Alors que Ashka gémit avec sa petite voix toute fluette, non pas par plaisir, mais en réponse aux nombreux coups de paluches qu'il prend dans la tête à répétition, ses deux "amis" on étés clairs avec lui avant de se mettre le violer. Il devait se montrer bien gentil avec eux. Agir comme la dernière des filles de joie à leurs égards, sous peine de reprendre encore davantage de violence dans la figure. Mais ce n'était pas ce qui inquiétait le plus Ashka, alors qu'il s'était mis au travail pour faire plaisir à ses bourreaux aussi pervers que sadiques. Le jeune dragon à la peau grise écailleuse, avait surtout peur que l'on fasse du mal à toi Kamiye, son ami plus qu'affectif. Qu'ils détruisent l'hybride renard à la peau de bébé. Petit protégé du jeune héros en devenir et que tu deviendras peut-être un jour, à force de traverser des épreuves bien plus souvent turbulentes et mouvementées, que tu ne peux encore imaginer à ce jour.
Lorsque les deux orcs ont terminé de se mettre à l'aise, ils ont forcé le dragon à leur faire chacun une fellation commune. Le dragonnet alors nu comme un vers. Avec la carrure à la fois élégante, mais teintée d'une forme de douceur étincelante. De relents athlétiques, qui laissent dessiner une fine couche de muscles sur ce corps naturellement souple et agile. Ashka a été forcé d'obtempérer et de se mettre à genoux. Tandis que sa longue chevelure dorée, parfois presque étincelante sous un soleil levant, reste maintenue par la lourde poigne vigoureuse appartenant à l'une des peaux vertes qui le brutalisent, le jeune dragon s'est doucement mis au travail. Avec une hampe d'orc dans chacune dans ses douce petites paluches grisonnantes, Ashka a commencé par approcher sa bouche autour de l'une d'elle. Infecte. Rebutante pour son museau draconien sensible et délicat, le dragon a alors enserré celle-ci directement le creux de sa bouche. Pinçant les yeux pour tenter de supporter l'odeur franchement peu appétissante. Utilisant les vas et vient traditionnels qu'il connait parfaitement, au vu des nombreuses expériences qu'il possède dans ce domaine, le dragonnet a tenté de faire la chose du mieux qu'il pouvait, sous les regards amusés de ses tortionnaires à la carrure imposante.
Pendant que le frère de l'orc se faisait branler la queue avec la main gracile de Ashka, c'est sous des ordres injurieux et toujours plus menaçants, que le chevalier errant dans l'humiliation a dut entreprendre d'accélérer ses mouvements de tête. Incapable de prendre cet énorme manche en entier tout à l'intérieur de son gosier, Ashka a dut faire une gorge profonde à l'orc, avec les moyens du bord. Tandis qu'un bruit particulièrement obscène et reconnaissable en émanait directement de celle-ci, les orcs se mirent à jubiler à travers leurs moult insultes répétées et qui concernait principalement le travail détaillé des filles de joie. En déploiement sur les deux côtés du furry, Ashka a fini par être contraint de devoir alterner ses "langoureux et généreux baisers" distribués sur les manches lourds et à l'odeur peu appétissante, de part et d'autre.
Tandis que leurs rires, gras et saturés d'insultes se firent entendre à travers la petite étable, l'orc qui s'occupait de son précieux ami. Celui que Ashka considérait comme son nouvel amoureux, était lui aussi en train de se faire violer sans la moindre compassion. Le chef des orcs qui avait d'abord eu une demi-molle, a vite trouvé le passage à travers le canal fessier intime de Kamiye. Comme un jouet avec lequel il s'amusait pour tenter de le broyer, ses coups de reins étaient bruts. Répétitifs. Directs. Crus et sans aucun ménagements. Ils étaient tout, sauf tendres. Face à cet assaut brutal où tu te retrouves à encaisser son énorme bite dans tes entrailles encore si jeunes, tu peux légitimement être en droit de pleurer ou de crier de douleur. Mais sache que plus tu laisseras le désespoir et la douleur t’envahir. Que plus tu la laisseras s'exprimer depuis ta voix qui fera inévitablement écho à travers les tympans de l'orc qui te prend le derrière avec violence, plus il jubilera de ton sort de pauvre esclave enchainé dans ta tête.
Mais malgré leur cruauté certaine, une froideur cruelle incomparable émanait la bande des peaux vertes. Ressenti certainement dut, après de nombreuses années de vagabondage. Des années à errer sur les routes à travers des chapitres de vie barbares et cruelles, bien trop souvent écrites à l'encre de sang. Des pages aux écrits graveleux et contenant un nombre beaucoup trop conséquent d'histoires jouissives à sens unique. Des cris éperdus au plus fin fond de l'oubli. Des larmes de souffrances perpétrées à travers les yeux des victimes, avant que ne s'abattent le glaive du trépas. Des châtiments moraux et corporels de toutes sortes, infligés avec une cruauté gratuite et sans précédent . Mais aussi des supplices infligés à répétition, notamment à travers leurs impitoyables gourdins reproducteurs. Ceux qui marquent actuellement les chaires chaudes et sensibles du jeune Ashka et de toi Kamiye, l'esclave enchaîné et en quête de réponses nouvelles, depuis que tu t'es libéré de tes jougs qui te retenaient prisonnier, il y a encore si peu de temps.
- Ashka Velaryon
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Modifié en dernier par Ashka Velaryon le 05 août 2025 17:43, modifié 1 fois.
- Kamiye Goupile
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Kamiye a CRIÉ une fois. Quand le chef orc a forcé le passage pour le pénétrer. Puis il s’est mordu fort les lèvres. Parce que ses anciens réflexes sont revenus. Il a fauté. Les puissants ont droit sur les faibles. Il doit encaisser. Personne ne viendra le secourir. Quand ses yeux cherchent puis trouvent son Maître Dragon : il comprend qu’il a raison. Son Maître Dragon n’est pas en train de se ruer sur lui pour le sauver. Il n’essaie pas de se battre. Il branle et suce les orcs. Ca ne semble pas vraiment être un problème pour lui… Alors, anéanti, Kamiye plante ses dents sous sa lèvre inférieure jusqu’au sang pour se taire.
Les larmes coulent à flots. Et il sent autre chose couler de ses fesses… Ce n’est pas le chef orc qui a éjaculé dans son cul. Pas encore en tout cas. Et il force son esprit à se replier sur soi-même. A ne pas comprendre. A subir en attendant que ça s’arrête.
Quand soudain l’autre orc qui s’emmerde commence à le baffer. Ca le fait rire ! Parce que Kamiye a affiché une expression surprise mêlée de réveil. L’orc a adoré. C’était comme retrouver la victime et non plus la carcasse de viande qu’on décroche du boucher pour sentir une sensation de chairs autour de sa bite. C’est beaucoup mieux un vivant. Mieux vaut faire souffrir l’autre que s’emmerder. Le privilège des puissants. Et des brutes. Et donc Kamiye se prend baffe sur baffe. Ses joues sont rouges. Cuisantes. Elles doivent gonfler.
Orc « marron » : « J’ai tellement envie de lui péter toutes les dents. Une par une. Et fourrer ma queue dans sa gueule édentée : rhaa ah ah ! »
Chef orc : « Ferme ta putain de gueule, toi ! Il est tellement serré que, putain, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. »
Celui qui assaille Kamiye le pénètre avec violence. Et il y va de grosses mandales sur ses fesses, comme si c’était de sa faute qu’il soit étroit. Ses fesses sont aussi rouges que ses joues. Ses fesses sont aussi striées d’estafilades sanglantes quand le chef orc le griffe quand il se sent venir, qu’il s’arrête avant de le bourrer à nouveau.
Et soudainement, c’est chaud à l’intérieur de lui. Le chef orc pousse un râle de soupir. Et l’autre orc cesse de le frapper. Il avait arrêté de le faire avec sa main. Il le faisait avec son sexe. Il l’avait même mis plusieurs fois dans la bouche de Kamiye. Ce dernier était tellement « ailleurs », tellement épuisé, tellement brimé que l’orc s’y était engouffré sans risque de morsure. Il s’était même plus à glisser dans cette cavité buccale lubrifié par le sang du « petit renard ».
Et le cauchemar recommence. Sitôt la première bite d’orc sortie de osn cul, une seconde y retourne. L’orc de moindre importance se fiche bien que ce soit plein de sperme de son chef et autres substances. Il est tellement excité qu’il rentre à fond. Tant que Kamiye ne tient plus sur ses mains et ses genoux. Sa face vient cogner le sol. L’orc en est momentanément déséquilibré et rentre au plus profond de sa longueur, son bassin cognant contre les fesses de Kamiye. Sa main empoigne la queue de renard et à son tour, il encule l’hybride qui se trouve dans un état second, à souhaiter mourir…
Les larmes coulent à flots. Et il sent autre chose couler de ses fesses… Ce n’est pas le chef orc qui a éjaculé dans son cul. Pas encore en tout cas. Et il force son esprit à se replier sur soi-même. A ne pas comprendre. A subir en attendant que ça s’arrête.
Quand soudain l’autre orc qui s’emmerde commence à le baffer. Ca le fait rire ! Parce que Kamiye a affiché une expression surprise mêlée de réveil. L’orc a adoré. C’était comme retrouver la victime et non plus la carcasse de viande qu’on décroche du boucher pour sentir une sensation de chairs autour de sa bite. C’est beaucoup mieux un vivant. Mieux vaut faire souffrir l’autre que s’emmerder. Le privilège des puissants. Et des brutes. Et donc Kamiye se prend baffe sur baffe. Ses joues sont rouges. Cuisantes. Elles doivent gonfler.
Orc « marron » : « J’ai tellement envie de lui péter toutes les dents. Une par une. Et fourrer ma queue dans sa gueule édentée : rhaa ah ah ! »
Chef orc : « Ferme ta putain de gueule, toi ! Il est tellement serré que, putain, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. »
Celui qui assaille Kamiye le pénètre avec violence. Et il y va de grosses mandales sur ses fesses, comme si c’était de sa faute qu’il soit étroit. Ses fesses sont aussi rouges que ses joues. Ses fesses sont aussi striées d’estafilades sanglantes quand le chef orc le griffe quand il se sent venir, qu’il s’arrête avant de le bourrer à nouveau.
Et soudainement, c’est chaud à l’intérieur de lui. Le chef orc pousse un râle de soupir. Et l’autre orc cesse de le frapper. Il avait arrêté de le faire avec sa main. Il le faisait avec son sexe. Il l’avait même mis plusieurs fois dans la bouche de Kamiye. Ce dernier était tellement « ailleurs », tellement épuisé, tellement brimé que l’orc s’y était engouffré sans risque de morsure. Il s’était même plus à glisser dans cette cavité buccale lubrifié par le sang du « petit renard ».
Et le cauchemar recommence. Sitôt la première bite d’orc sortie de osn cul, une seconde y retourne. L’orc de moindre importance se fiche bien que ce soit plein de sperme de son chef et autres substances. Il est tellement excité qu’il rentre à fond. Tant que Kamiye ne tient plus sur ses mains et ses genoux. Sa face vient cogner le sol. L’orc en est momentanément déséquilibré et rentre au plus profond de sa longueur, son bassin cognant contre les fesses de Kamiye. Sa main empoigne la queue de renard et à son tour, il encule l’hybride qui se trouve dans un état second, à souhaiter mourir…
- Ashka Velaryon
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A force de "câliner" aussi bien les manches vigoureux des deux orcs qui prennent plaisir à sentir la bouche et les mains d'Ashka, l'un des deux fini par s'élever au septième ciel, le temps de quelques instants. A ce moment précis, le dragonnet s'est vu et surtout senti tirer sa chevelure encore plus fortement. Tandis que l'orc se vide en lui sans se préoccuper nullement de sa douleur, il utilise son autre main qu'il pose à l'arrière de la tête d'Ashka, histoire de bien enfiler sa bouche comme il se doit. Durant ces instants où il croit presque mourir, tellement il croit manquer d'air, Ashka fait tout son possible pour avaler la puissante déferlante blanche qui se propage au plus profond de sa gorge. Ses mains étaient posées sur les cuisses puissantes et musclées de l'orc, qui lui bourrait la bouche sans discontinuité. Ce dernier alla jusqu'à ses hanches bien en arrière, tout en redressant au maximum la tête du dragon. Ashka se vit recevoir des à-coups d'une rare violence, pendant toute la durée de l'éjaculation buccale qu'il recevait de force en lui.
Lorsqu'il eut fini de copuler avec sa "bouche à bites" comme son violeur le lui désigna si bien, il envoya une puissante gifle à Ashka qui le fit tomber au sol. Mais cette action ne réfréna en rien les ardeurs de son ami qui attendait lui aussi son tour pour se finir en lui. Alors que Ashka affichait une expression vide. qu'il s'étouffait encore à moitié, à cause du foutre qu'il avait reçu bien dans sa gorge, il se fit ramasser et plaquer sans ménagements contre le mur de pierre. Le dragon ressentit une douleur dans le dos, tant la violence du choc était percutante pour lui. Tandis qu'il était à moitié assis, l'orc qui n'avait pas encore pris son pied, lui prit la bouche comme lorsqu'on prend un trou entre les jambes.
Totalement immobilisé, avec la tête parfaitement immobilisée par les poignes puissantes du frère de l'orc, Ashka eut droit à sentir des vas et vient pas moins violents que le dernier, le tout sous les encouragements de son frère de sang. Les insultes pleuvent et s'enchainent. Ashka ne faisait que recevoir et entendre à ses oreilles de jeune dragon, humiliations sur humiliations. Il se faisait prendre comme la dernière des prostituées. Aucun égard. Aucune considération. Pas la moindre once de pitié lui fut accordé. Il subissait une violence physique et sexuelle gratuite et qui ne servait qu'au plaisir à la fois brutal et haineux de ses bourreaux. Malgré sa situation et son attitude, Ashka semblait psychologiquement mieux encaisser son viol que son ami Kamiye. Contrairement à lui, il ne pleurait pas. Il semblait mieux disposé à accepter son sort. La seule chose qui le réfrénait réellement, était son inquiétude permanente envers son ami renard. Même s'il était compliqué pour lui de voir clairement ce qu'il subissait, ses oreilles ne le trompaient pas. Kamiye était en souffrance. Le viol qu'il subissait, était pour lui un fardeau sans précédent. Mais Ashka n'était pas en position de force que pour pouvoir l'aider. Peut-être qu’inconsciemment, lui montrer qu'il accepte son sort était un moyen de l'inciter à plus facilement tolérer toutes les situations. Même les plus désespérées comme celles-ci...
Au fil des vas et vient. Pendant que le corps nu de Ashka bouge en rythme face aux coup de gourdins répétitifs et brutaux qu'il se prend dans sa bouche draconique, le second orc fini par atteindre son objectif à son tour. Tout comme avec le précédent, Ashka se fait bloquer la tête, tandis que la peau verte crie et hurle de plaisir à presque lui fracasser la tête. Le gentil et doux furry devenu l'équivalent d'une poupée de chiffon sale. Réceptacle à foutre vivant sur pattes, qui attrape de plein fouet dans sa gorge, la semence voluptueuse de l'orc. S'il n'était pas habitué un minium à faire ce genre de pratiques, nul doute qu'il se serait étouffé sur place. C'est ainsi que malgré sa fragilité apparente, que Ashka tient encore une fois le choc. Il est "debout" face à ses agresseurs.
Quand le gros manche poisseux et à l'odeur écœurante quitte sa cavité buccale toute engluée, le petit dragon tousse plusieurs fois. Une partie du foutre de l'orc est visiblement ressorti de sa bouche, pour couler sur son torse et sur la paille posée à même le sol. Tandis qu'on se moque de lui. Que des rires particulièrement cruels et vengeurs arrivent jusqu'à ses oreilles, il commence ensuite à se faire frapper sans ménagements. Ashka reçoit des coups dans le visage et dans le ventre. Pour contrer cette violence, le jeune chevalier dragon matérialise un sort de terre. Une multitude de petites pierres et qui ne sont pas plus épaisses que des graviers, se mettent à tourner en importante quantité autour de lui. Cette action qui surprend ses agresseurs, a eu le dont d'intéresser momentanément le chef qui s'est rapproché de lui.
Pendant que tu te fais sauvagement briser encore le derrière par l'orc marron, Il ne se gêne pas pour encore user de la violence sur toi. Il te frappe les fesses déjà rougies précédemment par les coups que tu as reçus. Mais il te donne aussi des claques dans la tête. Ses vas et vient disgracieux et dont son énorme pieux épouse parfaitement tes chaires anales dilatées et remplies par la semence du chef, te font suivre le rythme des coups de bassins qu'il t'impose, sans jamais se soucier de tes états d'âmes. Vient alors l'instant où il s'apprête à jouir. Mais pas n'importe comment. Pour que la chose soit encore plus amusante et gratifiante pour lui, il t'ordonne de gémir et de lui faire savoir jusqu'à quel point tu es une pauvre prostituée qui aime ça. Libre à toi de faire ce qu'il te dit et ainsi de te sentir salit et humilié jusqu’au bout. Ou bien d'essayer de défendre le peu de dignité qu'il te reste encore avec Ashka, mais au prix d'une douloureuse souffrance physique supplémentaire.
Lorsqu'il eut fini de copuler avec sa "bouche à bites" comme son violeur le lui désigna si bien, il envoya une puissante gifle à Ashka qui le fit tomber au sol. Mais cette action ne réfréna en rien les ardeurs de son ami qui attendait lui aussi son tour pour se finir en lui. Alors que Ashka affichait une expression vide. qu'il s'étouffait encore à moitié, à cause du foutre qu'il avait reçu bien dans sa gorge, il se fit ramasser et plaquer sans ménagements contre le mur de pierre. Le dragon ressentit une douleur dans le dos, tant la violence du choc était percutante pour lui. Tandis qu'il était à moitié assis, l'orc qui n'avait pas encore pris son pied, lui prit la bouche comme lorsqu'on prend un trou entre les jambes.
Totalement immobilisé, avec la tête parfaitement immobilisée par les poignes puissantes du frère de l'orc, Ashka eut droit à sentir des vas et vient pas moins violents que le dernier, le tout sous les encouragements de son frère de sang. Les insultes pleuvent et s'enchainent. Ashka ne faisait que recevoir et entendre à ses oreilles de jeune dragon, humiliations sur humiliations. Il se faisait prendre comme la dernière des prostituées. Aucun égard. Aucune considération. Pas la moindre once de pitié lui fut accordé. Il subissait une violence physique et sexuelle gratuite et qui ne servait qu'au plaisir à la fois brutal et haineux de ses bourreaux. Malgré sa situation et son attitude, Ashka semblait psychologiquement mieux encaisser son viol que son ami Kamiye. Contrairement à lui, il ne pleurait pas. Il semblait mieux disposé à accepter son sort. La seule chose qui le réfrénait réellement, était son inquiétude permanente envers son ami renard. Même s'il était compliqué pour lui de voir clairement ce qu'il subissait, ses oreilles ne le trompaient pas. Kamiye était en souffrance. Le viol qu'il subissait, était pour lui un fardeau sans précédent. Mais Ashka n'était pas en position de force que pour pouvoir l'aider. Peut-être qu’inconsciemment, lui montrer qu'il accepte son sort était un moyen de l'inciter à plus facilement tolérer toutes les situations. Même les plus désespérées comme celles-ci...
Au fil des vas et vient. Pendant que le corps nu de Ashka bouge en rythme face aux coup de gourdins répétitifs et brutaux qu'il se prend dans sa bouche draconique, le second orc fini par atteindre son objectif à son tour. Tout comme avec le précédent, Ashka se fait bloquer la tête, tandis que la peau verte crie et hurle de plaisir à presque lui fracasser la tête. Le gentil et doux furry devenu l'équivalent d'une poupée de chiffon sale. Réceptacle à foutre vivant sur pattes, qui attrape de plein fouet dans sa gorge, la semence voluptueuse de l'orc. S'il n'était pas habitué un minium à faire ce genre de pratiques, nul doute qu'il se serait étouffé sur place. C'est ainsi que malgré sa fragilité apparente, que Ashka tient encore une fois le choc. Il est "debout" face à ses agresseurs.
Quand le gros manche poisseux et à l'odeur écœurante quitte sa cavité buccale toute engluée, le petit dragon tousse plusieurs fois. Une partie du foutre de l'orc est visiblement ressorti de sa bouche, pour couler sur son torse et sur la paille posée à même le sol. Tandis qu'on se moque de lui. Que des rires particulièrement cruels et vengeurs arrivent jusqu'à ses oreilles, il commence ensuite à se faire frapper sans ménagements. Ashka reçoit des coups dans le visage et dans le ventre. Pour contrer cette violence, le jeune chevalier dragon matérialise un sort de terre. Une multitude de petites pierres et qui ne sont pas plus épaisses que des graviers, se mettent à tourner en importante quantité autour de lui. Cette action qui surprend ses agresseurs, a eu le dont d'intéresser momentanément le chef qui s'est rapproché de lui.
Pendant que tu te fais sauvagement briser encore le derrière par l'orc marron, Il ne se gêne pas pour encore user de la violence sur toi. Il te frappe les fesses déjà rougies précédemment par les coups que tu as reçus. Mais il te donne aussi des claques dans la tête. Ses vas et vient disgracieux et dont son énorme pieux épouse parfaitement tes chaires anales dilatées et remplies par la semence du chef, te font suivre le rythme des coups de bassins qu'il t'impose, sans jamais se soucier de tes états d'âmes. Vient alors l'instant où il s'apprête à jouir. Mais pas n'importe comment. Pour que la chose soit encore plus amusante et gratifiante pour lui, il t'ordonne de gémir et de lui faire savoir jusqu'à quel point tu es une pauvre prostituée qui aime ça. Libre à toi de faire ce qu'il te dit et ainsi de te sentir salit et humilié jusqu’au bout. Ou bien d'essayer de défendre le peu de dignité qu'il te reste encore avec Ashka, mais au prix d'une douloureuse souffrance physique supplémentaire.
- Kamiye Goupile
- Messages : 164
- Enregistré le : 14 août 2024 20:08
Il veut que ça s’arrête. Les scénarios cauchemars se succèdent aux scénarios cauchemars dans sa tête. Le pire étant que l’imaginaire et la réalité coïncident de nombreuses fois… Preuve en est de la sauvagerie des orcs qui ne respectent rien. Et surtout pas Kamiye. Il sanglote. Il parvient difficilement à rester à quatre pattes. Ses bras sont faibles et sa tête vient alors percuter le sol. Il se relève mais se prendre une gifle foudroyante sur le derrière du crâne qui lui fait alors voir trente-six chandelles…
Dans le brouillard qu’est sa tête, des mots deviennent volonté. On lui demande de gémir. On lui demande de s’insulter de traînée qui aime se faire défoncer. Est-ce que l’orc marron l’a dit ? Kamiye serait incapable de le dire. Ou peut-être qu’il le sent à cette bite qui palpite dans son cul ? Aux mouvements encore plus sauvages et désordonnés qui lui ravagent l’intérieur… Mais il comprend que l’orc va bientôt le souiller. Comme son chef l’a déjà fait avant.
Ce qui étrangement devient synonyme de libération. Alors…
« J-je… Han ? C’est… bon. J-je, j’aime ça. Han ! »
Kamiye n’est pas un acteur. Et il n’aime pas ce qu’il subit. Alors l’orc marron, forcément, s’énerve.
Orc marron : « Ferme ta gueule si c’est pour dire de la merde ! »
Sa grosse poigne s’écrase sur le derrière de la tête de Kamiye et lui fait à nouveau percuter le sol. Ses doigts agrippent ses beaux cheveux pour mieux lui faire percuter le sol à nouveau.
Orc marron : « On va te cracher dans le cul jusqu’à ce que tu deviennes une petite nympho, c’est compris ! Putain ! Je vais t’encorder sur mon torse. Ma queue dans ton cul. Et on marchera comme ça partout et- !... »
L’idée de saucissonner Kamiye et de s’en servir comme d’un chaud fourreau pour son sexe le fait jouir abondamment dans son cul. Pas à un moment Kamiye n’aura compris qu’Ashka était capable de se protéger grâce à la magie et à la terre. Il en aurait conçu de la haine. Peut-être même un plan de vengeance eut égard aux ravages et aux traumatismes présents.
Orc marron : « Ce cul n’empêche ! Rhaa ah ah ! »
Une gifle sonore frappe son cul qui déborde.
Orc marron : « Merde ! Ca a éclaboussé ! Rhaa ah ah ! »
Est-ce que son Maître le sauvera ? Ou vont-ils tous les deux finir cadavre entourés de mouches les orifices saturés de spermes d’orcs ? Kamiye invoquerait presque les Dieux pour qu’ils agissent en ce sens. Au moins, ça signifierait la fin…
Dans le brouillard qu’est sa tête, des mots deviennent volonté. On lui demande de gémir. On lui demande de s’insulter de traînée qui aime se faire défoncer. Est-ce que l’orc marron l’a dit ? Kamiye serait incapable de le dire. Ou peut-être qu’il le sent à cette bite qui palpite dans son cul ? Aux mouvements encore plus sauvages et désordonnés qui lui ravagent l’intérieur… Mais il comprend que l’orc va bientôt le souiller. Comme son chef l’a déjà fait avant.
Ce qui étrangement devient synonyme de libération. Alors…
« J-je… Han ? C’est… bon. J-je, j’aime ça. Han ! »
Kamiye n’est pas un acteur. Et il n’aime pas ce qu’il subit. Alors l’orc marron, forcément, s’énerve.
Orc marron : « Ferme ta gueule si c’est pour dire de la merde ! »
Sa grosse poigne s’écrase sur le derrière de la tête de Kamiye et lui fait à nouveau percuter le sol. Ses doigts agrippent ses beaux cheveux pour mieux lui faire percuter le sol à nouveau.
Orc marron : « On va te cracher dans le cul jusqu’à ce que tu deviennes une petite nympho, c’est compris ! Putain ! Je vais t’encorder sur mon torse. Ma queue dans ton cul. Et on marchera comme ça partout et- !... »
L’idée de saucissonner Kamiye et de s’en servir comme d’un chaud fourreau pour son sexe le fait jouir abondamment dans son cul. Pas à un moment Kamiye n’aura compris qu’Ashka était capable de se protéger grâce à la magie et à la terre. Il en aurait conçu de la haine. Peut-être même un plan de vengeance eut égard aux ravages et aux traumatismes présents.
Orc marron : « Ce cul n’empêche ! Rhaa ah ah ! »
Une gifle sonore frappe son cul qui déborde.
Orc marron : « Merde ! Ca a éclaboussé ! Rhaa ah ah ! »
Est-ce que son Maître le sauvera ? Ou vont-ils tous les deux finir cadavre entourés de mouches les orifices saturés de spermes d’orcs ? Kamiye invoquerait presque les Dieux pour qu’ils agissent en ce sens. Au moins, ça signifierait la fin…