- Ashka Velaryon
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- Enregistré le : 17 mai 2025 21:07
- Fiche
- Demande de RP
- Mmmmh... Mmmmh... Kamiye... Oh oui... C'est si bon...
Je ferme les yeux et je gémis quand je ressens la bouche de Kamiye qui était en train de me sucer encore tout le zizi. Il utilisait sa langue et surtout sa gorge pour l'avaler en entier. Et quand mon bistou, il se faisait câliner tout à l'intérieur et que ça le faisait vibrer à chaque fois de plus en plus fort, il se retirait avant de recommencer encore. C'est en étant bien tout content de recevoir des doux câlins sur la tigounette, que je remets la langue dans les fesses mon gentil copain. Comme tout à l'heure, je repasse le bout de celle-ci bien sur son petit trou d'amour. Je titille fortement dessus, allant parfois mettre la langue tout en bas de son joli petit cul, jusque dans la raie du haut.
Après plusieurs fois à recommencer à lui faire gentiment ça, je refais pareil en lui lèchant encore plus amoureusement le derrière. Contrairement à avant, le petit trou tout mignon de Kamiye s'était agrandi grâce à l'eau que je lui avais mis dedans, quand j'ai joué à lui laver les fesses. Quand je remets parfois doucement un doigt à l'intérieur de son trou et que je le bouge tout en le faisant parfois aller et venir, c'est là que Kamiye me caresse les cuisses. Et pendant qu'il passe ses mains sur ma peau un peu moins lisse que la sienne, je suis encore plus excité quand il commence à faire des très gros câlins en suçant si bien mon bâton tellement tout dur.
- Ahhhhh! <3 Kamiye... <3
Quand j'ouvre la gueule pour gémir, il y a un peu de bave qui en sort, tellement ça me rend tout chaud. Et alors que j'ai le zizi qui commence à tirer et à se tendre vraiment très très fort, je mords doucement ses fesses en même temps que je serre sa belle grosse queue pleine de poils dans mes mains. Plus on jouait à se faire du bien, plus je gémissais tout plein. En continuant de lécher ses petites fesse, je les mords et je les pique doucement avec mes dents. J'utilise le bout de ma queue de dragon pour caresser la tête de mon copinou qui n'arrêtait plus du tout de me sucer le zizi. Je la passais avec amour dans ses cheveux. Et quand elle touchait ses oreilles, ça me la chatouillait et ça me faisait encore plus vibrer de tout partout.
- Oh Kamiye! <3 Je t'aime tout doux! <3 Je t'aime! tout très fort! <3
C'est de plus en plus éperdu dans une ivresse passionnée, que Ashka commence à trembler de tout son corps. Le bien-être ressenti dans sa verge à la couleur grise et au bout légèrement plus clair, voir un tantinet rougit à force d'être continuellement cajolé à travers son aspect quelque peu anguleux, accentue en même temps sa propre fièvre intérieure. Lové contre Kamiye qui se retrouve couché sur lui, Ashka a de plus en plus chaud à mesure que l'hybride lui butine le sexe avec tant de passion coquine.
Je ferme les yeux et je gémis quand je ressens la bouche de Kamiye qui était en train de me sucer encore tout le zizi. Il utilisait sa langue et surtout sa gorge pour l'avaler en entier. Et quand mon bistou, il se faisait câliner tout à l'intérieur et que ça le faisait vibrer à chaque fois de plus en plus fort, il se retirait avant de recommencer encore. C'est en étant bien tout content de recevoir des doux câlins sur la tigounette, que je remets la langue dans les fesses mon gentil copain. Comme tout à l'heure, je repasse le bout de celle-ci bien sur son petit trou d'amour. Je titille fortement dessus, allant parfois mettre la langue tout en bas de son joli petit cul, jusque dans la raie du haut.
Après plusieurs fois à recommencer à lui faire gentiment ça, je refais pareil en lui lèchant encore plus amoureusement le derrière. Contrairement à avant, le petit trou tout mignon de Kamiye s'était agrandi grâce à l'eau que je lui avais mis dedans, quand j'ai joué à lui laver les fesses. Quand je remets parfois doucement un doigt à l'intérieur de son trou et que je le bouge tout en le faisant parfois aller et venir, c'est là que Kamiye me caresse les cuisses. Et pendant qu'il passe ses mains sur ma peau un peu moins lisse que la sienne, je suis encore plus excité quand il commence à faire des très gros câlins en suçant si bien mon bâton tellement tout dur.
- Ahhhhh! <3 Kamiye... <3
Quand j'ouvre la gueule pour gémir, il y a un peu de bave qui en sort, tellement ça me rend tout chaud. Et alors que j'ai le zizi qui commence à tirer et à se tendre vraiment très très fort, je mords doucement ses fesses en même temps que je serre sa belle grosse queue pleine de poils dans mes mains. Plus on jouait à se faire du bien, plus je gémissais tout plein. En continuant de lécher ses petites fesse, je les mords et je les pique doucement avec mes dents. J'utilise le bout de ma queue de dragon pour caresser la tête de mon copinou qui n'arrêtait plus du tout de me sucer le zizi. Je la passais avec amour dans ses cheveux. Et quand elle touchait ses oreilles, ça me la chatouillait et ça me faisait encore plus vibrer de tout partout.
- Oh Kamiye! <3 Je t'aime tout doux! <3 Je t'aime! tout très fort! <3
C'est de plus en plus éperdu dans une ivresse passionnée, que Ashka commence à trembler de tout son corps. Le bien-être ressenti dans sa verge à la couleur grise et au bout légèrement plus clair, voir un tantinet rougit à force d'être continuellement cajolé à travers son aspect quelque peu anguleux, accentue en même temps sa propre fièvre intérieure. Lové contre Kamiye qui se retrouve couché sur lui, Ashka a de plus en plus chaud à mesure que l'hybride lui butine le sexe avec tant de passion coquine.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 18 juin 2025 19:01, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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Kamiye se sentait bizarre. Il pensait à ses fesses. Il y avait comme un… courant d’air. Et il sentait d’autant plus qu’il se sentait tout mouillé. Bien entendu que c’était la faute de son Maître Dragon. Il le léchait. Encore et encore. Et il n’a plus cette excuse que c’est sale. Et donc que ce n’est pas bien. En plus de ça, c’est lui qui a offert ses fesses à son Maître Dragon. Parce que c’est lui qui a proposé de s’allonger. Est-ce que ça veut dire qu’il aime un tout petit peu ça ? Kamiye ne sait plus.
« Aie-euh… »
Il lui mord les fesses ! Est-ce que son Maître Dragon veut le marquer parce qu’il n’a pas de collier à lui mettre autour de cou ? Ces liens qui sont très serrés et qui étouffent parfois. Kamiye n’en veut pas ! Par contre, les jolies dames portent des colliers qui brillent et qui n’empêchent pas de respirer. Mais il n’est pas une jolie dame. Le seul point commun avec elle, c’est que comme elle, elle peut se retrouver à avoir un zizi dans sa bouche pour faire du bien. Peut-être que c’est comme ça comme reçoit des cadeaux ? Alors Kamiye bave beaucoup sur le zizi de son Maître Dragon. Il a l’impression qu’il est plus long et plus gros. Il ne sait pas trop. Mais il n’arrête pas.
Kamiye pense quand même qu’il fait du bon travail. Sa bouche qui fait des allers-retours. Ses mains qui caressent les cuisses. Sa grande queue poilue qui glisse sur la peau plus écailleuse de son Maître Dragon. Il existe pour servir. Il est un esclave pour un Maître. Même pour un Maître qui ressemble à une Maîtresse. Ce n’est pas grave s’il est gentil. C’est même le plus important la gentillesse. Alors il fait tout ce qu’il peut pour faire cracher le jus de bébé de son Maître Dragon. Mais… mais en plein milieu de leur ébat en pleine nature, il commence à se poser des questions. Et si son petit trou restait toujours ouvert ? Non. Non… Ce n’est pas ce genre de question qui accapare petit à petit ses pensées. C’est plutôt celle-là : et si ce n’était pas désagréable ce petit sexe tout mignon gris passant en douceur entre ses deux fesses ?
Il ne sait plus ! Son cœur bat très vite ! Alors il décide de mordiller ce zizi dans sa bouche. Une sorte de punition gentille à celui qui met tant le bazar dans sa tête. Il lui faudra nettoyer. De toute façon, c’est le travail de sa vie nettoyer. Sauf qu’une tête, c’est moins facile qu’un sol avec un balai et de l’eau. En fait, il n’est pas sur de savoir comment faire avec sa tête. Peut-être qu’il devra demander.
Mais là tout de suite, Kamiye retire sa bouche du zizi de son Maître Dragon. Il découvre le sexe autrement. Tout mouillé. Tout dur. Tout turgescent. Il n’est pas certain de savoir ce que veut dire ce mot compliqué… Mais il décide de prendre les choses en mains. Enfin, dans une main. (Pardon, Maître Dragon ! Mais l’expression est plus grande que votre petit pénis). Et il masturbe rapidement et peu gauchement le sexe.
« Dites-moi quand votre jus va sortir, Maître Ashka. Enfin, dites-le moi s’il faut que je remette ma bouche tout autour, je veux dire. »
« Aie-euh… »
Il lui mord les fesses ! Est-ce que son Maître Dragon veut le marquer parce qu’il n’a pas de collier à lui mettre autour de cou ? Ces liens qui sont très serrés et qui étouffent parfois. Kamiye n’en veut pas ! Par contre, les jolies dames portent des colliers qui brillent et qui n’empêchent pas de respirer. Mais il n’est pas une jolie dame. Le seul point commun avec elle, c’est que comme elle, elle peut se retrouver à avoir un zizi dans sa bouche pour faire du bien. Peut-être que c’est comme ça comme reçoit des cadeaux ? Alors Kamiye bave beaucoup sur le zizi de son Maître Dragon. Il a l’impression qu’il est plus long et plus gros. Il ne sait pas trop. Mais il n’arrête pas.
Kamiye pense quand même qu’il fait du bon travail. Sa bouche qui fait des allers-retours. Ses mains qui caressent les cuisses. Sa grande queue poilue qui glisse sur la peau plus écailleuse de son Maître Dragon. Il existe pour servir. Il est un esclave pour un Maître. Même pour un Maître qui ressemble à une Maîtresse. Ce n’est pas grave s’il est gentil. C’est même le plus important la gentillesse. Alors il fait tout ce qu’il peut pour faire cracher le jus de bébé de son Maître Dragon. Mais… mais en plein milieu de leur ébat en pleine nature, il commence à se poser des questions. Et si son petit trou restait toujours ouvert ? Non. Non… Ce n’est pas ce genre de question qui accapare petit à petit ses pensées. C’est plutôt celle-là : et si ce n’était pas désagréable ce petit sexe tout mignon gris passant en douceur entre ses deux fesses ?
Il ne sait plus ! Son cœur bat très vite ! Alors il décide de mordiller ce zizi dans sa bouche. Une sorte de punition gentille à celui qui met tant le bazar dans sa tête. Il lui faudra nettoyer. De toute façon, c’est le travail de sa vie nettoyer. Sauf qu’une tête, c’est moins facile qu’un sol avec un balai et de l’eau. En fait, il n’est pas sur de savoir comment faire avec sa tête. Peut-être qu’il devra demander.
Mais là tout de suite, Kamiye retire sa bouche du zizi de son Maître Dragon. Il découvre le sexe autrement. Tout mouillé. Tout dur. Tout turgescent. Il n’est pas certain de savoir ce que veut dire ce mot compliqué… Mais il décide de prendre les choses en mains. Enfin, dans une main. (Pardon, Maître Dragon ! Mais l’expression est plus grande que votre petit pénis). Et il masturbe rapidement et peu gauchement le sexe.
« Dites-moi quand votre jus va sortir, Maître Ashka. Enfin, dites-le moi s’il faut que je remette ma bouche tout autour, je veux dire. »
- Ashka Velaryon
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J'ai la voix qui tressaute et qui devient même encore plus aiguë, quand je continue de sentir l'adorable bouche de Kamichou qui joue avec mon trompinou et qui devient de plus en plus tout sensible. Le bout pressait très très fort, tellement il le câlinait tout le temps et sans s'arrêter. En plus de ressentir sa gorge, il y avait aussi ses joues et surtout sa langue qu'il passait si bien dessus. J'ai les mains et les cuisses qui tremblent, tellement moi et mon bistou on aimait ça. Kamiye était vraiment le plus chou et le plus adorable renard de la forêt du monde que je ne connaissais pas. Et plus il faisait tout ça amoureusement avec moi, plus je le caressais fort avec ma queue de dragon. Comme tout mon corps, elle s'électrisait elle aussi. Mais je ne la passais pas que sur sa tête ou sur ses réreilles. Parfois, je la faisais aller dans sa nuque et même dans son dos. Et puis il y avait sa queue à lui, tellement douce et trop belle qui me caressait. Ses poils qui me touchaient la peau et qui me chatouillaient en même temps.
Pendant que je continue de lécher le petit trou à Kamiye et de lui mordiller ses fesses toutes mignonnes, je les pince plus fort quand je le sens encore me mordre le kiki draconique. Je gémis tout plein. Mon petit cœur il était en train de battre super vite et super fort, tellement tout ça me faisait trop du bien. Et alors que je faisais aussi des bisous aux fesses de Kamiye, je le sens qui retire mon trompi de sa bouche. Et avec sa belle main qui m'agite le zizi très vite, mon gentil copain me demande s'il doit la mettre ou pas dans sa bouche quand le jus en sortira. Comme j'ai vraiment envie qu'il goute à mon sperme, vu que j'ai bien gouté au sien, je lui dis que je veux bien qu'il le remette dans sa bouche à câlins.
- Ahhh... <3 ah... <3 ah... <3 Ho oui Kamiye! <3 Mets-le dans ta bouche! Je veux que mon copinou il goute aussi à mon sperme, comme moi j'ai gouté au tien avant. <3
C'est en pinçant les yeux et en tremblant comme une feuille de tout partout, que je sens ma tige à câlins qui va exploser. Pendant que Kamiye continue encore de jouer avec mon bikou tellement dur et remplis de mouille, j'attrape sa grosse queue touffue d'amour avec la mienne. Quand je la serre aussi fort que je le pouvais et qu'elles étaient juste au-dessus de nous, je suis envahi de câlins tous brûlants et tous chauds à l'intérieur de moi. C'est raide tout partout, que je sens tout mon amour pour Kamiye qui sort maintenant de mon zizi. Ça dure comme ça pendant un instant vraiment très très intense, où j'ai l'impression de m'envoler et de flotter en dehors de mon corps, tellement ça me faisait du bien.
- Aah... <3 Aaanh <3 Aaah <3...
Je gémis et je tire la langue, jusqu'à ce que tout mon liquide il ait fini de sortir de ma tige toute brûlante. Et après, tout mon corps arrête de se contracter quand j'ai fini de tout expulser dehors.
C'est après un violent torrent de jouissance, que Ashka se détend d'un coup. Les yeux mi-clos, l'air fatigué, son corps et son esprit ont été conquis. Le dragon hypersensible face aux attentions, à l'amour et aux éternels câlins en tous genres, se sent heureux d'avoir partagé cet instant charnel avec son nouvel ami. Cet ébat, a une fois encore ravivé en lui son petit cœur débordant de tendresse et d'affection à partager.
Pendant que je continue de lécher le petit trou à Kamiye et de lui mordiller ses fesses toutes mignonnes, je les pince plus fort quand je le sens encore me mordre le kiki draconique. Je gémis tout plein. Mon petit cœur il était en train de battre super vite et super fort, tellement tout ça me faisait trop du bien. Et alors que je faisais aussi des bisous aux fesses de Kamiye, je le sens qui retire mon trompi de sa bouche. Et avec sa belle main qui m'agite le zizi très vite, mon gentil copain me demande s'il doit la mettre ou pas dans sa bouche quand le jus en sortira. Comme j'ai vraiment envie qu'il goute à mon sperme, vu que j'ai bien gouté au sien, je lui dis que je veux bien qu'il le remette dans sa bouche à câlins.
- Ahhh... <3 ah... <3 ah... <3 Ho oui Kamiye! <3 Mets-le dans ta bouche! Je veux que mon copinou il goute aussi à mon sperme, comme moi j'ai gouté au tien avant. <3
C'est en pinçant les yeux et en tremblant comme une feuille de tout partout, que je sens ma tige à câlins qui va exploser. Pendant que Kamiye continue encore de jouer avec mon bikou tellement dur et remplis de mouille, j'attrape sa grosse queue touffue d'amour avec la mienne. Quand je la serre aussi fort que je le pouvais et qu'elles étaient juste au-dessus de nous, je suis envahi de câlins tous brûlants et tous chauds à l'intérieur de moi. C'est raide tout partout, que je sens tout mon amour pour Kamiye qui sort maintenant de mon zizi. Ça dure comme ça pendant un instant vraiment très très intense, où j'ai l'impression de m'envoler et de flotter en dehors de mon corps, tellement ça me faisait du bien.
- Aah... <3 Aaanh <3 Aaah <3...
Je gémis et je tire la langue, jusqu'à ce que tout mon liquide il ait fini de sortir de ma tige toute brûlante. Et après, tout mon corps arrête de se contracter quand j'ai fini de tout expulser dehors.
C'est après un violent torrent de jouissance, que Ashka se détend d'un coup. Les yeux mi-clos, l'air fatigué, son corps et son esprit ont été conquis. Le dragon hypersensible face aux attentions, à l'amour et aux éternels câlins en tous genres, se sent heureux d'avoir partagé cet instant charnel avec son nouvel ami. Cet ébat, a une fois encore ravivé en lui son petit cœur débordant de tendresse et d'affection à partager.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 01 juil. 2025 23:33, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
Il fallait donc qu’il remette sa bouche sur le zizi de son Maître Dragon. Ce n’était pas vraiment pour lui plaire. Par curiosité, il y avait longtemps, il avait avalé son propre jus à bébé. Et bien, ça n’avait pas bon goût. Non que c’était immonde. Mais ce n’était pas sucré par exemple comme un dessert hors de prix seulement réservé aux grands de ce monde. Lui avait pu goûter des restes de temps en temps. Parfois, ceux qui avaient beaucoup d’argent jetaient beaucoup… Mais aujourd’hui, il allait devoir faire un effort. Parce que son nouveau Maître était probablement le plus gentil sous lequel il est servi.
Et puis son nouveau Maître a un corps bien. Il est comme lui. Plutôt petit et plutôt fin. Il a un petit zizi qui vibre. Et une queue caudale qui semble vibrer autour de la sienne. C’est une expérience bizarre. C’est une expérience nouvelle. Kamiye avait toujours pensé qu’il fallait qu’il soit avec une femelle. Son Maître Ashka, dans sa jolie robe, ressemble à une femelle. Mais c’est bien un mâle. Preuve en est de ce sexe qu’il recommence à lécher et à cajoler dans des allers-retours. Mais pour Kamiye, ça devient OK. Il veut bien rester avec son Maître Ashka si ce dernier prend soin de lui. Et lui prendra soin de son Maître comme un bon esclave. Un très bon esclave, peut-être même !
Alors…alors il remet sa bouche autour du canon à jus de bébé. Et il réceptionne tout. Ca éclabousse tout l’intérieur de sa bouche et menace déjà d’aller explorer sa gorge ! Ses yeux s’ouvrent grands. Il voudrait ouvrir la bouche et tout laisser couler au-dehors. Mais il ne peut pas faire ça. Son Maître Dragon a parlé. Il doit avaler. Il doit… « goûter ». Il prend alors l’initiative de se relever et de se décoller du ventre de Maître Ashka. Maintenant, il est debout et se retourne vers son Maître Dragon allongé dans l’herbe. Il parait tout faible pour quelqu’un qui se situe au sommet des pyramides de pouvoirs quand même.
La bouche fermée, il attend que son Maître Dragon se relève. Alors il ouvre la bouche et lui fait voir que tout est dedans. Puis il ferme les yeux. Plisse un peu le nez. Se donne une motivation en pensée. Et il avale. Ca fait même un petit bruit de déglutition. Et il ouvre la bouche en tirant la langue. Pour prouver qu’il est un bon esclave. Voilà. Ca c’est fait. Et même s’il sent son petit trou de derrière tout humide. Surtout qu’un petit vent frais vient de passer ! Et bah, il est satisfait. Il a réussi à ne pas se faire prendre par derrière. C’est une sorte de victoire ?
« Je… Voilà, j’ai tout avalé. »
*Faites qu’il ne me demande pas si ça avait bon goût… *
« Est-ce que…est-ce que j’ai été un bon esclave ? Maître Ashka sera gentil avec moi ? Vous êtes le Maître le plus gentil que j’ai jamais eu. J-je… »
Un genou fut posé à terre. Sa tête s’inclina en signe de respect.
« E-est-ce que Maître Ashka prendra s-soin de moi ? M’emmènera avec l-l-lui ? Kamiye est d’accord… »
Parce que peut-être qu’il mangerait à sa faim. Qu’il mangerait en proportions comme jamais auparavant. Et peut-être des choses comme des desserts ! Ce serait formidable. Et puis peut-être aussi être bien habillée ? Habillée de…robes. Ohlala. Kamiye plaque ses mains devant sa bouille. Ce n’est pas bien de vouloir porter des robes quand on est un garçon. Mais il pourrait peut-être aussi avoir une pierre magique qui invoquerait par magie une armure qui le protégerait de tout ? Ca aussi ce serait formidable !
Et puis son nouveau Maître a un corps bien. Il est comme lui. Plutôt petit et plutôt fin. Il a un petit zizi qui vibre. Et une queue caudale qui semble vibrer autour de la sienne. C’est une expérience bizarre. C’est une expérience nouvelle. Kamiye avait toujours pensé qu’il fallait qu’il soit avec une femelle. Son Maître Ashka, dans sa jolie robe, ressemble à une femelle. Mais c’est bien un mâle. Preuve en est de ce sexe qu’il recommence à lécher et à cajoler dans des allers-retours. Mais pour Kamiye, ça devient OK. Il veut bien rester avec son Maître Ashka si ce dernier prend soin de lui. Et lui prendra soin de son Maître comme un bon esclave. Un très bon esclave, peut-être même !
Alors…alors il remet sa bouche autour du canon à jus de bébé. Et il réceptionne tout. Ca éclabousse tout l’intérieur de sa bouche et menace déjà d’aller explorer sa gorge ! Ses yeux s’ouvrent grands. Il voudrait ouvrir la bouche et tout laisser couler au-dehors. Mais il ne peut pas faire ça. Son Maître Dragon a parlé. Il doit avaler. Il doit… « goûter ». Il prend alors l’initiative de se relever et de se décoller du ventre de Maître Ashka. Maintenant, il est debout et se retourne vers son Maître Dragon allongé dans l’herbe. Il parait tout faible pour quelqu’un qui se situe au sommet des pyramides de pouvoirs quand même.
La bouche fermée, il attend que son Maître Dragon se relève. Alors il ouvre la bouche et lui fait voir que tout est dedans. Puis il ferme les yeux. Plisse un peu le nez. Se donne une motivation en pensée. Et il avale. Ca fait même un petit bruit de déglutition. Et il ouvre la bouche en tirant la langue. Pour prouver qu’il est un bon esclave. Voilà. Ca c’est fait. Et même s’il sent son petit trou de derrière tout humide. Surtout qu’un petit vent frais vient de passer ! Et bah, il est satisfait. Il a réussi à ne pas se faire prendre par derrière. C’est une sorte de victoire ?
« Je… Voilà, j’ai tout avalé. »
*Faites qu’il ne me demande pas si ça avait bon goût… *
« Est-ce que…est-ce que j’ai été un bon esclave ? Maître Ashka sera gentil avec moi ? Vous êtes le Maître le plus gentil que j’ai jamais eu. J-je… »
Un genou fut posé à terre. Sa tête s’inclina en signe de respect.
« E-est-ce que Maître Ashka prendra s-soin de moi ? M’emmènera avec l-l-lui ? Kamiye est d’accord… »
Parce que peut-être qu’il mangerait à sa faim. Qu’il mangerait en proportions comme jamais auparavant. Et peut-être des choses comme des desserts ! Ce serait formidable. Et puis peut-être aussi être bien habillée ? Habillée de…robes. Ohlala. Kamiye plaque ses mains devant sa bouille. Ce n’est pas bien de vouloir porter des robes quand on est un garçon. Mais il pourrait peut-être aussi avoir une pierre magique qui invoquerait par magie une armure qui le protégerait de tout ? Ca aussi ce serait formidable !
- Ashka Velaryon
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- Enregistré le : 17 mai 2025 21:07
- Fiche
- Demande de RP
C'est tout fatigué et allongé tout nu dans l'herbe, que je regarde mon coupinou qui s'est relevé de moi, une fois que j'ai fini de lui envoyer tout mon amour qui est tout droit sorti de mon zizi pour aller dans sa bouche. Quand je me redresse après, Kamiyou me regarde et il ouvre la bouche pour me montrer qu'il avait toujours le sperme de mon zikou à l'intérieur. Kamiye ferme ensuite les yeux et il semble faire comme une petite grimace juste avant d'avaler dans un bruit qui fait "gloups" et que je trouvais rigolo. Il rouvre ensuite la bouche pour me prouver que lui aussi avait maintenant bien bu tout mon jus d'amour, exactement comme moi je l'avais fais avec le sien avant. Je regarde mon copain avec un grand sourire tout plein. A ce moment-là, Kamikou trop chou me demande s'il a été un bon esclave et si je serais gentil avec lui... Bin moi j'allais surtout lui répondre que oui et tout et tout, quand il fait un truc vraiment trop bizarre en allant s'agenouiller devant-moi. Je suis alors vraiment très très surpris, surtout qu'il me demande si je prendrais bien soin de lui et si j'allais l'emmener avec moi.
- Bin après, même si c'est rigolo de jouer au maitre et à l'esclave, en vérité je t'ai dis que tu étais pas un vrai esclave.
Je le regarde en mettant les mains sur le bassin, avant de passer derrière lui en sautillant. Là, je reprends sa belle queue touffue dans mes mimines. Je la pince et je la caresse, juste avant d'attraper Kamiye par le dessous des bras pour le relever et de le prendre dans mes petits bras à moi. Je le serre alors très très fort dans le dos.
- Tu es vraiment trop rigolo Kamiye, tu sais? Mais si tu veux venir avec moi, je suis d'accord. En plus, tu es tellement trop microchomignon. Tu es tout doux et surtout, j'ai adoré comment on s'est échangés nos laits de zizi. <3
Je continue de le serrer tout fort et tout plein contre moi, tout en lui faisant des bisouillous dans le cou et dans le dos. Après avoir bien câliné mon copain le renard, je retourne en face de lui, tout en mettant ma longue queue de super dragon autour de ses jambes.
- De toutes façons, tu sais que je t'aime déjà? En plus d'être mon ami, tu es mon amoureux. Donc je ne vois vraiment pas pourquoi je dirais non à ce que tu viennes avec moi et qu'on s'amuse ensemble. Et puis, si tu aimes tant que ça qu'on joue au maitre et à l'esclave ensemble, alors on le fera quand on fait l'amour. Au moins c'est plus marrant.
Je lui fais un poutou sur la bouche avant de reculer. A cet instant, il me semble voir Jordy qui attend au loin entre deux arbres et qui nous observe. Je lui fais un très grand sourire, avec un très grand signe de la main pour lui dire qu'il n'y avait pas de danger et qu'il pouvait venir tranquille.
- Jordyyyyy! Tu peux venir, tout va bien. J'ai discuté avec Kamiye et c'est est un gentil. Viens, que je te le présente.
- *J'aurai préféré que vous-vous rhabillez avant de faire les présentations. Je me serai volontiers passé de voir vos triques de nains de jardins.*
Jordy arrive alors doucement vers nous et c'est après que je le présente à mon nouvel ami.
- Jordy, je te présente Kamiye. Kamiye, voila mon beau et tout grand Jordy. C'est lui qui m'accompagne partout. Surtout pour faire mes nouvelles aventures, depuis que je suis parti de chez moi.
- *Pourquoi ne suis-je pas du tout surpris que tu te sois indécemment envoyé en l'air en pleine forêt, avec ce demi-homme qui te ressemble à travers certains aspects plus qu'évidents?*
- Bin après, même si c'est rigolo de jouer au maitre et à l'esclave, en vérité je t'ai dis que tu étais pas un vrai esclave.
Je le regarde en mettant les mains sur le bassin, avant de passer derrière lui en sautillant. Là, je reprends sa belle queue touffue dans mes mimines. Je la pince et je la caresse, juste avant d'attraper Kamiye par le dessous des bras pour le relever et de le prendre dans mes petits bras à moi. Je le serre alors très très fort dans le dos.
- Tu es vraiment trop rigolo Kamiye, tu sais? Mais si tu veux venir avec moi, je suis d'accord. En plus, tu es tellement trop microchomignon. Tu es tout doux et surtout, j'ai adoré comment on s'est échangés nos laits de zizi. <3
Je continue de le serrer tout fort et tout plein contre moi, tout en lui faisant des bisouillous dans le cou et dans le dos. Après avoir bien câliné mon copain le renard, je retourne en face de lui, tout en mettant ma longue queue de super dragon autour de ses jambes.
- De toutes façons, tu sais que je t'aime déjà? En plus d'être mon ami, tu es mon amoureux. Donc je ne vois vraiment pas pourquoi je dirais non à ce que tu viennes avec moi et qu'on s'amuse ensemble. Et puis, si tu aimes tant que ça qu'on joue au maitre et à l'esclave ensemble, alors on le fera quand on fait l'amour. Au moins c'est plus marrant.
Je lui fais un poutou sur la bouche avant de reculer. A cet instant, il me semble voir Jordy qui attend au loin entre deux arbres et qui nous observe. Je lui fais un très grand sourire, avec un très grand signe de la main pour lui dire qu'il n'y avait pas de danger et qu'il pouvait venir tranquille.
- Jordyyyyy! Tu peux venir, tout va bien. J'ai discuté avec Kamiye et c'est est un gentil. Viens, que je te le présente.
- *J'aurai préféré que vous-vous rhabillez avant de faire les présentations. Je me serai volontiers passé de voir vos triques de nains de jardins.*
Jordy arrive alors doucement vers nous et c'est après que je le présente à mon nouvel ami.
- Jordy, je te présente Kamiye. Kamiye, voila mon beau et tout grand Jordy. C'est lui qui m'accompagne partout. Surtout pour faire mes nouvelles aventures, depuis que je suis parti de chez moi.
- *Pourquoi ne suis-je pas du tout surpris que tu te sois indécemment envoyé en l'air en pleine forêt, avec ce demi-homme qui te ressemble à travers certains aspects plus qu'évidents?*
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 02 juil. 2025 18:38, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
Kamiye ne comprend vraiment pas son nouveau Maître…qui ne veut pas être son Maître ? Ce n’est pas un jeu à ses yeux. C’est la dure réalité de sa vie. Et de nombreux autres hommes et femmes comme lui. Et peu importe la race également, du moment qu’elle baisse le menton, porte le poids du collier et fait bien les tâches imposées. Ah si, il a entendu des histoires d’hommes libres. De gens parcourant les routes du monde entier à la recherche d’aventures. Du combat contre des dragons méchants. Des sauvetages de princesses dans des tours tordues. Tout plein de choses. Mais ça appartient aux histoires. Aux autres. Ce n’est pas pour lui. On lui a bien fait comprendre toute sa vie…
Il n’a même pas le temps de s’exprimer qu’il se retrouve déjà sur ses pieds à se faire câliner à nouveau. « Microchomignon » ? Son Maître Dragon s’exprime vraiment bizarrement. Mais il veut bien de lui et ça le fait sourire. Ca redresses ses oreilles et ça agite un peu sa queue caudale qui est en train d’être tripoté à l’instant. Il est content. Du moins, autant que peut l’être un esclave qui obtient une faveur.
Il lève le doigt et s’apprête à demander en bredouillant des explications sur le fait de devoir refaire l’amour dans un temps futur. C’est qu’il croit toujours qu’il devrait le faire avec une fille. Pas qu’il est totalement détesté l’expérience mais… mais voilà déjà que son Maître Dragon s’exprimer avec…son… cheval ?
Kamiye salue alors le cheval comme s’il était son deuxième Maître. Une courbette bien basse alors qu’il est tout nu. Ses mains viennent se poser précipitamment sur son zizi. En se relevant, il ne sait pas trop comment réagir à cette situation inhabituelle. Pour ne pas dire absurde.
« Vous parlez Maître Jordy ? Euh… »
Il se retourne ensuite vers son Maître Dragon.
« Euh, Maître Dragon ? Est-ce que Maître Jordy est aussi un de vos, euh, a-amis ? »
C’est que si c’est le cas !!! Kamiye se souvient avoir du nettoyer de la crotte de cheval dans une écurie. Ses yeux étaient tombés sur une verge de cheval au repos. Quelle monstruosité ! Et connaissant son nouveau Maître, si c’est un ami, l’idée qu’il se retrouve à devoir copiner avec le cheval…euh, de façon rapproché. TRES rapproché ! ne l’emballe pas du tout !
« Et euh…si je vous accompagne à l’aventure, c’est, euh… »
Kamiye s’en va pour ramasser ses frusques déchirées, sales et ne ressemblant plus à rien. Est-ce que ça veut dire qu’il va devoir se balader tout nu jusqu’à…où, en fait ? La prochaine ville ? Le domaine de son nouveau Maître ? Ca vit où un dragon qui est en partie humain ? Quelque chose entre un manoir et une grotte ? Il ne sait pas. Mais il imagine déjà une pièce pleine d’or et de bijoux qui brillent. Ses mains se serrent l’une contre l’autre à hauteur de sa poitrine à cette idée. Peut-être qu’il devient le personnage d’une sorte de conte !
Il n’a même pas le temps de s’exprimer qu’il se retrouve déjà sur ses pieds à se faire câliner à nouveau. « Microchomignon » ? Son Maître Dragon s’exprime vraiment bizarrement. Mais il veut bien de lui et ça le fait sourire. Ca redresses ses oreilles et ça agite un peu sa queue caudale qui est en train d’être tripoté à l’instant. Il est content. Du moins, autant que peut l’être un esclave qui obtient une faveur.
Il lève le doigt et s’apprête à demander en bredouillant des explications sur le fait de devoir refaire l’amour dans un temps futur. C’est qu’il croit toujours qu’il devrait le faire avec une fille. Pas qu’il est totalement détesté l’expérience mais… mais voilà déjà que son Maître Dragon s’exprimer avec…son… cheval ?
Kamiye salue alors le cheval comme s’il était son deuxième Maître. Une courbette bien basse alors qu’il est tout nu. Ses mains viennent se poser précipitamment sur son zizi. En se relevant, il ne sait pas trop comment réagir à cette situation inhabituelle. Pour ne pas dire absurde.
« Vous parlez Maître Jordy ? Euh… »
Il se retourne ensuite vers son Maître Dragon.
« Euh, Maître Dragon ? Est-ce que Maître Jordy est aussi un de vos, euh, a-amis ? »
C’est que si c’est le cas !!! Kamiye se souvient avoir du nettoyer de la crotte de cheval dans une écurie. Ses yeux étaient tombés sur une verge de cheval au repos. Quelle monstruosité ! Et connaissant son nouveau Maître, si c’est un ami, l’idée qu’il se retrouve à devoir copiner avec le cheval…euh, de façon rapproché. TRES rapproché ! ne l’emballe pas du tout !
« Et euh…si je vous accompagne à l’aventure, c’est, euh… »
Kamiye s’en va pour ramasser ses frusques déchirées, sales et ne ressemblant plus à rien. Est-ce que ça veut dire qu’il va devoir se balader tout nu jusqu’à…où, en fait ? La prochaine ville ? Le domaine de son nouveau Maître ? Ca vit où un dragon qui est en partie humain ? Quelque chose entre un manoir et une grotte ? Il ne sait pas. Mais il imagine déjà une pièce pleine d’or et de bijoux qui brillent. Ses mains se serrent l’une contre l’autre à hauteur de sa poitrine à cette idée. Peut-être qu’il devient le personnage d’une sorte de conte !
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
Je regarde encore Kamiye tout étonné quand il se courbe pour s'incliner devant mon Jordy, juste avant de se cacher ensuite le zizi devant lui. Ce qui est plus rigolo par contre, c'est quand il croit qu'il peut vraiment parler. Mais en vrai, j'adorerai qu'il puisse le faire. J'imagine assez bien tout ce qu'on pourrait se raconter d'incroyable. Puis Jordy, ce n'est pas simplement que mon fidèle compagnon, c'est aussi un cheval très intelligent. Et c'est justement ce que Kamiyou me demande, quand il me dit si lui et moi nous sommes amis. Mes oreilles draconiques gigotent toutes seules, avant que je lui réponde avec un tout grand sourire.
- Mais oui et heureusement. D'ailleurs si tu veux vraiment tout savoir, nous avons tous les deux eu un coup de foudre l'un pour l'autre, dès le tout premier jour où nous-nous sommes rencontrés lui et moi. Entre nous deux, c'est pour la vie entière. Jordy est mon meilleur ami à quatre pattes. Il m'accompagne partout où je vais. Et surtout, il me fait toujours confiance et il croit en moi. Où que j'aille, jamais il ne m'a jugé. Je l'aime et il m'aime aussi.
- *Quelle déclaration d'amour foudroyante. J'ai toujours été étonné que tu ne cherches jamais à faire avec moi, les mêmes choses que tu fais avec tous tes autres amis. Mais après tout tant mieux, car tu risquerais d'être déçu si tu saurais que j'ai une nette préférence envers les jolies juments. Bon blague à part, ta sensibilité ne cessera jamais de me toucher.*
Pendant que je prends Jordy dans mes tous petits bras pour lui faire un gros câlin, mon nouvel ami avec qui on s'est échangés nos délicieux jus de zizi en pleine forêt, me demande s'il allait m'accompagner pour partir à l'aventure avec moi. C'est alors que je regarde Jordy et que je lui pose la question, tout en continuant de l'enlacer tout plein.
- Dis Jordy? Tu penses quoi d'emmener avec nous à l'aventure, un gentil ami qui a d'abord voulu me voler mes précieuses affaires et toute ma nourriture?
- *Je pense surtout que tu devrais faire comme lui et te rhabiller. Cette situation devient critiquement embarrassante au plus haut point.*
Je refais un dernier poutou à Jordy, avant de reprendre mes vêtements. La robe glisse rapidement sur moi. C'est pour ça que je les adorais. Elles étaient très pratiques et faciles à mettre pour être joli ou à enlever pour faire l'amour. J'allais ensuite remettre ma culotte en dessous, quand je crois voir une petite tâche dedans.
- Bon et bien il n'y a plus qu'à changer ça. Il y a une tâche de pipi dans ma culotte...
- *On se sera volontiers passé de ce genre de commentaires. Mais j'ai l'habitude.*
C'est quand j'allais prendre une nouvelle culotte toute propre dans mes affaires, que je vois celle de mon ami qui était quand même vraiment pas belle du tout. Elle était même affreuse. Et en plus, il ne portait presque rien du tout sur lui à part ça. C'est alors que j'ai une super idée, pendant que je monte alors sur le dos de Jordy.
- Kamiye? Ça te dirait de venir avec moi dans un beau magasin de vêtements pour avoir ta robe à toi et rien qu'à toi? Une robe toute belle et toute propre qui sera à toi et pour la vie entière? Puis si tu veux, je peux même t'offrir des belles culottes qui vont avec. Comme ça, fini la chose horrible que tu portes sur toi.
Je claque ensuite les rennes de Jordy qui trotte jusqu'à mon ami tout chou. Et lorsque je le regarde en étant bien assis sur la selle, je lui tends la main pour l'inviter à monter avec moi.
- Kamiye? Si tu veux maintenant partir à l'aventure avec moi. Être bien habillé et être tout beau, tout propre. Parfois te battre. Parfois avoir peur, rire et danser. Souvent faire l'amour et recevoir pleins de câlins pour la vie entière, tu n'as qu'une seule chose à faire, c'est de prendre ma main et changer ton destin. Fini les esclaves et les maitres, sauf pour faire comme on a fait ici avec nos bikous. Alors? Qu'est-ce que tu en penses? Tu montes et tu découvres ce monde mystérieux et incroyable avec moi? Ce monde remplis tout plein de trésors et peuplé de gentils chevaliers et autres méchants bandits?
- *Il y a des fois où j'aurai bien aimé pouvoir te parler, histoire que je puisse révéler le plein potentiel du petit poète en herbe qui sommeil en toi, Ashka.*
- Mais oui et heureusement. D'ailleurs si tu veux vraiment tout savoir, nous avons tous les deux eu un coup de foudre l'un pour l'autre, dès le tout premier jour où nous-nous sommes rencontrés lui et moi. Entre nous deux, c'est pour la vie entière. Jordy est mon meilleur ami à quatre pattes. Il m'accompagne partout où je vais. Et surtout, il me fait toujours confiance et il croit en moi. Où que j'aille, jamais il ne m'a jugé. Je l'aime et il m'aime aussi.
- *Quelle déclaration d'amour foudroyante. J'ai toujours été étonné que tu ne cherches jamais à faire avec moi, les mêmes choses que tu fais avec tous tes autres amis. Mais après tout tant mieux, car tu risquerais d'être déçu si tu saurais que j'ai une nette préférence envers les jolies juments. Bon blague à part, ta sensibilité ne cessera jamais de me toucher.*
Pendant que je prends Jordy dans mes tous petits bras pour lui faire un gros câlin, mon nouvel ami avec qui on s'est échangés nos délicieux jus de zizi en pleine forêt, me demande s'il allait m'accompagner pour partir à l'aventure avec moi. C'est alors que je regarde Jordy et que je lui pose la question, tout en continuant de l'enlacer tout plein.
- Dis Jordy? Tu penses quoi d'emmener avec nous à l'aventure, un gentil ami qui a d'abord voulu me voler mes précieuses affaires et toute ma nourriture?
- *Je pense surtout que tu devrais faire comme lui et te rhabiller. Cette situation devient critiquement embarrassante au plus haut point.*
Je refais un dernier poutou à Jordy, avant de reprendre mes vêtements. La robe glisse rapidement sur moi. C'est pour ça que je les adorais. Elles étaient très pratiques et faciles à mettre pour être joli ou à enlever pour faire l'amour. J'allais ensuite remettre ma culotte en dessous, quand je crois voir une petite tâche dedans.
- Bon et bien il n'y a plus qu'à changer ça. Il y a une tâche de pipi dans ma culotte...
- *On se sera volontiers passé de ce genre de commentaires. Mais j'ai l'habitude.*
C'est quand j'allais prendre une nouvelle culotte toute propre dans mes affaires, que je vois celle de mon ami qui était quand même vraiment pas belle du tout. Elle était même affreuse. Et en plus, il ne portait presque rien du tout sur lui à part ça. C'est alors que j'ai une super idée, pendant que je monte alors sur le dos de Jordy.
- Kamiye? Ça te dirait de venir avec moi dans un beau magasin de vêtements pour avoir ta robe à toi et rien qu'à toi? Une robe toute belle et toute propre qui sera à toi et pour la vie entière? Puis si tu veux, je peux même t'offrir des belles culottes qui vont avec. Comme ça, fini la chose horrible que tu portes sur toi.
Je claque ensuite les rennes de Jordy qui trotte jusqu'à mon ami tout chou. Et lorsque je le regarde en étant bien assis sur la selle, je lui tends la main pour l'inviter à monter avec moi.
- Kamiye? Si tu veux maintenant partir à l'aventure avec moi. Être bien habillé et être tout beau, tout propre. Parfois te battre. Parfois avoir peur, rire et danser. Souvent faire l'amour et recevoir pleins de câlins pour la vie entière, tu n'as qu'une seule chose à faire, c'est de prendre ma main et changer ton destin. Fini les esclaves et les maitres, sauf pour faire comme on a fait ici avec nos bikous. Alors? Qu'est-ce que tu en penses? Tu montes et tu découvres ce monde mystérieux et incroyable avec moi? Ce monde remplis tout plein de trésors et peuplé de gentils chevaliers et autres méchants bandits?
- *Il y a des fois où j'aurai bien aimé pouvoir te parler, histoire que je puisse révéler le plein potentiel du petit poète en herbe qui sommeil en toi, Ashka.*
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 04 juil. 2025 15:27, modifié 2 fois.
- Kamiye Goupile
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Son cœur explose dans sa poitrine quand son Maître Dragon lui parle d’un coup de foudre avec Maître Jordy ! Alors-… Et en plus ils s’aiment tous les deux ?! Kamiye baisse la tête, tout gêné. C’est qu’il imagine des choses… Il se souvient à nouveau des proportions monstrueux d’un cheval. Il ne veut pas du tout se retrouver dans ce genre d’épreuve. Dans sa tête, ce serait une mise à mort. Mais son Maître Dragon se fiche de ses états d’âme. Il fait un câlin au cheval. Il le fait culpabiliser en évoquant à nouveau le fait qu’il ait du honteusement voler.
Et puis d’une position en hauteur, son Maître Dragon happe son attention ! Il relève la tête. Ses mains viennent toutes deux masquer sa bouche. Ses yeux brillent d’un intérêt nouveau. Lui ? Il aurait droit de porter de belles choses ? Une robe rien qu’à lui ? Qu’il n’aurait pas à partager avec d’autres esclaves ? Il en prendrait tellement soin !
Maintenant une main tendue. C’est soit un piège soit une forme de scellement de contrat. Kamiye écoute très attentivement.
« Il y a plein de choses que je ne sais pas faire, Maître… euh, A-Ashka. »
*C’est tellement dur d’être si direct. Je ne suis pas sur de réussir à le faire tout le temps… *
« Je suis tout fin et je n’ai pas de griffes au bout de mes mains. J’ai toujours été un esclave qu’on envoyait faire des tâches de lavage et de rangement. Parfois j’ai servi de sorte de jouet vivant pour les princesses et leurs amies, ce genre de demoiselles. Alors…je ne suis vraiment pas très porté sur les choses de l’amour… »
*Je ne vois pas du tout ce que ça pourrait m’apporter de rencontrer de gentils chevaliers. Mais je ne veux pas du tout avoir affaire avec des méchants bandits. Je n’ai pas envie de lui dire et qu’il me laisse ici tout seul dans mon habit tout déchiré et tout gris. Alors… *
« Je veux bien aller à la rencontre des gentils chevaliers. Mais je préfère observer les méchants bandits de loin et qu’ils ne sachent pas que je suis là. Je veux dire, si je suis obligé de rencontrer tout le monde que vous avez évoqué. Sinon, et bien… »
Kamiye tendit sa main vers celle de son Maître Dragon.
« Mais coller à vous, je vais salir votre jolie robe. Ah, et, euh… je ne crois pas que je sois supposé porter des petites culottes. C’est que je suis un garçon, Maî- Ashka. »
Mais ça lui faisait de l’effet. Et il fit en sorte de ne pas être collé-collé à son Maître Dragon pour ressentir un timide durcissement. Il ne voulait pas non plus exciter son Maître Cheval : surtout pas !
Et puis d’une position en hauteur, son Maître Dragon happe son attention ! Il relève la tête. Ses mains viennent toutes deux masquer sa bouche. Ses yeux brillent d’un intérêt nouveau. Lui ? Il aurait droit de porter de belles choses ? Une robe rien qu’à lui ? Qu’il n’aurait pas à partager avec d’autres esclaves ? Il en prendrait tellement soin !
Maintenant une main tendue. C’est soit un piège soit une forme de scellement de contrat. Kamiye écoute très attentivement.
« Il y a plein de choses que je ne sais pas faire, Maître… euh, A-Ashka. »
*C’est tellement dur d’être si direct. Je ne suis pas sur de réussir à le faire tout le temps… *
« Je suis tout fin et je n’ai pas de griffes au bout de mes mains. J’ai toujours été un esclave qu’on envoyait faire des tâches de lavage et de rangement. Parfois j’ai servi de sorte de jouet vivant pour les princesses et leurs amies, ce genre de demoiselles. Alors…je ne suis vraiment pas très porté sur les choses de l’amour… »
*Je ne vois pas du tout ce que ça pourrait m’apporter de rencontrer de gentils chevaliers. Mais je ne veux pas du tout avoir affaire avec des méchants bandits. Je n’ai pas envie de lui dire et qu’il me laisse ici tout seul dans mon habit tout déchiré et tout gris. Alors… *
« Je veux bien aller à la rencontre des gentils chevaliers. Mais je préfère observer les méchants bandits de loin et qu’ils ne sachent pas que je suis là. Je veux dire, si je suis obligé de rencontrer tout le monde que vous avez évoqué. Sinon, et bien… »
Kamiye tendit sa main vers celle de son Maître Dragon.
« Mais coller à vous, je vais salir votre jolie robe. Ah, et, euh… je ne crois pas que je sois supposé porter des petites culottes. C’est que je suis un garçon, Maî- Ashka. »
Mais ça lui faisait de l’effet. Et il fit en sorte de ne pas être collé-collé à son Maître Dragon pour ressentir un timide durcissement. Il ne voulait pas non plus exciter son Maître Cheval : surtout pas !
- Ashka Velaryon
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Quand j'ai dis qu'il allait avoir une belle robe tout à lui, j'ai vu que ça lui a vraiment fait un sacré effet. Mais avant que Kamiye accepte de partir avec moi, pour qu'on écrive ensemble un merveilleux conte d'aventure que le monde entier publiera peut-être un jour sur nous, il hésite d'abord un peu. Il dit qu'il n'est pas vraiment très fort et même pas du tout. Qu'il n'a pas de griffes comme moi pour pouvoir griffer tout ce qui est méchant. Puis qu'il a toujours été un esclave et même un jouet durant toute sa vie entière. Quand je l'entends raconter tout ça, je gonfle les joues en grimaçant, parce que je voulais surtout lui dire que c'était pas grave à l'arrivée. Puis qu'il apprendrait à devenir fort avec le temps et surtout, surtout à croire en l'amour avec un grand AAAAAAAAAA. Et quand mon ami vraiment tout doux a tout révélé de lui, c'est là que Kamiye me prend la main. Je lui souris alors tout plein, bien content et heureux comme un dragon qui se réveille après une longue sieste de plusieurs siècles, pour sortir de sa grotte et voir du paysage. Quand mon renard préféré monte sur mon Jordy, je rigole encore bien à sa remarque d'avoir peur de salir ma robe. Et même encore plus, quand il ne croit pas que les petites culottes de filles, elles peuvent être aussi portées par les garçons. Kamiye était vraiment le renard le plus marrant de toute la terre entière.
- Bon alors top-là Kamiyouchou! Tu vas voir qu'aller à l'aventure, c'est vraiment génial. C'est d'ailleurs même aussi en partie pour ça, que je suis parti de chez moi. Parce que je voulais plus qu'on décide tout pour moi. Et puis je ne crois vraiment pas qu'il n'y ait que les dragons qui ont le droit d'être libre dans le monde. En vrai, je ne sais pas ce qu'elle nous réserve cette aventure, mais je sais juste que j'ai pas peur. Et puis si tu crains de ne pas être assez fort, tu peux toujours faire comme moi et porter une belle armure. Quant aux culottes, jamais je ne serai parti de chez moi sans les prendre. Allez en avant Jordy! On part quelque part pour écrire notre histoire.
- *C'est donc parti pour un nouveau conte glorieux, qui signera probablement le sacrifice inéluctable d'un cheval trop usé par l'imprudence de son jeune maitre fougueux. Sois gentil de demander à celui qui écrira un jour ton livre, de le faire à ma mémoire. Comme ça, tu enverras une partie des fonds récoltés, à mes futurs enfants en guise de dédommagement.*
A cet instant, Jordy accélère et commence à galoper jusqu’à la prochaine ville où on devait se diriger. Tout en regardant tout autour de moi, je continue de parler à mon adorable copain du zikou des forêts.
- Tu vas voir Kamiye, on va bien s'amuser. Le secret, c'est de ne pas avoir peur. Enfin tu as le droit d'avoir peur, parce que moi aussi j'ai parfois peur. Mais disons que même quand ça va mal et que tu crois que tout semble perdu, il suffit de continuer de croire. Tu avances, tu te relèves quand tu prends des coups et tu te bats jusqu'au bout, pour protéger tous ceux que tu aimes et en qui tu crois très fort. C'est comme ça que j'ai compris comment on faisait les grands héros dans tous les livres. D'ailleurs, je compte bien qu'on écrive notre histoire à nous. Mais aussi celle de tous nos futurs amis que l'on rencontrera. Ensemble, on va faire tout plein de grandes et de belles choses incroyables. Et un jour où on ne s'y attendra même pas, on fera un truc tellement épique, que le monde entier chantera de nous tout ce qu'on a fait jusqu'à la fin des temps.
- *Si le monde chante en détail le tout début de votre rencontre, ainsi que vos autres futures histoires de "zizis" qui sont certainement à venir, nul doute que les grands héros sauveurs du monde en devenir que vous êtes, ne vont pas simplement que recevoir ce titre légendaire et glorieux à porter "jusqu'à la fin des temps".*
Quand nous arrivons ensuite dans un passage où la route est encore plus large et dégagée et que je partage toute ma joie avec Kamiye de partir avec quelque part lui dans le monde, je fais encore galoper plus vite Jordy.
- Allez Ya! Ya Jordy! Montrons à notre nouvel ami Kiki-tout-chou aux grandes oreilles poilues et avec sa belle queue toute douce, comme tu es le cheval le plus rapide qui existe.
Jordy qui galope maintenant, claque ses sabots à toute vitesse sur le sol. Je le dirige parfois quand il faut tourner ou esquiver quelque chose sur le chemin. J'adorais quand on allait aussi vite. Surtout si c'est pour aller découvrir des nouveaux endroits formidables. En chemin, alors que j'ai bien l'impression qu'on est en train d'arriver au bon endroit, vu les panneaux en bois qui mentionnent le nom de la ville, je me retourne vers mon copinou d'amour chéri, pour savoir si on allait pas trop vite pour lui.
- Ça va Kamiye? J'espère que tu n'as pas trop peur. Sinon je fais ralentir Jordy. Le monde peut bien nous attendre une minute de plus.
- *Tout comme je passerai une minute de moins ce soir dans une écurie, à potentiellement papoter avec une jument qui possède certainement un propriétaire moins casse-cou que toi.*
- Bon alors top-là Kamiyouchou! Tu vas voir qu'aller à l'aventure, c'est vraiment génial. C'est d'ailleurs même aussi en partie pour ça, que je suis parti de chez moi. Parce que je voulais plus qu'on décide tout pour moi. Et puis je ne crois vraiment pas qu'il n'y ait que les dragons qui ont le droit d'être libre dans le monde. En vrai, je ne sais pas ce qu'elle nous réserve cette aventure, mais je sais juste que j'ai pas peur. Et puis si tu crains de ne pas être assez fort, tu peux toujours faire comme moi et porter une belle armure. Quant aux culottes, jamais je ne serai parti de chez moi sans les prendre. Allez en avant Jordy! On part quelque part pour écrire notre histoire.
- *C'est donc parti pour un nouveau conte glorieux, qui signera probablement le sacrifice inéluctable d'un cheval trop usé par l'imprudence de son jeune maitre fougueux. Sois gentil de demander à celui qui écrira un jour ton livre, de le faire à ma mémoire. Comme ça, tu enverras une partie des fonds récoltés, à mes futurs enfants en guise de dédommagement.*
A cet instant, Jordy accélère et commence à galoper jusqu’à la prochaine ville où on devait se diriger. Tout en regardant tout autour de moi, je continue de parler à mon adorable copain du zikou des forêts.
- Tu vas voir Kamiye, on va bien s'amuser. Le secret, c'est de ne pas avoir peur. Enfin tu as le droit d'avoir peur, parce que moi aussi j'ai parfois peur. Mais disons que même quand ça va mal et que tu crois que tout semble perdu, il suffit de continuer de croire. Tu avances, tu te relèves quand tu prends des coups et tu te bats jusqu'au bout, pour protéger tous ceux que tu aimes et en qui tu crois très fort. C'est comme ça que j'ai compris comment on faisait les grands héros dans tous les livres. D'ailleurs, je compte bien qu'on écrive notre histoire à nous. Mais aussi celle de tous nos futurs amis que l'on rencontrera. Ensemble, on va faire tout plein de grandes et de belles choses incroyables. Et un jour où on ne s'y attendra même pas, on fera un truc tellement épique, que le monde entier chantera de nous tout ce qu'on a fait jusqu'à la fin des temps.
- *Si le monde chante en détail le tout début de votre rencontre, ainsi que vos autres futures histoires de "zizis" qui sont certainement à venir, nul doute que les grands héros sauveurs du monde en devenir que vous êtes, ne vont pas simplement que recevoir ce titre légendaire et glorieux à porter "jusqu'à la fin des temps".*
Quand nous arrivons ensuite dans un passage où la route est encore plus large et dégagée et que je partage toute ma joie avec Kamiye de partir avec quelque part lui dans le monde, je fais encore galoper plus vite Jordy.
- Allez Ya! Ya Jordy! Montrons à notre nouvel ami Kiki-tout-chou aux grandes oreilles poilues et avec sa belle queue toute douce, comme tu es le cheval le plus rapide qui existe.
Jordy qui galope maintenant, claque ses sabots à toute vitesse sur le sol. Je le dirige parfois quand il faut tourner ou esquiver quelque chose sur le chemin. J'adorais quand on allait aussi vite. Surtout si c'est pour aller découvrir des nouveaux endroits formidables. En chemin, alors que j'ai bien l'impression qu'on est en train d'arriver au bon endroit, vu les panneaux en bois qui mentionnent le nom de la ville, je me retourne vers mon copinou d'amour chéri, pour savoir si on allait pas trop vite pour lui.
- Ça va Kamiye? J'espère que tu n'as pas trop peur. Sinon je fais ralentir Jordy. Le monde peut bien nous attendre une minute de plus.
- *Tout comme je passerai une minute de moins ce soir dans une écurie, à potentiellement papoter avec une jument qui possède certainement un propriétaire moins casse-cou que toi.*
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 09 juil. 2025 18:44, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
- Messages : 164
- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
Plus son Maître Dragon parle et moins il est sûr de comprendre. Seuls les dragons sont des créatures libres ? Ah bon ? Et puis, c’est surtout la suite qui accapare ses pensées. Il aurait le droit de porter une armure, lui ? Ce n’est pas trop lourd ? Il ne faut pas avoir un genre d’entraînement ? Et puis, il ne trouve pas que porter une petite culotte mignonne aille avec une grosse armure froide. D’un autre côté, il ne peut pas s’empêcher de penser aux deux en même temps. Et aussi que ça pourrait lui aller. En faisant peut-être des modifications. Mais son esprit n’est pas encore assez libéré de son passé et son imagination, au mieux, imagine le haut de son corps en armure et le bas seulement avec une petite culotte à dentelle contenant à grand peine une érection. Cette vision le fait rougir et il ferme les yeux et il rabat ses grandes oreilles de renard de honte !...
Et dès que le Maître Cheval accélère pour aller jusqu’au galop : Kamiye serre alors fort son Maître Dragon à la taille de ses deux petits bras. Ça va trop vite ! C’est trop intense ! IL VA TOMBER !? Mais il s’accroche. Hors de question de se faire éjecter de l’aventure si vite. Hors de question de perdre son opportunité à une meilleure vie maintenant. Alors il s’accroche. De toute façon, il est bien trop faible pour faire du mal à son Maître Dragon. Et derrière la peur de la vitesse et de cette chose nouvelle : il y a une pointe d’excitation. Parce que c’est excitant d’aller vite !
Son Maître Dragon parle de choses et d’autres. Quand il dit qu’il ne faut pas avoir peur et se relever, ça rappelle beaucoup à Kamiye son expérience d’esclaves. Combien de fois on l’a frappé… Combien de fois, trop faible, il a été incapable de se relever… Combien de fois il a du se relever pour réussir à prendre le balai et accomplir sa tâche péniblement… Mais selon lui, rien de tout ça ne mérite de faire gratter à un moine des pages et des pages d’une petite écriture resserrée. Kamiye ne se sent pas du tout comme un héros. Et il ne pense pas qu’avouer cette vérité à son Maître Dragon sera une chose positive. Alors il garde les mots pour lui. Il serre le corps de son Maître Dragon. Et il essaie de ne pas avoir trop peur alors que le Maître Cheval semble galoper toujours de plus en plus vite !
« Je… Ca va pas trop, Maî- Ashka. J’ai mal aux fesses, un peu. Et ca va vite. Mais en même temps, je crois que c’est agréable. Et… »
De toute façon, dans sa tête, il se concentre sur sa récompense. Se débarrasser de ses anciens habits de travail. Pouvoir posséder quelque chose de vraiment joli pour lui tout seul. Par contre, il n’est pas encore décidé à porter une petite culotte. C’est très joli ! Mais ce n’est pas bien. La robe, c’est déjà compliqué. Mais il en imagine déjà une verte. Verte comme la forêt et les feuilles. Il sourit à cette idée. Mais il a bien trop honte pour en parler à voix haute.
« Je…j’ai faim, Maî-, euh, Ashka. Mais peut-être que vous voulez que je sois présentable avant que vous ne m’affichiez à tout le monde. Je comprends que pour vous, avec une telle armure d’or quand vous la portez, il faut que Maître Cheval et maintenant moi soit dignes de vous. Euh…voilà. »
Et dès que le Maître Cheval accélère pour aller jusqu’au galop : Kamiye serre alors fort son Maître Dragon à la taille de ses deux petits bras. Ça va trop vite ! C’est trop intense ! IL VA TOMBER !? Mais il s’accroche. Hors de question de se faire éjecter de l’aventure si vite. Hors de question de perdre son opportunité à une meilleure vie maintenant. Alors il s’accroche. De toute façon, il est bien trop faible pour faire du mal à son Maître Dragon. Et derrière la peur de la vitesse et de cette chose nouvelle : il y a une pointe d’excitation. Parce que c’est excitant d’aller vite !
Son Maître Dragon parle de choses et d’autres. Quand il dit qu’il ne faut pas avoir peur et se relever, ça rappelle beaucoup à Kamiye son expérience d’esclaves. Combien de fois on l’a frappé… Combien de fois, trop faible, il a été incapable de se relever… Combien de fois il a du se relever pour réussir à prendre le balai et accomplir sa tâche péniblement… Mais selon lui, rien de tout ça ne mérite de faire gratter à un moine des pages et des pages d’une petite écriture resserrée. Kamiye ne se sent pas du tout comme un héros. Et il ne pense pas qu’avouer cette vérité à son Maître Dragon sera une chose positive. Alors il garde les mots pour lui. Il serre le corps de son Maître Dragon. Et il essaie de ne pas avoir trop peur alors que le Maître Cheval semble galoper toujours de plus en plus vite !
« Je… Ca va pas trop, Maî- Ashka. J’ai mal aux fesses, un peu. Et ca va vite. Mais en même temps, je crois que c’est agréable. Et… »
De toute façon, dans sa tête, il se concentre sur sa récompense. Se débarrasser de ses anciens habits de travail. Pouvoir posséder quelque chose de vraiment joli pour lui tout seul. Par contre, il n’est pas encore décidé à porter une petite culotte. C’est très joli ! Mais ce n’est pas bien. La robe, c’est déjà compliqué. Mais il en imagine déjà une verte. Verte comme la forêt et les feuilles. Il sourit à cette idée. Mais il a bien trop honte pour en parler à voix haute.
« Je…j’ai faim, Maî-, euh, Ashka. Mais peut-être que vous voulez que je sois présentable avant que vous ne m’affichiez à tout le monde. Je comprends que pour vous, avec une telle armure d’or quand vous la portez, il faut que Maître Cheval et maintenant moi soit dignes de vous. Euh…voilà. »
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
Quand on accélère, je sens Kamichou qui me serre encore plus fort. Mais comme il ne disait rien, je devais sans doute deviner qu'il aimait vraiment bien qu'on aille vite. Enfin ça allait surtout, jusqu'à ce qu'il me dise qu'il avait mal aux fesses à cause de la selle, mais qu'il trouvait ça agréable. Je lui dis que pour moi, ça dépendait plutôt de comment j'avais mal aux fesses si j'aimais bien ça ou pas.
- Moi, ça dépend plutôt de comment j'ai mal au derrière. Si c'est avec les zizis des autres garçons, alors oui j'aime bien qu'on se fasse mal aux fesses avec ça.
C'est alors qu'on voit enfin la ville devant nous, avec Kamiye qui ne sait pas trop s'il préfère d'abord manger ou être tout beau avec sa belle robe, toute prête à porter. Mais ce qui me surprend, c'est pas qu'il veut manger en plus d'avoir sa robe, mais c'est qu'il ait encore faim, alors qu'il m'a volé presque tout mon déjeuner de toute à l'heure. Mais c'était pas grave, car j'aimais vraiment sentir mon ami tout chou sorti des bois, être tout serré contre-moi. Il était si beau et tellement gentil. Et puis surtout, il portait la queue la plus jolie que j'ai jamais vu de toute ma vie de dragon entière.
Et quand on arrive à la ville, je fais ralentir Jordy. On passe ensuite sous une grande voûte, au niveau des remparts. Arrivé à l'intérieur, alors qu'on voit le beau soleil qui commence tout doucement à se coucher au loin, on passe rapidement devant une grande place, avec une grande fontaine, des arbres et tout plein de boutiques qui vendent de tout. Je demande à un gentil monsieur qui nous regarde bizarrement, où est-ce qu'on pouvait trouver une super écurie avec du foin tout doux, pour mon Jordy adoré. Quand je suis le chemin pavé de belles pierres, je trouve l'endroit que le gentil homme m'a indiqué avec son doigt.
- Allez hop. On descend. C'est ici que Jordy va se reposer, bien manger passer une belle nuit.
- *Enfin. Je crois que je mérite bien du repos, en préparation à ce récit d'aventure des plus chaotiques qui nous attend.*
Une fois à terre, j'aide Kamiye à descendre. Je pars ensuite à l'écurie pour parler au propriétaire et je sors des pièces de ma bourse, pour régler la note de Jordy. Quand j'entre avec lui dans son box où il y a d'autres chevaux qui sont en train de se faire brosser ou de se restaurer, je le serre encore dans mes petits bras, tout en lui faisant des gros câlins dans le cou.
- Bisous, bisous Jordinou. C'est promis, on revient te chercher dès demain matin. Je t'aime tellement très fort.
- (jument voisine de Jordy) : *Excusez-moi? Votre ami est toujours comme ça? C'est tellement mignon.*
- *Oh oui. Mais croyez-moi, si je vous raconte le reste, vous prendriez certainement peur.*
- *Ah bon? Et bien je suis curieuse d'entendre votre fabuleuse histoire. Un jeune garçon dragon qui est habillé avec une robe, ça ne se voit pas tous les jours. Surtout par ici.*
Après avoir bien enlacé Jordy et fait encore plein de pouyous, je sors ensuite de l'écurie pour retrouver Kamiye qui m'attend.
- Allez viens Kakichou. On va d'abord aller t'acheter une belle robe, chez le plus beau couturier de cette grande ville. Mais avant, il faudrait peut-être que tu te laves dans la fontaine qu'on a vu en entrant dans la ville. Comme ça, tu sentiras bon et tu seras tout beau et tout propre pour entrer.
Je prends ensuite la main de Kamiye, comme les amoureux que nous sommes. En chemin, je caresse ses jambes avec ma grande queue de dragon tout plein. Quand on arrive à la fontaine avec la grande place aux arbres et aux boutiques, je sors de mes affaires un savon pour qu'il se lave dans l'eau.
- Tiens. Prends ce savon de chez moi et lave-toi tout nu dedans. Et après, je te prête une de mes robes, pour que tu puisses être tout beau. Parce que j'ai jamais compris pourquoi, mais dans les jolies boutiques, les gens n'aiment pas quand on est tout sales et qu'on sent mauvais.
Je fais ensuite un bisou sur la joue de mon copain renard, avant d'ouvrir mon sac et de commencer à chercher une autre belle robe à lui prêter.
- Moi, ça dépend plutôt de comment j'ai mal au derrière. Si c'est avec les zizis des autres garçons, alors oui j'aime bien qu'on se fasse mal aux fesses avec ça.
C'est alors qu'on voit enfin la ville devant nous, avec Kamiye qui ne sait pas trop s'il préfère d'abord manger ou être tout beau avec sa belle robe, toute prête à porter. Mais ce qui me surprend, c'est pas qu'il veut manger en plus d'avoir sa robe, mais c'est qu'il ait encore faim, alors qu'il m'a volé presque tout mon déjeuner de toute à l'heure. Mais c'était pas grave, car j'aimais vraiment sentir mon ami tout chou sorti des bois, être tout serré contre-moi. Il était si beau et tellement gentil. Et puis surtout, il portait la queue la plus jolie que j'ai jamais vu de toute ma vie de dragon entière.
Et quand on arrive à la ville, je fais ralentir Jordy. On passe ensuite sous une grande voûte, au niveau des remparts. Arrivé à l'intérieur, alors qu'on voit le beau soleil qui commence tout doucement à se coucher au loin, on passe rapidement devant une grande place, avec une grande fontaine, des arbres et tout plein de boutiques qui vendent de tout. Je demande à un gentil monsieur qui nous regarde bizarrement, où est-ce qu'on pouvait trouver une super écurie avec du foin tout doux, pour mon Jordy adoré. Quand je suis le chemin pavé de belles pierres, je trouve l'endroit que le gentil homme m'a indiqué avec son doigt.
- Allez hop. On descend. C'est ici que Jordy va se reposer, bien manger passer une belle nuit.
- *Enfin. Je crois que je mérite bien du repos, en préparation à ce récit d'aventure des plus chaotiques qui nous attend.*
Une fois à terre, j'aide Kamiye à descendre. Je pars ensuite à l'écurie pour parler au propriétaire et je sors des pièces de ma bourse, pour régler la note de Jordy. Quand j'entre avec lui dans son box où il y a d'autres chevaux qui sont en train de se faire brosser ou de se restaurer, je le serre encore dans mes petits bras, tout en lui faisant des gros câlins dans le cou.
- Bisous, bisous Jordinou. C'est promis, on revient te chercher dès demain matin. Je t'aime tellement très fort.
- (jument voisine de Jordy) : *Excusez-moi? Votre ami est toujours comme ça? C'est tellement mignon.*
- *Oh oui. Mais croyez-moi, si je vous raconte le reste, vous prendriez certainement peur.*
- *Ah bon? Et bien je suis curieuse d'entendre votre fabuleuse histoire. Un jeune garçon dragon qui est habillé avec une robe, ça ne se voit pas tous les jours. Surtout par ici.*
Après avoir bien enlacé Jordy et fait encore plein de pouyous, je sors ensuite de l'écurie pour retrouver Kamiye qui m'attend.
- Allez viens Kakichou. On va d'abord aller t'acheter une belle robe, chez le plus beau couturier de cette grande ville. Mais avant, il faudrait peut-être que tu te laves dans la fontaine qu'on a vu en entrant dans la ville. Comme ça, tu sentiras bon et tu seras tout beau et tout propre pour entrer.
Je prends ensuite la main de Kamiye, comme les amoureux que nous sommes. En chemin, je caresse ses jambes avec ma grande queue de dragon tout plein. Quand on arrive à la fontaine avec la grande place aux arbres et aux boutiques, je sors de mes affaires un savon pour qu'il se lave dans l'eau.
- Tiens. Prends ce savon de chez moi et lave-toi tout nu dedans. Et après, je te prête une de mes robes, pour que tu puisses être tout beau. Parce que j'ai jamais compris pourquoi, mais dans les jolies boutiques, les gens n'aiment pas quand on est tout sales et qu'on sent mauvais.
Je fais ensuite un bisou sur la joue de mon copain renard, avant d'ouvrir mon sac et de commencer à chercher une autre belle robe à lui prêter.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 12 juil. 2025 17:19, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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« M-mais… »
Kamiye ne comprend pas. Il regarde la fontaine publique avec de grands yeux d’incompréhension. Mais c’est peine perdue d’essayer d’expliquer quoique ce soit à son Maître Dragon. Vit-il dans un autre monde dans sa tête ? L’idée le traverse rapidement. Et puis, les quelques gens autour suppriment ce genre de pensées. Les regards des autres mettent Kamiye mal à l’aise. Il est sensible au jugement. Sa bouche s’ouvre à nouveau. Oui ! C’est décidé, il va lui expliquer qu’une fontaine dans une ville, ça ne doit pas servir à ça. Et puis… qu’en sait-il vraiment, lui, l’esclave enfermé depuis toujours entre quatre murs ?
Enfant : « Ah ah ah ! Maman maman ! Regarde, je vais faire une bombe ! »
Un enfant qui doit avoir sept ou huit ans. Un petit garçon aussi nu qu’un verre et insouciant comme un dragon en robe. Lui n’a pas de savon. Personne ne lui a dit d’aller dans l’eau de la fontaine mais-…
(PLOUF !)
…voilà. Il y est. Dedans. Avec un grand sourire comme si c’était la plus merveilleuse des choses à faire au monde. Des gens le regardent. Des regards compatissants. A son âge à lui, on pardonne toutes les erreurs de ce genre. Alors Kamiye regarde la fontaine puis le savon dans sa main. Puis le petit garçon lançant de l’eau récupéré dans ses deux mains jointes, puis son Maître Dragon.
Et il se déshabille vite vite ! Ses deux mains viennent cacher son sexe et ils foncent vers la fontaine. Mais il ne saute pas dedans. Il enjambe rapidement le petit muret de la fontaine. Le bout de ses doigts de pied de renard jauge la température. Et puis il arrête de réfléchir et s’immerge tout dedans !
*Ce n’était pas si terrible. Ca va. Et puis elle est plutôt bonne. Mince ! J’ai laissé mon ancien habit par terre là-bas ! *
Enfant : « Salut, toi ! Dis donc, elles sont grandes tes oreilles ! Pourquoi tu as de grandes oreilles ? Et pourquoi tu es dans l’eau ? Tu n’as pas d’eau chez toi ? »
Maman : « A qui tu parles ? AAAaaahhh ! Sors de l’eau ! Tout de suite ! PERVERS, va ! Vous n’avez pas honte ?! »
La maman attrape le poignet de son enfant et l’oblige à sortir de l’eau. Des éclaboussures la trempent mais, de toute façon, elle ne pourrait jamais gagner un concours de tee-shirt mouillé. Aucune chance que cette femme en colère provoque une érection chez Kamiye. Et lui se retrouve tout penaud. En position fœtale dans l’eau. Avec juste une main qui sort de l’eau pour ne pas gâcher le savon et le laisser tout dur à l’air libre.
Kamiye ne comprend pas. Il regarde la fontaine publique avec de grands yeux d’incompréhension. Mais c’est peine perdue d’essayer d’expliquer quoique ce soit à son Maître Dragon. Vit-il dans un autre monde dans sa tête ? L’idée le traverse rapidement. Et puis, les quelques gens autour suppriment ce genre de pensées. Les regards des autres mettent Kamiye mal à l’aise. Il est sensible au jugement. Sa bouche s’ouvre à nouveau. Oui ! C’est décidé, il va lui expliquer qu’une fontaine dans une ville, ça ne doit pas servir à ça. Et puis… qu’en sait-il vraiment, lui, l’esclave enfermé depuis toujours entre quatre murs ?
Enfant : « Ah ah ah ! Maman maman ! Regarde, je vais faire une bombe ! »
Un enfant qui doit avoir sept ou huit ans. Un petit garçon aussi nu qu’un verre et insouciant comme un dragon en robe. Lui n’a pas de savon. Personne ne lui a dit d’aller dans l’eau de la fontaine mais-…
(PLOUF !)
…voilà. Il y est. Dedans. Avec un grand sourire comme si c’était la plus merveilleuse des choses à faire au monde. Des gens le regardent. Des regards compatissants. A son âge à lui, on pardonne toutes les erreurs de ce genre. Alors Kamiye regarde la fontaine puis le savon dans sa main. Puis le petit garçon lançant de l’eau récupéré dans ses deux mains jointes, puis son Maître Dragon.
Et il se déshabille vite vite ! Ses deux mains viennent cacher son sexe et ils foncent vers la fontaine. Mais il ne saute pas dedans. Il enjambe rapidement le petit muret de la fontaine. Le bout de ses doigts de pied de renard jauge la température. Et puis il arrête de réfléchir et s’immerge tout dedans !
*Ce n’était pas si terrible. Ca va. Et puis elle est plutôt bonne. Mince ! J’ai laissé mon ancien habit par terre là-bas ! *
Enfant : « Salut, toi ! Dis donc, elles sont grandes tes oreilles ! Pourquoi tu as de grandes oreilles ? Et pourquoi tu es dans l’eau ? Tu n’as pas d’eau chez toi ? »
Maman : « A qui tu parles ? AAAaaahhh ! Sors de l’eau ! Tout de suite ! PERVERS, va ! Vous n’avez pas honte ?! »
La maman attrape le poignet de son enfant et l’oblige à sortir de l’eau. Des éclaboussures la trempent mais, de toute façon, elle ne pourrait jamais gagner un concours de tee-shirt mouillé. Aucune chance que cette femme en colère provoque une érection chez Kamiye. Et lui se retrouve tout penaud. En position fœtale dans l’eau. Avec juste une main qui sort de l’eau pour ne pas gâcher le savon et le laisser tout dur à l’air libre.
- Ashka Velaryon
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(PLOUF !)
Quand j'ai eu l'idée de faire pareil en voyant le petit garçon tout chou sauter dans la fontaine, avec sa maman qui le regardait avec tout plein de tendresse, je me suis déshabillé pour faire exactement pareil. Mais je ne comprenais pas pourquoi elle était toujours en colère quand j'ai fais pareil, alors qu'elle avait grondé Kamiye juste avant et qui n'avait pourtant rien fait de mal.
- (Une maman vraiment très en colère) : Mais c'est pas possible! Comment n'avez-vous pas honte de faire ça devant tout le monde et surtout devant mon fils? Il y a des rivières à la sortie de la ville pour ça! Allez viens Lifan, on s'en va!
- (Enfant penaud) : Mais, mais pourquoi m'an? Je m'amusais bien...
Pendant que Kamiye s'amuse à rester sous l'eau avec le bras et le savon à l'air, je demande à la dame pourquoi elle était si en colère. Surtout que j'avais fais la même chose que son enfant à elle.
- Mais j'ai pensé que vous auriez trouvé ça rigolo que je fasse pareil, quand votre petit garçon il a fait ça aussi en faisant un bombe dans la fontaine.
- Laissez donc mon fils en dehors de tout ça et ne m'adressez plus la parole ou j'appelle les premiers gardes que je vois. Roh!!!
- Maman? Tu ne trouves pas qu'il sont tous les deux marrant, avec leurs grandes queues qu'ils ont derrière eux? Mais pourquoi ils ressemblent à des filles, alors qu'ils ont un...?
- Tais-toi! Finis de t'habiller et on s'en va! Et puis j'ai encore du rangement et la cuisine à préparer.
Je regarde bizarrement la maman avec son enfant rigolo, avant de me tourner ensuite vers Kamiye et de lui jeter de l'eau dessus, tout en riant.
- Allez Kikichou. Bataille d'eau! Hihihi!
Après l'avoir bien tout éclaboussé et gigoté tout plein dans la fontaine pendant un instant, je me rapproche ensuite de lui et je le prends bien fort dans mes bras. Je me sentais tellement bien avec Kamiye ici, tous les deux tout nus dans cette fontaine en plein sur la jolie grande place et avec ce soleil qui commençait doucement à briller orange. J'étais vraiment heureux. C'est vraiment là que je me disais, que je ne regrettais vraiment pas d'être parti de chez moi. Si c'était souvent comme ça l'aventure, alors j'en veux bien tous les jours. Et après être resté collé à mon bel ami tout mouillé, je lui prends le savon de ses mimi-patounes
- Allez Kamiyou. Il est temps de te laver, pour que tu sois tout propre après et que tu sentes bon, pour aller t'acheter ta jolie robe.
Je commence alors à frotter le savon qui sent bon de chez moi dans mes mains, avant d'aller derrière-lui. Là, pendant que j'ai le zizi collé contre lui, je passe bien le savon dans ses beaux cheveux que je frotte bien fort, avant de toucher tout doucement ses grandes oreilles, qui devaient sûrement être aussi sensibles que les miennes. Et quand il était tout savonneux comme un... bonhomme de savon, je lui demande de se lever après, pour que je puisse bien tout le laver en entier.
- C'est bon Kamiye. Il faut que tu te lèves maintenant, pour que je puisse bien tout te nettoyer de partout. Et après si tu veux, tu pourras même me laver aussi.
Je lui fais un pouyou dans le cou, avant de me reculer de mon amoureux des forêts et des jolies fontaines. Je le regardais avec ses poils tout mouillés et qui n'étaient maintenant plus très doux, attendant qu'il se lève pour lui savonner le corps.
- (Une maman vraiment très en colère) : Mais c'est pas possible! Comment n'avez-vous pas honte de faire ça devant tout le monde et surtout devant mon fils? Il y a des rivières à la sortie de la ville pour ça! Allez viens Lifan, on s'en va!
- (Enfant penaud) : Mais, mais pourquoi m'an? Je m'amusais bien...
Pendant que Kamiye s'amuse à rester sous l'eau avec le bras et le savon à l'air, je demande à la dame pourquoi elle était si en colère. Surtout que j'avais fais la même chose que son enfant à elle.
- Mais j'ai pensé que vous auriez trouvé ça rigolo que je fasse pareil, quand votre petit garçon il a fait ça aussi en faisant un bombe dans la fontaine.
- Laissez donc mon fils en dehors de tout ça et ne m'adressez plus la parole ou j'appelle les premiers gardes que je vois. Roh!!!
- Maman? Tu ne trouves pas qu'il sont tous les deux marrant, avec leurs grandes queues qu'ils ont derrière eux? Mais pourquoi ils ressemblent à des filles, alors qu'ils ont un...?
- Tais-toi! Finis de t'habiller et on s'en va! Et puis j'ai encore du rangement et la cuisine à préparer.
Je regarde bizarrement la maman avec son enfant rigolo, avant de me tourner ensuite vers Kamiye et de lui jeter de l'eau dessus, tout en riant.
- Allez Kikichou. Bataille d'eau! Hihihi!
Après l'avoir bien tout éclaboussé et gigoté tout plein dans la fontaine pendant un instant, je me rapproche ensuite de lui et je le prends bien fort dans mes bras. Je me sentais tellement bien avec Kamiye ici, tous les deux tout nus dans cette fontaine en plein sur la jolie grande place et avec ce soleil qui commençait doucement à briller orange. J'étais vraiment heureux. C'est vraiment là que je me disais, que je ne regrettais vraiment pas d'être parti de chez moi. Si c'était souvent comme ça l'aventure, alors j'en veux bien tous les jours. Et après être resté collé à mon bel ami tout mouillé, je lui prends le savon de ses mimi-patounes
- Allez Kamiyou. Il est temps de te laver, pour que tu sois tout propre après et que tu sentes bon, pour aller t'acheter ta jolie robe.
Je commence alors à frotter le savon qui sent bon de chez moi dans mes mains, avant d'aller derrière-lui. Là, pendant que j'ai le zizi collé contre lui, je passe bien le savon dans ses beaux cheveux que je frotte bien fort, avant de toucher tout doucement ses grandes oreilles, qui devaient sûrement être aussi sensibles que les miennes. Et quand il était tout savonneux comme un... bonhomme de savon, je lui demande de se lever après, pour que je puisse bien tout le laver en entier.
- C'est bon Kamiye. Il faut que tu te lèves maintenant, pour que je puisse bien tout te nettoyer de partout. Et après si tu veux, tu pourras même me laver aussi.
Je lui fais un pouyou dans le cou, avant de me reculer de mon amoureux des forêts et des jolies fontaines. Je le regardais avec ses poils tout mouillés et qui n'étaient maintenant plus très doux, attendant qu'il se lève pour lui savonner le corps.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 16 juil. 2025 17:09, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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La maman allait appeler la garde ! Les yeux de Kamiye se dilatèrent sous la peur. Ses souvenirs le firent revenir dans ses châteaux où il avait servi. Prisonnier entre quatre murs, on ne pouvait jamais s’enfuir contre une paire de gardes en armure sadique et violent. Si la maman-…
« Quoi ? Mais… »
Son Maître Dragon l’éclaboussait. Un jeu. Il y allait avec une telle volonté et un si grand sourire que Kamiye en fut comme immobilisé. La peur ne parvenait plus à le contaminer. Elle recula. Et il se retrouva à agir mécaniquement. Fermer les yeux pour ne pas que l’eau lui fasse du mal. Lever les bras pour contenir les gerbes d’eau. Et puis il se laissa contaminer par autre chose. Par cette joie qui irradiait de son Maître Dragon. Il se retrouva à l’éclabousser à son tour. Un petit enfant en lui rattrapait le temps perdu. C’était illusoire. Il était déjà trop grand. Il ne pouvait pas recommencer à vivre depuis le début. Mais son Maître Dragon lui offra une possibilité de renouer avec le petit garçon en lui.
Puis ce fut fini. Et avant qu’il comprenne ou puisse le remercier, son Maître Dragon lui faisait un câlin. C’était aussi agréable. Quelqu’un s’occupait de lui. C’était nouveau. Oui, c’était définitivement agréable. Il ne fit donc pas le difficile et se laissa faire. Il était dans une petite bulle. Il n’y avait plus que lu, son Maître Dragon, la fontaine et le savon. Tout ce qui était au-delà n’existait plus. Il n’y avait plus que du « blanc ». Comme si tout le reste du décor et des figurants n’existaient pas. Il écarta les bras et se laissa savonner.
Un délicieux frisson le parcourt. Collé contre son Maître Dragon, ce dernier l’a forcément remarqué. C’est qu’il a glissé ses mains tout gentiment ses deux grandes oreilles de renard.
« D’accord. Je me lève. »
Kamiye fait donc face à son Maître Dragon. Dans sa tête, c’est le vide. Parce qu’il est dans sa petite bulle. Parce qu’il se sent choyé. Parce qu’il fait confiance à son Maître Dragon et sa gentillesse. Donc il se trouve debout face à lui. Les yeux fermés. Son petit sexe au repos. Il est tellement bien et ailleurs qu’il ressentira un petit plaisir fugace à se faire nettoyer entre les jambes. Comme des guilis. Mais il n’y aura rien d’excitant pour lui. (sauf si vraiment son Maître Dragon chercher à aller dans ce sens. Mais normalement non)
« Merci et merci ! Je me sens tout propre. Un peu plus détendu aussi, je crois. »
Quand ce sera autour de Kamiye de nettoyer son Maître Dragon, ce dernier réalisera alors les « avantages » de s’être lié avec un ancien esclave. Car Kamiye a aussi lavé beaucoup de gens durant ses années de labeur. Et c’est quelque chose qu’il sait très bien faire. Il aura été un peu embêté au début par le corps draconique. Mais l’expérience l’aura vite aider à accomplir sa mission.
« Quoi ? Mais… »
Son Maître Dragon l’éclaboussait. Un jeu. Il y allait avec une telle volonté et un si grand sourire que Kamiye en fut comme immobilisé. La peur ne parvenait plus à le contaminer. Elle recula. Et il se retrouva à agir mécaniquement. Fermer les yeux pour ne pas que l’eau lui fasse du mal. Lever les bras pour contenir les gerbes d’eau. Et puis il se laissa contaminer par autre chose. Par cette joie qui irradiait de son Maître Dragon. Il se retrouva à l’éclabousser à son tour. Un petit enfant en lui rattrapait le temps perdu. C’était illusoire. Il était déjà trop grand. Il ne pouvait pas recommencer à vivre depuis le début. Mais son Maître Dragon lui offra une possibilité de renouer avec le petit garçon en lui.
Puis ce fut fini. Et avant qu’il comprenne ou puisse le remercier, son Maître Dragon lui faisait un câlin. C’était aussi agréable. Quelqu’un s’occupait de lui. C’était nouveau. Oui, c’était définitivement agréable. Il ne fit donc pas le difficile et se laissa faire. Il était dans une petite bulle. Il n’y avait plus que lu, son Maître Dragon, la fontaine et le savon. Tout ce qui était au-delà n’existait plus. Il n’y avait plus que du « blanc ». Comme si tout le reste du décor et des figurants n’existaient pas. Il écarta les bras et se laissa savonner.
Un délicieux frisson le parcourt. Collé contre son Maître Dragon, ce dernier l’a forcément remarqué. C’est qu’il a glissé ses mains tout gentiment ses deux grandes oreilles de renard.
« D’accord. Je me lève. »
Kamiye fait donc face à son Maître Dragon. Dans sa tête, c’est le vide. Parce qu’il est dans sa petite bulle. Parce qu’il se sent choyé. Parce qu’il fait confiance à son Maître Dragon et sa gentillesse. Donc il se trouve debout face à lui. Les yeux fermés. Son petit sexe au repos. Il est tellement bien et ailleurs qu’il ressentira un petit plaisir fugace à se faire nettoyer entre les jambes. Comme des guilis. Mais il n’y aura rien d’excitant pour lui. (sauf si vraiment son Maître Dragon chercher à aller dans ce sens. Mais normalement non)
« Merci et merci ! Je me sens tout propre. Un peu plus détendu aussi, je crois. »
Quand ce sera autour de Kamiye de nettoyer son Maître Dragon, ce dernier réalisera alors les « avantages » de s’être lié avec un ancien esclave. Car Kamiye a aussi lavé beaucoup de gens durant ses années de labeur. Et c’est quelque chose qu’il sait très bien faire. Il aura été un peu embêté au début par le corps draconique. Mais l’expérience l’aura vite aider à accomplir sa mission.
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
J'étais content de voir Kamiye tout heureux, avec moi dans l'eau. Lui aussi, il méritait vraiment tout plein d'amour et d'attention. Il méritait d'être beau, propre, choyé, câliné, caressé, pris dans mes petit bras de dragon tout à moi... Alors quand il se lève en étant hors de l'eau et tout nu, je fais pareil que lui. Je me rapproche avec mon savon en forme de dragon, avec un cœur au milieu et qui sentait bon le chez moi. Pendant que je passe mes mains dans sa nuque et dans son dos tout lisses, comme ceux qu'ont les bébés dragons, j'enroule encore l'une de ses jambes avec ma grande queue. Je voulais lui faire savoir que j'étais là tout pour lui et rien qu'à lui. Que je veillais sur lui et que je l'aimais. Et quand j'ai fini de passer mes mains devenues toutes savonneuses dans son dos, je m'amuse à frotter un peu coquinement sur ses petites fesses toute mignonnes. Je les masse tout en douceur et bien tout en rond. Et puis j'insère après, mais pas trop fort, une partie de mon doigt dans son petit trou de derrière tout mimi, avant de le ressortir presque tout de suite et tout en faisant attention de ne pas lui faire mal avec ma griffe pointue.
- Ce qui est quand même rigolo, c'est que tous ceux qui ont pas d'écailles, ont une peau absolument toute lisse et toute douce. La mienne elle est douce aussi oui, mais c'est pas pareil. Même les dragons qui peuvent se transformer et avoir une vraie apparence humaine ou juste avec quelques petits traits animal tout mignons comme toi, ils ont cette peau lisse que les dragons comme moi n'ont pas tout à fait. Mais je suis pas jaloux du tout, en vrai. Enfin peut-être parfois un tout petit peu quand même. Mais c'est juste que j'aimerai savoir ce que ça fait que d'avoir une peau comme la tienne. Surtout quand on te la touche comme ça... Guilis-guilis-guilis!
Je refais un pouyou à Kamiye dans le cou, avant de le chatouiller doucement sous les bras. Alors que ça le fait rire et que je vois des gens qui nous regardent comme bizarrement, je passe ensuite le savon sur ses bras. Quand j'arrive au niveau de ses mains, je les prends un instant tout affectueusement. Quand je l'es ais lâchées et que j'ai ensuite bien frotté ses jambes et ses pieds en les chatouillant aussi, j'ai passé mes mains sur son bikou redevenu maintenant tout petit. J'ai doucement tiré dessus, avant de lui frotter son petit bout tout sensible et tout mignon que j'avais mis en bouche toute à l'heure, quand on était ensemble dans la forêt. Et après ça, je me suis occupé cette fois de la toute dernière partie de son corps, sa belle grosse queue de renard immense. Vraiment trop douce à toucher et toute belle à regarder tout plein.
- Allez. Il ne me reste plus qu'à m'occuper de mon deuxième amoureux tout grand et tout doux, mais qui ne l'est plus vraiment quand il est tout mouillé.
Je passe lentement mes mains draconiques que j'ai encore bien savonné avec le savon de chez moi, d'abord sur la base de sa queue. Avec douceur et en utilisant les pouces à certains endroits, je continue doucement, jusqu'à arriver au mignon petit bout de celle-ci. J'appuie alors avec un doigt bien fort dessus pour le faire réagir, parce que moi aussi j'étais super tout sensible à cet endroit.
- Voila Kikichou. C'est fini. Tu n'auras plus qu'à te rincer dans l'eau après et tu seras tout propre. Mais avant, il faut que tu me savonnes toi aussi. Enfin... je peux le faire tout seul en vrai mais... bon voila...
Je regarde mon amoureux des forêts et des fontaines, avec un grand sourire, avant de lui tendre le savon. En vérité, je savais qu'on pouvait se laver chacun tout seuls comme des grands, mais je voulais qu'on fasse vraiment tout, tout ensemble, comme les amoureux qu'on est. Et puis parce que j'aime ça. J'aime quand on s'occupe de moi et quand je m'occupe des autres.
- Ce qui est quand même rigolo, c'est que tous ceux qui ont pas d'écailles, ont une peau absolument toute lisse et toute douce. La mienne elle est douce aussi oui, mais c'est pas pareil. Même les dragons qui peuvent se transformer et avoir une vraie apparence humaine ou juste avec quelques petits traits animal tout mignons comme toi, ils ont cette peau lisse que les dragons comme moi n'ont pas tout à fait. Mais je suis pas jaloux du tout, en vrai. Enfin peut-être parfois un tout petit peu quand même. Mais c'est juste que j'aimerai savoir ce que ça fait que d'avoir une peau comme la tienne. Surtout quand on te la touche comme ça... Guilis-guilis-guilis!
Je refais un pouyou à Kamiye dans le cou, avant de le chatouiller doucement sous les bras. Alors que ça le fait rire et que je vois des gens qui nous regardent comme bizarrement, je passe ensuite le savon sur ses bras. Quand j'arrive au niveau de ses mains, je les prends un instant tout affectueusement. Quand je l'es ais lâchées et que j'ai ensuite bien frotté ses jambes et ses pieds en les chatouillant aussi, j'ai passé mes mains sur son bikou redevenu maintenant tout petit. J'ai doucement tiré dessus, avant de lui frotter son petit bout tout sensible et tout mignon que j'avais mis en bouche toute à l'heure, quand on était ensemble dans la forêt. Et après ça, je me suis occupé cette fois de la toute dernière partie de son corps, sa belle grosse queue de renard immense. Vraiment trop douce à toucher et toute belle à regarder tout plein.
- Allez. Il ne me reste plus qu'à m'occuper de mon deuxième amoureux tout grand et tout doux, mais qui ne l'est plus vraiment quand il est tout mouillé.
Je passe lentement mes mains draconiques que j'ai encore bien savonné avec le savon de chez moi, d'abord sur la base de sa queue. Avec douceur et en utilisant les pouces à certains endroits, je continue doucement, jusqu'à arriver au mignon petit bout de celle-ci. J'appuie alors avec un doigt bien fort dessus pour le faire réagir, parce que moi aussi j'étais super tout sensible à cet endroit.
- Voila Kikichou. C'est fini. Tu n'auras plus qu'à te rincer dans l'eau après et tu seras tout propre. Mais avant, il faut que tu me savonnes toi aussi. Enfin... je peux le faire tout seul en vrai mais... bon voila...
Je regarde mon amoureux des forêts et des fontaines, avec un grand sourire, avant de lui tendre le savon. En vérité, je savais qu'on pouvait se laver chacun tout seuls comme des grands, mais je voulais qu'on fasse vraiment tout, tout ensemble, comme les amoureux qu'on est. Et puis parce que j'aime ça. J'aime quand on s'occupe de moi et quand je m'occupe des autres.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 21 juil. 2025 18:50, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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Kamiye se sentait choyé. Il réalisa qu’il s’abandonnait aux mains de son Maître Dragon. Alors oui, son nouveau Maître était coquin. Il s’égarait beaucoup sur son corps. Il testait ses limites. Kamiye le savait. La moindre de ses réactions était surveillée. Mais franchement, il ne détesta pas ce bout de doigt tenter de s’infiltrer entre ses deux fesses. Pas qu’il réclamait une pénétration, attention. Mais la façon dont son Maître Dragon le touchait ? Ce n’était pas non plus de l’amour. Il n’était pas sur de savoir ce qu’était l’amour, tomber amoureux et tout ça. Mais il aimait beaucoup se sentir important aux yeux de quelqu’un. Et en même temps qu’il apprenait ce sentiment, il réalisait également qu’avec la venue de l’espoir s’accompagnait sa face noire. La peur de perdre cette attention. D’être manipulé par quelqu’un qui ne cherchait pas à l’exploiter.
Il s’immerge complètement dans l’eau et y reste quelques secondes avant de remonter respirer. C’est fou ce qu’il vit. Etre propre déjà. Ce n’est pas quelque chose de « normal » pour lui. Se faire laver, c’est pareil : c’est une nouveauté. Il repense aux doigts de son Maître Dragon. Quand il a baissé les yeux, il a bien vu, bien ressenti, l’attention qu’il portait à son zizi. S’il a repensé au fait qu’il l’a pris dans sa bouche, il se dit d’abord que c’est une grande preuve de confiance. Et il réalise qu’il lui fait confiance. Et aussi peut-être qu’il devra faire attention à l’avenir. Un instinct. Un pressentiment. Peut-être que son nouveau Maître est très gentil. Trop ? Il devra faire attention probablement…
« J’aime beaucoup la forme du savon. Mais c’est quand même un peu dommage qu’il disparaisse au fur et à mesure. Pour moi, il ressemble à une œuvre d’art. Alors ça me fait bizarre de le détruire pour qu’on puisse se laver. »
D’abord, il commence par le dos de son Maître Dragon. Parce que ça lui évite de le regarder en face. De sentir le poids de son regard. Les intentions derrière son sourire. Ce n’est pas qu’il est méchant son Maître Dragon, mais lui il est plutôt timide. Tout ça, il faut qu’il s’y habitue. Alors il commence par frotter le petit dragon contre le dragon humain. Comme si faire disparaitre le petit dragon de savon dans le grand était une façon de lui redonner des forces. Et il est vrai qu’en étant tout propre et en sentant bon, Kamiye se sent mieux. Plus fort ? Peut-être, oui.
Il s’occupe ensuite de la queue caudale. Et ça le passionne. Cette grande queue qui s’enroule autour de ses jambes comme si son Maître Dragon ne voulait pas lâcher son nouveau trésor. Cette queue qui lui évoque la bête légendaire. Et puis, il y a aussi le parallèle avec sa queue de reproduction. Il s’imagine des choses. Il rougit mais ce n’est pas grave, en pensant qu’il va bientôt s’occuper de la queue de reproduction de son Maître Dragon.
Parce qu’il finit par repasser devant lui. Et il hésite. Ce n’est plus pareil. Mais il prend son courage à deux mains et commence à frotter le torse de son Maître Dragon. Des mouvements circulaires. D’abord autour de la zone où se trouve les tétons. Mais les petits bouts attrapent son regard. Ils peuvent plus grand, plus gros, plus dur. Il finit par les caresser. Il prend d’infinis précautions. C’est une zone sensible. Comme les oreilles qu’il va nettoyer juste après de son Maître Dragon. Il finit donc de nettoyer les deux tétons. Puis il passe au visage. Mais il n’osera pas laver de lui-même le zizi de son Maître Dragon.
« Voilà. J’ai terminé. Mais je crois qu’on devrait sortir de l’eau. On nous regarde de plus en plus. Ca me met mal à l’aise…
Il s’immerge complètement dans l’eau et y reste quelques secondes avant de remonter respirer. C’est fou ce qu’il vit. Etre propre déjà. Ce n’est pas quelque chose de « normal » pour lui. Se faire laver, c’est pareil : c’est une nouveauté. Il repense aux doigts de son Maître Dragon. Quand il a baissé les yeux, il a bien vu, bien ressenti, l’attention qu’il portait à son zizi. S’il a repensé au fait qu’il l’a pris dans sa bouche, il se dit d’abord que c’est une grande preuve de confiance. Et il réalise qu’il lui fait confiance. Et aussi peut-être qu’il devra faire attention à l’avenir. Un instinct. Un pressentiment. Peut-être que son nouveau Maître est très gentil. Trop ? Il devra faire attention probablement…
« J’aime beaucoup la forme du savon. Mais c’est quand même un peu dommage qu’il disparaisse au fur et à mesure. Pour moi, il ressemble à une œuvre d’art. Alors ça me fait bizarre de le détruire pour qu’on puisse se laver. »
D’abord, il commence par le dos de son Maître Dragon. Parce que ça lui évite de le regarder en face. De sentir le poids de son regard. Les intentions derrière son sourire. Ce n’est pas qu’il est méchant son Maître Dragon, mais lui il est plutôt timide. Tout ça, il faut qu’il s’y habitue. Alors il commence par frotter le petit dragon contre le dragon humain. Comme si faire disparaitre le petit dragon de savon dans le grand était une façon de lui redonner des forces. Et il est vrai qu’en étant tout propre et en sentant bon, Kamiye se sent mieux. Plus fort ? Peut-être, oui.
Il s’occupe ensuite de la queue caudale. Et ça le passionne. Cette grande queue qui s’enroule autour de ses jambes comme si son Maître Dragon ne voulait pas lâcher son nouveau trésor. Cette queue qui lui évoque la bête légendaire. Et puis, il y a aussi le parallèle avec sa queue de reproduction. Il s’imagine des choses. Il rougit mais ce n’est pas grave, en pensant qu’il va bientôt s’occuper de la queue de reproduction de son Maître Dragon.
Parce qu’il finit par repasser devant lui. Et il hésite. Ce n’est plus pareil. Mais il prend son courage à deux mains et commence à frotter le torse de son Maître Dragon. Des mouvements circulaires. D’abord autour de la zone où se trouve les tétons. Mais les petits bouts attrapent son regard. Ils peuvent plus grand, plus gros, plus dur. Il finit par les caresser. Il prend d’infinis précautions. C’est une zone sensible. Comme les oreilles qu’il va nettoyer juste après de son Maître Dragon. Il finit donc de nettoyer les deux tétons. Puis il passe au visage. Mais il n’osera pas laver de lui-même le zizi de son Maître Dragon.
« Voilà. J’ai terminé. Mais je crois qu’on devrait sortir de l’eau. On nous regarde de plus en plus. Ca me met mal à l’aise…
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
- Mais, tu ne laves pas aussi mon zizi? Tu as envie qu'il ne sente pas bon, la prochaine fois qu'on fera l'amour tous les deux?
Je n'avais pas compris pourquoi Kamiye, il ne voulait pas me laver le pitou. Mais je me suis dis que c'était peut-être parce qu'il préférait les odeurs, que celles qui sent le savon. Mais même si j'étais d'accord, c'est quand même important d'être propre et de sentir bon, car sinon mes culottes, elles se salissent encore plus vite. Alors pendant que je suis tout savonneux. Que je suis face à Kamiyou, tigou propre contre tigou sale, je saute dans l'eau pour me rincer. Et après que ça ait fait un gros "plouf", je retire le savon de moi comme Kamiye l'avait fait avant. Je me frotte de tout partout pour enlever tout ce qui est sale et qui ne l'est plus, là où je passe les mains.
- Oui, moi aussi j'aime beaucoup la forme des savons de chez moi. Mais il faut bien qu'il disparaisse, pour qu'on soit ensuite bien tout propres. Mais ce qui est surtout dommage, c'est que je pourrais pas en racheter ici. Mais c'est pas grave.
Je réponds ce que m'a dit Kamichou, juste avant qu'il m'ait lavé. J'ai vraiment beaucoup aimé sentir ses mains de bébé me frotter et me laver mon corps de dragon. Elles étaient aussi douces que sa peau à lui. En plus, il faisait ça vraiment très bien. Quand il me lavait, j'avais l'impression qu'il me câlinait de tout l'intérieur du corps. Plus je devenais tout savonneux, plus je pinçais les yeux et je gémissais doucement, en faisant face au beau soleil qui commence déjà doucement à se coucher. J'avais vu qu'il y avait des gens qui nous regardaient nous laver. Mais moi, ça ne me gênait pas du tout. C'est juste que même chez moi, je ne comprenais pas pourquoi on ne pouvait jamais être tout nu, comme on le voulait. Enfin on me l'avait déjà expliqué, mais j'ai jamais trop été d'accord.
- En tout cas tu savonnes les autres super bien Kamiye. Ou alors c'est parce qu'on est amoureux tout plein, que tu fais ça si bien avec moi? Même ma queue, elle a frémit et elle a commencé à devenir toute dure. Surtout quand tu as passé tes mains, bien tout dessus de moi et de mon corps. *Gloussements*
Je regarde Kamiye en rigolant tout plein et en lui renvoyant de l'eau. Moi, ça me mettait vraiment pas du tout mal à l'aise qu'on nous voit tout nus.Et après m'être bien rincé le visage, les grandes oreilles sensibles et toutes membraneuses, je termine en passant les mains sur mon ventrou et sur le torse. Quand je frottais à cet endroit, ça me refaisait encore comme des pincements câlins sur les tétons, tellement Kikichou il avait passé dessus bien fort et avec tout son amour. Ça les a fait durcir, aussi fort que mon zizi toute à l'heure. Au point que j'ai même gémi de câlins et de tendresses. Et puis quand j'ai fini de bien me rincer, c'est tout pile quand on allait sortir de l'eau pour prendre nos affaires et pour se rhabiller ensuite, qu'on voit deux gardes au loin qui se dirigent vers nous rapidement, en criant.
- Mais...? Mais...? Mais...?
A ce moment-là, alors que j'ai mes grands yeux de dragon tout plein qui s'écartent tout en grand, je sors de l'eau et j'attrape vite mon sac et mes affaires. Et puis après, j'attrape la main de mon Kamichou.
- Vite Kikichou! Il faut vite qu'on parte d'ici!
C'est sans attendre, qu'on se met à courir tout nus ensemble. On sort alors de place pour nous diriger très vite dans une ruelle, pendant que les gardes ils nous courent après, comme si ce qu'on avait fait c'était vraiment pas bien. Sans lâcher la main de mon amoureux tout doux des forêts et des jolies fontaines des villes, on continue de courir à travers plusieurs petites rues, tout en croisant d'autres gens qui nous regardent. A un moment, alors qu'on faisait parfois tomber des choses par terre. Qu'on se faisait gronder et crier dessus, on finit par passer à côté d'une petite étable vide, dans une petite rue où il semblait n'y avoir personne. Comme j'avais l’habitude de courir et que j'avais reçu beaucoup d'entrainement chez moi pour devenir paladin, j'ai pu facilement entrainer Kamiye avec moi. On se cache alors comme on peut à l'intérieur. Et puis on attend tout nus, que les gardes qui ne sont pas loin, ils passent sans nous voir...
Je n'avais pas compris pourquoi Kamiye, il ne voulait pas me laver le pitou. Mais je me suis dis que c'était peut-être parce qu'il préférait les odeurs, que celles qui sent le savon. Mais même si j'étais d'accord, c'est quand même important d'être propre et de sentir bon, car sinon mes culottes, elles se salissent encore plus vite. Alors pendant que je suis tout savonneux. Que je suis face à Kamiyou, tigou propre contre tigou sale, je saute dans l'eau pour me rincer. Et après que ça ait fait un gros "plouf", je retire le savon de moi comme Kamiye l'avait fait avant. Je me frotte de tout partout pour enlever tout ce qui est sale et qui ne l'est plus, là où je passe les mains.
- Oui, moi aussi j'aime beaucoup la forme des savons de chez moi. Mais il faut bien qu'il disparaisse, pour qu'on soit ensuite bien tout propres. Mais ce qui est surtout dommage, c'est que je pourrais pas en racheter ici. Mais c'est pas grave.
Je réponds ce que m'a dit Kamichou, juste avant qu'il m'ait lavé. J'ai vraiment beaucoup aimé sentir ses mains de bébé me frotter et me laver mon corps de dragon. Elles étaient aussi douces que sa peau à lui. En plus, il faisait ça vraiment très bien. Quand il me lavait, j'avais l'impression qu'il me câlinait de tout l'intérieur du corps. Plus je devenais tout savonneux, plus je pinçais les yeux et je gémissais doucement, en faisant face au beau soleil qui commence déjà doucement à se coucher. J'avais vu qu'il y avait des gens qui nous regardaient nous laver. Mais moi, ça ne me gênait pas du tout. C'est juste que même chez moi, je ne comprenais pas pourquoi on ne pouvait jamais être tout nu, comme on le voulait. Enfin on me l'avait déjà expliqué, mais j'ai jamais trop été d'accord.
- En tout cas tu savonnes les autres super bien Kamiye. Ou alors c'est parce qu'on est amoureux tout plein, que tu fais ça si bien avec moi? Même ma queue, elle a frémit et elle a commencé à devenir toute dure. Surtout quand tu as passé tes mains, bien tout dessus de moi et de mon corps. *Gloussements*
Je regarde Kamiye en rigolant tout plein et en lui renvoyant de l'eau. Moi, ça me mettait vraiment pas du tout mal à l'aise qu'on nous voit tout nus.Et après m'être bien rincé le visage, les grandes oreilles sensibles et toutes membraneuses, je termine en passant les mains sur mon ventrou et sur le torse. Quand je frottais à cet endroit, ça me refaisait encore comme des pincements câlins sur les tétons, tellement Kikichou il avait passé dessus bien fort et avec tout son amour. Ça les a fait durcir, aussi fort que mon zizi toute à l'heure. Au point que j'ai même gémi de câlins et de tendresses. Et puis quand j'ai fini de bien me rincer, c'est tout pile quand on allait sortir de l'eau pour prendre nos affaires et pour se rhabiller ensuite, qu'on voit deux gardes au loin qui se dirigent vers nous rapidement, en criant.
- Mais...? Mais...? Mais...?
A ce moment-là, alors que j'ai mes grands yeux de dragon tout plein qui s'écartent tout en grand, je sors de l'eau et j'attrape vite mon sac et mes affaires. Et puis après, j'attrape la main de mon Kamichou.
- Vite Kikichou! Il faut vite qu'on parte d'ici!
C'est sans attendre, qu'on se met à courir tout nus ensemble. On sort alors de place pour nous diriger très vite dans une ruelle, pendant que les gardes ils nous courent après, comme si ce qu'on avait fait c'était vraiment pas bien. Sans lâcher la main de mon amoureux tout doux des forêts et des jolies fontaines des villes, on continue de courir à travers plusieurs petites rues, tout en croisant d'autres gens qui nous regardent. A un moment, alors qu'on faisait parfois tomber des choses par terre. Qu'on se faisait gronder et crier dessus, on finit par passer à côté d'une petite étable vide, dans une petite rue où il semblait n'y avoir personne. Comme j'avais l’habitude de courir et que j'avais reçu beaucoup d'entrainement chez moi pour devenir paladin, j'ai pu facilement entrainer Kamiye avec moi. On se cache alors comme on peut à l'intérieur. Et puis on attend tout nus, que les gardes qui ne sont pas loin, ils passent sans nous voir...
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 27 juil. 2025 19:33, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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Son Maître Dragon est incompréhensible. Après avoir mis autant de temps à se laver, tant de temps à le faire sous le regard de gens qui les jugeaient : voilà qu’ils doivent fuir à toute vitesse et tout nu ! C’est idiot pense l’ex-esclave. Il est en partie vexé d’avoir mis autant d’effort dans son travail pour qu’il soit ruiné si vite. Ce n’est pas la première fois. Et il sait que ce ne sera pas la dernière fois. Et à cet instant, « libre », il se permet de donner plus de corps à cette frustration. S’il n’était pas en train de courir et surtout d’ouvrir grand la bouche pour alimenter ses poumons atrophiés…oui, il lui dirait deux mots à son Maître Dragon !
*On a les pieds sales ! On remue de la poussière qui vient se coller sur nos peaux mouillées ! Tout cet embarras pour quoi ?! Les Maîtres et Maîtresses sont tous pareils. Irresponsables !... *
Kamiye s’est effondré dans le foin de la petite table. Ca pique. C’est désagréable contre ses fesses. Ca lui rentre dans la peau. Mais il s’en fiche. Il souffle et il le fait de manière bruyante. Il sait bien que si les gardes passent trop près, ce sera lui le coupable de s’être fait repéré. Mais son Maître Dragon est une sorte de héros surentraîné. Pas lui ! Alors il pose ses mains sur sa bouche, en laissant un petit espace pour attraper de l’air. Et il s’enfonce dans le foin. Pour se cacher. Comme si c’était la meilleure des cachettes…
Heureusement pour lui, des voix braillent non loin. On demande aux gardes de faire leur boulot. « Pour une fois ». Comme quoi il y aurait eu des orcs de vue non loin. Qu’ils doivent être chassés. Qu’ils ne veulent pas que leurs enfants se fassent violenter ou dévorer. Ou que leurs filles se fassent violer. Hors de question. Donc Kamiye peut retirer ses mains et s’allonger dans la paille. Petit à petit, il récupère son souffle. Et quand il en a retrouvé assez, ses sourcils se froncent. Ses petits poings se serrent. Il se relève et c’est une espèce de soulagement que son nouveau Maître ne le dépasse pas d’une tête et qu’il n’ait pas la carrure d’un, euh, orc justement.
« C’était stupide, Maître Ashka. Se laver en plein milieu des gens. Se laver entièrement pour finalement être déjà tout sale. Vous avez cru quoi ? Que les gens allaient nous sourire ? Les gens sont mauvais. Et moi je suis faible. Je ne peux pas courir longtemps. Je ne pourrais même pas me défendre tout seul si je me faisais attaquer. Et, ET !... Et… »
Kamiye réalise. Il a haussé la voix sur son nouveau Maître. Même si son Maître Dragon lui a dit qu’il était libre, il n’empêche qu’il se sent affreusement mal maintenant. Parce que, et dans un éclair de lucidité, il sait à quel point il est dépendant de son Maître Dragon. Lui est fort. Lui est débrouillard. Lui a de l’argent, de la nourriture et des vêtements. S’il le laisse. S’il l’abandonne, il n’est rien. Et il n’a rien. Alors…
« Je suis désolé… »
Sa tête se baisse. Son corps cherche à demander lui aussi le pardon.
« Vous avez ri ? Vous vous moquez de moi ? »
Non. Ce n’est pas son Maître Dragon. En fait, il y a au moins deux rires. Davantage même. Et soudainement ! Son petit cou fragile se retrouve dans l’étau d’une main verte. Kamiye est soulevé de terre comme s’il ne pesait pas plus lourd qu’un enfant de huit ans. Les braillards avaient raison, réalise-t-il en écarquillant les yeux. Il Y A DES ORCS EN VILLE !
*On a les pieds sales ! On remue de la poussière qui vient se coller sur nos peaux mouillées ! Tout cet embarras pour quoi ?! Les Maîtres et Maîtresses sont tous pareils. Irresponsables !... *
Kamiye s’est effondré dans le foin de la petite table. Ca pique. C’est désagréable contre ses fesses. Ca lui rentre dans la peau. Mais il s’en fiche. Il souffle et il le fait de manière bruyante. Il sait bien que si les gardes passent trop près, ce sera lui le coupable de s’être fait repéré. Mais son Maître Dragon est une sorte de héros surentraîné. Pas lui ! Alors il pose ses mains sur sa bouche, en laissant un petit espace pour attraper de l’air. Et il s’enfonce dans le foin. Pour se cacher. Comme si c’était la meilleure des cachettes…
Heureusement pour lui, des voix braillent non loin. On demande aux gardes de faire leur boulot. « Pour une fois ». Comme quoi il y aurait eu des orcs de vue non loin. Qu’ils doivent être chassés. Qu’ils ne veulent pas que leurs enfants se fassent violenter ou dévorer. Ou que leurs filles se fassent violer. Hors de question. Donc Kamiye peut retirer ses mains et s’allonger dans la paille. Petit à petit, il récupère son souffle. Et quand il en a retrouvé assez, ses sourcils se froncent. Ses petits poings se serrent. Il se relève et c’est une espèce de soulagement que son nouveau Maître ne le dépasse pas d’une tête et qu’il n’ait pas la carrure d’un, euh, orc justement.
« C’était stupide, Maître Ashka. Se laver en plein milieu des gens. Se laver entièrement pour finalement être déjà tout sale. Vous avez cru quoi ? Que les gens allaient nous sourire ? Les gens sont mauvais. Et moi je suis faible. Je ne peux pas courir longtemps. Je ne pourrais même pas me défendre tout seul si je me faisais attaquer. Et, ET !... Et… »
Kamiye réalise. Il a haussé la voix sur son nouveau Maître. Même si son Maître Dragon lui a dit qu’il était libre, il n’empêche qu’il se sent affreusement mal maintenant. Parce que, et dans un éclair de lucidité, il sait à quel point il est dépendant de son Maître Dragon. Lui est fort. Lui est débrouillard. Lui a de l’argent, de la nourriture et des vêtements. S’il le laisse. S’il l’abandonne, il n’est rien. Et il n’a rien. Alors…
« Je suis désolé… »
Sa tête se baisse. Son corps cherche à demander lui aussi le pardon.
« Vous avez ri ? Vous vous moquez de moi ? »
Non. Ce n’est pas son Maître Dragon. En fait, il y a au moins deux rires. Davantage même. Et soudainement ! Son petit cou fragile se retrouve dans l’étau d’une main verte. Kamiye est soulevé de terre comme s’il ne pesait pas plus lourd qu’un enfant de huit ans. Les braillards avaient raison, réalise-t-il en écarquillant les yeux. Il Y A DES ORCS EN VILLE !
- Ashka Velaryon
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- Demande de RP
Alors que Kikichou et moi, on est cachés dans la paille du foin qui gratte et qui pique de partout, on entend les gardes qui crient pas loin. Mais c'était pas contre nous qu'ils criaient, mais parce qu'un autre groupe de gardes les avait rejoins. On comprenait pas tout ce qu'ils disaient, mais apparemment ils devaient chasser un groupe d'orcs dans la ville, parce qu'ils étaient méchants et dangereux et qu'ils rôdaient tout près d'ici. Quand ils sont partis et que ça s'est calmé, Kamichou est sorti le premier de la paille. Il alors soufflé encore un peu, avant de me regarder. Il ne semblait vraiment pas content du tout... Mon grand copain des forêt et de la fontaine me dit alors que tout ce qu'on avait fait, que ça n'avait servi à rien. Que c'était idiot de faire ça au milieu des gens, parce qu'ils étaient méchants. Mais que lui, il était faible et qu'en cas de problèmes, qu'il ne pourrait pas courir ou se défendre tout seul...
Je regarde Kamiye en étant d'abord surpris, avant de commencer à me sentir un peu triste. Je savais pas quoi lui répondre, mais je sentais que j'avais fait quelque chose de mal et qu'il n'a pas aimé du tout. Après ça, Kamiyou vraiment trop chou me dit qu'il était désolé. J'allais lui dire que je lui envoulais pour rien du tout, quand on entend des rires bizarres. Et à ce moment-là, on voit deux gros orcs à l'entrée de l'étable. L'un des deux attrape Kamiye par la tête et il le soulève comme si il ne pesait rien du tout. Quand je vois ça, je quitte ma cachette. Je sors alors du foin qui pique pour me relever. Je dis alors aux vilains orcs d'arrêter tout de suite d'embêter mon copain.
- Lâchez tout de suite Kikichou! Je vous interdis de mettre vos sales grosses pattes sur la tête de mon ami!
- (Le retour de l'orc méchant et qui tient Kamiye par la tête) : Tiens, tiens, tiens. Mais qu'est-ce qu'on a là? Ce ne serait pas la petite pute de dragon qu'on a croisé toute à l'heure et qui se prend pour un héros?
- (Le retour du frère de l'orc méchant, parce que lui aussi il est revenu) : Oooh! Quelle surprise. Revoila le petit dragon. Et en plus, il est venu avec son ami à la fête. Hé les gars. Venez. On les as trouvés. C'est bon. *Sifflement*.
J'allais réagir pour défendre Kamiye pour pas qu'ils lui fassent du mal, quand deux autres orcs son arrivés et sont entrés eux aussi dans l'étable.
- (Chef de la troupe des orcs) : Alors c'est toi qui a posé des problèmes à mes gars, dragonnet?
- (Encore un orc tout vilain en plus et juste pour le plaisir) : Il parait qu'il a une armure toute en or. J'aimerai bien savoir où elle est là...
Sans attendre la suite de ce que ces vilains pas beaux tout cruels allaient faire à Kikichou, j'invoque tout mon équipement de paladin, grâce à mon diadème. C'est alors que je réalise que rien du tout ne se passe...
- Oh non Kamiyou... J'ai oublié mon diadème dans la forêt toute à l'heure, quand on s'est câlinés...
- Bin alors? Il y a un problème le petit dragon?
- En même temps, on se demande surtout ce que deux petites putes elles font à poil ensemble, dans une étable isolée...
- Ouais. Je parie qu'elles étaient en train de se fricoter entre-elles, quand on est arrivés. C'est vraiment trop mignon.
A ce moment-là, le vilain orc qui tenait Kamiye par la tête le jette plus loin dans l'étable, après lui avoir donné un coup de poing en plein dans le ventre. J'ai voulu réagir pour défendre mon gentil ami, quand l'un des autres orcs tout pas beaux est venu sur moi pour m'attraper par les cheveux. Pendant qu'un des autres orcs fermait la porte de l'étable qui était restée ouverte, leur chef arrive vers moi...
- Ce que t'as fais à mes gars, c'est pas sympa, mais c'est pas ce qui m'intéresse chez toi. Ils m'ont rapporté que t'avais une armure toute en or sur toi. Quand j'ai entendu ça, on vous a suivi de loin. Vous étiez vraiment pas discrets, à être là à crier en plein dans une fontaine juste devant tout le monde. On dit que les orcs sont stupides, mais les créatures de votre espèce ont l'air de tenir le titre sacrément bien haut.
Je regarde l'horrible orc en grimaçant. Pas parce qu'on me tirait les cheveux. Mais parce que j'étais vraiment pas content du tout. Et puis surtout, je voulais sauver Kamiye à tout prix.
Je me prends alors une grosse patou dans ma figure draconique et puis ensuite un coup de pied dans le ventre. Ça me faisait tellement mal, que ça me coupait de souffle...
- Plus tu résisteras, plus toi et ton ami vous allez souffrir. Mais à la différence qu'on a tout notre temps pour vous faire parler.
- Chef? On pourrait peut-être d'abord s'amuser avec eux avant de les torturer? Vous avez vu l'allure qu'ils ont ces deux là? Deux pauvres petits demi-hommes qui aiment se faire passer pour des filles et qui jouent les putes en chaleur entre-elles.
- Ouais. On pourrait les violer avant de leur faire vraiment du mal. Puis ce serait moins excitant de baiser des morceaux de viande couverts de bleus et de sang...
- Laissez tranquille Kamiye. Il ne vous a rien fait. Aie!!!
Pendant que j'ai voulu dire aux méchants orcs de laisser Kamiye tranquille, parce qu'il n'avait rien à voir avec tout ça, celui qui me tenait par les cheveux les a tirés encore plus fort. L'horrible chef des orcs m'a alors regardé, avant d'aller droit vers mon ami Kikichou.
- Bonne idée. On va d'abord jouer un peu avec vous en vous humiliant comme vous le méritez. Et peut-être qu'après vous avoir bien souillés comme des petites putes que vous êtes, que tu parleras. Et même si tu ne le fais pas, on trouvera tout un tas d'autres moyens pour te faire sortir les mots de ta sale grande gueule de petit dragon.
En entendant ça, j'ai dis aux orcs que je savais comment je pouvais récupérer mon armure d'or. Mais ça les a bizarrement pas fait changer d'avis. Et le vrai problème, c'est que c'était pas pour moi que ça me dérangeait vraiment, mais pour Kamiye...
- L'un n'empêche pas l'autre, petit dragonnet. Vous baiser comme vous aimez, c'est là le minimum que vous pouvez recevoir, pour ce que tu as fais à mes gars toute à l'heure. Amusons-nous et après, on discutera plus sérieusement.
- Parfait! On va te souiller et t'humilier comme tu le mérites, sale petite pute de dragonne en chaleur! Et tu vas tellement crier nos noms, que tu vas en redemander encore.
- Super! J'ai toujours voulu savoir ce que ça faisait, que de s'enfiler le cul d'un petit dragon tout mignon comme lui.
A cet instant, le chef des orcs et le troisième orc qui n'étaient pas présents dans la forêt de toute à l'heure, se dirigent droit vers Kamiye. Pendant qu'ils commencent à rire et à te brutaliser. Qu'ils se préparent à te violer, les deux orcs précédemment rencontrés par Ashka, l'attrapent et le plaquent dans un coin. Tout comme avec toi, ils commencent à le brutaliser. Il lui envoient une série de puissantes claques dans le visage et dans la tête, tout en prenant doucement leur aise.
Je regarde Kamiye en étant d'abord surpris, avant de commencer à me sentir un peu triste. Je savais pas quoi lui répondre, mais je sentais que j'avais fait quelque chose de mal et qu'il n'a pas aimé du tout. Après ça, Kamiyou vraiment trop chou me dit qu'il était désolé. J'allais lui dire que je lui envoulais pour rien du tout, quand on entend des rires bizarres. Et à ce moment-là, on voit deux gros orcs à l'entrée de l'étable. L'un des deux attrape Kamiye par la tête et il le soulève comme si il ne pesait rien du tout. Quand je vois ça, je quitte ma cachette. Je sors alors du foin qui pique pour me relever. Je dis alors aux vilains orcs d'arrêter tout de suite d'embêter mon copain.
- Lâchez tout de suite Kikichou! Je vous interdis de mettre vos sales grosses pattes sur la tête de mon ami!
- (Le retour de l'orc méchant et qui tient Kamiye par la tête) : Tiens, tiens, tiens. Mais qu'est-ce qu'on a là? Ce ne serait pas la petite pute de dragon qu'on a croisé toute à l'heure et qui se prend pour un héros?
- (Le retour du frère de l'orc méchant, parce que lui aussi il est revenu) : Oooh! Quelle surprise. Revoila le petit dragon. Et en plus, il est venu avec son ami à la fête. Hé les gars. Venez. On les as trouvés. C'est bon. *Sifflement*.
J'allais réagir pour défendre Kamiye pour pas qu'ils lui fassent du mal, quand deux autres orcs son arrivés et sont entrés eux aussi dans l'étable.
- (Chef de la troupe des orcs) : Alors c'est toi qui a posé des problèmes à mes gars, dragonnet?
- (Encore un orc tout vilain en plus et juste pour le plaisir) : Il parait qu'il a une armure toute en or. J'aimerai bien savoir où elle est là...
Sans attendre la suite de ce que ces vilains pas beaux tout cruels allaient faire à Kikichou, j'invoque tout mon équipement de paladin, grâce à mon diadème. C'est alors que je réalise que rien du tout ne se passe...
- Oh non Kamiyou... J'ai oublié mon diadème dans la forêt toute à l'heure, quand on s'est câlinés...
- Bin alors? Il y a un problème le petit dragon?
- En même temps, on se demande surtout ce que deux petites putes elles font à poil ensemble, dans une étable isolée...
- Ouais. Je parie qu'elles étaient en train de se fricoter entre-elles, quand on est arrivés. C'est vraiment trop mignon.
A ce moment-là, le vilain orc qui tenait Kamiye par la tête le jette plus loin dans l'étable, après lui avoir donné un coup de poing en plein dans le ventre. J'ai voulu réagir pour défendre mon gentil ami, quand l'un des autres orcs tout pas beaux est venu sur moi pour m'attraper par les cheveux. Pendant qu'un des autres orcs fermait la porte de l'étable qui était restée ouverte, leur chef arrive vers moi...
- Ce que t'as fais à mes gars, c'est pas sympa, mais c'est pas ce qui m'intéresse chez toi. Ils m'ont rapporté que t'avais une armure toute en or sur toi. Quand j'ai entendu ça, on vous a suivi de loin. Vous étiez vraiment pas discrets, à être là à crier en plein dans une fontaine juste devant tout le monde. On dit que les orcs sont stupides, mais les créatures de votre espèce ont l'air de tenir le titre sacrément bien haut.
Je regarde l'horrible orc en grimaçant. Pas parce qu'on me tirait les cheveux. Mais parce que j'étais vraiment pas content du tout. Et puis surtout, je voulais sauver Kamiye à tout prix.
Je me prends alors une grosse patou dans ma figure draconique et puis ensuite un coup de pied dans le ventre. Ça me faisait tellement mal, que ça me coupait de souffle...
- Plus tu résisteras, plus toi et ton ami vous allez souffrir. Mais à la différence qu'on a tout notre temps pour vous faire parler.
- Chef? On pourrait peut-être d'abord s'amuser avec eux avant de les torturer? Vous avez vu l'allure qu'ils ont ces deux là? Deux pauvres petits demi-hommes qui aiment se faire passer pour des filles et qui jouent les putes en chaleur entre-elles.
- Ouais. On pourrait les violer avant de leur faire vraiment du mal. Puis ce serait moins excitant de baiser des morceaux de viande couverts de bleus et de sang...
- Laissez tranquille Kamiye. Il ne vous a rien fait. Aie!!!
Pendant que j'ai voulu dire aux méchants orcs de laisser Kamiye tranquille, parce qu'il n'avait rien à voir avec tout ça, celui qui me tenait par les cheveux les a tirés encore plus fort. L'horrible chef des orcs m'a alors regardé, avant d'aller droit vers mon ami Kikichou.
- Bonne idée. On va d'abord jouer un peu avec vous en vous humiliant comme vous le méritez. Et peut-être qu'après vous avoir bien souillés comme des petites putes que vous êtes, que tu parleras. Et même si tu ne le fais pas, on trouvera tout un tas d'autres moyens pour te faire sortir les mots de ta sale grande gueule de petit dragon.
En entendant ça, j'ai dis aux orcs que je savais comment je pouvais récupérer mon armure d'or. Mais ça les a bizarrement pas fait changer d'avis. Et le vrai problème, c'est que c'était pas pour moi que ça me dérangeait vraiment, mais pour Kamiye...
- L'un n'empêche pas l'autre, petit dragonnet. Vous baiser comme vous aimez, c'est là le minimum que vous pouvez recevoir, pour ce que tu as fais à mes gars toute à l'heure. Amusons-nous et après, on discutera plus sérieusement.
- Parfait! On va te souiller et t'humilier comme tu le mérites, sale petite pute de dragonne en chaleur! Et tu vas tellement crier nos noms, que tu vas en redemander encore.
- Super! J'ai toujours voulu savoir ce que ça faisait, que de s'enfiler le cul d'un petit dragon tout mignon comme lui.
A cet instant, le chef des orcs et le troisième orc qui n'étaient pas présents dans la forêt de toute à l'heure, se dirigent droit vers Kamiye. Pendant qu'ils commencent à rire et à te brutaliser. Qu'ils se préparent à te violer, les deux orcs précédemment rencontrés par Ashka, l'attrapent et le plaquent dans un coin. Tout comme avec toi, ils commencent à le brutaliser. Il lui envoient une série de puissantes claques dans le visage et dans la tête, tout en prenant doucement leur aise.
Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 31 juil. 2025 16:24, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
- Messages : 164
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Son Maître Dragon était vraiment STUPIDE ! Comment avait-il pu perdre son médaillon précieux ?! Et maintenant, ils allaient mourir ! Parce que les deux orcs de la forêt étaient revenus et étaient possédés de l’esprit de la revanche. Et en plus de ça, il y en avait deux autres. Dont un chef qui fila des frissons aux poils de l’hybride et manqua s’uriner dessus. Le chef des orcs avec un petit regard perçant et des morceaux de métal comme incrustés dans sa chair. Kamiye n’avait aucune envie de lui demander si c’était des éclats qui s’étaient rivés dans sa peau et puis taillés. Ou alors si c’étaient des sortes de piercing.
Recroquevillé dans la paille, Kamiye se tient le ventre. Il a envie de vomir mais il n’y arrive pas. Et il n’a plus de souffle. Et tenter de le reprendre est aussi une douleur. Kamiye nage, non… se noie dans la douleur. Et il n’arrive pas à remonter à la surface. Tout ce qui se passe, tout ce qui se dit autour de lui : tout est flou et inconsistant.
Orc « marron » : « C’est quand même bizarre qu’il soit si mignon, le petit renard, là. J’aurai préféré qu’il ait une chatte et des seins plus gros. Mais bon, un trou c’est un trou, hein, les gars ! ARf arf arf ! » dit-il en haussant les épaules pour finalement commencer à baisser son pantalon.
Mais un bras dressé à l’horizontal le stoppe dans son élan.
Chef orc : « Tu crois quoi, toi ? C’est mon trou sur pattes. Il est hors de question que je trempe ma queue dans ton jus moisi. Le seul avantage que ça aurait, c’est que tu lui laves la queue. Et encore. Toi, contrairement à lui, t’as pas du te nettoyer beaucoup ces derniers temps. »
L’orc « marron » dégagea de l’écurie. Le chef des orcs ne perdit pas de temps et reprit Kamiye en le serrant au niveau du cou. De son autre main, il détacha plusieurs sangles pour faire tomber son armure. Il se retrouva alors en pagne et refit tomber l’homme-renard qui s’écrasa à ses pieds.
Chef orc : « Je t’ordonnerais bien de la sucer mais les petites putes dans votre gens, je les connais. J’ai déjà failli manquer une fois de voir ma queue coupée comme un sauciflard. Alors cette petite bouche, on va la condamner. »
Il déroula un morceau de cuir souillé au niveau de son poignet et bâillonna Kamiye avec. Puis il retira son pagne et apparut complètement nu. Son sexe était encore au repos mais il présageait déjà une taille bien plus imposante que son Maître Dragon. D’un coup de pied dans le flanc, Kamiye se retrouva en position fœtale. Avec violence, le chef des orcs lui tordit les bras en arrière. Heureusement pour l’homme-renard, rien ne se brisa. Et le pagne lui ceinturait déjà les bras. Il ne pouvait plus parler. Il ne pouvait plus utiliser ses bras. Et il avait déjà reçu tellement de coups dans le ventre et proximité qu’il luttait contre le reflux de la douleur avant même de penser à fuir. De toute façon, un esclave ne peut jamais fuir…
Chef orc : « On va attendre l’autre. Il est parti remplir sa gourde de flotte. Il va te laver le cul et je t’enculerais bien comme il faut. Ca me ferait chier que tu me refiles un truc. Bon, putain, c’est que t’as le cul doux comme une femme. »
Et le chef orc caressa la croupe de Kamiye levé vers le ciel. Enfin, le plafond de l’écurie. De sa main de libre, il commençait à se palucher la queue. Elle grossissait petit à petit. Il était en demi molle. Et d’un sourire vicieux, il releva la tête pour savoir à quelle sauce était bouffé le dragonnet.

Recroquevillé dans la paille, Kamiye se tient le ventre. Il a envie de vomir mais il n’y arrive pas. Et il n’a plus de souffle. Et tenter de le reprendre est aussi une douleur. Kamiye nage, non… se noie dans la douleur. Et il n’arrive pas à remonter à la surface. Tout ce qui se passe, tout ce qui se dit autour de lui : tout est flou et inconsistant.
Orc « marron » : « C’est quand même bizarre qu’il soit si mignon, le petit renard, là. J’aurai préféré qu’il ait une chatte et des seins plus gros. Mais bon, un trou c’est un trou, hein, les gars ! ARf arf arf ! » dit-il en haussant les épaules pour finalement commencer à baisser son pantalon.
Mais un bras dressé à l’horizontal le stoppe dans son élan.
Chef orc : « Tu crois quoi, toi ? C’est mon trou sur pattes. Il est hors de question que je trempe ma queue dans ton jus moisi. Le seul avantage que ça aurait, c’est que tu lui laves la queue. Et encore. Toi, contrairement à lui, t’as pas du te nettoyer beaucoup ces derniers temps. »
L’orc « marron » dégagea de l’écurie. Le chef des orcs ne perdit pas de temps et reprit Kamiye en le serrant au niveau du cou. De son autre main, il détacha plusieurs sangles pour faire tomber son armure. Il se retrouva alors en pagne et refit tomber l’homme-renard qui s’écrasa à ses pieds.
Chef orc : « Je t’ordonnerais bien de la sucer mais les petites putes dans votre gens, je les connais. J’ai déjà failli manquer une fois de voir ma queue coupée comme un sauciflard. Alors cette petite bouche, on va la condamner. »
Il déroula un morceau de cuir souillé au niveau de son poignet et bâillonna Kamiye avec. Puis il retira son pagne et apparut complètement nu. Son sexe était encore au repos mais il présageait déjà une taille bien plus imposante que son Maître Dragon. D’un coup de pied dans le flanc, Kamiye se retrouva en position fœtale. Avec violence, le chef des orcs lui tordit les bras en arrière. Heureusement pour l’homme-renard, rien ne se brisa. Et le pagne lui ceinturait déjà les bras. Il ne pouvait plus parler. Il ne pouvait plus utiliser ses bras. Et il avait déjà reçu tellement de coups dans le ventre et proximité qu’il luttait contre le reflux de la douleur avant même de penser à fuir. De toute façon, un esclave ne peut jamais fuir…
Chef orc : « On va attendre l’autre. Il est parti remplir sa gourde de flotte. Il va te laver le cul et je t’enculerais bien comme il faut. Ca me ferait chier que tu me refiles un truc. Bon, putain, c’est que t’as le cul doux comme une femme. »
Et le chef orc caressa la croupe de Kamiye levé vers le ciel. Enfin, le plafond de l’écurie. De sa main de libre, il commençait à se palucher la queue. Elle grossissait petit à petit. Il était en demi molle. Et d’un sourire vicieux, il releva la tête pour savoir à quelle sauce était bouffé le dragonnet.
