Tout ce qui était nouveau la faisait paniquer. Elle était comme ça, difficile de se sentir à l'aise face à une chose qu'elle ne maîtrise pas, que ce soit un objet ou une personne. Sa personnalité pouvait faire penser qu'elle était un boulet, mais sans être un agent d'exception, elle savait se montrer efficace quand il le fallait. Quand elle a aidé Denji, profitant de l'occasion pour venger son camarade tombé au combat, elle fut exemplaire ! Sans l'aide de son démon ! Mais maintenant, cela était derrière elle, si elle devait servir Makima, sa boss, elle allait au moins se sentir plus en sécurité, même si sa patronne pouvait être elle-même le danger après tout. Accumulant son courage, elle se sentait prête pour la suite, mais sa maîtresse ne l'entendait pas de cette oreille. Elle marchait à quatre pattes, dans son dos, tiré par ce collier autour du cou en retournant près du bureau. Il fallait avouer une chose... De voir Makima ainsi, jambes écartées, bandante et couilles tombantes, cela faisait naître en elle des choses qu'elle n'aurait pas pensé, surtout venant d'elle ! Makima, c'est le genre de personne sur qui, même en fantasmant dessus, elle retournait la situation pour interdire une telle chose, tant sa simple présence pouvait être inquiétante !
Makima tentait de la motiver, évoquant que côté sentimentale, elle était seule. Etait-ce une bonne nouvelle ? Dans un sens oui, rien à craindre d'un/e partenaire jalou/se qui en voudrait à Kobeni pour ce qu'elle faisait avec sa patronne mais vivre près d'elle... comme petite amie au moins... Certes, en chienne, ça voulait aussi dire la côtoyer mais comme partenaire dans la vie... Le voulait-elle ? Pour le moment, sa boss la paniquait donc elle n'avait pas spécialement envie de voir cette option mais qui sait, la Makima hors travail était différente de celle qu'elle imagine ? Kobeni se redressa pour grimper sur ses cuisses, passant pres de son sexe tendue, elle avalait sa salive en passant tout près, grimpant sur ses cuisses en redoutant une punition pour oser prendre appuis sur ses épaules... Ce serait le cas ? Pour le moment, rien n'indiquait que oui. Placé juste au-dessus, ses lèvres intimes poiuvaient presque la frôler, sa mouille, peut-être, coulait lentement dessus ? La demoiselle n'était pas vierge, loin de là, mais sans être une grande experte, faut avouer qu'avec une femme, c'était une grande première ! C'était arrivée à Himeno de l'embrasser quand elle était bourré, d'avoir aussi une main baladeuse mais pas plus.
« Je... Je tenterais de remplir ce rôle... et vous, vous pourrez me remplir, donc ? »
C'était un peu le but du jeu, si jusque là, le sexe entre femme était plutôt beau et soft pour elle, tout était une sorte d'expulsion pour l'orgasme, ça resterait le cas ici aussi... mais l'expulsion de Makima sera faite pour la remplir cela dit. Se laissant doucement tomber, elle sentait ce gland glisser sur ses lèvres, forçant le passage pour se loger en elle. Cela lui semblait si long alors qu'elle avait une taille normale, non ? Peut-être que le stress lui faisait penser ça ? Une fois enfin assise sur elle, elle la sentait en elle, tout au fond. Son petit corps tremblait doucement, elle avait toujours ses mains sur ses épaules, tandis qu'elle tombait doucement sur sa maîtresse.
« Je mh, je ferais... du mieux que je peux... Maîtresse... »
De sa petite voix, si proche de sa maîtresse, elle n'osait pas l'embrasser mais Makima fut aux premières loges pour voir son visage se crisper de plaisir alors qu'elle commençait à remuer sur elle. Prenant appuie sur ses cuisses, elle remontait son bassin lentement, elle avait l'impression d'avoir une verge si longue en elle, même en se redressant, elle ne voyait pas le bout quitter son corps. Elle se laissait retomber, laissant échapper une couinement, avec un léger bruit de fond humide. Sa peau se frottait doucement à elle, sa petite poitrine sur celle de sa boss, de Makima. Kobeni avait un certain charme, comme ses nombreux grain de beauté sur le visage, pas de quoi égaler Makima en sex-appeal, mais sûrement de quoi la vaincre sur le côté « mignon » de la personne. Son regard manquait encore d'assurance, mais son souffle chaud se heurtait sur la peau de la jeune femme, plus ça allait, plus sa petite voix se faisait entendre. Elle pourrait lui demander de la baiser comme ce qu'elle voulait, mais elle lui avait demander d'agir, pas de lui laisser carte blanche avec son corps, ça, elle en avait déjà conscience.
« Est-ce que votre chiiiiienne... peux vous lécher ? »
Elle disait cela, laissant un petit bout de sa langue hors de sa bouche, prête à l'embrasser si elle était d'accord, au moins lui lécher une partie du visage, en bonne chienne qu'elle était.