The Multiversity

[Chloé Faure]

Ooooooh putain...Haaaa !!!

Yasushi sentit tout son corps se crisper sous l'effet du plaisir qu'il ressentit en glissant son sexe dans la chatte d'Helena, elle était bien chaude, bien humide, et serrée. Il du très légèrement forcer pour pouvoir s'enfoncer jusqu'à la garde, mais elle était si bien lubrifiée qu'il y parvint sans trop d'efforts. Un autre homme y serait sans doute allé un peu plus doucement, mais pas lui. Il aimait le sexe avec cette touche de sauvagerie bestiale, et de plus, Helena semblait bien partie pour avoir également cette préférence. La pauvre avait tellement négligée sa vie sexuelle durant des années, qu'elle en ressortait pour ainsi dire fracassée du bulbe, au point où elle s'offrait sans conditions à l'homme qui l'avait faite chanter, l'avait violée, et l'avait engrossée sans son consentement. Mais Yasushi, lui, n'allait ni se plaindre, ni faire quoi que ce soit pour sortir Helena de la spirale dans laquelle elle s'enfonçait. Oh que non, il comptait bien l'épouser, l'aider à élever leur gosse, mais surtout, surtout, continuer à la pousser dans cette direction pour en faire complètement sa pute soumise. Helena était sexy, mais c'était sa soumission qui excitait encore plus Yasushi, qui comptait bien d'ailleurs en tester et en repousser sans cesse les limites.
Ses mains posées à l'arrière des genoux d'Helena, pour remonter ses jambes et les écarter, il entreprit donc de remuer férocement en elle. Il appréciait grandement les bruits spongieux très audibles que provoquait le coulissement de sa bite dans la chatte de la professeure, et son regard alternait entre le visage d'Helena qui était transi de plaisir, et autant couvert de sperme que ses gros seins qui remuaient au rythme de ses coups de rein, jusqu'à sa chatte qu'il voyait parfaitement épilée, ce qui lui donnait alors une vue imprenable sur son sexe qui entrait en elle en écartant ses lèvres intimes.

Raaaaah putain, t'es tellement sexy comme ça, couverte de mon foutre. Oh ouais ma salope, tu aimes hein ? Tu aime que je t'utilise comme mon sex toy personnel ? Mon sac à foutre ? Ma grosse pute ?

Il la bourrait sans ménagement, le bureau sur lequel Helena était allongée, et prise en position de l'enclume, remuait de temps à autre sous la force des coups que Yasushi donnait. Tout ça, Yasushi l'avait volontiers imaginé dans ses fantasmes les plus fous, mais sans jamais penser ne serais-ce qu'une seule seconde qu'ils se réaliseraient ainsi. Il la baisait fort, elle était couverte de sperme, son visage, ses seins, et son ventre, mâculés de son jus intime blanc et visqueux, collant bien à sa peau, mais coulant malgré tout ça et là.

Oooooh ouais...hmf i-imagine seulement...si Aiko-chan était là, elle pourrait lécher ton corps, nettoyer mon sperme, et puis t'embrasser après, tout en te regardant te faire baiser...haaaaa !!!

Yasushi profitait indéniablement du fait qu'Helena était dans un état psychologique fragile, en plein coït, pour lui insinuer des idées très perverses qu'elle pourrait ensuite plus facilement accepter. Oh que oui, il n'avait pas souhaité qu'Helena arrête de fréquenter Aiko-chan, bien au contraire, mais pas seulement pour qu'il puisse continuer à mater leurs ébats...oh non.
Aiko-chan et Helena s'étaient bien trouvées dans le sens où les deux avaient des problèmes qu'elles ne résolvaient pas vraiment, et Aiko-chan était, de ce qu'il avait pu en voir et en déduire, extrèmement amoureuse d'Helena. Possiblement assez pour accepter que la seule façon de continuer à voir sa professeure intimement, serait d'intégrer Yasushi à leurs petits jeux. Il était en train de sournoisement mettre cette idée dans la tête d'Helena, car pareille chose ne serait bien sûr possible qu'avec son concours plein et entier...mais pour le moment, il allait se focaliser entièrement sur "sa" belle salope. Il demeura un long moment dans cette position là, qui lui permettait de la besogner fort. Comme il avait joui à deux reprises déjà, il parvenait maintenant bien à se retenir de le faire, et ce principalement car il voulait, pour satisfaire son propre ego, faire grimper le nombre d'orgasmes d'Helena. Après tout, si il devait l'épouser, il devait s'assurer de faire correctement son devoir conjugal !
Il la bourrait donc, la laissant orgasmer sur sa queue bien dure, avant de finir par changer de position. Il ralentit, avant de sortir sa queue de sa chatte. Puis, en la saisissant par les hanches, Yasushi lui fit faire une légère rotation pour qu'elle se retrouve allongée sur tout le long du bureau, puis il la rejoignit dessus.

T'inquiète ma belle, j'en ai pas fini avec toi...

Il grimpa sur le bureau, et en se mettant à genoux, releva les jambes d'Helena avant qu'il ne se mette en face d'elle, pour poser ses chevilles sur ses hanches. Il enfonça alors à nouveau son sexe dans sa chatte et recommença à remuer en elle, la regardant droit dans les yeux, avec son sourire dominateur sur les lèvres.

Dis moi ma salope, tu préfère que je jouisse où hein ? Sur toi, pour que t'aie plus de foutre sur ta peau, ou en toi ? Après tout, maintenant que t'es en cloque, je pourrais jouir en toi autant de fois que tu veux...choisis vite par contre, j'ai la sauce qui monte, héhéhé...

[Reine Alice Korvander]

Il y a encore quelques temps, la seule idée que Yasushi puisse évoquer Aiko-chan aurait brisé quelque chose en Helena. Elle était la perfection, sa Aiko ! Elle était sa fille de substitution, elle était celle sur qui Helena avait convoyé tout son instinct maternel, au point de parfois, dans des moments de solitude, réfléchir très sérieusement à une adoption. Alors, quand Yasushi évoqua cela, Helena soupira, et gémit. Est-ce qu’il le sentit ? Est-ce qu’il perçut la chatte d’Helena se contracter autour de sa queue ?

« Oh, M-Maître… Je… Haaaaaa… !! »

Helena n’arriva pas à répondre. Ses yeux se révulsèrent, son visage se figea dans une expression grotesque, et elle crispa ses doigts sur le rebord de la table, sentant un nouvel orgasme l’envahir. Elle se mit à jouir avec force, sentant un nouvel orgasme l’envahir, précisément à l’idée de dormir avec Yasushi et Aiko, entre eux… Formant la famille heureuse et aimante que Helena avait toujours envisagé. Et puis, auprès de qui d’autre que Yasushi pouvait-elle offrir Aiko ? Quel autre homme que lui serait digne de la baiser avec force ? Oui, oui, elle le voulait, bien sûr qu’elle le voulait ! Elle fantasmait déjà furieusement à cette idée, et sentit Yasushi la redresser.

La jeune professeure ne put donc en l’état lui confirmer, car il continuait à la bourrer sèchement. Il parvint à se mettre à genoux sur le bureau. Elle était initialement couchée de biais, et s’étala ensuite de tout son long sur le bureau, Yasushi venant la tourner sur place. Fort heureusement, c’était un bureau très solide, alors il pouvait sans problème les supporter. Helena écarta de la main son clavier. Celui-ci tomba sur le sol, et Yasushi écarta également une pile de copies, des devoirs qu’elle devait corriger. Les devoirs s’envolèrent au sol, et elle le vit se dresser au-dessus d’elle. Ses jambes se relevèrent pour s’appuyer contre sa nuque. Helena s’appuya sur l’une des cuisses moites de Yasushi, et sentit la chaleur croître en elle, remonter à nouveau.

« Haaaa… M-Maître, baisez-moi encore… !! Ouuuiii, je suis votre puuutee, haaaa, votre chienne, votre sac à foutre. Ooooh… C’est… V-Votre bite en moi, c’est si bon… !! »

Il lui demanda ensuite où il devait jouir, et Helena répondit pour le coup sans aucun doute :

« S-Sur moi, Maître, pitié… Je… Je veux sentir votre foutre sur moi, je veux marcher avec votre sperme sous mes vêtements, et sentir votre odeur sur moi, partout, tout le temps… Maître, pitié, marquez-moi, je suis votre chienne, il faut me marquer comme une chienne… Moi, et Aiko-chan aussi, haaaa… ! »

Tout était dit avec cette dernière révélation, qu’une Helena aux joues rougissantes avait lâché avec la plus grande sincérité du monde !