Après avoir donné son cadeau à l’officier pour qu’elle l’apporte à Ishtar, Helena dut attendre quelques minutes. Dans l’intervalle, elle se remémora la dernière fois qu’elle était venue à Infernis. Elle y avait atterri par accident en passant par un portail ouvert sur son chemin, et elle avait fini par y rester pendant trois mois. Trois mois au cours desquels elle s’était transformée en une incroyable salope, se vautrant toujours plus loin dans la perversion et le vice, s’offrant corps et âme à l’amirale qui lui infligeait de délicieux sévices jour et nuit pour en faire sa chienne. Et cette fois, elle était venue ici de son plein gré, frémissant sur place en attendant que sa maîtresse arrive.
Tout à coup, Helena vit Ishtar tomber du ciel, ses grandes ailes de dragon déployées, et elle se posa directement sur elle. Elle l’écrasa de tout son poids en allant l’embrasser énergiquement, roulant sa langue dans sa bouche tout en serrant sa poitrine contre la sienne. Prise au dépourvu, l’humaine sentit une délicieuse chaleur la gagner, une chaleur qui lui rappela son dernier baiser avec l’amirale. Elle se sentait si impuissante et si désirée, il ne lui en fallut pas plus pour se mettre à mouiller. Et après ce long baiser passionné, elle respirait fort et son visage était bien rouge.
« Aaahhh... je suis revenue... maîtresse Ishtar. »
Helena fut relevée, et Ishtar lui passa son collier autour du cou. L’humaine l’avait fait spécialement fabriquée pour cette occasion, il était composé d’un mélange étonnant de latex et d’acier, combinant solidité et élégance. Elle lui attacha également une laisse, et l’héroïne se pinça les lèvres en voyant la bosse impressionnante dans son pagne. L’amirale lui demanda si elle était prête à se relancer pour trois mois de torture et de plaisir.
« Oui... j’adore être ici. Et je suis prête... pour les trois prochains mois. »
En marchant au milieu des marins qui travaillaient, Helena ne put s’empêcher de reluquer quelques femmes officiers. Leurs opulentes poitrines siliconées, leurs délicieux culs charpentés moulés dans le latex, ou les services trois-pièces des futas qui commençaient à bander, tout cela avait de quoi donner envie. Cependant, chaque incartade menait aussitôt à un rappel à l’ordre, quand Ishtar tirait sur la laisse pour faire avancer sa chienne. Une fois arrivée dans les quartiers de l’amirale, cette dernière se jeta sur elle avant qu’elle ait le temps de prononcer un mot.
« Hhhmmm... »
Encore une fois, la dragonne fit démonstration de sa puissance, lui roulant une pelle avec vigueur tout en lui malaxant les seins ou les fesses. Le grincement du latex, l’odeur puissante d’Ishtar, sa poigne vigoureuse, sa verge qui frottait contre sa cuisse... tout cela rendit rapidement Helena folle de désir. La cyprine coulait le long de sa cuisse, mais elle sentait bien que sa maîtresse évitait de toucher à sa vulve. Elle voulait s’amuser avec elle... comme toujours.
Quand leur baiser se rompit, Helena était haletante et tout son corps frémissait. Ishtar l’autorisa à lui toucher les seins, un privilège que Theorem n’avait pas encore eu.
« Ooohhh... merci maîtresse. »
La jeune femme passa ses mains sous la tenue en latex de la dragonne et posa ses doigts sur les globes de chair moelleux qui s’offraient à elle. Ils étaient si fermes, si délicats, ils lui semblaient un peu trop parfaits pour être naturels. Vu comme le changement de sexe semblait facile ici, peut-être que la dragonne s’était faite refaire la poitrine. En tout cas, c’était une joie pour l’héroïne de caresser cette poitrine rebondie.
« Aaahhh... »
Elle avait envie d’enfouir sa tête dans la vallée au milieu de ces belles collines, mais pas question de désobéir à sa maîtresse alors qu’elle venait à peine d’arriver. Elle s’en tint au malaxage de ses obus. Du moins, pour le haut de son corps. Car sous sa ceinture, sa jambe remontait doucement jusqu’à son pagne, et sa cuisse vint caresser sa grosse bosse.
« Maîtresse... hhhmmm... vous êtes déjà... bien érigée. »
Helena en avait l’eau à la bouche. La bite d’Ishtar était une incroyable friandise, dont elle gardait encore un souvenir bien net malgré le temps passé. Elle avait hâte de la voir érigée à son maximum pour pouvoir la sucer, boire son jus poisseux et gluant, puis se la prendre dans la chatte, puis dans le cul, se faire éjaculer partout sur le corps... Elle s’en mordait les lèvres de joie.
« Dites maîtresse... je vous ai manquée ? Vous avez pensé à moi ? Vous vous êtes branlée... ooohhh... avec la culotte... que vous m’avez prise ? »