The Multiversity

[Chloé Faure]

Hina Itachi était une magnifique jeune femme de 24 ans, qui était en passe de réussir le rêve de sa vie, à savoir devenir professeure d'Histoire-Géographie dans un prestigieux lycée privé de Tokyo. Elle avait passé avec brio les concours, et entammait donc son année de titularisation, où elle allait enseigner comme une véritable professeure à des élèves, tout en étant elle même évaluée sur ses performances. La tâche était évidemment chronophage, car Hina y mettait du zèle, n'hésitant pas à faire des heures supplémentaires, des aides aux devoirs, et bien d'autres activités en dehors de simplement ses heures de cours. Sa vie de couple en prenait forcément un coup, elle sortait depuis maintenant deux ans avec Kenji qu'elle avait rencontrée à la faculté, même si lui avait suivi des études pour devenir ingénieur informatique, ils avaient sympathisé en dehors des cours et étaient tombés amoureux. Hina portait en permanence à son index la bague de fiancailles qu'il lui avait offert il y a tout juste un mois, et ils avaient pour projet de se marier à l'issue de cette année scolaire, lorsque Hina serait pleinement titularisée. Kenji avait quand à lui déjà trouvé un emploi, et travaillait d'arrache pied, ce qui faisait qu'ils avaient assez peu de temps pour se voir autrement que lors de leurs week-ends. Lui travaillait beaucoup, et elle aussi pour réussir, alors cette année serait compliquée ils le savaient tous les deux, mais à l'issue de ces quelques mois, ils auraient tous les deux une situation stable et pourraient envisager un avenir radieux et se marier, il fallait juste faire preuve de patience.

Hina était donc dans son petit bureau étriqué, assise et occupée à corriger des copies, quand une notification sur son ordinateur portable pro apparu, signifiant qu'elle avait reçue un mail de la part d'un des membres du staff. Elle reposa son stylo et consulta sa boite mail, et fronça les sourcils en voyant l'auteur de ce mail.

*Le proviseur ?*

Hanzo Hidochi était le proviseur de ce lycée privé et extrèmement réputé pour ses hauts scores de réussite aux examens, il était en place depuis des années et maintenait une politique d'éducation ferme. Lorsque l'on recevait une convocation dans son bureau, c'était généralement que quelque chose n'allait pas. Le mail qu'elle avait reçu était concis, et vague, mentionnant juste quelque chose de très important dont elle et lui devaient discuter à propos de sa titularisation, et qu'il était capital qu'elle vienne aussi rapidement que possible. Hina se demandait bien ce qui pouvait justifier pareille convocation, mais elle était sans équivoque. Elle soupira en se redressant, et en sortant de son bureau pour se diriger vers celui du proviseur, qui se trouvait dans un bâtiments à part et à quelques étages de hauteur. Hina avait espérée pouvoir continuer d'avancer sur ses copies, mais le ton de cette convocation faisait bien comprendre qu'elle était mandatoire, et Hina ne pouvait clairement pas se permettre de faire autrement. Hidochi-sama était celui qui aurait le dernier mot quand à sa titularisation, et il arrivait régulièrement que l'homme en demande toujours plus à la jeune professeure en devenir, abusant de son pouvoir. Mais il était en place depuis si longtemps qu'il était indétrônable, alors Hina subissait, comme tous ses collègues, les lubies de ce proviseur.
Elle arriva finalement, et toqua à la massive porte en bois avant de l'ouvrir, et de rentrer dans le bureau du proviseur qui faisait bien dix fois la taille du sien.

J'ai reçue votre mail, Hidochi-sama, et je suis venue immédiatement. Vous avez quelque chose d'important à discuter ?

Elle était encore loin de se douter que le contenu de cette réunion allait drastiquement changer le déroulement de cette année scolaire...

[Reine Alice Korvander]

Hanzo-sama était un homme puissant. Il dirigeait un prestigieux établissement privé tokyoïte, qui avait d’excellents résultats, et qui formait les élites politiques et sociales du pays. C’était un traditionnel, quelqu’un qui était réputé pour être très exigeant avec ses subordonnés. Un Japonais pur jus, qui aimait répéter à loisir ce dicton japonais qui résumait toute la philosophie ancestrale de ce peuple : « Le clou qui dépasse appelle le marteau ». Hanzo-sama aimait régulièrement à rappeler à ses subordonnés que le Japon était un pays où on aimait le travail, prenant souvent en exemple la décadence de ces pays occidentaux où, avec l’affaiblissement de la valeur travail, les sociétés périclitaient. Personne n’envisageait de renverser Hanzo-sama, tant il était ancien, présent depuis des années. L’homme organisait régulièrement des réunions communes avec l’équipe enseignante pour discuter des performances scolaires, et n’hésitait pas à avoir son propre « tableau de la honte », où il notait les professeurs en fonction de la moyenne des résultats scolaires des classes dont ils avaient la gestion. Ceux qui avaient la moyenne la plus basse perdaient des primes au mérite. Ce système vertueux avait pour conséquence que les professeurs avaient naturellement tendance à exiger de leurs élèves le meilleur.

Avec Hanzo-sama, on ne transigeait pas. Il était marié à une femme totalement soumise, qui lui préparait ses costumes, le repas, le ménage, qui s’occupait de leurs quatre enfants, qui étaient majeurs pour trois d’entre eux. Cela faisait des années qu’ils faisaient l’amour sans passion. Hanzo-sama la besognait en missionnaire, et ne jouissait parfois même pas. Sa femme était laide, tout simplement, et, la dernière fois où il avait joui en elle, et où elle était tombée enceinte, remontait à la fois où il l’avait enfanté, soit il y a 7/8 ans. Cette séance coïncidait à tout ce qui allait venir maintenant, quand Hanzo-sama avait convoqué dans son bureau un élève qui était accusé de vouloir harceler une jeune femme talentueuse : Hina Itachi.

L’école privée disposait d’une bourse au mérite, et Hanzo-sama, il y a des années, avait accepté d’y intégrer cette jeune femme, car elle avait d’excellents résultats et recommandations de ses professeurs. Hina Itachi était une jeune femme pimpante, très motivée en cours, et destinée à de très bonnes études. Seulement, elle manquait d’argent, ce qui l’avait amené à tourner un porno amateur avec des élèves en dernière année de lycée, pour financer ses études universitaires. Une vidéo qui avait failli fuiter, car celui qui l’avait filmé souhaitait la piéger. Hanzo-sama avait toutefois le bras long, et il avait convoqué ce jeune homme, un fils de bourgeois, un incapable qui était là parce que ses parents finançaient l’école. Hanzo-sama lui avait ordonné de lui donner la copie du DVD pirate, et lui avait montré une pile d’attestations, de courriels, et d’enregistrements vidéos le concernant. Cet élève était connu pour harceler d’autres élèves, et Hanzo-sama avait de quoi l’exclure, et provoquer la honte auprès de ses parents. Il avait compris que ce bourgeois incompétent était amoureux de Hina-san, et il lui avait ordonné de ne pas parler de ce DVD.

Le fait est que Hanzo-sama avait préalablement regardé ce DVD, et qu’il avait bandé comme jamais en la voyant.

*Hina-chan…*

Pour quelqu’un d’aussi serré que Hanzo-sama, d’aussi strict, il était tombé amoureux de cette femme. Le soir venu, il avait engrossé sa femme, la baisant comme jamais, jouissant en l’appelant « Hina-chan ». Hanzo-sama avait résisté à la tentation de convoquer Hina-chan à son bureau, mais il avait aussi conservé le DVD. Il s’était dit que cela passerait…

…Mais Hanzo-sama avait le bras long, et le lycée suivait l’évolution de ses anciens élèves, afin de promouvoir ses statistiques. Il avait ainsi appris que Hina-chan cherchait à devenir une professeure en histoire-géographie. Des années qu’il n’avait plus entendu parler d’elle, et, quand il avait lu son nom et vu sa photographie dans le dossier scolaire, il avait bandé instantanément.

*Elle est encore plus belle qu’avant… Hina-chan, ma Hina-chan…*

Le DVD pirate avait été détruit, mais il avait téléchargé la vidéo sur son ordinateur de bureau, et l’avait regardé immédiatement.

Le désir était revenu, plus fort que jamais, et avait confiné à l’obsession. Pour devenir titulaire, Hina-chan devait suivre un stage, et Hanzo-sama s’était empressé d’interférer pour qu’elle soit recrutée ici. Il l’avait ensuite espionné, tout simplement. Elle ne se doutait de rien. Il avait vu qu’elle était célibataire, et il s’attendait désormais à l’épouser. Pour lui, il était impensable qu’elle le repousse. Il était Hanzo-sama ! Le divorce était mal vu, mais il était prêt à accepter cela. Hanzo-sama avait tout prévu : il comptait l’inviter au restaurant pour lui annoncer sa titularisation, et lui dire qu’il l’aimait.

Seulement, il avait vu en la suivant qu’elle avait un mec. Cette nouvelle lui avait brisé le cœur. Il avait vu sa Hina-chan embrasser ce sale prétentieux, Kenji ! Il travaillait dur, un minable employé de bureau. Il avait vu sur les réseaux sociaux qu’ils s’étaient fiancés, et que la cérémonie de mariage était programmée d’ici quelques mois. Hanzo-sama n’avait jamais été aussi furieux de sa vie, et avait envisagé de briser la jeune femme, de réduire à néant sa carrière. Fort heureusement, il n’en avait rien fait, et avait peu à peu pris le temps de réfléchir.

*Cette catin a failli m’amener à divorcer… Moi, Hanzo-sama, avec mes quatre enfants ! Si je le faisais, ma réputation en pâtirait férocement…*

Hanzo-sama avait donc planifié peu à peu son plan. Il avait tout calculé.

Le jour était venu, et il demanda à la femme de venir. Personne ne se refusait à Hanzo-sama. Ce lycée était SON lycée. Il lui arrivait volontiers d’humilier publiquement ceux qui étaient incompétents. C’était un homme influent, et on disait qu’il se plaisait à accueillir ses nouvelles secrétaires en leur disant combien de temps la dernière avait tenu avant de faire un burn out, et qu’il voyait cela comme un concours personnel.

La jeune femme entra donc, et Hanzo savait que personne ne les dérangerait. Il y a un mois, il avait viré sa secrétaire quand elle était venue lui apporter son café alors qu’il regardait le porno de Hina-chan. Son pantalon était défait, sa queue en érection, et il avait vociféré sur la jeune femme, lui hurlant qu’elle était virée. Elle était partie en pleurs, mais personne n’avait vu qu’il était à moitié à poil.

« Bonjour, Hina-san. Vous êtes en retard. Asseyez-vous. »

Il la regarda s’asseoir. Il avait envie de la haïr tant elle le hantait, mais, là, il avait juste envie qu’elle le suce.

« Vous êtes une professeure talentueuse et motivée, ce qui n’est pas peu dire. Notre société est influencée par le laxisme des Occidentaux, par tous ces mangas idiots qui rendent notre jeunesse imbécile et paresseuse. Je pensais que vous ne tiendriez pas le rythme, honnêtement. Je n’ai jamais cru en vous, et je pensais que vous seriez en burn out au bout de deux mois. Ce n’est pas le cas. Il est rare qu’on me surprenne. »

Hanzo-sama poursuivit ensuite, après quelques instants.

« J’envisage de vous titulariser. Seulement… Il y a un petit problème. Vous savez combien je tiens à ce que nous respections les valeurs de notre pays. Il est important que les femmes soient respectueuses, et n’aient pas de mœurs légères. Je ne supporte pas cette décadence. Vous aviez été élève ici. Une lycéenne sans histoire… Mais, en fouillant dans votre dossier scolaire de l’époque, j’ai retrouvé quelque chose de préoccupant. Une affaire que j’avais moi-même étouffé à l’époque pour préserver la respectabilité de mon enseignement. Car vous avez mis jadis en danger mon établissement, et je me retrouve dans une situation compliquée. Vous êtes une traînée, Hina-san. »

Il avait une furieuse érection, et avait prononcé le mot « traînée » avec une sourde excitation, que Hina-chan n’avait sans doute pas senti, tant elle semblait se décomposer sur place. Il poussa alors son écran, et on put voir un extrait du film porno, où elle était agenouillée en train de sucer un homme dans un couloir du lycée.

« Cette infame vidéo… C’est vous, n’est-ce pas ? Vous en train de… De sucer Hinato-han… J’avais vu cette vidéo à l’époque. Comment puis-je laisser une femme comme vous enseigner auprès de mes élèves ? Mais, d’un autre côté, si je fais état de mon veto à votre brillant dossier, je devrais parler de cette vidéo… Ce qui reviendrait à porter atteinte à mon lycée. »

Hanzo-sama se tut pendant quelques instants. La jeune professeure semblait totalement paniquée, au bord du craquage nerveux.

« Vous êtes une femme, vous n’êtes pas faite pour réfléchir à ce genre de dilemme. Je souhaite en parler à votre futur époux. »

Hanzo-sama dit cela en souriant, comme s’il prenait un malin plaisir à torturer cette jeune femme, à la paniquer. Le prédateur dominait sa proie, et ce sentiment exquis le faisait bander comme jamais…

[Chloé Faure]

Hina ressentait évidemment une pointe d'inquiétude à se retrouver dans ce bureau en particulier. Hanzo-sama n'était pas quelqu'un qu'elle appréciait personnellement, et à vrai dire aucune des personnes que le proviseur avait sous son "aile" ne le faisait, tant il maintenait un environnement de travail toxique dans la droite lignée de la "culture" japonaise traditionnelle. On pouvait alors se demander pourquoi Hina avait choisie ce lycée pour passer son année de titularisation, au vu du fait que Hanzo-sama était connu pour aimer voir jusqu'à quel point ses collaborateurs pouvaient tenir sous son joug. En vérité, passé cette année, Hina n'avait aucune intention de rester ici, mais ce lycée était pour ainsi dire fameux dans le milieu de l'éducation, autant pour ses résultats que pour la façon dont les professeurs étaient traités, et partaient régulièrement. Obtenir sa titularisation ici, et y passer une ou deux années, serait quelque chose de très valorisant à mettre sur son CV pour tout futur employeur dans le milieu, afin de prouver qu'elle avait la force d'esprit nécessaire.
Elle rentra donc dans le bureau en s'attendant à devoir recevoir une sorte de blâme. Pour quelle raison elle l'ignorait, mais des fois avec Hanzo-sama, les raisons pouvaient être extrèmement triviales, tant il aimait pousser des gueulantes sur ceux qui étaient sous son autorité. Elle savait que ça serait "ce" genre d'entretien au vu du fait qu'il mentionna un "retard" qui n'en était pas un, mais elle savait que le contredire n'allait mener à rien de productif.

Pardon, Hanzo-sama.

Elle ferma la porte derrière elle, puis s'avança jusqu'à prendre place sur une des chaises faisant face au bureau, et croisa ses jambes. Le proviseur commença donc à lui parler, et à son propre étonnement, commença par dire qu'il était surpris de ses performances.

Et bien, merci beaucoup, Hanzo-sama.

Que dire ? Elle n'était absolument pas d'accord avec la vision étriquée du monde que cet homme âgé avait, mais il était son supérieur hiérarchique, et il n'y avait rien à faire pour changer cela. Il poursuivit donc toutefois, et son monologue commença à prendre une tournure tout à fait différente, même si encore une fois, elle ne voyait pas où l'homme voulait en venir. Quelque chose de préoccupant dans son dossier scolaire, qu'il avait étouffé à l'époque ? Qu'est-ce que ça avait à voir avec actuellement ? Oui, Hina avait été élève ici grâce à une bourse et à ses résultats exceptionnels à l'école, mais elle ne se souvenait d'aucun incident en particulier, elle n'avait même jamais été convoquée une seule fois, n'avait jamais fait d'heures de retenues pour comportement inaproprié. Son sang ne fit qu'un tour d'ailleurs quand il la traita directement de traînée.

Je vous demande pardon mais...

Qu'il l'insulte l'énervait évidemment, mais c'était hélas toujours une perspective qu'il fallait prendre en compte quand on échangeait avec ce proviseur intouchable, elle comptait toutefois lui demander des précisions sur ce qu'il entendait pas tous ses sous-entendus...et elle eut rapidement sa réponse. Hanzo-sama fit pivoter l'écran de son ordinateur dans sa direction, et elle pu alors...se voir elle, plus jeune, à genoux, en train de pratiquer une fellation. Hina se décomposa sur place, réalisant parfaitement ce que cete vidéo était, une erreur de jeunesse. Cela remontait à l'époque où son père avait perdu son emploi, et avant qu'il n'en retrouve un, les finances de sa famille s'étaient retrouvées bien mises à mal. Elle n'avait alors même pas d'argent pour payer l'accès mensuel à la cantine, alors elle avait, idiotement, acceptée l'offre d'un ancien camarade de classe qui voulait la payer en échange d'une fellation qui serait filmée et gardée uniquement pour lui. Elle avait été désespérée, elle était jeune et idiote, et avait fini avec le temps par oublier cette sordide histoire qui lui revenait maintenant pleinement dans le visage, telle une pierre qu'on lui aurait lancée.

J-je...

Comment étais-ce possible ? Comment ce porc avait-il pu mettre la main sur cette vidéo qui était censée ne plus exister ? Hina était en train de paniquer, car cette titularisation signifiait tout pour elle, son passé, son présent et son futur, tout en dépendait, et Hanzo-sama était clairement le genre de vieil homme réac bien capable de la pourrir professionnellement pour ce prétexte, simplement parce qu'il en avait le pouvoir. La situation escalada encore une fois lorsqu'il déclara vouloir en discuter avec Kenji, son fiancé.

Non ! Non s'il vous plaît, Hanzo-sama !

Elle devait reprendre ses esprits et le convaincre de ne pas le faire ! Il y avait désormais plus que sa titularisation en jeu, mais son mariage avec Kenji aussi. Son fiancé était quelqu'un de doux, mais de sensible en ce qui la concernait. Le sujet de ses anciennes relations amoureuses était quelque chose qu'ils n'évoquaient jamais, mais que Kenji voyait comme quelque chose du passé. En revanche, savoir qu'elle avait tourné un porno amateur, elle était certaine qu'il ne le supporterait pas, et que ça signerait la fin de leur relation.

Cette vidéo était une erreur. J'étais jeune, et dans une mauvaise passe financière avec ma famille, je n'ai pas réfléchie quand on m'a proposé ça et j'aurais du refuser. Une erreur que j'ai regrettée immédiatement après, et que je n'ai jamais reproduit, et ne reproduirait jamais. S'il vous plaît, Hanzo-sama je...je ferais d'avantage d'heures supplémentaires que vous n'aurez pas à me payer si il le faut, ou ce que vous voudrez, mais Kenji ne doit pas savoir.

[Reine Alice Korvander]

On disait qu’on reconnaissait le bonheur au bruit qu’il faisait quand il partait. Hanzo-sama ignorait si cela était vrai, mais il savait une chose : c’est en découvrant Hina-chan sucer Hinato-han, puis se taper ensuite quatre mecs dans la salle de cours, que Hanzo-sama avait pris conscience qu’il n’aimait pas cette femme. Jamais aucune autre scène ne l’avait fait vibrer comme ça. Il avait constaté que ce qu’il croyait être de l’amour envers sa femme n’était tout au plus qu’une forme d’affection. Ce qu’il avait ressenti avec Hina-chan avait été à la hauteur de sa déception quand elle l’avait trompé et déçu en se rapprochant de ce bon-à-rien de Kenji. Il avait donc posé les bases, et fut soulagé quand, en évoquant Kenji, Hina-chan battit en retraite. À ce stade, elle ne devait même pas réaliser que, derrière ses solides lunettes carrées, Hanzo-sama matait sans vergogne sa grosse poitrine. Hina-chan avait toujours eu une belle poitrine, et il avait fantasmé pour fourrer sa queue dedans, pour jouir dedans, et pour l’imaginer faire cours avec sa semence sur ses seins…

*Concentre-toi, Hidochi, c’est maintenant que les choses sérieuses commencent…*

Hanzo-sama hocha la tête.

« Calmez-vous, Hina-san. Comme je vous l’ai dit, vous êtes une femme talentueuse… Ce n’est pas de votre faute, vous savez. Vous êtes originaire d’un milieu modeste. Votre père… Il vous a mal éduqué. J’ai lu votre dossier, vous devez tout à votre mère. »

Le père de Hina-chan était un ouvrier peu qualifié, qui aimait sincèrement sa fille.

« Vous savez, c’est une question de génétique. Les Occidentaux veulent nous dire qu’il n’y a pas de différence entre les sexes… C’est un mensonge, une preuve supplémentaire de leur déliquescence. La vérité, ma chère Hina-san, c’est que les femmes sont plus sensibles que les hommes, et plus enclines que les hommes à succomber à leurs pulsions. Vous n’y pouvez rien, c’est dans votre nature. On éduque les jeunes filles pour ça, en leur disant de se retenir jusqu’à leur mariage. Et c’est aussi pour ça qu’il est important de consommer son mariage. Ce que vous avez fait pendant votre jeunesse, je me dois de m’assurer que vous n’êtes pas susceptible de le refaire pendant que vous serez enseignante. Il y a tellement de tentations, de nos jours… »

Hanzo-sama avait laissé défiler la vidéo porno, où, après la fellation, Hina attrapait la main de Hinato, et le guidait dans une salle de classe où les trois amis de Hinato, nus et la verge au garde-à-vous, les attendaient. Hanzo-sama ferma la vidéo, et se rendit sur le réseau Intranet du lycée. Il présenta alors à la jeune femme un sondage entre élèves.

« Les élèves pensent que nous n’avons pas accès à ces sujets… Les idiots. Ils ont fait un sondage sur… Permettez*moi que je lise… ‘‘La prof’ la plus baisable du lycée’’. Vous n’êtes pas encore titulaire, mais, comme vous pouvez le voir, vous occupez la première place du classement. Ils commentent votre magnifique poitrine en des termes plus offensants… »

Hanzo-sama fit descendre la page privée, jusqu’à lire un commentaire très claire :

Elle a des nichons tellement gros, obligé, je lui fous ma bite dedans !

Hanzo-sama la laissa regarder cela, tout en ayant de plus en plus mal au sexe.

« Il appartient à votre futur mari de vous besogner convenablement pour que vous ne soyez pas en manque… Mais est-ce le cas ? Vous ne souhaitez pas impliquer Kenji, et j’ai besoin de certitude, pour m’assurer que vous saurez repousser ces élèves.} »

C’était le moment risqué, celui où il allait se dévoiler…

« Vous connaissez le droit de cuissage, non ? Il a été beaucoup caricaturé… Mais, à l’origine, ce droit ancestral vise à empêcher une femme de devenir trop volage. Quand son mari est incapable de la satisfaire, il est du devoir du seigneur de la satisfaire. Et, ici, dans ce lycée, dans cette grande famille, c’est moi le seigneur. »

Hanzo-sama inspira longuement, et poursuivit ensuite :

« Donc, voilà ce que je vous propose… Soit je renonce à vous titulariser, soit vous acceptez… Et je m’assure que vous êtes pleinement rassasiée au niveau de vos besoins physiologiques. »

[Chloé Faure]

La situation dans laquelle Hina se trouvait était délicate, son passé revenant la hanter au pire moment, et sans doute par le biais du pire homme par lequel cela pouvait se manifester. Lui se voulait apaisant, alors qu'il lui demandait de se calmer, mais Hina était tout sauf calme présentement et ne le deviendrait que lorsqu'elle aurait des assurances que cette vidéo resterait dans les abîmes dont elle n'aurait jamais dû sortir. la question de comment seulement Hanzo-sama avait pu se la procurer était un mystère en soit, mais dont Hina n'avait pour l'instant pas de capacité de réflexion à allouer, elle devait surtout convaincre le proviseur de...d'oublier toute cette histoire. Comment, elle n'en avait pour le moment aucune idée, et franchement, improvisait à ce stade, car tout était dépendant de la "bonne volonté" de cet homme pourtant intraitable. Il ne semblait pas forcément vouloir diffuser la vidéo, au vu de ce qu'il semblait sous entendre comme quoi de par sa "nature", Hina n'y était pour rien, et que son père l'avait mal éduquée. La jeune professeure en devenir serra les poings en se retenant d'insulter Hanzo-sama, alors qu'il continuait à lui déblatérer sa vision du monde archaïque et profondément ridicule.

Oui vous...vous avez sans doute raison, Hanzo-sama...

Pas d'autre choix cependant que d'approuver en surface ce qu'il disait, elle connaissait assez bien l'homme maintenant pour savoir qu'il ne supportait pas qu'on le contredise, sur n'importe quel sujet. Ainsi, comme il était lancé, et que Hina ne pouvait dans sa position pas l'interrompre, le proviseur sembla décider à continuer ses envolées lyriques, allant jusqu'à déterrer un sondage de l'intranet du lycée où les élèves...notaient leurs professeures selon des critères de beauté, pour dire les choses poliment.

Je...ils sont jeunes, et ne se doutent pas de la gravité de leurs commentaires je pense...

La scène était proprement surréaliste. Hina se sentait certes quelque peu outrée que des élèves usent de termes aussi crus pour la désigner, mais il fallait s'y attendre quand on était belle comme elle et qu'on enseignait à des adolescents au delà de quinze ans. Surtout, elle ne voyait pas où il voulait en venir avec tout ça. Il enchaîna alors sur quelque chose de particulièrement privé, à savoir la façon dont Kenji lui faisait l'amour, afin qu'elle ne soit pas en manque.

*Mais c'est pas possible, je suis dans un cauchemar ?*

L'ensemble de cet échange, ou plutôt de ce monologue, était pour le moins lunaire, et encore...Hina n'avait encore rien vu. Elle commença à se douter d'où tout ça était censé mener lorsqu'il commença à lui parler du "droit de cuissage", qu'elle connaissait effectivement en tant que professeure d'Histoire, et dont lui semblait avoir une interprétation pour le moins spéciale et pas forcément correcte. Elle commença toutefois à écarquiller les yeux, et à sentir sa gorge s'assécher, quand elle commença à comprendre précisément où il voulait en venir. Lui le seigneur...

Qu-quoi ?

Il ne pouvait pas être sérieux...il la faisait chanter et entendait coucher avec elle ? Le summum de l'hyprocrisie pour quelqu'un qui mettait autant les traditions et leur respect aussi haut dans ses priorités que ça en devenait dogmatique !
En temps normal, Hina se serait proprement insurgée, aurait hurlée en direction de ce sale porc qu'elle détestait...mais du se résoudre au silence, car il avait bien trop d'éléments à charge contre elle. Si il avait juste pu la faire chanter sur sa titularisation, Hina l'aurait envoyé balader, et quand bien même elle n'aurait pas pu l'avoir, Kenji l'aurait pleinement soutenue le temps qu'elle trouve une solution alternative, voire même qu'elle parvienne à traîner le proviseur devant des tribunaux. Si il avait juste voulu la faire chanter avec Kenji mais sans avoir de poids sur son avenir professionnel, elle aurait de la même manière été dire directement toute la vérité à Kenji, et soit il lui aurait pardonné, soit ils se seraient séparé, auquel cas elle se serait complètement plongée dans son travail avant de se remettre sur pieds dans sa vie personnelle.
Mais le problème, c'était qu'en l'état, Hanzo-sama pouvait ruiner d'un seul coup sa vie professionnelle et personnelle, et perdre les deux...n'était absolument pas envisageable. Peu importe comment elle envisageait la situation, au cours de ces longues secondes de silence où elle réfléchissait à vive allure, elle ne voyait que des impasses, où la seule moins mauvaise solution était...était de dire...

S-soit...j'accepte...aux conditions que Kenji ne soit jamais au courant, et que ma titularisation ne soit pas mise en danger...j'accepte, Hanzo-sama...

Elle était résignée, au bord des larmes à l'idée de devoir tromper Kenji avec cet homme pour préserver son mariage à venir...mais elle n'avait, en l'état, absolument pas d'autre choix pour tout préserver...

[Reine Alice Korvander]

Il pouvait sentir l’incrédulité dans son regard, ainsi qu’une froide résignation. Elle n’avait pas le choix. Mais lui devait ménager la chèvre et le chou, le bâton et la carotte. Offrir une porte de sortie, et lui rappeler qu’elle était coincée, qu’elle n’avait aucune autre solution que de le suivre. Alors, quand elle accepta, il lui rappela tout de même les enjeux :

« Vous n’avez pas l’air de saisir la gravité de la situation, Hina-san, et cela me peine que vous puissiez voir en moi de mauvaises intentions. Je n’ai même pas besoin de cette vidéo pour ruiner votre vie, vous savez. Je suis ici depuis plus longtemps que vous, et, si je refuse votre titularisation en inventant n’importe quelle excuse, les gens me croiront. Vu vos nichons, il est aisé de dire que vous avez pu tenter de profiter de moi, que vous êtes une fille à problème. Et j’ai cette vidéo qui confirmerait mes dires. Si je vous offre une porte de sortie, Hina-san, c’est à la condition de m’assurer que vous ne pétiez pas les plombs en cours, ou que vous ne soyez pas tentée de séduire des élèves. Je ne tiens pas à ce que mon lycée soit un nouveau lycée Jinmu. »

Ce lycée, situé dans une autre ville, était mal famé, réputé pour les relations sexuelles fréquentes qui avaient lieu.

« Si vous acceptez ce que je vous propose, votre mari n’en saura rien, et j’aurai pour ma part la certitude que vous ne tenterez pas de corrompre mes élèves. »

Ceci étant posé, Hanzo se racla la gorge. Il était lui-même impressionné du calme dont il faisait preuve, alors qu’une furieuse érection déformait son pantalon.

« Bien… Je sais qu’une femme est apaisée quand elle a joui, donc je vais accomplir mon devoir, et m’assurer que vous soyez satisfaite. Avant ça, il va falloir que vous me motiviez. Je vous ai vu faire sur cette vidéo, et je suis sûr que la perverse que vous êtes existe toujours… »

Hanzo se releva alors, et défit la boucle de son pantalon. Il invita la femme à venir, et enroula sa ceinture autour de son cou, puis la referma derrière, la transformant en un collier improvisé.

« Vous n’êtes plus une professeure, maintenant, vous êtes une petite chienne nymphomane… »

Si elle avait une grosse poitrine, elle pouvait voir que Hanzo-sama n’était pas en reste, lui. Sa verge ne lui avait jamais semblé aussi grosse.

« Je veux que vous fourriez ma queue entre vos gros seins de salope, Hina-chan… Comme vous le faites avec votre fiancé. Je suis curieux de savoir si sa verge est plus grosse que la mienne… Vu la taille de vos seins, Hina-chan, il faut une bonne queue et une solide endurance pour vous satisfaire. Maintenant, mettez-vous totalement à poil, ne gardez que ma ceinture, et venez faire votre office. »

Ayant dit cela, Hanzo se rassit sur son fauteuil, et écarta les jambes. Son sexe avait tendance à puer, car il avait beaucoup joui aujourd’hui en pensant à cette scène, salissant ainsi son boxer. Même avec son calme olympien, il lui était impossible de dissimuler son sourire ou son regard quand il la vit nue, ses magnifiques seins, sa silhouette de guêpe… Et le renflement de ce cul qu’il rêvait de presser à chaque fois qu’il la croisait dans le couloir… Elle était superbe, et, surtout, surtout, elle était à LUI !

[Chloé Faure]

Hina devait faire des efforts conscients pour ne pas exploser sur place, car non content de la faire chanter, Hanzo-sama faisait tout dans son discours pour se dédouaner de toute responsabilité dans cette affaire. Il tentait la bonne vieille technique de l'inversion accusatoire, limite si il ne cherchait pas à se faire passer pour une sorte de bon samaritain qui ne faisait que "son devoir" comme il osait le dire ainsi. C'était écœurant, à bien des niveaux, mais Hina ne pouvait même pas lui répondre quoi que ce soit, hormis silencieusement hocher la tête en signe d'une approbation forcée, et elle était de toutes façons bien trop encore sous le choc pour pouvoir établir une quelconque stratégie raisonnée face à ce qui lui arrivait. Hanzo-sama ainsi, après avoir parlé encore un peu plus presque pour lui même, lui demanda de se lever, et de venir le rejoindre de son côté du bureau, chose qu'elle fit. Tandis qu'elle contournait le large meuble, qui avait bien une taille équivalente à un lit, le proviseur s'était relevé lui aussi et avait débouclé sa ceinture. Cependant, loin de s'en débarrasser, il attendit que Hina vienne le rejoindre pour...lui attacher cette même ceinture autour du cou, à la façon d'un collier et d'une laisse. Hina le regarda d'un air hébété, avant de rougir de honte quand il déclara qu'il na la considérait présentement plus comme une professeure, mais comme une "chienne nymphomane".

*Espèce de sale porc...*

Jamais Hina ne s'était sentie aussi humiliée, sauf peut-être le jour où elle avait tournée ce porno amateur qui lui valait d'être dans cette situation maintenant. Là aussi, elle se retrouvait à devoir endurer les fantasmes de gros dégeulasses qui la concernaient. Une fois ceci fait, Hanzo-sama lui donna des instructions, réclamant une cravate de notaire, et qu'elle se déshabille intégralement face à lui avait de le faire, à l'exception de la ceinture qu'elle avait autour du cou...pour des raisons qui était hélas, à ce stade, évidentes.

Bien, Hanzo-sama...

Elle commença par retirer ses petites chaussures à talons, puis défit sa mini-jupe qu'elle fit glisser le long de ses belles jambes fuselées. Déjà, l'homme en face d'elle commençait à afficher un sourire qui allait la hanter pendant longtemps, tant il semblait à cet instant l'exemplification parfaite de ce qu'étais un gros pervers. Elle glissa alors ses doigts sur les lanières de ses bas-collants, et saisit en même temps en tirant dessus celles de sa culotte, qu'elle fit donc glisser en même temps que le reste le long de ses jambes. Hanzo pu alors voir que Hina s'épilait proprement, avant qu'elle ne passe ensuite au reste. Sa petite chemise, puis son débardeur, et enfin son soutien-gorge, chaque parcelle enlevée laissant de plus en plus apparaître la poitrine naturellement bien grosse de Hina. Elle se retrouva donc intégralement nue devant lui, et elle peinait énormément à soutenir son regard, elle était même obligée de régulièrement détourner le sien.

*Kenji...pardonne moi...*

Même dans l'optique qu'elle faisait ça pour préserver son mariage, rien dans sa tête ne pouvait lui ôter la cruelle réalité qu'elle était en train de le tromper. Elle se mit donc délicatement à genoux face à Hanzo-sama.

Je...je vais vous retirer votre pantalon à présent, Hanzo-sama...

Ses doigts filèrent donc directement sur le bouton, puis sur la braguette du pantalon, avant de tirer dessus pour qu'il glisse. La vue du boxer du proviseur, qui était déformé par son érection, et tâché à quelques endroits de ce qui était de toute évidence des résidus de sperme, ne l'enjoua pas plus, mais elle tira aussi dessus pour libérer ce sexe à l'air libre et...

*Seigneur...elle est bien plus grosse que celle de Kenji...*

Hina se sermona intérieurement aussi vite qu'elle eût cette pensée...comment pouvait-elle seulement oser en ce moment ? Elle s'approcha alors, confuse, de l'homme, façon à être assez avancée entre ses jambes écartées pour pouvoir approcher ses seins de son sexe. Elle prit alors chacun de ses seins dans une de ses mains, et remua de façon à faire coulisser le sexe dressé de Hanzo sama entre les deux, avant de finalement resserrer ses deux mamelons de chair contre afin de pratiquer cet étau de chair chaude dessus. Elle se mit à soupirer, alors qu'elle commençait à remuer pour faire un effet de masturbation. Ses seins étaient assez massifs pour que cette verge disparaisse complètement dedans, mais effectivement, l'effet était plus "limite" qu'avec Kenji, car il arrivait que le bout du sexe de Hanzo-sama puisse ressortir, ce qui n'arrivait jamais avec son fiancé. Elle entreprit donc de remuer.

Est-ce que...ça vous conviens, Hanzo-sama ?

[Reine Alice Korvander]

Hanzo-sama exultait en ce moment. Combien de fois avait-il rêvé de cette scène ? De ce regard outré de Hina-chan, tandis qu’il pourrait enfin accomplir sa vengeance ? Tout ça, c’était de sa faute ! Cela était irrationnel, bien sûr, mais l’amour était irrationnel, après tout. Comme les Français le disaient si bien, l’amour a ses raisons que la raison ignore. Hanzo-sama aimait Hina-chan, mais il la haïssait aussi. C’était une sensation impossible à expliquer à ceux qui ne l’avaient pas vécu, mais elle était, selon lui, l’expression même du sentiment amoureux. Par tous les kami, il aurait voulu ne jamais être amoureux, tant cela l’amenait à être déraisonnable ! Voilà que Hina-chan était nue devant lui ! Si jamais quelqu’un entrait, Hanzo-sama était terminé. Il avait beau faire de l’esbroufe en disant qu’il pouvait détruire la carrière de Hina-chan, il n’était pas dupe. Ses méthodes de gouvernance étaient usées, datées, tout le monde au sein du conseil d’administration le détestait, connaissait son sexisme ambiant.  Le Japon avait beau être une société fort heureusement très patriarcale, les hérésies occidentales se répandaient de plus en plus, comme cette campagne de haine à l’encontre de la virilité masculine. Oui, le Japon était gangréné, alors, si jamais on savait ce qu’il fabriquait là, tous ces hommes-sojas et ces woke qui parasitaient le conseil d’administration obtiendrait sa tête.

Pour autant, l’idée même que sa bécasse de secrétaire lui amène son café pendant que Hina-chan le sucerait sous son bureau l’excitait furieusement. Et il n’avait finalement pas pu se retenir à l’encontre de Hina-chan. Car, malgré toute sa raison, le besoin était irrésistible… Celui de lui faire l’amour, de la besogner, encore et encore. Et, à chaque fois qu’il y pensait, il imaginait ce sale petit cancrelat, ce misérable Kenji, qui l’embrassait, qui pressait ses gros nichons, qui la faisait couiner, et qui enfonçait sa petite queue rabougrie d’homme-soja dans sa merveilleuse chatte…

*Sa chatte qui m’appartient !!*

Hanzo-sama frémit en la voyant nue, et se régala donc du regard furieux que Hana-chan lui jeta. Puis, quand elle libéra l’accès à sa verge, et que sa grosse queue tapa sur son visage, il jubila en voyant son regard surpris.

« J’imagine que Kenji n’en a pas une aussi grosse, hein ? » glissa-t-il, tandis qu’elle fourrait sa grosse queue dans ses seins.

Ses nichons enveloppèrent son sexe, et Hanzo-sama frémit, crispant ses doigts sur les accoudoirs de son fauteuil. Oui, ça y est, enfin ! Il avait rêvé de la prendre sous toutes les positions inimaginables, bien sûr, mais ses seins le hantaient toujours. Les Japonaises n’étaient pas connues pour avoir de grosses poitrines, ce qui expliquait sans doute pourquoi les mangakas s’amusaient à dessiner des femmes avec des poitrines énormes. Alors, forcément, voir une telle paire de nichons, ça l’excitait furieusement ! Sa queue était dure, solide et élancée, et il dut faire appel à toute sa concentration pour ne pas jouir précipitamment. Pour ça, il lui suffisait juste de penser à Kenji, à imaginer Kenji en train de fourrer sa verge comme lui glissait la sienne, et il sentait la jubilation de la vengeance s’infuser en lui.

« Ouais, je suis sûr qu’il a une petite queue, hihi… Une petite queue toute ramollie qui est bien insuffisante pour toi, Hina-chan… Tu crois vraiment qu’il peut te satisfaire comme moi ? C’est un bon-à-rien… Mais je le comprends… Jadis, les femmes aimaient aller près des hommes forts pour qu’on veille sur elles et qu’on les éduque bien. Maintenant, avec tous ces délires de gaijin, vous cherchez les hommes faibles, les impuissants comme ton Kenji, pour vous donner l’impression d’être fortes… Mais, au final, la nature est bien faite, car c’est toi qui as des trous à remplir, et c’est moi qui ai une lance pour te remplir, hihi… Et lui, ton Kenji, je sais qu’il ne te remplit pas comme il faut ! »

En soi, la manière dont Hanzo insistait sur le fiancé de Hina-chan pourrait en dire long, elle était l’expression d’une frustration accumulée de plusieurs années, et d’une véritable obsession de Hanzo-sama, qui avait suivi Hina-chan, et qui avait été jusqu’à louer un petit studio en face de leur appartement pour les espionner la nuit. Une véritable fascination morbide. La pointe de sa queue titillait le visage de Hina-chan, et, plus il parlait, plus sa queue se durcissait et s’étirait. Si la poitrine de Hina-chan défiait la nature, la verge de Hanzo-sama ne semblait pas en reste non plus !

« Si tu ne veux pas en avoir partout sur ta magnifique figure, ma Hina-chan, il va falloir que tu prennes la pointe de ma queue dans ta bouche, hihi… Je suis tellement excité, je risque de jouir très fort, tu sais… Tu m’excites tellement, ma Hina-chan… »

Si son ton était agressif et belliqueux en évoquant Kenji, le timbre de la voix de Hanzo devenait beaucoup plus posé et affectueux…

[Chloé Faure]

Hina peinait à croire qu'elle se trouvait dans cette situation, forcée, où elle était en train de faire une cravate de notaire à son vieux pervers de proviseur. Elle ne nota pas son premier commentaire qui se voulait humiliant sur la taille de la verge de Kenji, son fiancé, et se contenta de se focaliser sur la tâche qui était la sienne. Il lui était difficile de masquer qu'elle n'aimait pas ce qu'elle était en train de faire, car tout dans la personnalité de Hanzo-sama, de base, la dégoûtait. Mais elle n'avait pas vraiment le choix, pas si elle voulait garder son futur mariage intact, ainsi que sa titularisation...Hanzo-sama pouvait ruiner tellement d'aspects importants de sa vie en même temps, qu'elle n'avait juste pas d'autre choix. Alors elle pressa ses lourds seins contre la queue dressée du proviseur, et entreprit de faire en sorte que son sexe remue dans le chaud cocon formé par sa poitrine. Sous l'effet de l'excitation, l'homme se mettait à parler, faisant encore plus ressortir ses idées réactionnaires sur la condition de la femme, mais aussi sur le fait qu'il considérait Kenji comme un moins que rien, incapable de la satisfaire contrairement à lui.

*Depuis combien de temps est-ce qu'il a ça dans l'esprit, ce vieux pervers ?*

Difficile de penser que tout ça était quelque chose d'autre que finement élaboré au fil de semaines, voire même de mois, ce qui donnait à ce chantage une dimension encore plus effrayante dans un sens, mais elle essayait en l'état de ne pas trop y penser. Hina se concentrait surtout sur le fait de serrer ce sexe entre ses seins, et de le masturber pour qu'il jouisse le plus vite possible. Une envie qui était entre autres motivée par l'odeur désagréable qui s'en échappait, singe qu'iul avait du se masturber avant et jouir à plusieurs reprises, sans doute en pensant à ce qui allait suivre avec elle. A la façon dans Hanzo-sama commençait à se tortiller sur le fauteuil, Hina détermina qu'il n'allait sans doute pas tarder à justement jouir, ce qu'il confirma d'ailleurs quand il lui demanda de prendre le bout de son sexe en bouche.

B-Bien, Hanzo-sama...

Hina n'était guère enthousiaste à l'idée de prendre ce sexe qui sentait mauvais en bouche, mais il était sans doute préférable qu'elle avale son sperme, tout aussi dégoûtant que ce soit, plutôt que d'en avoir plein partout. Ainsi, tout en continuant à faire remuer ses seins, à l'aide de ses mains, le long de cette hampe de chair, Hina abaissa son visage et entrouvrit ses lèvres de façon à prendre le gland dans sa bouche.

Hmmm...

La jeune femme fronça les sourcils alors que sur le bout de sa langue, un goût désagréable se manifesta en effet, et elle du aller à l'encontre de son instinct de se retirer pour continuer à sucer son gland. L'effet fut, heureusement, assez immédiat chez Hanzo-sama, qui ne parvint pas à se retenir très longtemps après ça, et se tendit sur place, tandis qu'Hina sentit son sexe se mettre à tressauter, et des filaments de sperme commencer à être expulsés dans sa bouche. Le goût était mauvais, comme attendu, salé et amer, mais encore une fois mieux valait que ça soit dans sa bouche plutôt qu'ailleurs, alors elle commença à dégluttir pour avaler, peu à peu. Sauf que, rapidement, Hina ne parvint pas à suivre le rtyhme. Les premiers filaments de sperme étaient faussement petits, par rapport au reste qui vint dans sa bouche. Hanzo-sama se mit en effet à jouir très copieusement, et très fort, au point que Hina se retrouva vite à avoir la bouche trop rapidement remplie, au point qu'elle en écarquilla les yeux en se rendant compte qu'elle ne pouvait pas suivre, surtout lorsqu'un filament fila directement dans sa gorge, manquant de l'étouffer.

Huuuurf !!

Hina n'eut d'autre choix que de retirer son visage pour tousser, faisant couler au passage du sperme sur ses lèvres. Confuse, elle ne parvint pas tout de suite à se reprendre, ce qui fit que Hanzo-sama, qui continuait à jouir sans signe de vouloir s'arrêter, juta à plusieurs reprises sur son visage et son cou. Hina parvint à avaler le sperme et, consciente qu'elle ne pouvait pas avaler plus que ça, eut enfin le réflèxe de resserrer à nouveau ses seins contre le sexe de Hanzo-sama pour qu'il jouisse entre ses seins. Il se termina enfin, mais non sans avoir encore éjaculé assez pour que Hina ne sente une véritable "marre" de sperme entre ses seins, qui commença à couler le long de son ventre quand elle se retira finalement. Hina avait pensée pouvoir tout prendre en bouche, mais voilà qu'elle se retrouvait avec du sperme presque partout, sur le visage, elle devait d'ailleurs garder un oeil fermé car elle en avait sur une paupière, son cou, le creux de ses seins et son ventre.

H-Hanzo-sama...p-pourriez vous me donner des mouchoirs, s'il vous plait ?

Elle devait s'essuyer, de toute urgence, sauf à ce que l'homme aie d'autres projets en tête...

[Reine Alice Korvander]

Oooh, enfin, oui, enfin ! Dieu, Dieu, que c’était bon ! Il aurait voulu se contrôler davantage. Il était Hanzo-sama, bon sang ! Il n’était pas l’un de ces fanfarons écervelés qui jouissaient à toute allure, que diable ! Mais c’était impossible… Il attendait ça depuis si longtemps. Elle était merveilleuse ! Il était comme le Frollo de Walt Disney, incapable de lutter contre son désir pour Esmeralda. Tout aurait été tellement plus simple s’il avait pu l’oublier, mais Hanzo-sama n’avait jamais réussi. Il avait désormais franchi le pont, il avait atteint le point de non-retour. Ce projet, il l’avait imaginé à bien des reprises, il avait essayé de tout organiser, et il était suffisamment excité pour ne pas prendre conscience qu’il était en train de tout risquer sur un coup de dé. Que quelqu’un ouvre, par inadvertance, qu’un de ces cons d’étudiants se cassent la figure dans les escaliers, et il était fini, terminé ! La perspective de ce scandale aurait dû l’amener à mettre fin à ça, mais, à chaque fois qu’il sentait les seins moelleux de Hina-chan se comprimer sur sa queue, à chaque fois qu’il sentait sa langue sur son sexe, il était tout simplement incapable de se retenir.

Ses mains se crispaient sur les accoudoirs, et il avait les yeux mi-clos, essayant de se retenir. Sa queue lui faisait toutefois furieusement mal. Elle était très bien dressée, plus impatiente que jamais.

« Ooooh… Hi-Hina-chan… »

Il essaya de se retenir, mais il finit par jouir. Il y eut plusieurs petites giclées au début, mais la vague remonta ensuite. Hanzo-sama grogna, soupira, et le foutre jaillit alors. Une vague plus forte ensuite, et il serra encore ses mains sur ses accoudoirs, tout en jutant généreusement. Hanzo-sama avait toujours eu tendance à beaucoup jouir, mais il y avait longtemps, bien longtemps, qu’il n’avait pas joui autant ! Il crut même atteindre une forme de record personnel, car il ne s’arrêtait pas de jouir, son foutre fusant sur le visage de la jeune femme, éclatant sur le haut de son torse, dans le creux de ses seins. Hanzo-sama se mit ainsi à jouir pendant une bonne minute, soupirant longuement. Dieu, que c’était bon !

Quand il avait terminé, la belle Hina-chan en avait partout ! Hanzo-sama sourit en l’observant. Elle était c ouverte de sperme ! Elle demanda l’autorisation d’avoir un mouchoir pour se nettoyer, ce qui fit rire Hanzo-sama. Il sortit un mouchoir malgré tout.

« Oui, ma Hina-chan… Je ne pensais pas que tu me ferais jouir autant, tu as de si beaux nichons… »

Il essuya sa paupière.

« Comme ça, Hina-chan peut rouvrir les yeux… ♥ »

Et, quand elle commença à le faire, la main de Hanzo se posa sur sa nuque, puis il alla l’embrasser. Le baiser serait sans doute surprenant, mais Hanzo-chan prit son temps, enfonçant sa langue dans la bouche de Hina-chan, la forçant à avaler le sperme qui était en elle. Il fit durer le moment, leurs baisers produisant des bruits spongieux, tandis qu’il sentait sa verge se durcir encore. Hanzo-sama masturba sa queue trempée, remuant ses doigts dessus pour qu’elle retrouve de sa superbe.

« Pourquoi te nettoyer ? Tu es superbe comme ça… La preuve, tu m’excites encore. Donc, il va falloir assumer. Si je me contentais juste de juter sur toi, je ne serai pas meilleur que ton Kenji, hein ? »

Ce n’était pas terminé. Hina-chan allait devoir le comprendre. Hanzo-sama se releva, et tira sur la ceinture qui était autour du cou de Hina-chan.

« Fous-toi à poil, maintenant. »

Lui en faisait de même.

« Ensuite, tu iras te coucher contre le bureau, puis tu me demanderas de te former sexuellement, de faire de toi la parfaite épouse pour accomplir tes devoirs conjugaux. Inutile de te dire ce qui arrivera si tu refuses, sache que je le fais pour toi… Tu as trop longtemps vécu en pensant que tu n’avais pas besoin d’un homme pour diriger ta vie, Hina-chan… »

L’idée de voir le joli cul de Hina-chan renforça encore d’un coup son érection…

[Chloé Faure]

Hina-chan était sur le moment...soulagée, car elle pensait qu'elle en avait enfin fini avec ça pour aujourd'hui. Elle était généreusement couverte de sperme, et dans son esprit, maintenant qu'il s'était aussi copieusement vidé, Hanzo-sama serait pour le moment satisfait et ils n'iraient pas plus loin. A sa demande d'avoir des mouchoirs, le proviseur se mit brièvement à rire, avant d'en prendre un lui même pour lui essuyer la paupière et ses environs. Elle pu alors ouvrir son oeil, précautionneusement, quand elle constata qu'il n'y avait pas de "restes" qui risquaient de lui filer dans l'oeil, ce qui aurait été tout sauf agréable.

M-merci, je...HUMF !

Elle allait dire qu'elle allait s'occuper du reste, puis se rhabiller et retourner dans son bureau, maintenant que sa tâche était effectuée, mais elle sursauta sur place quand Hanzo-sama posa fermement une main dans sa nuque pour la maintenir, et approcha son visage pour venir l'embrasser sur les lèvres. Hina se crispa à se contact qu'elle n'avait pas anticipée, les yeux écarquillés, alors qu'elle n'eut pas vraiment d'autre choix que d'ouvrir ses lèvres pour laisser ce vieux pervers glisser sa langue dans sa bouche. Elle répondait juste assez pour ne pas avoir l'air trop passive, remuant donc légèrement sa langue, tout de même globalement assez dégoûtée par le fait de devoir l'embrasser. Assez romantique dans l'âme, Hina ne se voyait pas vraiment embrasser qui que ce soit d'autre que Kenji, mais voilà qu'elle le faisait avec ce vieux porc, ce qui dans un sens frappa encoree plus fort dans son esprit le fait qu'elle était en train de tromper son fiancé dans son dos.

*Je n'ai pas le choix...*

Hanzo-sama ne se retira qu'au bout d'un long moment, puis refusa non seulement qu'elle puisse nettoyer le reste du sperme qui la recouvrait, mais affirma ensuite qu'il était encore excité, et qu'il n'allait pas juste se contenter de juter sur elle.

M-mais...

Hina n'eut pas l'occasion de parler d'avantage. Hanzo-sama se releva, et dans la foulée tira sur la ceinture qu'il avait tantôt accroché au cou de la jeune femme pour lui faire faire de même. Il lui ordonna d'achever de se déshabiller, puis d'aller prendre place sur le bureau tout en le suppliant de...de la "former sexuellement". Hina-chan dégluttit en comprenant alors pleinement que non, ils n'en avaient pas fini. Elle le constata en voyant qu'il bandait toujours aussi dur qu'au début, ce qui la perturbait, car tous les hommes avec qui elle avait couchée dans sa vie avaient besoin de beaucoup plus de temps que ça pour se relancer. Elle avait espérée éviter cela en faisant un travail pas trop mauvais avec sa cravate de notaire, se disant qu'un homme âgé comme lui serait éreinté après ça, mais la réalisation qu'ils allaient effectivement coucher ensemble maintenant la frappa. Il lui rappela d'ailleurs, implicitement, ce qui arriverait si elle refusait.

Soit...

Elle retint difficilement ses larmes en le voyant commencer à se déshabiller devant elle, et Hina-chan, couverte de sperme sur son cou, entre ses seins et sur son ventre, entreprit alors d'en faire de même. Elle retira sa mini-jupe, ses chaussures à talons, pour finalement enlever en un seul geste ses bas collants ainsi que sa culotte. Elle se retrouva complètement nue face au proviseur, qui pu brièvement voir qu'elle était proprement épilée, puis lui tourna le dos en posant alors ses mains sur son bureau, sur lequel elle allongea finalement le haut de son corps, lui présentant alors sa magnifique croupe bombée par la position, qui était au moins aussi magnifique que sa poitrine.

V-venez me former s'il vous plaît, Hanzo-sama, afin que je puisse...accomplir mes devoir conjugaux correctement...

[Reine Alice Korvander]

Maintenant qu’il avait joui, Hanzo-sama était un peu plus lucide… Suffisamment pour aller verrouiller la porte de son bureau à double tour. Les murs étaient fort heureusement très épais, alors sa secrétaire n’avait rien entendu. Sans doute pourrait-elle s’étonner du temps mis par Hanzo-sama à assurer ce rendez-vous, mais il était fréquent que le directeur prenne son temps. Il aimait généralement se flatter pendant les rendez-vous, en profiter pour distiller ses idées politiques et pour parler d’Histoire, pour rabaisser son interlocuteur en lui montrant qu’il était plus intelligent que lui, et plus cultivé.

Une fois la porte fermée, Hanzo-sama retourna vers Hina-chan, qui était donc couchée contre son bureau. Elle était alors totalement soumise. Il lisait le dégoût dans son regard, mais pas dans son corps.

« Je constate que tu t’épiles la chatte, ma Hina-chan… »

Ma Hina-chan. Le choix du possessif n’était pas une erreur. Il malaxa les fesses de Hina-chan, sa verge se glissant dans sa croupe. Elle était humide, recouverte de la salive de sa partenaire, ainsi que de quelques dépôts de sperme qui collaient dessus. Il la frotta donc dans le creux des fesses de la femme, la sentant se crisper sur place.

Sa main glissait sur ses fesses, et il en pinça une, l’écartant de l’autre, se frottant lentement.

« Est-ce que ton fiancé bande autant pour toi, ma chérie ? Est-ce qu’il est aussi excité que moi ? »

Il savait qu’elle ne répondrait pas, et que c’était déjà un aveu en soi. Il sourit donc, et malaxa ses fesses encore. Elle avait vraiment un très beau cul, mais c’était en l’état autre chose qui le motivait. Hanzo-sama banda alors ses muscles, et retourna Hina-chan. Il la coucha sur le dos, puis la poussa un peu sur son bureau, afin que son bassin soit bien plat, couché sur son bureau. Il n’y avait plus que les pieds et les mollets de Hina-chan qui dépassaient, désormais.

Souriant malicieusement, avec sa verge élancée, Hanzo-sama l’observa, puis observa surtout son sexe. Sa femme ne s’épilait pas. Hanzo-sama avait bien des fantasmes, et, s’il aimait le sexe classique, il aimait aussi beaucoup… Lécher. Seule sa femme connaissait ce penchant, mais il aimait aussi beaucoup les chattes épilées. Les poils pubiens le gênaient toujours, mais il aimait tant les peaux lisses, et humides.

« Hina-chan s’épile… Je te regarde tous les jours t’épiler, tu sais, dans ta salle de bains… Tu ne penses jamais à fermer les volets, j’ai toujours su que tu le faisais pour moi… »

Ce qu’il disait ne faisait qu’aggraver sa situation, mais il s’en moquait. Il se pencha vers la zone, écartant les jambes de Hina-chan pour avoir un accès simplifié à son sexe. Il renifla alors cette zone, son nez proche de son bourgeon intime. Il tremblait nerveusement, et déposa un baiser, puis un autre, et encore un autre.

« Ma Hina-chan… Si belle, si douce, hmmm… »

Il l’embrassa encore, puis commença à sortir sa langue, et l’enfonça alors dans son sexe. Hanzo-sama frémit, et posa ses mains sur les cuisses de sa partenaire. Il caressait ses aines avec ses pouces, et l’amenait à devoir bien écarter les jambes, ouvrant ainsi davantage son antre. Il lécha donc, enfonçant sa langue assoiffée. Il racla au début les parois, puis remonta vers son bourgeon intime, et titilla son clitoris avec sa langue. Ses mains s’appuyaient encore sur les cuisses de son amante, et lécha encore.

« Est-ce que Kenji t’a déjà léché comme je le fais, Hina-chan ? Je vous regarde faire l’amour, tu sais… Je sais reconnaître quand une femme simule l’orgasme, je le vis avec ma femme depuis des années… Je vais te faire jouir comme Kenji ne te l’ai jamais fait, ma Hina-chan, puis je te tringlerai comme jamais. Ta petite chatte est à moi, ma Hina-chan ! »

Sa verge frottait contre son bureau, dure et élancée. Ses coups de langue s’amplifiaient donc, et il poursuivit son office, longuement, patiemment, et même passionnément. Ses mains se déplaçaient parfois pour soulever les fesses de a partenaire, et il continuait, suçant en elle pour aspirer sa mouille, et retournait fréquemment à son clitoris, le léchant, le titillant des dents, sans mordre, simplement pour l’exciter, et pour sentir cet organe durcir sous l’effet d’un plaisir indicible qui devait envahir Hina-chan…