Le soleil brillant artificiellement au-dessus de cette plage paradisiaque semblait presque réel, réchauffant l’air et donnant au sable doré un éclat scintillant. Tout était parfait ici, une perfection savamment orchestrée pour cacher les vérités cruelles d’une prison numérique. Olivia s’était installée sur une serviette, son corps étincelant d’un éclat tropical alors qu’elle sirotait paresseusement une boisson glacée. Sa peau, légèrement humide, reflétait les rayons du soleil, et sa tenue d'Eve ajoutait une touche provocante au décor.
Quand Alyona apparut enfin, un sourire lent et narquois s’étira sur les lèvres d’Olivia, cachées un instant derrière un bâtonnet glacé bleu qu’elle suçotait avec une nonchalance exagérée. Elle retira ses lunettes de soleil, révélant ses yeux pétillants d’un mélange de malice et de calcul, et fixa sa prisonnière, même si cette dernière ne savait pas encore, avec une intensité déconcertante.
« Oh, regarde qui a décidé de se joindre à moi, » murmura-t-elle, sa voix douce mais empreinte d’une ironie mordante. Elle posa son bâtonnet sur le bord d’un verre translucide rempli d’un liquide rose vif, puis s’étira paresseusement, ses cheveux mi-violets mi-noirs glissant sur ses épaules comme une cascade.
Elle désigna l’endroit autour d’elle d’un geste large. « Bienvenue, Alyona. Je vois que tu t’habitues déjà à ma... petite création. C’est charmant, n’est-ce pas ? Une plage privée, le soleil, la mer… Tout ce qu’on pourrait rêver. » Elle marqua une pause, savourant l’expression de sa prisonnière. « Et bien sûr, c’est à moi que tu dois tout ça. »
Olivia se redressa légèrement avant de se tourner sur le côté, exposant son dos musclé et scintillant sous la lumière. Elle attrapa une bouteille de crème solaire posée à côté d’elle et la tendit négligemment à Alyona.
« Puisque tu es là, fais-toi utile. Applique-moi ça, s’il te plaît. Dans le dos. » Sa voix avait pris une teinte douce mais impérieuse, une demande qui sonnait comme un ordre. Elle s’allongea à nouveau sur sa serviette, plaçant son chapeau en paille sur son visage, bien que ses lèvres pincées trahissaient un sourire évident.
Elle ajouta, presque comme une pique : « Ne me déçois pas, Alyona. Ce serait dommage que je doive rendre cet endroit... moins agréable. »
Dans cet univers où chaque pixel, chaque souffle de vent et chaque grain de sable était sous son contrôle, Olivia savait qu’elle avait l’avantage. Le jeu venait à peine de commencer, et elle comptait bien savourer chaque instant.
Quand Alyona apparut enfin, un sourire lent et narquois s’étira sur les lèvres d’Olivia, cachées un instant derrière un bâtonnet glacé bleu qu’elle suçotait avec une nonchalance exagérée. Elle retira ses lunettes de soleil, révélant ses yeux pétillants d’un mélange de malice et de calcul, et fixa sa prisonnière, même si cette dernière ne savait pas encore, avec une intensité déconcertante.
« Oh, regarde qui a décidé de se joindre à moi, » murmura-t-elle, sa voix douce mais empreinte d’une ironie mordante. Elle posa son bâtonnet sur le bord d’un verre translucide rempli d’un liquide rose vif, puis s’étira paresseusement, ses cheveux mi-violets mi-noirs glissant sur ses épaules comme une cascade.
Elle désigna l’endroit autour d’elle d’un geste large. « Bienvenue, Alyona. Je vois que tu t’habitues déjà à ma... petite création. C’est charmant, n’est-ce pas ? Une plage privée, le soleil, la mer… Tout ce qu’on pourrait rêver. » Elle marqua une pause, savourant l’expression de sa prisonnière. « Et bien sûr, c’est à moi que tu dois tout ça. »
Olivia se redressa légèrement avant de se tourner sur le côté, exposant son dos musclé et scintillant sous la lumière. Elle attrapa une bouteille de crème solaire posée à côté d’elle et la tendit négligemment à Alyona.
« Puisque tu es là, fais-toi utile. Applique-moi ça, s’il te plaît. Dans le dos. » Sa voix avait pris une teinte douce mais impérieuse, une demande qui sonnait comme un ordre. Elle s’allongea à nouveau sur sa serviette, plaçant son chapeau en paille sur son visage, bien que ses lèvres pincées trahissaient un sourire évident.
Elle ajouta, presque comme une pique : « Ne me déçois pas, Alyona. Ce serait dommage que je doive rendre cet endroit... moins agréable. »
Dans cet univers où chaque pixel, chaque souffle de vent et chaque grain de sable était sous son contrôle, Olivia savait qu’elle avait l’avantage. Le jeu venait à peine de commencer, et elle comptait bien savourer chaque instant.