The Multiversity

[White Rabbit]

White Rabbit était une magicienne sulfureuse. Une femme très particulière, à l’origine deux sœurs jumelles qui, suite à un antique rituel magique, avaient été enfermées dans le même sarcophage, et partageaient désormais deux corps liés entre elles. La magicienne désinvolte était aussi très curieuse, et, ce soir, elle avait senti un Portail très spécial. Intriguée, elle s’était déplacée vers ce Portail, qui se trouvait sous le lycée Jinmu. Si on en croyait les archives de la ville, le lycée avait été construit sur le centre historique de la ville, au-dessus d’un ancien sanctuaire shinto détruit lors de la Seconde Guerre Mondiale. En rejoignant Yoake, White Rabbit avait assez vite remarqué que ce lycée était l’épicentre de l’intense activité magique régnant dans cette ville.

La délicieuse bunny girl se rapprocha donc. Elle était une magicienne redoutable, mine de rien, même si cette puissance était atténuée par sa mentalité très frivole, très insouciante. La jeune femme rejoignit le campus du lycée, puis se téléporta à plusieurs reprises, jusqu’à rejoindre les souterrains du lycée. Elle suivit ensuite la signature magique de ce pic, et continua sa progression.

*Je sens le pic, il n’est vraiment pas très éloigné…*

Elle s’aventura dans un couloir, et continua ensuite. Le lycée avait été construit très récemment, somme toute, dans les années 1950’s, sur les ruines d’anciennes structures. White Rabbit continua à s’avancer, dégageant autour d’elle un agréable parfum rosâtre. Les quelques vigiles qui l’avaient aperçu cette nuit avaient dû croire rêver, voir une sorte d’Ange. Mais, ce soir, al bunny girl ne venait pas pour jouer avec eux ! Elle suivit une autre piste, et se rapprocha d’une porte close.

*C’est là…*

White Rabbit se téléporta rapidement de l’autre côté. Elle arriva dans une sorte de grande pièce éclairée par des bougies, et fronça les sourcils, en reniflant rapidement… Une forte odeur de stupre. Un pentacle se trouvait au milieu de la pièce. Le décor était fait de pierres apparentes et de colonnes donnant à cette pièce un côté ésotérique. Ses fins doigts gantés caressèrent le sol, effleurant le pentacle, et elle sentit des picotements électriques remuer sur ses doigts.

La jeune magicienne se redressa, et comprit rapidement qu’un rituel avait eu lieu ici. Et celui-ci était encore assez vivace. Intriguée, la jeune femme se concentra alors, et approcha ses mains du pentacle. Celui-ci s’illumina alors d’une vive lueur violette, et la bunny girl frémit en sentant la magie revenir. Des vibrations parcoururent l’air, résonnant tout autour d’elle. La jeune femme s’en pinça les lèvres, et vit peu à peu un vortex se former.

« Oh… »

Elle continua encore, jusqu’à stabiliser le Portail, et l’observa ensuite. La magie vibrait tout autour d’elle, et elle stabilisa ensuite le vortex. Bien sûr, il aurait été totalement irresponsable de plonger ainsi dans ce Portail… Mais une lueur malicieuse s’illumina dans les yeux de la jeune femme. Gloussant doucement, elle bondit à travers.

Sa progression la fit voyager à travers un couloir dimensionnel, et elle atterrit dans un salon agréable, avec de multiples coussins, des pétales de roses… Et plusieurs lycéennes occupées autour d’une personne plus grande, faisant manifestement l’amour…

[Tek_Usagi]

(Apparence de Tek_Usagi dans ce RP : http://img115.xooimage.com/views/b/4/d/1551681309-e2rxd8u-5734b23.jpg/ )

Le Lys. Si ce nom ne vous dit rien, il s’agit d’un Brothel de luxe réservé aux femmes existant dans une dimension parallèle qui voyage à travers l’espace et le temps. De temps en temps, une porte vers le Lys s’ouvre au hasard, quelque part, le plus souvent près d’une femme qui pourrait avoir besoin d’un refuge ou d’un endroit où se faire plaisir entre les mains de délicieuses filles de joie bien gaulées. Mais de temps en temps, il peut arriver, on ne sait comment, qu’un homme trouve une porte menant au Lys.

C’est ce qui m’est arrivé. Il y a un mois, je suis tombé dans une embuscade tendue par des soldats d’élite uatiens qui avaient bien failli réussir à m’avoir. Heureusement, à force de courir, j’ai fini par trouver ce que je pensais être une issue. C’était une porte menant vers le Lys, ce qui était plutôt étrange vu que cet endroit est normalement réservé aux femmes. Aujourd’hui encore, je pense que la magie qui fait tourner ce lieu a été perturbée par le fait que, depuis que je suis devenu une arme nano, je ne réponds plus vraiment à des définitions de genre. Quoi qu’il en soit, j’avais réussi à semer les soldats et je me suis évanoui dans l’entrée du brothel.

A mon réveil, j’ai découvert que la magie du Lys m’avait transformé en femme, et je ne pouvais rien faire contre ça. Lilith, la responsable des employées du Lys qui ne s’adonnent pas à la prostitution, m’a expliqué qu’un médecin d’ici m’avait guéri et que maintenant je leur étais redevable. Elle m’a bien fait comprendre que la meilleure façon de rembourser ma dette était que je vende mon corps aux clientes du brothel. Au début j’ai refusé, et je me suis mise à travailler comme serveuse dans l’un des bars de l’établissement. Seulement, plus le temps passait, plus j’étais curieuse de découvrir ce que ce corps avait à m’offrir, surtout quand les clientes s’amusaient à me tripoter. Alors un jour, j’ai sauté le pas, et j’ai couché avec une cliente. C’était une grande première pour moi, puisque j’étais encore vierge, mais ce fut réellement une expérience incroyable. Je n’avais pas vraiment d’élément de comparaison avec le sexe en tant qu’homme, mais j’ai tellement pris mon pied en faisant l’amour comme une femme que je n’avais qu’une idée en tête : recommencer. Je me suis donc mis à alterner entre le travail de papillon (c’est comme ça qu’on appelle les filles de joie ici) et d’autres petits boulots comme faire le service ou le ménage pour m’occuper entre deux sessions de sexe.

Au bout de deux semaines, j’avais remboursé ma dette auprès du Lys et on m’a dit que je pouvais partir. Mais là, j’ai réalisé que je n’avais pas envie de partir. J’avais fini par prendre goût à mon travail ici, et j’avais aussi pris goût à être une femme. Du coup, j’ai demandé à pouvoir rester ici malgré tout, et on m’a dit oui. Depuis, je continue de travailler comme je l’avais fait pendant les deux semaines précédentes, alternant entre le sexe et les petits boulots. Et je dois dire... que j’adore ma nouvelle vie. J’ai laissé la violence, les complots et mes envies de vengeance derrière moi pour prendre un nouveau départ, et je suis plus heureuse que je ne l’ai jamais été. Les filles sont super sympas avec moi, et je prends mon pied tous les jours. Je suis encore un peu timide au lit, mais je fais bien mon travail.

En temps normal, l’accès au Lys est uniquement possible via les portes qui apparaissent aléatoirement un peu partout dans l’espace et le temps, mais parfois, il arrive que certaines femmes ne veuillent pas attendre en espérant tomber sur une porte. Du coup, il arrive qu’on voit débarquer des invitées de nulle part. Ce jour-là, un groupe de quatre lycéennes avait décidé d’ouvrir un portail vers le brothel en procédant à un rituel mystique. Tama, la responsable des papillons, m’a demandé d’aller les accueillir au cas où elles réussiraient. Et contre toute attente, elles ont réussi. Une fois le vortex ouvert, elles ont sauté dedans sans hésiter et se sont retrouvées dans la pièce qu’on leur avait préparé : un salon, avec plein de coussins, des pétales de roses, des bougies, des boissons au frais, de la musique douce... bref, le rêve de toute jeune fille bercée dans le romantisme. Sauf que tout dans cette pièce, depuis les bougies jusqu’à la musique, dégageaient des aphrodisiaques. Tama avait décidé de jouer un peu avec ces lycéennes qui se croyaient trop biens pour passer par la porte comme tout le monde. Et moi j’étais là, dans une lingerie fine super-sexy, prête à les séduire.

« Bonjour les filles. Vous êtes venues pour vous amuser ? Ça tombe bien... je suis une lapine qui adore jouer. »

Entre mon corps plantureux et les aphrodisiaques, les lycéennes se mettent à mouiller leurs culottes immédiatement et n’hésitent pas longtemps avant de se jeter dans mes bras.

Cela fait maintenant deux heures qu’on baise toutes ensembles. Au début, je me sentais un peu nerveuse de faire l’amour avec autant de filles en même temps, mais j’ai vite trouvé le bon rythme. Elles m’ont expliqué qu’elles avaient entendu parler du Lys par l’une de leurs profs, qui avait trouvé une porte quelques semaines plus tôt, et qu’elles avaient très envie de venir voir de leurs propres yeux si tout ce qu’on leur avait raconté était vrai. Malheureusement, devant la classique fougue de la jeunesse et l’impossibilité de mettre la main sur une porte, elles ont voulu tenter leur chance avec la magie.

« Je comprends ce que vous ressentez, mais ce n’est pas bien de violer les règles. A cause de ça, ma patronne m’a demandé de vous garder ici et de vous faire l’amour jusqu’à ce que vous soyez complètement épuisées. Et en plus, vous ne pouvez pas me résister parce que la pièce est bourrée d’aphrodisiaques. Moi j’y suis immunisée, mais vous... ça vous rend complètement folles. »

Je sais, ça ne sonne pas trop comme un sermon, mais de toute façon je suis sûre qu’elles ne m’écoutent même pas. Elles sont bien trop occupées à prendre leur pied. En plus, l’une des quatre filles, Saori, est encore vierge, alors elle a la tête en vrac à cause de tout ce qui lui arrive.

Pendant deux heures, chacune d’entre nous a été le centre de l’attention des autres pendant quelques minutes, et à chaque fois que la personne au centre jouit, on change. Alors que c’est à nouveau à moi qui suit entourée par les lycéennes, à me faire lécher et tripoter dans tous les coins, voilà que quelqu’un d’autre débarque dans le salon. Au début, je pensais que c’était juste une autre lycéenne, mais ensuite je vois sa tenue. Deux grandes oreilles blanches sur la tête, des gants blancs, un corset blanc avec des rayures roses, une culotte rose avec une boule de poils au niveau des fesses, et de longs collants blancs se terminant avec des talons. Je n’en reviens pas... une autre lapine.

Un peu secouée par cette arrivée soudaine, je me dégage quand même de l’étreinte des filles pour aller l’accueillir.

« Euh... bonjour madame. Soyez la bienvenue au Lys, le meilleur Brothel qui soit pour le plaisir des femmes. Je... je peux vous demander comment vous êtes arrivée ici ? En général, nos clientes passent par l’accueil. »

Certes je suis surprise, mais je dois quand même être polie. Toute femme qui pénètre en ce lieu doit être traitée comme une reine.

[White Rabbit]

Lycéennes :

• Saori,
• Shii,
• Clara,
• Tamako.

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Les quatre filles devaient ce rituel à Clara. Clara et Shii étaient deux esclaves de Mélinda Warren, assez proches l’une de l’autre. Mais, là où la seconde menait des études, car elle était l’une des plus talentueuses élèves du lycée Jinmu, Clara, elle, avait choisi de se former via la magie. Elle se formait auprès de la succube de Mélinda Warren, Edessa, et c’était elle qui avait réalisé ce rituel. Pour les accompagner, il y avait Saori, qui était la sœur de Tamako. Elles étaient assez proches, et venaient toutes les deux d’entrer au lycée Jinmu. Tamako était toutefois un brin plus perverse que sa sœur, mais aussi plus studieuse. Ayant entendu parler des clubs esclavagistes de Jinmu, elle s’était rapprochée de Shii pour devenir l’esclave de Mélinda. En retour, la vampire lui avait donné pour épreuve, pour devenir l’une de ses esclaves, de corrompre sa propre sœur… Et, pour cela, Clara avait décidé d’aller au Lys, un endroit où Mélinda Warren avait fait ses entrées.

Depuis deux heures, les lycéennes couchaient avec Usagi, qui les avait accueilli dans une guêpière bleue électrique irrésistible. Et, depuis deux heures, Saori faisait l’amour tout en conservant sa virginité. Clara, elle, avait essayé de résister au début à toute cette magie rose, mais avait fini par succomber. Usagi était une bunny très exigeante, qui avait épuisé les jeunes femmes, mais, à chaque fois, la magie rose rechargeait leurs batteries.

Quand White Rabbit y arriva, Clara était membrée. Usant de ses pouvoirs, elle avait fait pointer sa verge, et prenait Shii en levrette, la sodomisant tandis que Tamako venait l’embrasser, se frottant contre elle. Tek_Usgai les observait, avant de se retourner vers cette apparition imprévue. Très vite, la Lapine sentit la magie rose autour d’elle, et inhala quelques gorgées, avant de se protéger… Autant que possible. Car la magie rose était la magie du désir, et le désir était très fort ici, rejaillissant sur le corps de White Rabbit. Usagi, qui embrassait fiévreusement et longuement la pauvre Saori, se retourna vers la nouvelle venue, un peu surprise.

White Rabbit la regarda doucement, fronçant les sourcils, avant de lui sourire, ses pupilles roses s’illuminant sur place. Surprise, son hôtesse la salua, et la Lapine sourit doucement, avant de décroiser les bras. Elle posa une main sur sa hanche, adoptant une posture sensuelle.

« Je suis White Rabbit, jeune femme ! J’ai suivi ces jeunes femmes. Enfin, j’ai senti la présence d’un pic magique, et, quand je suis venue, j’ai vu que le rituel qu’elles avaient utilisé dégageait encore un peu d’énergie, alors je l’ai réactivé pour les suivre jusqu’ici… »

Ceci témoignait d’un grand pouvoir magique, car réactiver un rituel magique n’était pas non plus à la portée du premier venu. White Rabbit était indéniablement une magicienne très puissante, mais, fort heureusement, elle ne cherchait pas la puissance, juste… À s’amuser !

« J’ai déjà entendu parler du Lys, mais je ne pensais pas qu’elles iraient jusque-là… Le meilleur brothel qui soit, hein ? Tu m’as l’air un peu présomptueuse, petite bunny ! Tu penses pouvoir être à la hauteur avec moi ? Ou peut-être que je peux juste repartir ? Après tout, s’infiltrer ici par une porte détournée, c’est très vilain, et cela mériterait bien une petite punition, non ? »

Elle parlait sur un ton savoureux, comme si elle jouait de la situation… Et, à dire vrai, qui, à sa place, n’en profiterait pas un peu ? Car tout ce qu’elle voyait ici lui donnait fortement envie de rester !

[Tek_Usagi]

La bunny girl se présente sous le nom de White Rabbit. Elle me dit qu’elle a suivi les lycéennes en réactivant le portail qu’elles avaient utilisé. Comme je n’y connais pas grand-chose en magie, je ne sais pas à quel point cela témoigne de son talent. Par contre, elle me trouve un peu arrogante en affirmant que le Lys est le meilleur brothel qui soit.

« Ah si madame, je vous assure. Il n’y a pas de meilleur endroit pour le plaisir des femmes que le Lys. »

Elle me demande alors si je pense être à la hauteur avec elle, ou si elle doit s’en aller dès maintenant. Cependant, vu le ton qu’elle emploie et la façon dont elle dit qu’elle veut être punie, je comprends bien qu’elle n’a pas vraiment envie de partir.

« Eh bien... malheureusement je ne suis pas une experte en punitions. »

Je viens me coller contre elle, pressant ma poitrine contre la sienne, entourant ses hanches avec mes bras et caressant ses fesses.

« Par contre, je sais comment m’y prendre... avec les beautés dans votre genre. Je vais vous montrer pourquoi le Lys... aaahhh... est le meilleur brothel pour femmes. »

Je viens embrasser White Rabbit, caressant ses lèvres avec les miennes avant d’ouvrir un passage dans sa bouche pour lui rouler une pelle. La bunny girl se montre très tactile avec moi, je sens ses mains dans mon dos qui caressent ma peau nue et me pelotent le derrière. Je la sens même jouer avec ma petite queue velue de lapine. Pas de doute, elle a envie de moi. Quand nos lèvres se séparent, je décide de jouer sur ce sentiment.

« Si vous êtes une cliente... je peux vous faire visiter l’établissement. Ca vous permettra de voir... ggyyuu... pourquoi nous sommes les meilleurs... dans les plaisirs féminins. Mais... si vous voulez être punie... aaahhh... je peux aussi vous jeter en pâture... à ces lycéennes en chaleur. Je me demande ce qu’elles feraient... avec une beauté torride... comme vous. »

Quand White Rabbit nous avait interrompues, j’étais en train de regarder Clara, maintenant membrée, prendre Shii en levrette pendant que Tamako, la petite sœur de Saori, se frottait contre elle. Et Saori était avec moi, tétant l’un de mes magnifiques melons. J’avais songé à en faire jaillir du lait, mais notre nouvelle invitée était arrivée avant. Maintenant, Saori est à quatre pattes face à Shii, lui roulant une pelle et accompagnant ses mouvements pendant qu’elle se fait baiser par Clara.

« Elles sont tellement excitées... je parie qu’elles ne feraient qu’une bouchée de vous. »

Je ne sais rien au sujet de White Rabbit, hormis que c’est une bunny girl, et c’est pour ça que je sais qu’elle ne pourra pas résister. Avec tous les aphrodisiaques qui flottent dans cette pièce, et à moins qu’elle soit immunisée, elle sera tellement en chaleur dans quelques secondes qu’elle se jettera sur l’une de nous pour assouvir sa soif.

« Au Lys... la volonté des clientes est absolue. Mais dans cette pièce... ooohhh... vous n’êtes pas des clientes. Vous êtes des intruses. Et les intruses... pyonnn... doivent être corrigées... selon la volonté de ma maîtresse. »

Je laisse White Rabbit regarder les adolescentes en train de baiser comme des folles, puis je me mets à côté d’elle, une main sur son joli petit cul, et je viens murmurer à son oreille.

« Alors je vous le demande : êtes-vous une cliente... ou une intruse ? »

[White Rabbit]

White Rabbit sourit doucement face à la bunny girl. Elle ne lui indiqua pas son nom, mais la salua par un long et sensuel baiser. La Lapine ferma les yeux doucement, savourant la magnifique bouche de sa partenaire. Ses lèvres étaient chaudes, tendres, savoureuses, mielleuses, et elle sentit la bunny girl trembler doucement quand ses mains glissèrent sur ses hanches. Son corps généreux s’aplatit contre le sien. Son hôtesse était un peu plus grande qu’elle, et fourra sa langue dans sa bouche. La Lapine lui répondit avec appétit, sa salive exhalant de la magie rose, une délicate fumée qui l’enivrait, se mélangeant à l’atmosphère de luxure et de magie ambiante. Bien évidemment, en descendant, ses mains finirent par se poser sur la croupe d’Usagi, palpant doucement ses fesses, ses mains gantées appuyant volontiers sur le pompon faisant office de queue.

Un doux sourire éclaira ensuite les lèvres de la Lapine, qui frotta son nez contre le sien. Elles restèrent sensuellement lovées l’une contre l’autre pendant quelques instants, avant qu’Usagi ne glisse sa main dans la sienne, et ne lui présente leur public. Quatre lycéennes… Et White Rabbit constata rapidement que l’une des quatre était vierge. Elle était après tout une experte de la magie rose, et nota une forte concentration chez Clara.

*Elle a reçu une formation…*

Une nature de succube perlait en elle, et, d’ici quelques instants, elle se transformerait sûrement. Cet endroit lui rappelait le Monde Érotique de Lust, elle y sentait la même puissance divine. Oui, elle n’était plus sur Terre, ni dans les Mondes-Cœurs des Rayons, elle était sur un plan astral séparé, une pocket dimension à l’instar du Monde Érotique. C’était vraiment très impressionnant ! White Rabbit ne tarda pas à identifier l’aura entourant ces jeunes femmes, et fronça les sourcils en voyant, à hauteur du cou des jeunes filles, deux petits trous.

*Des canines… Oh… Je vois, tout s’explique !*

Elles étaient des esclaves de Mélinda Warren, une vampire esclavagiste qui avait ses entrées dans le Lys. Ceci expliquait sûrement comment ces jeunes femmes, inexpérimentées et novices, avaient réussi à ouvrir un Portail vers le Lys. Honnêtement, c’était un exploit assez incroyable ! White Rabbit se rapprocha du lit, voyant un trio dans un angle, Clara besognant Shii pendant que Saori l’embrassait, et que Tamako, elle, s’impatientait sur le lit, hésitant à rejoindre les deux lapines.

Usagi lui parla ensuite, et White Rabbit sentit sur elle un frisson d’excitation, une vague de désir qui remontait dans son corps. Une boule chaude se formait dans le creux de son ventre. Même elle, avec ses talents, n’arrivait pas à lutter contre cette énergie, tandis qu’Usagi la titillait. Pourtant, même si l’hôtesse parlait de punition, elle avait effectivement l’air d’avoir le profil d’une soumise, de sorte que cela surprenait White Rabbit.

Fermant doucement les yeux, Jaina sourit malicieusement en tournant la tête sur le côté.

« À vrai dire, je suis plutôt une vilaine, ma chère amie… »

Sa main remonta vers l’arrière, et caressa la douce joue d’Usagi.

« Cependant, je crois que la jeune fille sur le lit a très envie que tu lui prennes sa virginité… Tu la fais attendre depuis le début, hein ? »

Elle remuait doucement son corps, ne manifestant aucun signe de refus à l’idée qu’une main soit en train de lui palper les fesses. Au contraire, même, cela semblait l’exciter plus qu’autre chose ! Provocatrice, sulfureuse, elle soupira encore, se pinçant les lèvres.

« Montre-moi donc, ma belle… Punis-moi. »

Oh oui ! Elle aussi, elle cédait à cette drogue névralgique, à ce désir qui remontait furieusement en elle, qui l’envahissait petit à petit…

[Tek_Usagi]

La question est simple : est-ce que White Rabbit veut être traitée comme une cliente ou comme une intruse ? De mon point de vue, le traitement réservé aux lycéennes n’a rien de reluisant, alors je me dis qu’elle va préférer être une cliente, mais voilà qu’elle me demande de la punir, qu’elle préfère être une vilaine. Elle me demande aussi si je fais attendre Saori exprès.

« Ordre de ma patronne. Comme elle est encore vierge, on prépare quelque chose de très spécial pour elle. On l’excite au maximum, mais on ne la fait jamais jouir pour que la chaleur monte bien en elle et qu’elle ne pense plus à rien d’autre qu’au sexe. Et dès que ça commence à la faire souffrir, des futas viennent ici pour la baiser. Tournante et gang-bang, la totale. Et croyez-moi, il n’est pas prévu que ce soit doux. Cette petite cochonne va hurler son plaisir pendant un bon moment.
Pour les trois autres, on les laisse juste se fatiguer. Les aphrodisiaques leur ont retourné la tête, elles feront l’amour jusqu’à ce qu’elles n’en puissent plus. »

Je ne comprends pas ce qu’on peut trouver de plaisant dans cette situation, mais puisque la bunny girl tient tant à se faire punir, je ne vais pas l’en empêcher. Après tout, elle est entrée ici sans autorisation, donc elle a droit au même traitement que les autres.

« Vous êtes sûre de vouloir que ce soit moi qui vous punisse ? Je suis pas vraiment une experte en la matière. On a des dominatrices ici qui connaissent mieux le sujet que moi. »

Mais rien à faire, elle veut que ce soit moi. Je crois que les aphrodisiaques commencent à lui monter à la tête.

« Bon, dans ce cas... suivez-moi. »

Pour éviter que Saori n’ait la mauvaise idée de se mêler à la petite orgie de ses camarades, je la prends aussi avec nous. On m’a dit de l’empêcher de se soulager avant l’arrivée des futas, alors je dois garder un œil sur elle.

Je me rends avec White Rabbit dans un coin de la pièce, là où se trouve tout le matériel nécessaire pour punir les vilaines filles : des tas de plugs, des godes, des cravaches, des fouets, des potions... et surtout, une magnifique croix de saint André accrochée au mur pour attacher la victime. Je regarde les outils à ma disposition et je décide de ce que je veux faire. Et pour me fonde au mieux dans le rôle, j’essaie d’imiter les dominatrices avec lesquelles j’ai pu coucher.

« Déshabille-toi. »

J’essaie de prendre un ton ferme mais pas trop cassant non plus, je ne veux pas passer pour une brute. White Rabbit retire ses vêtements les uns après les autres jusqu’à n’avoir plus sur elle que ses gants, ses collants, son masque et ses oreilles de lapine. Je lui tends une petite fiole remplie d’un liquide rose fluo.

« Bois ça. »

Encore une fois, elle obéit. Je ne sais pas si j’ai une autorité naturelle ou si elle veut juste me laisser faire, mais en tout cas elle boit le contenu de la fiole. Après ça, je l’attache à la croix sur le mur et je m’assure qu’elle ne peut pas s’échapper. Après quelques secondes, les effets de la potion commencent à se faire sentir.

« Ça y est, tu as chaud ? Parfait. »

Je pose ma main sur sa joue, et elle sent une vague de plaisir la parcourir comme si je lui avais pincé le téton.

« Ça te plaît hein ? La potion que je t’ai faite boire va peu à peu transformer tout ton corps en zone érogène. Bientôt, te prendre la main aura autant d’effet sur toi qu’une bonne claque sur ton cul. »

Je vais prendre une cravache et je passe le bout sur son visage, descendant lentement vers sa poitrine.

« Alors... ça te plaît toujours d’être une intruse ? »

[White Rabbit]

Un traitement spécial pour Saori… La Lapine notait tout cela. Le Lys avait l’air d’être un endroit très agréable. En furetant autour du lycée Jinmu, White Rabbit avait eu l’occasion de coucher avec quelques lycéennes. Oh, il y avait eu sa folle aventure avec Harley Quinn, mais, en rencontrant une petite blondinette portant sur elle la marque de Lust, White Rabbit avait pu découvrir le Monde Érotique de Lust. Un vaste plan astral qui, sur le principe, devait un peu ressembler au Lys, à savoir un endroit uniquement animé par le plaisir, par le sexe, par la recherche de plaisir corporel et de désir phallique et saphique. La magie rose était puissante ici, et Usagi expliqua à White Rabbit que Saori avait reçu un traitement spécial, qu’elle devait rester vierge jusqu’à ce que des Futanaris viennent la baiser. La Lapine s’en pinça doucement les lèvres, tandis que son hôte lui demanda si elle voulait vraiment être sûre d’être punie par elle.

White Rabbit sourit sensuellement, amusée, en comprenant qu’Usagi était sans doute davantage une masochiste qu’une dominatrice.

« Si tu ne me punis pas, ma chérie, c’est moi qui te punirai ! »

Elle était donc résolue, et lui sourit malicieusement. Usagi la guida ensuite jusqu’à une autre partie de la salle, emmenant Saori avec elles. La jeune lycéenne avait du mal à retenir sa salive, et même à marcher, tant elle ruisselait.

« Pitié Maîtresse, je veux me faire baiser… J’ai si chaud entre mes cuisses, Maîtresses, pitié… »

Mais Usagi estimait qu’elle n’était pas encore suffisamment dégradée. Elle l’attacha sur une chaise devant le coin torture, et lui mit un gag-ball sur les lèvres, afin qu’elle ne vienne pas, par ses gémissements, les déranger. Usagi inspêcta ensuite différents objets, et ordonna à la bunny girl de se déshabiller. Celle-ci obtempéra sans crainte, ôtant son corset puis sa culotte rose, et sourit doucement. Elle se rapprocha de Saori, et caressa ses cheveux d’une main. Son intimité était parfaitement épilée, et elle défit alors légèrement le gag-ball, puis fourra ensuite sa culotte dans sa bouche. Saori couina doucement en se tortillant sur place, et White Rabbit repositionna ensuite le gag ball de manière à empêcher la jeune femme de le retirer.

Elle lui fit ensuite un bref clin d’œil provocateur, et la Lapine termina en lui soufflant un baiser.

« Comme ça, petite traînée, tu auras ma douce odeur sucrée… »

La magicienne se retourna ensuite vers Usagi. Délicieusement nue, elle exhibait ses magnifiques formes sensuelles, son corps de poupée. Elle était épilée à la perfection, sans aucun poil de trop, et avala sans problème le bonbon qu’Usagi lui présenta. La Lapine croqua doucement dedans, et frémit en sentant son corps trembler sur place. Ses veines se recouvrirent d’une lueur rose pendant quelques secondes, et elle gémit à nouveau, sentant ce liquide magique se diluer en elle, venant furieusement l’exciter. Elle comprit vite à quoi Usagi faisait référence quand celle-ci traîna son doigt sur son visage, déclenchant en elle des frissons de plaisir.

« Hm, ça a l’air… Haaa… Très efficace, hmmm… »

Elle vit Usagi récupérer une cravache, et sourit lentement, se pinçant à nouveau les lèvres, et lécha sa cravache.

« C’est un excellent début qui me donne envie d’en voir bien plus… confessa-t-elle sensuellement. Mais sauras-tu bien tenir en laisse l’intruse que je suis ? »

[Tek_Usagi]

Je ne suis pas une dominante. Je n’ai ce corps que depuis quelques mois, je n’y suis pas encore complètement habituée. Tous ces clichés qu’on voit dans les séries et les animes du garçon qui se transforme en fille... moi je les ai vécus. Mais le désir du client fait loi ici, donc je me mets à punir White Rabbit pour son intrusion. La potion que je lui ai faite boire va peu à peu transformer son corps entier en une immense zone érogène, à tel pont qu’une simple caresse sur la main lui paraîtra être un enchantement aussi divin que si on lui broutait le minou. Je croyais que la vue de la cravache couplée à l’avancée progressive de l’effet sur le plaisir ferait un peu paniquer la lapine blanche, et qu’elle commencerait à se dire qu’être une intruse n’était pas si bien que ça, mais au lieu de ça, elle me dit qu’elle a hâte d’en voir plus, elle laisse même sous-entendre que je ne serai peut-être pas capable de la tenir en laisse.

« Ah tu crois ça ? Eh bien... euh... oh, je sais ! »

Le mot laisse m’a donné une idée. Je vais chercher un collier parmi les outils SM qu’on m’a laissé à disposition, et je l’attache au cou de notre intruse. Ce collier va de pair avec une laisse, que j’accroche avant de la prendre en main.

« C’est un collier d’étranglement, un outil parfait pour punir les sales traînées dans ton genre. Si tu essaies d’échapper à ta punition ou de me défier d’une quelconque façon... »

Je tire sur la laisse pour lui faire une démonstration, et le collier se resserre autour de son cou. Je dois avouer que je ne suis pas très à l’aise avec l’idée d’étouffer une amante pendant l’amour, mais puisqu’elle tient tant à être punie, je ne vais pas la ménager. En plus, les autres dominatrices m’ont assuré que ça ne présentait pas de risque. Même en serrant au maximum, le collier n’empêche pas de respirer, il provoque juste une sensation passagère d’étouffement.

Pendant que l’effet de la potion se propage peu à peu dans le corps de White Rabbit, je caresse son corps avec ma cravache, observant la façon dont elle devient peu à peu une grosse boule de plaisir. Je lui mets une petite claque sur une main pour voir comment elle réagit.

« On dirait que la potion a gagné tout ton corps. Maintenant... on va pouvoir s’amuser. »

Je viens prendre l’une de ses mains dans la mienne. Je la serre doucement, je la caresse comme je le ferais avec l’un de ses seins, et je vois son visage s’illuminer de plaisir. Je tire un peu sur le collier pour diminuer son flux d’air.

« Tu vois, c’est ça qu’on réserve aux intruses ici : du plaisir, mais avec toujours une petite punition derrière. »

Ma main remonte ensuite le long de son bras, doucement. Je savoure pleinement la douceur de sa peau sous mes doigts, tout comme son visage rouge et étiré par le plaisir. En même temps, ma cravache glisse le long de sa hanche, caressant la rondeur de ses fesses, je vais même tapoter un peu son derrière avec le bout.

« Tu la veux pas vrai ? »

Je lèche mes doigts pour les recouvrir de ma salive et je les glisse dans la bouche de ma prisonnière.

« Alors je veux t’entendre m’implorer. Dis-moi que tu as envie d’être punie plus que tout. Dis-moi que tu veux être ma soumise, que tu obéiras au moindre de mes ordres pour que je te donne du plaisir, et que tu préférerais être enchaînée ici pour toujours plutôt que d’être privée de punition. »

J’espère que je joue bien mon rôle. J’ai l’impression d’en faire un peu trop parfois...

[White Rabbit]

White Rabbit s’amusa en sentant les hésitations d’Usagi, à tel point qu’elle se demanda même si son hôte était vraiment dominatrice. Si certaines personnes étaient capables de varier les deux, généralement, il y avait toujours une facette qu’on préférait. Et, tandis qu’Usagi câlinait la Lapine, celle-ci en vint à se dire que sa partenaire se forçait, utilisant la magie pour se donner le rôle d’une dominatrice. Aussi frivole et écervelée soit-elle, White Rabbit restait tout de même très observatrice, et elle se demandait sincèrement si, au fond, Usagi ne voulait pas qu’on la soumette. La Lapine laissait en tout cas celle-ci lui mettre un collier relié à une laisse, et, ensuite, la bunny girl la caressa.

De simples caresses devenaient exquises, et, même avec son contrôle de la magie rose, White Rabbit se sentait transportée, incapable de pouvoir repousser les vagues de désir remuant en elle. Elle se dandina sur place, se tortilla doucement, et gémit encore, fermant les yeux, se pinçant les lèvres. Elle se contenta de caresser l’une des mains de la Lapine, qui sentit son culotte s’humidifier après le contact de la cravache. Elle se força néanmoins à regarder sa partenaire, tentant de soutenir son regard, même si le désir croissait furieusement en elle.

Usagi continua à la titiller, caressant son bras, et sa cravache glissa sur les généreuses fesses de White Rabbit. Celle-ci avait un cul magnifique, très bien rebondi, et elle frissonna sur place, se mordillant les lèvres en sentant la cravache glisser sur son corps, frottant sa peau. Est-ce qu’elle voulait se faire fesser à ce moment-là avec cette cravache ?

*Oh oui !*

Bien sûr qu’elle en avait envie : Mais Usagi imposa ses conditions, et la Lapine sourit mielleusement. Elle pencha la tête sur le côté, semblant réfléchir, et se retourna alors. Elle présenta ainsi son postérieur à Usagi, et s’appuya contre le mur, bombant ensuite son fessier vers l’arrière. Son cul se tendit ainsi, et elle soupira à nouveau.

« Oh, Maîtresse, je sais que j’ai mal agi ! Je suis entrée ici sans autorisation, par une porte dérobée… Et je vous provoque impunément ! Je mérite d’être punie, je mérite que vous me fessiez, je mérite que vous fassiez claquer votre cravache sur mon petit cul insolent, ce petit cul qui vous fait de l’envie… »

La magie rose, White Rabbit la maîtrisait aussi, et elle l’utilisait à son tour, comme pour tenter de perturber Usagi, de l’amener à se lâcher elle aussi. Est-ce qu’elle allait réussir ? Ou peut-être que non ? Mais elle n’était pas une simple minette qui viendrait obéir docilement, et ça, Usagi allait pouvoir le constater !

[Tek_Usagi]

White Rabbit reconnaît bien volontiers qu’elle est une vilaine fille et qu’elle a envie de se faire punir avec une bonne fessée. Mais tout à coup, je sens quelque chose frissonner en moi. Sa voix me fait de l’effet, comme si ses mots caressaient mes oreilles et titillaient mon désir. Et j’ai passé assez de temps au Lys pour reconnaître ce genre d’effets.

« Aahh... tu utilises la magie rose... sur moi ? Tu veux vraiment... hhhmmm... que je me fâche ? »

Mais plus je lui montre que je suis contrariée, plus elle se sert de ses pouvoirs pour me charmer. Je ne peux pas m’empêcher de mouiller en l’écoutant, mais je ne dois pas me laisser amadouer.

« Tu veux une fessée ? Parfait, tu vas l’avoir. »

Je détache la bunny girl de la croix de Sant-André pour aussitôt la rattacher, mais cette fois avec son dos face à moi. Je peux enfin voir son si joli petit cul, qu’elle agite insolemment devant mes yeux pour me provoquer encore plus. En la voyant ainsi, j’ai envie de me jeter sur ce postérieur rebondi et de le couvrir de baisers et de caresses, mais je dois rester dans mon rôle. J’envoie ma cravache s’abattre sur ses fesses dans un claquement sonore.

« Tu aimes ça hein ? Sale traînée. »

Vu comme elle couine, j’en conclus que je peux y aller sans trop de retenue. Pendant les minutes qui suivent, je multiplie les coups de cravache sur son derrière, lui faisant rapidement prendre une jolie teinte rouge. Le problème, c’est qu’en plus de gémir, cette perverse continue de me séduire avec sa magie rose et ses paroles sirupeuses. J’ai envie de la détacher de cette croix, de la traîner dans une chambre et de lui faire brouter mon minou jusqu’à ce que je jouisse en rafale. Mais je ne dois pas céder à la tentation. Elle a enfreint les règles du Lys, elle doit être punie.

Après m’être bien défoulée sur le derrière de White Rabbit, j’ai réussi à la faire jouir deux fois, et moi je sens que ça ne va pas tarder. Je ne sais pas si, en tant que dominante, je peux rester sérieuse alors que la magie rose de ma soumise s’insinue lentement en moi, mais ce n’est pas comme si je pouvais l’en empêcher.

« Aaahhh... tu... tu es vraiment... une vilaine rebelle. Je ne crois pas que tu puisses... hhhmmm... apprendre de cette façon. »

Mais que faire d’autre ? Je peux lui mettre des sextoys dans les orifices, l’insulter, la fouetter... non seulement elle aime ça, mais en plus elle en redemande. Je me retrouve très vite à court d’idées, et mes cuisses sont complètement trempées de ma mouille.

« Tu es sûre... que tu ne veux pas... ooohhh... que j’appelle... une vraie dominante ? »

[White Rabbit]

White Rabbit était en train de s’amuser avec Tek-Usagi, qui réalisait peu à peu que, en cherchant à soumettre la Lapine, c’était elle-même qui se soumettait. Si la magicienne avait choisi de prendre comme apparence une bunny girl, ce n’était pas que pour le côté super-sexy de sa nouvelle forme. La Lapine avait d’autres projets également, notamment celui de ne plus jamais être à nouveau capturée. Quoi de mieux, pour cela, que l’image d’Épinal du sempiternel lapin fuyard ? Celui qu’Alice ne capture jamais et poursuit dans l’œuvre de Lewis Carroll, celui qui échappe au chasseur perpétuellement par sa vitesse et sa ruse, ce Bugs Bunny qui échappait sans cesse aux innombrables pièges du Chasseur… Elle avait donc choisi cette forme pour bien des raisons, mais pour une seule finalité : l’expression de sa liberté. Amorale, ni spécialement bonne ni spécialement mauvaise, elle était un électron libre, sans affiliation, pure expression du « ça » inconscient freudien.

Dans son dos, Usagi avait bien du mal à lutter contre elle, car, si le Lys était saturé d’une magie rose comme la Lapine n’en avait encore jamais ressenti, elle était elle-même une puissante magicienne, qui baignait ici dans un univers qu’elle connaissait. Et, au vu de sa mentalité, White Rabbit ne pouvait guère s’imaginer en soumise. Ce rôle factice qu’elle jouait n’était destiné qu’à une seule chose : démontrer à sa partenaire qu’il était impensable d’imaginer White Rabbit se contenter d’un rôle de soumise.

« Hmmmm… Haaaa… »

Pour autant, il ne fallait pas croire qu’elle avait réussi à ériger autour d’elle un mur, une bulle qui repousserait la magie rose. Non, elle se contentait de s’en imprégner, de s’ne immerger, et de flotter avec. Les fessées de sa partenaire déclenchèrent bien naturellement quelques orgasmes, car la Lapine devait s’adapter à cet environnement… Mais elle finit par sourire quand Usagi, confuse, lui demanda s’il ne fallait pas une autre dominatrice pour elle.

Souriant lentement, la Lapine, qui s’était appuyée contre le mur en se déhanchant, se retourna alors. Ses yeux luisaient encore plus forts, et elle augmenta ses spores aphrodisiaques, ce qui était d’autant plus simple que l’air du Lys était saturé de magie. Elle concentra ses efforts sur Usagi, ses yeux pénétrants se fixant sur les siens, un regard hypnotique et sensuel, aux iris violets… Irrésistible. Elle sentit sa partenaire céder, comme une paire de deux face à un flush royal.

« Une dominante pour qui, hm ? Pour moi… »

Laissant sa phrase en suspens, la Lapine se glissa alors dans le dos de sa partenaire, et frotta ses seins contre son dos, venant alors attraper ses poignets avec ses mains, et l’embrassa dans le creux du cou, avant de mordiller sa chair, marquant d’un suçon sa prise. Elle remonta ensuite contre son oreille, léchant sa peau, et reprit :

« …Ou pour toi ? »

Une dernière phrase troublante, tandis que la Lapine se concentra encore.

« Je sens quelque chose de spécial en toi, au fond de ton être… Comme une dissonance sexuelle… »

Ressentait-elle qu’Usagi était à la base un homme transformé en femme ici ? La magie rose était très puissante, permettant potentiellement de faire cela, mais il allait falloir que la Lapine découvre tôt ou tard qui avait créé cet univers, qui était responsable de toute cette magie environnante.

Mais, pour l’heure, White Rabbit glissa sa main entre les cuisses trempées d’Usagi, et caressa son sexe sous sa culotte. Elle nicha deux doigts, tandis que, avec son autre main, elle pinçait l’un des généreux seins de sa partenaire à hauteur du téton, ce qui l’amena à se cambrer sur place, tout en gémissant à nouveau. Un doux sourire onctueux orna les lèvres de la Lapine, qui continua son office, la masturbant frénétiquement, concentrant un sortilège autour de ses doigts…

…Et elle fit finalement jaillir la verge d’Usagi, son sexe d’homme qui rejaillit sous forme hermaphrodite. Elle se délecta des couinements de la jeune femme.

« Ce sera moi, ta Maîtresse, jeune insolente… Toi qui as cru pouvoir me dompter, tu seras désormais mon esclave. Au fond de toi, c’est ce que tu veux. Regarde comme ta bite palpite, elle attend avec impatience de m’obéir… Tu es ma petite lapine, ma délicieuse chienne ! »

Tout en prononçant cela d’une voix basse et sensuelle, White Rabbit faisait appel à sa magie rose, séduisant et envoûtant lourdement sa partenaire…

[Tek_Usagi]

J’essaie de garder la tête aussi froide que possible face à White Rabbit, mais cette dernière est douée avec la magie rose. Et quand je la vois faire sauter les attaches de la croix de Saint-André pour pouvoir se tourner vers moi, je réalise qu’elle n’a jamais vraiment été ma prisonnière. Après avoir croisé son regard, je reste fixée sur ses yeux. Son regard sensuel et hypnotique, ses iris violets scintillants… il y a quelque chose d’irrésistible dedans.

« Aaahhh… je… hhhmmm… »

Je suis en train de perdre le contrôle. White Rabit se libère de la croix et vient se mettre dans mon dos. Je sens ses seins moelleux contre mon corps, ses mains qui me tiennent par les poignets, sa bouche qui embrasse et suce la peau de mon cou. Alors elle me demande si c’est elle qui a besoin d’une dominatrice, ou bien moi.

« Ooohhh ! »

Les mains agiles de la bunny-girl viennent se poser sur l’avant de mon corps. L’une d’elles me pince les seins aux niveaux des tétons, tandis que l’autre glisse sous ma culotte pour venir me doigter frénétiquement. Le plaisir m’envahit très vite, me rendant encore plus vulnérable à sa séduction. Et pour compléter le tableau, elle finit par utiliser sa magie rose pour me faire prendre ma forme d’hermaphrodite.

« AAAHHH ! »

Toutes les filles du Lys peuvent avoir un sexe masculin entre les jambes sur demande, mais normalement, c’est à nous d’invoquer la magie qui nous permet de changer de forme. Là, White Rabbit a forcé le sortilège grâce à sa propre magie, une autre preuve qu’elle prend le dessus sur moi.

Quand ma verge tendue émerge entre mes cuisses, je sens que l’orgasme est tout proche. Et évidemment, c’est à ce moment que l’intruse que j’étais censée gérer se met à formuler ses exigences. Désormais, elle veut être la maîtresse, et elle veut que je lui obéisse. Elle dit même que c’est ce que je veux, à la façon dont mon sexe s’agite entre ses doigts. Et malheureusement, je crois qu’elle a raison.

« Hhhmmm… »

Depuis que je suis au Lys, je n’ai jamais eu le comportement d’une dominatrice. J’ai toujours été du genre à me plier aux désirs des autres, et la demoiselle a dû le deviner. Sa magie rose m’envoûte et me charme toujours plus, je sais que je ne peux pas lui résister, alors je finis par craquer.

« Oui maîtresse… je veux vous servir... ooohhh. Je veux… me soumettre à vous. Aaahhh… être votre petite lapine… docile et obéissante. »

Je vais sans doute me faire disputer par Tama plus tard pour avoir cédé, mais pour l’instant, tout ce que j’ai en tête, c’est le désir qui me dévore de l’intérieur. Je me retrouve donc à genoux devant celle que j’étais censée punir pour son intrusion, prête à exécuter le moindre de ses ordres avec pour récompense la promesse de pouvoir utiliser la grosse carotte qui pointe entre mes jambes. Et pour commencer, je dois lui lécher les pieds comme une bonne chienne.

« Tout de suite maîtresse. »

Je me mets à quatre pattes devant ma plantureuse amante et je commence à embrasser ses pieds. Et le plus dramatique dans cette histoire... c’est que ça m’excite beaucoup. Je prends plaisir à m’occuper ainsi de ses pieds, à en lécher la plante, à caresser ses orteils entre mes lèvres, à les couvrir de baisers en remontant un peu sur ses jambes. Quelque chose me dit qu’elle a déjà prévu des tas de punitions pour moi, et je sens que je vais adorer ça.

[White Rabbit]

Usagi avait-elle vraiment cru que de simples liens sur une croix de Saint-André pourrait la retenir ? La Lapine, qui avait passé des siècles dans un sarcophage verrouillé magiquement, n’avait eu aucune difficulté à en sortir, et à retourner les choses. Un endroit comme le Lys ne pouvait que plaire à White Rabbit, qui maîtrisait déjà très bien la magie rose. Batman avait été à ce jour la seule personne à lui résister vraiment, car elle avait pu séduire et envoûter d’autres super-vilains de Gotham sans aucune difficulté, comme Clayface, ou Bane… Mais le Chevalier Noir avait prouvé sa dangerosité. Elle était ensuite partie à Yoake, car son âme était reliée à celle de Jaina, et Jaina avait décidé d’étudier au Japon, à Yoake, afin de pouvoir aussi se renseigner sur leur pouvoir commun.

Pour en revenir au moment présent, White Rabbit retourna donc Usagi, qui se retourna vers elle. Son vit palpitait furieusement, et White Rabbit aurait alors pu, d’une seule poussée, la faire jouir. Elle n’en fit rien, s’amusant de cette situation, et l’empêcha même de jouir, utilisant pour cela la redoutable magie rose. Elle s’écarta donc, entendant un agréable « Maîtresse » s’échapper des lèvres pulpeuses d’Usagi. Ses mains se posèrent sur les joues rouges d’Usagi, et un sourire victorieux étira les lèvres de la jeune femme.

« J’aime mieux ça, ma petite lapine… »

Et White Rabbit l’embrassa à nouveau, sensuellement. Sa langue s’enfonça dans la bouche de sa partenaire pour un ballet sensuel et dominateur. Belle et fatale, White Rabbit était un peu comme Poison Ivy. Si l’Empoisonneuse libérait des spores aphrodisiaques, elle, elle relâchait des émanations de magie rose très régulièrement. Impossible de lutter contre cela, surtout pour sa délicieuse partenaire, qui succombait peu à peu aux talents buccaux et magiques de la Lapine. Elle allait sans doute le regretter par la suite, vu qu’elle s’imposait dans un endroit où, de base, elle n’avait pas à être… Mais, pour la Lapine, contrairement à sa jumelle Jaina, la vie prenait bien moins d’intérêt quand on se contentait de respecter les règles !

La Lapine mit donc fin au baiser, non sans avoir frotté lentement sa culotte contre la membrane chaude d’Usagi, ce sexe impatient, ce phallus qui se tendait furieusement en défiant la gravité pour pointer vers l’objet de tous ses désirs. Elle s’écarta, et jeta un bref regard vers les adolescentes, toujours occupées à copuler. Il n’y avait guère que Saori qui les regardait avec impatience, étant toujours vierge, et qui avait louché avec insistance sur la verge d’Usagi. Sentir sa frustration était exquis, et fit doucement sourire White Rabbit. Mais, avant de s’en occuper, la femme s’assit sur un fauteuil agréable, et croisa les jambes devant Usagi.

« Très bien, ma petite lapine… Alors, viens à quatre pattes, et lèche mes belles jambes. Elles t’attirent, non, dans mes superbes collants ? Et je suis sûre que tu es une grosse fétichiste ! »

Elle laissa la femme s’exécuter, celle-ci ne rechignant pas une seconde. White Rabbit sourit encore. Habituellement, elle aimait bien jouer avec ses proies, concevant le sexe comme une sorte de cerise sur un gros gâteau festif, mais ici, la magie rose du Lys influait aussi sur elle, et sur ses réactions… Ce qui l’amena ensuite à claquer des doigts.

« Saori ! Viens par là, petite catin ! »

L’intéressée obtempéra et se retrouva à côté de White Rabbit, observant en rougissant la scène.

« Sois gentille, mon cœur, et peut-être que tu pourras sentir la grosse queue d’Usagi dans ta petite chatte… Va chercher un martinet, je veux que tu fesses le petit cul de ma récente esclave, elle a très envie que je la punisse, car c’est une perverse masochiste… »

Sa voix n’était pas forcément autoritaire, plutôt fluette, doucereuse, mais néanmoins empreinte d’une certaine forme de domination.

Oh oui, elle allait se régaler ici !

[Tek_Usagi]

White Rabbit a vu clair en moi. Elle a compris que je n’ai pas le caractère d’une dominante, et maintenant que sa magie rose m’a envoûtée, je ne peux que lui obéir en espérant qu’elle me récompensera en me laissant jouir avec la grosse carotte qui tend entre mes jambes. Me voilà donc à quatre pattes devant elle, léchant ses magnifiques jambes dans ses superbes collants. Même si je sais que j’ai perdu face à elle, lui lécher les jambes est un vrai plaisir. Je prends le temps de savourer la sensation de ses collants sur ma langue, et de sa peau là où elle est encore à nue. J’aimerais pouvoir remonter jusqu’à son entrejambe pour déguster le bon goût de sa mouille, mais je ne le ferai pas tant qu’elle ne m’y autorisera pas. Je ne tiens pas à m’attirer ses foudres.

Soudainement, ma maîtresse décide de rendre la situation plus amusante, et elle détache Saori avant de lui ordonner de venir. La jeune fille, trop hébétée par le plaisir pour réfléchir, se contente d’obéir docilement. D’une voix douce et légèrement autoritaire, elle lui ordonne d’aller chercher un martinet pour me donner une fessée, l’attirant avec la possible promesse de sentir ma belle verge dans sa chatte trempée.

« Quoi ? Mais, maîtresse… »

La privation de tout plaisir fait partie de la punition de Saori pour s’être introduite dans le Lys par des moyens interdits. Elle n’est pas censée recevoir quoi que ce soit avant que les futas ne viennent s’occuper d’elle. Malheureusement, dès que j’essaie de protester un peu, White Rabbit utilise sa magie rose pour m’amadouer et je ne pense plus alors qu’à lui lécher les jambes.

Je sens Saori qui passe dans mon dos, et je sens les lanières de cuir qui caressent mes fesses. Oui c’est vrai, je suis excitée à l’idée d’être fessée, et je ne dirais pas non à l’idée de pilonner la chatte trempée de cette lycéenne. Mais je sais que dès que les autres futas vont arriver, elles vont me faire ma fête pour avoir à ce point perdu le contrôle de la situation. J’aimerais pouvoir écouter ma tête, me ressaisir et aller chercher de l’aide pour enchaîner à nouveau White Rabbit... mais je ne peux pas. Tout mon corps est en feu à cause de la magie rose, je ne peux plus penser à autre chose qu’à mon envie irrépressible de sexe, et je suis prête à tout pour la satisfaire. Donc, quand le premier coup de martinet s’abat sur mon derrière, je ne retiens pas ma voix.

« Pppyyyooonnn !!! »

Les minutes suivantes ne sont pour moi qu’un immense moment de délice. Tandis que je m’évertue à lécher chaque recoin des jambes de ma maîtresse, je sens les lanières de cuir du martinet qui tombent sans relâche sur mes fesses rebondies, envoyant des vibrations de plaisir dans tout mon corps. Mais ce plaisir s’accompagne aussi de frustration, parce que même avec tout ce qui m’arrive, je n’arrive pas à jouir. Ma verge se tend, encore et encore, je peux presque sentir la semence qui monte dedans, mais rien à faire, je n’éjacule pas. Ca ne m’étonnerait pas que la magie rose soit encore à l’œuvre.

« Aaahhh... ooouuuhhh... pppyyyooonnn !!! »

Je ne sais pas si ça a duré une minute ou une heure, mais finalement, White Rabbit ordonne que la fessée s’arrête. Je lève la tête et je plonge à nouveau mon regard dans le sien, me laissant encore envoûter par ses iris brillants de magie rose.

« Alors maîtresse... aaahhh... je fais quoi maintenant ? »

[White Rabbit]

La magie rose ! Elle flottait ici, tout autour d’elle ! La Lapine n’avait jamais été dans un tel environnement, mais, ici, elle se régalait. Si le Lys l’envoûtait, l’établissement augmentait aussi ses pouvoirs, et le résultat final était très impressionnant. Assise sur un fauteuil devant Usagi, elle crispait ses mains, sentant le désir l’envahir elle aussi. Il était difficile de la repousser, difficile de repousser cette vague de désir qui s’insinuait en elle, qui faisait gonfler ses seins, durcir ses tétons, et qui excitait ses sens très rapidement. Elle se tortillait sur place, tandis que Usagi se positionnait. Face à elle, la jeune femme était confuse, commençant par rappeler à White Rabbit que ce n’était pas à elle de punir Saori… Ce qui amena rapidement la Lapine à lui répondre :

« C’est moi qui décide qui se fait baiser dans cette pièce, Usagi ! As-tu oublié que j’étais la Maîtresse ? »

C’était aussi simple que ça, une sorte d’autorité tranquille et douce, fondée sur la luxure, fondée sur son corps parfait. White Rabbit laissa le visage de sa partenaire venir lécher ses bottes, remontant dessus. C’était un contact agréable, qui la fit sourire doucement. S’appuyant avec une main sur la tête, penchée sur le côté, la Lapine observait cela sans rien dire. Ses yeux luisaient doucement, et sa langue glissait donc sur les longs collants blancs de la Lapine. Le contact devait être très agréable, et la Lapine devait bien admettre qu’elle adorait ça.

Souriant encore, elle laissait Usagi agir, tandis que Saori commençait à abattre son martinet. Ce contact était très amusant pour White Rabbit, qui voyait Usagi lutter contre différentes pulsions. Elle avait envie de suivre les instructions qu’elle avait reçue des autres membres du Lys, mais, de l’autre côté, ses pulsions masochistes venaient la contrer, l’amenant à en vouloir davantage. Ses gémissements quand Saori abattait le martinet sur sa croupe étaient plus qu’évocateurs ! White Rabbit ne pouvait donc que s’amuser, tout en empêchant évidemment la Bunny girl de jouir. Elle pouvait sentir sa belle queue se tendre, mais il était assez aisé, pour elle, de l’empêcher de jouir. Elle usait pour cela de sa maîtrise de la magie rose, une maîtrise que Usagi n’avait pas, pour pouvoir ainsi la soumettre.

« Tu gémis vraiment bien, Usagi ! C’est vraiment à croire que tu adores ça, qu’on t’humilie… Comment donc croyais-tu pouvoir donner le change indéfiniment contre ces lycéennes ? Je suis sûre que, tout ce que tu attendais, c’est qu’elles se révoltent pour te dominer ! »

Elle n’allait sans doute pas confirmer, mais ce n’était pas bien grave, car White Rabbit était sûre de son coup. Au bout de plusieurs coups de fessées, Saori finit par s’interrompre. Elle frottait son bassin contre celui de Usagi, qui se releva donc. Elle avait longuement léché les jambes de White Rabbit, recouvrant ses collants de sa salive, et semblait désormais prête à passer à la suite. La jeune femme se mit debout, ce qui permit à la Lapine de voir sa magnifique verge, un membre assoiffé qui se dressait fièrement, une queue dure et tendue.

Pour la Lapine, c’était un magnifique spectacle ! Elle souleva sa jambe, et ses orteils caressèrent ce membre, venant la masturber. Ses orteils glissaient lentement, du bas vers le haut, et elle sourit encore en voyant la Bunny girl se crisper sur place.

« Tu as envie de jouir, hein ? Pourtant, les hôtesses de cet endroit sont supposées être très endurantes, non ? J’ai hâte de voir jusqu’où tu peux tenir… Tu veux que d’autres femmes baisent Saori, hein ? Je me demande jusqu’où ton sens du devoir va tenir… »

La domination de White Rabbit était toujours ludique, car, plus que tout le reste, celle-ci adorait jouer !

« Tamako ! Je veux que tu suces Usagi ! Je vais continuer à l’empêcher de jouir… Disons qu’elle te sucera pendant dix minutes. Le seul moyen pour toi de jouir, Usagi, ce sera de me demander de sodomiser le cul de Saori ! Alors, je vais bien voir… Est-ce que ton sens du devoir sera supérieur à ta luxure ? »

Tout en énonçant les règles de son nouveau défi, elle continuait à masturber la queue d’Usagi avec son pied, et constatait que sa verge ne cessait de durcir, prête à craquer… Est-ce qu’Usagi allait tenir pendant tout ce traitement buccal ? Oh, White Rabbit mourait d’envie de voir ce que ça allait donner !

[Tek_Usagi]

Je suis vraiment une honte en tant que papillon. Non seulement je laisse une intruse faire ce qu’elle veut de moi, mais en plus je suis tellement en rut que je donnerais n’importe quoi pour pouvoir enfin jouir. Hélas, White Rabbit n’a pas encore fini de me torturer. Elle me fait relever et vient tripoter mon sexe tendu avec son pied, le caressant lentement de haut en bas avec ses orteils.

« Aaahhh... kkkuuu... »

Elle sent bien que j’ai envie de jouir, et elle décide de tester jusqu’où mon sens du devoir peut tenir par rapport à mon envie bestiale. Elle fait venir Tamako, la sœur de Saori, et lui ordonne de me sucer. La jeune fille, qui est déjà dans un état second, ne réfléchit même pas avant d’obéir. Elle m’explique ensuite que la seule façon pour moi de jouir est d’aller sodomiser Saori, ce qui irait à l’encontre des consignes données par ma patronne.

« Pppyyyooonnn... pourquoi êtes-vous si méchante ? »

Si je lui obéis, je suis bonne pour une mise à pied. Mais si je refuse, je sais que je ne tiendrai pas dix minutes à me faire sucer dans mon état sans devenir dingue. Quoi que je décide de faire, je suis perdante. Pendant ce temps, Tamako se met à genoux devant moi et engloutit ma verge dans sa jolie bouche.

« Aaahhh ! »

Je suis sûre que j’aurais pu jouir sur le coup si je n’étais pas bloquée par la magie rose. Pour une lycéenne, la demoiselle s’en sort drôlement bien. Je sens ma grosse carotte piégée dans cette bouche humide et chaude, pas aussi agréable et accueillant qu’un minou mais appréciable malgré tout. Et en plus, elle met du cœur à l’ouvrage, pompant ma grosse queue profondément dans sa bouche, faisant taper mon gland contre l’entrée de sa gorge sans m’offrir malgré tout le plaisir d’une gorge profonde.

Je ne pensais pas dire ça un jour mais... pourquoi faut-il que cette ado soit une si bonne suceuse ?

Elle ferait sans doute le bonheur des garçons et des futas sur Terre, mais pour l’instant, c’est une vraie torture. J’ai l’impression d’être en permanence à deux doigts de juter, mais sans jamais y arriver. Je donnerais n’importe quoi pour que ça s’arrête. Et au bout de cinq minutes de ce supplice, la force de mon engagement vole en éclats.

« Aaahhh... stop ! Ça suffit ! Je vais sodomiser Saori. Mais par pitié... pppyyyooonnn... je n’en peux plus. »

En entendant ça, White Rabbit fait signe à Tamako de reculer et je vais me mettre en place derrière Saori, à quatre pattes, qui me tend son joli derrière rebondi. Je palpe un peu ces jolies fesses dodues avant de diriger ma verge vers son anus.

Pardon Tama... je suis désolée.

« Bien, je crois que ça suffit. »

A cet instant, un flash blanc remplit la pièce, et quand je rouvre les yeux, je vois Tama, la kitsune gérante des papillons, ma patronne, devant moi. Elle porte un kimono très court et très ouvert qui laisse voir la plupart de son corps, surtout son opulente poitrine.

« On dirait que tu n’étais pas encore prête pour ce genre de travail après tout. »

« Tama... je... »

« Ça va, détends-toi. J’ai tout observé, je sais que ce n’est pas ta faute. Tu es tombée sur une utilisatrice de magie rose plutôt douée. »

Tama se dirige vers White Rabbit, un air grognon sur le visage.

« Je peux comprendre que des lycéennes cherchent à entrer par derrière... mais vous ? Vous êtes une adulte accomplie, et en plus vous avez de sacrés pouvoirs. Vous auriez pu trouver une porte sans problème. Pourquoi venir causer des problèmes ? »

La kitsune ne la dispute pas vraiment, elle doit juste assurer sa position. Et contrairement à moi, elle s’y connaît bien en magie, donc elle ne risque pas de se faire envoûter par la bunny-girl.

« Je devrais vous jeter dehors pour l’exemple... mais j’ai une meilleure idée. »

Grâce à son rang au sein du Lys, Tama a le pouvoir de modifier certains lieux selon son envie, même si cela va à l’encontre des désirs des clients. En un claquement de doigts, White Rabbit se retrouve donc allongée sur un lit, attachée par les poignets et les chevilles en position de croix. Elle monte sur le lit et se met à jouer avec le corps de la jeune femme. Elle caresse son visage, ses seins, ses hanches, elle l’embrasse, la lèche... bref, elle se fait plaisir.

« Usagi, viens par ici. »

Je viens tout de suite rejoindre ma patronne près du lit.

« Ce sortilège va maintenir notre intruse captive pendant une heure et l’empêchera d’utiliser ses pouvoirs pour te dominer. Tu peux faire ce que tu veux d’elle pendant ce temps. Ensuite, tu iras l’enregistrer à l’accueil pour qu’elle soit une cliente en bonne et due forme. C’est compris ? »

« Oui Tama. »

« Bien. Les futas qui doivent s’occuper de Saori ne vont pas tarder. Toi, concentre-toi sur cette lapine. »

Tama descend ensuite du lit, m’embrasse rapidement tout en me caressant la poitrine et disparaît en faisant un dernier coucou à White Rabbit. Je regarde celle qui était encore ma maîtresse il y a une minute et je ne peux pas m’empêcher de jubiler.

« Bon... on dirait que les rôles sont inversés maintenant. »

Je grimpe sur le lit et je viens tout de suite lui remplir la chatte avec ma lance de chair.

« Aaahhh... ooouuuiii... ça rentre si facilement... PPPYYYOOONNN ! »

Je jouis dès que je suis logée au fond de son antre, et je jute tellement de foutre qu’il finit par déborder. Mais ça ne m’empêche pas de commencer à la baiser. J’ai une montagne de frustration sexuelle à évacuer à cause d’elle, je ne vais pas me retenir.

[White Rabbit]

White Rabbit était en train de passer un moment merveilleux. Elle ignorait encore tous les détails de l’endroit où elle était allée, mais dominer cette belle bunny girl l’excitait furieusement. Se pinçant les lèvres, elle vit ainsi Tamako se positionner  face à la belle hôtesse, et pomper sa verge. Usagi ne tarda pas à gémir de plaisir, un véritable régal pour les oreilles de la Lapine. La super-criminelle s’en pinça les lèvres, amusée, refusant encore à Usagi un orgasme que tout son corps était en train de réclamer. Usagi luttait ainsi entre ses désirs et son sens du devoir. Pour son malheur, Tamako était plutôt douée de sa bouche, maltraitant avec un appétit féroce la queue d’Usagi. L’hôtesse poussait de délicieux gémissements, demandant à White Rabbit pourquoi elle était si méchante.

La Lapine, en réponse, gloussa doucement, en se mordillant le doigt :

« Méchante, moi ? Je veux juste te faire plaisir, ma belle… »

Les minutes passaient, rythmées par les gémissements d’Usagi et par les soupirs langoureux de Tamako. Celle-ci se faisait plaisir, et White Rabbit les observait avec appétit. Oh, que cette scène était excitante ! Finalement, Usagi s’avoua vaincue, et Saori se rapprocha alors. Nerveuse, la jeune femme était aussi en manque, et elle se mit à quatre pattes, tandis que Tamako s’écarta un peu, et se glissa dans le dos d’Usagi. Elle palpa ses fesses, et continua à lécher, cherchant à atteindre son fondement. Pour Usagi, il était difficile de réfléchir, et, alors qu’elle allait enfin pénétrer Saori, une nouvelle personne fit irruption.

Surprise, White Rabbit comprit rapidement qu’elle avait affaire à une hôtesse d’un tout autre niveau qu’Usagi. Plus expérimentée, Tama était une redoutable kitsune avec une longue chevelure argentée qui usa de sa magie. Elle immobilisa soudain White Rabbit, et celle-ci sentit des liens se former autour de ses membres, l’immobilisant sur le lit. Clara et Shii s’écartèrent alors, se mettant à gauche et à droite de White Rabbit. La Lapine se débattit lentement, avant de voir Tama la rejoindre. La kitsune, après avoir libéré Usagi de l’influence de la magie rose, caressa la joue de la femme avec sa main, et l’embrassa alors, tout en lui demandant ce qu’elle faisait ici, et pourquoi elle avait choisi cette porte détournée.

« À vrai dire, j’ignorai totalement où j’allais me rendre… J’ai senti un Portail, et je l’ai réactivé… Ce n’est… Hmmm… Qu’une très heureuse coïncidence… »

Les lèvres sucrées de Tama étaient magnifiques. White Rabbit soupirait lentement, et clignait des yeux, avant de répondre aux baisers de la femme. Quand Tama se redressa, la Lapine tenta même de la suivre pour prolonger le baiser, mais, à la place, Tama posa un doigt sur ses lèvres, et poussa sa tête sur le lit. Gémissant lentement, la femme lécha et mordilla ce doigt, le sentant s’enfoncer en elle, ce qui lui arrache un soupir. Shii se pencha un peu, et Tama caressa ses cheveux, avant d’aller l’embrasser à son tour.

Tama choisit finalement de ne pas exclure White Rabbit, qui haussa les épaules, se sentant heureuse, élue… Tama suggéra à Usagi de s’occuper d’elle pleinement, puis d’aller ensuite l’enregistrer comme cliente. White Rabbit, bien attachée, tourna la tête vers Usagi, et sourit lentement, en la voyant se dresser sur elle. Shii et Clara avaient pour le coup cessé de se faire l’amour, et observaient la scène, tandis que Tamako attachait Saori avec un collier autour du cou et une laisse qu’elle attacha à proximité.

« Oh, ma pauvre petite… » gloussa White Rabbit en croisant le beau regard bleuté d’Usagi.

Son hôtesse la pénétra alors vigoureusement, et White Rabbit banda tous ses muscles. Un long gémissement s’échappa de ses lèvres, et elle la laissa remuer en elle. La Lapine la sentit jouir copieusement, et se laissa faire, Usagi s’abandonnant à un plaisir massif, jutant furieusement et puissamment.

« Haaaan… Tu… Hmmm… Tu viens de lâcher de quoi faire pousser toute une colonie dans mon ventre, ma chérie ! »

Mais qu’est-ce qu’Usagi comptait lui faire, maintenant ? Clara, en tout cas, se penchait vers Usagi quand celle-ci commençait à aller mieux, et l’embrassa doucement sur les lèvres. Elle était fin prête à lui servir si jamais Usagi avait besoin d’elle…

[Tek_Usagi]

Après avoir été le jouet de White Rabbit et avoir été torturée à coup de magie rose, voilà que je reprends les rennes. Tama a immobilisé notre invitée impromptue grâce à sa magie, et maintenant elle est complètement à ma merci. Je ne réfléchis même pas à ce que je vais faire, je viens tout de suite loger ma verge dans son antre pour la baiser et évacuer ma frustration. A peine logée j’éjacule une grosse quantité de foutre, et White Rabbit le souligne en disant que j’ai dû lâcher de quoi faire pousser toute une colonie dans son ventre.

« Pppyyyooonnn... et c’est que le début. »

Après ce premier orgasme, je vois quelqu’un approcher de moi. C’est Clara, l’une des lycéennes qui sont arrivées par le portail, et la seule du groupe à être membrée. Je la regarde se pencher vers moi, approchant sa bouche de la mienne, et sans réfléchir, je viens l’embrasser. C’est un baiser doux et posé, mais malgré tout très excitant, probablement à cause de la magie rose qui baigne ici. Quand nos lèvres se séparent, je décide de la faire participer à mon petit jeu avec mon amante.

« Clara... va vite mettre ta grosse queue... près de White Rabbit... pour qu’elle puisse te branler. Fais toi plaisir... et si jamais elle est vilaine... on la punira ensemble. »

Pendant que la lycéenne va baiser la bouche de White Rabbit avec son chibre, je continue de m’occuper de son antre intime. Cette femme m’a peut-être fait souffrir, mais elle mérite quand même de prendre son pied. Toutes les clientes du Lys ont ce droit.

Je bouge énergiquement mon bassin pour la pénétrer. C’est un pur régal de l’entendre gémir et de sentir mon sexe piégé entre ses parois vaginales bien humides. Jouir une première fois m’a permis de rendre son intérieur encore plus humide et agréable, je me fais vraiment plaisir en la baisant. Quant à elle, même si je me doute qu’elle n’est pas très contente d’être attachée et soumise après avoir été la maîtresse, elle a l’air de prendre du plaisir. C’est le plus important.

La magie rose qui règne dans cette pièce nous rend endurantes et très gourmandes. Il me faut presque cinq minutes de pénétrations vives et continues pour réussir à jouir, et je crois qu’elle a joui aussi. Clara aussi a eu un orgasme, et son sperme est venu maculer le visage de la bunny girl. Mais tout ça n’est que le début. Je me déloge de son vagin trempé et je viens me mettre au niveau de son visage. Pendant que je ramasse le sperme sur son visage avec mes doigts avant de les lui faire sucer, je viens embrasser Clara. Elle a beau être jeune, elle est très énergique, et sa queue bande de nouveau. J’adore l’embrasser, sentir sa langue remuer dans ma bouche et ses doigts sur ma peau. Une fois le baiser fini, je viens caresser son visage.

« Alors Clara... est-ce que notre lapine a été sage ? Est-ce qu’elle t’a... ppyyoonn... bien branlée ? »

Je me dis qu’une personnalité aussi forte que celle de White Rabbit n’a pas dû apprécier de se faire soumettre de façon aussi brusque. Alors si elle n’est pas gentille, Clara et moi on se chargera de l’amadouer avec nos grosse carottes

[White Rabbit]

White Rabbit avait joué, et avait perdu. C’était une défaite qu’elle acceptait, car elle était dans un endroit qu’elle ne connaissait pas. Elle aurait pu arriver dans bien d’autres endroits beaucoup moins agréables, et sa défaite avait tout de même un goût très agréable. Face à elle, son hôtesse était complètement déchaînée, la baisant sans relâche, la prenant en missionnaire sans réfléchir à autre chose. Elle fut incapable de penser à quoi que ce soit avant sa première giclée. White Rabbit la sentit avec plaisir s’abandonner en elle, et eut aussi un orgasme, bien naturel en un tel endroit. Toutefois, elle sentait que l’aura magique de cette zone remplissait à nouveau ses réserves. Ainsi attachée, elle laissa Usagi embrasser ensuite Clara, leurs deux verges dressées se frottant l’une contre l’autre. Clara avait beau être une simple humaine, White Rabbit sentait quelque chose de spécial en elle, une forte aura de luxure, témoignant du fait qu’elle devait suivre une formation à la magie rose. À Yoake, tout était possible, y compris de rencontrer des lycéennes qui étaient en réalité des vampires utilisant le lycée comme couverture pour avoir des esclaves. Elle était très curieuse d’en savoir plus sur cette Clara ainsi que sur les filles qui l’accompagnaient, mais, pour l’heure, après ce baiser, Usagi donna de nouvelles instructions à Clara.

White Rabbit sentit alors les liens retenant son bras droit se relâcher légèrement, donnant un peu plus de mou. Elle pouvait relever la main, et le fit donc, voyant Clara se rapprocher. La jeune fille avait les pupilles roses, signe qu’elle était infestée à la magie rose, que la luxure la dominait totalement. Dans cet état, n’importe quel humain se transformait en un nymphomane aguerri et assoiffé de sexe. Son membre humide, maculé de la mouille de Shii, se rapprocha de sa main gantée, et White Rabbit le saisit alors fermement.

« Haaaannn… !! »

Sur son ventre, à hauteur de son nombril, la Lapine aperçut la marque de Lust qui se formait, ce délicieux cœur violet, signe que Clara était désormais obnubilée par l’idée de sexe, et que la magie renforcerait ses performances sexuelles.

« Tu aimes ça, hein ? Laisse ma main te faire plaisir, Clara… »

White Rabbit la masturba donc, tandis qu’Usagi retourna la pénétrer. Sentir à nouveau sa queue en elle la fit furieusement gémir. Elle se pinça les lèvres en sentant cette belle queue s’enfoncer joyeusement en elle. Usagi était tout simplement en manque de sexe, et pénétra vigoureusement sa partenaire, grognant et gémissant sur place, sa queue épaisse remuant fortement dans son con. Oh, que c’était bon ! Oui, la Lapine aimait le sexe, mais elle était surtout facétieuse, elle adorait jouer ! Elle empêchait Clara de jouir, comme elle l’avait fait avec Usagi, mais elle savait aussi qu’elle ne pourrait pas tenir éternellement. Pas dans un tel environnement, pas avec la marque de Lust, et pas dans sa position.

Sa main remuait fermement sur la verge de sa partenaire, qui filait de haut en bas. La Lapine ne lui épargnait rien, la branlant énergiquement, sentant Clara gémir. Shii se rapprocha à son tour, et se frotta dans le dos de Clara, venant caresser ses hanches, puis pincer ses seins, tout en l’embrassant dans le creux du cou. La Lapine sentit quelque chose passer entre elles, et comprit qu’elles devaient être plus que de simples amantes occasionnelles. La belle Shii l’embrassait encore, visiblement ravie d’être ici… Et Clara se relâcha alors, tout comme Usagi.

White Rabbit les laissa jouir sur et en elle, tout en développant un second orgasme. Elle se relâcha ensuite, et Usagi, reprenant peu à peu le contrôle sur elle-même, se rapprocha de Clara, et lui demanda si White Rabbit avait été vilaine ou non, après avoir sensuellement nettoyé le visage de la Lapine du sperme de Clara, ce qui ne manqua pas d’enflammer à nouveau les sens de la Lapine.

« Elle… Elle m’a bien masturbé comme il faut, mais elle a utilisé sa magie sur moi…
-  Je l’ai empêché de jouir, et j’aurai réussi… Si Shii n’était pas venue. Il y a quelque chose de particulier entre elles. »

Les deux adolescentes rougirent de concert.

« Elle ment ! s’exclama alors Clara. On doit la punir, elle se moque de votre autorité ! »

Pour seule réponse, White Rabbit se mit à sourire malicieusement.

[Tek_Usagi]

Clara me dit que White Rabbit l’a bien masturbée mais qu’elle a utilisé sa magie rose sur elle. La bunny girl confirme aussitôt qu’elle s’en est servie pour empêcher la jeune fille de jouir, et qu’elle aurait réussi sans l’arrivée de Clara.

« En effet, elle défie mon autorité. Et ça mérite une punition. »

La magie rose m’inspire, je sais déjà comment j’ai envie de la punir.

« Clara, tu vas aller t’occuper de son anus. Et ne sois pas tendre avec elle. Je veux que tu lui fasses autant mal que tu lui fais du bien. »

Je me tourne ensuite vers notre prisonnière.

« Quant à toi, tu vas avoir droit à ma grosse carotte dans ta petite bouche de salope. J’espère que tu aimes les gorges profondes. »

Les attaches au niveau de ses jambes disparaissent pour permettre à Clara d’attraper ses chevilles et de les soulever pour accéder à son anus, et moi je me mets à quatre pattes au-dessus d’elle avec ma queue bien perpendiculaire à sa bouche.

« Oh, et inutile de te servir de ta magie rose contre moi. J’ai reçu la protection de Tama, tu ne peux plus rien me faire. »

En tout cas, c’est ce que j’espère. Je viens taper ma queue contre son visage, je la frotte contre ses lèvres, je la laisse en savourer l’odeur et la dureté. Mine de rien, cette situation m’amuse beaucoup. J’ai déjà évacué ma frustration en jouissant dans sa chatte, la suite c’est juste pour le plaisir.

« Allez... ouvre grand. »

Dès que le passage est ouvert, j’enfonce ma verge dans sa bouche et je vais me mettre profondément dans sa gorge. La magie rose permet vraiment de faire des choses incroyables. Je sens mon sexe logé dans cette cavité humide, avec sa langue qui s’agite le long de mon mandrin. Je suis comme un puits de forage creusant le sol pour trouver du pétrole. Sauf que là, c’est la foreuse qui va faire jaillir le liquide et pas l’inverse.

« Aaahhh... ooouuuiii... hhhmmm... quelle bonne suceuse.
Clara... aagghh... tu t’en sors ? »