- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Deux minutes? Balthazar avait bien des défauts mais parmi les rares qualités qu'on pouvait lui attribuer, celle de savoir satisfaire une femme était l'une des plus recommandables. Bien sûr, chacune de ses partenaires avait ses propres envies et généralement, cela tournant autour d'une bonne grosse séance de baise bien hardcore car après tout, c'est la passion première qu'il inspirait (pour les connaisseuses et expertes ...). Mais il pouvait aussi fort bien s'accommoder d'une novice en la matière, ce qui avait l'air d'être le cas d'Alma. Balthazar avait remarqué ses hésitations dès qu'il l'avait vraiment entreprise. Ok, surprise! Celle-là n'a surement pas l'habitude d'écarter les cuisses pour le passage d'un homme. Qu'importe, si elle ne le repousse pas, c'est qu'elle est ouverte à une nouvelle forme d'exploration. Il s'agira juste de ne pas lui faire mal (sauf si elle le demande) et d'user de douceur pour éviter un aller direct pour l'hôpital (pour les deux).
Elle a gémi. Un point pour le colosse, et un laissez-passer qui élargit son champ d'action. Alma est humide, renfrognée mais humide. Derrière son attitude de badass, il y a un monde de plaisir à explorer et exploiter. Ne parlons pas tout de suite de pratiques particulières mais au moins, le premier pas est fait et c'est une réussite. Heureusement que Balthazar a le nez entre les seins de la brunette car sinon, elle le verrais sourire d'une satisfaction sincère et toute masculine.
L'homme n'attend pas. Évidemment, il est inutile qu'elle précise qu'elle n'est pas prête pour une pénétration tout ce qu'il y a de plus commun. Pour que Balthazar passe, faut déblayer le chemin, ou au moins le préparer.
Donc , il persévère. Autour de son doigt, les lèvres l'enveloppe et comme l'endroit est relativement préservé, la sensation d'étroitesse est particulièrement vive. il s'ajuste, amplifie son mouvement de haut en bas tout en adoptant des torsions très professionnelles qui permettent un palpé complet de ces premiers centimètres trempés. Les muqueuses, c'est sensible, donc c'est Alma, en gigotant, qui fait une bonne partie du boulot et qui l'aide pas mal à relever le défi. Et puis, le poids de la jeune femme fait aussi le reste et en trente secondes, le majeur de Balthazar est totalement aspiré dans ce joli petit corps. Tous les vagins sont les mêmes et une fois qu'il l'occupe, il sait ce qu'il doit titiller tandis que son pouce, à l'extérieur, se charge d'atomiser un clitoris qui ne demande que ça.
L'homme relève les yeux sur le visage d'Alma. De sa main libre, il lui ôte son débardeur. il lui saisit ensuite le nuque et fait pression sur les zones abritant les artères occipitales, alimentant le cerveau. C'est une forme de plaisir que de limiter cette irrigation, cela génère un fourmillement, une impression d'être soumis à un plaisir fulgurant et dangereux. Alma est dans les griffes d'un tigre, un tigre qui ne va pas la dévorer mais l'amener à un orgasme totalement débridé.
Balthazar lui prend le menton entre ses dents et mordille au même moment où son index vient se frayer une place aux côtés de son majeur. L'écartement se fait bien, et la cavité vaginale est totalement occupée. L'homme perd volontairement en douceur pour privilégier un doigté plus dense, plus dominateur, plus viril, destiné à l'accomplissement d'une jouissance sauvage.
Parler n'est pas utile, il réagis au langage corporel d'Alma. La moindre tension ou relâchement lui parle et il s'adapte, accompagne, domine ou contrôle dans le sens qui lui convient à elle.
Elle a gémi. Un point pour le colosse, et un laissez-passer qui élargit son champ d'action. Alma est humide, renfrognée mais humide. Derrière son attitude de badass, il y a un monde de plaisir à explorer et exploiter. Ne parlons pas tout de suite de pratiques particulières mais au moins, le premier pas est fait et c'est une réussite. Heureusement que Balthazar a le nez entre les seins de la brunette car sinon, elle le verrais sourire d'une satisfaction sincère et toute masculine.
L'homme n'attend pas. Évidemment, il est inutile qu'elle précise qu'elle n'est pas prête pour une pénétration tout ce qu'il y a de plus commun. Pour que Balthazar passe, faut déblayer le chemin, ou au moins le préparer.
Donc , il persévère. Autour de son doigt, les lèvres l'enveloppe et comme l'endroit est relativement préservé, la sensation d'étroitesse est particulièrement vive. il s'ajuste, amplifie son mouvement de haut en bas tout en adoptant des torsions très professionnelles qui permettent un palpé complet de ces premiers centimètres trempés. Les muqueuses, c'est sensible, donc c'est Alma, en gigotant, qui fait une bonne partie du boulot et qui l'aide pas mal à relever le défi. Et puis, le poids de la jeune femme fait aussi le reste et en trente secondes, le majeur de Balthazar est totalement aspiré dans ce joli petit corps. Tous les vagins sont les mêmes et une fois qu'il l'occupe, il sait ce qu'il doit titiller tandis que son pouce, à l'extérieur, se charge d'atomiser un clitoris qui ne demande que ça.
L'homme relève les yeux sur le visage d'Alma. De sa main libre, il lui ôte son débardeur. il lui saisit ensuite le nuque et fait pression sur les zones abritant les artères occipitales, alimentant le cerveau. C'est une forme de plaisir que de limiter cette irrigation, cela génère un fourmillement, une impression d'être soumis à un plaisir fulgurant et dangereux. Alma est dans les griffes d'un tigre, un tigre qui ne va pas la dévorer mais l'amener à un orgasme totalement débridé.
Balthazar lui prend le menton entre ses dents et mordille au même moment où son index vient se frayer une place aux côtés de son majeur. L'écartement se fait bien, et la cavité vaginale est totalement occupée. L'homme perd volontairement en douceur pour privilégier un doigté plus dense, plus dominateur, plus viril, destiné à l'accomplissement d'une jouissance sauvage.
Parler n'est pas utile, il réagis au langage corporel d'Alma. La moindre tension ou relâchement lui parle et il s'adapte, accompagne, domine ou contrôle dans le sens qui lui convient à elle.
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
Elle comprend que dalle ! Tout ce qu’elle sait, à peu près, c’est qu’il y a un doigt en elle et qu’elle est en plein parc. Le reste, c’est son réseau saturé d’informations. Plutôt de sensations. Et le genre puissantes ! Alors elle « subit ». Ca n’a rien à voir avec un combat. Elle n’est pas non plus pucelle. Elle a partagé la couche de plusieurs femmes. Et chacune avait son style particulier et efficace. Mais ce que lui fait Balthazar ? C’est… différent. Pour ne léser personne.
Ses petits seins sont maintenant en contact direct avec l’air. Où est passé son débardeur noir ? Elle n’en a aucune foutue idée. Tout comme elle ne comprend pas la perte de sensation qui en améliore une autre. Elle se sent…sexe. C’est débile. Mais elle a l’impression d’être ses cuisses ouvertes et de couler comme une putain de chute d’eau. Elle n’arrive plus à réfléchir. Ce doit être de la magie ! Et ça pulse. Et ça chauffe. Et ça monte. Putain de saloperies de marée montante !
Il y arrive. Tendue ! L’orgasme la frappe en moins de deux minutes. Hors de question pour elle de gueuler dans un parc public. Elle en a vaguement conscience. Et c’est aussi le moment de se « venger ». Elle aurait du l’engueuler, l’insulter, le frapper quand il l’a déshabillé pour avoir accès à sa petite poitrine. Alors elle plante ses dents à la base de son cou. Comme si elle allait le transformer en vampire ? Comme si elle allait le bouffer tel un zombie non pornographique ? Peu l’importe que l’image ne soit pas glamour. Elle mord fort pour laisser passer l’orgasme. Elle se donne quelques secondes où elle s’affale sur lui. Sans. Aucune. Fierté…
« Enfoiré… »
Elle lui jarte sa main toute poisseuse de son jus ailleurs que dans son jeans. Elle ne laissera pas le squatteur agir comme il l’entend. Puis elle se libère de son étreinte. Elle voudrait être fière sur ses jambes tendues. La réalité est autre. Ses jambes sont flageolantes. Même sa psyché est encore impactée. Disons nauséeuse.
« Tu l’as balancé où mon haut ?! »
En colère. Elle ne pense qu’à se barrer. Où ? Elle ne sait pas. Ce n’était pas bien ce que lui a fait vivre Balthazar ? Bien sur que oui c’était agréable. Alors quoi ? Alors elle se barre tout de même ! Elle se déteste. S’être autant donnée à un inconnu. Avoir tant perdu le CONTRÔLE ! PUTAIN de putain de PUTAIN !!
Elle récupère son débardeur noir et manque tomber tant son corps ne lui répond plus.
« Je me barre… »
Elle essaie de se rhabiller et de partie en même temps. Elle n’y arrive pas. Elle galère comme pas possible.
Ses petits seins sont maintenant en contact direct avec l’air. Où est passé son débardeur noir ? Elle n’en a aucune foutue idée. Tout comme elle ne comprend pas la perte de sensation qui en améliore une autre. Elle se sent…sexe. C’est débile. Mais elle a l’impression d’être ses cuisses ouvertes et de couler comme une putain de chute d’eau. Elle n’arrive plus à réfléchir. Ce doit être de la magie ! Et ça pulse. Et ça chauffe. Et ça monte. Putain de saloperies de marée montante !
Il y arrive. Tendue ! L’orgasme la frappe en moins de deux minutes. Hors de question pour elle de gueuler dans un parc public. Elle en a vaguement conscience. Et c’est aussi le moment de se « venger ». Elle aurait du l’engueuler, l’insulter, le frapper quand il l’a déshabillé pour avoir accès à sa petite poitrine. Alors elle plante ses dents à la base de son cou. Comme si elle allait le transformer en vampire ? Comme si elle allait le bouffer tel un zombie non pornographique ? Peu l’importe que l’image ne soit pas glamour. Elle mord fort pour laisser passer l’orgasme. Elle se donne quelques secondes où elle s’affale sur lui. Sans. Aucune. Fierté…
« Enfoiré… »
Elle lui jarte sa main toute poisseuse de son jus ailleurs que dans son jeans. Elle ne laissera pas le squatteur agir comme il l’entend. Puis elle se libère de son étreinte. Elle voudrait être fière sur ses jambes tendues. La réalité est autre. Ses jambes sont flageolantes. Même sa psyché est encore impactée. Disons nauséeuse.
« Tu l’as balancé où mon haut ?! »
En colère. Elle ne pense qu’à se barrer. Où ? Elle ne sait pas. Ce n’était pas bien ce que lui a fait vivre Balthazar ? Bien sur que oui c’était agréable. Alors quoi ? Alors elle se barre tout de même ! Elle se déteste. S’être autant donnée à un inconnu. Avoir tant perdu le CONTRÔLE ! PUTAIN de putain de PUTAIN !!
Elle récupère son débardeur noir et manque tomber tant son corps ne lui répond plus.
« Je me barre… »
Elle essaie de se rhabiller et de partie en même temps. Elle n’y arrive pas. Elle galère comme pas possible.
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Hé bé quoi ? Elle lui avait demandé deux minutes et il avait tenu le pari, enfin, le deal, l'exploit. Le nom, on s'en fout tant que l'objectif est atteint. Alma a imposé un délai avec de préférence une fin heureuse et Balthazar a respecté la volonté de la miss de la meilleure des manières. Après, des filles avec des réactions bizarres ou impressionnantes, il en a déjà rencontré. Ca peut surprendre mais d'expérience, le colosse sait qu'il est capable de gérer.
Mais là, alors que tout allait pour mieux et qu'il s'était régalé à sentir Alma gigoter sous ses caresses et son doigté profond, il pensait que tout naturellement, elle allait venir après s'embrocher sur sa queue et profiter de son endurance en vue de se faire exploser bien comme il faut.
Bon ... Elle l'a un peu mordu, il lui rendra bien, et puis c'est mignon ce besoin de marquer sa faiblesse passagère par un acte un peu plus viril. le coup de dents signifie : j'arrive encore à réfléchir. Pourtant Alma semble toute chose et pas totalement en possession de tous ses moyens. Et ouais, c'est généralement ça une première avec Balthazar. On s'imagine une grosse défonce bien grasse et on est surprise par un expert qui ne mobilise pas tout de suite ses gros muscles pour envoyer la purée.
De son côté à lui, c'est toujours intéressant de fragiliser la vitrine pour pouvoir mieux entrer après. Quand c'est trop rude, ça gueule et ça saigne. On en met partout, ça tâche et le sang sur les jeans, c'est chiant à nettoyer. Aussi ce petit préliminaire apporte un peu d'élasticité car pour la suite, le corps d'Alma risquera fort de devoir en mobiliser beaucoup. Imaginez un peu si on essayait d'introduire un menhir dans le cul d'une poule sans préparer le terrain ... Vive les dégâts!
Et puis, ça lui a aussi indiqué les petites faiblesses physiques de la brunette et si elle aimait ça, se faire doigter dans cet environnement bucolique, certes peu propice à la reproduction mais charmant quand même.
Donc tout va bien mais la rebelle de service réapparait pas commode et un peu perdue. Elle n'a pas l'assurance du début de leur rencontre, elle semble autant épuisée que satisfaite mais son visage se ferme sur une incompréhension qu'elle ne doit surement pas comprendre elle même. Elle veut se barrer? Ben pourquoi? Quelqu'un l'attend pour un deuxième round ailleurs?
Nan ... C'est juste qu'elle doit seulement accepter qu'elle a vraiment prit son pied.
Balthazar la rattrape alors qu'elle titube. il ne dit rien, ce serait comme balancer de l'huile sur le feu. Et comme ils ont un peu le même caractère, il se dit que ça doit turbiner pas mal dans son ciboulot. Maintenant le silence c'est bien mais faut pas en abuser non plus.
"Tu dépotes Alma."
Il ne la toise pas mais comme il est plus grand elle, ben ... son regard va du haut vers le bas.
"Je te proposerais bien de te venger sur moi mais ..."
Il lève les mains en signe de reddition apparente.
"... si tu pars ce serait dommage et je pense sincèrement qu'on passerait à côté de quelque chose de cool. Maintenant, si j'ai été trop gentil, tu peux me le dire. Je pense que t'aimerais bien me sentir plus hargneux non ?"
Mais là, alors que tout allait pour mieux et qu'il s'était régalé à sentir Alma gigoter sous ses caresses et son doigté profond, il pensait que tout naturellement, elle allait venir après s'embrocher sur sa queue et profiter de son endurance en vue de se faire exploser bien comme il faut.
Bon ... Elle l'a un peu mordu, il lui rendra bien, et puis c'est mignon ce besoin de marquer sa faiblesse passagère par un acte un peu plus viril. le coup de dents signifie : j'arrive encore à réfléchir. Pourtant Alma semble toute chose et pas totalement en possession de tous ses moyens. Et ouais, c'est généralement ça une première avec Balthazar. On s'imagine une grosse défonce bien grasse et on est surprise par un expert qui ne mobilise pas tout de suite ses gros muscles pour envoyer la purée.
De son côté à lui, c'est toujours intéressant de fragiliser la vitrine pour pouvoir mieux entrer après. Quand c'est trop rude, ça gueule et ça saigne. On en met partout, ça tâche et le sang sur les jeans, c'est chiant à nettoyer. Aussi ce petit préliminaire apporte un peu d'élasticité car pour la suite, le corps d'Alma risquera fort de devoir en mobiliser beaucoup. Imaginez un peu si on essayait d'introduire un menhir dans le cul d'une poule sans préparer le terrain ... Vive les dégâts!
Et puis, ça lui a aussi indiqué les petites faiblesses physiques de la brunette et si elle aimait ça, se faire doigter dans cet environnement bucolique, certes peu propice à la reproduction mais charmant quand même.
Donc tout va bien mais la rebelle de service réapparait pas commode et un peu perdue. Elle n'a pas l'assurance du début de leur rencontre, elle semble autant épuisée que satisfaite mais son visage se ferme sur une incompréhension qu'elle ne doit surement pas comprendre elle même. Elle veut se barrer? Ben pourquoi? Quelqu'un l'attend pour un deuxième round ailleurs?
Nan ... C'est juste qu'elle doit seulement accepter qu'elle a vraiment prit son pied.
Balthazar la rattrape alors qu'elle titube. il ne dit rien, ce serait comme balancer de l'huile sur le feu. Et comme ils ont un peu le même caractère, il se dit que ça doit turbiner pas mal dans son ciboulot. Maintenant le silence c'est bien mais faut pas en abuser non plus.
"Tu dépotes Alma."
Il ne la toise pas mais comme il est plus grand elle, ben ... son regard va du haut vers le bas.
"Je te proposerais bien de te venger sur moi mais ..."
Il lève les mains en signe de reddition apparente.
"... si tu pars ce serait dommage et je pense sincèrement qu'on passerait à côté de quelque chose de cool. Maintenant, si j'ai été trop gentil, tu peux me le dire. Je pense que t'aimerais bien me sentir plus hargneux non ?"
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
« Connard ! » lui dit-elle en étant obligé de lever la tête.
Cet enfoiré qui la regarde de haut. Tout content d’avoir ses doigts trempés de sa mouille de plaisir.
« Connard… » lui répète-t-elle avec beaucoup moins d’entrain.
Elle était partie. Elle n’y arrive plus.
Il lui propose de se battre. Elle réalise qu’elle n’en a même pas envie. Enfin, un petit peu quand même. Mais pas trop. Elle sentirait même un « truc » de culpabilité par rapport au sang qui coule au niveau du cou du colosse.
« Je ne sais pas comment ça se passe dans ta tête. Trop gentil ? Ca veut dire quoi cette merde ? Et j’ai vraiment pas du tout envie de te sentir plus hargneux, OK ! »
Mais sa voix à chevroter dans sa dernière réplique. En imaginant ce que « hargneux » pourrait signifier pour elle, sa… disons que le sexe faible qu’elle représente s’est sentie… faible. Ouais. Parce que ça va commencer à mal se mettre si elle commence à papillonner dans son bide et flageoler des guiboles parce qu’elle imagine se faire étouffer par le poids du Mâle. Mettons-lui-même une majuscule pour lui faire plaisir. Même si elle n’en dit rien à voix haute.
Alors elle le toise. Et plus elle le toise, plus elle sent qu’elle reprend le contrôle de son corps. De ses sensations. De ses sens. Ici, dans un parc, il n’y a pas besoin de ses réflexes de survivaliste pour compter les portes de sortie. Elle peut littéralement se barrer partout.
Non. Non et non, elle ne se barrera pas. C’est une putain d’opportunité ce Babal sauvage tout de même. Elle le sait. Elle le ressent. Mais elle s’est déjà trop… donné.
« Tu es un enfoiré, ok ? Parce que tu es une sorte de magicien. Franchement, je ne comprends toujours pas comment j’ai pu perdre autant le contrôle. Avec un putain d’inconnu ! Et dans un endroit public ! Ouais, je gueule, et alors ? TA GUEULE, toi, regarde ailleurs ! »
Un gars avec un casque sur les oreilles qui passait près de là. La dernière insulte n’était pas pour le colosse. Il ne peut pas tout déguster, tout de même.
Puis son doigt vient tapoter le torse du colosse. Comme une attaque physique. (et en même temps, il y a autre chose. Elle réalise les muscles et leur attrait pour elle…). Son autre main solidement fichée sur sa hanche.
« Fais attention à ce que tu vas dire après ça. Parce que franchement, j’ai très envie de te tuer. Et ce n’est pas une expression. Si tu le voulais, tu aurais pu me tuer tout à l’heure. Me capturer pour me retrouver enfermée loin des miens. J’ai eu de la chance. Mais ça ne veut pas dire que tu seras aussi… « gentil » à l’avenir. Donc ! Donc, ça me fait chier d’avoir perdu le contrôle. Mais je ne vais pas te dire que je n’ai pas aimé. J’ai tout lâché… Je n’ai rien compris. Je n’étais que… sensations. Et le genre bonnes. Alors je crois qu’on va en rester là. Tu ne remettras pas tes gros doigts habiles dans mon jeans, ok ? »
Le séducteur va en prendre un coup probablement. Le poisson était dans son filet mais semble parvenir à s’échapper du filet. Détestable métaphore tue-l’amour, oui… Mais point positif ? Alma est toujours présente. Elle ne s’est pas barrée. Et elle a avoué à demi-mots qu’elle aimait bien Babal. Pas aimer genre amour, attention ! Mais voilà. Ils ont une chance de vivre un truc qui pourrait durer un petit bout de temps.
Cet enfoiré qui la regarde de haut. Tout content d’avoir ses doigts trempés de sa mouille de plaisir.
« Connard… » lui répète-t-elle avec beaucoup moins d’entrain.
Elle était partie. Elle n’y arrive plus.
Il lui propose de se battre. Elle réalise qu’elle n’en a même pas envie. Enfin, un petit peu quand même. Mais pas trop. Elle sentirait même un « truc » de culpabilité par rapport au sang qui coule au niveau du cou du colosse.
« Je ne sais pas comment ça se passe dans ta tête. Trop gentil ? Ca veut dire quoi cette merde ? Et j’ai vraiment pas du tout envie de te sentir plus hargneux, OK ! »
Mais sa voix à chevroter dans sa dernière réplique. En imaginant ce que « hargneux » pourrait signifier pour elle, sa… disons que le sexe faible qu’elle représente s’est sentie… faible. Ouais. Parce que ça va commencer à mal se mettre si elle commence à papillonner dans son bide et flageoler des guiboles parce qu’elle imagine se faire étouffer par le poids du Mâle. Mettons-lui-même une majuscule pour lui faire plaisir. Même si elle n’en dit rien à voix haute.
Alors elle le toise. Et plus elle le toise, plus elle sent qu’elle reprend le contrôle de son corps. De ses sensations. De ses sens. Ici, dans un parc, il n’y a pas besoin de ses réflexes de survivaliste pour compter les portes de sortie. Elle peut littéralement se barrer partout.
Non. Non et non, elle ne se barrera pas. C’est une putain d’opportunité ce Babal sauvage tout de même. Elle le sait. Elle le ressent. Mais elle s’est déjà trop… donné.
« Tu es un enfoiré, ok ? Parce que tu es une sorte de magicien. Franchement, je ne comprends toujours pas comment j’ai pu perdre autant le contrôle. Avec un putain d’inconnu ! Et dans un endroit public ! Ouais, je gueule, et alors ? TA GUEULE, toi, regarde ailleurs ! »
Un gars avec un casque sur les oreilles qui passait près de là. La dernière insulte n’était pas pour le colosse. Il ne peut pas tout déguster, tout de même.
Puis son doigt vient tapoter le torse du colosse. Comme une attaque physique. (et en même temps, il y a autre chose. Elle réalise les muscles et leur attrait pour elle…). Son autre main solidement fichée sur sa hanche.
« Fais attention à ce que tu vas dire après ça. Parce que franchement, j’ai très envie de te tuer. Et ce n’est pas une expression. Si tu le voulais, tu aurais pu me tuer tout à l’heure. Me capturer pour me retrouver enfermée loin des miens. J’ai eu de la chance. Mais ça ne veut pas dire que tu seras aussi… « gentil » à l’avenir. Donc ! Donc, ça me fait chier d’avoir perdu le contrôle. Mais je ne vais pas te dire que je n’ai pas aimé. J’ai tout lâché… Je n’ai rien compris. Je n’étais que… sensations. Et le genre bonnes. Alors je crois qu’on va en rester là. Tu ne remettras pas tes gros doigts habiles dans mon jeans, ok ? »
Le séducteur va en prendre un coup probablement. Le poisson était dans son filet mais semble parvenir à s’échapper du filet. Détestable métaphore tue-l’amour, oui… Mais point positif ? Alma est toujours présente. Elle ne s’est pas barrée. Et elle a avoué à demi-mots qu’elle aimait bien Babal. Pas aimer genre amour, attention ! Mais voilà. Ils ont une chance de vivre un truc qui pourrait durer un petit bout de temps.
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
La maçonnerie, c'est pas une science exacte. Tout un tas de variations peuvent modifier ou pas l'état d'une structure. Parfois ça tient alors que ça devrait s'effondrer, et parfois un truc réputé éternel se vautre à la première secousse. Mais il y a une chose qui ne change pas: une fissure ne peut que s'agrandir. Une fois qu'une brèche est ouverte, elle est destinée à fragiliser son support. Alors Alma n'est ni une maison ni un quelconque immeuble, mais une brèche, elle en a une. c'est une fracture en fait, un canyon naissant, une ligne sismique en formation.
Balthazar l'écoute se protéger, ou en tout cas tenter de préserver la mémoire d'un isolement voulu ou pas de la proximité des hommes. Il n'aura fallu qu'un doigt ... enfin, deux ... pour faire voler en éclat tout un tas de croyances. C'est que c'est pas si pourri un mec! Faut juste trouver le bon, s'y accorder, écarter un peu les cuisses et laisser faire pour voir si ça matche. Et ouais, sans compter les points, on peut dire que Balthazar à remporter une victoire favorable à tous les deux. C'est que c'était mal parti quand même et il lui aura fallu bosser pour donner une image de lui qui vaille la peine d'être retenue.
Et puis, il faut être humble après l'accès à un orgasme. Elle ne lui a pas dit: défonce moi, ou baise moi. Non, il la laisse profiter de ce courant électrique qui indique au cerveau qu'il se passe un truc exceptionnel à l'étage du bas mais que ça gère sans avoir besoin de faire activer la procédure de secours.
Il hausse les épaules.
"T'inquiètes pas. Je suis pas du genre à commenter ce genre de trucs. Faut le prendre comme ça vient. Je nous sentais bien et on a fait le job ensemble."
L'homme qu'Alma envoie chier ne représentant aucune menace, Balthazar cherche le haut d'Alma, et le trouve en boule pas loin, entre deux racines. Il lui tend et pendant qu'elle s'habille, il s'essuie la main sur son jean. Bon sang qu'elle a envoyé!! Qu'est-ce que ça doit être avec une b....
Mais ça, il semble qu'il ne va pas le savoir tout de suite. Ok, bien sûr, il laisse à Alma le choix de la suite et il peut bien comprendre que niquer à la vue d'inconnus peut être dérangeant donc, il peut bien attendre. Mais ce n'est pas pour autant qu'il lâche prise. Quand Alma est prête, c'est à dire qu'elle a l'air vivante et plus figée les yeux papillonnant, il s'approche d'elle et enroule son bras autour de sa hanche pour l'emmener.
Ils ne sont pas mignons, ils font un peu peur en fait. Imaginez un ours se baladant avec une louve, ou une hyène, qui croisent votre chemin ... Ils font cet effet là. Et comme Alma est faible, Balthazar se fait un plaisir de la maintenir contre lui. Elle est légère mais sa présence est magnétique à présent, maintenant qu'il la connait aussi intimement. Et puis ça laisse cette impression de puissance masculine occulter le terrain d'exercice de la jeune femme. Elle peut s'imaginer ce qu'elle veut, si elle demande, elle l'aura et ça, se faire des films, c'est super excitant.
Ils reviennent à la civilisation. A ce stade, plus besoin de s'engueuler hein?
"J'ai de la vodka à ma chambre d'hôtel. On pourra y commander à bouffer si ça te dit. Et puis en vérité, j'ai pas vraiment envie de te lâcher là. Ta chaleur me plait. On se dit les choses hein Alma? Comme elles sont."
Balthazar l'écoute se protéger, ou en tout cas tenter de préserver la mémoire d'un isolement voulu ou pas de la proximité des hommes. Il n'aura fallu qu'un doigt ... enfin, deux ... pour faire voler en éclat tout un tas de croyances. C'est que c'est pas si pourri un mec! Faut juste trouver le bon, s'y accorder, écarter un peu les cuisses et laisser faire pour voir si ça matche. Et ouais, sans compter les points, on peut dire que Balthazar à remporter une victoire favorable à tous les deux. C'est que c'était mal parti quand même et il lui aura fallu bosser pour donner une image de lui qui vaille la peine d'être retenue.
Et puis, il faut être humble après l'accès à un orgasme. Elle ne lui a pas dit: défonce moi, ou baise moi. Non, il la laisse profiter de ce courant électrique qui indique au cerveau qu'il se passe un truc exceptionnel à l'étage du bas mais que ça gère sans avoir besoin de faire activer la procédure de secours.
Il hausse les épaules.
"T'inquiètes pas. Je suis pas du genre à commenter ce genre de trucs. Faut le prendre comme ça vient. Je nous sentais bien et on a fait le job ensemble."
L'homme qu'Alma envoie chier ne représentant aucune menace, Balthazar cherche le haut d'Alma, et le trouve en boule pas loin, entre deux racines. Il lui tend et pendant qu'elle s'habille, il s'essuie la main sur son jean. Bon sang qu'elle a envoyé!! Qu'est-ce que ça doit être avec une b....
Mais ça, il semble qu'il ne va pas le savoir tout de suite. Ok, bien sûr, il laisse à Alma le choix de la suite et il peut bien comprendre que niquer à la vue d'inconnus peut être dérangeant donc, il peut bien attendre. Mais ce n'est pas pour autant qu'il lâche prise. Quand Alma est prête, c'est à dire qu'elle a l'air vivante et plus figée les yeux papillonnant, il s'approche d'elle et enroule son bras autour de sa hanche pour l'emmener.
Ils ne sont pas mignons, ils font un peu peur en fait. Imaginez un ours se baladant avec une louve, ou une hyène, qui croisent votre chemin ... Ils font cet effet là. Et comme Alma est faible, Balthazar se fait un plaisir de la maintenir contre lui. Elle est légère mais sa présence est magnétique à présent, maintenant qu'il la connait aussi intimement. Et puis ça laisse cette impression de puissance masculine occulter le terrain d'exercice de la jeune femme. Elle peut s'imaginer ce qu'elle veut, si elle demande, elle l'aura et ça, se faire des films, c'est super excitant.
Ils reviennent à la civilisation. A ce stade, plus besoin de s'engueuler hein?
"J'ai de la vodka à ma chambre d'hôtel. On pourra y commander à bouffer si ça te dit. Et puis en vérité, j'ai pas vraiment envie de te lâcher là. Ta chaleur me plait. On se dit les choses hein Alma? Comme elles sont."
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
Pourquoi elle se laisse faire ? Pourquoi elle le laisse poser sa main contre sa hanche et la coller contre son corps de colosse ? Elle n’est pas une putain de petite chose fragile. Et pourtant… elle ne lui dit rien. Et elle n’essaie pas de fuir. Incompréhensible.
Pendant qu’ils traversent le parc collé l’un à l’autre, Alma se pose mille questions au travers du regard des gens. Est-ce qu’elle apparait comme la pauvre fille ? Est-ce que son jeans présente une tâche honteuse à l’entre-jambe ? Est-ce que ses tétons pointent et la présentent comme une sorte de bimbo, genre qu’elle déteste ? Pourquoi ont-ils peur ? Elle ne trouve pas que Balthazar (Babal ?) fasse peur ? Ce serait donc elle ?
Et soudainement c’est le retour des bruits de la ville. Et elle doit se concentrer quand elle réalise que son… partenaire ? lui parle.
« La vodka c’est hors de question. »
Le ton est froid. La réponse a été cinglante. Mais les deux doivent déjà comprendre la suite. Ca n’a pas été un non catégorique. En fait, ça prouve déjà qu’elle le suivra. Ca l’agace. Ca se voit sur son visage. Puis elle reprend. C’est qu’elle n’a pas vraiment encore donné sa réponse.
« Avec ce que tu m’as fait subir, ouais, je crois que ce serait pertinent de ta part que je reprenne des forces. J’ose même pas te demander de quel genre de chaleur tu parles. On va dire que c’est le fait que tu me colles comme si j’avais perdu la capacité de marcher. »
Elle n’a pas du tout envie de reparler de sexe. Son corps n’est pas encore en phase avec son esprit. Si le premier aurait tendance à en redemander, le second veut à tout pris reprendre le contrôle de tout. De la situation. De son corps. Babal est un putain d’inconnu, OK ! Ouais… peut-être qu’Alma essaie de se mettre des œillères parce qu’elle… aurait la trouille ?
« Je veux un truc qui nourrit bien. Genre nouilles carbonara. Ou, non, pas un gros morceau de viande. Ou alors un bon gros hamburger de qualité. Si c’est froid ou si c’est mauvais, il y a des chances que ça finisse écrasé contre ton corps de colosse, c’est entendu ? »
Ou comment le complimenter sans vraiment le faire. Parce que clairement que pour Alma, comparé Babal à un colosse, c’est un bon point. Et ouais, elle réalise qu’elle recommence à lui donner son surnom quand elle pense à lui. Une nouvelle preuve qu’elle l’aime…non, qu’elle l’APPRECIE. Il ne faudrait pas que les choses aillent trop vite. Alma ne veut pas d’une nouvelle connerie à ajouter à sa longue liste.
*Je lui parle du réseau des maisons magiques ? *
Elle écarquille brièvement les yeux. A quoi vient-elle de penser, putain ?! Hors de question.
« Je… il faudra que je prenne une douche. Mais seule, hein ! Parce que… parce que voilà. »
Dans une rue, il y a forcément des boutiques. Alma en voit une de fringue et rentre dedans presque comme une furie. Avec une majuscule, ça en jetterait probablement ! Elle va y acheter une culotte. Peut-être même aussi autre chose. En fait, ça pourrait dépendre de Babal. S’il entre ou non. Au pire, elle achètera un truc à l’identique et ils iront à l’hôtel du colosse pour manger.
Pendant qu’ils traversent le parc collé l’un à l’autre, Alma se pose mille questions au travers du regard des gens. Est-ce qu’elle apparait comme la pauvre fille ? Est-ce que son jeans présente une tâche honteuse à l’entre-jambe ? Est-ce que ses tétons pointent et la présentent comme une sorte de bimbo, genre qu’elle déteste ? Pourquoi ont-ils peur ? Elle ne trouve pas que Balthazar (Babal ?) fasse peur ? Ce serait donc elle ?
Et soudainement c’est le retour des bruits de la ville. Et elle doit se concentrer quand elle réalise que son… partenaire ? lui parle.
« La vodka c’est hors de question. »
Le ton est froid. La réponse a été cinglante. Mais les deux doivent déjà comprendre la suite. Ca n’a pas été un non catégorique. En fait, ça prouve déjà qu’elle le suivra. Ca l’agace. Ca se voit sur son visage. Puis elle reprend. C’est qu’elle n’a pas vraiment encore donné sa réponse.
« Avec ce que tu m’as fait subir, ouais, je crois que ce serait pertinent de ta part que je reprenne des forces. J’ose même pas te demander de quel genre de chaleur tu parles. On va dire que c’est le fait que tu me colles comme si j’avais perdu la capacité de marcher. »
Elle n’a pas du tout envie de reparler de sexe. Son corps n’est pas encore en phase avec son esprit. Si le premier aurait tendance à en redemander, le second veut à tout pris reprendre le contrôle de tout. De la situation. De son corps. Babal est un putain d’inconnu, OK ! Ouais… peut-être qu’Alma essaie de se mettre des œillères parce qu’elle… aurait la trouille ?
« Je veux un truc qui nourrit bien. Genre nouilles carbonara. Ou, non, pas un gros morceau de viande. Ou alors un bon gros hamburger de qualité. Si c’est froid ou si c’est mauvais, il y a des chances que ça finisse écrasé contre ton corps de colosse, c’est entendu ? »
Ou comment le complimenter sans vraiment le faire. Parce que clairement que pour Alma, comparé Babal à un colosse, c’est un bon point. Et ouais, elle réalise qu’elle recommence à lui donner son surnom quand elle pense à lui. Une nouvelle preuve qu’elle l’aime…non, qu’elle l’APPRECIE. Il ne faudrait pas que les choses aillent trop vite. Alma ne veut pas d’une nouvelle connerie à ajouter à sa longue liste.
*Je lui parle du réseau des maisons magiques ? *
Elle écarquille brièvement les yeux. A quoi vient-elle de penser, putain ?! Hors de question.
« Je… il faudra que je prenne une douche. Mais seule, hein ! Parce que… parce que voilà. »
Dans une rue, il y a forcément des boutiques. Alma en voit une de fringue et rentre dedans presque comme une furie. Avec une majuscule, ça en jetterait probablement ! Elle va y acheter une culotte. Peut-être même aussi autre chose. En fait, ça pourrait dépendre de Babal. S’il entre ou non. Au pire, elle achètera un truc à l’identique et ils iront à l’hôtel du colosse pour manger.
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Bon, l'expression des émotions n'était pas le fort d' Alma mais Balthazar ne pouvait pas le lui reprocher. Quand on vivait une vie décalée comme la sienne, il était normal de galérer sur des sujets inhabituels tel que les relations sociales. Mais son regard presque apeuré parlait pour elle. Elle aurait marcher dans une énorme merde de chien qu'elle aurait été plus assurée qu'à présent. Elle ne fuyait pas une évidence mais tentait de s'en préserver parce que , bordel, les choses devraient coller à sa manière d'être plutôt que de suivre l'appel profond de l'utérus déchainé (l' APUD).
Et puis elle était loin d'être solide sur ses pattes comme si son corps lui rappelait qu'elle était femme avant d'être tout ce qu'elle voulait bien imaginer. Balthazar doubla presque de volume quand elle laissa entendre un certain intérêt voilé sur sa plastique d'Alpha survitaminé, ce qui eut pour effet de raffermir sa poigne sur les hanches de la bombinette. Le jour où elle écarterait les cuisses pour lui, elle passerait la nuit suivante sur un toit à hurler comme une lycane en feu. Mais par respect et par qu'il la sentait hésitante ou confrontée à une lutte intérieure, il ne fit pas allusion à ce qu'il pourrait lui faire en matière de pilonnage et/ou de ramonage. Si elle avait besoin de temps, il pouvait bien attendre.
"Ok pour la vodka, on trouvera autre chose; et j'suis sûr que le chef italien de l'hôtel saura nous popoter ce dont u as envie."
Et l'hôtel, ils y arrivèrent, non pas enlacés mais suffisamment proches pour qu'on comprenne qu'ils partageaient déjà plus qu'un simple rendez vous autour d'un verre.
L'endroit était correct, très correct en fait. Etre un Noël procurait certains avantages et il avait toujours accès aux fonds de la famille; autant dire qu'il pouvait dépenser sans compter. On les accueillit avec du monsieur et du mademoiselle même si certains regards indiquaient que la présence d'une junkie dans un établissement aussi réputé était soumise à questionnement.
Pourtant, Balthazar avait suivi Alma dans la boutique et s'il n'avait pas eu son mot à dire sur la culotte, il avait choisi et offert à la brunette ténébreuse un ensemble cuir composé d'une mini jupe, d'un top minimaliste et d'un blouson court qui a son goût (et c'était vrai) lui allait parfaitement. Les cuissardes, c'était peut être trop mais une femme en cuissarde, c'est mortel. Il avait insisté, un cadeau étant un cadeau, et il avait rappelé à Alma qu'elle était une belle femme, en ces termes, ce qui faisait toujours plaisir.
Après, on aurait aussi pu les prendre pour un couple d’influenceurs ... Ils envoyaient du lourd et leur assurance n'avait d'égale que la méconnaissance des gens à leur égard.
La suite de Balthazar était à l'image de l'hôtel, au dernier étage, confortable et équipée pour soutenir un siège d'au moins cinq mois. Au room service, il commanda donc des pâtes Carbonara traditions et une côte de bœuf saignante sauce au poivre avec beaucoup de frites et peu de salade. Et pour boire, Alma fit son choix et lui commanda un élégant cocktail Old Fashioned parce qu'il le valait bien.
"Alors en attendant, la douche c'est par là. T'inquiètes pas, je ne viendrais pas te déranger. Je passerais après toi mais moi, si tu veux me déranger, c'est tout à fait possible."
Il se pinta dans un sofa profond et la regarda faire.
"Si tu as besoin de quoi que ce soit, tu m'appelles."
Et puis elle était loin d'être solide sur ses pattes comme si son corps lui rappelait qu'elle était femme avant d'être tout ce qu'elle voulait bien imaginer. Balthazar doubla presque de volume quand elle laissa entendre un certain intérêt voilé sur sa plastique d'Alpha survitaminé, ce qui eut pour effet de raffermir sa poigne sur les hanches de la bombinette. Le jour où elle écarterait les cuisses pour lui, elle passerait la nuit suivante sur un toit à hurler comme une lycane en feu. Mais par respect et par qu'il la sentait hésitante ou confrontée à une lutte intérieure, il ne fit pas allusion à ce qu'il pourrait lui faire en matière de pilonnage et/ou de ramonage. Si elle avait besoin de temps, il pouvait bien attendre.
"Ok pour la vodka, on trouvera autre chose; et j'suis sûr que le chef italien de l'hôtel saura nous popoter ce dont u as envie."
Et l'hôtel, ils y arrivèrent, non pas enlacés mais suffisamment proches pour qu'on comprenne qu'ils partageaient déjà plus qu'un simple rendez vous autour d'un verre.
L'endroit était correct, très correct en fait. Etre un Noël procurait certains avantages et il avait toujours accès aux fonds de la famille; autant dire qu'il pouvait dépenser sans compter. On les accueillit avec du monsieur et du mademoiselle même si certains regards indiquaient que la présence d'une junkie dans un établissement aussi réputé était soumise à questionnement.
Pourtant, Balthazar avait suivi Alma dans la boutique et s'il n'avait pas eu son mot à dire sur la culotte, il avait choisi et offert à la brunette ténébreuse un ensemble cuir composé d'une mini jupe, d'un top minimaliste et d'un blouson court qui a son goût (et c'était vrai) lui allait parfaitement. Les cuissardes, c'était peut être trop mais une femme en cuissarde, c'est mortel. Il avait insisté, un cadeau étant un cadeau, et il avait rappelé à Alma qu'elle était une belle femme, en ces termes, ce qui faisait toujours plaisir.
Après, on aurait aussi pu les prendre pour un couple d’influenceurs ... Ils envoyaient du lourd et leur assurance n'avait d'égale que la méconnaissance des gens à leur égard.
La suite de Balthazar était à l'image de l'hôtel, au dernier étage, confortable et équipée pour soutenir un siège d'au moins cinq mois. Au room service, il commanda donc des pâtes Carbonara traditions et une côte de bœuf saignante sauce au poivre avec beaucoup de frites et peu de salade. Et pour boire, Alma fit son choix et lui commanda un élégant cocktail Old Fashioned parce qu'il le valait bien.
"Alors en attendant, la douche c'est par là. T'inquiètes pas, je ne viendrais pas te déranger. Je passerais après toi mais moi, si tu veux me déranger, c'est tout à fait possible."
Il se pinta dans un sofa profond et la regarda faire.
"Si tu as besoin de quoi que ce soit, tu m'appelles."
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
« Tu m’as pris pour une pute ?! »
Alma regardait avec des yeux ronds de surprise la proposition de Babal. La mini jupe portait bien son nom. C’était sur et certain qu’au moindre de ses mouvements, tout le monde verrait tout. A quoi ça servait alors ? Autant se promener en culotte directement ! Le pire avait probablement été les cuissardes. Ces espèces de longues trucs qui pendouillaient dans les bras du colosse. Ca paraissait inconfortable au possible.
« Un cadeau ? Ca ? »
L’incompréhensible avait suivi. Par une sorte de miracle, rien n’était arrivé dans la gueule de Babal. Tout avait été soigneusement rangé dans un premier sac. Tout, vraiment. La mini jupe, le reste et les cuissardes. Il fallait qu’Alma soit honnête avec elle-même. Le blouson de cuir noir était vraiment dans son style. Le reste ? Elle n’avait qu’une envie, y foutre le feu. Et pourtant, elle avait tout ramené à l’hôtel luxueux. Ca et un deuxième sac avec une copie quasi confirme à ce qu’elle portait. Dans le genre propre et pas souillé de quelques liquides que ce soit.
Vêtements qu’elle allait pouvoir quitter étant donné qu’elle se trouvait dans une chambre qui la mettait mal à l’aise. Trop grand. Trop spacieux. Trop luxueux. Trop éclairé. Trop tout. Elle fit la moue. Encore une grimace quand le colosse revint à la charge avec sa séduction. Mais elle ne lui répondit pas par la négative. Certainement pas par la positive ! Mais c’était déjà révélateur. Elle commanda de la flotte et une de ces boissons énergétiques. Hors de question pour elle de s’enivrer et de perdre le contrôle au côté de Babal. Déjà qu’il lui faudrait vérifier qu’il ne verserait rien dans ce qu’elle boirait. Même si elle lui faisait confiance (et elle ne comprenait pas d’où ça venait, mais savait son instinct fiable), elle ne pouvait s’empêcher de l’imaginer se trimballer avec du GHB ou la drogue du violeur ou elle ne savait le nom.
« Je reviens. »
Elle s’enferma dans la douche. Elle resta comme une conne de longues secondes devant le verrou. Qu’elle laissa en paix. Ses doigts ne purent se refermer pour lui donner une sorte de sécurité.
*De toute façon, il pourrait déglinguer la porte s’il le voulait. *
Elle s’en alla sous la douche après s’être déshabillée et laisser les vêtements par terre. L’eau était parfois froide. Parfois chaude. Même pour ça, elle ne savait pas ce qu’elle désirait. Par contre, il y avait un autre type de désir logé entre ses cuisses. Et elle se retrouve en train de se frotter comme une folle furieuse sous l’eau.
*Bordel mais tu vas jouir ou quoi ?! *
La jouissance ne lui fut pas accordé. Elle ressortit de la douche propre mais frustrée. Le colosse avait du lancer un sort…
« A ton tour… » lâche-t-elle grognonne. Et absolument pas dans les vêtements qu’il avait choisi.
Elle avait d’ailleurs oublié le sac dans la salle de bain. Pas tant un vrai oubli. En réalité, elle avait essayé les cadeaux de Babal et s’était regardé dans un immense miroir. Peut-être que le talon de la cuissarde avait causé un impact…
Quand il ressortit de la salle de bains, la télévision était allumée sur la chaîne des informations. Alma s’en foutait quasi royalement. Mais elle avait préféré ça plutôt que l’attente en silence. Aussi peut-être pour masque les bruits du colosse sous la douche. Ou ne pas entendre son appel s’il avait essayé.
« J’ai vu passer tout à l’heure une intervention super-héroïque. Tu as déjà voulu te retrouver enfermé dans une tenue moulante et taper sur des gens ? Je veux dire, ça parait un plan pas débile pour être violent et se faire applaudir tout en gardant son identité secrète derrière un masque ou un casque ou je ne sais quoi. »
Quand elle posa la question, Alma était dans un fauteuil assise en tailleur.
Alma regardait avec des yeux ronds de surprise la proposition de Babal. La mini jupe portait bien son nom. C’était sur et certain qu’au moindre de ses mouvements, tout le monde verrait tout. A quoi ça servait alors ? Autant se promener en culotte directement ! Le pire avait probablement été les cuissardes. Ces espèces de longues trucs qui pendouillaient dans les bras du colosse. Ca paraissait inconfortable au possible.
« Un cadeau ? Ca ? »
L’incompréhensible avait suivi. Par une sorte de miracle, rien n’était arrivé dans la gueule de Babal. Tout avait été soigneusement rangé dans un premier sac. Tout, vraiment. La mini jupe, le reste et les cuissardes. Il fallait qu’Alma soit honnête avec elle-même. Le blouson de cuir noir était vraiment dans son style. Le reste ? Elle n’avait qu’une envie, y foutre le feu. Et pourtant, elle avait tout ramené à l’hôtel luxueux. Ca et un deuxième sac avec une copie quasi confirme à ce qu’elle portait. Dans le genre propre et pas souillé de quelques liquides que ce soit.
Vêtements qu’elle allait pouvoir quitter étant donné qu’elle se trouvait dans une chambre qui la mettait mal à l’aise. Trop grand. Trop spacieux. Trop luxueux. Trop éclairé. Trop tout. Elle fit la moue. Encore une grimace quand le colosse revint à la charge avec sa séduction. Mais elle ne lui répondit pas par la négative. Certainement pas par la positive ! Mais c’était déjà révélateur. Elle commanda de la flotte et une de ces boissons énergétiques. Hors de question pour elle de s’enivrer et de perdre le contrôle au côté de Babal. Déjà qu’il lui faudrait vérifier qu’il ne verserait rien dans ce qu’elle boirait. Même si elle lui faisait confiance (et elle ne comprenait pas d’où ça venait, mais savait son instinct fiable), elle ne pouvait s’empêcher de l’imaginer se trimballer avec du GHB ou la drogue du violeur ou elle ne savait le nom.
« Je reviens. »
Elle s’enferma dans la douche. Elle resta comme une conne de longues secondes devant le verrou. Qu’elle laissa en paix. Ses doigts ne purent se refermer pour lui donner une sorte de sécurité.
*De toute façon, il pourrait déglinguer la porte s’il le voulait. *
Elle s’en alla sous la douche après s’être déshabillée et laisser les vêtements par terre. L’eau était parfois froide. Parfois chaude. Même pour ça, elle ne savait pas ce qu’elle désirait. Par contre, il y avait un autre type de désir logé entre ses cuisses. Et elle se retrouve en train de se frotter comme une folle furieuse sous l’eau.
*Bordel mais tu vas jouir ou quoi ?! *
La jouissance ne lui fut pas accordé. Elle ressortit de la douche propre mais frustrée. Le colosse avait du lancer un sort…
« A ton tour… » lâche-t-elle grognonne. Et absolument pas dans les vêtements qu’il avait choisi.
Elle avait d’ailleurs oublié le sac dans la salle de bain. Pas tant un vrai oubli. En réalité, elle avait essayé les cadeaux de Babal et s’était regardé dans un immense miroir. Peut-être que le talon de la cuissarde avait causé un impact…
Quand il ressortit de la salle de bains, la télévision était allumée sur la chaîne des informations. Alma s’en foutait quasi royalement. Mais elle avait préféré ça plutôt que l’attente en silence. Aussi peut-être pour masque les bruits du colosse sous la douche. Ou ne pas entendre son appel s’il avait essayé.
« J’ai vu passer tout à l’heure une intervention super-héroïque. Tu as déjà voulu te retrouver enfermé dans une tenue moulante et taper sur des gens ? Je veux dire, ça parait un plan pas débile pour être violent et se faire applaudir tout en gardant son identité secrète derrière un masque ou un casque ou je ne sais quoi. »
Quand elle posa la question, Alma était dans un fauteuil assise en tailleur.
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Alma qui entrait dans une salle de bain, ça pouvait donner des idées. Quand elle referma la porte, Balthazar se dit que ce devait être un bien joli spectacle que de la regarder prendre sa douche langoureusement, d'observer ses mains glisser sur ses courbes tandis que d'un mouvement de tête travaillé, elle ôterait de sa courte chevelure de jais le surplus d'eau qui s'y serait apposé. Ah ... l'imagination masculine dans toute sa splendeur ... Qu'elle porte des vêtements ou pas, balthazar imaginait très bien le corps d'Alma comme s'il l'avait disponible immédiatement et juste pour lui.
Mais comme la jeune femme lui faisait de l'effet et qu'il n'avait pas envie de se laisser aller à des réactions de gros beauf, il ne fit pas un mouvement vers la porte qui venait de se refermer. Son oreille d'expert nota que le verrou restait ouvert donc la brunette lui faisait suffisamment confiance pour ne pas mettre en mode défense tous ses systèmes de sécurité personnels.
L'homme attendit un peu, beaucoup ... Elle prenait son temps mais il ne pouvait pas le lui reprocher. Même s'il pouvait s'adonner à des pratiques sales avec certaines partenaires adeptes des trucs bizarres, Balthazar ne supportait pas la crasse. Un crotte de nez écrasée sur un miroir dans un chiotte publique pouvait le faire dégueuler sans préavis ... alors ne parlons pas du chiotte en lui-même ...
Quand elle sortit, elle sentait bon et même si on pouvait considérer son air renfrogné comme une possible provocation, Balthazar lut derrière ce joli visage fermé une page de vie bien plus intéressante que ce qu'il paraissait. Certains signes ne trompaient pas! Sans évoquer la liberté de leur incartade au parc, Alma ouvrait doucement la coquille qui avait dû la protéger de tout et n'importe quoi pendant un moment.
Il se déplia de son fauteuil qui paraissait ridiculement petit maintenant qu'il était debout. Quand il était seul, Balthazar se trimballait à poil dans sa suite mais cela ne se ferait pas, pas tout de suit en tout cas. Lui aussi laissa le verrou ouvert et il se frictionna longtemps sous une eau brulante au début et glacée en fin de cycle, habitude de Laponie ... Le sac d'Alma dans lequel il jeta un coup d’œil avait servi et il sourit à l'idée de voir sa noiraude de compagne fringuée comme une bombe nocturne.
Il sortit portant un baggy taille basse et un débardeur. Alors ouais, un débardeur avec lui, c'était tout de suite très serré et expressif puisqu'il n'en existait pas à sa taille ni à sa forme. Donc question révélation, la faiblesse du tissu accentuait chacun des mouvements de ses muscles et ses pectoraux et ses épaules semblaient près à exploser. Quand à ses abdos, on pourrait en remplir les sillons de chantilly ... Les cheveux encore humides peignés en arrière, n'importe quel acteur porno italien rougirait de honte à ses côtés. Alors pantalon baissé, il provoquerait une foultitude de suicides dans les rangs de ses concurrents ...
Il n'hésita pas à s’installer à côté d'elle, pas trop près mais pas trop loin non plus, en face de la télé, puisqu'elle l'avait allumée. Son poids jouait pour lui puisque la partie d'Alma pencha vers lui.
"Non, moi les moule-bites et les capes, c'est pas mon truc, surtout quand c'est trop voyant genre rouge ou bleu hein. Et puis j'ai pas besoin de cacher mon visage, j'assume quand je fais quelque chose. Après, être violent, je cours pas après mais si y'a moyen de s'éclater à distribue rune bonne dérouillée sur une bande de crapauds foireux, comme les trouducs de tout à l'heure, je dis pas non. Pourquoi? Tu m'en veux pour les fringues? Tu veux me voir porter un slip rouge?"
Eeerk, l'image dégueulasse ... Mais au moins, il était épilé de près donc pas de soucis côté fourrage avec lui.
Il ne regardait pas la télé mais il la regardait elle. Autant dire qu'elle avait l'air d’être super à l'aise et il se demanda ce qui pouvait vraiment la détendre ... Un doigt dans le cul ? Hum ... pas sûr quoique ...
En tout cas ils étaient tous les deux sur ce canapé comme deux ados qui se matent mais qui ne font nullement le premier pas.
"Alma ... Tu me plais. T'es parfaite comme tu es, viens voir."
Il lui tendit la main, et l'emmena devant un grand miroir allant du sol au plafond. Il se cala derrière elle, ils allaient bien ensemble, sûr!
"Comment tu te vois là?"
Il posa ses grosses mains sur ses hanches à elle, peau contre peau. L'espace entre eux était réduit. Si elle reculait ... oups ... Et si elle se retournait, ses tétons frotterait électriquement contre son torse à lui.
Mais comme la jeune femme lui faisait de l'effet et qu'il n'avait pas envie de se laisser aller à des réactions de gros beauf, il ne fit pas un mouvement vers la porte qui venait de se refermer. Son oreille d'expert nota que le verrou restait ouvert donc la brunette lui faisait suffisamment confiance pour ne pas mettre en mode défense tous ses systèmes de sécurité personnels.
L'homme attendit un peu, beaucoup ... Elle prenait son temps mais il ne pouvait pas le lui reprocher. Même s'il pouvait s'adonner à des pratiques sales avec certaines partenaires adeptes des trucs bizarres, Balthazar ne supportait pas la crasse. Un crotte de nez écrasée sur un miroir dans un chiotte publique pouvait le faire dégueuler sans préavis ... alors ne parlons pas du chiotte en lui-même ...
Quand elle sortit, elle sentait bon et même si on pouvait considérer son air renfrogné comme une possible provocation, Balthazar lut derrière ce joli visage fermé une page de vie bien plus intéressante que ce qu'il paraissait. Certains signes ne trompaient pas! Sans évoquer la liberté de leur incartade au parc, Alma ouvrait doucement la coquille qui avait dû la protéger de tout et n'importe quoi pendant un moment.
Il se déplia de son fauteuil qui paraissait ridiculement petit maintenant qu'il était debout. Quand il était seul, Balthazar se trimballait à poil dans sa suite mais cela ne se ferait pas, pas tout de suit en tout cas. Lui aussi laissa le verrou ouvert et il se frictionna longtemps sous une eau brulante au début et glacée en fin de cycle, habitude de Laponie ... Le sac d'Alma dans lequel il jeta un coup d’œil avait servi et il sourit à l'idée de voir sa noiraude de compagne fringuée comme une bombe nocturne.
Il sortit portant un baggy taille basse et un débardeur. Alors ouais, un débardeur avec lui, c'était tout de suite très serré et expressif puisqu'il n'en existait pas à sa taille ni à sa forme. Donc question révélation, la faiblesse du tissu accentuait chacun des mouvements de ses muscles et ses pectoraux et ses épaules semblaient près à exploser. Quand à ses abdos, on pourrait en remplir les sillons de chantilly ... Les cheveux encore humides peignés en arrière, n'importe quel acteur porno italien rougirait de honte à ses côtés. Alors pantalon baissé, il provoquerait une foultitude de suicides dans les rangs de ses concurrents ...
Il n'hésita pas à s’installer à côté d'elle, pas trop près mais pas trop loin non plus, en face de la télé, puisqu'elle l'avait allumée. Son poids jouait pour lui puisque la partie d'Alma pencha vers lui.
"Non, moi les moule-bites et les capes, c'est pas mon truc, surtout quand c'est trop voyant genre rouge ou bleu hein. Et puis j'ai pas besoin de cacher mon visage, j'assume quand je fais quelque chose. Après, être violent, je cours pas après mais si y'a moyen de s'éclater à distribue rune bonne dérouillée sur une bande de crapauds foireux, comme les trouducs de tout à l'heure, je dis pas non. Pourquoi? Tu m'en veux pour les fringues? Tu veux me voir porter un slip rouge?"
Eeerk, l'image dégueulasse ... Mais au moins, il était épilé de près donc pas de soucis côté fourrage avec lui.
Il ne regardait pas la télé mais il la regardait elle. Autant dire qu'elle avait l'air d’être super à l'aise et il se demanda ce qui pouvait vraiment la détendre ... Un doigt dans le cul ? Hum ... pas sûr quoique ...
En tout cas ils étaient tous les deux sur ce canapé comme deux ados qui se matent mais qui ne font nullement le premier pas.
"Alma ... Tu me plais. T'es parfaite comme tu es, viens voir."
Il lui tendit la main, et l'emmena devant un grand miroir allant du sol au plafond. Il se cala derrière elle, ils allaient bien ensemble, sûr!
"Comment tu te vois là?"
Il posa ses grosses mains sur ses hanches à elle, peau contre peau. L'espace entre eux était réduit. Si elle reculait ... oups ... Et si elle se retournait, ses tétons frotterait électriquement contre son torse à lui.
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
Les super-héros, Alma les trouvait déjà ridicule en temps normal. Mais quand Balthazar en parla, ça la conforta dans son idée. Lui aurait surement aimé dire que ça leur faisait un nouveau point commun. Elle préféra se conforter dans son silence. Et puis, il avait encore des choses à lui dire le colosse. Et elle n’allait pas lui dire de fermer sa gueule. Ils étaient dans sa suite à lui. Et elle avait accepté d’y aller. Elle n’avait pas été drogué et bâillonné. Peut-être que ça aussi c’était un de ses fantasmes. Elle n’allait certainement pas lui demander !
Ce fut si concis et si direct que ça provoqua presque comme un coup de poing dans le ventre. L’étape suivante c’était quoi ? Une déclaration d’amour « pur » ? Puis le genou à terre et la demande en mariage ?!
Et pourtant elle lui prit sa main. Ses yeux se perdirent dans les vallées et collines provoquées par son impressionnante musculature mis en relief par le débardeur moulant. Ca ne cachait pas assez. Ca ne dissimulait pas assez. Il y avait cette notion de secret sans y être. C’était terrible pour un petit cerveau.
Devant ce miroir, elle n’était pas à l’aise. Elle s’était déjà observée. Elle était de toute façon trop nombriliste pour ne pas y échapper. Mais avec le colosse dans son dos, la sensation n’était pas là même. Ca allait trop vite ! Et pourtant, il ne se passait pas grand-chose. Ce qui signifiait que c’était sa tête qui carburait à deux-cent à l’heure.
« Petite. »
Elle s’en voulut d’avoir légèrement sursauté en sentant ses grosses mains sur ses hanches qui lui paraissaient, maintenant, petites aussi.
« Inférieure… »
Et Alma détestait être faible.
« Faible… »
Elle le lui dit. Ce qui était un nouveau signe d’attachement. C’est que ça lui retournait le bide et lui donnait une sensation de vouloir gerber. Elle n’avait pourtant pas ses trucs de fille. Et l’idée d’avoir des papillons coincés dans le ventre lui donnait envie de faire un carnage. Si elle crachait un arc-en-ciel, elle allait se défoncer sa propre gueule !!
« Et toi je te vois. Grand. Musclé. Mis en valeur par la flotte. Tu me donnes l’impression d’avoir atteint ton plein potentiel. Je t’en veux pour ça. C’est moche mais c’est de la jalousie. Et en même temps, c’est ce que je souhaite pour tout le monde. En tout cas, déjà pour moi et celles qui me sont chères. Putain ! Pourquoi je me mets à te raconter ma vie et mes rêves ?! »
Il avait une emprise sur elle, c’était indéniable. Et elle se retrouvait au milieu de ce champ de bataille. Entre se laisser aller et poursuivre la résistance. Elle ne savait pas. Elle n’avait pas prévu cet « imprévu » dans sa vie. Pas qu’elle était du genre prévoyante. Oh que non ! Mais tout de même. Elle n’était pas bonne menteuse. Elle pensait à sa famille. A leurs réactions. A Maman Shayne. Et surtout sa réaction à elle ! C’est que Babal pourrait finir confettiser si elle apprennait pour lui et elle. Hors de question ! Elle…
« Oh ! Oh ?... »
*Je le veux ?... *
« Moi je ne suis pas parfaite ! »
En se retournant, elle buta sur sa « chose ». Son « serpent ». Son GROS serpent. Puis son doigt l’accusa tandis que son autre main était allée se poser sur sa propre hanche. Virant ainsi les deux siennes.
« J’ai un caractère de merde. Je ne sais pas trop où je vais. Tout ce que j’entreprends finit en catastrophe. J’ai des pouvoirs et aucune maîtrise. Alors arrête de me dire que je suis parfaite : JE NE LE SUIS PAS ! Alors vire tes abdos parfaites de ma vue ! Et tu peux garder tes bottes de pute ! »
Est-ce qu’elle allait partir soudainement ? Probablement…
Ce fut si concis et si direct que ça provoqua presque comme un coup de poing dans le ventre. L’étape suivante c’était quoi ? Une déclaration d’amour « pur » ? Puis le genou à terre et la demande en mariage ?!
Et pourtant elle lui prit sa main. Ses yeux se perdirent dans les vallées et collines provoquées par son impressionnante musculature mis en relief par le débardeur moulant. Ca ne cachait pas assez. Ca ne dissimulait pas assez. Il y avait cette notion de secret sans y être. C’était terrible pour un petit cerveau.
Devant ce miroir, elle n’était pas à l’aise. Elle s’était déjà observée. Elle était de toute façon trop nombriliste pour ne pas y échapper. Mais avec le colosse dans son dos, la sensation n’était pas là même. Ca allait trop vite ! Et pourtant, il ne se passait pas grand-chose. Ce qui signifiait que c’était sa tête qui carburait à deux-cent à l’heure.
« Petite. »
Elle s’en voulut d’avoir légèrement sursauté en sentant ses grosses mains sur ses hanches qui lui paraissaient, maintenant, petites aussi.
« Inférieure… »
Et Alma détestait être faible.
« Faible… »
Elle le lui dit. Ce qui était un nouveau signe d’attachement. C’est que ça lui retournait le bide et lui donnait une sensation de vouloir gerber. Elle n’avait pourtant pas ses trucs de fille. Et l’idée d’avoir des papillons coincés dans le ventre lui donnait envie de faire un carnage. Si elle crachait un arc-en-ciel, elle allait se défoncer sa propre gueule !!
« Et toi je te vois. Grand. Musclé. Mis en valeur par la flotte. Tu me donnes l’impression d’avoir atteint ton plein potentiel. Je t’en veux pour ça. C’est moche mais c’est de la jalousie. Et en même temps, c’est ce que je souhaite pour tout le monde. En tout cas, déjà pour moi et celles qui me sont chères. Putain ! Pourquoi je me mets à te raconter ma vie et mes rêves ?! »
Il avait une emprise sur elle, c’était indéniable. Et elle se retrouvait au milieu de ce champ de bataille. Entre se laisser aller et poursuivre la résistance. Elle ne savait pas. Elle n’avait pas prévu cet « imprévu » dans sa vie. Pas qu’elle était du genre prévoyante. Oh que non ! Mais tout de même. Elle n’était pas bonne menteuse. Elle pensait à sa famille. A leurs réactions. A Maman Shayne. Et surtout sa réaction à elle ! C’est que Babal pourrait finir confettiser si elle apprennait pour lui et elle. Hors de question ! Elle…
« Oh ! Oh ?... »
*Je le veux ?... *
« Moi je ne suis pas parfaite ! »
En se retournant, elle buta sur sa « chose ». Son « serpent ». Son GROS serpent. Puis son doigt l’accusa tandis que son autre main était allée se poser sur sa propre hanche. Virant ainsi les deux siennes.
« J’ai un caractère de merde. Je ne sais pas trop où je vais. Tout ce que j’entreprends finit en catastrophe. J’ai des pouvoirs et aucune maîtrise. Alors arrête de me dire que je suis parfaite : JE NE LE SUIS PAS ! Alors vire tes abdos parfaites de ma vue ! Et tu peux garder tes bottes de pute ! »
Est-ce qu’elle allait partir soudainement ? Probablement…
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Alma était un concentré d'émotions contradictoires, un véritable chaos inachevé de ce qui aurait pu être une jolie petite tulipe noire. L'expression de son visage était suffisante pour deviner ce qui se passait dans cette petite tête. La volonté d'avancer et de découvrir ce heurtait à une incertitude maladive et à des expectatives contraires à ce qui se profilait.
C'était adorable ...
Mais cela, Balthazar ne le lui dit pas. Adorable n'était pas un terme qu'Alma était prête à accepter, c'était évident. Mais il y avait toujours, même ténue, dans les profondeurs de ses pupilles, une étincelle palpitante qui trahissait les propos que la jeune femme tenait. Quelque chose en elle fourmillait, avide de s'extérioriser. Et cette lueur, c'est tout ce dont Balthazar avait besoin. Tant qu'elle existerait, il aurait un passage vers une Alma cachée qui cherchait à remonter à la surface, comme prisonnière d'un gouffre sans fond.
Elle fut honnête, et s'il y avait eu un autre homme que lui tenant Alma par les hanches, celui-ci aurait été choqué. Les mots qu'elle prononça semblaient être crachés comme une insulte à elle-même. Ce qu'elle voyait dans ce miroir semblait l'écœurer alors qu'au contraire, si elle ouvrait un peu plus les yeux, elle y verrait un avenir se profilant.
Balthazar la laissa s'énerver, attendit que l'orage accusateur passe, et que la complainte du petit être torturé se tarisse aussi. Elle voulait fuir, s'extraire à la réalité, rejoindre le labyrinthe ingérable de esprit? Qu'elle le fasse mais ... elle ne fut pas assez rapide.
Le colosse l'attrapa au vol et la fit pivoter vers lui.
"Tais toi ... Alors dans ce cas, tu es la meilleure des catastrophes qui me soit tomber dessus"
Il fit un pas en avant et l'écrasa entre un mur et son corps massif. Il la souleva pour qu'ils soient à la même hauteur et il écrasa bouche contre ses lèvres. Son bassin vint se verrouiller au sien et s'ils avaient été dévêtus, il l'aurait pénétré d'un seul trait, avec l'option probable d'enfoncer son gros gland jusqu'au fond de son utérus ... tant que cela aurait été de ce côté-ci ... Néanmoins, Alma ne pouvait pas ignorer la grosseur et la force de ce qu'elle enflammait.
Ses lèvres étaient sèches mais Balthazar les humidifia très vite.
Son corps était tendu mais il passa ses mains sous son haut pour imposer une pression à ses seins.
Elle pouvait se défaire de sa poigne mais il leva un genou pour a bloquer contre ce foutu mur.
Elle avait ce regard de mort auquel il répondit par un regard de feu.
Balthazar chercha sa langue pour une réponse identique. il ne fut pas tendre avec sa poitrine car cela n'aurait pas été correct. Leurs dents se choquèrent mais se fut pour lui comme le gong du commencement d'une longue escalade épuisante.
Ce qu'il lui murmura aussi à l'oreille n'était pas un compliment mais pouvait être interprété de la manière qu'on voulait, sans tenir compte nécessairement de la vulgarité brute, voulue, et surement partagée de certains mots.
C'était adorable ...
Mais cela, Balthazar ne le lui dit pas. Adorable n'était pas un terme qu'Alma était prête à accepter, c'était évident. Mais il y avait toujours, même ténue, dans les profondeurs de ses pupilles, une étincelle palpitante qui trahissait les propos que la jeune femme tenait. Quelque chose en elle fourmillait, avide de s'extérioriser. Et cette lueur, c'est tout ce dont Balthazar avait besoin. Tant qu'elle existerait, il aurait un passage vers une Alma cachée qui cherchait à remonter à la surface, comme prisonnière d'un gouffre sans fond.
Elle fut honnête, et s'il y avait eu un autre homme que lui tenant Alma par les hanches, celui-ci aurait été choqué. Les mots qu'elle prononça semblaient être crachés comme une insulte à elle-même. Ce qu'elle voyait dans ce miroir semblait l'écœurer alors qu'au contraire, si elle ouvrait un peu plus les yeux, elle y verrait un avenir se profilant.
Balthazar la laissa s'énerver, attendit que l'orage accusateur passe, et que la complainte du petit être torturé se tarisse aussi. Elle voulait fuir, s'extraire à la réalité, rejoindre le labyrinthe ingérable de esprit? Qu'elle le fasse mais ... elle ne fut pas assez rapide.
Le colosse l'attrapa au vol et la fit pivoter vers lui.
"Tais toi ... Alors dans ce cas, tu es la meilleure des catastrophes qui me soit tomber dessus"
Il fit un pas en avant et l'écrasa entre un mur et son corps massif. Il la souleva pour qu'ils soient à la même hauteur et il écrasa bouche contre ses lèvres. Son bassin vint se verrouiller au sien et s'ils avaient été dévêtus, il l'aurait pénétré d'un seul trait, avec l'option probable d'enfoncer son gros gland jusqu'au fond de son utérus ... tant que cela aurait été de ce côté-ci ... Néanmoins, Alma ne pouvait pas ignorer la grosseur et la force de ce qu'elle enflammait.
Ses lèvres étaient sèches mais Balthazar les humidifia très vite.
Son corps était tendu mais il passa ses mains sous son haut pour imposer une pression à ses seins.
Elle pouvait se défaire de sa poigne mais il leva un genou pour a bloquer contre ce foutu mur.
Elle avait ce regard de mort auquel il répondit par un regard de feu.
Balthazar chercha sa langue pour une réponse identique. il ne fut pas tendre avec sa poitrine car cela n'aurait pas été correct. Leurs dents se choquèrent mais se fut pour lui comme le gong du commencement d'une longue escalade épuisante.
Ce qu'il lui murmura aussi à l'oreille n'était pas un compliment mais pouvait être interprété de la manière qu'on voulait, sans tenir compte nécessairement de la vulgarité brute, voulue, et surement partagée de certains mots.
Modifié en dernier par Balthazar Noël le 13 nov. 2025 14:44, modifié 1 fois.
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
« La meilleure des catastrophes qui lui soit tombé dessus » ? Ce devait être un genre de manœuvre romantique ?!
En tout cas, quand il la choppa sans ménagement, ses lianes de Vert sortirent de ses poignets comme si le « Grand » Balthazar avait foutu son pied dans un nid de serpent. Les lianes de Vert, une partie du pouvoir d’Alma, avait justement tendance à onduler dans les airs comme l’animal susmentionné. (NON ! Pas sus dans le sens où Alma allait lui pomper le dard. Bordel que cette écriture devenait familière à cause du mauvais caractère de la pseudo petite gothique…)
Ce fut ensuite une déclaration de guerre. Alma fut pendue haut et court. Elle fut soumise au silence. Aucun mot ne pouvait sortir de ses lèvres déjà occupées par l’envahisseur. Puis ce fut la première passe d’arme. Heureusement que l’ennemi était en armure autrement, Alma aurait reçu un puissant (gros ?!) coup entre ces cuisses. Ne détaillons pas encore à quel point cela pourrait être zone inondable ou non…
Et c’était loin d’être la fin de la manœuvre ennemie. Babal lui pétrissait le sein. Il y avait quelque chose et le descriptif de délicat n’y corroborait pas du tout. Sans compter ce coup de genou qui était à la limite d’une technique d’art martial pour lui couper le souffle. Tout était manœuvre à la guerre dans le petit cerveau embrumé d’Alma.
Sa langue cherchait à éviter celle du colosse. Et dans ce jeu d’évitement, elle ne faisait que plonger plus profondément dans le stupre qu’il recherchait. (ne parlons pas de ses désirs compliqués…) Elle préféré se concentrer sur l’impact de leurs dents. Ca sonnait à nouveau comme une joute. Et elle ne comptait pas perdre. Si elle le pouvait, elle irait même jusqu’à le mordre. Avaler son sang lui paraissait un trophée excitant. Presque touchant au fanatisme !
« Enculé ! »
Les insultes pouvaient être terribles parfois. Alors qu’elle avait réagi sans réfléchir (combien de fois lui avait-on pourtant dit de tourner sept fois sa langue dans sa bouche ? Mais là, précisément, ce n’était pas une manœuvre à appliquer à l’ennemi. Il aurait aimé !!), elle réalisa le sens que pouvait avoir ce mot. Elle eut un flash de ses fesses musclées. Et un souvenir de cette sensation quand cette… « chose » l’avait percuté juste avant.
« Va te faire foutre, colosse !! »
Et pourtant, elle était toujours « prisonnière » de son emprise. Etait-elle faible ? Un coup de mou ? Ou… oui, Alma. Le voulait-elle ? Etait-ce le moment de faire tomber l’armure et d’exposer son petit cœur mou. Et tant d’autres choses que le Babal voulait mirer, toucher et pervertir.
Elle se débattit. Des bras. Des jambes. Des pieds, aussi. Ce n’était absolument pas une fétichiste de ce genre de membres. Mais il fallait avouer que, pour cette situation, c’était le meilleur moyen de faire glisser le baggy et d’exposer, peu importe le nom de long serpent qu’il avait déjà pu donner. Le résultat était celui-là : Alma était retenue dans l’étau d’un Babal à qui on venait de déballer sa si précieuse marchandise. Conscient ou inconscient, peut-être qu’Alma allait vraiment devoir faire face aux conséquences de ces actions.
En tout cas, quand il la choppa sans ménagement, ses lianes de Vert sortirent de ses poignets comme si le « Grand » Balthazar avait foutu son pied dans un nid de serpent. Les lianes de Vert, une partie du pouvoir d’Alma, avait justement tendance à onduler dans les airs comme l’animal susmentionné. (NON ! Pas sus dans le sens où Alma allait lui pomper le dard. Bordel que cette écriture devenait familière à cause du mauvais caractère de la pseudo petite gothique…)
Ce fut ensuite une déclaration de guerre. Alma fut pendue haut et court. Elle fut soumise au silence. Aucun mot ne pouvait sortir de ses lèvres déjà occupées par l’envahisseur. Puis ce fut la première passe d’arme. Heureusement que l’ennemi était en armure autrement, Alma aurait reçu un puissant (gros ?!) coup entre ces cuisses. Ne détaillons pas encore à quel point cela pourrait être zone inondable ou non…
Et c’était loin d’être la fin de la manœuvre ennemie. Babal lui pétrissait le sein. Il y avait quelque chose et le descriptif de délicat n’y corroborait pas du tout. Sans compter ce coup de genou qui était à la limite d’une technique d’art martial pour lui couper le souffle. Tout était manœuvre à la guerre dans le petit cerveau embrumé d’Alma.
Sa langue cherchait à éviter celle du colosse. Et dans ce jeu d’évitement, elle ne faisait que plonger plus profondément dans le stupre qu’il recherchait. (ne parlons pas de ses désirs compliqués…) Elle préféré se concentrer sur l’impact de leurs dents. Ca sonnait à nouveau comme une joute. Et elle ne comptait pas perdre. Si elle le pouvait, elle irait même jusqu’à le mordre. Avaler son sang lui paraissait un trophée excitant. Presque touchant au fanatisme !
« Enculé ! »
Les insultes pouvaient être terribles parfois. Alors qu’elle avait réagi sans réfléchir (combien de fois lui avait-on pourtant dit de tourner sept fois sa langue dans sa bouche ? Mais là, précisément, ce n’était pas une manœuvre à appliquer à l’ennemi. Il aurait aimé !!), elle réalisa le sens que pouvait avoir ce mot. Elle eut un flash de ses fesses musclées. Et un souvenir de cette sensation quand cette… « chose » l’avait percuté juste avant.
« Va te faire foutre, colosse !! »
Et pourtant, elle était toujours « prisonnière » de son emprise. Etait-elle faible ? Un coup de mou ? Ou… oui, Alma. Le voulait-elle ? Etait-ce le moment de faire tomber l’armure et d’exposer son petit cœur mou. Et tant d’autres choses que le Babal voulait mirer, toucher et pervertir.
Elle se débattit. Des bras. Des jambes. Des pieds, aussi. Ce n’était absolument pas une fétichiste de ce genre de membres. Mais il fallait avouer que, pour cette situation, c’était le meilleur moyen de faire glisser le baggy et d’exposer, peu importe le nom de long serpent qu’il avait déjà pu donner. Le résultat était celui-là : Alma était retenue dans l’étau d’un Babal à qui on venait de déballer sa si précieuse marchandise. Conscient ou inconscient, peut-être qu’Alma allait vraiment devoir faire face aux conséquences de ces actions.
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Ce n'est pas un courant d'air frais qui informa Balthazar que son paquet venait d'être déballé mais la liberté que celui-ci venait de gagner en émergeant hors de son contenant, maladroitement baissé par une Alma mi-furibarde mi-transportée par un truc très définissable: l'appel du cul. Et pour reprendre quelques vers d'une chanson paillarde: " ... et quand on se fout dedans, la rage du cul nous prend ... tout rouge" ... Ils en étaient là à se frotter, se bécquoter, se promettre par une gestuelle primale tous les plaisirs du monde, et pas les plus propres.
ILS EN AVAIENT ENVIE!!! C'était aussi simple que cela.
A revanche, revanche et demie. Le top rikiki d'Alma vole à travers la pièce. Son futal et tout ce qui pourrait éventuellement servir d'obstacle tombe sur ses chevilles. L'avantage, alors que Balthazar s'occupe d'elle, c'est que quand il se redresse, elle ... ne touche même plus le sol du bout des orteils. Donc ses vêtements forment très vite une boule à ses pieds et le reste on s'en fout. Tant pis pour le repassage.
Ça c'est la première phase. Bien sûr, re-frottements et cette fois, c'est contre le ventre d'Alma que vient se lover le manche de pioche humide et déjà suintant de son partenaire d'expérience. Qu'elle l'imagine bien. Le sexe de Balthazar, il va entrer en elle, jusqu'au bout, et ce bout justement va remonter jusque ... jusqu'au ... Très loin en fait! A cette instant, le gros gland rouge et surgonflé se loge entre ses seins, à la naissance du sillon qui pourrait l'accueillir pour un jeu plus espagnol d'ailleurs. C'est la perte des sens. L'odeur, leurs odeurs sont fortes comme celles de deux bestioles à l'heure des périodes d'accouplement. Vite on nique et après on va bouffer!
Du point de vue de Balthazar, ça reste encore assez délicat. Les insultes sont mignonnes et les coups trop faibles pour l'ébranler. Même l'apparition de ces sortes de lianes vertes ne le choque pas. Elle a des pouvoirs, lui aussi. Regarde le gros serpent qu'il vient de faire apparaitre ...
Mais il sait rester sérieux. Quand un regard pue le sexe et l'envie, il faut le suivre. Le colosse retourne Alma contre son mur; elle a un dos creusé superbe et il le lui dit. On ne complimente jamais assez les gens au sujet de leur joli dos ...
Il la relâche d'une main pour choper sa queue et la guider quelque part là, en bas. C'est humide de partout et la place est assez restreinte. Il va falloir entrer ma belle. Un petit coup de rein et il arrive à se positionner où il faut. Pour le reste, c'est la hasard et comme il n'y voit rien, il laisse la nature faire.
Putain que c'est serré!! Une chance sur deux pour qu'il soit passé du mauvais côté mais existe t'il un mauvais côté. Quelques millimètres et il sent que son gland est ultra compressé et que ça râpe sur les bords. Une résistance enveloppe sa verge alors qu'il se livre à plusieurs essais pour ne pas tout péter quand même. Il se redresse un peu plus et Alma se hisse tout naturellement sur la pointe de ses pieds. Mais il continue et la soulève. Le poids de la jeune femme fait le reste et elle glisse plus ou moins doucement le long de la hampe fichée en elle.
Balthazar tente de palper pour déterminer par où il est entré mais son épaisseur est telle que d'un côté comme de l'autre, ce serait ultra serré. Sec? Sais pas ... Profond? Putain ... assurément.
L'homme pose enfin ses mains sur les hanches fines d'Alma et donne enfin sa première vraie ruade. Orgasmique!!!
ILS EN AVAIENT ENVIE!!! C'était aussi simple que cela.
A revanche, revanche et demie. Le top rikiki d'Alma vole à travers la pièce. Son futal et tout ce qui pourrait éventuellement servir d'obstacle tombe sur ses chevilles. L'avantage, alors que Balthazar s'occupe d'elle, c'est que quand il se redresse, elle ... ne touche même plus le sol du bout des orteils. Donc ses vêtements forment très vite une boule à ses pieds et le reste on s'en fout. Tant pis pour le repassage.
Ça c'est la première phase. Bien sûr, re-frottements et cette fois, c'est contre le ventre d'Alma que vient se lover le manche de pioche humide et déjà suintant de son partenaire d'expérience. Qu'elle l'imagine bien. Le sexe de Balthazar, il va entrer en elle, jusqu'au bout, et ce bout justement va remonter jusque ... jusqu'au ... Très loin en fait! A cette instant, le gros gland rouge et surgonflé se loge entre ses seins, à la naissance du sillon qui pourrait l'accueillir pour un jeu plus espagnol d'ailleurs. C'est la perte des sens. L'odeur, leurs odeurs sont fortes comme celles de deux bestioles à l'heure des périodes d'accouplement. Vite on nique et après on va bouffer!
Du point de vue de Balthazar, ça reste encore assez délicat. Les insultes sont mignonnes et les coups trop faibles pour l'ébranler. Même l'apparition de ces sortes de lianes vertes ne le choque pas. Elle a des pouvoirs, lui aussi. Regarde le gros serpent qu'il vient de faire apparaitre ...
Mais il sait rester sérieux. Quand un regard pue le sexe et l'envie, il faut le suivre. Le colosse retourne Alma contre son mur; elle a un dos creusé superbe et il le lui dit. On ne complimente jamais assez les gens au sujet de leur joli dos ...
Il la relâche d'une main pour choper sa queue et la guider quelque part là, en bas. C'est humide de partout et la place est assez restreinte. Il va falloir entrer ma belle. Un petit coup de rein et il arrive à se positionner où il faut. Pour le reste, c'est la hasard et comme il n'y voit rien, il laisse la nature faire.
Putain que c'est serré!! Une chance sur deux pour qu'il soit passé du mauvais côté mais existe t'il un mauvais côté. Quelques millimètres et il sent que son gland est ultra compressé et que ça râpe sur les bords. Une résistance enveloppe sa verge alors qu'il se livre à plusieurs essais pour ne pas tout péter quand même. Il se redresse un peu plus et Alma se hisse tout naturellement sur la pointe de ses pieds. Mais il continue et la soulève. Le poids de la jeune femme fait le reste et elle glisse plus ou moins doucement le long de la hampe fichée en elle.
Balthazar tente de palper pour déterminer par où il est entré mais son épaisseur est telle que d'un côté comme de l'autre, ce serait ultra serré. Sec? Sais pas ... Profond? Putain ... assurément.
L'homme pose enfin ses mains sur les hanches fines d'Alma et donne enfin sa première vraie ruade. Orgasmique!!!
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
Elle est complètement à poils !! Et elle est autant furieuse, que gênée, qu’excitée à mort ! C’est un tel bordel de ressentis qu’elle en perd pied. D’ailleurs, ses pieds ne touchent plus le sol de la chambre de l’hôtel. L’autre grand colosse l’a complètement sous son emprise. Lui et son truc qui, qui- !, qui devrait faire cette taille-là ?! Elle en sent l’extrémité se nicher entre ses deux petits seins. Encore plus petite que d’habitude en comparaison de ce monstre niché entre les deux cuisses masculines.
*Il se fout de ma gueule ?! Pourquoi il me dit ce genre de truc sur mon dos ?! Et pourquoi j’ai la gueule contre le mur maintenant ?! JE NE VOIS PLUS RIEN !! *
« OooOOooOOOHHH ! PUTAIN DE BORDEL DE MEeeeeEEERDE !!! »
Elle s’est empalée sur son Babal. Elle ne pige plus rien à rien. C’est comme si grosse bite venait de presser un bouton secret en elle qui venait de désactiver son cerveau, ouvrir sa bouche pour qu’elle se mette à haleter et un peu bavé. Sans compter des yeux presque révulsés de plaisir. C’est un plaisir sauvage et ancestral. C’est en rapport avec le cerveau reptilien. Et dire que Babal a manqué l’enculer. Heureusement pour elle, il est passé par la voie naturelle. Enfin, « heureusement » ? Manquerait plus qu’il lui fiche un petit Noël dans le tsunami qui ravagera son intérieur…
« … »
Non, définitivement, elle est en état second. Elle ressent qu’elle ne touche plus pied à terre. Que quelque chose de massif et chaud la remplit. Même ses lianes de Vert se sont résorbés. Ce genre de tentacule ne sert à rien en extérieur. Et pas question d’imaginer ce genre de chose attraper et presser la bite du colosse depuis l’intérieur. Berk !
Alors Alma se fait fourrer. (comme une dinde ? Parce que Noël approche ? Oh ! Comme le nom de famille de Babal ? Mais Alma n’est plus en état de faire des connexions). Elle a cessé de lutter. Elle ne peut même pas prendre appui sur le sol pour guider les mouvements de son amant. Elle ne contrôle rien. Après coup, elle se sentira surement comme une sorte de jouet sexuel hyper sophistiqué mais complètement à la merci du client.
Est-ce qu’elle souffre ? Non. Elle mouille et son corps la bombarde de substances de camés. Elle n’insulte plus. Elle n’essaie plus de communiquer. Elle est complètement happée dans les désirs de stupre du colosse. Là, tout de suite maintenant, elle prend son pied. Est-ce qu’elle le remerciera une fois que ce sera terminé ? Pas nécessairement. C’est qu’il va y avoir un sacré gros contrecoup à gérer par la suite.
Seul véritable signe qu’elle ne se fait pas complètement utilisée contre son gré, c’est qu’elle penche et tourne sa tête en arrière à la recherche de la langue de ce mâle alpha. Qu’il lui fourre la gorge de sa langue à lui pendant qu’il y est !
*Il se fout de ma gueule ?! Pourquoi il me dit ce genre de truc sur mon dos ?! Et pourquoi j’ai la gueule contre le mur maintenant ?! JE NE VOIS PLUS RIEN !! *
« OooOOooOOOHHH ! PUTAIN DE BORDEL DE MEeeeeEEERDE !!! »
Elle s’est empalée sur son Babal. Elle ne pige plus rien à rien. C’est comme si grosse bite venait de presser un bouton secret en elle qui venait de désactiver son cerveau, ouvrir sa bouche pour qu’elle se mette à haleter et un peu bavé. Sans compter des yeux presque révulsés de plaisir. C’est un plaisir sauvage et ancestral. C’est en rapport avec le cerveau reptilien. Et dire que Babal a manqué l’enculer. Heureusement pour elle, il est passé par la voie naturelle. Enfin, « heureusement » ? Manquerait plus qu’il lui fiche un petit Noël dans le tsunami qui ravagera son intérieur…
« … »
Non, définitivement, elle est en état second. Elle ressent qu’elle ne touche plus pied à terre. Que quelque chose de massif et chaud la remplit. Même ses lianes de Vert se sont résorbés. Ce genre de tentacule ne sert à rien en extérieur. Et pas question d’imaginer ce genre de chose attraper et presser la bite du colosse depuis l’intérieur. Berk !
Alors Alma se fait fourrer. (comme une dinde ? Parce que Noël approche ? Oh ! Comme le nom de famille de Babal ? Mais Alma n’est plus en état de faire des connexions). Elle a cessé de lutter. Elle ne peut même pas prendre appui sur le sol pour guider les mouvements de son amant. Elle ne contrôle rien. Après coup, elle se sentira surement comme une sorte de jouet sexuel hyper sophistiqué mais complètement à la merci du client.
Est-ce qu’elle souffre ? Non. Elle mouille et son corps la bombarde de substances de camés. Elle n’insulte plus. Elle n’essaie plus de communiquer. Elle est complètement happée dans les désirs de stupre du colosse. Là, tout de suite maintenant, elle prend son pied. Est-ce qu’elle le remerciera une fois que ce sera terminé ? Pas nécessairement. C’est qu’il va y avoir un sacré gros contrecoup à gérer par la suite.
Seul véritable signe qu’elle ne se fait pas complètement utilisée contre son gré, c’est qu’elle penche et tourne sa tête en arrière à la recherche de la langue de ce mâle alpha. Qu’il lui fourre la gorge de sa langue à lui pendant qu’il y est !
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Elle est souple Alma. En plus de le constater physiquement, Balthazar imagine déjà tout un tas de possibilités de jeu qui mettraient à rude épreuve les talents de contorsionniste de la jeune femme. C'est qu'il pense vite et bien quand il s'agit du cul, notre héros!
Il répond au baiser qu'elle recherche. La position est excitante et le fait qu'elle se torde un peu comprime la queue du colosse dans un écrin qu'il ne parvient pas à ajuster à sa taille. Alors certes, Alma mouille et l'inonde mais le passage reste alambiqué et nécessite de fortes poussées pour être totalement investi.
C'est tout naturellement qu'il lui prend la poitrine à pleine mains. Qu'elle ne dise pas qu'elle la trouve petite, ce n'est pas vrai. Elle est comme il faut là où il faut. On peut faire pleins de trucs avec et même ce qu'on pourrait croire réservé aux vaches à traire. On entend par là les vaches espagnoles bien sûr, hein. En comprimant un peu et en verrouillant le buste, ouais, y'aura moyen d'y passer un peu de temps.
Le baiser est à l'image du couple: marginal, incertain mais aussi dense et profond. En terme de propreté, on peut faire mieux mais on s'en fout. Les langues se lient, se délient tandis que les bouches s'aspirent et se sucent. De la salive: il y en a à profusion et le menton d'Alma se barbouille bien vite avant de servir de déversoir sur sa poitrine. C'est humide, abondant, ça coule beaucoup ...
Après, la situation n'est pas non plus favorable à une bourrinade. Alma ne touche pas le sol, empalée sur son pieu, et Balthazar la pelote. Il n'a pas l'amplitude nécessaire pour plus d'animation. Donc, il fait le choix difficile d'abandonner sa bouche délicieuse pour faire un peu en arrière et se donner les moyens de les satisfaire tous les deux.
Le mieux, c'est le full-Nelson. Pour les non-initiés, ça peut paraitre un peu vulgaire, voire carrément hardos, mais en réalité c'est sympa comme truc. D'un geste fluide, Balthazar passe ses bras sous les cuisses d'Alma, les relève, passe devant avant de venir verrouiller et lier ses doigts derrière la nuque de la jeune femme. On peut donner le nom qu'on veut à cette dernière partie, contrainte, capture, soumission, domination, blablabla ... Il la tient et il va bien la baiser. Ainsi, rien ne peut le retenir et Alma va se prendre une secouée très sévère. Bien entendu, le plaisir est double: elle aussi va prendre son pied vu son degré de réactivité à sa première saillie.
Le premier coup de reins de Balthazar ébranle la structure, le deuxième pourfend son cocon brûlant, le troisième se plante là où on attend pas qu'une queue puisse aller aussi loin, le quatrième et les suivants sont un matraquage outrageant du corps de la jolie brune.
Il l'éclate: ouais! Il la plombe: ouais! Il la perfore, ouais! Est-ce qu'il la détruit? Ben ouais, c'est l'objectif! Mais il y met des manières quand même: il l'embrasse entre les épaules, lui dit ce qu'elle pourrait avoir envie d'entendre. Il accentue la pression dans les zones où Alma réagit le mieux.
Ce qui est pratique avec le full-Nelson, c'est que l'homme peut utiliser le corps de la femme comme balancier, ça décuple la force de pénétration.
Si Alma est trempé, Balthazar l'est aussi. Le plaisir monte et il ne fait rien pour le retenir. Quand c'est l'heure de cracher, il grogne et déverse en elle un torrent de foutre monstrueusement abondant. C'est comme ouvrir les vannes d'un barrage tant la pression est forte. Ça doit résonner jusque dans le cerveau d'Alma!
Il répond au baiser qu'elle recherche. La position est excitante et le fait qu'elle se torde un peu comprime la queue du colosse dans un écrin qu'il ne parvient pas à ajuster à sa taille. Alors certes, Alma mouille et l'inonde mais le passage reste alambiqué et nécessite de fortes poussées pour être totalement investi.
C'est tout naturellement qu'il lui prend la poitrine à pleine mains. Qu'elle ne dise pas qu'elle la trouve petite, ce n'est pas vrai. Elle est comme il faut là où il faut. On peut faire pleins de trucs avec et même ce qu'on pourrait croire réservé aux vaches à traire. On entend par là les vaches espagnoles bien sûr, hein. En comprimant un peu et en verrouillant le buste, ouais, y'aura moyen d'y passer un peu de temps.
Le baiser est à l'image du couple: marginal, incertain mais aussi dense et profond. En terme de propreté, on peut faire mieux mais on s'en fout. Les langues se lient, se délient tandis que les bouches s'aspirent et se sucent. De la salive: il y en a à profusion et le menton d'Alma se barbouille bien vite avant de servir de déversoir sur sa poitrine. C'est humide, abondant, ça coule beaucoup ...
Après, la situation n'est pas non plus favorable à une bourrinade. Alma ne touche pas le sol, empalée sur son pieu, et Balthazar la pelote. Il n'a pas l'amplitude nécessaire pour plus d'animation. Donc, il fait le choix difficile d'abandonner sa bouche délicieuse pour faire un peu en arrière et se donner les moyens de les satisfaire tous les deux.
Le mieux, c'est le full-Nelson. Pour les non-initiés, ça peut paraitre un peu vulgaire, voire carrément hardos, mais en réalité c'est sympa comme truc. D'un geste fluide, Balthazar passe ses bras sous les cuisses d'Alma, les relève, passe devant avant de venir verrouiller et lier ses doigts derrière la nuque de la jeune femme. On peut donner le nom qu'on veut à cette dernière partie, contrainte, capture, soumission, domination, blablabla ... Il la tient et il va bien la baiser. Ainsi, rien ne peut le retenir et Alma va se prendre une secouée très sévère. Bien entendu, le plaisir est double: elle aussi va prendre son pied vu son degré de réactivité à sa première saillie.
Le premier coup de reins de Balthazar ébranle la structure, le deuxième pourfend son cocon brûlant, le troisième se plante là où on attend pas qu'une queue puisse aller aussi loin, le quatrième et les suivants sont un matraquage outrageant du corps de la jolie brune.
Il l'éclate: ouais! Il la plombe: ouais! Il la perfore, ouais! Est-ce qu'il la détruit? Ben ouais, c'est l'objectif! Mais il y met des manières quand même: il l'embrasse entre les épaules, lui dit ce qu'elle pourrait avoir envie d'entendre. Il accentue la pression dans les zones où Alma réagit le mieux.
Ce qui est pratique avec le full-Nelson, c'est que l'homme peut utiliser le corps de la femme comme balancier, ça décuple la force de pénétration.
Si Alma est trempé, Balthazar l'est aussi. Le plaisir monte et il ne fait rien pour le retenir. Quand c'est l'heure de cracher, il grogne et déverse en elle un torrent de foutre monstrueusement abondant. C'est comme ouvrir les vannes d'un barrage tant la pression est forte. Ça doit résonner jusque dans le cerveau d'Alma!
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
C’est le chaos dans la tête d’Alma. La notion de temps ne veut plus rien dire. Il y a juste des moments où elle réalise qu’il se passe des choses. Le reste est un gloubiboulga de sensations très intenses. Du plaisir assurément, mais pas que. C’est que la queue a de folles proportions. Monstrueuses ? Donc Alma ne pige pas tout. Elle sent qu’on lui malaxe sa petite poitrine et elle repense à son petit lézard de familier. Il serait bien capable de pointer le bout de son museau pour combattre le colosse de Noël et protéger SON territoire. Il aime les gros seins, le lézard, comme le Babal mais ça reste la petite poitrine de SON humaine. Mais il ne se pointe pas. Ce serait trop le bordel. Enfin, encore davantage.
Et donc Alma réalise aussi qu’il y a quelque chose dans sa bouche. Ou il y a eu. Maintenant, elle se sent comme une vieille à qui on aurait enlevé son dentier. L’image ne veut rien dire. Mais elle bave, elle BAVE ! Il y a assez de quantités pour… elle n’en sait rien. Est-ce qu’on peut remplir des biberons et revendre la substance comme lubrifiant ? Quand on dit que c’est le chaos dans sa petite tête shootée au sexe et qu’il ne faut pas chercher à tout décortiquer pour tout comprendre…
Ça n’a rien à voir avec le sexe lesbien qu’elle a eu avec sa petite amie et son amante qui pourrait rivaliser niveau taille de biscotos de monsieur Noël. Cette dernière, même si elle est surnommée la Bête et l’utilise en flirtant avec ses limites physiques, veille tout de même sur elle. Elle prend soin d’Alma. S’arrête quand il faut. La masse. Etc. Mais Babal ? Il en a plus rien à foutre. Il donne des coups de rein comme s’il pouvait toujours battre son dernier record de profondeur. Alma bite rien. Si elle était davantage consciente, elle gueulerait et le taperait jusqu’à ce qu’il soit en sang et ne puisse plus bouger le petit doigt. Enfin, dans ce cas, plutôt sa grosse queue. Mais on ne va pas s’amuser maintenant à adapter toutes les expressions.
Et puis c’est un remplissage chaud en elle.
L’accalmie.
Elle souffle. Elle halète. Elle est en sueurs. Elle ne comprend toujours rien. Mais son corps est délaissé. Mis au repos.
Et petit à petit, les drogues naturelles en elle redescendent en niveau. Les zones rouges des compteurs sont délaissées. La machine organique refroidit. Et comme avec les efforts physiques, le froid va réveiller tout le corps et de nouvelles souffrances pour elle. De nouvelles zones intimes vont se révéler comme lorsqu’on change de sport. Sauf que là, elle est passée d’une femme à un homme.
« En…culé !... »
C’est lâcher comme un souffle. Et elle sait que son insulte, même si elle veut vraiment INSULTER ce macho (presque) insensible. C’est dit avec un sourire de conne qui a été ravagé sexuellement comme il fallait.
« Sale brute… »
Ses doigts viennent s’insinuer entre ses cuisses.
« Je suis… tellement ouverte ?... »
C’est chaud. C’est rempli. Ça ne lui appartient pas tout ce qui en sort. Et, toujours assommé par l’acte de copulation, elle sort sans réaliser le sens des mots.
« Tu m’as foutu un… petit Babal dans le ventre ? »
Elle relâche tout et s’allonge. Peut-être bien qu’elle va finir par s’endormir. Comme une sorte de capote pleine qu’on a jeté négligemment.
Et donc Alma réalise aussi qu’il y a quelque chose dans sa bouche. Ou il y a eu. Maintenant, elle se sent comme une vieille à qui on aurait enlevé son dentier. L’image ne veut rien dire. Mais elle bave, elle BAVE ! Il y a assez de quantités pour… elle n’en sait rien. Est-ce qu’on peut remplir des biberons et revendre la substance comme lubrifiant ? Quand on dit que c’est le chaos dans sa petite tête shootée au sexe et qu’il ne faut pas chercher à tout décortiquer pour tout comprendre…
Ça n’a rien à voir avec le sexe lesbien qu’elle a eu avec sa petite amie et son amante qui pourrait rivaliser niveau taille de biscotos de monsieur Noël. Cette dernière, même si elle est surnommée la Bête et l’utilise en flirtant avec ses limites physiques, veille tout de même sur elle. Elle prend soin d’Alma. S’arrête quand il faut. La masse. Etc. Mais Babal ? Il en a plus rien à foutre. Il donne des coups de rein comme s’il pouvait toujours battre son dernier record de profondeur. Alma bite rien. Si elle était davantage consciente, elle gueulerait et le taperait jusqu’à ce qu’il soit en sang et ne puisse plus bouger le petit doigt. Enfin, dans ce cas, plutôt sa grosse queue. Mais on ne va pas s’amuser maintenant à adapter toutes les expressions.
Et puis c’est un remplissage chaud en elle.
L’accalmie.
Elle souffle. Elle halète. Elle est en sueurs. Elle ne comprend toujours rien. Mais son corps est délaissé. Mis au repos.
Et petit à petit, les drogues naturelles en elle redescendent en niveau. Les zones rouges des compteurs sont délaissées. La machine organique refroidit. Et comme avec les efforts physiques, le froid va réveiller tout le corps et de nouvelles souffrances pour elle. De nouvelles zones intimes vont se révéler comme lorsqu’on change de sport. Sauf que là, elle est passée d’une femme à un homme.
« En…culé !... »
C’est lâcher comme un souffle. Et elle sait que son insulte, même si elle veut vraiment INSULTER ce macho (presque) insensible. C’est dit avec un sourire de conne qui a été ravagé sexuellement comme il fallait.
« Sale brute… »
Ses doigts viennent s’insinuer entre ses cuisses.
« Je suis… tellement ouverte ?... »
C’est chaud. C’est rempli. Ça ne lui appartient pas tout ce qui en sort. Et, toujours assommé par l’acte de copulation, elle sort sans réaliser le sens des mots.
« Tu m’as foutu un… petit Babal dans le ventre ? »
Elle relâche tout et s’allonge. Peut-être bien qu’elle va finir par s’endormir. Comme une sorte de capote pleine qu’on a jeté négligemment.
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Elle est canon quand elle sourit Alma. Ça lui va bien. Cette expression lumineuse remplace à merveille sa bouille renfrognée et grognonne qui semble être celle de son quotidien. Même l'insulte qui fuse sonne comme un aveu de reconnaissance du pied qu'elle a prit. Car oui, impossible d'oublier son faciès extatique, limite béat, quand il s'est déversé en elle.
Balthazar passe ses doigts dans les cheveux courts d'Alma et repousse quelques gouttes de sueur qui pourraient lui piquer les yeux. Elle est trempée ... de partout. L'homme lui permet enfin de pouvoir reprendre le lead de sa vie et la libère de sa poigne non sans, au passage, lui avoir palper le derrière dans lequel il n'hésiterait pas à craquer un second round. Qu'on ne parle pas de classicisme avec lui, il n'aime pas ça. Ce qui l'intéresse, c'est la densité de l'acte quel que soit le passage emprunté. L'anal c'est bien aussi; c'est même carrément plus bandant et faut pas croire tout ce qu'on dit. Ok, il peut arriver que ça fasse mal mais bon ... ça arrive. En revanche la contrepartie, c'est que quand le plaisir monte, ça envoie sévère; pour les deux hein bien sûr ..; Pas seulement pour celui qui explose ...
"Ouais t'es sacrément ouverte!"
Il serait tenté de lui demandé si elle s'est déjà farcie un type de sa grosseur à lui car elle s'est montrée vraiment réceptive à l'intrusion. Mais non, par correction il ne va pas le faire. Ce serait comme s'enquérir du nombre de bites qu'elle a déjà avalé ... Pas cool ni opportun ... Un peu de respect quand même ...
"J'adore ton corps Alma, et la manière dont tu réagis. C'est très excitant, et incitant. J'ai très envie ... de beaucoup de choses."
Elle s'allonge mais il al soulève et la porte dans un lieu plus approprié pour ça, un lit fera l'affaire. Il s'installe à côté d'elle et tire sur eux une épaisse couette qui pèse sur leurs corps. C'est rassurant quand on vient de prendre une dérouillée de se faire choyer un peu. Balthazar reste dans le dos d'Alma et il la tient sans pour autant la posséder. Ses mains la caresse et il a sa nuque à disposition quand il veut y déposer un baiser.
La jeune femme est poisseuse et entre ses cuisses, c'est toujours la déferlante. C'est vrai que ce qu'il y a lâché serait capable de repeupler une bonne partie de la Sibérie mais de là à ce que cela commence par un/une héritier(ère), ça reste à voir.
Maintenant au sujet de la sensibilité des conséquences, il ne sait pas comment Alma pourrait réagir; pas nécessairement bien en fait. Quoique ...
"On va dire que physiquement, j'ai procédé au remplissage de ton vagin, ce qui risque d'influer sur un déversement de ma semence dans ta cavité utérine. Là, ou il y a le miracle de la vie qui opère, ou à l'inverse mes spermatozoïdes meurent et serviront comme source de protéines à ton corps. Mais si ça t'inquiète, je pense que ça devrait aller."
Il ne précise pas dans quel sens pour laisser le choix à Alma de s'auto-réconforter. Il ne lui indique pas non plus les actes qui pourraient venir interrompre le miracle en cours d'action car ce n'est ni l'endroit, ni le moment pour en parler. Ils ont pris leur pied et ça, c'est chouette! Et puis sous la couette, il peut encore se passer plein de trucs. La preuve, c'est qu'il s'amuse à venir lui titiller la rondelle tout en la mordillant dans le cou.
"Tu as envie d'un truc particulier?"
Qu'elle ne lui sorte pas un burger, des fraises, bouffer chinois, ou des sushis! Il ne parle pas de ça!
Balthazar passe ses doigts dans les cheveux courts d'Alma et repousse quelques gouttes de sueur qui pourraient lui piquer les yeux. Elle est trempée ... de partout. L'homme lui permet enfin de pouvoir reprendre le lead de sa vie et la libère de sa poigne non sans, au passage, lui avoir palper le derrière dans lequel il n'hésiterait pas à craquer un second round. Qu'on ne parle pas de classicisme avec lui, il n'aime pas ça. Ce qui l'intéresse, c'est la densité de l'acte quel que soit le passage emprunté. L'anal c'est bien aussi; c'est même carrément plus bandant et faut pas croire tout ce qu'on dit. Ok, il peut arriver que ça fasse mal mais bon ... ça arrive. En revanche la contrepartie, c'est que quand le plaisir monte, ça envoie sévère; pour les deux hein bien sûr ..; Pas seulement pour celui qui explose ...
"Ouais t'es sacrément ouverte!"
Il serait tenté de lui demandé si elle s'est déjà farcie un type de sa grosseur à lui car elle s'est montrée vraiment réceptive à l'intrusion. Mais non, par correction il ne va pas le faire. Ce serait comme s'enquérir du nombre de bites qu'elle a déjà avalé ... Pas cool ni opportun ... Un peu de respect quand même ...
"J'adore ton corps Alma, et la manière dont tu réagis. C'est très excitant, et incitant. J'ai très envie ... de beaucoup de choses."
Elle s'allonge mais il al soulève et la porte dans un lieu plus approprié pour ça, un lit fera l'affaire. Il s'installe à côté d'elle et tire sur eux une épaisse couette qui pèse sur leurs corps. C'est rassurant quand on vient de prendre une dérouillée de se faire choyer un peu. Balthazar reste dans le dos d'Alma et il la tient sans pour autant la posséder. Ses mains la caresse et il a sa nuque à disposition quand il veut y déposer un baiser.
La jeune femme est poisseuse et entre ses cuisses, c'est toujours la déferlante. C'est vrai que ce qu'il y a lâché serait capable de repeupler une bonne partie de la Sibérie mais de là à ce que cela commence par un/une héritier(ère), ça reste à voir.
Maintenant au sujet de la sensibilité des conséquences, il ne sait pas comment Alma pourrait réagir; pas nécessairement bien en fait. Quoique ...
"On va dire que physiquement, j'ai procédé au remplissage de ton vagin, ce qui risque d'influer sur un déversement de ma semence dans ta cavité utérine. Là, ou il y a le miracle de la vie qui opère, ou à l'inverse mes spermatozoïdes meurent et serviront comme source de protéines à ton corps. Mais si ça t'inquiète, je pense que ça devrait aller."
Il ne précise pas dans quel sens pour laisser le choix à Alma de s'auto-réconforter. Il ne lui indique pas non plus les actes qui pourraient venir interrompre le miracle en cours d'action car ce n'est ni l'endroit, ni le moment pour en parler. Ils ont pris leur pied et ça, c'est chouette! Et puis sous la couette, il peut encore se passer plein de trucs. La preuve, c'est qu'il s'amuse à venir lui titiller la rondelle tout en la mordillant dans le cou.
"Tu as envie d'un truc particulier?"
Qu'elle ne lui sorte pas un burger, des fraises, bouffer chinois, ou des sushis! Il ne parle pas de ça!
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
Ce con de grand colosse est en train d’éclipser sa petite-amie solaire et son amante bestiale !! Comment fait-il pour réussir à être romantique alors qu’il serait plutôt du genre bourrin et conquérant ? Alma n’en sait rien. Elle est victime de réactions chimique en chaîne provenant de son propre corps qui la trahit. C’est qu’il a « kiffé » ça !
Alors oui, elle entend de la « poésie », une sorte, quand Babal lui déclare qu’il « adore son corps […] et la manière dont elle réagit. » Et que dire de cette portée de princesse pour l’amener dans la sécurité et la chaleur d’un lit sous une épaisse couette ? C’est débile. Elle le sait. Elle se le dit. Elle se le répète. Mais cette grande couillonne d’Alma adore ça.
Et puis il dérape, le Babal… Qu’est-ce qu’il est en train de raconter comme merde ?! Il se la joue prof de SVT ?... Alma doit se tirer de sa jouissance. Elle doit comprendre. Qu’est-il en train de raconter ? Qu’il a foutu la merde dans sa vie ? Qu’elle va accoucher dans neuf mois ?! Ce serait un sacré problème !!! (attention, elle ne rejette pas l’hypothèse. Et c’est peut-être ce qui la perturbe le plus…)
« Un truc en particulier ? Alors que je me remets à peine de ton monstre d’engin et que tu me titilles le trou du cul en me mordant comme si tu avais les crocs ?! »
Si elle doit bien s’avouer un truc, c’est que, passé le premier choc de cette baise, Alma réalise qu’elle a encore des ressources. Il en faut quand elle se retrouve « victime » de sa Bête d’amante. Une version Babal avec des seins et une chatte. Il faut simplifier. On ne va pas imposer au colosse une relecture de toute la vie de son Alma combinée avec les péripéties liées à Jeannie. Enfin, Shayne Hannigan. Oh ? Avait-il déjà été écrit qu’elle se nommait Alma Hannigan. Peut-être. De toute façon, ça n’a pas été dit à voix haute.
« Déjà, tu vas lâcher mon trou du cul. J’ai aucune envie de marcher comme un putain de pingouin, ou de canard, ou de cow-boy ou je ne sais quoi. Sans compter que tu vas surement me tuer si tu t’infiltres par là-dedans. Donc tu calmes tes ardeurs, mon colosse. »
Merde, ça sonnerait romantique « mon colosse ». Comme un petit nom qu’on se donne quand on se trouve en couple. Une perspective qui aurait de quoi faire sourire Alma. Mais l’autre grand nigaud ne peut pas voir son visage. Il est actuellement collé son torse superbement musclé contre son dos qui ne l’est pas moins.
Puis lui vient une idée saugrenue ! ^^
« J’aurai bien envie de te voir disparaitre sous la couette. Tu vois le genre ? Savoir comment tu pourrais utiliser cette langue si vivace ? »
*Est-ce qu’il va oser lécher son propre foutre ? Je suis intriguée ! Ah ah ! *
Alors oui, elle entend de la « poésie », une sorte, quand Babal lui déclare qu’il « adore son corps […] et la manière dont elle réagit. » Et que dire de cette portée de princesse pour l’amener dans la sécurité et la chaleur d’un lit sous une épaisse couette ? C’est débile. Elle le sait. Elle se le dit. Elle se le répète. Mais cette grande couillonne d’Alma adore ça.
Et puis il dérape, le Babal… Qu’est-ce qu’il est en train de raconter comme merde ?! Il se la joue prof de SVT ?... Alma doit se tirer de sa jouissance. Elle doit comprendre. Qu’est-il en train de raconter ? Qu’il a foutu la merde dans sa vie ? Qu’elle va accoucher dans neuf mois ?! Ce serait un sacré problème !!! (attention, elle ne rejette pas l’hypothèse. Et c’est peut-être ce qui la perturbe le plus…)
« Un truc en particulier ? Alors que je me remets à peine de ton monstre d’engin et que tu me titilles le trou du cul en me mordant comme si tu avais les crocs ?! »
Si elle doit bien s’avouer un truc, c’est que, passé le premier choc de cette baise, Alma réalise qu’elle a encore des ressources. Il en faut quand elle se retrouve « victime » de sa Bête d’amante. Une version Babal avec des seins et une chatte. Il faut simplifier. On ne va pas imposer au colosse une relecture de toute la vie de son Alma combinée avec les péripéties liées à Jeannie. Enfin, Shayne Hannigan. Oh ? Avait-il déjà été écrit qu’elle se nommait Alma Hannigan. Peut-être. De toute façon, ça n’a pas été dit à voix haute.
« Déjà, tu vas lâcher mon trou du cul. J’ai aucune envie de marcher comme un putain de pingouin, ou de canard, ou de cow-boy ou je ne sais quoi. Sans compter que tu vas surement me tuer si tu t’infiltres par là-dedans. Donc tu calmes tes ardeurs, mon colosse. »
Merde, ça sonnerait romantique « mon colosse ». Comme un petit nom qu’on se donne quand on se trouve en couple. Une perspective qui aurait de quoi faire sourire Alma. Mais l’autre grand nigaud ne peut pas voir son visage. Il est actuellement collé son torse superbement musclé contre son dos qui ne l’est pas moins.
Puis lui vient une idée saugrenue ! ^^
« J’aurai bien envie de te voir disparaitre sous la couette. Tu vois le genre ? Savoir comment tu pourrais utiliser cette langue si vivace ? »
*Est-ce qu’il va oser lécher son propre foutre ? Je suis intriguée ! Ah ah ! *
- Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Balthazar manque rire. Les histoires de trou du cul, il en est spécialiste. S'il y a bien un domaine dans lequel il excelle, c'est péter des fions sans envoyer la propriétaire en question à l'hôpital. Une déchirure ou une congestion anale due à un bourrage intensif, c'est mal. Mais lui, il est un artisan du cul. Il a un don pour deviner quelle angle adopter ou à quelle profondeur pilonner. Un sphincter, c'est fait pour être étiré, on ne parle pas de moralité ni d'emploi mais juste de la caractéristique physique du truc. Il est élastique, prompt à reprendre son format initial et ne se demande si ce qui le concerne doit entrer ou sortir. Son rôle, c'est de se détendre et inversement quand sollicité.
Donc ouais, quand Balthazar se glisse totalement sous la couette, il n'a pas abandonné l'idée d'explorer Alma sous toutes les coutures. Quand on commence à manger une part de gâteau au chocolat et qu'il est bon, on en reprend!
Le lit est un peu secoué, c'est comme si un mammouth cherchait à se planquer sous une fougère. Mais une fois la tête entre les cuisses d'Alma, le colosse assure sa position et lui relève un peu les fesses. La pose fait un peu rendez vous gynécologique et la tournure en prend bien la ressemblance sauf qu'au lieu d'y mettre les doigts, il y met la langue. On pourrait se demander si c'est bien propre mais ... non. Balec! Ce n'est pas avec ce genre de dégustation qu'on va le dégouter Balthazar. Il tient son corps en haute estime donc tout ce qui vient de lui est bon (dans la limite du correct bien sûr). Donc qu'Alma ne s’attende pas à une hésitation de sa part ou d'un hoquet de surprise. Au contraire, c'est gras et bruyant et il ne perd pas son temps avec des papouilles, il se fourre directement dans ce petit corps tout réceptif.
Il sait y faire, où laper, où sucer, où aspirer et si elle gigote trop, il la verrouille en la tenant par les hanches. Ce qui s'échappe d'elle fait partie du package donc il passe sur l'aigreur du goût, ne s'attardant que sur l'apport protéiné.
Il alterne raclement des muqueuses, pointage en profondeur, aspiration profonde ... le vagin d'Alma est source d'exploration et pas un recoin n'échappe à l'attention de l'homme viril.
Et comme il est têtu, il s’aventure à nouveau par la porte de derrière ... Du doigt entendons nous bien ... Pas plus que la première phalange de l'index, ce qui représente déjà une invasion correcte. Là il tourne et il touille, élégamment. Balthazar, c'est un peu un chef cuistot. Chaque geste est mesuré et fait pour apporter une plus-value au final. Si on dit qu'il touille, il ne faut pas voir l'acteur porno bas de gamme, mexicain, qui pète un cul de traviole comme s'il fourrait une fajitas. Non, lui, il tend plus sur le français. Du bout du doigt il fait monter la crème et laisse le temps de reposer la pâte quand il sent qu'il y a du gaz à évacuer (sans mauvais jeu de mots). C'est un artiste le Babal d'Alma, meilleur ouvrier fornicateur de France et de bien d'autres pays, attaché à faire de son art une excellence reconnue par toutes les dames qu'il est amené à tringler.
Alors, Alma, va falloir qu'elle s'accroche car ouais, il est possible de jouir du cul. C'est de Sade qui l'a dit donc pourquoi contredire un maitre romancier?
L'alliance de ces deux terrains d'exploration rend l'exercice délicieux. Alma en prend une double, une petite double car Balthazar est seul et n'a pas encore mis le serpent en œuvre pour une deuxième fois, mais quand même entre l'avant et l'arrière, Alma Hannigan est comblée.
Donc ouais, quand Balthazar se glisse totalement sous la couette, il n'a pas abandonné l'idée d'explorer Alma sous toutes les coutures. Quand on commence à manger une part de gâteau au chocolat et qu'il est bon, on en reprend!
Le lit est un peu secoué, c'est comme si un mammouth cherchait à se planquer sous une fougère. Mais une fois la tête entre les cuisses d'Alma, le colosse assure sa position et lui relève un peu les fesses. La pose fait un peu rendez vous gynécologique et la tournure en prend bien la ressemblance sauf qu'au lieu d'y mettre les doigts, il y met la langue. On pourrait se demander si c'est bien propre mais ... non. Balec! Ce n'est pas avec ce genre de dégustation qu'on va le dégouter Balthazar. Il tient son corps en haute estime donc tout ce qui vient de lui est bon (dans la limite du correct bien sûr). Donc qu'Alma ne s’attende pas à une hésitation de sa part ou d'un hoquet de surprise. Au contraire, c'est gras et bruyant et il ne perd pas son temps avec des papouilles, il se fourre directement dans ce petit corps tout réceptif.
Il sait y faire, où laper, où sucer, où aspirer et si elle gigote trop, il la verrouille en la tenant par les hanches. Ce qui s'échappe d'elle fait partie du package donc il passe sur l'aigreur du goût, ne s'attardant que sur l'apport protéiné.
Il alterne raclement des muqueuses, pointage en profondeur, aspiration profonde ... le vagin d'Alma est source d'exploration et pas un recoin n'échappe à l'attention de l'homme viril.
Et comme il est têtu, il s’aventure à nouveau par la porte de derrière ... Du doigt entendons nous bien ... Pas plus que la première phalange de l'index, ce qui représente déjà une invasion correcte. Là il tourne et il touille, élégamment. Balthazar, c'est un peu un chef cuistot. Chaque geste est mesuré et fait pour apporter une plus-value au final. Si on dit qu'il touille, il ne faut pas voir l'acteur porno bas de gamme, mexicain, qui pète un cul de traviole comme s'il fourrait une fajitas. Non, lui, il tend plus sur le français. Du bout du doigt il fait monter la crème et laisse le temps de reposer la pâte quand il sent qu'il y a du gaz à évacuer (sans mauvais jeu de mots). C'est un artiste le Babal d'Alma, meilleur ouvrier fornicateur de France et de bien d'autres pays, attaché à faire de son art une excellence reconnue par toutes les dames qu'il est amené à tringler.
Alors, Alma, va falloir qu'elle s'accroche car ouais, il est possible de jouir du cul. C'est de Sade qui l'a dit donc pourquoi contredire un maitre romancier?
L'alliance de ces deux terrains d'exploration rend l'exercice délicieux. Alma en prend une double, une petite double car Balthazar est seul et n'a pas encore mis le serpent en œuvre pour une deuxième fois, mais quand même entre l'avant et l'arrière, Alma Hannigan est comblée.
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!- Marishka Auschwitz
- Messages : 1244
- Enregistré le : 14 août 2024 19:53
C’est qu’elle a manqué d’appuyer de ses mains sur la tête de son colosse ! Elle ne pensait pas vraiment qu’il la lécherait avec autant d’appétit alors qu’elle dégoulinait de son sperme. Elle est plus que surprise la Alma ! Autant par cette absence de tabou. Et d’hésitation aussi. C’est qu’il affamé le Babal ! Autant par les sensations qu’elle se prend dans la figure. Donc ses mains, elles restent dans ses cheveux mouillés de sueur à lui.
Et bordel, qu’elle s’agace ! Evidemment qu’elle gesticule. Et peut-être bien que son égo mal placé a tendance de se barrer. Pas l’égo, le corps en grande partie sous le drap. Pour préserver Babal de ce qu’il « mange » ? Pour ne pas fondre comme neige au soleil sous ses attentions ? Alors oui, Babal la cadenasse de ses bras musclés. Et merde alors ! Elle la dure, la badass, la violente : elle se déteste d’aimer sentir ce colosse puissant la retenir. Et elle sait qu’il le sait maintenant. Ca lui donne plus de pouvoir sur elle, plus d’emprise. Elle s’ouvre trop à lui. Il y était question d’abord de son petit cœur. Mais de sa chatte aussi, du coup.
« Hmm ! Espèce de colosse à la con ! Tu veux que je tombe amoureuse de toi ou quoi ! HAN ! Putain, là, c’est- C-EST !! »
*Mais qu’est-ce que je viens de dire alors qu’il me fourre le cul ?! La honte, putain. La honte !... *
« Je te jure que tu te limiteras qu’à un doigt ! J’ai déjà été bonne pomme de princesse de t’accorder ça ! Hmm ! Oh, merde ! Hmm !... »
*Va vraiment falloir que je ferme ma grande gueule, moi. Je raconte de la merde sur merde. Je ne suis même pas sur que, han !, ce soit cohérent. L’autre va finir par me séquestrer dans sa tour de donjon 2.0 *
Le pire étant, qu’à cet instant, cette idée à la con aurait des tendances à devenir fantasme au charme d’une succube. Bon, ok, plutôt d’un incube coiffé d’un bonnet de Noël. Mais c’est que le terme incube est dégueulasse. Alors que ces jolies femmes ailées à queue pointue. Mouais, pas certain que ce soit une bonne façon de les décrire. Rapport à leur queue caudale. Bien que, peut-être qu’Alma aimerait devenir une succube. Pour avoir une queue. Enfin, deux queues. Est-ce qu’elle peut souhaiter à nouveau un cadeau comme au speed-dating ? Histoire de se « venger » un peu et de mater le Mâle ?
« Ose me faire jouir et je te maudis à me glisser la bague au doigt !! »
*Pourquoi je m’évertue à essayer de le décourager ? Ou alors je teste ces limites ? Je veux dire, il est bien allé lécher son propre foutre. Et quoi ? Je fais quoi moi s’il me fout vraiment une bague au doigt et que je reviens avec dans mon harem de famille ?! Et pourquoi j’ai aussi pensé à lui mettre une sorte de bague autour de son boa ? Mais je débloque complet, ma parole !!? *
Et bordel, qu’elle s’agace ! Evidemment qu’elle gesticule. Et peut-être bien que son égo mal placé a tendance de se barrer. Pas l’égo, le corps en grande partie sous le drap. Pour préserver Babal de ce qu’il « mange » ? Pour ne pas fondre comme neige au soleil sous ses attentions ? Alors oui, Babal la cadenasse de ses bras musclés. Et merde alors ! Elle la dure, la badass, la violente : elle se déteste d’aimer sentir ce colosse puissant la retenir. Et elle sait qu’il le sait maintenant. Ca lui donne plus de pouvoir sur elle, plus d’emprise. Elle s’ouvre trop à lui. Il y était question d’abord de son petit cœur. Mais de sa chatte aussi, du coup.
« Hmm ! Espèce de colosse à la con ! Tu veux que je tombe amoureuse de toi ou quoi ! HAN ! Putain, là, c’est- C-EST !! »
*Mais qu’est-ce que je viens de dire alors qu’il me fourre le cul ?! La honte, putain. La honte !... *
« Je te jure que tu te limiteras qu’à un doigt ! J’ai déjà été bonne pomme de princesse de t’accorder ça ! Hmm ! Oh, merde ! Hmm !... »
*Va vraiment falloir que je ferme ma grande gueule, moi. Je raconte de la merde sur merde. Je ne suis même pas sur que, han !, ce soit cohérent. L’autre va finir par me séquestrer dans sa tour de donjon 2.0 *
Le pire étant, qu’à cet instant, cette idée à la con aurait des tendances à devenir fantasme au charme d’une succube. Bon, ok, plutôt d’un incube coiffé d’un bonnet de Noël. Mais c’est que le terme incube est dégueulasse. Alors que ces jolies femmes ailées à queue pointue. Mouais, pas certain que ce soit une bonne façon de les décrire. Rapport à leur queue caudale. Bien que, peut-être qu’Alma aimerait devenir une succube. Pour avoir une queue. Enfin, deux queues. Est-ce qu’elle peut souhaiter à nouveau un cadeau comme au speed-dating ? Histoire de se « venger » un peu et de mater le Mâle ?
« Ose me faire jouir et je te maudis à me glisser la bague au doigt !! »
*Pourquoi je m’évertue à essayer de le décourager ? Ou alors je teste ces limites ? Je veux dire, il est bien allé lécher son propre foutre. Et quoi ? Je fais quoi moi s’il me fout vraiment une bague au doigt et que je reviens avec dans mon harem de famille ?! Et pourquoi j’ai aussi pensé à lui mettre une sorte de bague autour de son boa ? Mais je débloque complet, ma parole !!? *
