The Multiversity

[Chengzu von Nacht]

Le Portail les amena tous les deux dans l’une des pièces du manoir familial de Bhouta. C’était un manoir de campagne, qui comprenait plusieurs étages, et qui se situait au cœur du domaine de Bhouta. Chengzu avait reçu une invitation de la part de Bhouta à venir, en compagnie de toute personne de son choix. Theorem aurait sans doute été un bon choix, mais, après un repas de famille, le choix s’était finalement porté sur Alice. Somme toute, c’était grâce à elle que Bhouta avait fini par graviter autour de la famille Naviento. L’homme-cochon était venu à Nachtheim en pensant pouvoir négocier l’acquisition de Theorem auprès d’Ishtar, convaincu que Theorem était celui dont Bhouta avait besoin pour accomplir un rituel divin auprès de la Déesse qui protégeait son domaine, Moccus. La vérité fut toutefois toute autre, et Bhouta trouva son élu, en la personne d’Akimbo. Bhouta avait également visiblement appris que Chengzu et Akimbo avaient jadis entretenu une certaine forme de rivalité autour de Theorem, car Akimbo avait rejoint Nachtheim en étant amoureux de Theorem. Cette rivalité s’était notamment exprimée lors du mariage des Naviento, où Chengzu avait exprimé sa jalousie. Si Chengzu avait su rebondir, et si Akimbo avait été définitivement écarté, le plaisir de voir Akimbo réduit à l’état de soumis insignifiant l’emballait encore. Néanmoins, son choix de ne pas amener immédiatement Theorem s’expliquait aussi parce qu’il savait que Theorem était jaloux de la relation entre Chengzu et Malaurie, et qu’il voulait d’abord s’assurer qu’Akimbo ne représente plus une menace.

Pour Alice, ses raisons étaient moins tortueuses. Elle portait dans son ventre le bébé naissant d’Ishtar, et avait pour cela reçu la bénédiction du dieu Nav. Elle savait aussi que Bhouta vénérait la déesse Moccus, et elle souhaitait se rapprocher de Bhouta pour espérer obtenir la bénédiction de Moccus. Elle l’avait suivi en dissimulant sa forme de ryu, incompatible avec ce qu’elle envisageait. Elle portait donc un long manteau qui dissimulait la robe bodycon qu’elle portait, et qu’elle comptait mettre à profit ce soir.

« Nous y voilà…
- Bhouta nous a dit de venir à cette heure… »

Ils étaient dans un salon assez cossu. Pas de latex omniprésent, mais des murs tapissés. Dans sa lettre, Bhouta avait soigneusement omis de dire que Akimbo était devenu une femme, Suida, se contentant de les inviter à voir l’évolution d’Akimbo, et leur faisant comprendre qu’ils n’allaient pas en revenir.

La porte menant au salon s’ouvrit sur la personne qui viendrait les accueillir pour cette soirée, et qui n’était autre que Suida…

[Suida ''Erona'' Trogia]

Comble de la chose : Bhouta n'avait effectivement pas mit au courant ses convives de la transformation de Suida, mais il n'avait également pas dit à la concernée qu'elle allait recevoir Chengzu comme son premier "client". Pour la motiver, Bhouta avait fait une TRES longue séance de teasing en motivant Suida à faire du bon travail, à s'occuper de son premier client et qu'il n'oublierait jamais ce moment où elle vendrait son cul pour la première fois. Maintenant qu'elle était dans son pigsuit recouvert d'une nuisette transparente en résille rose juste pour émoustiller et rendre dingue, elle passa la porte dnas l'idée que si elle faisait du bon travail, elle serait récompensée. Mais en passant la porte du salon avec les deux coupes de champagne pour les invités, elle se raidit un instant.

*C... Chengzu et Alice ! Mais... Non il ne va pas me reconnaître... Il ne se doutera pas...*
"Bienvenue... chers invités... Je suis Suida, l'Erona de Maître Bhouta... Permettez moi de vous offrir ce champagne en cadeau de bienvenue."

C'était d'autant plus compliqué de s'expliquer quand on avait l'anxiété qui grandissait. Son corps fut anormalement raide et l'humiliation était complète. Déjà Bhouta l'avait frustrée au delà de ce qui était raisonnable juste pour que le client soit content, mais on ne lui avait pas dit que ça allait être Chengzu ! Elle tendit le plateau d'argent pour qu'ils se servent.

"Maître Bhouta est dans la Chambre Rouge, derrière moi. Il me semble que vous êtes attendue, Madame Korvander. Monsieur von Nacht, c'est... c'est à moi de m'occuper de votre personne dans... dans la Chambre Noire"

Bhouta avait donné des noms de couleurs aux pièces pour le sexe. La rouge était la plus câline, la plus douce, clairement pensée pour le sexe passionné. La Chambre Noire était celle des amoureux du BDSM, du sexe un peu plus dur et physique... Et c'est à ça qu'on avait destiné Suida en arrivant ici. Il était interdit à Suida d'aller dans une autre chambre en attendant de faire son premier client, comme une forme de bizutage. Elle guida le bélier aux cheveux azure vers cette chambre. L'intérieur avait les murs intégralement noirs avec quelques dorures. Il y avait des chaînes et des palants installés, un mur dédié aux cravaches, aux badines et autres objets. La pièce comportait des piloris, des entraves, des fuck bench... Tout pour une sexualité débridée. Suida était très intimidée de se retrouver face à Chengzu qui lui avait tout ce qu'il voulait... Alors que Suida, était devenue une esclave et un jouet pour son Maître et sa clientèle. Elle déboutonna un peu se veste d'uniforme en latex, un peu gênée.

"Vous... Vous êtes mon premier client... J.. J'espère... être... être à la hauteur..."

Dit-elle, espérant ne pas être reconnue par le bélier...

[Chengzu von Nacht]

Malheureusement pour Suida, Chengzu réalisa presque immédiatement qu’il y avait quelque chose d’anormal chez elle. Bon sang ne saurait mentir, et, même si Suida avait changé de sexe, son sang restait le même. Le sang d’Akimbo, Chengzu s’en rappelait bien. Pour autant, sa réaction immédiate fut surtout de se dire que cette femme avait le même sang qu’Akimbo, et il pensa alors à une sorte de sœur, quelque chose comme ça. Akimbo avait rarement parlé de sa famille, et Chengzu savait qu’il était parti auprès de Bhouta. Dès lors, il n’était pas surprenant de penser à une sœur, ou à une fille, peut-être. Le temps pouvait parfois se montrer capricieux. Chengzu et Alice suivirent donc Suida vers une partie spécifique du grand domaine de Bhouta : sa maison close. Alice salua le duo avant de rejoindre Bhouta, puis Chengzu suivit ensuite Suida vers la Chambre Rouge, ouchant sur ses fesses. Il sentait sa verge s’éveiller doucement, stimulée par ce stupre ambiant, et par la silhouette bien en chair de Suida.

Le duo rejoignit donc la Chambre Noire, et Chengzu constata qu’elle était sans doute la plus intense des chambres. Il se déplaça lentement, tout en retirant lui aussi son manteau. Dessous, il portait une tenue très érotique, avec un chaps, et un harnais sur le corps, relié à un collier autour du cou. Une tenue qu’il avait inauguré sur Theorem il y a bien longtemps, et qui allait encore servir ce soir. Suida n’osait pas le regarder, et Chengzu se rapprocha d’elle. L’ancien Chengzu aurait sans doute été aussi gêné qu’elle, mais Chengzu était un von Nacht, maintenant. Il se rapprocha d’elle, et caressa sa joue, puis lui ordonna de retirer sa veste.

« Tu es la première pute que Bhouta m’offre… Il m’a dit que tu serais très douée. Il souhaite faire bonne impression pour se rapprocher de Nachtheim, tu sais. Tu as donc intérêt à être à la hauteur, Erona. »

Autant lui mettre un peu la pression. Elle portait le sang d’Akimbo, il en était convaincu, alors cela ne pouvait que donner envie à Chengzu de l’humilier. Il attendit donc que Suida retire sa veste, et sourit doucement.

« Commençons simplement, histoire de se mettre en jambe. Mets-toi à genoux, et honore ma queue avec ta bouche comme il se doit. Montre-moi quelle bonne petite salope tu es… »

Sa verge était déjà en train de bien durcir, témoignant de son excitation…

[Suida ''Erona'' Trogia]

Suida aida son client à retirer son uniforme, se révélant dans sa combi-chaps et son harnais. Il était tout bonnement magnifique et sexy. Dire que Malaurie et que Theorem pouvaient baiser avec cette homme à volonté... Même Ishtar symbolisait toujours son goût pour l'excellence en le choisissant. La Buta ne put que ravaler doucement sa salive en le voyant ainsi. Elle avait couché avec lui par le passé, quand il était encore Akimbo. Là c'était différent. Ses hormones étaient totalement différente. Son odeur si sexuelle lui donnait tout simplement envie de coucher avec lui au plus vite, de faire une bonne saillie bien puissante, voir un peu dégénérée. Moccus était un dieu simple, appréciant la force et le partage mais aussi la bonne bouffe et la baise. Elle entendit l'ordre de retirer son manteau, ce qu'elle fit aussitôt.

"Bien Monsieur."

Elle déboutonna ce dernier avant d'écarter les pans en cuir patiné, révélant son corps généreux, un peu sauvage, tonique mais enveloppé d'une fine couche de couenne. Sa silhouette en sablier, ses hanches bien larges, ses seins bien généreux et épais... Elle détourna un peu le regard devant celui ambré du bélier. Pas de doutes que son sexe masculin en cage de chasteté porcine allait lui mettre la puce à l'oreille. Cette dernière était réhaussée d'un tatouage d'inmon au groin et aux oreilles de cochons, avec des coeurs ovariens qui satellisaient autour. Elle portait ses longs gants en latex rose, ses bas assortit et un harnais qui retenait le tout et saucissonnait son corps de truie.

"J'espère... être à votre goût."

Son Maître le lui témoignait bien, mais un client pouvaient aimer ou pas, son physique restait atypique. Doucement, Suida s'ordonna à la directive de son client et posa doucement ses genoux au sol devant le bélier qui se tenait encore debout. Son visage en face de cette verge qui devenait bien dure rien qu'en la voyant, elle rougit un peu avant de doucement le masturber. Puis une fois sa canne bien dure, Suida commença à la lécher en douceur. Ce sexe était différent de celui de son Maître, le goût, l'odeur... Ses nouveaux sens de Buta lui offrait de faire le distinguo entre deux sexe masculins... Mais dans tous les cas cette odeur l'excitait. Elle commença à le pomper et elle communiqua très bien par ses mimiques du visage le plaisir qu'elle avait à sucer un sexe aussi généreux et délicieux. Suida le retira de sa bouche avant de le coller sur son visage, frottant son nez dessus en gémissant comme une salope.

"Raaah... Quelle bite... Oink oink !"

Elle la reprit en bouche et testa ses compétences, débutant une gorge profonde bien faite. A force de savourer celle de Bhouta tous les soirs, elle commençait à bien maîtriser ça ! En prime, elle y allait franchement avec les mimiques de plaisir, les gémissements et les gruinkements. On aurait put croire qu'elle surjouait mais pas du tout... C'était juste agréable pour elle de sucer un sexe comme ça. En prime, sa cage laissa échapper un fin filet de pré-sperme, symbolisant son excitation. Son anus se resserra sur le plug en elle... Suida était tout bonnement en chaleur.

[Chengzu von Nacht]

À ce stade, Chengzu notait les similitudes entre Suida et Akimbo. Ce groupe sanguin, cette tenue rose, les mêmes yeux, et la même cage de chasteté… Ce fut surtout ce détail qui attira l’attention de Chengzu. La cage de chasteté porcine d’Akimbo avait été faite sur mesure, un cadeau des von Nacht conçu spécialement par Chengzu. Et Chengzus avait reconnaître son ouvrage. Il était à ce stade convaincu que cette cage était la sienne. Cependant, sa rationalité l’interdisait pour l’heure de se dire que cette femme pulpeuse devait être Akimbo. Il frémit en la voyant se mettre en position, et observer sa queue. Elle lécha son vit, et Chengzu frémit, sentant des pointes de désir remonter en lui. Suida prenait son temps, reniflant son membre, sentant cette délicieuse odeur de stupre. Chengzu crispa ses mains, la respiration lourde. Sa queue tendue était dressée, solide. Elle gagnait en dureté au fur et à mesure que la langue de Suida remontait dessus.

« C’est bien, c’est bien, petite pute… »

Chengzu sourit lentement, et sa main glissa sur les longs cheveux de Suida. Il la caressa, et elle opta ensuite pour passer à la vitesse supérieure. Sa bouche s’ouvrit, et elle avala son membre. Il frémit en voyant qu’elle opta immédiatement pour une gorge profonde, et sa main se déplaça pour saisir l’arrière de ses cheveux. Il l’entendait gémir fortement, pensa même qu’elle devait simuler… Mais il sentait aussi le sang de Suida qui s’emballait fiévreusement. Chengzu frémit encore, et posa son autre main sur sa tête, accompagnant les mouvements buccaux de Suida avec des coups de reins, amplifiant progressivement le rythme. Petit à petit, le désir croissait aussi en lui, remontant rapidement. Sa queue longue s’enfonçait dans la gorge de Suida, et il s’amusa à bloquer la femme, serrant ses mains sur l’arrière de sa tête en glissant profondément son membre dans sa bouche. Chengzu souriait alors, malicieusement, en la voyant se tortiller sur place.

L’homme-bélier continuait ses coups de reins, accélérant à son tour.

« Tu aimes, ça, hein ? Sentir ma queue dans ta bouche, sentir mon odeur, t’étouffer sur ma verge… Hum, tu es très prometteuse, Suida ! Tu pompes très bien, une vraie affamée, haha ! »

Chengzu sentait le besoin instinctif d’humilier cette femme, de la rabaisser. Il n’aurait su dire pourquoi… Peut-être était-ce le fait qu’elle lui rappelait instinctivement son ancien rival Akimbo, aussi absurde que cela puisse être…

[Suida ''Erona'' Trogia]

Suida sentit rapidement que son client allait y aller dur. Pas besoin d'être un génie pour se rendre compte que le bélier était joueur et incisif. Il commença à changer cette fellation en irumation. Il tenait solidement la tête de la truie pour plus aisément baiser sa gorge, ne lui laissant pas le luxe de reprendre son souffle et encore moins de protester. Cette baise orale continuait même si Chengzu avait la possibilité d'utiliser un autre trou. Il semblait clair pour Suida que Chengzu avait désormais une appétence plus développée pour la fellation, sûrement à cause de Theorem qui était un champion dans cette discipline. Suida pouvait fouiller dans ses souvenirs flous de quand elle était Akimbo et ça pouvait arriver qu'il paie uniquement pour ça toute la soirée.

"Guh ! Guh ! Gaaah ! OOOg !"

Elle ne fut libérée que brièvement pour reprendre son souffle en se mangeant plusieurs bifles. Son maquillage était déjà bien ruiné et de la bave recouvrait son menton, ses joues et sa poitrine. Suida se sentait vraiment devenir "Erona", son alter ego prostituée. Et ce côté salope lui donna vraiment envie de poursuivre. En même temps, Chengzu ne lui laissa pas le luxe de se reposer. La fellation continua alors que cette fois Chen restait dans un fauteuil avec la tête de Suida entre ses cuisses, à lui imposer le rythme en tenant une poignée de cheveux. Il regardait son téléphone, répondait à des messages... La truie se sentait vraiment utilisée, comme une pute. Pas de considération, pas d'intérêt, juste son plaisir à lui. Au bout d'un moment il se retira juste pour s'emparer d'une paire de menottes et d'un bandeau en cuir rose. Les mains de Suida attachées dans son dos et les yeux couverts, Chengzu décupla son énergie et cette fois offrit à Suida un véritable coït buccal. Le but était clairement de baiser sa gorge jusqu'à la jouissance.

"Og ! Og ! Og ! Og ! Og ! Og ! Og ! Og !"

Puis soudain, elle sentit son sexe brûlant s'enfoncer plus profondément. Le foutre chaud coula abondamment dans sa gorge et Suida déglutissait au fur et à mesure. Quand il se retira, il resta de quoi faire une giclée sur sa face. Suida resta sur les genoux, à reprendre son souffle, détrempée de sueur et de bave. Elle ne put que sentir la poigne du bélier être plus forte dans ses cheveux et l'incliner en arrière avant de sentir la pointe d'un feutre tracer un trait sur sa joue, accompagné d'un crachat sur son visage. Là Suida se sentait totalement Erona...

[Chengzu von Nacht]

Chengzu se déchaînait dans la bouche de Suida. Il sourit malicieusement, puis s’assit ensuite sur un fauteuil, non sans avoir orné le visage de Suida de quelques bifles. Il lui fit ensuite signe de venir le sucer encore, tandis qu’il récupérait son téléphone portable. Il s’amusa à photographier Suida pendant qu’il se rapprochait.

« Marche à quatre pattes. Et lève la tête, que je t’immortalise. »

Il prit la photographie, et la transmit à Theorem, en lui demandant s’il reconnaissait cette personne, et en lui demandant si ce n’était pas la sœur d’Akimbo, car il percevait un groupe sanguin similaire à ce dernier. Ensuite, Suida se rapprocha, et prit son membre en bouche. Chengzu n’eut qu’à utiliser de ses pouvoirs vampiriques pour augmenter la concentration de sang à hauteur de son sexe, qui durcit dans la bouche de la jeune femme. Sa main se posa à nouveau sur les cheveux de Suida, l’empêchant comme à son habitude de se retirer. Suida lui appartenait, et il fallait qu’elle le comprenne. Theorem lui répondit en lui signalant que Akimbo n’avait pas de frère, mais en trouvant que Suida avait les yeux d’Akimbo. Chengzu expira lentement, commençant à réfléchir. Les changements de sexe n’étaient pas une chose qui lui était inconnue, il savait que, sous ses atours féminins, Ishtar était à la base un homme.

*Se pourrait-il que… ?*

Chengzu reposa son téléphone portable, et intensifia ensuite le rythme. Il menotta les mains de Suida derrière son dos, puis lui enfila un bandeau rose sur les yeux.

« Contente-toi de ressentir, petite pute… »

Il retourna ensuite la prendre par la bouche, et la baisa longuement, furieusement. Ses ongles se transformèrent en griffes, lacérant les cheveux de Suida, et il jouit ensuite avec force en elle. Cela le fit soupirer de plaisir, et il s’abandonna longuement.

« Avale tout, je t’interdis d’en gaspiller une seule goutte ! »

C’est ce qu’il lui dit après lui cracher dessus, et posa sa main gantée sur le menton de Suida.

« Ouvre la bouche, petite salope, montre-moi comme tu aimes le foutre de ton Maître… »

Satisfait, Chengzu se releva encore, puis prépara la suite. Il libéra les mains de Suida, mais ce fut pour mieux le mettre sur un pilori. Il coinça ses bras puis sa tête, et referma ensuite le pilori, avant de lui retirer son bandeau.

« Ouvre encore la bouche, puisque tu as soif, je vais te satisfaire… »

Le sourire pervers de Chengzu en disait long sur ce qu’il envisageait. Quand Suida ouvrit la bouche, il se relâcha en elle, mais cette fois en urinant sur son visage, puis dans sa bouche. Il urina assez longuement, le jet doré se déversant en elle, continuant cette humiliation perverse. Chengzu soupira ensuite.

« Garde la bouche bien fermée, pendant que je profite de ton cul… »

Il avait tracé au feutre noir sur ses fesses une barre, son premier orgasme en elle. Devant eux, un miroir avait été installé, permettant ainsi à Suida de voir son Maître par-derrière elle. Il photographia encore son cul, et l’envoya à Theorem, pour lui demander si cela lui rappelait le cul d’Akimbo. Une fois ceci fait, Chengzu se masturba un peu, et usa de ses pouvoirs sanguins pour renforcer son érection. Il retira ensuite le plug anal que Suida portait en permanence, un plug rose avec une tête porcine, et, sans plus de cérémonie, s’enfonça dans le cul de sa partenaire en soupirant joyeusement…

[Suida ''Erona'' Trogia]

Suida savait que son destin allait d'être utilisée... En plus elle avait déjà couché avec Chengzu en étant "Akimbo", mais à ce point ? non... Rien ne l'avait préparé à la fureur sexuelle de Chengzu. Si elle ne titillait pas la curiosité du bélier, certainement qu'il l'utiliserait de manière encore plus désintéressée, mais là le désire de l'humilier était grand. Quand Chengzu sortit son téléphone portable pour la photographier, Suida détourna le regard juste après le flash... Elle allait finir sur internet, probablement... Mais ses doutes ne mirent pas longtemps car la baise orale reprit de plus belle. En plus, il tenait solidement sa tête, l'interdisant de reculer... Et si elle s'immobilisait, Chengzu prenait le relais avec son bassin. elle tapota plusieurs fois la cuisse de son utilisateur, signe qu'il allait trop loin... mais ça ne l'arrêtait pas visiblement ! Quand il se retira, Suida prit une grande inspiration, la tête qui tournait, de la bave bien épaisse coulant sur ses seins. Elle toussa plusieurs fois mais Chengzu ne lui accorda aucune pause. Il menotta ses mains dans son dos et c'était assez facile : Suida avait déjà les bracelets en cuir et il suffisait de les joindre ensemble avec un mousqueton déjà pendant à l'une d'elle. Puis un bandeau de latex rose occulta sa vision.

"Oui Monsi- Ahg gaak GGHHLLKKGHHLLKGG SHHLLRSHSSLSSHLLSSHHLLRRP."

Chengzu était un maître très exigent. Il baisait sa gorge encore plus dur qu'avant, car là Suida ne pouvait pas avertir qu'il allait trop loin ou trop vite... Quoi que ça veuille dire vu comment il l'avait ignoré avant ça. Le résultat ? Une baise orale sans pause, sans pitié... Un coït buccal décadent et épuisant. Suida se salivait dessus avec, sa bave épaisse se versant sur ses seins et ses cuisses, formant des filets épais pendant à son menton. Suida sentit finalement la verge de son utilisateur s'enfoncer profondément, l'immobilisant en gorge profonde. Des jets de foutre chauds inondèrent son estomac. dans son étouffement et sa recherche d'air, Suida eut même un peu de semence qui s'extirpa d'une de ses narines. Quand enfin Chengzu se retira, elle tomba sur le cul mais toujours maintenu par le collier par la poigne du bélier. Suida était presque semi-consciente avant de se prendre un crachat en plein visage pendant que ce dernier constatait bien l'absence de sperme dans sa bouche. Son corps lui imposait une pause, mais Chengzu n'était pas satisfait? Il la releva de force, ses jambes flageolant sous cette épreuve avant de finir dans un pilori. Suida tenait à peine sur ses jambes, mais eut le luxe d'avoir ses yeux libérés du bandeau. La lumière ambiante l'agressa aussitôt mais lorsque sa vue revint à la normale, elle put voir la verge imposante du bélier et sa poigne lui ouvrir la bouche en poussant sur son menton. Un jet doré vint asperger son visage. Suida ne pouvait pas résister. Elle se fit asperger avant que le jet ne se concentre dans sa bouche. Elle avala plusieurs gorgée de sa pisse avant de recevoir l'ordre d'en garder dans sa bouche. Elle en garda une bouchée pleine avant de voir par le miroir que Chengzu la contournait, faisant une photo de son cul, pour enfin retirer son plug anal. Un trait au feutre sur sa fesse... Puis enfin la verge du bélier la pénétra.

"Guuh ! Hmm ! Guuhh !"

Le dominant aux cheveux bleus était fidèle à sa réputation. Il pistonna son cul avec une fureur et un manque de délicatesse flagrant ! En plus il pouvait se tenir solidement à sa queue de cochon pour stabiliser la baise et lui assener des fessées de l'autre main. Le téléphone posé sur les reines de Suida se mit à vibrer, indiquant un nouveau message. Pratique de se servir de son dos comme table pendant qu'il la baisait si fort... Theorem venait de répondre à Chengzu qu'en effet, ce cul trahissait un peu Akimbo. Ce grain de beauté plus haut sur son fessier... Mais il ne se souvenait pas que ce cul était aussi rebondit, habitué à se faire tamponner comme ça. Suida de son côté, l'esprit embrumé par autant de sexe aussi violent luttait pour ne pas avaler cette pisse dans sa bouche. Mais quand Chengzu accéléra franchement son vas et vient en serrant son bassin dans sa poigne, Suida lâcha un cri entre plaisir et douleur, déversant la pisse en une explosion de gouttelettes... Maintenant elle savait que sa punition était inévitable...

[Chengzu von Nacht]

Chengzu passa pour ainsi dire aux choses sérieuses : la sodomie. Le bélier était à ce stade fidèle à sa nature d’homme-bélier, donnant des coups de reins répétés et puissants. Quand il dominait quelqu’un, et qu’il se laissait aller, il était alors vraiment un von Nacht, et le digne époux d’Ishtar. Le dominant y alla donc franchement, tout en ayant posé son téléphone portable sur le dos de Suida. Il la prenait avec force, s’enfonçant avec aisance dans son cul, le plug anal ayant déjà dilaté ses parois, suffisamment pour qu’il la pénètre avec force. Elle avait conservé dans sa bouche son urine, un acte ô combien dégradant et humiliant. Chengzu sentait en lui un plaisir jubilatoire à dominer et à humilier Suida, bien plus que chez n’importe qui… Comme si, inconsciemment, il assimilait Suida à Akimbo, cet homme qui avait osé être son rival. Et, en soi, ce ne serait pas impossible ; Chengzu était un vampire, et, si Akimbo avait fait une transition de genre, son sang, lui, n’avait pas changé. Instinctivement, son corps réagissait donc à ce sang qu’il identifiait à ce rival.

« Hmmmm… Pu-Putain, ce que t’es bonne, ma salope ! »

Le miroir devant eux permettait aux deux amants de se voir. Le téléphone de Chengzu vibra alors. Il soupira, et l’attrapa avec une main. Theorem lui indiqua que ce cul ressemblait à celui d’Akimbo, mais en plus… Courbe. Chengzu fronça les sourcils. Il reposa le téléphone, et fessa alors Suida… Qui relâcha alors son urine. Elle ouvrit la bouche en gémissant, et le jet doré fusa sur le sol. Chengzu soupira lentement.

« Petite pute indisciplinée… Je pensais que Bhouta nous appréciait mieux que ça ! Tu n’es même pas capable de suivre un ordre aussi simple que de fermer la bouche, sale truie ! »

Chengzu la fessa encore, puis se retira d’elle. Il ouvrit le pilori, et renversa Suida au sol. Il la coucha sur le dos, et posa alors son pied sur la verge de la jeune femme, dissimulée derrière sa cage, et appuya dessus, arrachant à Suida de délicieux cris.

« C’est curieux… On dirait que tu ne génères pas cette queue avec la magie rose, je ne vois pas d’inmon sur ton pubis… »

Les indices étaient de plus en plus parlants. Cependant, Chengzu restait toujours sceptique, car il ne lui avait pas semblé qu’Akimbo ait souhaité changer de genre… Ou peut-être le devait-on à Bhouta ? Dans ce cas, cela expliquerait aussi pourquoi Bhouta lui avait chaudement recommandé Suida. Chengzu se mit en tout cas à sourire, et relâcha la pression sur le sexe de Suida… Puis donna un coup de pied sur la cage de chasteté. Il sourit malicieusement en voyant Suida couiner en se tortillant de douleur.

« Haha, tu as beau avoir une petite queue rabougrie, elle réagit encore pas mal ! »

Tandis que Suida reprenait ses esprits, Chengzu avait préparé une croix de Saint-André, et y attacha Suida. Chengzu réfléchit ensuite un peu, et retira même la cage de chasteté de Suida. Il masturba alors le sexe de la jeune femme, souriant doucement. Après avoir brutalisé sa verge, il alternait, et continua à secouer sa queue, jusqu’à ce qu’elle approche de l’orgasme, ce qu’il pouvait sentir très facilement quand elle approchait de l’orgasme. Il relâcha alors sa main, puis caressa avec la pointe du martinet sa verge.

« Je vais t’enseigner les vertus de la douleur et de l’obéissance, petite pute… Je suis curieux de voir si tu peux jouir en recevant des coups de martinet ! Mais, à chaque fois que je te fouetterai, je veux que tu t’insultes toi-même. Montre-moi à quel point tu es imaginative ! »

Et, ayant dit cela, Chengzu donna un premier coup de martinet sur la verge de son amant…

[Suida ''Erona'' Trogia]

Suida avait échoué à cette tâche de garder la pisse de son utilisateur dans sa bouche et maintenant elle allait en payer le prix. Relâchée du Pilori, elle termina au sol, dos contre la moquette du donjon avant de voir le bélier la dominer de sa simple hauteur. Il vint poser sa bottine de cuir noir brillante sur ses bourses et pressa, les écrasant. La truie lâcha un cri avant de regarder son utilisateur, terrifiée... Il commençait à comprendre à qui il avait à faire. La pression douloureuse ne s'arrêta que pour sentir un coup de pied directement dans ses parties.

"Hiiiiiii"

Suida se recroquevilla aussitôt, plaquant ses mains gantées de latex rose sur son sexe endolori, roulant sur le côté. Elle se sentait plus bas que terre, exactement la sensation que recherchait Chengzu. Ce dernier ne tarda pas à lui attraper le bras, la redressant d'un coup avant de la mettre dans la croix de saint andré. Ainsi coincée et à la merci de son bourreau, elle le vit ouvrir sa cage cochon et l'en libérer. Au lieu de se montrer cruel de suite, il astiqua vigoureusement son sexe. Suida ne tarda pas à soupirer d'aise et gagna progressivement une érection... Bon, ce sexe était quand même de taille banale voir inférieure, mais il avait le luxe d'être dur. Le bélier reprit sa masturbation... et c'était bon... Elle soupira d'aise, fermant les yeux un instant... Ca montait, encore un peu... ca devenait bon... Et son utilisateur relâcha son pénis qui retomba à l'équerre, sur le point de jouir...

"Guuh... B... Bien Monsieur..."

Suida sentit l'appréhension lui serrer les tripes. Chengzu leva le martinet avant de l'abattre violemment sur sa poitrine.
*CLAC !*
"Aaah ! S... Salope en manque !"
Insatisfait, un nouveau coup claqua ses cuisses
*CLAC !*
"Aaah !! Garage à bites !"

Chaque coup laissa une marque, chaque impact s'accompagna d'une insulte bien fleurie à son égare. Puis les coups se mirent à pleuvoir avec plus de violence, plus cinglants. Le corps de Suida, le peu qui n'était pas couvert de latex, mais qui était déjà souillé, se retrouva couvert de marques de martinet. La truie ne tarda pas à venir à court d'insultes et si elle faisait des doublons et bien les coups devenaient encore plus puissants. Une fois la série terminée, Suida eut quand même une récompense... Chengzu colla son sexe en érection contre la sienne. Elle put se faire masturber contre le sexe de son dominant pendant qu'une autre main vint se saisir de sa gorge, la privant un peu d'air... Le sentiment de soumission était énorme... Et celui de dominer devait être encore plus fort. Chengzu rompit cette récompense et commença à tapoter les testicules de Suida à l'aide du manche du martinet, tout en tenant fermement ses bonbons. La soumise se crispa, commença à lâcher des petits cris. La peur, la crispation, des réflexes primaires de sauvegarde se mirent à avoir un effet pervers : un relâchement massif d'endorphines. Suida lâcha plusieurs fois des gémissements avant de se jouir dessus de ces spasmes défensifs. Son sexe se dégorgea de sa semence, venant salir son bassin et sa cuisse... Elle retomba mollement, tout comme son sexe, regardant son bourreau, entre enfer et paradis.

"Guuuh... C... Continuez à m'utiliser... jusqu'à votre lassitude... Monsieur von Nacht..."

Cette phrase, on lui avait appris à la dire... Et elle allait le regretter dans peu de temps...

[Chengzu von Nacht]

Chengzu se montrait étonnamment brutal et intense envers une femme qu’il venait à peine de croiser. Il était certes un dominateur, mais, même avec des prostituées qu’il rencontrait à peine, il y allait en crescendo. Il ne voulait pas brusquer quiconque, même quand Bhouta, le propriétaire de Suida, lui avait dit de se laisser aller. Cela aussi le surprenait. De plus en plus, Chengzu commençait à se dire que Suida était Akimbo. Il continuait donc à la maltraiter, et arrêta de la fouetter avec son martinet pour la masturber. La queue endolorie de Suida était bien dure, et Suida avait sorti tout son répertoire pour s’injurier pendant ce traitement. Chengzu frotta ensuite sa queue contre celle de Suida, et frémit doucement, sa main posée sur son cou.

« Bhouta est ton Maître, mais, à l’intérieur de ces murs, je suis ton nouveau Maître, Erona. Tu es ma pute, ma salope, mon réservoir à foutre… Oublie tout le reste, tu es à moi ! »

Il s’attaqua ensuite aux bourses de Suida, la voyant hoqueter et gémir, ce qui le fit sourire. Suida finit alors par jouir, et le sperme fusa sur la jambe de Chengzu, ainsi que sur sa queue. Chengzu la relâcha alors, et Suida s’affaissa sur la croix. Il s’écoula ensuite un peu de temps. Les liens retenant Suida se retirèrent, et elle tomba mollement dans les bras de Chengzu, qui l’aida ainsi à tomber au sol. Chengzu lui remit sa cage de chasteté, puis il s’assit ensuite sur le rebord du lit, avec le sperme de Suida sur lui. Chengau avait aussi récupéré dans une armoire un sachet abritant de la poudre violette.

« Ne te repose pas sur tes lauriers, Erona, ta nuit ne fait que commencer. Viens à quatre pattes, et commence par me nettoyer, tu as joui sur ton Maître, je devrais donc à nouveau te punir. Utilise ta langue de salope. »

Tandis qu’elle s’approchait, et léchait les cuisses de Chengzu, ce dernier saupoudra sur sa queue la poudre violette, formant une ligne qui colla à sa queue grâce au sperme de Suida. Devinant son interrogation, il sourit :

« C’est une drogue qui vient de Nachtheim… Quelque chose me dit que tu la connais, on en verse dans les cocktails du Lupanoir, cela va renforcer tes capacités. »

Du chemsex, un moyen efficace de renforcer la libido. Tout le monde n’avait pas la chance d’être un vampire, et, après ce premier traitement, Chengzu n’avait pas envie que Suida s’épuise trop vite…

[Suida ''Erona'' Trogia]

Suida se faisait prendre vraiment dur. Pour un premier client, elle ne s'était pas attendu à subir un tel traitement. Chengzu était-il un dominateur pareil avec Theorem ? Il ne lui en avait pourtant pas parlé. A peine fut-elle libérée de la croix de saint andré qu'elle tomba avec l'aide de son maître du soir, où elle s'affala sur le tapis en soupirant d'aise. C'est dingue comme la simple chaleur corporelle de quelqu'un et le confort relatif d'un sol devenait du grand luxe quand on avait été aussi maltraité. Chengzu profita de son orgasme ruiné pour lui remettre sa cage, enfermant de nouveau son sexe pour une durée inconnue. Puis le bélier se mit assis sur le lit et ordonna à la prostitué de venir lécher le sperme resté sur son chaps en latex.

"Vos désirs sont des ordres, Maître."

Dit-elle en roulant sur le côté pour se redresser mais en restant à quatre pattes. Elle avança lentement vers les cuisses de son utilisateur et commença des lapées généreuses avec sa langue, récupérant les fluides venant de son propre pénis. Elle lécha mais avec fatigue, récupérant le plus possible mais continua à le faire avec sensualité. A ce niveau de la soirée, ses cheveux étaient complètement en bataille et elle galérait à rester immobile sans trembler. Elle garda le contact visuel avec son dominant par moment, quand elle remontait sa langue le long de sa cuisse avant d'avaler son foutre. Puis quand le bélier répandit de la poudre violette en faisant une ligne sur son pénis en érection, Erona fut un peu incertaine... Mais c'était l'ordre de son dominant... Elle ignorait complètement à quoi allait servir cette poudre. Après que Chengzu lui ait confié un billet qu'elle roula pour en faire une paille, elle s'approcha un peu timidement.

*C'est ta première fois à utiliser ça, mais tu vas y arriver ma grande...*

Elle posa la paille à la base du rail, se boucha une narine avec un doigt et inspira profondément en avançant la paille pour tout aspirer. Une sensation presque douloureuse inonda de suite ses muqueuses nasales. Elle se plaqua la main sur son nez en fermant les yeux. Puis cette gêne disparue progressivement pour ne rester qu'un picotement acceptable. Elle laissa la paille au sol avant d'approcher sa bouche du pénis de son maître et commença à le pomper comme il fallait. Suida se disait qu'elle ne ressentait rien de particulier... Ca devait n'être qu'un placebo se disait-elle... Puis pendant qu'elle le suçait, elle sentait une aisance grandir, un confort surréaliste. Là où quand elle suçait il y avait ce moment où le gland tapait le fond de sa gorge et la bloquait... Là, la verge de Chengzu disparaissait dans sa gorge avec confort et plaisir. Les douleurs du quotidien, les reliquats de la domination au martinet plus tôt, son cul dévasté... Tout cela ne devenait que pur bonheur et plaisir. Mais pire que ça... Sa peau ne tarda pas à transpirer comme jamais, ses yeux prirent une expression de plaisir constant, et sa réflexion se limita bien vite à la recherche de plaisir. Ainsi, quand Suida baisait avec ce dominant en subissant tout ses caprices, là Erona commençait déjà à se comporter comme la pire des salopes. Lors de la fellation, elle sortit ce pénis de sa gorge, le léchait sur sa longueur comme la pire des salopes, se tapait le visage avec avant de reprendre une gorge profonde bien plus décadente que ce qu'elle avait fait auparavant...

"Han Maître Chengzu ! Prenez-moi ! Baisez-moi comme la pute que je suis sur ce lit ! J'ai envie de votre grosse bite en moi, Nhhhgg pitié !"

Tout en suçant ce sexe bien dur devant elle, ses yeux aux pupilles dilatées ne quittaient pas Chengzu. Elle avait l'impression qu'il irradiait de lumière, qu'il était surnaturel, plus beau, plus grand encore qu'il ne l'était dans la vraie vie. Elle n'était plus dans son état normal mais toujours terriblement ecitée !

[Chengzu von Nacht]

Ce n’était pas avec de beaux sentiments qu’on pouvait espérer tenir la cadence. Chengzu y avait été un peu fort, ce qui le surprenait. Certes, l’époque où il était un jeune homme ingénu et inexpérimenté appartenait à un passé révolu, mais, de là à s’enflammer autant… Son instinct ne pouvait pas le tromper, et Chengzu avait appris à s’y fier. Tandis que Suida léchait sa queue et aspirait son énergisant rose, Chengzu y songeait encore. D’une manière ou d’une autre, elle était liée à Akimbo, et, sous l’effet de l’excitation, Chengzu commença à se dire qu’elle devait être Akimbo. En tout cas, quand le chemsex commença à faire effet, Chengzu put sentir le sang de Suida s’emballer, et cela lui rappela à nouveau Akimbo. Sa queue se durcit tandis que Suida sentait le désir éclater en elle. Cela devait faire l’effet d’une sorte de bombe qui éclatait dans le cerveau et qui vous vidait totalement, tout en vous rendant particulièrement euphorique.

Il en eut la démonstration quand Suida, initialement fatiguée, se redressa, et demanda à se faire baiser. Elle le suça aussi plus énergiquement, ce qui amena Chengzu à lui tirer la tête. Il se redressa ensuite, et s’amusa à la bifler avec sa queue. Sa verge bien dure glissa dessus, frappant ses joues, se glissant sous ses narines.

« Je vais te baiser, ma salope, ne t’en fais pas pour ça… Mais je veux que tu renifles ma queue, que tu t’imprègnes de son odeur, je veux qu’elle soit tra seule raison de vivre ce soir, que tu te languisses de ma verge qui vient défoncer ton petit corps de traînée nymphomane. Tu l’aimes, hein, cette queue ? Regarde comme elle durcit au contact de ta peau, regarde comme elle a envie de te défoncer le cul… Vas-y, inspire fort, inhale-là, que ton cerveau de pute en manque de queue l’associe instantanément au désir… Que cette simple odeur te donne envie de jouir, d’orgasmer comme une grosse chienne en manque ! »

Les provocations orales, l’humiliation, tout cela lui venait si facilement que c’en était presque effrayant ! Mais il plaça sa queue contre les narines de Suida, tout en lui mettant un bandeau autour des yeux.

« Tu sais que les cochons ont un excellent odorat, non ? Bien plus développé que les humains, et même que les chiens. Est-ce que ton Maître t’a déjà appris à utiliser ton odorat ? Je veux que tu renifles ma queue, que tu puisses identifier cette odeur parmi d’autres… Notamment celle de ton Maître. »

Chengzu s’amusait aussi à accroître la soif de Suida par ce biais. Avec la drogue qu’elle avait inhalée, la frustration devait être terrible, d’autant que l’objet de son désir se trouvait littéralement sous son nez. Chengzu attendit donc, puis finit par lui ordonner de se lever.

« Mets-toi à quatre pattes sur le lit, ton Maître va t’offrir ta récompense… »

Il se pencha vers elle, et murmura contre son oreille tandis que Suida se redressait :

« Je vais te baiser comme la grosse truie que tu es le mérites ! »

[Suida ''Erona'' Trogia]

Chengzu avait poussé Suida loin, très loin. Elle avait rarement été aussi loin dans la décadence. Tout en planant sous l'effet de la drogue, elle put offrir à son Maître d'un soir une belle prestation orale. C'était comme si le reflexe vomitif avait intégralement disparu. Elle se laissait biffler, accueillait ce sexe au fond de sa gorge sans tressauter ni grimacer. Au contraire, le plaisir était au rendez-vous. Elle pouvait le sentir passer le cap de sa langue, s'enfoncer dans sa gorge... Mais elle le faisait avec grand plaisir, vénérant ce sexe qui voyageait en elle avant de se voir frustrée. Ce pénis plein de salive épaisse venait se frotter à son visage, et Chengzu lui intima l'ordre de mémoriser cette odeur.

"Oui Maître ! Oui ! Oink oink !"

Elle respira bruyamment du nez, inspirant cette odeur à pleins poumons. Elle adorait ce parfum sexuel, ce musc interdit et très masculin couplé à l'odeur de son corps. La truie se laissa malmener, sentant cette main puissante tenant ses cheveux, la guidant contre son sexe, la frappant avec et étalant sa salive sur ses joues et son menton. Une des mains de Suida erra sur son corps avant d'empoigner un de ses seins qu'elle maltraita d'elle-même, se malaxant et venant pincer son téton. De l'autre, elle caressa sa cage de chasteté avec insistance, polissant cette dernière avant de venir tapoter ses testicules, cherchant une stimulation. Là pour le coup, Suida avait tout de la truie un peu débile qui s'abandonnait à la perversion. Quand enfin son Maître lui ordonna de se redresser pour se faire baiser comme une truie, elle obéissait au quart de tour, tremblante, impatiente...

"Oui Maître ! Baisez-moi comme la sale truie que je suis !"

Elle fit instinctivement une petite danse sexuelle. Mains derrières la tête, jambes arquées, elle ondula du bassin en exposant sa cage de chasteté avant de se retourner pour montrer son cul, le claquant bien fort avant de se mettre à quatre pattes dans le lit. Mais à peine en position, elle cambra son dos, présentant sa croupe avant de l'agiter de gauche à droite, faisant onduler sa queue de cochon enroulée sur elle-même avant de gémir comme la pire des salopes en manque.

"Détruisez-moi le cul ! Etranglez-moi ! Faites de moi une truie !"

En temps normal elle ne se serait pas autant lâchée... Mais là, elle était dans un état second...

[Chengzu von Nacht]

Chengzu sourit en voyant la manière dont Suida réagissait. Elle ne se contentait pas d’obéir, non, elle se dandina un peu, comme pour le stimuler, et se mit en position. Chengzu pouvait sentir son érection. Sa queue devait bander dur sous sa cage, une sensation qui la rapprochait de Theorem. Chengzu frémit donc, et grimpa sur le lit. Erona put sentir sa queue caresser ses fesses, ainsi que ses mains. Elle avait supplié de se faire baiser salement, et put sentir la caresse se transformer en un pincement. Il l’entendit gémir, puis la gifla alors, frappant ses fesses.
Une grosse fessée qui la fit hurler. Chengzu orienta ensuite sa verge, et titilla la croupe de Suida.

« Ok, ma belle, me voilà… Tu veux voir un truc pendant que je vais te défoncer le cul ? »

Question naturellement purement rhétorique, Chengzu attrapa une télécommande, et alluma le poste de télévision face au lit. Sur l’écran, on put voir la salle d’à côté… Où Bhouta sodomisait de la même manière une Alice en robe bodycon rose. Elle poussait de grands cris de plaisir en serrant ses doigts sur le lit, ses cheveux en sueur remuant d’avant en arrière, tandis que, derrière elle, avec un sourire pervers, l’immense Bhouta la besognait sans merci. Et, tandis que Suida pouvait voir cela, et qu’il entendait les cris d’Alice, la verge de Chengzu s’enfonça brutalement dans son cul, ses cris se mélangeant à ceux d’Alice. De l’autre côté, Bhouta avait aussi allumé la télé, offrant ainsi aux deux mâles dominants un concert absolument exquis de cris et de soupirs, de longs gémissements de plaisir entrecoupés d’insultes et de jurons. Dans son état d’excitation renforcée par la drogue que Chengzu lui avait fait prendre, Erona n’allait plus savoir qui était qui ! En effet, le son de la télé jaillissait d’enceintes fixées aux angles de la salle.

« Ah, ma salope, tu as un cul si serré ! Tu aimes ça, hein ? Sentir ma queue te défoncer le cul ?!
- Couine, sale pute, couine pour ton Maître ! »

Chengzu prenait Erona en levrette, attrapait ses cheveux pour relever sa tête, et déplaçait son autre main pour malaxer ses gros seins

« Tes seins sont encore plus gros que ceux d’Alice, ma belle salope, hmmm… De beaux seins de pute nympho’, non ? »

[Suida ''Erona'' Trogia]

Erona perdit complètement pieds avec la réalité. Elle avait l'impression de baiser dans plusieurs directions, d'être à la fois avec son Maître, Bhouta, et avec son client, Chengzu. Son passé d'Arpenteur devint complètement flou avec le plaisir et la drogue. Là si le bélier l'interrogeait sur ses origines et lui demandait si Erona était en réalité Akimbo après une transition de genre, Suida lui aurait répondu avec un aplomb à faire tromper le plus puissant des détecteurs de mensonge de la CIA.

"Haaa ! Hmm Ngnnhnnn ! Je suis Erona ! Détruisez-moi le cul, Maître ! Buhiiiiiiiiiii Buhiiiiiii !"

En se faisant empoigner par les cheveux et les seins, Suida ne put s'empêcher de laisser son cerveau désormais plein de sérotonine exploser. Elle fit un ahegao digne des pires salopes. Même Theorem, à qui ça arrivait de faire un ahegao spontanément pendant le sexe ne faisait pas des grimaces pareilles. Elle avait la langue pendante, un sourire béat, et les yeux aux pupilles complètements dilatées. Elle riait par moment de plaisir et de béatitude avant de complètement avoir les yeux qui se révulsèrent vers le haut. Son corps se contracta et elle eut un orgasme assourdissant, vu le cri qu'elle poussa, porcin et entrecoupé de mots incompréhensibles.

"Gnavun gnavun ! Haaaah !!! Ikkkuuuu !!! Buhiiiiiiii buhiiii !!! GaaaAAAAAAAAaaaah !"

Puis... ce fut le trou noir... Suida se réveilla. La première chose qui la traversa, ce fut une douleur aigue. Elle remarqua que ses tétons avaient été piercés, de même que sa langue. Elle essaya de ramper hors du lit, mais elle fut soudainement prise d'une ankylose dans tout le corps. Cela lui prit plusieurs minutes pour sortir de ce lit pour marcher jusqu'au miroir qui entourait ce dernier. Elle put découvrir son corps. Une de ses bas pendait à sa cheville, plusieurs marques d'empoignades entouraient ses bras, ses cuisses et même ses seins. Elle avait des marques de morsures sur la peau et des suçons bien visibles. Plusieurs capotes remplit pendaient à son harnais et des insultes avaient été écrites au feutre sur sa peau, certaines partiellement effacées. Mais vu le nombre de traits sur sa peau, Chengzu l'avait baisé au moins 8 fois. Il y avait même encore une capote dans ses cheveux en bataille, le sperme l'ayant collé dans sa tignasse... Elle tira la langue pour voir le piercing sur cette dernière et manipula doucement ses seins endolories pour voir ceux à ses tétons. Ses cheveux en bataille et son maquillage coulé, Chengzu y avait été vraiment hard pendant ce trip. Des souvenirs flous lui vinrent. Elle se revoyait suppliant Chengzu de lui piercer les tétons, de le pardonner... Mais de quoi ?... Ses souvenirs furent interrompus par le bruit d'une chasse d'eau. Chengzu sortit de la petite salle de bain adjacente. Vu le look d'Erona, version sextoy usagé, mais aux pupilles revenues normales, elle lui laissa comprendre qu'elle émergeait après cette baise furieuse.

"Guuh... Monsieur Chengzu... J... j'espère avoir... comblé vos attentes..."

Mais était-ce vraiment terminé ?... Maintenant qu'il lui avait ravagé le corps, presque passé à tabac avec du sexe aussi violent... Suida se doutait bien qu'elle ne serait "plus que" Erona pour le bélier. Pourtant, elle avait beaucoup apprécié Chengzu par le passé, amené dans son ancien sous-marin, passé un moment plus intime que ça avec lui... Mais elle savait que ce rapprochement avait été motivé pour l'éloigner de Theorem, en faire une sorte d'ami. Mais là, elle sentait que depuis sa transition, il n'y avait pas d'amitié, juste une relation pute/client. mais c'était plus profond encore... Son corps reconnaissait Chengzu comme un Alpha. Elle baissait le regard naturellement et ce fut le flash de l'apareil photo de Chengzu qui la ramena un peu à la raison. Allait-il partager ça sur les réseaux ?

"Guuh..."

[Chengzu von Nacht]

Ils firent l’amour pendant plusieurs heures. Le désir et la drogue absorbèrent petit à petit Suida, qui devint complètement Erona. Chengzu la besogna donc longuement, se lâchant petit à petit, renonçant à toute moralité, à toute retenue. Quand Erona émergea, Chengzu sortit de la salle de bains. Un léger sourire orna ses lèvres tandis qu’il voyait Erona cligner des yeux. Il avait senti celle-ci se réveiller en voyant la manière dont le sang de Suida émergeait. Chengzu avait aussi bu le sang de Suida pendant leurs ébats.

« Tu émerges, ma belle ? »

Chengzu s’était déshydraté. Il s’allongea sur le lit, et lui fit signe de venir à côté de lui. Elle se lova contre lui, tout en lui demandant si elle avait comblé ses attentes. Chengzu sortit une cigarette, et commença à la fumer. Une habitude qu’il avait commencé à prendre à Nachtheim. Aucun risque pour sa santé, il était un vampire. La cigarette qu’il fumait était de plus conçue à Nachtheim, et la fumée qu’elle dégageait était plus aphrodisiaque qu’autre chose. Il entretint pendant un certain temps le silence. Chengzu portait encore sa tenue en latex, qui brillait encore plus avec sa sueur, et sa verge était à l’air libre. De la main, il attrapa la télécommande, et appuya sur un bouton. La télévision s’alluma encore. On aurait pu croire qu’il montrerait la scène d’à côté, mais, au lieu de ça, ce fut un écran rempli d’images et de courtes vidéos qui apparurent. Il avait raccordé son appareil photo à la télévision pour en apercevoir le contenu.

Erona put ainsi voir que les photos et vidéos retraçaient leurs ébats.

« Dans le cinéma, on appelle ça des rushes, je crois. Tu as déjà entendu parler de Mélinda Warren, non ? Elle dispose de son studio de montage, je vais lui envoyer ça en lui demandant d’en faire un film. Je compte le montrer à ton Maître, mais aussi à Theorem. »

Oui, il le perçut. Le sang d’Erona accéléra quand Chengzu avait évoqué le nom de son ancien amant.

« Lèche et suce ma queue, salope » ordonna brusquement Chengzu.

Un changement de ton qui avait pour but de rappeler à Erona qu’ils n’étaient pas au même niveau. La jeune femme ne put que s’exécuter, et Chengzu sourit encore. Sa main caressa les cheveux de Suida, tandis qu’elle s’attaquait à sa queue.

« J’ai compris pourquoi Bhouta tenait à ce que ce soit moi. Je pensais initialement qu’on baiserait tous les deux ma chère Alice. J’ai eu une impression de déjà-vu en commençant à te faire l’amour, ma chère Suida… Comment ai-je pu un jour être jaloux de toi ? »

Chengzu savait. Il sourit encore. Sa verge était désormais dans la bouche de Suida, lui interdisant de parler.

« Akimbo… Pendant que je te baisais, tu m’as demandé si ton cul était aussi bon que celui de Theorem. Il n’y a pas que l’alcool qui délie les langues, le sexe à haute intensité marche bien. J’ai demandé à Bhouta si je pouvais te mettre des anneaux, il m’a donné son accord. »

Le petit anneau sur la langue de Suida glissait sur la verge de Chengzu. Le contact était surprenant, mais finalement pas aussi désagréable qu’il l’aurait cru.

« Je pensais faire de toi un soumis, tu sais… Quand tu étais Akimbo, bien sûr. Baiser Theorem sous tes yeux, comme Helena et Yokva… Mais les Dieux préféraient finalement faire de toi une salope hors concours. Au fond, je te préfère comme ça, avec tes gros seins de chienne. Mais je me demande… »

Chengzu soupira. Sa verge durcissait de plus en plus dans la bouche de Suida, qui gémissait. La main de Chengzu se crispait sur ses cheveux, plaquant Erona contre son sexe, l’empêchant parfois de respirer. Il maintenait fermement la pression, jusqu’à ce que les couinements de Suida l’amènent à relâcher la pression, et qu’elle puisse respirer par le nez.

« Bhouta m’a dit que tu étais toujours une aventurière, que tu étais en train de réhabiliter un village dans le Rustworld. Je ne pense pas arriver à convaincre Ishtar de venir à l’inauguration. Je sais que Bhouta en pince pour elle, mais je crains qu’il ne soit un peu trop masculin pour elle. En revanche, Theorem viendra. Je suis curieux de voir lequel de vous deux sera le plus pervers. »

L’homme-bélier soupira encore. Cette dernière idée l’avait passablement excité, et il se mit à jouir dans la bouche de Suida.

[Suida ''Erona'' Trogia]

Suida était découverte... Elle se doutait bien que ça allait arriver à un moment. Chengzu l'avait d'abord traité avec un peu de douceur en lui demandant de se lover contre lui, mais rapidement cela avait évolué en une autre séance de baise, cette fois bien orale. Le bélier se saisit de ses cheveux humides et emmêlés, décorés d'une capote usagée qui avait séchée dans ses mèches. Le bélier lui baisait la gorge sans aucune intention de la laisser avoir des pauses. Suida était clairement devenue une vaginette à ses yeux, un sextoy. Elle tapota des fois un peu ses cuisses pour lui demander d'y aller moins fort, mais le bélier l'ignora. Rapidement elle se retrouva coincée à voir les rush de sa baise précédentes quand elle était sous chemsex. La truie put se découvrir tellement salope qu'elle n'avait jamais put imaginer se descendre comme ça. Suida voyait de manière extérieur ce que donnait Erona. Pupilles dilatées, gémissante, implorant à plus de sexe, à des positions toujours plus degen. Elle se vit même pratiquer le rimjob sur Chengzu, bien soumise, à la langue avide de faire du bien à son dominant. Elle se vit faire la pig pose pour implorer son dominant, gruinker pour les piercings à ses tétons et sa langue.

*Bon sang, j'ai vraiment été aussi salope ?...*

Puis Chengzu lui fit comprendre qu'elle avait bien été identifiée comme Akimbo. La truie gémissait d'anxiété avant de se faire plus sauvagement baiser la gorge. Le manque d'air, la soumission intense, cette soudaine révélations, Suida se faisait durement baiser la gorge au point de finalement subir une sorte d'orgasme en même temps que celui de son Maître. Mais il était totalement cérébral, envoyé dans son cerveau qui la fit traverser d'un soudain orgasme plaisant et délicieux... Mais cet orgasme s'était accompagné par un brutal sentiment de soumission, de devenir une vraie "poubelle à foutre", une "salope à queues", une "vaginette publique". Suida avala cette semence avec soumission et même appétit avant de se faire pousser hors du sexe de son amant.

"Gaah... Hrmmm... Guuh..."

Depuis sa position, elle put voir Chengzu se redresser en lui tournant le dos... Enfiler son uniforme, jeter un peu d'argent sur la table de chevet avant de partir sans lui adresser un autre regard. Elle perdit un peu le compte du temps, encore sur la fin du Chemsex, avant de se redresser du lit. Ce dernier était poisseux et en bordel, autant que son corps. Elle se dirigea vers le miroir avant de se regarder. Les cheveux en bataille, la capote collée toujours là. Son maquillage était ruiné, coulait sur ses joues. Même son rouge à lèvres était étalé sur elle. Son cou comportait les traces d'une main puissante qui l'avait étranglée... Ses gants en latex étaient encore là bin qu'un était descendu jusqu'à son coude. Ses seins avaient aussi de marques de contusions, des morsures sur son cou, ses épaules et ses seins. Des insultes avaient été écrites sur elle, des symboles de bites, on aurait dit un toilette publique d'une zone à risque. Ses fesses étaient toutes rouges, des marques comptant le nombre de baises ornaient sa cuisse. Des préservatifs pendaient au harnais tenant sa cage de chasteté en place. Une de ses bas de latex pendait mollement à son pied comme une chaussette mal retirée. Mais cette image ne fit que rendre Suida encore plus chaude... Elle prit son téléphone et se prit une photo d'elle devant le miroir avant de l'envoyer à son vrai Maître, Bhouta.

"Votre truie vous attend, Maître. Oink oink !"

Elle se mordilla la lèvre inférieure, attendant sa réponse...

[Chengzu von Nacht]

Bhouta ne vint pas immédiatement. Au lieu de ça, après quelques minutes, la porte s’ouvrit pour accueillir Loona, l’une des dominatrices du ranch de Bhouta.

« Quoi ? Tu n’espérais quand même pas que Maître Bhouta se pointerait parce que tu l’as demandé, hein ? C’est toi le trou à bites, pas notre Maître, hihi ! »

Derrière Loona, une servante en tenue de latex se rapprocha en traînant un sarcophage noir sur des roulettes. Elles installèrent Erona à l’intérieur de ce sarcophage, qui comprenait un moulage à l’intérieur épousant ses formes. Des sangles internes l’immobilisèrent, et des tentacules en latex émergèrent ensuite des rebords, avant de se faufiler à l’intérieur. Un bandeau autour des yeux, un collier autour du cou, puis Erona sentit un tentacule s’enfoncer dans sa bouche, tandis qu’un autre se nicha dans son cul. N’ayant pas de chatte, le tentacule phallique sur le devant s’ouvrit, et goba sa verge, la pompant avec appétit. Loona observa le spectacle avec un grand sourire ravi.

« Maître Bhouta viendra te voir quand il en aura fini avec Alice. D’ici là, tu vas pouvoir méditer sur ton arrogance, à croire que Maître Bhouta viendrait renoncer à la chatte de la salope de Sylvandell juste pour toi ! »

La servante mit enfin sur les oreilles de Suida des oreillettes, diffusant les enregistrements audios de sa baise avec Chengzu. Loona referma ensuite le sarcophage. Elle donna une gifle au cul de la servante, qui gémit doucement. Elle déplaça ensuite le chariot, et traversa la cour de la ferme, rejoignant les granges. Elle ouvrit la porte à l’aide de sa carte, et s’aventura à l’intérieur. Cette grange n’était pas destinée aux animaux, mais aux humains. Une succession de cellules dans ce grand bâtiment. Le sarcophage d’Erona fut conduit à l’intérieur de l’une des cellules.

Difficile de dire combien de temps Erona dut entendre, car les tentacules la baisaient vigoureusement. À chaque fois qu’elle approchait de l’orgasme, le tentacule phallique cessait de la pomper, et attendait patiemment. Au bout d’un moment indiscernable, la porte s’ouvrit. Le sarcophage s’ouvrit également, et les tentacules se retirèrent. Contre son bandeau, Erona put sentir la lumière. Le sarcophage se pencha, et elle tomba sur un sol crissant. La cellule toute entière était faite de latex. Quand elle eut l’autorisation de retirer son bandeau, elle put voir deux paires de jambes, et, en remontant, deux verges dressées.

Bhouta et Chengzu se dressaient face à elles.

« Alors, Chengzu ? Mon offrande vous a-t-elle plu ?
- Évidemment.
- Erona, tu sais ce qu’il te reste à faire. Implore tes Maîtres de te baiser comme la salope nymphomane que tu es. On a baisé Alice pendant des heures, et on a qu’une envie en ce moment, c’est de retourner la baiser. Alors, motive-nous à te baiser toi ! »

Ayant été privée d’orgasme pendant tout le séjour dans le sarcophage, Erona devait être clairement en manque…