Scott était sous le charme. C’était le moins qu’on puisse dire, et cela n’avait en soi rien de surprenant. Scott l’aimait, après tout. Qu’il apprécie sa présence, qu’il ne parvienne pas à s’en lasser, voilà qui était donc tout naturel. Le mutant venait de s’abandonner en elle, se déversant dans son corps, et elle resta près de lui. Il en avait presque oublié le jacuzzi, même si, peu à peu, les sensations lui revinrent. Il s’était allongé sur elle, la dominant d’autant plus que, dans cette vision, elle avait rapetissé sa taille. Une illusion parfaite, à n’en pas douter, et, tandis que son sexe se retirait, il sentit le maillot de bain d’Emma se reformer dans sa position initiale, comme pour retenir son sperme. L’idée le fit doucement sourire, et il revint à lui quand Emma observa qu’elle pourrait s’habituer à l’idée qu’il soit plus grand qu’elle.
« Hum, vraiment ? » répondit-il en soupirant.
Restant proche d’elle, Scott soupira lentement, l’observant encore, silencieusement. Il ne put résister, et l’embrassa encore, ne pouvant s’empêcher de la trouver magnifique, parfaite. Ses lèvres étaient d’une douceur infinie, et il y retouchait toujours avec passion. On le disait froid et amoral. Il savait l’être. Mais Scott se voyait plutôt comme quelqu’un de charmant, qui essayait toujours de garder le moral malgré les coups durs que la vie lui avait infligé. Et il se savait capable d’aimer. Car comment expliquer autrement ce qu’il ressentait en ce moment en compagnie d’Emma ? C’était le signe d’un amour sincère, véritable et profond.
« Moi, je t’avoue que je ne peux pas m’habituer à ton maillot… »
Remuant doucement dessus, il le sentait se crisser doucement, au fur et à mesure qu’il se décollait de la peau d’Emma pour s’y recoller.
« Enfin, c’est vrai, si je te vois avec un tel maillot, il va m’être bien difficile de dissimuler ce que je ressens… Les hommes sont très désavantagés là-dessus, tu sais ! »
« Hum, vraiment ? » répondit-il en soupirant.
Restant proche d’elle, Scott soupira lentement, l’observant encore, silencieusement. Il ne put résister, et l’embrassa encore, ne pouvant s’empêcher de la trouver magnifique, parfaite. Ses lèvres étaient d’une douceur infinie, et il y retouchait toujours avec passion. On le disait froid et amoral. Il savait l’être. Mais Scott se voyait plutôt comme quelqu’un de charmant, qui essayait toujours de garder le moral malgré les coups durs que la vie lui avait infligé. Et il se savait capable d’aimer. Car comment expliquer autrement ce qu’il ressentait en ce moment en compagnie d’Emma ? C’était le signe d’un amour sincère, véritable et profond.
« Moi, je t’avoue que je ne peux pas m’habituer à ton maillot… »
Remuant doucement dessus, il le sentait se crisser doucement, au fur et à mesure qu’il se décollait de la peau d’Emma pour s’y recoller.
« Enfin, c’est vrai, si je te vois avec un tel maillot, il va m’être bien difficile de dissimuler ce que je ressens… Les hommes sont très désavantagés là-dessus, tu sais ! »