
Evaldril et Apphrodite…une histoire qui a commencé quelques temps après la naissance du crépuscule et de l’Aurore dans le cosmos. La belle divinité grecque avait été témoin de l’apparition de ces deux nouveaux dieux, il n’y avait pas eu de transition d’une phase enfant à l’âge adulte, et il semblerait que le crépuscule réussi à susciter l’intérêt de cette déesse avec qui durant des millénaires une joute lubrique s’était installée. Dans ces débuts, le crépuscule Marchait a taton, découvrant sa nature et l’expérimenter, l’étendue de sa puissance auprès de la belle divinité qui semblait combler déjà à l’époque, mais après une très longue période d’absence, on ne sait pour quelle raison, mais la fort reste le lien Olympien qu’entretient Aphodite qui dû l’éloigner d’Evaldril dans la reconnaissance, en tant que Dieu n’était pas approuvé par le reste du Panthéon des divinités, certains par pur, jalousie d’avoir mis la main sur la plus belle déesse et qu’en retour il n’eut de réticence sa part ?
Les Olympiens c’étaient comme une secte fermée et le crépuscule tout comme l’Aurore venait du cosmos, il n’y avait pas cette dimension de dévotion, créé par un peuple, mais par la nature elle même une chose qui avait sûrement dû effrayer intérieurement zeus sans aucun doute. Cette rupture déchirante pour le crépuscule, la basculer dans une recherche d’une nouvelle quête pour finir au royaume de Lustoria n’alimente pas l’animosité des dieux de l’Olympe à son égard.
Mais voilà que la destinée et la croisée des chemins ne se trompe jamais sur les binômes, qu’elle désire créer au fil des millénaires carreaux, détour d’un fil du temps, Aphrodite découvre Lustoria et tombe nez à nez avec Evaldril. Mais il était devenu bien différent de ce qu’il n’avait été à son commencement, il avait pleinement le charisme divin,semblable aux grandes figures de l’Olympe pour ne pas mentionner à charisme, similaire au roi des dieux et l’opportunité de retrouver la belle divinité de tous les désirs n’allait pas lui échapper et pour rien au monde, il ne se laisserait intimider par quiconque pour s’amouracher de nouveau à elle.
Il semblerait que cette attraction soit réciproque car Aphrodite avait lancé une invitation au crépuscule de la rejoindre sur le mont Olympe en secret, profitant de l’absence de Zeus sûrement occupé à les copier avec des humaines et éparpillés sa semence aux quatre coins de Terra dans le dos d’Héra. Evaldril était devenu bien plus puissant, bien plus ténébreux que ce que n’avait prévu les olympiens à son égard et n’avaient aucune forme refuser l’invitation de la belle Aphrodite, il savait très bien qu’elle était courtiser de Paris, et d’autres par certains dieux, et qui en avait du se passer des choses, mais il il n’en avait que faire car il était bien décidé à la posséder corps et âme comme quelque chose qui lui est dû depuis sa naissance dans le cosmos.
Evaldril entre sur le Mont Olympe par un portail dissimulé il se promet qu’il foulerait la grande porte sous peu, mais cette idée de secret ne vient pas en entamer son orgueil, il trouve cela même plutôt stimulant comme procédé. Il arrive donc dans un endroit de l’Olympe dont il ignore l’existence et sûrement la petite Alice fille d’Aphrodite qu’il avait goûté quelques semaines auparavant, avait sûrement dû faire remonter son séjour dans le royaume de Lustoria aupres de sa mere.