvé marié de force à un inconnu. Bien sûr elle aurait préféré vivre avec elle et leurs enfants sans être transformée en stéréotype féminin des années 50, mais finalement elle avait plus gagné que perdu avec cette métamorphose donc elle s’en accommodait.

[Reine Alice Korvander]

Délaisser ainsi Cassie amena Joana à lui faire une remarque, en lui disant que ce n’était pas très poli d’arrêter comme ça de jouer avec une invitée. Elle n’avait pas tort… Mais la priorité restait tout de même sa femme ! Ce soir, elles avaient été très occupées avec les Valentios, tellement occupées qu’elles n’avaient pas pu vraiment s’occuper l’une de l’autre. Cassie n’avait pas à se plaindre, Bobbie comptait la baiser… Mais plus tard. Pour l’heure, la jeune adolescente tremblait nerveusement en les filmant, et rougit en entendant les cris de plaisir de Joana. Des cris qui emplissaient toute la pièce, tandis que Bobbie la baisait en missionnaire, s’étalant sur elle, serrant ses mains contre les siennes. L’endurance surréaliste de la Futanari annonçait sans aucun doute une nuit blanche de sexe. Cassie rougissait lentement en voyant le magnifique cul musclé de sa Maîtresse. Nue, la rouquine prenait Joana avec force, en plein milieu du lit, faisant régulièrement grincer ce dernier. Bandant ses muscles, elle y allait franchement, avec une force impressionnante. « Plus vite, plus fort », scandait Joana, tandis que Bobbie, imperturbable, continuait à la prendre. Sa verge tendue et durcie remuait profondément en elle, s’enfonçant jusqu’à la garde. Elle tapait contre son col de l’utérus, suant et salivant, bavant en grognant, tout en bandant ses muscles.

Cassie tremblait nerveusement, et augmenta la vitesse et l’intensité des vibromasseurs en elle. Elle récupéra pour cela la télécommande, et contracta un orgasme assez rapidement. Le chiffre « 1 » se forma alors sur l’écran de la télécommande. Bobbie sourit alors, et embrassa Joana. Elle libéra l’une de ses mains, et pinça l’un de ses généreux seins en tirant sur le téton.

« V-Voilà ce que je te propose, ma chérie… Chaque fois que Cassie atteindra 5 orgasmes, je m’occuperai d’elle une fois que tu auras joui… Puis, ensuite… Je retournerai te baiser, haaaa… »

Une manière de fonctionner somme toute assez égalitaire, Bobbie se devait autant de remplir ses devoirs conjugaux que son rôle de Maîtresse ! Elle continua à besogner ensuite Joana en missionnaire, accompagnant ses coups de reins de morsures dans le creux du cou de Joana, sur l’une de ses lèvres, ou de baisers baveux et salivants. Elle grognait et soupirait, son corps luisant sous l’effet des gouttes de sueur qui maculaient son corps.

« Ca-Cassie… Il y a des vibromasseurs dans le placard… Hmmmm… Mets-moi en une… Dans le cul… »

Cassie rougit furieusement. Elle marcha difficilement, ayant contracté un second orgasme, puis ouvrit le placard. Elle vit différentes tenues suspendues à des cintres, mais aussi, sur une étagère, des vibromasseurs de taille différente. Elle en prit un assez épais, puis rejoignit le lit. Soupirant lentement, Cassie le glissa dans le fondement de sa Maîtresse, qui se crispa sur place, et poussa un long soupir de plaisir. Le vibromasseur se mit ensuite à remuer, dilatant ses parois anales, frottant ainsi sa prostate, ce qui fit trembler Bobbie d’excitation. Le rythme de sa pénétration reprit encore, et elle embrassa sa femme à nouveau.

Il allait s’écouler une demi-heure avant que Cassie n’atteigne ses cinq orgasmes…

[Shykarka]

C’est vrai que ce n’était pas très juste pour Cassie d’être laissée de côté alors qu’elle semblait si en manque de sexe mais c’était aussi un bon moyen de la dresser, de lui rappeler qu’elle n’avait pas voix au chapitre et que c’étaient ses maîtresses qui décidaient pour elle. De toute façon elle avait ses vibromasseurs pour se faire plaisir. Cependant Bobbie ne voulait pas être inutilement cruelle alors elle proposa à Joana de partager son temps : chaque fois que la jeune fille atteindrait cinq orgasmes elle s’occuperait d’elle, puis elle retournerait la baiser juste après.

« Aaahhh… c’est toi qui vois… mon amour. »

Il allait s’écouler une demi-heure avant que Cassie n’atteigne cinq orgasmes. Après avoir joui dans sa femme Bobbie la laissa un moment pour aller s’occuper de la jeune fille, qui se fit baiser avec tout autant d’ardeur alors qu’elle était bien moins endurante que Joana qui, pendant ce temps, s’amusait à filmer. Après un autre orgasme entre les mains de sa maîtresse cette dernière retourna auprès de sa femme et la demoiselle se retrouva à nouveau seule avec ses vibros, faisant tout pour jouir au plus vite afin de pouvoir à nouveau profiter de cet incroyable sexe de futa. Ce petit jeu dura plus d’une heure avant que Cassie, que Bobbie venait de faire jouir pour la troisième fois, soit à bout de forces et soit obligée d’aller dormir. Le couple Eberhart tint un peu plus longtemps mais finalement elles allèrent aussi dormir.

« Je t’aime Bobbie. »

Le lendemain matin, entre la courte nuit et toute l’agitation de la veille, Joana eut du mal à se lever mais il le fallait bien. Elle devait préparer le petit-déjeuner, s’assurer que ses filles se préparent pour l’école, sa femme et elle devaient aller travailler… Pour se motiver elle se rappela qu’elle avait rendez-vous au Stepford Lake Lodge dans la matinée pour rencontrer le Dr Khymeira Ronson, la femme qui avait transformé Bobbie en futa, afin de voir si elle était compatible avec l’amélioration futa stepfordienne.

Bientôt moi aussi je pourrai faire l’amour à toutes ces femmes frustrées et ces adolescentes en chaleur.

Une fois le petit-déjeuner prêt et la table mise elle alla réveiller Bobbie, qui l’aida à son tour à réveiller les enfants et tout ce petit monde commença sa routine du matin. On mange, on se brosse les dents, on s’habille, et en un rien de temps les filles étaient dans le bus qui les emmenaient à l’école. Joana chérissait ces moments du quotidien si tranquilles car elle savait que les choses allaient devenir bien plus chaotiques dans peu de temps. Maintenant seule avec sa femme elles allaient pouvoir discuter des sujets importants.

« Alors… tu sais à quelle heure le Dr Ronson nous attend ? »

[Reine Alice Korvander]

Ce fut une fin de soirée doucement intense. Bobbie et Joana dormirent ensemble, le corps de Cassie lové entre elles. Fort heureusement, l’une des conséquences du mutagène qu’elles avaient reçu était qu’elles avaient besoin de peu d’heures de sommeil. Ainsi, les ménagères de Stepford restaient toujours à disposition de leurs maris pour entretenir le logis et être à disposition. Quand le réveil sonna, elles se levèrent donc, certes un peu difficilement. Joana se leva la première, et Cassie constata que Bobbie avait encore une belle érection au réveil. Si d’habitude Joana s’en occupait, elle laissa le soin à Cassie de s’occuper de cela. Un genre de précieux cadeau, mais qui permettait aussi à Joana de préparer Laura, Clara et Sarah. Elles allaient à la maternelle pour Clara et Sarah, Laura étant la seule à rejoindre l’école primaire. Tandis que Joana les réveillait, Cassie suça la belle queue de sa Maîtresse, puis la chevaucha. Bobbie frémit, et eut la délicieuse sensation de jouir en étant à semi-réveillée.

Une fois réveillée, Bobbie se prépara à son tour. Elle prit sa douche, et laissa encore Cassie la sucer dans leur grande douche. Joana les rejoignit, et leur douche dura bien un bon quart d’heure, le temps pour Bobbie de pénétrer sa femme contre la cabine. Cassie fut chargée de se préparer et de surveiller les petites, qui regardaient des dessins animés en mangeant du chocolat chaud avec des tartines grillées au beurre. Cassie allait ensuite les guider à l’école pendant que les deux femmes iraient rejoindre le Stepford Lake Lodge. Bobbie alla bien sûr également saluer ses trois filles. Elle était toujours heureuse de les revoir, et elle les câlina, avant qu’elles ne mangent ensemble en regardant un dessin animé. Pendant ce moment, les Eberhart ressemblaient à n’importe quelle famille, passant du bon temps ensemble, Bobbie s’amusant à jouer avec comme n’importe quelle mère. Comme elle était devenue plus musclée, elle s’amusait aussi à soulever Sarah, la plus petite, et la faire sauter en l’air. Si Sarah s’esclaffait comme jamais, ce n’était pas le cas de Joana, qui craignait toujours pour ses petites.

Bobbie et Joana les laissèrent partir, puis Joana lui demanda quand elles iraient rejoindre le docteur Ronson.

« Je vais prévenir Kelly, c’est elle qui viendra nous chercher. »

Elle lui envoya un SMS. Les deux femmes firent ensuite un peu de ménage, surtout dans la cave qui en avait bien besoin, puis, une fois la voiture arrivée, elles filèrent vers Stepford Lake Lodge.

Situé à l’extérieur de la ville, Stepford Lake Lodge était un ancien manoir qui surplombait toute la région, y compris le Stepford Lake, ce grand lac où Stepford avait été construit jadis pour être un village de pêcheurs et de bûcherons. Ce manoir perché à flanc d’une falaise était l’ancien comptoir commercial de la compagnie qui avait fondé Stepford. C’était désormais officiellement une clinique expérimentale, et le refuge du laboratoire de la Fondation Viritas. C’était ici que Bobbie et Joana avaient été conduites, et qu’elles avaient été transformées. C’était ici que toutes les femmes de Stepford se rendaient tôt ou tard, afin de compenser leur libido enflammée que leurs maris ne pouvaient assouvir.

La voiture était conduite par un chauffeur, et non par Kelly. Elle les attendait à l’institut. La voiture s’arrêta sur un parking libre à l’entrée. Une élégante cour menait au bâtiment central, qui était encerclé par un grand jardin. Pas de gardes patibulaires à l’entrée, mais des infirmières assez séduisantes. Elles rejoignirent finalement un bureau dans l’aile réservée à l’administration. Rien ici ne laissait deviner les expériences génétiques qui avaient eu lieu, et Bobbie se mit à imaginer une sorte de bunker souterrain. Elmles rejoignirent une salle d’attente, et n’eurent pas à attendre trop longtemps avant que l’infirmière et assistante de Kelly, Tara, ne vienne les voir, et ne les guide dans un bureau.

Dès qu’elles entrèrent, Bobbie et Joana eurent droit à un singulier spectacle : assise nue sur un fauteuil en collants, le docteur Khymeira Ronson offrait son corps et surtout sa verge à la fameuse Poppy, vêtue d’un court corset rose fluo moulant et de collants blancs. Une scène assez troublante, tandis que Poppy venait lécher l’un des seins du docteur Ronson.

« Oh… Navrée, nous nous sommes peut-être trompées de bureau…
- Bien sûr que non, mes amies, mais Poppy est très impatiente. »

La voix sensuelle de Kelly émanait d’une chaise où elle était assise à côté. Bobbie sourit en la voyant.

« Bonjour, Mesdames. Hum… Dis bonjour, Poppy.
- Bonjour ! Haaa… Vous êtes les Eberhart ? Poppy avait très envie de vous rencontrer… »

[Shykarka]

Bobbie envoya un message à Kelly pour la prévenir qu’elles étaient prêtes à rencontre le Dr Ronson, après ça elles firent un peu de ménage dans leur maison et surtout dans la cave qui en avait bien besoin. Une voiture vint les chercher et elles filèrent jusqu’à Stepford Lake Lodge. La clinique était installée dans un ancien manoir qui surplombait toute la région et qui servait désormais de centre de recherches principal au laboratoire de la Fondation Viritas. C’était ici que Bobbie et Joana avaient été conduites pour être transformées et que toutes les femmes de Stepford se rendaient tôt ou tard, pour suivre leur état de santé mais aussi afin de compenser leur libido enflammée que leurs maris ne pouvaient assouvir. Une élégante cour menait au bâtiment central, qui était encerclé par un grand jardin. Elles rejoignirent un bureau dans l’aile réservée à l’administration et patientèrent quelques minutes dans une salle d’attente avant d’être appelées par l’infirmière et assistante de Kelly, Tara, qui les guida jusqu’au bureau de sa patronne. A l’intérieur, Khymeira Ronson était en train de s’envoyer en l’air avec Poppy, la fille de Jessica, qui rebondissait avec bonheur sur son chibre tout en léchant ses seins. Kelly était assise juste à côté et salua ses invitées.

« Bonjour Kelly. Contente de te voir. »

Joana embrassa Kelly puis reconcentra son attention sur Khymeira. Elle s’en donnait à cœur joie avec Poppy, elle la faisait danser sur son chibre et l’encourageait à bien lui lécher les seins. Elle dégageait la même puissance qu’on devinait chez les autres futas, la même aura naturelle de domination, elle ne semblait rien avoir de particulier et pourtant c’était cette femme qui allait permettre à Joana d’aller plus loin encore dans sa transformation, de ne plus simplement recevoir les pénétrations mais aussi les donner, un nouveau moyen très efficace d’asseoir son autorité sur la communauté stepfordienne.

Elle se tourna à nouveau vers Kelly, savourant la façon que leur amie avait de promener ses mains sur son corps.

« Alors… par quoi on commence ? Je ne vais pas te mentir, je suis un peu nerveuse. »

Après tout ce n’était pas une banale opération.

[Reine Alice Korvander]

Bobbie se rappelait que Poppy était une jeune femme très particulière, qui était mentalement déficiente. Jessica n’en parlait pas beaucoup, et, si Bobbie respectait ce choix, elle devait bien admettre que le docteur Ronson avait réussi à faire d’elle… Quelque chose. Bobbie sentit son sexe durcir lentement, mais sans véritablement s’emballer. Elle ne devrait pas être surprise. Derrière les maisons en apparence calme et bien ordonnées de Stepford, il y avait une autre vie, une autre ambiance. Ce bureau reflétait cela. Le docteur Ronson finit par demander à Poppy de se mettre sous le bureau, tandis que Joana et Bobbie s’assirent face à elle. Toute nue, Khymeira soupira légèrement quand Poppy prit son membre en bouche, mais elle pouvait au moins discuter avec Bobbie et Joana.

Sa femme était naturellement inquiète, mais Khymeira lui sourit. Bobbie, elle, prit la main de Joana dans la sienne, comme pour lui rappeler qu’elle était là.

« Pour commencer, je pensais vous rencontrer dans d’autres circonstances, mais Poppy a parfois de gros besoins affectifs, et… Vous êtes arrivées plus tôt que je ne le pensais. Enfin, ça ne fait rien, j’espère que ça ne vous choque pas trop ?
- On en a vu d’autres, depuis que nous sommes arrivées ici. »

Khymeira sourit doucement, et reprit ensuite, en regardant Joana :

« L’opération que je compte pratiquer sur vous est sans danger, Madame Eberhart… Je l’ai même fait sur moi-même. Moi et Kelly, nous avons beau travailler pour Viritas, nous espérons faire évoluer cette fondation de l’intérieur. »

Khymeira expliqua qu’elle était une chirurgienne talentueuse, et qu’elle avait rejoint la Fondation en étant trompée sur leurs intentions.

« Je vous épargnerai mon parcours personnel, Mesdames, mais j’ai toujours considéré qu’il fallait réinstaurer l’ordre et la sécurité dans notre pays. C’est comme cela que la Fondation nous persuade de travailler pour elle… Ainsi qu’un salaire très compétitif. Cependant, je ne crois pas une seule seconde que le monde ira mieux en revenant aux valeurs patriarcales d’antan, et en inféodant la femme à l’homme. Je suis au contraire convaincue qu’il faut inverser le rapport de force. Jadis, les femmes dirigeaient les sociétés, vous savez… Moi et Kelly, nous partageons la même vision que vous, visiblement. »

Bobbie répondit :

« Nous ne sommes pas misanthropes, mais il est vrai que ma femme et moi, nous aimons les hommes soumis, travestis… Ou déconstruits, pour reprendre un terme à la mode. »

Qui sait ? Au fond, les Eberhart étaient peut-être en train de construire un paradis woke à Stepford. Revenant alors sur des sujets plus concrets, Khymeira soupira lentement en se mordillant les lèvres. Elle venait de jouir sous leurs yeux, et glissa l’une de ses mains sous le bureau, serrant la tête de Poppy pour qu’elle recueille son foutre. Khymeira reprit ensuite son souffle, et poursuivit :

« L’opération se fait sous anesthésie générale. J’ai déjà tous les éléments dont j’ai besoin, donc je peux vous opérer dès que vous le souhaitez. Contrairement à Bobbie ou à Jessica, vous serez pleinement hermaphrodite. Vous pourrez ainsi avoir une verge, ou la rétracter. Je vais vous épargner les détails techniques, mais nous disposons d’instruments et de mutagènes qui permettent de modifier votre clitoris. Un pénis, après tout, ce n’est toujours qu’un clitoris déformé. L’opération se déroulera sans aucun problème, je peux le faire, moi aussi. Regardez… »

Khymeira se releva alors, et contourna son bureau. Sa verge était toujours là, mais bien ramollie, maintenant qu’elle avait joui.

« Il est difficile de se rétracter quand on bande, donc il faudra jouir avant… Mais, une fois que ton sexe est apaisé… Tu as juste à y penser… »

Les Eberhart purent voir le sexe de Khymeira se replier, et son sexe reprit une forme tout à fait féminine. Bobbie se pinça les lèvres.

« Cela a l’air très intéressant… Je me demande si je ne pourrais pas moi aussi bénéficier de cette amélioration. »

Bobbie se retourna vers Joana, et lui sourit doucement. Il arrivait parfois à Joana d’enfiler un strap-on pour sodomiser sa femme. Dans cette optique, continuer dans ce sens était très intéressant, et l’idée de sentir Joana la pénétrer, la remplir, et la mettre enceinte, ne manquaient pas de stimuler l’instinct maternel de Bobbie.

« Est-ce que ça te plairait ? De pouvoir me baiser avec force ? »

[Shykarka]

Khymeria avait beau être en pleine fellation elle pouvait encore parler avec Joana et Bobbie. Elle expliqua à la ménagère que l’opération ne présentait aucun danger, la preuve étant qu’elle l’avait réalisée sur elle-même et qu’elle n’en avait gardé aucune séquelle. Malgré le fait qu’elle et Kelly travaillaient pour la Fondation Viritas, qui les avaient attirées avec un gros salaire et la promesse de rétablir l’ordre et la sécurité aux Etats-Unis, elles n’adhéraient pas à leur projet d’assujettir de nouveau la femme à l’homme et voulaient au contraire inverser le rapport de force pour rebâtir une société dirigée par les femmes. Bobbie répondit que sa femme et elle adhéraient aussi à cette vision du monde et qu’elles avaient une attirance certaine pour les hommes ’’déconstruits’’.

« Nous aimons aussi les ’’déconstruire’’ nous-même au besoin. »

Carl était déjà une petite merveille et bientôt Luke et les jumeaux Stoffield seraient eux aussi remis à leur place.

Après avoir joui dans la bouche de Poppy, Khymeria expliqua à Joana que l’opération se réalisait sous anesthésie générale et la rendrait parfaitement hermaphrodite en modifiant son clitoris grâce à du mutagène, lui donnant la possibilité de déployer et rétracter sa verge contrairement à Bobbie. Il était difficile de se rétracter en bandant mais après un orgasme il suffisait d’y penser et la verge reprenait une forme féminine de clitoris. La ménagère se pinça les lèvres, très intéressée par cette proposition, mais la futa du couple se montra elle aussi curieuse, se demandant si elle pourrait également en profiter.

« Oh ? Tu voudrais qu’on inverse les rôles mon amour ? »

Il arrivait parfois à Joana d’enfiler un strap-on pour sodomiser sa femme mais ça restait assez exceptionnel, la plupart du temps c’était Bobbie qui lui faisait sauvagement l’amour en la baisant comme la dernière des salopes. La ménagère vint faire claquer sa main sur le derrière de sa femme et le pressa fermement.

« C’est vrai que ce serait plaisant de baiser ce joli petit cul. Et je suis sûre que ta bouche et tes seins seraient aussi très agréables. »

Joana se projetait déjà : elle se voyait faire passionnément l’amour à Bobbie mais aussi aux autres femmes de Stepford, que ce soit celles déjà acquises à sa cause ou celles qu’il fallait encore convaincre, ainsi qu’aux hommes à soumettre et aux adolescents désireux de connaître le plaisir intense d’une futa stepfordienne. Oui elle se projetait très bien.

« Mais l’opération n’a vraiment aucun mauvais côté ? Si c’est le cas pourquoi ne pas l’avoir réalisée sur les autres futas de la ville ? Pourquoi Bobbie n’a pas pu en profiter quand elle a été transformée ? »

Tout cela semblait un peu trop beau pour être vrai, et malgré tout ce qu’elle pourrait faire en devant une futa Joana continuait de redouter de perdre quelque chose d’irremplaçable si elle acceptait l’opération.

[Reine Alice Korvander]

Bobbie avait effectivement bien des envies, et elle sourit quand Joana lui demanda si elle avait envie de se faire prendre. Elle gloussa même quand Joana lui frappa les fesses, et l’embrassa ensuite.

« J’ai pu voir comment tu aimais dominer les autres… Je ne suis pas insensible à cette partie de ta personnalité, tu sais. Nous sommes épouses, j’aime tout de toi. »

Joana avait cependant posé au docteur Ronson une question intéressante. Celle-ci, désormais nue, se déplaçait en faisant claquer ses talons, et récupéra un dossier médical dans son armoire. Elle le tendit ensuite aux Eberhart.

« La Fondation Viritas ignore que je peux pratiquer cette opération. C’était leur choix de faire de toi une femme hermaphrodite, comme pour Jessica. Une femme qui pourrait changer de sexe… Ils n’en ont pas envie. Il s préfèrent contrôler les Futanaris, en qui ils voient un mal nécessaire pour refréner les ardeurs des fidèles épouses stepfordiennes. »

Bobbie savait que Jessica était la prostituée du coin. Un rôle effectivement nécessaire, car les améliorations génétiques de Viritas sur les femmes les rendaient aussi dociles que sexuellement insatiables. Leurs maris étaient incapablkes de pleinement les satisfaire, et il fallait donc recourir à une prostituée. Bobbie fronça les sourcils. Le dossier médical donné par le docteur Ronson était une liste d’instructions émanant des cadres de la Fondation. Il était clairement indiqué que les Eberhart avaient pour fonction de compléter les attentes de Jessica. Bobbie comprenait du coup mieux pourquoi les Stepfordiens toléraient tant ses frasques sexuelles, et pourquoi ils avaient accepté un couple de lesbiennes en ville.

« Je vois… Ils voulaient faire de nous des prostituées supplémentaires…
- Sans que ce ne soit officiel, oui. Il fallait donc travailler sur votre libido. Le fait est que, malgré tous leurs efforts, les orientations sexuelles profondes ont du mal à changer. Transformer un homosexuel en hétérosexuel est très compliqué, même avec nos techniques. Ils ne s’attendaient pas à ce que vous échappiez à leur plan initial, en ayant aussi pour fonction de les renverser. Cela, on le doit à Kelly, mais aussi à moi. »

Bobbie acquiesça.

« Et comment est-ce que cela fonctionne ?
- L’opération ? Nous faisons une greffe pénienne. La Fondation Viritas dispose de cobayes qu’elle récupère dans des prisons. Nous reproduisons ensuite leurs appareils génitaux dans des cuves, et nous utilisons des mutagènes spéciaux inspirés de noms grecs. Pour toi et Jessica, Bobbie, nous avons utilisé le mutagène Priape. »

Priape, un dieu grec, dont on parlait peu à l’école… Un dieu perpétuellement en érection avec une verge massive.

« Nous disposons aussi du mutagène Hermaphrodite, que nous utilisons dans d’autres sites de recherche. Ce mutagène permet de changer de sexe, de féminiser les hommes, ou de masculiniser les femmes. Je pense qu’il vous serait utile. Moi, j’ai inventé un mutagène qui mélange les deux, et qui vous permet de changer d’appareil génital, sans changer d’apparence sexuelle. Et je puis vous assurer qu’il fonctionne, puisque je l’ai utilisé sur moi. »

[Shykarka]

Les inquiétudes de Joana étaient tout à fait légitimes et Khymeria allait se faire un plaisir d’y répondre. Elle commença par tendre un dossier médical aux Eberhart avec les instructions de la Fondation Viritas sur la façon dont Joana et Bobbie devaient être opérées pour être pleinement intégrées au fonctionnement de Stepford, puis elle leur expliqua que la Fondation ignorait qu’elle pouvait pratiquer l’opération permettant de passer de femme à futa. Pour eux les futas étaient un mal nécessaire au bon fonctionnement de leur ’’ville idéale’’ et ils voulaient à tout prix éviter de leur donner trop d’importance. Le plan initial était de faire des Eberhart des prostituées supplémentaires pour les habitants mais ils avaient surestimé l’efficacité de leur technologie, le traitement stepfordien n’était pas parvenu à changer l’orientation sexuelle des deux femmes et maintenant elles utilisaient les armes de leurs ennemis pour retourner la ville contre eux.

« Les hommes sont toujours trop sur d’eux, ils croient que les femmes ne sont pas capables d’être à leur niveau. »

Pour l’opération en elle-même, il s’agissait d’une greffe pénienne utilisant un appareil génital masculin cloné et un agent mutagène permettant de changer de sexe sans changer d’apparence. Elle leur garantit que le tout était sans risque en ajoutant que le mutagène hermaphrodite utilisé dans d’autres sites de recherche de la Fondation pourrait les intéresser car il permettait de féminiser les hommes et masculiniser les femmes.

« Effectivement ça pourrait nous intéresser. Mais pour en revenir à l’opération… je crois que ce serait intéressant. Ça serait bon pour notre transformation de Stepford… et pour notre vie de couple. »

Joana se tourna vers sa femme. Leur vie sexuelle n’avait jamais été aussi épanouie que depuis qu’elles avaient été transformées mais elle avait parfois l’impression qu’elles s’enfermaient peu à peu dans un schéma redondant à cause de leur relation femme-futa. Quand elles étaient toutes deux des femmes elles faisaient mois l’amour et de manière beaucoup moins intense mais elles rivalisaient d’ingéniosité pour compenser ce que la nature ne leur avait pas donné. Si elles pouvaient inverser les rôles entre femme et futa ça donnerait un second souffle à leur vie intime.

« Une petite question : ce serait possible de pratiquer aussi l’opération sur Bobbie pour qu’elle puisse rétracter son sexe de futa ? »

Ce serait quand même mieux si elles pouvaient profiter complètement de l’expérience des deux côtés. Même si la sodomie suffirait largement à Joana elle ne serait pas contre l’idée de pouvoir goûter à la chatte de Bobbie, voir peut-être même la remettre enceinte.