On dit que la mort ne se repose jamais, car à tout moment une personne passe l'arme à gauche. Aujourd'hui ne fait pas exception, mais c'est dans un nouveau lieu que Nebethysia se rend : à Volony, et surtout en forêt, et non dans la ville. Le décor change : marcher entre les arbres, sur une herbe fraîche qui contraste avec le sable où elle est habituée à vivre. Ici, tout est le contraire. C’est l’un de ses animaux de compagnie qui l’a guidée vers la personne. Mais cela ne l’empêche pas de regarder le lieu, si calme et paisible. Elle le trouvait merveilleux ; si ce n’était qu’elle, elle serait restée assise par terre contre un arbre pour profiter de la sérénité des lieux.
Une fois arrivée sur place, elle se retrouva face à une femme qui avait l’air de souffrir. Son regard passa de l’émerveillement devant le lieu au jugement porté sur la mourante. Un regard froid, mais qui lui permit de juger si elle était digne. Et oui, elle l’était : digne de rejoindre ses « esclaves ». Elle lui posa alors la question : voulait-elle rejoindre les autres animaux ? La femme avait hésité au début, mais avait fini par accepter de devenir une marionnette de la faucheuse. Alors Nebethysia prit sa lame et l’abattit sur elle d’une certaine façon. La lame, qui d’ordinaire restait noire, devint blanche afin de transformer la personne en un Maine Coon, mais encore en croissance pour qu’elle ne soit ni trop grande, ni trop petite — juste la taille qu’il fallait. La prenant dans ses bras, elle commença à caresser son nouvel animal. Pour le moment, elle le gardait avec elle, tandis que l’autre retournait à sa tâche.
Restant sous sa forme de faucheuse, Nebethysia décida de s’asseoir sur l’herbe, sa longue robe noire s’étalant autour d’elle, tout comme son voile. Sa faux n’était pas rangée, simplement posée contre le sol à côté d’elle. Caressant toujours le chat, elle parlait seule dans la forêt :
— Tu devras te promener dans les autres mondes pour m’avertir d’une mort imminente. Là, je parle avec toi de cette façon, mais tes pensées sont liées aux miennes.
La Déesse lui expliquait tout dans le moindre détail, sans se soucier de son entourage. Une fois qu’elle eut fini, elle posa la chatte au sol pour qu’elle puisse faire ses premiers pas. Car après l’avoir changée en animal, elle devait s’habituer à marcher d’une autre façon. Et la faucheuse l’encourageait, même s’il y avait quelques petites chutes.
Une fois arrivée sur place, elle se retrouva face à une femme qui avait l’air de souffrir. Son regard passa de l’émerveillement devant le lieu au jugement porté sur la mourante. Un regard froid, mais qui lui permit de juger si elle était digne. Et oui, elle l’était : digne de rejoindre ses « esclaves ». Elle lui posa alors la question : voulait-elle rejoindre les autres animaux ? La femme avait hésité au début, mais avait fini par accepter de devenir une marionnette de la faucheuse. Alors Nebethysia prit sa lame et l’abattit sur elle d’une certaine façon. La lame, qui d’ordinaire restait noire, devint blanche afin de transformer la personne en un Maine Coon, mais encore en croissance pour qu’elle ne soit ni trop grande, ni trop petite — juste la taille qu’il fallait. La prenant dans ses bras, elle commença à caresser son nouvel animal. Pour le moment, elle le gardait avec elle, tandis que l’autre retournait à sa tâche.
Restant sous sa forme de faucheuse, Nebethysia décida de s’asseoir sur l’herbe, sa longue robe noire s’étalant autour d’elle, tout comme son voile. Sa faux n’était pas rangée, simplement posée contre le sol à côté d’elle. Caressant toujours le chat, elle parlait seule dans la forêt :
— Tu devras te promener dans les autres mondes pour m’avertir d’une mort imminente. Là, je parle avec toi de cette façon, mais tes pensées sont liées aux miennes.
La Déesse lui expliquait tout dans le moindre détail, sans se soucier de son entourage. Une fois qu’elle eut fini, elle posa la chatte au sol pour qu’elle puisse faire ses premiers pas. Car après l’avoir changée en animal, elle devait s’habituer à marcher d’une autre façon. Et la faucheuse l’encourageait, même s’il y avait quelques petites chutes.