The Multiversity

[Sarah Kerrigan]

Désirée était très excitée, et elle laissait donc Maîtresse Séliupa la lécher, serrant doucement ses jambes autour de son cou, sa main caressant et empoignant ses courts cheveux. Elle était naturellement très sérieuse quant au fait de devoir l’enfanter. Sélipa finit par se redresser, et se dénuda davantage, retirant son curieux corset métallique, et exhiba ses seins. Désirée se redressa. Très clairement, Sélipa avait un profil atypique ! Cheveux très courts, musclée… Ce n’était pas fréquent au sein de la population ! Nul doute que sa verge devait être en conséquence ! Des femmes bodybuildées comme ça, il y en avait, mais elles étaient plus épaisses, et avaient systématiquement leurs verges. Elles formaient la police locale, des Futanaris musclées et perverses qui vous baisaient et vous violaient dans leurs cellules lorsque vous commettiez des bêtises. Désirée se mit sur ses genoux, et rapprocha son visage des délicieux seins de Sélipa.

« Maîtresse est si belle… Désirée est tellement heureuse de vous avoir rencontré… Même si je regrette encore de vous avoir percuté… »

Inutile de rappeler les mauvaises choses ! Elle posa sa main sur l’un des seins de Sélipa, redressant le téton, et le lécha doucement. Elle le mordilla également, jouant avec le téton qu’elle se mit à lécher, à suçoter, puis à mordiller. Pas de lait, mais ça ne l’empêchait pas d’en profiter ! Elle continua à s’attaquer aux seins de Sélipa, tout en la couchant petit à petit sur le lit. Elle se déplaça encore, venant l’embrasser sur le ventre, descendant de ses seins jusqu’à son sexe, parcourant sa peau de multiples baisers. Cette peau si belle et parfaite… Elle lécha son nombril, et l’embrassa ensuite sur le pubis. Même si Sélipa n’était pas née ici, la magie rose ambiante des lieux commençait à interagir avec son corps, car le désir était présent… Et cela fit donc apparaître sur son pubis un inmon rose. Ce signe magique en forme de cœur était palpable, et, quand Désirée s’attaqua à son sexe, elle agissait afin de faire pousser la verge de Sélipa… Une verge qui jaillirait à partir de son clitoris en étirant ce dernier, jusqu’à la doter d’un parfait appareil génital.

Désirée continuait à s’y attaquer en soupirant, gémissant encore.

« Le jus intime de Maîtresse est si bon… Désirée a hâte de goûter à son sperme… »

[Sélipa]

Au tour de Désirée de se montrer convaincante. Tu ne te sépares par de ton petit sourire provocateur. Il est de circonstances, et tu dois bien avouer que ces dernières te plaisent bien, en fin de compte !
Et dire que tout a commencé à cause d'un petit accident.
Si cette petite tête en l'air ne t'avait pas percuté avec sa voiture, vous n'en seriez pas là à vous explorer comme deux affamées.
Un mal pour un bien ! Ton hématome ne s'est pas complètement résorbé, et le simple contact des doigts de ta compagne sur cette zone sensible pourrait très bien t'arracher une légère grimace. Mais, pour le moment, Désirée n'a d'yeux que pour tes seins fraîchement exposés. Seins dont elle prend soin avec des mains, des dents et une langue qui te font doucement vibrer.
Pas de doute : elle sait y faire !
Tes tétons sont complètement ressortis. Ses fiévreuses attentions t'incitent à t'allonger de plus en plus jusqu'à te tenir à l'horizontal. Ton maillot continue de glisser et de dévoiler davantage de chair. Désirée parcourt ton épiderme de saïyajin, s'émerveillant sans doute de sa lisseur dont peu de guerrières d'autres races peuvent se vanter. Ses baisers le long de ton ventre et de ton entrejambe accentuent la cambrure de ton dos.
Tu commences assurément à te détendre.
Cela fait combien de temps que je n'ai pas joué à ce petit jeu avec une femme ?
Trop longtemps, te souffle cette envoûtante petite voix dans ton esprit.
Et elle disait vrai.
Même si tu sens quelque chose d'anormalement puissant naître aux environs de ton bas ventre, tu ne t'en soucies pas sur-le-champ ; avant toute chose, il te faut savourer l'inestimable présent de cette chère Désirée. Son lit est particulièrement confortable. Probablement étudié pour supporter le poids de plusieurs personnes à la fois - et pas seulement deux. Vous n'utilisez pas toute la place mais qu'importe ! Tu ne peux pas te sentir plus vivante et bonne qu'en cet instant précis, où ta compagne embrasse tes lèvres intimes à pleine bouche.

- Hmmm ! excellent, oui~

Ses longs cheveux glissent entre tes doigts nus. Sur tous les plans, Désirée a décidément tout fait pour être... le plus désirable possible.
Cette fille commence à me faire tourner la tête.
Il est trop tard pour t'en défendre : une curieuse magie opère au niveau de ta vulve, auprès de ce bouton de chair qui la coiffe. Bien que généreux, le plaisir ressenti n'en est pas moins anormal. Tu surmontes les petites décharges de bonheur qui fourmillent dans ton ventre, te hissant sur les coudes afin d'observer ce qui se passe dans un érotique ensemble.
...Mais comment ?
Te gardant de tout commentaire confus, tu clignes plusieurs fois des yeux en constatant qu'un attribut masculin s'est dressé en lieu et place de ton clitoris. Juste au-dessus de lui flamboyait un curieux symbole en forme de cœur.
Quelle est cette sorcellerie ?
Ou plutôt ce miracle !
Toi qui craignais justement de passer pour une imbécile... n'est-ce pas là une chance de pouvoir poursuivre sereinement votre petite affaire ?
Elle souhaite que je l'enfante. Non... elle rêve que je la mette en cloque !
Entre ses paroles, ses caresses focalisées, cette drogue rose et la magie qui a pris racine sur ton pubis... il était fort peu probable que ton nouvel organe n'arrive pas à se dresser fièrement. A vrai dire, cela te parait presque douloureux tant il est droit et raide...
Alors que ta Désirée s'amuse avec son nouveau jouet obscène, tu ne te lasses pas d'explorer sa chevelure soigneusement entretenue - et de l'ébouriffer un peu au passage.

- Suce, Désirée. (Un murmure, en partie étouffé par les sensations, qui devient de plus en plus audible au fur et à mesure que les ordres fusent.) Suce-le de tout ton saoul, ma belle. Lustre-le bien comme il faut, et je veillerai à te récompenser dignement !

Dans le fond, tu ignores si ce miracle rigide va jouer son rôle jusqu'au bout. Toujours est-il que les sensations sont bel et bien là, qu'elles sont aussi nouvelles qu'exquises et que tu les découvres avec une fascination de plus en plus poussée.
Alors si tu peux juter dans le gosier de cette créature de rêve avant la conquérir plus ardemment, tu n'as pas de raison de l'en priver !

[Sarah Kerrigan]

La belle Sélipa avait désormais une verge. Très excitée, Désirée ne pouvait s’empêcher de fantasmer à l’idée de porter son bébé. Oh oui, c’était si bon ! Elle allait tout faire pour la faire céder, pour que Sélipa accepte l’idée joyeuse et délicieusement jouissive de l’enfanter. Se pinçant les lèvres, elle soupira doucement quand sa partenaire lui donna pour simple ordre de venir la sucer. Désirée s’était postée en face de cette queue veineuse, ce membre tendu et assoiffé. Un frisson global la traversa, et elle commença à lécher cette queue, glissant dessus avec sa langue. Elle l’attrapa avec ses mains, la caressant encore, puis Désirée entrouvrit les lèvres. Elle tenait cette verge dans le creux de sa main, et l’enfourna dans sa bouche, avant de refermer ses lèvres sur la hampe de chair. Le vit tendu semblait frémir en elle,  durcissant au contact de ses suaves lèvres.

« Hmmm… »

Sans jamais s’interrompre, Désirée commença à la sucer avec énergie. Sa bouche remuait d’avant en arrière, avalant ce membre assoiffé. Elle soupirait longuement, pompant ce dard, et, en relevant les yeux, elle pouvait voir que sa Maîtresse prenait clairement son pied, ce qui était une grande source de satisfaction pour elle. Le regard de Désirée se voilait, se troublait, trahissant un plaisir intense et profond, tandis que Désirée continuait donc son office. Comme elle était belle ! Quand le désir irradiait sur le visage de Sélipa, elle était tout simplement magnifique, et elle donnait tout simplement envie à Désirée de continuer sur cette voie. Désirée s’appliquait donc, jusqu’à pousser Sélipa dans ses derniers retranchements. Elle l’ignorait, mais Sélipa n’était pas habituée à avoir une telle queue, puisque c’était la première fois.

Elle se mit donc à jouir dans sa bouche, et Désirée soupira, mouillant sur place, avalant avec appétit le foutre de sa Maîtresse, qui se vidait joyeusement en elle. Désirée cligna des yeux en se retirant, puis elle se releva vers Sélipa, et l’embrassa avec appétit sur les lèvres.

« Maîtresse est en manque… » gloussa l’intéressée.

[Sélipa]

C'est grâce à l'appétit de chair de cette bonne femme que tu vas pouvoir tester la fiabilité de ce nouvel engin. Ce dernier lui est tout offert ; fier et dressé face à son joli minois, il semble tendu à faire peur ! Mais Désirée n'est pas née de la dernière pluie contrairement à ce que tu t'imaginais tout à l'heure, juste après qu'elle t'ait rentrée dedans avec sa voiture. Tu te rends très vite compte qu'elle a été conçue et éduquée pour ce genre de moment. Pour satisfaire des femmes de rang supérieur, et porter leur engeance.
Finalement, il semblerait que cette affaire soit aussi la mienne.
Avant de découvrir cette ville souterraine, tu ne te souciais que de ta propre survie ; les prisonnières de la surface pouvaient aller se faire foutre parce qu'elles étaient faibles face à leurs monstrueux tourmenteurs.
En cet instant, le corps marqué par une magie profonde et aphrodisiaque, tu ne songes plus qu'à profiter de ta prodigieuse partenaire. En commençant par savourer le contact de ses doigts sur ta trique, puis celui de ses lèvres attentionnées le long de ton manche. S'ensuit le meilleur lorsque ton mât puissant glisse sur sa langue et frotte contre ses parois buccales.

- Oh, bordel !

Tu aurais peut-être dû mesurer soigneusement tes paroles avant de les lui délivrer à la manière d'une souveraine ? Parce que là, c'est ton âme qu'elle aspire, la Désirée ! Tu frisonnes intensément alors que l'heureuse suceuse enchaîne les va-et-vient à un rythme qui ne te laisse aucun répit - absolument aucune chance de ne pas céder à ses divines et humides caresses.
Foutu pour foutu...
Elle va t'avoir, et tu le sais - tu le sens !
C'est pourquoi tu l'invites à poursuivre son œuvre, une main pressée derrière sa tête, tandis que ton membre gonflé s'enfonce dans son gosier. Tu ne tiens guère longtemps comme ça, le dos décollé du matelas, assise sur ton cul, appuyée sur une main fébrile...
Ta queue de singe frotte contre les draps, bien incapable de rester en place. Ton dard, lui, pulse dangereusement.

- Aaaaah... Oooh !

Tu lâches la sauce ? Non, tu exploses carrément dans sa bouche étroite ! Et si cela ne déborde pas de ses lèvres au vu de la troublante quantité, ce n'est pas dû à un miracle : tout le mérite revient à Désirée qui, dans un excès de zèle, s'est donné pour objectif de ne pas en perdre une seule goutte.
Minute... elle a vraiment tout avalé ?
Momentanément paralysée par ta jouissance, tu ne te sens pas capable d'en avoir le cœur net.
Ce n'est pas grave parce qu'enfin de compte, c'est Désirée qui se redresse d'elle-même pour t'embrasser sur les lèvres, partageant ainsi avec toi le goût de tes sécrétions nouvelles.
Une initiative qui te laisse sans voix.
La gourmande s'en amuse comme une grande enfant.
Et je n'arrive même pas à lui en tenir rigueur.
Tu t'es vue plus irritable que ça - même pendant l'acte. Mais ici, dans ce monde étrange où l'impossible semble possible, tout est différent. La proximité de cette candide beauté, son souffle brûlant, son parfum entêtant... tout chez elle fait en sorte que ton organe masculin se hisse à nouveau vers le plafond !
Tu n'as pas besoin de baisser les yeux dessus pour avoir conscience de cette puissante érection.

- T'as bien raison, lâches-tu en la prenant par les épaules. Il est grand temps que je te prenne !

Tu la bouscules sur le lit, l'incitant de ce fait à s'étendre sur le dos, avant de te frayer un chemin entre ses jambes galbées. Là, tu prends position, le droit droit et les yeux rivés sur vos entrejambes qui menacent de se toucher. D'une main ferme, tu empoignes ta queue rigide avant d'en presser l'extrémité humide tout contre les portes de son paradis féminin.
Tu ne les pousses pas tout de suite, ton regard remontant lentement jusqu'au visage adorable de cette créature de luxure.
Retrouvant cette expression de prédatrice qui te caractérise si bien, tu te passes la langue sur les lèvres.

- A table, ma jolie~

Bien que tu ne soies gères habituée à ce type d'attirail, tu ne ressens aucune difficulté à la pénétrer. Une main accrochée à sa taille, l'autre posée délicatement sur l'une de ses cuisses chaudes, tu te fonds dans la peau des quelques mâles ayant déjà eu la chance, par le passé, de te besogner de la sorte.
Aujourd'hui, c'est ton tour de faire chanter la partenaire !
Et, pour ce second round, tu vas faire bien attention à ne pas évacuer le poison trop vite.
Avant d'avoir droit à ton essence, son corps de déesse te donnera du plaisir à t'en faire perdre la tête !

[Sarah Kerrigan]

Au milieu de cette planète infernale, Sélipa semblait être tombée sur un Paradis caché, une ville peuplée de nymphomanes, de femmes aussi belles que perverses, et qui n’attendaient qu’une chose : se faire engrosser, avoir des bébés ! C’était presque trop beau pour être vrai, mais là, alors que Désirée suçait Sélipa, la Saïyen n’avait aucune raison de penser à autre chose, de se rappeler les petits détails qu’elle avait aperçus, même dans cette ville surréaliste. Désirée la suçait, et la jeune femme faisait preuve d’une redoutable expertise, fruit d’années de labeur et d’expérimentations. Ces femmes étaient en un sens presque plus redoutables que les Xénos que Sélipa avait affronté, car elles exerçaient un charme magnétique dont on peinait à s’éloigner. Sélipa y succombait progressivement. Désirée, qui pensait avoir affaire à une Type-2, allait elle aussi noter quelques incongruités… Car Sélipa se mit à jouir bien vite pour une femme expérimentée ! Mais, surtout, son sperme n’avait pas le goût habituel ! Il était… Plus âpre, plus visqueux, sans ce goût sucré et légèrement fruité, aphrodisiaque, qu’elle avait l’habitude de boire. Les sourcils de Désirée se froncèrent pendant quelques secondes tandis qu’elle retrouvait l’air libre.

*Est-ce que les Type-2 ont un sperme comme ça ? Le goût était quand même spécial…*

Elle n’eut pas spécialement le temps d’approfondir ses interrogations, car Sélipa agit rapidement. Son autoritarisme contribua au contraire à effacer les doutes de Désirée, qui se dit que, si Sélipa jouissait vite, c’était une manière de faire l’amour, et ainsi d’enfanter plus rapidement les autres ! Désirée se retrouva couchée sur le lit, et embrassa Sélipa, relevant les jambes autour de sa taille. Elle serra son bassin quand la Saïyen la pénétra, et Désirée frémit des pieds à la tête. Sa chatte était déjà très humide, et Sélipa put donc s’y enfoncer assez facilement, les parois vaginales de Désirée se dilatant même assez rapidement.

« Han Maîtresse, hmmmm… S-Suis-je à votre goût, hum ? Il faut baiser la petite Désirée, la baiser b-bien fort, haaaan… ! »

Tout en parlant, Désirée rougissait joyeusement. Un plaisir intense et profond pouvait se lire sur son visage. Elle resserra ses jambes sur la taille de Sélipa. Une main sur sa nuque, l’autre alla attrapezr la queue caudale poilue de Sélipa, et Désirée s’amusa à la caresser, à la masturber, en se disant que cet organe poilu devait probablement être érogène…

[Sélipa]

Sous toi, tu sens la bonne Désirée se contracter amoureusement. Ton mât est entré en elle comme dans du beurre ! Signe d'une excitation réciproque, certes. Mais tu te doutes bien que cette femme n'en est pas à son premier coup d'essai. Qu'elle a de l'expérience. Qu'elle s'est sans doute amusée, en l'absence de partenaire, à se faire plaisir toute seule en prévision d'un jour aussi glorieux que celui-ci. 
Une vraie petite cochonne comme on les aime !
Oh, cela te donne envie de la fesser ! Un plaisir que tu te réserves dans les prochaines minutes à venir. Ta position actuelle, qui tient du standard, ne te permet par de jouir d'une bonne vue sur sa croupe. Seulement sur sa taille féconde, sa poitrine alléchante et sa jolie petite gueule d'ange déformée par un plaisir sans cesse renouvelé...
Ses jambes se sont refermées autour de tes reins. Vous vous êtes embrassées entre plusieurs va-et-vient. Vos regards sont aimantés l'un à l'autre.

- Tu es à couper le souffle, ma petite Désirée, soupires-tu dans un sincère élan d'affection. Et compte sur moi... (Un coup de reins plus appuyé que les autres.) ...pour te baiser... (Un autre, plus fort encore !) ...aussi fort qu'il le faut !

Ton avancée dessine une belle courbe sous son ventre plat. C'est ce qu'elle est venue chercher ; c'est ce que tu vas lui donner - et peut-être plus encore ! La jeune femme te tient entre ses jambes aussi solides que des pinces, mais cela ne t'empêche pas de la fourrer avec panache, de la faire grimper au rideau tout en te retenant de la féconder trop vite.
Ses doigts fins se calent contre ta nuque. Ceux de son autre main se collent à ton appendice caudal pour le masturber. Une saïyajin de rang inférieur en aurait pâti. Mais dans ton cas, ce contact passerait presque inaperçu ; il n'en aurait pas été autrement sans le soutien de l'aphrodisiaque et de la magie rose présents dans ton organisme. Ici, le toucher de Désirée intensifie ton érection déjà conséquente !
Tu te retrouves à siffler entre tes dents, ton bassin cognant inlassablement contre le sien dans l'intention de la faire gémir toujours plus fort. Face à son chant de sirène, le voisinage n'a qu'à bien se tenir !
Alors que tes yeux suivent le roulement de sa poitrine, Un sourire pervers se dessine au coin de tes lèvres.

- J'en reprendrai bien quelques gorgées~

Non sans continuer de la perforer, tu empoignes ses seins sur lesquels tu ne tardes pas à te pencher. Tour à tour, ses mamelons juteux finissent dans ta bouche. Tu les presses avec appétit, les prélevant consciencieusement de leur puissant sirop. A tes yeux, jamais partenaire ne s'est montrée aussi pratique pendant l'acte !

- Aaah ! Toujours aussi rafraîchissant.

Tes yeux lubriques brillent à nouveau de cet éclat rosé.
Te revoilà gonflée à bloc !
Tu te passes un revers de main sur les lèvres avant de glisser à ton énergique compagne de chambrée :

- Desserre un peu les jambes et je te promets une culbute que tu n'oublieras pas de si tôt~

Quitte à se finir, autant le faire avec panache, non ?

[Sarah Kerrigan]

Comme on pouvait s’y attendre, Désirée vivait un moment très agréable ! Elle sourit quand Sélipa la complimenta. Cette mystérieuse jeune femme était endurante, et Désirée l’embrassa, heureuse qu’on la flatte, qu’on la félicite ! Elle était comme un animal de compagnie qui aurait ronronné suite aux caresses de sa Maîtresse ! Oh, que c’était bon ! Désirée se pressait contre elle, et caressait la longue queue caudale de Sélipa. Elle ne pouvait alors pas concevoir qu’il puisse s’agir d’un point faible de la Saïyen. Pour elle, une queue était forcément une zone érogène ! Elle tirait donc dessus, sentant les poils simiens de la Saïyen durcir à ce contact. Elle sentait aussi Sélipa gagner en endurance, en soif, se montrant plus ardente, grognant contre elle, donnant des coups de reins plus prononcés. Oh, quel délice ! Désirée adorait ce contact, elle se sentait partir sous les coups de reins de sa partenaire, sous ce coït soutenu. Son autre main pelotait les fesses de sa partenaire, un joli cul musclé qu’elle pétrissait avec ses doigts tout en soupirant longuement.

« Haaaa, Maîtresse Sélipa, hmmm… C’est si bon de vous sentir en moi ! »

Désirée soupirait longuement, et sentit Sélipa retourner s’abreuver à ses seins. Elle absorba plusieurs lampées de lait, et sa queue durcit encore, tandis que les iris de Sélipa prirent de nouveau une teinte rose. Contre son pubis, il semblait évident qu’un inmon était en train de se former, de se développer. Elle ordonna alors à Désirée de desserrer un peu les jambes. Celle-ci sourit, et obtempéra naturellement, détachant son emprise du corps athlétique de sa Maîtresse. Elle relâcha même sa queue caudale, et caressa la joue de Sélipa avec sa main, son pouce glissant contre ses lèvres, frottant délicatement sa peau et ses délicieuses lèvres.

« Venez, ma Maîtresse… Culbutez-moi, mon corps vous appartient ! »

Elle allait porter son bébé ! Oh, Désirée en tremblait d’excitation rien qu’à cette idée !

[Sélipa]

Tu comprends pourquoi les hommes s'enhardissent au cours d'une de ces brûlantes joutes. Toi-même tu trouves cela difficile de ne pas t'abandonner totalement à cette passion tant l'intimité de cette fille tend à t'absorber. Plus tu t'enfonces en elle et plus ça te travaille ! Tenir bon s'avère être une véritable épreuve de force. Sans compter les doigts de la divine créature qui s'échinent le long de ta queue de singe. Pourtant, l'opération doit durer. D'une part parce que tu ne sais pas si pareil miracle viendrait un autre jour à se reproduire, d'autre part parce que le plaisir éprouvé mérite d'être savamment entretenu.
La griffe que Désirée a posé sur ton cul semble en parfait accord avec son commentaire entraînant.

- T-tant mieux, ma belle !

Tu ne ralentis aucunement le rythme. La constance reste de mise jusqu'à ce que tu te décides à boire ce que les seins de ta belle ont à offrir.
Une erreur ? Dans un sens, peut-être. Mais dans l'autre, ce regain d'énergie accordait à Désirée la promesse d'une forte descendance. Docile, fichtrement bien élevée, l'éduquée des Xénos abandonne sa basse étreinte au bénéfice d'un toucher plus doux, plus charmeur. Son pouce trouve le chemin de tes lèvres sur lesquelles il s'attarde bien volontiers. Tout en remuant les hanches pour mieux gagner du terrain entre ses cuisses, tu passes ta langue dessus.

- Brave fille, lui souffles-tu au visage. Ton corps va recevoir - ça oui !

Elle voulait que tu la baises fort ? A en juger par son regard brillant de désir, c'est toujours d'actualité.
Voilà pourquoi tu lui passes tes mains sous les cuisses histoire de lui lever les jambes bien haut. Cette vue sur sa féminité, tu la dévores pleinement, l'imprimant sur ta rétine avant de reprendre vos ébats. Juchée sur elle, tu ne la ménages pas, ton bassin claquant contre le sien avec force ! Maintenant que tu es accroupie sur elle, il ne lui est plus possible, ainsi pliée en deux, de replier les jambes.
  Sa "garde" est grande ouverte, et c'est avec un plaisir indicible que tu la pilonnes jusqu'à satiété !

- Hrnnnn... Prépare toi à... Oooh !!

Une grimace froisse tes traits de guerrière.
Couchée sur elle, bien plantée au fond de sa matrice, tu évacues ce qui aurait déjà pu sortir depuis un bon bout de temps. Le fruit juteux de cet ultime moment de plaisir s'écoule en elle avec une force typique de chez toi. Désirée se voit - et se sait - vaillamment récompensée pour son approche aussi chaleureuse que dynamique. Tu ne te sépares d'elle qu'une fois le flux tari, et c'est le souffle court que tu t'étales à ses côtés sur le grand lit, tes yeux rivés sur le plafond de la chambre.
Une sacrée putain de journée, hein ?

[Sarah Kerrigan]

Sélipa la baisait avec force. Cela était indéniable. Quelle énergie, quelle puissance ! Sentir ces coups de reins, cette force incroyable… Oui, elle se démenait, elle la baisait avec force, et Désirée ne pouvait qu’y être sensible ! Oh, comme elle aimait ça ! Sentir sa partenaire la prendre, accroissant le rythme, bandant ses muscles, gémissant et suant contre elle, tout en continuant son office. Les coups de reins s’accentuaient, se multipliaient, les approchant toutes les deux du point de rupture. Désirée malaxait avec appétit le joli cul musclé de sa partenaire, et l’embrassait encore, jusqu’à la sentir finalement se vider en elle.

« Oooohhh… !! »

La sensation était divine ! Un orgasme savoureux ! Elle sentit les muscles de Sélipa se contracter, avant que celle-ci ne jouisse avec force, inondant sa chatte. Désirée ne put que jouir à son tour, et soupira longuement, se serrant à Sélipa. Elle s’abandonna à ce plaisir suprême, elle aussi, et conserva sur ses lèvres un sourire béat. Sélipa se coucha ensuite sur le côté, la respiration lourde. Désirée, elle, caressait son ventre. Elle portait peut-être les germes d’une Type-2. Cette simple idée la faisait frissonner de toute part. Elle se mordilla les lèvres en rougissant lentement, puis se coucha sur le flanc, et embrassa Sélipa sur les lèvres.

« Tu m’as sûrement mise enceinte, tu sais… J’ai hâte d’offrir notre bébé à la Reine… »

Peut-être qu’elle pourrait l’éduquer ? Ce n’était pas à elle d’en décider, bien sûr, mais elle pouvait toujours y croire !

« Qu’est-ce que tu comptes faire,  du coup ? Tu veux peut-être retourner dans tes quartiers, mais, si tu veux, je serai ravie de t’héberger ce soir… Comme ça, tu pourras dire au comité que j’ai un bon appartement, et que je peux éduquer un nouvel enfant. »

[Sélipa]

Pour une première, c'en était une belle !
Cette fille a eu ce qu'elle voulait, et toi par la même occasion. Cet ultime exercice t'a fait suer - toi, une Saïyajin pure et dure ! C'est toute transpirante, le membre flasque, que tu t'es allongée aux côtés de cette nymphe. Une sacrée partenaire dont le premier contact s'est fait autour d'un accident de voiture qui aurait pu briser quelqu'un de plus faible constitution que toi. Un douloureux malheur qui s'est transformé en bonheur à comité réduit, au sein d'une chambre aménagée à dessein...
En parlant de plaie, l'hématome que tu as récolté à la hanche n'est presque plus qu'un vague souvenir ; il ne te tiraille même plus ! Sans doute qu'à force de braver la douleur pour bourrer cette charmante demoiselle, elle a fini par tout simplement s'effacer ? Ou alors est-ce dû à cet insolite produit rose et à celui, plus délectable, extrait de la poitrine de Désirée ?
Dans tout les cas, tu es satisfaite.
C'est avec cet esprit là - un peu déconnecté de la réalité - que tu te tournes vers la future mère pour l'embrasser.
Ses lèvres semblent avoir le don de t'envoûter...
Quel genre de rêve es-tu donc en train de vivre, nom d'un bordel ?
Ta bulle onirique éclate dès qu'elle ouvre la bouche.

- L'offrir à la Reine ?

Tes sourcils se rehaussent. Ce peuple souterrain possède donc une dirigeante, à la différence du tien qui vit sous la coupe d'un fier souverain. Ici, chaque individu appartient dès la naissance à cette puissante personnalité - indépendamment de leur potentiel de combat qui, vraisemblablement, passe au second plan par rapport à leur capacité à engendrer.
N'aurais-tu pas commis une erreur en copulant aussi fiévreusement avec une de ses subalternes ?
Qu'adviendra-t-il de ta descendance guerrière ? une simple poule pondeuse à la merci des monstres ?
Impensable.
Ton sang est fort. Il ne saurait se mentir à lui-même.
Mais avec un conditionnement approprié, peut-être que... ?
Trop de probabilités. Pas de conclusions hâtives.
Et puis tu n'as pas envie de réfléchir à tout ça...
Pour le moment, c'est ta condition qui t'intéresse. Illusoire aux yeux de Désirée qui te prend toujours pour un "Type-2" ; préoccupante auprès des tiens dans la mesure où tu te sens presque obligée de faire profil bas.
Une fugitive qui ment à demi-mot dans le simple but d'entretenir un plaisir qu'elle n'a pas vraiment mérité. Suis-je devenue folle ? Ce monde n'est pas le mien et ne le sera sans doute jamais. J'y suis tombée par hasard avant de rencontrer cette...
Quoi, au juste ?
Ton esprit s'acquitte de toute véhémente pensée lorsque l'intéressée - de sa voix douce et innocente - te propose un hébergement gratuit pour la soirée.
"Le comité". Il va falloir que je me renseigne sur cet organisme et ses mécaniques. Nager dans le brouillard, ça va cinq secondes !
Jouant toujours le jeu, tu finis par hocher sobrement la tête.

- Je vais continuer à te tenir compagnie. Ce serait dommage qu'une aussi belle créature que toi passe la nuit seule dans cet appartement.

Ses lèvres te tentent à nouveau, il est vrai, mais tu t'efforces de ne pas trop les solliciter. Tu souhaites conserver les idées claires et éviter de trop te vautrer dans la luxure.
Un blanc sonore s'étire ente vous deux durant lequel tes prunelles roses ne la quittent pas d'un pouce.
Tu ne peux pas tout lui dire, certes, mais un peu d'honnêteté n'a jamais fait de mal à personne.

- Je préférerais que tu en aies la charge, déclares-tu. Le comité et tout ça, c'est bien beau, mais si je devais choisir entre vous deux...

STOP ! N'en dis pas plus. Tu es supposée en faire partir, de ce maudit comité ! Alors tâche de ne pas le dénigrer au bénéfice de cette nouvelle relation.

- Il va falloir que je leur en touche deux mots. Quitte à ce que je doive me faire entendre auprès de la Reine en personne.

Tu parles comme une guerrière. C'est ce que tu étais dans ton monde, et ce que tu es dans celui-là.
Certaines choses ne changent pas.
Ton estomac se met soudain à grogner.
Situation légèrement embarrassante.
Tu adresses un piteux sourire à ta compagne.

- Tu te sens encore la force de nous préparer quelque chose à manger ?

Quitte à y écouler la soirée, autant profiter à cent pourcent de son hospitalité.

[Sarah Kerrigan]

Désirée préférait aussi avoir ses propres enfants à éduquer, mais ce n’était pas elle qui décidait. Le Comité tranchait, et elle n’était pas une Couveuse, elle, mais une Pondeuse. En tout cas, Sélipa annonça qu’elle comptait encore profiter d’elle, et Désirée lui sourit, quand elle lui avoua qu’elle préférait que ce soit elle qui ait la charge de leur enfant, et qu’elle en parlerait à la Reine. À cette idée, Désirée sentit ses joues s’empourprer furieusement.

« Oh, euh… Tu sais, ce n’est pas la peine de déranger la Reine, je ne voudrais pas que ce soit mal perçu. Tu connais les membres du Comité, alors ? Je suis vraiment heureuse de t’avoir croisé ! »

Elle l’embrassa sur la joue, puis lui sourit. C’était logiquement au Comité de décider. Dès que la confirmation de sa grossesse serait faite, le Comité déciderait. En attendant, Sélipa lui demanda si elle pouvait lui préparer à manger. Désirée sourit, et caressa le ventre de Sélipa, puis l’embrassa plus chaudement sur les lèvres.

Que pouvait-elle refuser à sa supérieure ?

« Bien sûr ! Tu n’as qu’à te mettre devant la télévision… »

Désirée rejoignit la cuisine. Sélipa, elle, put rejoindre le salon, et la télévision ne tarda pas à s’allumer. Il y avait plusieurs chaînes, et on ne voyait que des femmes. Les hommes n’étaient pas pour autant oubliés, mais Sélipa ne tarda pas à comprendre leur sort en voyant des publicités vantant le mérite des thérapies de conversion génétique. Tout mâle était transformé en Futanari, et elles faisaient partie des Faiseuses de Vie, les « Baiseuses ». Des femmes musclées et solides, qui avaient d’épaisses quantités de sperme.

Depuis la cuisine, de délicieuses odeurs remontaient. Désirée préparait avec son robot de cuisine un repas classique à base de viande rouge et de frites. La télévision proposait des séances de talk-show avec des sujets qui pouvaient prêter à sourire. Ainsi, sur un talk-show, des images montraient des animations sexuelles avec un bandeau explicite : « Comment satisfaire au mieux votre partenaire ? ».

Une publicité rappelait que toute Pondeuse avait l’obligation de s’offrir à une Faiseuse de Vie quand elle en faisait la demande, et qu’il était interdit de rester non-enceinte pendant un certain temps. Des messages rappelaient également l’importance de vérifier son score social, car de lui dépendait votre progression dans la société.

« Tu sais, avec ton bébé, je vais sûrement pouvoir améliorer mon score, et obtenir une promotion ! Mon score n’est pas loin des 5 000, j’aurai droit à un plus grand appartement ! Et toi ? Je suppose que tu dois avoir une maison, vu que tu es une Type-2… Tu sais, si jamais tu manques d’esclaves, je suis là pour te servir ! Et puis, si tu me prends comme esclave, c’est sûr que notre bébé grandira dans ta maison ! »

Pour Désirée, c’était la seule explication de sa présence dans les faubourgs. Elle ne voulait sans doute pas que cela se sache. Désirée prépara donc le plateau-repas, et l’amena sur la table du salon. Puis, elle rougit ensuite en regardant l’entrejambes de Sélipa.

« Je… C’est un peu cavalier, mais… Est-ce que je peux te sucer pendant que tu manges ? Tu dois avoir faim par là aussi, non ? Je sais que tu es une Type-2, mais ne t’inquiète pas, je suis plus solide que ce que tu peux croire ! »

[Sélipa]

Prendre sur toi pour ne pas qu'elle grille ta couverture n'est vraiment pas chose facile. D'autant plus que ce mensonge n'est même pas de ton fait ! Quelle ironie... loin d'être amère, car il s'agit là d'une ironie qui t'a conduite à profiter d'une Pondeuse particulièrement enthousiasmante. Une femme qui, contrairement à toi, sait où se situer dans ce système et comment bien se faire voir par ses supérieures. Endoctrinée au possible, elle semblait d'ailleurs vouer un véritable culte à sa Reine et à son précieux Comité.
J'ai vraiment tout intérêt à me renseigner.
Mieux valait donc ne pas trop ébruiter tes réelles intentions. Tu ne sais pas comment tu réagirais si jamais Désirée, dans sa cruelle innocence, en vient à se retourner contre toi. Ce qui serait compréhensible dans la mesure où elle ne te doit rien si ce n'est tout ce que tu as déversé dans son ventre...
J'ai encore du mal à m'y faire.
Tout est allé si vite, en même temps...
En signe d'empathie, les doigts de ta récente partenaire se posent sur ton ventre creux. La faim te ronge, il est vrai, mais à force qu'elle vienne t'embrasser c'est un autre type de faim qui pourrait bien finir par se réveiller.
Je me ramollis dangereusement.
Pas dans le sens littéral, en tout cas.
Lorsque Désirée quitte la chambre, tes yeux restent vissés à son fessier. Rien n'y fait, apparemment : la magie opère toujours en toi, neutralisant ta raison au bénéfice d'une encombrante passion. Preuve en est ce chibre qui ne s'est pas volatilisé depuis la dernière vidange.
Qu'importe ! Tu sais très bien qu'il pourra toujours te servir avant la fin de la soirée.

- Voyons voir ça.

Sans prendre la peine de se rhabiller correctement, Désirée a tôt fait d'intégrer la cuisine. La télévision s'est allumée dans le salon et c'est dans les mêmes "atours" que tu te mets à la mater. Très rapidement, c'est une information capitale qui résonne à tes oreilles : l'absence de mâles dans les environs s'explique par la transformation de ces derniers en femelles membrées. Des Faiseuses de Vie destinées à ensemencer d'authentiques greluches, elles-mêmes formées pour recevoir et mettre bas.
Tu ne peux t'empêcher de couler un regard à ta turgescente surprise.
Pas difficile à comprendre.
Une odeur de viande t'arrache à ta méditation. Désirée a tout l'air de bien savoir se débrouiller derrière les fournées. Tu t'en veux presque d'abuser ainsi de ses services. Son éternel sourire atténue ta culpabilité. De toute ta vie de guerrière, tu n'as jamais croisé fille aussi insouciante et soumise.
Parmi les nôtres, elle aurait fait la joie de bien des rustres.
Bizarrement, l'idée t'écœure. Comme il ne s'agit pas de toi, en même temps...
Une autre publicité - toujours basée sur la sexualité, pour ne pas changer ! - t'interpelle. Il est alors dit qu'une Pondeuse devait impérativement s'offrir à toute Faiseuse de Vie quand celle-ci en faisait la demande. Le Comité - sans doute ? - exigeait une certaine assiduité en matière de natalité.
Une grimace, quoique discrète, souligne ton avis sur la question.
A ce train là, ils vont tous finir par se marcher dessus.
Peut-être que les monstres du monde de la surface dévorent les plus vieilles en compensation ?
Bien qu'il s'agisse de faibles et donc de proies faciles, l'idée te répugne autant que celle de devoir quasi perpétuellement se retrouver en cloque.
Tu ignores par quel prodige tu parviens à ne pas cracher ton fiel mais cela permet à ta - trop ? - bienveillante compagne de commenter toutes les bêtises vomies par cet écran animé.
Allons donc ! Un "score social", maintenant ? Ces gens sont malades ! Ils sont vraiment prêts à tout pour se faire une place dans cette foutue société.
Malgré tes pensées négatives, tu ne peux t'empêcher d'écouter Désirée s'égosiller sur votre "avenir". Sa joie te fait l'effet d'un pincement au cœur. Cette pauvre fille en vient à te demander de basculer sous ta coupe, de t'appartenir comme une vulgaire esclave ! Une alternative à cette histoire de bébé - votre futur enfant - qui permettrait de vous accorder le droit de vous en occuper à plein temps, au sein de votre domicile.
Une maison que je n'ai pas.
Un mensonge de plus en plus lourd et de plus en plus difficile à entretenir.
Pendant combien de temps encore vais-je supporter de vivre avec ça sur la conscience ?
Loin d'être une manipulatrice ou une menteuse, tu es une guerrière au sang chaud. Tout ceci finira un jour ou l'autre par te faire péter un câble, c'est sûr !
Les mots ont pourtant trop de mal à sortir.
Tu te découvres une peur à laquelle tu ne t'es encore jamais frotter : celle de briser les rêves d'une âme trop chaleureuse envers le monde tordu qui la couve.
Comment faire... ?
Désirée ne s'en rend peut-être pas compte mais ton silence est vraiment inconfortable. L'intéressée le vit pourtant bien, lancée comme elle est dans son monologue.
Je ne la mérite pas. En fait, je ne mérite rien de tout ça.
Sélipa, l'usurpatrice ! Ce titre éveille une rage en toi pile au moment où le plateau-repas de Désirée se glisse sous ton nez. Tes narines se dilatent de conserve. L'odeur de la bonne pitance jugule ta colère qui aurait sans doute, en de plus sombres circonstances, enflé de façon drastique.

- Tu n'as pas fait les choses à moitié, lui souffles-tu avec un mélange de confusion et de gratitude dans la voix. Comment as-tu fait pour rester seule aussi longtemps ?

Venant de toi, c'est plus que flatteur !
Flatterie qui n'est pas tombée dans l'oreille d'une sourde, visiblement, car la voilà qui te propose de lustrer, en même temps que tu savoures ton repas, le corps dressé entre tes cuisses nues. En effet : la bouffée de rage contenue plus tôt s'est retrouvée coincée à mi hauteur. Désirée a remarqué ta gaule. Elle n'a pas besoin d'avoir un œil de lynx pour cela.
Ton expression trahirait presque ton ahurissement.

- Tu m'impressionnes, avoues-tu avant de lui faire de la place sous la table. Et je ne parle pas que de ton appétit. Je dirais que tu es forte à ta manière. Tes arguments sont convaincants - tellement que je ne trouve pas grand-chose à en redire. Tu sais te vendre et, très honnêtement, je m'en voudrais de faire de toi une simple esclave. A mes yeux, tu mérites plus que je ne pourrais jamais t'accorder.

La bouffe qu'elle t'a si gentiment préparée va refroidir. Ton estomac grogne. Cela en devient presque douloureux, même pour une Saïyajin de ton calibre.

- Si tu peux te satisfaire de ce peu que j'ai à t'offrir, tu es libre de combler la moindre de mes faims.

Est-ce un sourire que l'on peut voir sur ton visage d'ordinaire si renfrogné ?
Mais ma pauvre Sélipa, tu débloques complètement !

[Sarah Kerrigan]

« …La violence, le chaos, des femmes battues et humiliées, torturées, violées, mutilées… Ce soir, replongez avec nous dans la Préhistoire, quand les mâles dominaient les femmes, avant que notre Reine ne vous libère, et ne nous offre une vie meilleure et épanouie. »

La télévision montrait des images redoutables, de tribus et de séances insupportables. Une violence très crue et forte, pour marquer les esprits. On voyait des femmes démembrées, décapitées, leurs corps suppliciés suspendus par les jambes dans des manoirs sinistres détenus par des hommes gras et pervers.

« …La diffusion de ce documentaire s’accompagnera d’un débat sur les méfaits de la virilité masculine… »

Désirée s’agenouilla quand Selipa lui indiqua qu’elle pouvait la sucer. Il fallait admettre qu’elle avait une belle érection, et elle l’avait couverte de compliments, jusqu’à s’étonner qu’elle soit seule. Elle s’agenouilla entre les cuisses de Sélipa, et masturba sa verge, tout en lui répondant :

« Eh bien, il y a beaucoup de candidates, Maîtresse, on ne devient pas esclaves si simplement… »

Si Sélipa faisait référence à son célibat, elle allait vite constater que c’était ici la norme. Dans cette société, toute interaction entre l’individu et la société, toute cellule intermédiaire, était à bannir. Un couple, c’était une menace potentielle, mais comment tomber amoureux dans une telle société ? Une société où le sexe était fréquent, et où on ne vous demandait pas de fonder une famille. Vos enfants étaient confiés au régime, un régime bienveillant. Tout cela ne pouvait que raisonner avec Sélipa, car les Saïyen n’éduquaient pas non plus leurs enfants. Leurs enfants étaient entreposés dans de gigantesques couveuses, et étaient envoyés très jeunes en mission dans des planètes sauvages pour les pacifier. Des Saïyen plus âgés venaient ensuite les récupérer, et les formaient.

Entrouvrant les lèvres, Désirée prit donc le membre de Sélipa en bouche, et commença à la sucer. Elle se mit à pomper sa queue, soupirant longuement en relevant les yeux pour croiser son regard. Elle continua ensuite à la pomper. Le spectacle était très intense, Désirée faisant preuve de son talent buccal. Sur la télévision, une page de publicité rappelait aux femmes les formations sexuelles à pratiquer. Désirée sentait la verge de Sélipa grossir dans sa bouche, enfler en elle. Le contact était savoureux, et Désirée continua son office, jusqu’à sentir Sélipa jouir. Sa semence explosa dans sa bouche, et Désirée l’avala avec envie, léchant et nettoyant ensuite sa queue.

« Votre semence est délicieuse, Maîtresse… »

Sélipa lui avait dit que Désirée méritait d’être plus qu’une esclave… Alors, Désirée revint sur ce point.

« Je ne sais pas si je suis prête à devenir une Type-2, Maîtresse.  Vous… Vous n’avez même pas passé une nuit avec moi, et vous souhaitez déjà me parrainer ? Vous n’êtes pas sérieuse, Maîtresse, il ne faut pas plaisanter avec ces choses-là ! »

[Sélipa]

Le propagande vomie par la télévision était étonnamment transparente. Elle mettait en valeur le calvaire subi par la gent féminine, soumise aux bassesses sans nom des mâles et de leurs pulsions primitives. Il était perturbant d'écouter ces informations, dénuées de filtre, alors qu'une bombe t'agite le manche en vue de se le glisser entre les lèvres...
Il te suffit de baisser les yeux sur son minois tentateur pour te soustraire aux horreurs du petit écran. Des horreurs que tu as déjà infligées à bien des peuples, en l'occurrence, mais toujours dans l'élan abrutissant du combat. Ici, celles qu'exhibent la télévision n'ont aucun sens et ne servent à susciter que le dégoût et l'indignation. L'aberration, jetée en plein visage avant le message salutaire sans doute propagé par la voix de cette Reine libératrice, vient aussitôt vous rappeler la chance que vous avez d'être à sa botte.
Trop aimable.
Des bouchées de frite et de viande accompagnent alors ta réflexion.
Tu dois quand même admettre que ce contexte te déboussole un peu. Jusqu'ici, tu as toujours obtenu ce que tu voulais par la force. Une force éprouvée lors de mémorables batailles ! Or, sur cette planète obscure, tu n'as pas eu à te défouler bien longtemps pour te faire remarquer. On t'a renversée en voiture ; tu es tombée comme une merde ; ça t'a mise en rogne ; tu n'as pas jugé nécessaire de répliquer.
Et voilà où j'en suis à présent.
En pleine conversation avec une certaine Désirée, la bouche chargée de sa cuisine réparatrice. La pitance exotique d'un morceau de choix qui n'aspire qu'à te baiser parce qu'elle t'imagine d'un rang supérieur au sien.
A son écoute, tu fronces les sourcils autant que sa masturbation d'experte te le permet.
En effet. Avec tout ce que j'ai entendu jusqu'ici, il y a fort à croire qu'elles sont nombreuses à vouloir se faire prendre.
Un paradis pour les Baiseuses, un bon moyen de s'élever pour les Pondeuses !
Toutefois, s'il y a bien une chose qui te dérange, c'est cette histoire de garde d'enfant - et, dans le cas présent, d'offrande à la Reine. Toi qui n'a jamais enfanté sur ta planète d'origine éprouves quelques difficultés à t'imaginer faire comme les tiens : à savoir se séparer durablement de ta progéniture, et parfois sans même avoir l'occasion, ne serait-ce qu'une fois, d'entrer en contact avec elle...
Je ne sais trop quoi en penser alors que c'est en me fiant à nos coutumes que je suis parvenue à survivre jusqu'ici.
D'un côté, tu considères cela comme bénéfique - une expérience militaire offerte sur un plateau d'argent. De l'autre, c'est un mauvais œil que tu braques sur ce système spartiate.
Des gosses pas plus grands que mes tibias jetés dans un monde hostile ! C'est à la fois une expérience barbare et enrichissante.
Mitigée à ce sujet, tu l'as toujours été au fond de toi. Mais le temps a fait que tu t'y es acclimatée. Tu n'as pas vraiment eu le choix, à l'époque. Alors qu'aujourd'hui, peut-être qu'en y mettant un peu du tien...
Sentant la migraine approcher, tu te masses le front entre le pouce et l'index.
Je réfléchis trop. A l'excès, c'est contreproductif et mauvais pour la santé.
Mieux vaut que tu te concentres sur ce qu'il se passe en dessous, sous la table et dans ton assiette.
La bouche de Désirée s'est refermée sur l'objet de ses fantasmes. Tu te rends très vite compte qu'elle va tout faire pour te combler. Sa langue a pris place sous ta queue et y glisse avec appétit. Sa salive fait briller ton vit, que tu peux voir par intermittence en fonction des mouvements de va-et-vient décrits par le cou gracieux de cette divine praticienne. C'est un soupir de plaisir qui franchit le palier de tes lèvres alors que tu poses une main flatteuse sur sa tête.

- Si tu veux mon avis, tu n'es définitivement pas n'importe quelle candidate.

Une page de publicité inonde alors l'écran, t'interpellant sur les exercices quotidiens menés par des femmes telles que celle qui te gratifie d'un tel traitement. Il ne fait absolument aucun doute que Désirée a très bien suivi ses cours. Tu te surprends à en rougir lorsque son regard langoureux s'ancre dans le tien. Tout en elle semblait fait pour favoriser la jouissance. Son corps, son expression, ses manières... tant et si bien que cela te fascine.
Tant et si bien que la sauce ne tarde pas non plus à monter.
Merde ! Un foutu moment de relâchement.
Des frites plein la bouche, tu fais la grimace. Plus possible de te retenir. Il est bien trop tard pour cela. Alors tu retires cette main que tu as posé dans ses cheveux, tu avales cette partie de ton repas puis tu te contractes d'un bloc.
Le flux qui jaillit de ton gland inonde sa bouche servile, l'emplissant de foutre. Pendant un instant frissonnant, tu en as le souffle coupé. 

- Oh, putain...

Sensation dangereusement addictive. Tu te sens à la fois plus légère et heureuse. Dans ta poitrine, ton cœur tambourine aussi fort qu'après un bon combat. Plus fort qu'en compagnie d'un mâle, dans une piaule trouvée à l'arrache, après lui avoir grimpé dessus et fait la bête à deux dos.
Avec tout ça, rien d 'étonnant à ce que je me perde en chemin.
Tu inspires un grand coup après qu'elle t'ait ravalé la façade.
Ses paroles trahissent une volonté sans faille de t'occuper pour la nuit entière. Cette fille souhaite t'impressionner. Te convaincre qu'elle te sera utile. Toujours disposée à te recevoir, en haut comme en bas...
Bordel de merde ! Comment ne pas s'égarer ?
Tu te penches pour l'embrasser tendrement. Cette petite cochonne porte ton goût du jour sur les lèvres.

- Tu as raison. J'ai parfois tendance à prendre les choses à la légère. C'est vilain, de sauter les étapes. Vilain et risqué ! On me l'a déjà dit. (Du dos de la main, tu lui caresses une joue.) Je ne t'ai visitée qu'une seule fois. C'est peu. Peu et pas assez pour nous deux. Alors voilà ce qu'on va faire...

Tu te redresses, ramassant un morceau de barbaque au passage avant de te l'enfourner dans la bouche. Le minimum syndical pour te redonner des forces. En temps normal, ton appétit est grand ; il en faut bien plus pour recharger tes batteries. Mais tes priorités ont brusquement changé. La bouffe bien entamée peut attendre.
C'est Désirée qui va passer à table, là, maintenant !
Après avoir bien mâché et ingurgité le tout, tu déclares avec ton aplomb de guerrière chevronnée :

- Je vais te tringler. Ce soir, l'une de nous deux va finir sur les rotules. Et je compte bien faire en sorte que ce soit toi, ma grande !

Elle est bien mignonne mais la bougresse n'a pas son mot à dire. L'avantage, c'est qu'à l'instar de toutes les Pondeuses, Désirée le sait déjà. Tu l'enlaces en refermant tes mains sur ses fesses. Ton regard se fait dur mais il ne faut pas se méprendre : le désir est bel et bien là, scintillant d'un rose équivoque. Ainsi, tu la soulèves de terre, l'amenant à se tenir en équilibre dans l'angle formé par ton jonc de nouveau dressé et ton pubis chaud comme la braise. Tu ne la pénètres pas tout de suite, supportant son poids comme si elle ne pesait rien. Ton regard, plus intense cette fois, épouse le sien.

- J'espère que les fondations de ce bâtiment sont robustes, ou on risque très vite de se retrouver au rez-de-chaussée.

La voilà prévenue !
Les mains appuyées sur son cul, tu l'insères sans plus tarder. Elle s'est dite solide ? Parfait ! Te basant sur ses arguments, tu la fourres jusqu'à la garde non sans grogner d'un plaisir presque bestial.

[Sarah Kerrigan]

Pour Sélipa, la situation était particulière, atypique et savoureuse. Désirée était loin de réaliser son trouble mental, le conflit en elle. Pour elle, la société xéno était un idylle de perfection. Cependant, l’idée d’une famille n’était pas pour déplaire à Désirée. Éduquer ses propres enfants… Mais, pour ça, la seule solution était d’être une Type-2 ! Elle serait encore une Pondeuse, bien sûr, mais elle serait reconnue comme suffisamment viable pour avoir des enfants. La seule autre alternative était d’être l’esclave d’une Type-2. Les esclaves des Type-2 avaient un rang social supérieur à l’ensemble des habitantes de Type-1. Surtout, les esclaves éduquaient leurs propres enfants. L’instinct maternel était quelque chose d’irrésistible, une force instinctive et primaire, sauvage, qu’on observait chez les animaux. Ce besoin existait chez Désirée, et chez toutes les femmes de Type-1. Certes, elles étaient heureuses de donner des enfants à la couvée, de savoir que leurs enfants étaient grands et forts, mais toutes caressaient aussi le rêve de rejoindre les quartiers luxueux des Type-2, et de pouvoir contribuer au bien-être de leur progéniture.

Dans ces conditions, l’idée que Sélipa puisse l’aiguiller en ce sens émut Désirée. Elle redoublait d’efforts en la suçant, et papillonna des yeux rapidement, pour en chasser les larmes d’émotion qui commençaient à perler sur le creux de ses yeux.

« Hmmm… »

Sélipa était décidée à passer aux choses sérieuses, et ordonna à Désirée de se redresser. Sa verge était désormais bien tendue, et Sélipa était désormais bien décidée à la baiser avec force. Elle lui ordonna de se relever, et Désirée frémit quand Sélipa annonça très simplement son intention de la baiser avec force, de la « tringler ».

« Oh, Maîtresse, j’aime quand vous me parlez comme ça… » soupira Désirée en rougissant furieusement.

Elle s’en mordilla les lèvres, et sentit les mains de Sélipa la palper. Une lueur de désir féroce se lisait dans les yeux de cette femme, et la robe de Désirée glissa naturellement au sol. Dessous, Désirée était joyeusement nue, et tout aussi impatiente. Elle soupira quand sa Maîtresse l’embrassa, se laissant naturellement faire, répondant avec envie à ce baiser puissant et énergique.

Les mains gantées de Sélipa palpèrent ses fesses, faisant frémir la jeune femme, puis se crispèrent dessus. Elle sentit Sélipa bander ses muscles, et elle renversa ensuite la jeune femme, qui heurta le mur. Elle sentit ses jambes se relever, Sélipa la soulevant sans difficulté. Désirée heurta le sol, son corps se soulevant par-dessus sa tête.

Une véritable position de l’enclume où les grognements gutturaux de Sélipa accompagnèrent les hurlements jouissifs et emportés de la belle Désirée !

[Sélipa]

Tes paroles crues lui mettent le feu aux cuisses ? Parfait, parfait ! Tu ne tardes pas à vouloir la prendre avec la même fermeté, la même autorité. Désirée va pouvoir faire ses preuves, démontrer sa "solidité" lors de cet accouplement d'un niveau supérieur ! Vous ne manquez pas d'espace pour cela, le salon étant bien plus grand que le lit de la chambre - pourtant largement taillé pour deux personnes.
Ton heureuse candidate se retrouve très vite sur les omoplates, le cul en l'air et la tête en bas. Genoux à terre, tu la montes comme une bête ! Ses mollets côtoient tes trapèzes, et leur frottement contre ton cou ne fait que s'intensifier tandis que tu la pilonnes sans plus de retenue.

- Avec toi, ma jolie petite chienne, les soirées promettent de sacrés instants de folie !

Enhardie par ses cris d'amour, tu t'enfonces plus loin en elle. Tes dents se referment sur son cou, le mordillant avec un désir de plus en plus fiévreux. Tu en viens même, à la manière d'une affamée, à lui coller ta langue sur le visage, le long de sa joue embrasée. Un marquage de territoire, en quelque sorte.
Si sa logique veut qu'elle devienne ta propriété, autant y aller sans le moindre filtre.

- Décris-moi ce que tu ressens, délurée ! Clame mon nom aussi fort que possible pendant que je te... rggghnn... baise bien fort !

Elle te fait saliver. Ton nouvel organe palpite au seuil de sa matrice ; difficile pour toi de le contrôler, de bloquer cette montée de foutre qui ne demande qu'à jaillir à gros bouillons ! Encore une fois, Désirée porte bien son nom. L'espace d'un instant, tu en viens à te demander si ce sont les monstres qui le lui ont attribué en parfaite connaissance de cause.

- Aaah, bordel !... qui serait assez conne pour te dire non, hein ? Qui donc ?

La colère t'aide à tenir bon. Tu t'emportes, certes, mais tu ne flanches pas. L'orgueil du Saïyajin ! Une force redoutable et tout à fait exploitable dans ce contexte.
Ta queue de singe remue dans ton dos tandis que l'autre, plus dure et glabre, creuse continûment ce fourreau de chair sans fond.

- Un seul gosse ? - hfff hfff - J'imagine que ce serait trop peu pour une... hhnnnn... gourmande comme toi !

Tes mains se referment sur ses chevilles que tu décroises sans ménagement. Tu te redresses subitement avant de lever une jambe et d'enjamber l'une des siennes. Ton pied s'écrase à quelques centimètres de sa tête. Cette fois-ci, te voilà vraiment assise sur son bassin, les jambes fléchies, ta trique pointée vers le bas et toujours bien plantée dans sa chatte de succube.

- Je suis loin d'avoir dit mon dernier mot, Pondeuse ! (Tu inspires un grand coup, un sourire carnassier aux lèvres.) C'est moi qui mène la danse et ça, tu vas le sentir passer~

Descendre, monter, descendre, monter, descendre... plus tu t'adonnes à cet exercice, plus ça te parait simple ! Ta position t'empêche de jouir comme une précoce. C'est un brin douloureux mais, franchement, contrairement à tout ce que tu as dû traverser pour en arriver là...
Peuh ! La bonne blague.
Qu'est-ce donc que ce menu désagrément à côté de tout ce croissant plaisir ?
Tes grognements perdurent dans le temps. Tu sues dans l'effort mais qu'importe tant que ta partenaire tient le coup. Il serait dommage de te retrouver avec un cadavre entre les jambes, n'est-ce pas ? C'est l'une des raisons qui te pousse à la dévorer du regard... outre son physique diablement avantageux, cela va de soi !

[Sarah Kerrigan]

Comme on pouvait s’y attendre, Sélipa était très intense, faisant vivre à Désirée une expérience hors-du-commun. Prise avec force par sa partenaire, elle se faisait prendre énergiquement, et elle laissait Sélipa agir. À ce stade, Désirée ne disposait d’aucune arme quelconque pour repousser cette femme. Les puissants coups de reins de la Saïyen faisaient remuer son corps, lui rappelant la brutalité et la sauvagerie des Xénos quand ils venaient la baiser. Il y avait chez Sélipa la même sauvagerie, le même élan fougueux, la même puissance qui se déployait. Elle la vit poser son pied à côté de sa tête. Désirée haletait et gémissait, son corps filant d’avant en arrière.

« Haaaa… Haaaaa… !! »

Désirée gémissait longuement, sentant les coups de reins s’accentuer. Elle bavait sur place, tandis que, face à elle, Sélipa continuait à la provoquer, à la prendre fort, avec sa position. Elle s’était comme « assise » sur elle, pliant et relevant ses jambes. C’était une position très athlétique, car elle n’avait aucun autre appui que ses jambes, mais Sélipa semblait être ce genre de femmes à passer son temps en salle de sport. Ce n’était pas le cas de Désirée ! Elle fantasmait déjà en s’imaginant soutenir Sélipa lors de ses exercices de musculation, s’empaler sur elle pendant qu’elle soulevait une barre. Des salles de sport, il y en avait bien sûr en ville, l’idée étant de se muscler, surtout quand on avait pour ambition d’être une Futanari. Sélipa s’en sortait très bien. Désirée l’entendait soupirer longuement, elle la voyait suer, et… Oh, comme elle était belle ! Une vraie beauté, oui ! Elle dénotait, avec ses cheveux courts, mais cela lui allait plutôt bien !

La jeune Pondeuse mouillait joyeusement, remuant sur place. Elle appuyait avec ses mains sur les pieds de Sélipa, caressant ses curieuses bottes blanches, et se fit brièvement la réflexion qu’elle n’avait jamais vu de telles bottes, peu moulantes. Elle gémit encore, et croisa le regard de la jeune femme.

« Maî-Maîtresse, v-vous… Haaaa… Si b-be-belle… !! »

C’était tout ce que la pauvre Désirée arrivait à articuler, tant elle se faisait baiser à un rythme intensif !

[Sélipa]

C'est un régime spartiate que tu lui imposes là ! Un régime auquel elle semble pourtant avoir déjà été soumise. Et un régime qui, enfin, ne la laisse clairement pas indifférente. Désirée sait se montrer très dévouée quand elle le veut. Elle apprécie aussi les actes doux à leur juste valeur. Mais si tu te rends compte d'une chose, c'est bien la suivante : ce qu'elle aime par-dessus tout, c'est de se faire prendre comme une bête !
Et c'est moi qui étais en manque, tout à l'heure ? Hin ! Quelle ravissante petite effrontée nous avons là~
Cette supériorité écrasante t'excite. Entre ta position de dominatrice et le sentiment qui lui est associé, le plaisir est à son comble. Tu t'amuses de voir ta poupée de chair pliée en deux à l'envers. Tu te plais à l'entendre gémir, et à bégayer ses flatteries que tu sais parfaitement authentiques. Désirée ne te ment pas ; elle te trouve à croquer sauf que là, c'est toi qui dévore le fruit aussi tendre que juteux.

- Hmmnn ! Ta chatte est un vrai trésor, mon ange. Un putain... - haa ! - de beau cadeau... hhh... fait à ta Maîtresse !

Tu conserves cette position. Elle t'inspire du feu de dieu et mérite que tu t'y attardes. Sous toi, la superbe Désirée fond comme neige au soleil. Ses traits sont déformés par l'extase, et tu sais qu'à ce rythme effréné la Pondeuse ne tiendra pas sur la durée.
Afin de mieux t'exprimer, tu adaptes ta respiration laborieuse aux efforts fournis - quitte à ralentir un chouïa si nécessaire.

- Ah, Désirée... Je vais faire de toi une foutue fontaine ! (Les lèvres retroussées, tu en grognes d'envie.) Ton bas-ventre va s'en souvenir, crois-moi~

Et son ventre aussi lorsqu'il se mettra à gonfler. L'étape suivante, parce qu'il faut tout d'abord la remplir à ras bord, cette charmante créature ! La prochaine fois, peut-être bien qu'elle y réfléchira à deux fois avant de te redonner autant de forces ?
Ton repas n'a pas toujours été digéré, certes, mais c'est un autre type de faim qu'elle a su éveiller chez toi. Une énergie renouvelée et explosive. Un appétit vorace, bestial, qui a fait d'elle ton repas... ta proie !
Ton sourire de forcenée se mue en une grimace moins guerrière.

- Le moment est venu... de te gaver !

Tu t'abats sur son entrejambe de feu comme un marteau tout contre un fer chauffé à blanc. Ta queue la creuse avec fermeté, s'enfonçant par-delà son canal muqueux. Ton immobilité soudaine se justifie par une éruption à nulle autre pareille ! Un son grave se bouscule dans ta gorge alourdie. Il fuit, et c'est un râle de plaisir qui inonde la pièce !
Un autre bonheur, de bien meilleure consistance, abreuve la matrice de la Pondeuse. Le produit épais de vos ébats se propage en elle avec force pression, éclaboussant sa chambre de vie ! Tu ne débouchonnes la belle qu'après t'être purgée à l'excès. Tes prunelles roses ne s'en détachent pas, curieuse comme tu es d'assister au débordement de cette vulve dûment travaillée.

[Sarah Kerrigan]

Désirée devait bien admettre une chose : Sélipa était incroyablement endurante ! Une Type-2, voilà ! Elle la besognait avec force à même le sol, s’abattant sur elle, ses muscles s’étirant. Désirée croisait son regard souvent. Elle pouvait voir le désir dans les yeux de Sélipa, mais aussi l’effort qu’elle faisait. C’était incroyable ! Elle avait opté pour une posture athlétique, mais la manière dont Sélipa tenait la cadence était tout de même impressionnante ! Désirée se laissait donc porter, sentant les coups de reins de Sélipa s’accentuer. Le sol lui-même semblait trembler au fur et à mesure que le postérieur de Désirée rebondissait sur le plancher. Elle se faisait baiser dans son couloir, prise comme une vulgaire traînée, et c’était magique !

« Haaaa, Maî-Maîtresse… ! »

Incapable de résister plus longtemps, Désirée finit par contracter un nouvel orgasme. Impossible de dire à combien elle en était ! Ses joues rougies trahissaient le plaisir féroce qu’elle ressentait, et elle crut bien défaillir quand elle sentit Sélipa jouir. Le visage serré et fermé de Sélipa sembla se détendre, tandis qu’elle se vidait en elle. Elle jouit avec force, balançant d’épais chapelets de foutre, une vague forte et riche qui trahissait sa soif, et tout son désir. Elle expulsa tout cela en soupirant longuement, tout comme Désirée, qui ne put que la laisser venir, avec grand plaisir… Et, quand Sélipa eut terminé, les jambes de Désirée retombèrent sur le sol, comme tout son corps.

Respirant longuement, Désirée avait les cheveux plaqués sur le visage, et sentait le foutre de sa Maîtresse dans son ventre. Le surplus était recraché par sa chatte écartelée, venant nourrir ses cuisses. La main gantée de Désirée finit par se relever, et par caresser son ventre, contre son nombril.

« Si, avec tout ça, je ne suis pas enceinte de vous, Maîtresse, hihi… Vous vous êtes lâchée ! »

L’idée d’avoir un bébé de sa Maîtresse l’émoustillait particulièrement. Celui-là, elle espérait bien avoir le droit de le garder pour l’éduquer ! Même si tous les enfants donnés au Comité servaient le bien commun, Désirée restait tout de même une mère, et elle avait aussi envie, comme toute mère, d’élever son propre enfant… Qui sait ? Si elle tombait bien enceinte de Sélipa, et si Sélipa conservait sa promesse de l’emmener comme esclave dans sa maison, elle pourrait le garder ! Cette idée la remplissait de joie et d’un bonheur indicible qui amenèrent ses yeux à s’émoustiller.

« Je vous promets que je serai une bonne maman pour notre bébé, Maîtresse… »

[Sélipa]

Une victoire par K.O ? Au moment de lui relâcher les jambes, ta partenaire s'est écroulée par terre ! L'exercice semble l'avoir lessivée. Plus que toi, apparemment. Tu as beau avoir sué, donné le meilleur de toi-même, tu n'en restes pas moins encore debout et particulièrement fière d'avoir conservé la force d'assister à ce sulfureux spectacle ; la chatte de Désirée expulsant ce trop plein de semence que tu es parvenue à produire par tu ne sais quel miracle.
Avec ça, elle a eu plus que sa dose.
Tu es repue, toi aussi. Comme en atteste ton épée de labour, redevenue molle après cet exploit ô combien grisant.
N'ayant visiblement pas menti sur sa "solidité", Désirée n'est pas tombée dans les vapes. Bien consciente, fidèle à son caractère servile, elle se réjouit ouvertement du futur port de ton enfant.
Cette vision te touche plus que tu ne l'aurais cru possible. Ton cœur de guerrière s'est fendillé comme une buche frappée par une lame de pure douceur. Tu déposes un genou à terre pour te pencher sur ta Pondeuse. L'une de tes mains rejoint la sienne, qui s'est perdue en caresses sur son ventre chargé.

- Je me suis peut-être un peu emportée, Désirée, mais je considère la faute comme partagée. (Tu lui souris.) On peut dire que tu sais comment séduire ton public.

Son regard brillant de félicité te donne envie de prendre soin d'elle. Cette fille qui brûle tant d'envie de faire de même avec votre descendance...

- Avec une mère comme toi, cet enfant ne manquera pas d'endurance.

Glissant les bras sous ses jambes et son dos, tu la soulèves de terre comme une plume. Ton regard explore l'appartement en quête d'une salle d'eau. Vous vous êtes bien dépensées ; maintenant, place aux ablutions !

- Tu as bien travaillé, Désirée. Je vais te laver. Tâche seulement de m'indiquer où se trouve cette fichue salle de bain, veux-tu ? On ne dirait pas comme ça mais ta piaule est plutôt grande...

Un lieu de repos adéquat. Tu comptes bien en profiter un maximum avant d'aller voir ce fameux Comité de plus près.