« Quelle incompétence professionnelle ! Un mois et demi sans donner de signe d’activité de la Taverne !... Et il faut que ce soit la cliente qui vienne toquer à la porte IRL pour réveiller tout ça. Qui n’est pas toquer d’ailleurs. Qui n’est pas non une porte dans cette même lignée. Ou alors il faudrait commencer à imaginer un établissement voisin et annexe. Un Discord avec une cartographie, des tables et des meubles. Pourquoi pas me direz-vous. Mais est-ce vraiment le bon moment de se lancer dans un pareil investissement immobilier virtualo-imaginaire alors que la Taverne est dans un état qu’on pourrait rapprocher d’hibernation ? (oui, coucou vous trois dans la grotte pleines de livres. Non, Tirésias, je ne dirais rien au sujet de cette culotte. C’est ton problème.) Pardonnez-moi cette digression. Pardonnez-moi pour le reste également. Et ce qui sera à venir. Pas que je vais conter des misères. Quoique, même moi je ne le sais pas encore. Laissons donc les dix doigts taper à un rythme de galère ! Autant en rapport avec le bateau que les emmerdes. Oui, oui… effectivement, ça fait un gros paragraphe d’introduction assez peu utile. Je vous le concède. (une nouvelle fois). »
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Hestia : « Quel être complexe ! Une intelligence couplée à des pulsions pour foncer tête baissée. Au vu de son petit gabarit, du moins celui de chairs, je trouve ça étonnant qu’elle soit encore en vie. Allez, dans une vision positive, qu’elle soit encore toute jolie. Mais je préfère ça. Je ne veux pas qu’elle soit amochée. »
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« La Petite Déesse plongea à son tour dans le brasero. A partir de ce moment-là, c’est tout un nouveau monde à découvrir. Et devinez quoi ? Dans le plus pur style de mon « Dieu », nous allons y aller au culot et à l’improvisation ! Ah ah ! »
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Hestia : « Attends-moi ! Tu ne connais pas les courants chaleureux. Tu risques de partir n’importe où si tu ne fais pas attention. »
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« Et que ce soit un manque d’attention ou une ficelle scénaristique, Arxal fut effectivement emportée. Dans une vision simpliste, il fallait imaginer se retrouver dans les murs. Visualiser un réseau de canalisations. Un « blue print » pour causer comme la femme du futur. Toute une cartographie à apprendre. En addition d’un phénomène semblable à l’élément aérien qui fait que, parfois dans les airs, les oiseaux sont obligés de faire du surplace en attendant un changement d’humeur du vent. Ce « vent » de feu va alors amener Arxal dans la Salle Principale. Bien entendu, pour la facilité de mon « Dieu » à écrire. »
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SALLE PRINCIPALE
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« Oui, je pense qu’il va y avoir des titres à partir de maintenant. C’est que le récit va devenir plusieurs…pluri…ubiquité-quelque chose ? Fichtre ! Je ne trouve plus mes mots. L’essentiel étant que la réponse verra des événements relatés dans plusieurs Salles de la Taverne. Et nous commençons donc par la Salle Principale. Nous ferons un détour par les Chambres tout à l’heure. »
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Candy : « Coucou, Arxal ! »
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« Evidemment, la gobeline voit la « petite sœur » de la Petite Déesse. Et bien évidemment aussi, elle connaît son nouveau nom. Les joies de la maîtrise du quatrième mur. Mais recentrons-nous. Que se passait-il dans la Salle Principale avant qu’on se concentre tous sur les ébats dans la chambre. Voyons, revenons en arrière et relisons un peu. »
[Veuillez patienter. Merci.]
///Insertion d’un jingle. Potentiellement d’ascenseur.///
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« Il a fallu remonter à la date du 17 janvier 2025 tout de même. Que le temps passe vite. J’ai passé le début de la réponse pour, (regard appuyé sur la trop énergique Candy) m’intéresser de nouveaux aux gobelines. Et bien la peau verte sucrée vannait sa consoeur de sa faiblesse à avouer ses sentiments au troll bleu. Donc nous allons épier un peu cette relation avant de passer à une autre. Nous ferons simple. Si nous ne savons pas si des mots ont été échangé, Maggot se retrouve actuellement assise sur les cuisses de Sho’Gun. S’il y a activité entre les cuisses de Choco, je n’en décrirais pas plus. »
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Choco : « Ne remue pas trop, f’il te plaît… »
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« Evidemment, il a fallu qu’il donne un indice supplémentaire. Je plains l’une des serveuses qui devra nettoyer les pierres du sol. Je vous renvoie à la case 19 pour une visualisation des « dégâts ». Et comme je suis gentil et serviable, je joindras la case en question ci-dessous. Non, ne me remerciez pas. Ou alors, peut-être en m’apportant une choppe de bière, vous serez bien aimable. »
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« Ensuite ? Voyons voir. Blablabla… Oui, ne m’en voulez pas, je n’ai pas eu l’illumination sur le moment pour une onomatopée retranscriptible qui vous éclairerait sur le fait que j’étais en train de lire. Il y était question du trio constitué de Clochette, Blondie et de la hyène. Pour bien faire mon travail et continuer à, excusez-moi (bruitage de vomi), densifier le « LIRPU » (quel terme affreux, tout de même !), il me faudrait poster ci-après le lien des à-côtés ? annexes ? bonus ? Quelques textes permettant de mettre en lumière Clochette. Mais aussi le Commandant Lancelot. Dans ce cas, c’est le triste passé (passif ?) de Clochette qui nous intéresse. »
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Candy : « Tu n’es pas très bon aujourd’hui, Narrateur ! Ca fait longtemps que les filles sont parties faire pipi. Et elles n’étaient pas que trois. »
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« Ah oui ? »
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Candy : « Oui. C’est qu’il faudrait donner un peu plus de projecteur sur la cartographe tatoué. C’est que son chara-design mérite qu’on creuse sa personnalité, oui ! »
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« Il est vrai. »
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Candy : « Alors qu’attends-tu exactement ? »
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« Peut-être qu’on cesse cette conversation pour que je puisse reprendre mon monologue propre à une voix off de Narrateur conteur ? Oh ? Tu respectes le silence. Merci, Cand-… »
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Candy : « J’ai parlé ! Ah ah ah ! »
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« Ces gobelines… (soupir appuyé). Donc nous allons nous diriger vers les Toilettes de la Taverne, messieurs-dames. Veuillez suivre le guide. Ce qui équivaut à suivre le son de ma voix. Mais dans la réalité, à simplement continuer votre lecture. »
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TOILETTES
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Cartographe : « Récemment, j’ai entendu parler d’elfes striés de noir et de blanc. J’aimerais les rencontrer. Pas forcément de manière active. Mais je voudrais les voir. Pouvoir les placer sur une des cartographies sur mes parchemins et-… »
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Blondie : « Je suis pas une érudite. C’est peut-être important ta paperasserie. Mais là, il faut d’abord que Blondie soulage sa vessie. »
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Cartographe : « Ah oui. Pardon. »
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« J’ajouterais ici quelques images qui sont apparus sur le « mur » de l’artiste Pinterest de notre « Dieu ». (et encore, j’ai failli aussi mettre des parenthèses autour de Pinterest). Il aurait pu être question de joindre une cartographie d’une partie des WC. Un générateur de carte de donjon aléatoire sur internet et hop. Ce serait même un bonus intéressant pour se faire pardonner de ce délai impardonnable. Mais ce sera peut-être pour plus tard. Il faut dire que, même si Arxa est désormais aussi Arxal, elle n’a pas non plus 100 copies d’elle-même. Bien que…elle le pourrait probablement en apprenant à manipuler le « feu ». (de Prométhée ? Il faudrait vérifier la légende. Peut-être). Et donc ? Ci-joint quelques images d’elfes striés de noir et blanc. »
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« Et pour finir, pour mettre un peu de matière entre les crocs affamés de l’élement de feu constituant Arxal, une péripétie qu’elle pourrait interpréter à sa manière. Une attaque d’une créature des WC sur la pauvre Clochette alcoolisée. Mais ce n’est en aucun cas une obligation. Si Arxal n’intervient pas, ce sera Blondie et/ou la hyène qui entreront en action. »
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Cartographe : « Attention, un [nom à insérer] ! »
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Blondie : « CLOCHETTE ! VIRE TES FESSES DE LA ! »
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Hyène : « Hi hi hi ! »
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« Donnez donc un peu de temps à votre aimable serviteur de trouver une créature belliquese à ajouter à cet écosystème des Toilettes de la Taverne. »
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[Veuillez patienter. Merci.]
///Insertion d’un jingle. Potentiellement d’ascenseur.///
[Recherche en cours. (sans pourcentage du Projet froid…)]
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« Selon le dossier d’images stockées de mon « Dieu », il y aurait des gobelins. Non du genre mignonne comme notre Maggot et Candy. Plutôt du genre à la « Goblin Slayer ». Quoique…sur cette image avec un trône, l’idée semble plutôt d’un « petit peuple » particulièrement sournois. Autrement, il y aura cette deuxième image. Des gobelines au féminin. Au vu du flou dans leurs yeux, une plante a du corrompre et altérer leur état d’esprit. Ou alors c’est un insecte de type « zombi » qui est allé se loger dans leur cervelle pour en prendre le contrôle. Au choix, donc, d’Arxal si elle veut déployer son nouvel arsenal ardent ! »
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« Ensuite, revenons dans la Chambre. Il faudrait savoir ce qui continue de se passer entre notre adorable Linette, son bênet garde du corps et la Arxa originelle tout de même. »
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CHAMBRES
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« Et voilà que la Arxa me met la pression ! Elle veut que la jolie Linette s’exprime sur ses intentions. Mais étant donné la façon dont elle s’exprime, il va falloir qu’il y ait du lyrisme ! Du panache ! Ca ne peut pas être un bête dialogue avec des mots à deux syllabes maximum… Bon, espérons que l’inspiration sera au rendez-vous. (tiens, je me demande ce que ça donnerait si j’avais un rendez-vous. Non, la première question : à quoi mes lecteurs pensent que je ressemble ? Ce serait une réponse intéressante à entendre, je pense). Mais laissons l’épuisée et conquise bardesse s’exprimer. »
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Linette : « La la la ! ♪♫ Je crois que je n’ai pas perdu tout de ma voix chantante. C’est déjà un bon point, jolie peau verte. Mais aussi brusque. Tu m’as pilonné avec une intensité tout orcienne si je puis m’exprimer ainsi. C’était sauvage. C’était rude. Mais…c’était bon, ma jolie peau verte ♥ »
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« Dans quel état se trouve Linette ? Triste fléau que d’avoir la flemme de vérifier tous les détails. Selon notre mémoire collective, à moi et mon « Dieu », il nous semble que Kalkaire lui a retiré son bâillon et que Miss Cheelks promette de la dénouer. Donc elle est toujours prisonnière du bel art érotique du shibari. Donc parler et ne pas bouger. C’est plus qu’il n’en suffit pour une bardesse à qui on a demander de s’exprimer ! »
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Linette : « Je-… »
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« Pardonnez-moi. La mémoire me revient et il me semble qu’une nouvelle illustration a rejoint le dossier correspondant à la salle des Chambres. Je m’en vais vérifier ce point rapidement. »
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[Veuillez patienter. Merci.]
///Insertion d’un jingle. Potentiellement d’ascenseur.///
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« Ah…oui. Effectivement, il y a un potentiel pour cette situation présente. Je vous laisse l’image de suite. Voyons ce que Linette va nous dire au fur et à mesure que les doigts enfoncent les touches du clavier. »
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Linette : « Ce que je voudrais après une telle intensité ? Que je reprenne mon souffle probablement. A moins que tu ne désires dévorer jusqu’à la moindre parcelle de mon énergie pour me laisser dans un état d’ahegao tendant vers un coma sexuel ? Ce serait bien votre genre, à vous les peuplades à l’épiderme émeraude. Mais non émeraude comme un joyau. Ce serait une maladie à qualificatif de Damoclès. Il y a déjà assez d’une gobeline souffrant de ce mal. Que racontes-je ? Je peine à retrouver mon souffle ? J’ai les cuisses inondées et je dois déjà commander le menu selon laquelle je serai mangée ? Quelle délicieuse torture suis-je la récipiendaire : hi hi ! ♥ »
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« Si la prose s’approchait du lyrisme attendu d’une bardesse, nulle réponse n’avait encore été apportée. Que pouvait-elle vouloir de plus ? Et-… oh ! Mais bien sur. Il suffit de repenser à la provenance des illustrations de notre Linette. Dans cette galerie au-delà du quatrième mur est clairement affichée son fétichisme. Ne soyons pas plus dur avec nous-même et cédons à cette inspiration exposée sur la toile (et non celle des Araignées Supérieures de la SpiderWitch). »
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Linette : « Si tu veux vraiment connaître l’essence de mes intentions, alors il te faudra te soumettre à deux conditions, ma jolie peau verte. D’abord, ne pas me libérer de mes liens. Seulement dans une mesure où je puisse me déplacer selon mes propre jambes. Parce qu’il est très important que ce soit moi qui me déplace par moi-même dans ce fétichisme d’intention. J’entends par là que je veux être exhibée aux yeux de tous. J’adore être nue pour toutes les œillades et regards appuyés. Nous sommes nées en tenue d’Eve. Et je suis parfaitement à l’aise avec cet uniforme de chairs. Mais prends garde à toi, jolie peau verte. Mon Kalkaire protecteur pourrait vouloir t’empêcher de passer la porte de cette chambre. Ensuite, il y aurait tellement d’adversaires. Certains pour vouloir me ravir. D’autres, plus prudes et conservateurs comme notre précieux monsieur Courssurpattes qui ne tolérerait pas pareil écart de conduite. Tu sais maintenant que je veux être exhibée comme une œuvre d’art sous prétexte que je sois entre tes mains esclavagistes. C’est à toi de décider de mon futur destin, jolie peau vert ~ ♥ »