
Hestia : « Ah ah ah ! Oui, ce sont bien nos toilettes. Incroyable, n’est-ce pas ! »
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« Même le rire d’Hestia avait de quoi réchauffer un cœur. Il ne pouvait être confondu avec une expression de moquerie. Et voilà qu’elle virevoltait déjà avec une grâce de danseuse minuscule pour se tenir devant le visage de la « géante » Cirilla. »
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Hestia : « Par contre, je te prierais de ne pas me nommer ce genre de surnom. Tu peux m’appeler Hestia Etincelle. La forme réduite à mon seul prénom est chaudement recommandée. Ou alors, si tu tiens vraiment à un surnom, nomme-moi comme les autres Petite Déesse. C’est affectueux, oui ? »
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« Bon… bah il va être temps de vraiment s’y mettre. La première partie était facile. D’ailleurs, je l’ai écrite un autre jour IRL que les mots que je suis en train d’actuellement coucher sur le papier de pixels. Peu importe, me direz-vous. Certes ! Mais c’est là le style de la Taverne !
Notre Petite Déesse guide Mademoiselle Cirilla vers une autre porte de bois massif. Elle disparait dans un brasero qui se situe juste à côté. Dans le même temps, parce que cela rend bien et parce qu’il faut bien imposer certaines conditions pour que nous puissions RP tous ensemble : et donc la porte s’entrouvre pour prendre la main de Mademoiselle Cirilla et la faire entrer (enfin ?) dans la Salle Principale.
Et… Permettez-moi de soupirer. L’idée de devoir redécrire ce qui a déjà été écrit dans un ailleurs si proche avec une fée aux cheveux violets…non, ce n’était pas une fée. Un alias de cette fée sous la forme d’une hobgobeline et… non plus. Je ne peux décemment par nommer cette race d’hobgobelin. C’est davantage un être humain à la pigmentation verte. Mais nous ne sommes pas là pour parler de cette autre partenaire d’aventure. Après tout, notre lecteur actuel est en train d’enchaîner des paragraphes qui ne lui apporte pas grand-chose à se mettre sous la dent. Expression judicieuse dans une salle où on sert à manger. Et à boire, bien entendu. »
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Hestia : « Cirilla, par ici. »
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« Mademoiselle Cirilla ne peut pas le savoir. Mais l’intervention de la Petite Déesse est une façon de me faire comprendre que je monologue pour rien. Du moins pour pas grand-chose. Et donc, sans plus tarder, affichons un plan de la Salle Principale de la Taverne. »
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Hestia : « Tu peux t’asseoir à cette table. Une serveuse va arriver sans tarder pour prendre ta commande. Je te souhaite un bon séjour dans la Taverne. Et sache que je ne suis jamais très loin. Et que tu peux m’appeler peu importe le quand et peu importe dans quelle section de l’établissement tu te trouves du moment qu’il se trouve un brasero non loin. »
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« Sauf manifestation de Mademoiselle Cirilla à retenir notre Petite Déesse, cette dernière disparaitre dans un brasero la laissant toute seule. En attendant l’arrivée de sa serveuse, l’observation lui permettra de découvrir quatre tables en comptant la sienne. Bien entendu, quatre c’est peu. Mais c’est bien suffisant en terme de représentation et de personnages à décrire. Et donc en potentiel cascades d’actions/réactions. Actuellement, Mademoiselle Cirilla se trouve à la table Sud. Ou la table 4. Bien que tout cela importe peu étant donné la présence de l’illustration avec flèches et avatars.
C’est la table 3 qui attire son attention en premier. Un énorme poulet-barbare est assis, une chope de bière à moitié pleine dans sa grosse paluche. Son regard intense fixe la femme à la peau verte qui se trouve debout à côté de lui. Cette dernière est une serveuse de la Salle Principale. C’est également une orc dont la physiologie n’a rien à envier au poulet-barbare. »
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Krafton : « Tu veux pas qu’on retourne dans une Chambre ? »

Juliette : « N-n-non. Et puis quoi enc-core ? »

Krafton : « On a pourtant eu du bon temps tous les deux. Tu vas pas me dire le contraire ! »

Juliette : « Ce n’est pas la q-question ! »
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« Effectivement, malgré le « gros » gabarit de la serveuse orc, cette dernière souffre d’un défaut d’élocution. Elle bégaie. Laissons ce duo de côté pour le moment et- ah ! Tout d’abord, une petite paire d’illustrations pour vous faire découvrir leur apparence. C’est qu’une réponse avec la Taverne a des allures de fiche de personnages. Et voici : »
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« Maintenant, la table 2. Mais avant de prendre le temps de découvrir qui est la jeune femme en train de boire au niveau de la table. L’attention de Mademoiselle Cirilla sera emportée vers les hauteurs de la Salle Principale. Une petite silhouette s’envole en colimaçon autour d’un pilier de roche dont les proportions seraient très bien adaptées à celle d’une église. De là à répéter que cet endroit répond à des impératifs magiques et non physiques, il n’y aurait qu’un pas à franchir. Un pas que nous ne franchirons pas de peur de tomber dans les douves infinies. Mais c’est une particularité sur laquelle nous reviendrons après. Enfin, peut-être dans une prochaine réponse. Cela va dépendre de mon envolée littéraire et de la consistance de ma motivation. Donc… rien n’est certain : ah ah !
Dans les hauteurs se trouve ce que Mademoiselle Cirilla nommera surement un petit démon. Une jeune femme (si ce n’est une adolescente ?) dans une tenue typiquement médiévale. Excepté que l’uniforme n’avait pas été pensé pour une personne douée de la capacité de vol. Ce qui signifie ? Que Mademoiselle Cirilla pourrait découvrir la couleur de la petite culotte de ce qu’elle devine être une serveuse. L’indice ? La demande par la femme aux cheveux blonds, à la robe verte et à la paire d’ailes dans le dos. »
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Clochette : « Une autre bouteille d’absinthe…s’il te plaît… »

Dorothée : « Tout de suite ! Je vais te chercher ça, Clochette ! »
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« Ne perdons pas de temps, enchaînons ! La dernière table. Mais celle-ci, nous considérerons qu’elle se trouve trop loin pour que Mademoiselle Cirilla entende quoi que ce soit. Une pitoyable ruse scénaristique pour gagner quelques efforts et ramener rapidement l’attention sur l’héroïne de ce sujet ! Nous nous accorderons seulement à entendre un rire de hyène de la part de cette troisième serveuse. Et de la description vague d’une jeune femme aux cheveux blonds ayant posé son chapeau pointu sur la table.
Et maintenant ? Retour à la table de Mademoiselle Cirilla qui voit arriver sa serveuse. Une humaine. Presque un stéréotype de maid japonaise ! Bien qu’elle ne puisse pas connaître ce genre de cliché étant donné qu’elle ne provient pas de notre époque contemporaine. Cela importe peu ! Il me faut continuer à dérouler les phrases et lui donner un peu de matière à quoi répondre. »
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Kaos : « Qu’est-ce que tu veux ? »
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« Bon. OK. Mademoiselle Cirilla a hérité de la serveuse ayant le plus mauvais caractère. Elle donne très vite l’impression d’être en meilleure capacité à jouer le chien de garde devant la porte de la Taverne plutôt que d’être au contact du client. Sans compter qu’elle ne serait pas un chien mais davantage un orque. Et pas un orc. Il n’est pas question de l’engeance verte de la taille d’un humain. Mais bel et bien de l’animal dans la mer voisin de la baleine. Car Kaos n’est pas totalement humaine. Preuve en est de sa queue caudale d’orque. »
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Kaos : « Je te rapporte une choppe de bière pour commencer, ok. Blonde, brune, rousse, triple ? Alors ? »
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« Et je m’arrêterais là pour aujourd’hui. Mais cette réponse se finira réellement sur une illustration de Kaos. Une jeune femme dont la galerie d’une certaine règle après 33 évoque une myriade de possibilités. Et probablement beaucoup trop pour un Noeilnoeil adepte de latex, de tentacules et évidemment de sexe ! Mais avec cette Kaos ? La violence l’emportera sur toute tentative de charme. Sur ce, l’illustration de la serveuse à queue d’orque : »
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