Le Lys est un établissement luxueux et discret dédié à l'exploration des désirs intimes et des fantasmes, dans un cadre sécurisant et respectueux. Habité par des créatures femelles fascinantes, le personnel accompagne chaque visiteuse dans une expérience personnalisée, mêlant audace et bienveillance. C'est un sanctuaire unique où chaque femme peut dépasser les conventions pour se reconnecter à ses véritables aspirations.
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Qui ose déranger une prédatrice ? [Maggot la gobeline]

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La grotte s’étend dans les profondeurs du Lys, un refuge secret niché au cœur de son domaine interdimensionnel, où les parois sont drapées de toiles d’araignée scintillantes, tressées avec une précision arachnéenne par Rachnera Arachnera, Papillon de Platine. Ces fils, plus solides que l’acier et élastiques comme du nylon, s’entrelacent en un réseau complexe, captant les faibles rayons de lumière qui percent à travers les fissures, projetant des reflets lavande et argentés dans l’obscurité. C’est l’habitat personnel de Rachnera, un cocon isolé qu’elle a façonné au fil des ans pour s’y reposer, loin des regards et des intrigues du Lys. Aujourd’hui, épuisée par une longue session de domination avec des clientes exigeantes, elle s’est retirée ici, ses huit pattes repliées sous son abdomen orné d’un crâne stylisé, sa carapace noire luisant doucement dans la pénombre. Allongée sur une plateforme de soie renforcée, elle ajuste une toile avec ses griffes acérées, tissant un motif supplémentaire pour parfaire son nid, ses six yeux rouges mi-clos mais toujours vigilants, cherchant la tranquillité après des heures à manier ses fils pour des jeux érotiques complexes.

Dehors, étrangement, la pluie s’abat en rafales brutales, un déluge inattendu qui tambourine contre les rochers à l’entrée de la grotte. Une étrangère, une gobeline au corps frêle mais robuste, portant une masse inerte, s’engouffre soudain dans l’abri, ignorant les fils tendus qui frémissent sous son intrusion. Ce mouvement subtil agite les toiles de Rachnera, envoyant une vibration qui la tire de sa torpeur. Ses yeux s’ouvrent pleinement, brillant d’une lueur prédatrice, et elle se redresse légèrement, ses griffes cessant leur tissage pour se poser sur le bord de sa plateforme. Un sourire carnassier étire ses lèvres, dévoilant ses dents pointues, mais elle reste immobile, observant l’intruse avec une curiosité mêlée de méfiance. Cette grotte, censée être isolée du monde réel grâce aux barrières magiques et technologiques du Lys – un sanctuaire scellé contre les intrusions extérieures – n’aurait jamais dû accueillir une étrangère. La matérialisation récente de cet espace dans le monde extérieur, un phénomène rare dû aux fluctuations du Lys, doit être la cause de cette brèche inattendue. Rachnera fronce légèrement les sourcils, intriguée : comment une telle faille a-t-elle pu se produire, et que cherche cette gobeline dans son domaine sacré ?

« Une intruse… dans mon sanctuaire ? » murmure-t-elle d’une voix rauque, assez bas pour ne pas trahir sa présence, tout en ajustant une mèche de ses cheveux lavande derrière son oreille. Ses doigts effleurent un fil proche, testant sa tension, prête à le tendre en piège si nécessaire. « Le Lys a dû faiblir quelque part… ou cette créature a une audace que je vais devoir corriger. » Ses yeux ne quittent pas la gobeline, analysant chaque détail de sa silhouette, attendant patiemment de voir si cette visiteuse mérite d’être chassée… ou soumise à ses jeux.

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*Ma main se porte à ma tête. C’est comme s’il y avait une barre. Franchement, il ne me faut pas longtemps pour comprendre que j’ai abusé de la bière hier soir. Enfin, je suppose que c’était hier soir. Ca la foutrait mal que ça remonte au midi et que j’ai comaté tout ce temps. *

La gobelin lève la tête pour analyser le ciel gris. Evidemment, le soleil joue à cache-cache et ne donne pas d’indication d’heure. Elle hausse les épaules. Puis finit par sourire en écartant les bras quand les premières gouttes de pluie lui tombent dessus.

« Aah… Ca fait du bien. C’est frais. C’est…trop maintenant. »

Un orage éclate au loin. La pluie triple d’intensité. De la douche agréable, voilà que ça devient une sorte d’épreuve où elle se fait fouetté. Sa pauvre salopette complètement suintante d’eau. Pas le choix, la gobeline repose sa masse-à-trésors sur l’épaule.

« Pfou ! Va falloir que tu prépares ton summer body, toi. Tu pèses ton poids. »

L’arme de la gobeline vient-elle de tirer la langue à sa propriétaire ? Très probablement, oui… Mais le temps est si horrible que la masse de flotte en suspension baigne la probable langue dans un brouillard qui impose un suspens. Et donc, LA grotte. Celle où les fils et pièges trainent au sol.

« Mais merde ! J’ai failli me casser la gueule sur ces trucs ! Doit y avoir personne pour faire le ménage par ici. »

Maintenant au sec, elle regarde dehors. C’est que ça tombe fort ! Et que ça ne semble pas prêt de s’arrêter. Maggot laisse tomber sa masse-à-trésors au sol. Puis elle croise les bras sous sa poitrine lestée pour observer l’évolution du temps. Elle repense alors à où elle se trouvait avant. Elle est quasiment certaine d’avoir été à la Taverne. Est-ce qu’elle s’est ensuite rendue aux toilettes ? Peut-être. L’endroit est tellement bizarre. Magique, décrirons-nous. Des mondes dans un établissement. Ce n’est pas impossible qu’elle soit tombée sur un endroit nouveau. Ou peut-être sur un portail ? Ou encore une sorte de glitch qui l’a envoyé ailleurs ? Elle hausse encore les épaules. Elle ne sait pas.

« Je ferais bien une petite sieste mais ma salopette est vraiment trop mouillée. Pas que ça me dérangerait de l’enlever pour qu’elle sèche. Mais je doute de l’efficacité de l’action au vu de la flotte au-dehors. Quoi ? Oui, je te parle, chère masse. Et oui je sais que je suis toute seule. Je ne vais quand même pas me parler en pensées. »

Son pied tapote le sol. Elle se retourne vers la grotte. Elle hésite. Elle regarde à nouveau en arrière. Puis elle prend la décision d’aller explorer un peu. De ses longues oreilles, aucun bruit. Bon, par sécurité tout de même, elle prend son arme. C’est rigolo parfois de tomber dans des pièges. Mais là elle accuse un reste de beuverie et de douche agressive. Donc le premier ours qui veut la déloger apprendra à ne pas la faire chier !

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Les vibrations dans ses toiles tirent Rachnera Arachnera de sa torpeur, un frisson délicieux parcourant ses huit pattes alors qu’elle redresse légèrement sa silhouette imposante sur sa plateforme de soie. Ses six yeux rouges s’ouvrent d’un coup, captant la silhouette frêle mais audacieuse qui s’est engouffrée dans son sanctuaire. Une gobeline, trempée jusqu’aux os, porte une masse qui semble peser plus lourd qu’elle, et son intrusion fait trembler les fils avec une insolence inattendue. Un sourire carnassier étire les lèvres de Rachnera, dévoilant ses dents pointues, tandis que ses griffes acérées cessent de tisser pour se poser sur le bord de son nid, prêtes à agir. Une étrangère dans son refuge inviolable ? se demande-t-elle en silence, son esprit calculant déjà les possibilités avec une lueur sadique.

Elle reste immobile, ses cheveux lavande balayant son visage alors qu’elle tend un fil délicat entre ses doigts, testant sa tension avec une précision sadique. La pluie dehors tambourine comme une musique sauvage, mais ici, dans sa grotte scintillante de reflets lavande et argentés, c’est son domaine qui retient son attention. La gobeline, avec ses vêtements dégoulinants et son air désinvolte, ignore qu’elle a pénétré le territoire d’une femme-araignée. Les yeux de Rachnera la suivent avec une intensité brûlante, son esprit s’égarant dans les souvenirs des pièges qu’elle a soigneusement tissés dans la grotte. Des toiles d’araignées invisibles, renforcées de fils plus solides que l’acier, attendent patiemment, prêtes à s’enrouler autour de cette intruse imprudente. Certains pièges, plus vicieux, intègrent des éléments intéressants : des liens érotiques qui, une fois déclenchés, pourraient s’enrouler autour de ses membres et de sa masse, la ralentissant dans une étreinte suggestive, la piégeant dans une toile de plaisir et de frustration.

La gobeline commence à explorer, ses pas maladroits frôlant les fils tendus, et Rachnera retient un rictus amusé. Elle se rappelle avoir disposé ces pièges avec soin : un fil près de l’entrée qui, une fois heurté, lâcherait une cascade de toiles collantes pour immobiliser les jambes ; un autre, plus loin, conçu pour s’accrocher aux armes et les tirer vers le sol, l’arme devenant un poids inutile dans ce jeu cruel. Et puis, il y a les nœuds sensuels, tissés avec une malice perverse, prêts à enserrer la taille ou les poignets, ajoutant une couche de domination érotique à la capture. La Papillon de Platine reste silencieuse, ses minuscules araignées scintillant autour d’elle comme des sentinelles, observant chaque mouvement de l’intruse. Elle savoure l’anticipation, imaginant déjà la gobeline se débattant dans ses toiles, son corps frêle pris au piège, son arme immobilisée, à sa merci.

Pour l’instant, Rachnera attend, tapie dans l’ombre de sa plateforme, ses griffes prêtes à intervenir si nécessaire. La gobeline avance, inconsciente du danger, et la grotte semble retenir son souffle, les reflets argentés dansant sur les parois comme un miroir de la tension croissante. Que cette intruse tombe dans ses filets ou non, Rachnera compte bien transformer cette intrusion en un spectacle qu’elle contrôlera jusqu’au bout.

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Maggot la gobeline
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Décidément, ça l’agace beaucoup trop cette salopette toute mouillée. Elle se sent comme prisonnière au-dedans. Et elle n’aime pas ça, Maggot. C’est une gobeline aventurière. Elle va là où le vent (ou les quêtes) souffle. Elle n’a vraiment d’objectif si ce n’est se faire plaisir ici ou là. Et franchement, elle n’est pas bien compliquée. On dira que c’est sa nature simple de peau verte. Mais simple n’est pas simpliste. Bref, que ce soit de la baston, du sexe ou de bonnes pintes de bières : Maggot puise dans tous les petits plaisirs d’une vie de toute façon absurde. Et elle n’est pas du tout du genre à s’asseoir et philosopher de longues heures durant.

« Bon ! Là il y a un fil qui traîne. Je dois pouvoir réussir à le tendre d’un bout à l’autre de la grotte. En fait, j’ai même déjà l’impression qu’il est attaché. Il faudrait juste que j’arrive à le tendre. Puis ça me parait solide. Je ne vais pas commencer à me dire que c’est l’antre d’une araignée. A mon avis, elle m’aurait déjà capturé depuis le moment où je suis entré. Bref ! Hmm… Comme ça, oui… Je tire là et… Parfait ! C’est tendu. Je n’ai plus qu’à me foutre à poils ! »

Oui oui. C’est étrange. Capable de voir et d’utiliser un fil d’araignée sans tomber dans un piège ou réaliser toute l’ampleur de la toile ? C’est Maggot. Parfois elle saute au-delà du quatrième mur. Parfois c’est quelque chose depuis l’autre côté d’un travail du BTP qui l’aide. Donc maintenant, elle fait glisser la deuxième bretelle sur le bras et se contorsionne les hanches pour faire tomber la salopette au niveau de ses chevilles. Elle affiche ainsi un corps mouillé. Mais aussi une particularité au niveau de sa toison intime. Comme ses cheveux, il y a une partie touffue rouge d’un côté et d’une tresse nattée blanche de l’autre.

« Je me sens bien mieux comme ça. »

Nous dirons que l’esprit léger, et le corps, font qu’elle manque d’attention. Et voilà que sa masse-à-trésors s’envole au bout d’un fil.

« C’est trop bizarre, ça ! J’aurai juré que ça m’a touché la main mais je n’ai pas senti que ça a collé. Ou c’est encore plus vicieux ? Et ça a glissé sur ma main ? Pour me subtiliser mon artefact ? Ce serait absurde, non ? Un fil attrape-arme ? Quoique, j’en ai vu des trucs plus absurdes les uns que les autres. Et je dois avouer que ça ma fascine quand même. »

Les poings sur ses hanches vertes, elle observe son arme pendouillée hors d’atteinte de sa petite hauteur. Mais elle ne panique pas. Vraiment, ça l’amuse tout ça. Elle y voit une nouvelle aventure qui lui feront vivre des choses excitantes !

« Franchement, il ne manquerait plus que je tombe à mon tour dans un piège. Un hibours ? Après tout, c’est une grotte, ça pourrait être possible. Ou alors un magicien ? Ces sales petits faiblards tout maigre qui ne pourraient pas résister à un seul coup de mes prouesses guerrières ! Hmm… »

Libérant un poing d’une de ses hanches, elle vient porter sa main à son menton pour réfléchir. Pas que le geste aide, bien sur, mais beaucoup subissent ces sortes de tics sociaux. Et donc Maggot réfléchit. Même si elle ne voit pas trop ce qu’elle pourrait découvrir toute seule en ne bougeant pas. Elle sait déjà qu’il lui faudra reprendre l’exploration. Mais là maintenant tout de suite, elle préfère ne pas trop s’éloigner de ses vêtements et de son équipement.

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Rachnera sentit une onde de satisfaction perverse parcourir son corps alors que la gobeline, inconsciente du danger, manipulait ses fils avec une audace presque comique. Les vibrations dans sa toile lui révélaient chaque mouvement, chaque pas maladroit, et l’absence d’arme de l’intruse – désormais suspendue hors de portée – attisa son amusement sadique. Ses six yeux rouges brillèrent d’une lueur prédatrice dans l’ombre de sa plateforme, et un sourire carnassier étira ses lèvres, dévoilant ses dents pointues. La patience de la Papillon de Platine avait atteint sa limite ; il était temps de transformer cette intrusion en un jeu qu’elle contrôlerait entièrement.

Elle s’approcha silencieusement, ses huit pattes glissant sur les parois de la grotte avec une grâce surnaturelle, chaque mouvement amorti par les toiles scintillantes qui absorbaient le moindre son. Ses cheveux lavande cascadaient autour de son visage alors qu’elle descendait de son nid, ses toiles, renforcées de fils d’acier et imprégnées de sa magie arachnéenne, frémissant sous ses ordres muets, prêtes à se refermer sur sa proie. Elle se rapprocha par derrière, ses mouvements aussi fluides qu’une ombre, observant la gobeline, nue et distraite, ses poings sur les hanches vertes, perdue dans ses pensées absurdes. Parfaite. Vulnérable. À sa merci.

D’un geste rapide, Rachnera tendit un fil invisible accroché au plafond, déclenchant un piège soigneusement tissé. Une cascade de toiles collantes jaillit, s’enroulant autour des chevilles de Maggot avec une précision diabolique. La gobeline trébucha, mais avant qu’elle ne puisse réagir, Rachnera bondit, ses griffes acérées saisissant ses poignets pour les tirer vers l’arrière. Les fils, sensibles à sa volonté, s’animèrent, s’entrelaçant autour des bras de Maggot dans un nœud complexe façon bondage, les immobilisant dans son dos avec une tension érotique. Une autre couche de soie glissa autour de sa taille, s’enroulant comme un corset vivant, soulignant ses courbes vertes avec une intention perverse, tandis que ses jambes étaient écartées et fixées au sol par des liens élastiques.

« Une intruse qui joue avec mes toiles mérite une leçon, » murmura Rachnera d’une voix rauque, son souffle chaud effleurant la nuque de la gobeline. Elle se pressa contre elle par derrière, son abdomen orné d’un crâne stylisé frôlant la peau nue de Maggot, sa carapace luisante contrastant avec la toison de l’intruse. Ses mains glissèrent avec une lenteur délibérée le long des flancs de la gobeline, ses griffes traçant des lignes légères mais menaçantes, assez pour faire frissonner sans blesser. « Tu as perdu ton jouet, petite gobeline… et maintenant, tu seras le mien. »

Elle fit courir une de ses pattes le long de la cuisse de Maggot, remontant avec une audace perverse, tandis qu’une autre main tirait doucement sur les fils pour resserrer l’étreinte autour de sa poitrine, les toiles s’ajustant comme un harnais sensuel. Rachnera pencha la tête, ses cheveux lavande effleurant l’épaule de la gobeline, et posa ses lèvres près de son oreille, laissant sa langue pointer pour tracer un sillon humide et provocant le long de son lobe. « Pas d’arme, pas de fuite… juste toi, piégée dans mon art. Dis-moi, qu’est-ce qui te plaît dans cette situation ? »

Ses six yeux brillèrent d’une lueur sadique alors qu’elle ajustait un fil supplémentaire, liant les cheveux de Maggot pour les tirer légèrement en arrière, exposant son cou à son souffle brûlant. Elle savoura l’impuissance de la gobeline, son corps frêle mais robuste maintenant à sa merci, et laissa ses mains explorer davantage, traçant des cercles paresseux sur sa peau verte, jouant avec la tension entre domination et plaisir. La grotte, baignée de reflets, devint le théâtre de son jeu pervers, et Rachnera comptait bien prolonger ce moment jusqu’à ce que l’intruse cède à ses désirs – ou à ses caprices.

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« Oh nOooOon, alors ! Dans quel piège je suis tombée ?! »

Le jeu était… mauvais. Maggot n’était pas apeurée. Elle paraissait même amusée par toute la situation, en réalité.

Les grandes yeux de la gobeline découvraient comme elle le pouvait la femme-araignée. Il fallait dire qu’elle était sacrément immobilisée. Heureusement pour elle (et peut-être pas tellement pour sa ligoteuse) : sa langue avait conservé toute liberté. Mieux encore ! On lui demandait de parler. C’était une excellente nouvelle.

« Ce qui me plaît ? Il y a tellement de choses : ah ah ! »

Elle ne savait plus où donner de la tête. Un fil s’était entrelacé sur le côté gauche de sa tête verte. Là où ses cheveux étaient blancs et où une natte tressée, pareille à une guerrière viking s’y trouvait. Bon, ce n’était pas nécessairement pour cette référence mais Maggot aimait bien le côté guerrier de la chose. Et puis, elle pouvait penser ce qu’elle voulait d’abord ! Et plus que penser, elle devait parler. Et avant de parler, il fallait finir ce qui avait été commencer. A savoir que le fil de Rachnera était dans la tresse et tirait sa tête en arrière. Ce qui, finalement, avait déjà été écrit.

« Ca me file des frissons d’être ta proie. Et je sais que tu n’es pas méchante. Déjà parce que tu l’as dit. Tu avais besoin d’un jouet. Un jouet, c’est pour un enfant. L’innocence. Un jouet, c’est pour le fun. C’est pour passer le temps. Bon, certains parlent aussi de jouets et ne l’utilisent pas comme ça. Mais moi je crois en toi. Et franchement, pour une petite gobeline rouidouillarde sans défense et sans arme : c’est une belle preuve de confiance, oui ! »

Maggot lui sourit encore. Elle ressentait les fils autour des membres de son corps. Elle ressentait la traînée de salive dans son cou. Elle ressentait les fins sillons ensanglantés sur son corps. Tout cela la faisait monter en pression. Une tension sexuelle s’installait. Et pas seulement physique, métaphysique aussi. Il y avait tellement à dire. Et elle essayait de ne pas être trop bavarde. Elle ne voulait pas casser le délire de la femme-araignée. Elle ne voulait pas finir encoconner et stocker dans une espèce de frigo aérien au centre de sa toile pour être becqueter plus tard.

« Sans rire. Je ne sais plus si tu l’as dit ou si ça a été décrit mais, le corset de toile ? C’est sexy. Je me sens délicieusement emprisonnée. Ca me comprime juste ce qu’il faut au niveau de la respiration. Et puis, je sens que ça met mes formes en, désolé, en forme. Je sais que je ne suis pas en taille de guêpe, une mannequin ou dans les canons de la beauté. Mais je n’ai jamais eu de vives critiques de mes amants. Qu’ils soient hommes ou femmes, d’ailleurs. Gobelins. Humains. Trolls bleus. Oui, je suis ouverte d’esprit. Même si je suppose que tu préféreras une autre ouverture : ah ah ! Et… je ne sais plus si j’ai répondu à toutes tes questions. Il y en avait qu’une ? Je crois, oui. Peut-être que j’y ai assez répondu ? Trop ? Je ne sais pas. Je vais bien voir. Et… tu veux que je fasse semblant de m’agiter dans tes nœuds, au fait ? »

Elle lui sourit encore. Rachnera était-elle heureuse d’avoir piégé une telle… « victime » ? Pouvait-on encore parler de victime lorsqu’elle était consentante ? Pas sur le moment. Bien que, la façon dont elle ait perdu son arme signifiait déjà quelque chose… Peu importait ! La gobeline s’amusait beaucoup. Restait à savoir si le plaisir était partagé.

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Rachnera Arachnera sentit une vague d’amusement sadique monter en elle face à l’enthousiasme désinvolte de la gobeline, ses paroles audacieuses résonnant dans la grotte comme une provocation délicieuse. Ses six yeux rouges scintillaient d’une lueur prédatrice, captant chaque détail du corps frêle mais robuste de Maggot, prisonnière de ses toiles. La gobeline, avec sa langue déliée et son sourire insolent, semblait presque trop à l’aise dans ses liens, une attitude qui attisait à la fois l’irritation et l’excitation de la Papillon de Platine. « Une proie qui parle autant… et qui ose plaisanter dans mes filets ? » murmura-t-elle, sa voix rauque glissant comme une caresse menaçante, ses lèvres s’étirant en un sourire carnassier dévoilant ses dents pointues. « Tu es soit courageuse, soit incroyablement niaise, petite chose. »

D’un mouvement fluide, ses huit pattes glissèrent sur les parois de soie scintillante, ses griffes acérées manipulant les fils avec une précision surnaturelle. Elle tendit un fil invisible accroché au plafond, et dans un chuintement doux, les toiles s’animèrent, soulevant Maggot du sol. Les liens autour de ses chevilles et de ses poignets se resserrèrent, suspendant la gobeline à un mètre du sol, son corps nu offert comme une œuvre d’art dans un tableau arachnéen. Les fils renforcés s’enroulèrent plus étroitement autour de sa poitrine, formant un harnais sensuel qui comprimait ses seins avec une pression calculée, soulignant leurs courbes vertes avec une tension érotique. D’autres fils, plus fins et vicieux, glissèrent le long de son intimité, longeant la fente avec une précision provocante, exerçant une pression légère mais insistante, assez pour faire frémir sans offrir de soulagement.

Rachnera s’approcha, son abdomen orné d’un crâne stylisé frôlant le sol, ses cheveux lavande cascadant sur ses épaules alors qu’elle se penchait vers la gobeline suspendue. « Ne fais pas la maligne, petite proie, » murmura-t-elle, sa voix basse et menaçante, chargée d’une promesse perverse. Ses griffes effleurèrent la joue de Maggot, traçant une ligne délicate mais intimidante, avant que sa langue, longue et agile, ne glisse lentement sur la peau verte, laissant une traînée humide et brûlante. « Tu parles beaucoup, mais voyons si tu peux garder ce sourire face à un peu de… discipline. »

Avec un claquement de doigts, elle invoqua ses minuscules araignées, des créatures scintillantes aux pattes délicates, qui jaillirent des ombres de la grotte comme des étoiles filantes. Elles grimpèrent le long des toiles, se dirigeant vers Maggot avec une précision orchestrée. « J'espère que tu n'es pas arachnophobe, mes petites chéries adorent jouer, » susurra Rachnera, ses yeux brillant d’une lueur sadique. Les araignées s’éparpillèrent sur le corps de la gobeline, leurs pattes légères chatouillant la peau sensible de son ventre, de ses cuisses, et même des zones où les fils pressaient son intimité, amplifiant la sensation par des picotements incessants. Certaines s’aventurèrent sur ses seins, leurs mouvements rapides et taquins provoquant un supplice délicieux, oscillant entre plaisir et frustration.

Rachnera se redressa, ses pattes avant caressant les fils pour ajuster leur tension, resserrant légèrement les liens autour de la poitrine et de l’intimité de Maggot, intensifiant la pression. « Tu aimes ça, n’est-ce pas ? » murmura-t-elle, son souffle chaud frôlant l’oreille de la gobeline, sa langue traînant à nouveau, cette fois sur son cou, avec une lenteur provocante. « Une gobeline si bavarde, si audacieuse… mais ici, c’est moi qui décide du jeu. » Elle tira un fil, inclinant la tête de Maggot en arrière, exposant davantage son cou à ses lèvres, tandis que les araignées poursuivaient leur danse cruelle, leurs pattes chatouillant sans répit.

La grotte, baignée de reflets lavande et argentés, vibrait d’une tension érotique, les toiles frémissant sous chaque mouvement de Maggot. Rachnera savoura l’instant, son corps imposant planant au-dessus de sa proie, ses griffes jouant avec les fils comme une marionnettiste perverse. « Tu vas continuer à faire la maligne ? » murmura-t-elle, sa voix dégoulinant de malice. « Je vais laisser mes araignées te taquiner jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter… ou de continuer. » Ses yeux rouges scintillaient, attendant la réaction de la gobeline, prête à prolonger ce jeu de domination jusqu’à ce qu’elle cède complètement à son emprise.

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Maggot la gobeline
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Maggot ne répondit pas à sa ravisseuse à savoir si elle était courageuse ou niaise. En fait, elle la laisse parler. Encore et encore. La femme-araignée semblait prendre plaisir à sortir le grand jeu. Et, de toute façon, il y avait bien assez à ressentir dans ses chairs pour le moment. Maggot écouta donc. Soulevée du sol, elle poussa un premier gémissement quand les fils se resserrèrent autour de ses seins. C’était agréable de les voir regagner quelques années. Parce que, même si elle n’était pas vieille, elle… elle n’avait pas d’âge en fait. Mais ce serait une question à régler pour plus tard.

La femme-araignée savait faire monter la tension dans cette caverne. Petite proie ? Maggot aimait beaucoup ça ! Oh ! Mais ce qui suivit la fit reprendre un peu du poil de la bête. C’était un challenge ! La femme-araignée la mettait au défi ! Encore une fois, elle ne prit pas le temps de répondre. A la limite, elle aurait lâché un concis « De la discipline ? » mais la suite du programme arrivait déjà. Littéralement. A base de petites pattes par paquet de huit. Toute une légion de petites araignées qui arrivaient sur les fils aussi rapidement que des vacanciers sur les routes menant aux plages.

Il y avait trop d’informations. Maggot ne savait même plus si la femme-araignée attendait des réponses de sa part ou si c’était un paquet de questions rhétoriques. Il y avait les araignées. Petites bêtes associées aux méchants mais qui, dans ce cas précis, étaient en mission de chatouilles. C’était trop mignon ! ♥ Sans compter que la femme-araignée semblait en faire des tonnes pour bien marquer son point, à savoir que c’était elle qui était aux commandes. Maggot ne voulait tellement pas la faire descendre de son perchoir. Et ça la gênait. Cette expression. Parce que c’était plutôt pour les oiseaux un perchoir. Ou un équilibriste. Peu importait ! La tête en arrière, elle réalisa que le moment était venu pour elle d’agir.

C’est avec un grand sourire qu’elle commença :

« Tu es vraiment trop mignonne. Je veux dire, cette pression sexuelle. Cette mise en scène mijotée aux petits oignons. Tous tes bébés qui s’excitent tout partout sur mon corps pour me chatouiller. Non, décidément, je suis trop contente qu’il ait plu dehors et que je me sois réfugiée ici ! »

Une petite larme coula à son œil. Une larme de joie qui couvait un fou rire qui pour le moment ne s’exprimait pas à haute voix. Parce que les bébés araignées chatouillaient quand même avec grande efficacité !

« Mais je vais carrément faire la maline. Ce n’est pas pour t’embêter, hein ! Mais franchement, c’est déjà super ce que tu me fais subir. J’adore être ta petite proie. Ca m’a fait quelque chose quand tu m’as dit ça tout à l’heure. Je peux carrément être soumise dans mes ébats. Et là, c’est parfait. Et donc je vais jouer mon rôle, comme toi. C’est-à-dire que je vais te provoquer encore et encore. Pour me faire punir encore et encore. »

Elle souffla parce qu’une bébé araignée s’était fichée à la pointe de son nez. Elle la vit s’en aller… et revenir au bout de son fil accroché à ses fesses. Ca la fit rire cette image d’une petite araignée noire avec une paire de fesses toute rose et parfaite.

« Je ne sais pas ce qu’elle a ta langue. Brûlante ? Humide et brûlante ? Tu peux carrément me lécher tout le corps avec elle. Même la mettre dans ma bouche, aussi ! Non, et puis franchement, cette grosse qui baigne dans le violet des lavandes et le gris de l’acier. C’est féérique. Les prochains qui voudront me shibariser, ils devront multiplier leurs efforts pour passer après une experte en ton genre ! Après, il faut dire que tu triches un peu quand même. A être moitié araignée, c’est quand même un sacré plus. »

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Les paroles audacieuses de la gobeline résonnèrent dans la grotte, chaque mot vibrant à travers les toiles scintillantes comme une provocation délicieusement irrésistible. Rachnera, perchée sur sa plateforme de soie, sentit un frisson de plaisir parcourir sa carapace alors que ses six yeux rouges s’illuminèrent d’une lueur prédatrice et amusée. Le sourire carnassier sur ses lèvres s’élargit, dévoilant davantage ses dents pointues, tandis que ses griffes acérées tambourinaient doucement sur la soie tendue. Cette petite créature osait non seulement défier son autorité, mais l’invitait à approfondir son jeu avec une audace qui la ravissait. « Trop mignonne, hein ? » murmura-t-elle d’une voix rauque, teintée d’une sensualité venimeuse. « Tu veux jouer les malines, petite proie… Eh bien, je vais te donner de quoi te souvenir de mon art. »

D’un geste fluide, Rachnera descendit de sa plateforme, ses huit pattes glissant avec grâce le long des fils, les faisant vibrer d’une mélodie érotique. Elle s’approcha de Maggot, suspendue dans sa toile, et laissa une de ses pattes effleurer la peau frêle de la gobeline, traçant une ligne lente et sensuelle le long de son flanc. « Tu as demandé ma langue, n’est-ce pas ? Humide et brûlante… » Avec un rire bas, elle se pencha, sa langue longue et agile jaillissant pour lécher la courbe de la nuque de Maggot, laissant une traînée chaude et humide à faire frémir la gobeline. Puis, sans attendre, elle glissa sa langue plus bas, explorant la vallée entre ses seins, goûtant la sueur salée mêlée à l’excitation, avant de remonter pour frôler ses lèvres avec une promesse explicite.

« Ouvre la bouche, ma douce, » ordonna Rachnera, sa voix devenant un murmure hypnotique. Lorsqu’elle obéit, la langue de l’araignée s’insinua avec une précision érotique, dansant contre la langue de Maggot dans un baiser profond et invasif, le goût de lavande et d’acier se mêlant à une chaleur brûlante. Ses mains griffues s’activèrent, pelotant les seins de la gobeline avec une fermeté possessive, ses doigts pinçant légèrement les mamelons durcis, pouvant arracher des gémissements étouffés à sa captive.

Les bébés araignées, toujours affairées, intensifièrent leur danse, leurs petites pattes chatouillant les fesses vertes et parfaites de Maggot, glissant entre ses cuisses pour stimuler son intimité avec une précision diabolique. Rachnera, satisfaite de leur travail, fit un geste, et une liane de soie s’enroula autour des poignets de Maggot, la soulevant davantage pour exposer son corps entièrement à ses désirs. « Tu veux être punie, hein ? » susurra-t-elle, ses yeux brillants de malice. Elle laissa une de ses pattes descendre, frôlant l’intérieur des cuisses de la gobeline avant de s’arrêter juste avant son entrejambe, la taquinant avec une lenteur insupportable.

Puis, avec un sourire cruellement séduisant, Rachnera plongea ses griffes dans la toile, libérant une nouvelle vague de fils qui s’enroulèrent autour des hanches de Maggot, les resserrant pour accentuer la pression sur son bas-ventre. Elle se pencha encore, sa langue s’aventurant cette fois entre les cuisses de la gobeline, léchant avec une voracité contrôlée, goûtant son excitation croissante tandis que ses mains continuaient de malaxer ses seins, les pressant contre sa carapace chaude. « Tu sens ça, ma petite proie ? » murmura-t-elle contre sa peau, sa voix vibrant de plaisir. « C’est mon art, et tu es ma toile vivante. »

Les bébés araignées, extensions de sa domination, surgirent des ombres, leurs pattes minuscules effleurant les zones les plus sensibles de Maggot, son cou, ses mamelons, son intimité, amplifiant chaque sensation avec une intensité presque insoutenable. Rachnera rit doucement, son abdomen frémissant d’excitation, et guida une de ses pattes pour pénétrer délicatement l’intérieur de la gobeline, mimant un mouvement rythmé et profond, chaque poussée accompagnée d’un gémissement qu’elle arrachait à sa proie. « Dis-moi que tu aimes ça, » ordonna-t-elle, sa langue revenant lécher les lèvres de Maggot, son souffle chaud se mêlant à ses cris. « Prouve-moi que tu es digne d’être ma captive préférée. »

La grotte entière semblait pulser au rythme de leur jeu, les toiles scintillantes captant chaque mouvement, chaque cri, tandis que Rachnera, maître incontesté de cet espace, continuait à tisser son plaisir autour de Maggot, prête à explorer chaque suggestion avec une créativité sensuelle et impitoyable.

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Maggot la gobeline
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C’était une artiste ! Tout semblait chorégraphié et ça ravissait Maggot. Quelle araignée hybride effrayante produirait de la musique en glissant sur les fils de sa toile ? Une « mélodie érotique » : c’était beau comme terme. Pas celui de la gobeline. Elle l’avait piqué à l’autre camp.

Mais trêve de discours méta. Rachnera utilisait sa langue sur Maggot. Cette dernière était complètement concentrée sur ce geste. Toutes les petites araignées sur son corps étaient reléguées au second plan. C’était comme s’il y avait un fondu noir pour les protagonistes. Comme si leurs centaines (milliers ?) de petites pattes se retrouvaient maintenant derrière un mur de ouate. Comme un ingé son avait abaissé sa perche et qu’elle se faisait de l’ASMR avec le bruit de la langue arachnéenne. Elle en frissonna, bordel !

« Bien sur que je vais ouvrir ma bouche ! »

Il n’y avait pas besoin de procéder à un petit tour de passe-passe hypnotique. Maggot n’attendait que ça. Qu’est-ce qu’elle pouvait perdre le contrôle d’elle-même si facilement et si vite quand une femelle savait se servir de sa langue ! Elle gémissait comme si elle allait enchaîner les orgasmes par paquée de six. Comme les œufs dans une boîte. Métaphore complètement inutile, nous sommes tous et toutes d’accord. Et oh putain ! Pas Rachnera. Mais cette façon qu’elle avait de véhiculer cette odeur de lavande et de prendre d’assaut ses tétons durs pour affirmer qu’elle était la dominante des deux. Maggot était complétement sous son emprise. Elle n’avait plus envie de la combattre. Juste de fondre et d’orgasmer entre ses six pattes !

« Oh oui ! Punis-moi… Non ! Touche-moi ! Ne fais pas ton insupportable ! Ne me fais pas languir, l’araignée. Maîtresse ! Pardon. Touche-moi. Fais-moi jouir. »

Elle ne la laissa pas.

« Putain oui ! Je veux être une œuvre d’art. Pardon pour le langage grossier, hein. Mais je suis une gobeline. Et puis tu es en train de me stimuler de tout partout. Et d’une façon très efficace, oh putain de bordel de putes dans des bordels à queues ! »

C’était dégueulasse, en temps normal, d’imaginer une patte d’araignée dans la chatte de la gobeline. Mais bordel qu’elle gémissait à outrance pour le moment !

« Bien sur que j’aime ça ! Tu es trop forte à ce que tu fais. »

Sa langue revint glisser sur ses lèvres. Cette langue, BORDEL !

« Te prouver ? Tu le veux vraiment ? »

Parce que pour Maggot, ça revenait à lui donner l’autorisation de parler. Et pas qu’une autorisation. C’était davantage. On lui demandait carrément de blabalter ! Et elle n’allait pas s’en priver !

« S’il faut que je sois shibarisée dans cette grotte qui sent la lavande et qui est baigné de la musique de tes toiles : je me damne neuf fois comme les vies des chats ! Bordel, j’aurai jamais imaginé avoir le corps en feu comme ça en pensant aux araignées. D’ailleurs, ce serait bien que ta petite armée arrête de me chatouiller. C’est un peu bizarre et franchement, tu es bien trop douée pour avoir besoin de telles béquilles. Je ne veux que toi ! Ta langue. Je veux ta langue ! Tu pourrais me faire jouir je ne sais combien de fois avec. Tu crois que tu pourrais provoquer un coma sexuel ? J’en ai rien à fiche. Je te fais confiance. Tu es une dominante, mais tu n’es pas méchante. Je veux être ton jouet. Je veux être ton œuvre d’art. Je veux être ta petite chose. Mais par pitié ne m’ignore pas ! Ne me fous pas dehors avec les cuisses en feu et le corps en ébullition ! Baise-moi. Torture-moi les seins. Fais-moi des pénétrations bizarres avec tes pieds d’araignées. Mais garde-moi. Je ne vais pas te dire que je ferais absolument tout ce que tu veux. Mais tu sais, je n’ai pas non plus une grande estime de moi. Ma vie est absurde. Il n’y a rien après. Et je compte profiter de tout. Les donjons. Les combats. La bière. Et bien sur, BIEN SUR, le sexe ! »

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Rachnera sentit une onde de satisfaction perverse traverser son corps arachnéen alors que les paroles désordonnées et implorantes de Maggot résonnaient dans la grotte, amplifiées par les vibrations de ses toiles scintillantes. Ses six yeux rouges s’illuminèrent d’une lueur encore plus vive, un rictus carnassier déformant ses lèvres alors qu’elle se délectait de la soumission brute et chaotique de la gobeline. « Tu veux vraiement être mon œuvre d’art, mon jouet ? Ce sera le cas, et bien au-delà, » murmura-t-elle d’une voix profonde et envoûtante, sa langue longue et râpeuse, comme chez les chats, glissant lentement sur ses crocs acérés comme une promesse de délices tordus.

Avec une agilité fluide, Rachnera manipula ses pattes sur les toiles, ajustant les fils qui enserraient Maggot dans un shibari encore plus élaboré. Les liens argentés et lavande se resserrèrent doucement autour des poignets et des chevilles de la gobeline, la soulevant un peu plus du sol pour l’exposer entièrement, son corps frêle suspendu comme une poupée entre les mains d’une artiste perverse. « Tu as réclamé la torture, ma chère… et je vais te l’offrir avec une tendresse malsaine, » susurra-t-elle, sa voix empreinte d’une affection tordue. Elle fit apparaître de fines aiguilles de soie, conçues pour piquer la peau de Maggot, pasp our faire mal, mais pour faire plaisir, traçant des motifs érotiques sur ses seins et son ventre, peut-être dans l’espoir de susciter une réaction visible. Les petites araignées qui avaient jusque-là chatouillé la gobeline s’éclipsèrent silencieusement, laissant la scène à la seule maîtrise de Rachnera.

Puis, avec une lenteur calculée, Rachnera approcha sa longue langue râpeuse, l’étirant pour caresser le cou de Maggot, laissant une traînée rugueuse et chaude qui semblait attirer son attention. « Tu aimes ça ? » murmura-t-elle, sa langue s’aventurant plus bas, glissant entre les petits seins de Maggot avec une précision diabolique, son toucher râpeux tourbillonnant autour des mamelons dans une danse méthodique. Le public invisible des toiles semblait vibrer en synchronisation avec les sons que Maggot pouvait émettre, et Rachnera se délecta de chaque indice, chaque mouvement. Elle pinça doucement un mamelon avec une de ses griffes, juste assez pour marquer la peau, jouant avec l’attente qu’elle devinait.

« Comme tu veux ma langue, je vais te faire languir, » grogna-t-elle, plongeant sa langue râpeuse plus profondément, explorant le creux du ventre de Maggot avant de remonter pour tracer des cercles rugueux autour de son nombril. Elle variait les pressions, alternant entre des caresses abrasives et des coups de langue plus appuyés, chaque mouvement conçu pour tester les limites de la gobeline tout en la tenant en haleine. Ses pattes, délicates mais fermes, s’enroulèrent autour des cuisses de Maggot, les écartant davantage pour exposer son intimité, mais Rachnera s’arrêta là, savourant la frustration qu’elle imaginait. « Pas encore, ma petite… je veux te voir te torturer dans l’attente, » susurra-t-elle, sa langue râpeuse revenant lécher le creux entre les seins, puis descendant lentement vers le bas-ventre, s’arrêtant juste avant l’intimité dans un geste cruellement suspendu.

Avec un rire bas et vicieux, Rachnera invoqua une nouvelle toile, plus fine et vibrante, qu’elle enroula autour des seins de Maggot comme un corset de soie, serrant juste assez pour accentuer la pression. « Une œuvre d’art doit endurer la frustration pour atteindre la perfection, » murmura-t-elle, sa langue râpeuse revenant taquiner les mamelons à travers la toile, peut-être dans l’espoir de susciter une réaction. Elle ajouta une légère secousse magique aux chaînes, faisant osciller Maggot dans les airs, chaque mouvement amplifiant l’effet de ses actions tout en prolongeant l’attente. « Chante encore mes éloges, ma jolie gobeline… crie encore à quel point je suis divine, et peut-être que je te laisserai encore attendre un peu plus, » ordonna-t-elle, sa voix dominant l’espace tandis que sa langue continuait son ballet pervers, explorant chaque recoin accessible avec une maîtrise sadique mais tendre, jouant avec la frustration qu’elle devinait croissante.

Le déluge extérieur semblait s’accorder avec l’intensité croissante de la scène, les gouttes tambourinant contre la grotte comme un écho aux sons que Maggot pouvait produire. Rachnera, souveraine de ce sanctuaire arachnéen, se délectait de son pouvoir, son corps arachnéen ondulant avec une grâce inquiétante tandis qu’elle torturait gentiment sa proie, chaque caresse de sa langue râpeuse et chaque pression des toiles conçues pour amplifier l’attente, tout en la maintenant dans un état de soumission délicieusement frustrant.

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Maggot la gobeline
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« Je n’ai rien dit depuis tout à l’heure. Et c’est pénible pour moi. J’aime beaucoup parler et- Aaah ! Cette langue, bordel ! Je disais quoi déjà ? »

Maggot ne comprenait pas tout ce qui lui arrivait. L’art de l’araignée était une nouveauté. Elle avait très bien pu concevoir dans sa petite tête l’association toile d’araignée et shibari. Mais ça allait plus loin que ça. C’était un art qui avait été développé. Preuve en était de cette sorte d’acupuncutre qui avait remplacé toutes les petites pattes grouillantes et chatouillantes sur sa peau verte. Des aiguilles de soie ? Jamais ça ne lui serait venu à l’idée. Et franchement, ça avait des difficultés même au temps présent. Tout était fait pour stimuler ses sens, exciter son système nerveux, mettre au supplice sa tête. Elle voulait JOUIiiiR ! Et sa « cruelle » Maîtresse continuait à jouer. Que sa langue soit râpeuse comme une chatte faisait une bonne métaphore. Elle était cruelle comme une chatte avec une petite souris ou un lézard.

« Oh ! C’est ça que je voulais dire. Pas que tu sois une chatte. Mais tu joues avec moi. Non, ce n’est pas ça que je voulais dire. Mais il y avait un lien. Je l’ai perdu. Tu pourrais tisser une toile de rêve au-dessus de ma tête pour retenir mes pensées ? Oh, je m’égare. Mais j’ai une furieuse envie de répondre à tout ce que tu me dis et en même temps, je repense à tous les calibres que je me suis enfilé entre les cuisses. Je repense notamment à celle de mon troll bleu. Ce grand nigaud romantique et- Hmm ! Merde alors. Cette langue baladeuse ! Ah, c’est ça. Je voulais te dire que tu es une poétesse. En tout cas, tu manipules mots. Ça rime. C’est chantant. « Tendresse malsaine » ? « Langue et languir » ? blabla frustraTION, blabla perfecTION » ? Je ne sais pas si tu le fais exprès. J’aimerai imaginer que non. Ça ne ferait que dorer encore plus ton blason. Hmm ! ~ »

Cette langue d’araignée-chatte ! Ses yeux se fermèrent et elle put imaginer le tracé baveux sur chaque portion de sa peau. Là entre ses seins qui n’étaient pas si petits. Peut-être en comparaison de la taille de l’hybride arachnéenne ? Plus bas, autour de son nombril qui devrait peut-être se voir magnifier d’un bijou ? Ce qui pourrait devenir une accroche pour les fils de la maîtresse aux cordes. Mais cette langue était allée partout. Sur des cicatrices de bataille. Sur des aspérités de peau, reliquats d’une victoire contre une étrange maladie qui l’avait un jour recouverte d’or et de bijoux. Cette langue, donc ! Cette saloperie de langue qui ne voulait pas l’embrasser là où elle n’avait pas de langue. Même là où elle avait une langue, d’ailleurs !

« Et donc quoi déjà ? Ah oui, chanter tes louanges. Je peux continuer à te parler tout en laissant échapper des petits gémissements et cris de frustration à tourner autour du pot. Et quand je parle de pot, je parle de mon clito. Tu as entendu ? Moi aussi je peux rimer. Mais je suis partagée. Je pourrais chanter, enfin, te parler. Les seuls chants que je connais, ce sont des chansons paillardes. Mais que ce soit chanter ou parler, tu me promets une attente encore plus longue. Et je ne veux pas ! Je veux que tu me tripotes ! Me pénètre ! Me fiste ! Je m’en fiche. Mais je VEUX quelque chose. Met cette langue quelque part en moi, je t’en conjure ! »

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Rachnera sentit un frisson de pur délice sadique parcourir son abdomen orné de son crâne stylisé alors que les paroles décousues et implorantes de Maggot emplissaient la grotte, rebondissant contre les parois scintillantes de ses toiles comme une symphonie chaotique. Ses six yeux rouges pétillaient d’une lueur vorace, son sourire carnassier s’élargissant tandis qu’elle observait la gobeline se tordre dans son shibari improvisé, son corps frêle suspendu et offert, ses cuisses tremblantes d’une frustration qu’elle avait si délicieusement attisée. « Tu parles tant, ma petite proie bavarde… tes mots sont comme un filet de soie déchiré, si tentants mais si inutiles face à ce que je vais te faire, » murmura-t-elle d’une voix rauque et envoûtante, sa langue râpeuse passant sur ses crocs acérés avec une lenteur provocante, comme pour savourer à l’avance le festin à venir.

Avec une grâce arachnéenne fluide, Rachnera ajusta ses fils d’un geste de ses griffes, réorientant la position de Maggot dans un ballet de tension et de relâchement. Les liens argentés se tendirent, soulevant la gobeline pour la faire pivoter doucement, ventre orienté vers le sol dans une posture de levrette soumise, ses cuisses bien écartées par des brins élastiques qui s’enroulèrent autour de ses genoux et de ses chevilles, l’exposant impitoyablement. Les toiles vibraient en harmonie avec les gémissements de sa captive, amplifiant chaque frisson, tandis que Rachnera descendit de sa plateforme, ses huit pattes claquant doucement sur la pierre humide, son corps imposant se positionnant derrière la gobeline comme une ombre prédatrice. L’air de la grotte, saturé de lavande et de l’odeur musquée de l’excitation montante, semblait se charger d’électricité, le déluge extérieur tambourinant en rythme avec le pouls accéléré de Maggot.

« Tu veux ma langue en toi ? Tu la supplieras encore plus quand je te prendrai ainsi, offerte comme une proie dans mon nid, » grogna Rachnera, sa voix basse et possessive résonnant contre les parois, tandis qu’elle posait une de ses pattes antérieures sur le dos cambré de la gobeline pour l’immobiliser, ses griffes effleurant la peau verte sans la blesser, juste pour rappeler qui dominait. Elle s’abaissa, son visage approchant l’intimité exposée de Maggot, et sans plus de préambule, sa longue langue râpeuse s’étira, plongeant profondément dans les replis humides avec une précision impitoyable. La texture rugueuse, comme celle d’un chat affamé, racla les parois internes avec une friction exquise, explorant les profondeurs les plus secrètes, tourbillonnant et aspirant avec une avidité qui arrachait des ondes de plaisir brut. Rachnera variait les assauts, sa langue s’enfonçant jusqu’à la garde, léchant les zones sensibles avec une râpeuse intensité qui faisait palpiter les chairs, avant de se retirer presque entièrement pour mieux replonger, chaque mouvement conçu pour consumer la gobeline de l’intérieur.

Ses doigts griffus, agiles et précis, ne restaient pas inactifs : l’un d’eux vint titiller le clitoris gonflé de Maggot, le pinçant doucement entre deux ongles vernis de noir, roulant la perle sensible avec une lenteur calculée qui alternait entre caresses légères et pressions fermes, amplifiant la frustration en une extase lancinante. « Tu parles, tu parles… mais écoute-toi gémir maintenant, ma bavarde, » susurra Rachnera contre la peau trempée, son souffle chaud effleurant l’intimité de la gobeline tandis que sa langue plongeait à nouveau, plus profondément, lapant les sucs avec une gourmandise perverse. Derrière, dans cette posture de levrette qui offrait une vue totale sur la vulnérabilité de Maggot, un autre doigt, effilé et curieux, s’aventura vers l’anus plissé, le frôlant d’abord d’une caresse circulaire, puis insistant avec une pression légère, le sondant juste assez pour titiller l’anneau serré sans pénétrer, jouant avec l’entrée comme pour promettre des invasions futures.

Les toiles autour d’elles vibraient en réponse, une mélodie érotique sourdant des fils tendus, synchronisée aux halètements de Maggot, tandis que Rachnera intensifiait son assaut, sa langue râpeuse fouillant les profondeurs avec une voracité renouvelée, ses doigts dansant sur le clitoris et l’anus dans un ballet de torture exquise. « Supplie encore, ma petite œuvre… dis-moi combien tu aimes être dévorée ainsi, ou je te ferai attendre jusqu’à ce que tes mots se brisent en cris, » ordonna-t-elle, sa voix rauque vibrant contre la chair, son corps arachnéen ondulant avec une grâce inquiétante, savourant chaque spasme de sa proie comme une toile qui se resserre enfin sur sa proie consentante. La grotte, sanctuaire de lavande et de reflets argentés, semblait retenir son souffle, complice de cette domination où la frustration de Maggot se muait en un feu dévorant, sous la maîtrise impitoyable de la Papillon de Platine.

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Maggot la gobeline
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Ce ne fut pas très héroïque ni très charismatique. Mais Maggot lâcha une sorte de cri aigu mêlé à un rire nerveux et le tout enrobé dans des gémissements. Se faire retourner, ventre regardant le sol, pour se faire prendre. Sans compter qu’elle avait entendu le poids de l’Araignée cliqueter contre le sol. Cette masse féminine et dominatrice, elle le ressentait avec d’autres sens que la vue. Ce mystère. Cette sensation d’oppression. Sa mouille coula le long de sa peau verte d’anticipation.

« OoooOooOOh BORDEL deEEeee MERDeeee ! C’est trop bon ! Hmm! Je savais que ta langue me, me, meeEEeee AAhah ! OUI ! Je suis amoureuse de cette longue langue en moi ! Je peux la marier ? Je peux me marier avec, dis oui, dis oui s’il te plaît ! ♥ Han, bordel, trOOOooOp bon ! »

Maggot avait l’impression d’être un pot à miel. Et elle était très heureuse d’avoir trouvé sa butineuse ! Bordel ce qu’elle aimait cette situation. Elle ne pensait pas que ce serait comme un mariage, à savoir pour toujours, mais elle voulait bien passer un mois de captivité dans cette grotte. En fait, carrément toute la saison de pluie entre les griffes de Rachnera. Puis, au beau jour, elle reprendrait d’autres sortes d’aventure. Mais là tout de suite maintenant, elle adorait se faire stimuler le clito. Et, qu’avait-elle cru l’Araignée ? Si son anus était serré, c’était par manque de pratique. Il ne fallut pas longtemps avant qu’elle s’ouvre comme pour dire « coucou ! » ou comme ces tapis d’entrée qu’on mettait devant les portes pour encourager les visiteurs à entrer.

« Tu n’es pas une bonne personne ! OooOohH ! Personne de censé veut me faire parler aussi longuement. Surtout pas quand cette personne a réussi à me capturer et qu’on, PUTAIN OUI COMME CA, ici ! oOoOOuiii ! Oh bordel. Cette langue ! Hum ! ♥ Je suis ton petit puits de miel. Je suis ta source enchantée. La célèbre caverne mouillée qui contient la source toute précieuse ! L’élixir de jouvence ! OoooOOoh ouUUiiiIIII ! ICI ! JuSTE LA ! AaaAAAah ! »

La gobeline s’agitait dans sa camisole de fils tendus. Non qu’elle voulait partir. Mais elle ressentait tant qu’elle était obligée de se débattre. Comme si on pouvait fuir un orgasme. Quelque chose dans le genre. Ses fesses essayaient de se rapprocher du visage de Rachnera. Que ce soit pour que la langue aille plus profond en elle. Que ce soit pour l’inviter à enfoncer, quoi , un doigt ? Une griffe ? Peu importait ce que c’était dans son petit anus qui semblait s’ouvrir et se refermer, comme un poisson qui recherche son oxygène. Dans ce cas présent, une tentative de combler le vide en elle. Pas un vide d’émotions. Un vide de chairs. Non qu’elle voulait spécifiquement de la chair, ce pouvait être un jouet mais elle préférait de la chair chaude et pulsante.

« J’y crois pas. Je baragouine dans ma tête au lieu de toute étaler à voix haute. Tu sais que c’est une sorte de super-pouvoir que tu as là ? Peut-être même que tu as manqué des informations que tu aurais voulu entendre. Mais je suis bien trop chaotique et excitée pour réussir à faire un effort de mémoire et toute te redire. Sans compter que ce serait un doublon pour ceux qui lisent ma vie. Et, eeEeEEEt : HAN ! Oui-oui-oui-OUIiiiii ! Comment ça se fait que tu sois une grande araignée toute seule dans cett grotte ? Tu ne vas pas me faire croire que tu as une liste de prétendants longue comme une foutue file d’attente ? Oui ! Ici ♥J’adore ! CommeeeeeCAaaAA ! »

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Les toiles scintillantes de la grotte vibraient sous les soubresauts frénétiques de la gobeline, leurs reflets lavande et argentés dansant avec l’agitation de la créature captive. Rachnera, perchée au-dessus de sa proie, sentit un frisson de satisfaction parcourir sa carapace noire alors que les cris désordonnés et les gémissements de la demoiselle résonnaient dans l’espace confiné. Ses six yeux rouges brillèrent d’une lueur prédatrice, captant chaque détail de la peau verte luisante, chaque goutte de mouille qui coulait le long des cuisses frêles mais robustes de sa proie. Un sourire carnassier étira ses lèvres, dévoilant ses dents pointues, tandis que ses griffes acérées s’activaient avec une précision arachnéenne. « Une source enchantée, dis-tu ? » murmura-t-elle d’une voix rauque, son souffle chaud effleurant l’intimité trempée de la gobeline. « Alors, je vais te vider jusqu’à la dernière goutte, ma petite caverne mouillée. »

Avec une agilité surnaturelle, Rachnera tissa ses fils, ses pattes agiles dansant dans l’air pour créer un plug anal dur, forgé à partir de sa soie renforcée, lisse et inflexible comme l’acier, mais modelé pour épouser les contours serrés de Maggot. Elle le tendit entre ses griffes, admirant son œuvre avant de le presser doucement contre l’anus palpitant de la gobeline, qui s’ouvrait et se refermait comme une invitation. D’un mouvement fluide, elle l’inséra, le tissu dur glissant avec une résistance délicieuse, ^pouvant arracher un cri aigu à la demoiselle. Rachnera commença à masturber lentement, ses griffes manipulant le plug avec une cadence mesurée, le faisant coulisser dans et hors de l’orifice, chaque poussée capable d'accentuer les tremblements de la gobeline.

Mais elle n’en resta pas là. Ses toiles s’animèrent à nouveau, tissant un gode imposant en forme de pénis, long d’une trentaine de centimètres, sculpté dans une soie d’araignée durcie, veiné et courbé pour imiter une virilité démoniaque. La surface luisait sous les reflets de la grotte, prête à conquérir. Rachnera le guida avec une précision cruelle, l’enfonçant dans l’intimité trempée de Maggot, la toile s’adaptant aux parois humides avec une fermeté implacable. « Tiens-toi bien, ma chérie, » susurra-t-elle, sa voix teintée d’une menace sensuelle, alors qu’elle commençait à masturber avec le gode, le faisant plonger profondément avant de le retirer à moitié, chaque mouvement synchronisé avec celui du plug anal.

Les fils tendus de la camisole vibraient sous les contorsions de Maggot, amplifiant chaque gémissement qui s’échappait de sa gorge. Rachnera ajusta ses rythmes, accélérant avec le gode pour frapper les points sensibles de l’intimité, tandis que le plug dansait dans l’anus avec une cadence plus lente, créant un contraste qui faisait frémir la gobeline. « Tu parles trop, petite puits de miel, » ricana-t-elle, ses griffes effleurant les cuisses vertes pour y laisser des traces légères. « Mais tes cris sont une musique que j’adore diriger. » Ses yeux ne quittaient pas le spectacle, captant la manière dont le corps de Maggot s’arquait, la mouille coulant en ruisseaux le long de ses jambes, tandis que sa langue longue et agile se retirait pour laisser place à ses créations tisseuses.

La grotte résonnait des échos de la pluie dehors, mais à l’intérieur, l’air s’alourdissait d’une odeur musquée et d’une tension érotique. Rachnera, reine de son cocon, savourait chaque seconde de cette domination, ses pattes ajustant les angles pour maximiser le plaisir de sa proie, prête à pousser Maggot au bord de l’extase jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus articuler que son nom dans un cri primal. « Dis-moi, ma captive… combien de fois peux-tu encore crier pour moi ? » murmura-t-elle, ses griffes s’enfonçant légèrement dans la chair tendre, attendant la réponse dans un éclat de rire sombre.

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Maggot la gobeline
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Enregistré le : 07 sept. 2024 13:29
« AAaaah !! Mais- ! C’est- ! Waouw ! C’est comme si ça avait été, hmmm-moulé sur mesure à mon trou du cul ! Han ! Oh ouiIIii ! NOOnnnnN ! Ne le sors pas. J’en suis tombée amoureuse. Qu’est-ce que je raconte n’importe quoi : ah ah ! Mais faut dire que ça pourrait faire flipper de se faire enculer par de la toile, hmm… d’araignée ! Ah ah- HAN ! OuiiIIii ! Plus profond, s’il te plaîiiIIIt ! »

« Un autre ! Un autre ? Ah, je ne sais même pas comment l’exprimer. Je perds la boule. Ma santé mentale. Je n’ai même plus le temps de décrire ma vie. Je passe d’une tirade à une autre. Ce n’est pas ainsi que j’écris habituellement. Mais cette bite lavande et argenté, trop, TROP beau ! ★ Et cette taille ! Hmm… Han ! Je- C’est difficile de parler avec cette création dans mon petit cul et- HAN ! Maintenant dans ma petite chatte. Fais attention, la tresse blanche de ma toison s’est collée à ta bite : hi hi ! Je disais quoi déjà ? Ah oui, que ça me fait penser à mon Choco. C’est un troll bleu. Tu as déjà bai- Han ! baisé avec un troll bleu ? »

C’était une sadique. L’Araignée maîtrisait son art. Depuis quand quelqu’un ne l’avait pas fait mouiller ainsi ? C’était plus qu’une rosée de décoration sur ses lèvres intimes. C’était carrément des filets de mouille comme on pouvait en trouver dans les hentais. Maggot adorait ça ! Elle se fichait de finir déshydratée. D’ailleurs, elle sentait quelque chose arriver. Mais il fallait qu’elle se concentre encore un peu. Ce qui était putain de dur. Elle avait l’impression de mini-jouir toutes les dix secondes. Elle se tortillait dans tous les sens. Elle gémissait sans interruption. A l’exception de ces petits monologues. Mais franchement, elle adorait être la petite mouche de l’araignée ! Heureusement, elle ne le dit pas à voix haute. C’était beaucoup plus beau de se faire traiter de puits de miel.

Et elle gicla ! En plein dans la tronche de l’Araignée.

« Désolé pas désolé ? Ah ah !... » (souffle souffle !)

Elle avait de plus en plus de difficultés à repsirer. Son cœur jouait le tambour de guerre dans ses oreilles. Les liens paralysaient sa chair à force d’être suspendu. Elle avait soif. (elle avait même faim de participer à une telle débauche d’activité physique).

« Ton petit, hmm… » (souffle souffle !) « Petits puits de miel est- HAN ! OuiiiIII ! ICI ! » (souffle souffle !) « Est devenu fontaine. Aaaahhh… Désolé d’avoir foutu en l’air le travail de ton coiffeur : hi hi ! »

Tout son corps tremblait sous l’intensité de l’orgasme qui l’avait terrassé en même temps qu’elle faisait prendre sa douche à l’Araignée. Et la gobeline réalisa qu’elle n’avait pas répondu. Soumise insolente qu’elle était ! Mais elle était déjà junkie à son art de la toile. Elle ne voulait pas la perdre. Ce n’était qu’un début : il le fallait !

« En me concentrant, je pourrais encore crier une seule fois. » (souffle souffle !) « Je suis vraiment au bout du bout. Trop fatiguée de trop de choses. Alors pour le faire cinématique… » (souffle souffle !) « Je crierais, hmm… Je crierais : HAN ! OUI, là ! Je crierais une dernière fois. Fauchée d’un orgasme de climax. Et je tournerais de l’œil. »
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