Il était ironique de penser que Stepford Wives, pensé pour être le renouveau du patriarcat masculin, allait devenir le point de départ d’une révolution sexuelle. Une magnifique réponse à ces hommes qui voulaient dominer les femmes, les réduire à de simples ménagères idiotes et décérébrées, qui dépendraient d’eux par le biais de manipulations cérébrales. Bobbie et Joana allaient changer les choses, elles étaient les pionnières de cette révolution, et, en ce moment, elles avaient avec elles l’une des personnes à l’origine de cette évolution, le docteur Khymeira. Et, le moins qu’on puisse dire, c’est que Khymeira était particulièrement ravie d’être en compagnie de ses œuvres. Elle enfonçait sa solide trique dans le cul de Joana avec force, la sodomisant énergiquement, faisant glisser son corps d’avant en arrière. Khymeira soupirait longuement, et giflait également sa femme, faisant claquer ses mains sur son cul. Tout ça, Joana l’avait déjà subi, à maintes et maintes reprises. Bobbie ne comptait plus le nombre de fois où elles avaient fait l’amour, que ce soit juste entre elles, ou en compagnie d’autres personnes.
« Ooooh, Joana, mon amour… » gémit Bobbie.
Sa femme s’attaqua à son dard avec sa passion habituelle, avec cette énergie dévorante qui excitait à chaque fois Bobbie. Elle tremblait doucement en caressant les cheveux de Joana, en serrant ses doigts dessus, et en accompagnant ses mouvements. La solide verge de Bobbie filait d’avant en arrière, s’enfonçant avec soif dans cette bouche généreuse. Khymeira grognait et soupirait également. Elle devait sûrement utiliser son membre avec Poppy principalement, la perspective de pouvoir coucher avec des femmes mûres devait donc passablement l’exciter. En tout cas, ce serait le cas pour Bobbie si elle était à sa place. Mais, à voir le regard fiévreux du docteur, on pouvait facilement comprendre qu’elle appréciait beaucoup ce qui se passait.
Les coups de reins se multipliaient donc. Bobbie était comme à son habitude très endurante, ce qui fit que, si Joana jouit à plusieurs reprises, l’orgasme de Bobbie vint quand Khymeira se mit à jouir une deuxième fois. Dans de longs soupirs, Bobbie s’abandonna dans la bouche de sa femme, venant lui offrir sa boisson crémeuse.
« Haaa… Vous êtes vraiment magnifiques, toutes les deux ! » s’enthousiasma la femme à la peau basanée.
Bobbie se contenta d’un léger sourire, tandis que Joana, très excitée, les laissa choisir. Elle était assise sur le rebord du bureau, et Khymeira se rapprocha d’elle, pour l’embrasser tendrement sur les lèvres.
« Je t’ai pris le cul, je vais te baiser ta chatte, maintenant…
- Alors, je vais retourner dans ton petit cul, ma chérie, tu sais combien j’aime y mettre ma queue… »
Ce n’était pas ici qu’on aurait droit à de la poésie. Bobbie avait rejoint le duo en contournant le bureau, et laissa Khymeira se glisser dans la chatte de sa femme, tout en posant ses mains sur ses fesses. Khymeira put ainsi la soulever, et Bobbie se glissa ensuite dans le dos de sa femme, et suivit le mouvement. Elle enfonça sa trique dans le cul dilaté et humide de Joana, et posa ensuite ses mains sur ses seins, qu’elle se mit à presser tendrement et vigoureusement, soupirant contre son oreille, les corps en sueur des deux Futanaris se pressant contre les formes généreuses de Joana…