C’était… Beau. Grace n’aurait su comment le résumer autrement. Voir Maîtresse Pattie besogner avec tant de vigueur sa mère, c’était une performance esthétique. Tout s’y mêlait. Les coups de reins, les soupirs, les grognements, les claques, la sueur qui perlait et suintait sur tout le corps de Maîtresse Pattie. Sa tenue en latex était trempée, Grace pouvait le sentir. Cette nuit, Pattie allait sûrement dormir nue, mais, quand elle retirera la tenue, cette personnalité dominante s’effacera. La Pattie normale reviendra. En soi, elle n’était jamais partie, la tenue ne créait pas une seconde personnalité, elle modifiait juste les curseurs. C’était comme un jeu de rôle à l’ancienne, l’un des premiers Final Fantasy où, selon la tenue qu’on faisait porter au personnage, il déployait des aptitudes différentes. Il y avait encore tant de tenues à utiliser sur Pattie… Grace avait de toute évidence mis la barre haute en utilisant sa tenue de « Maîtresse », mais, pour son corps défendant, elle ne s’attendait pas à un résultat aussi efficace ! Mais quel pied ! Oh, comme elle aimait ça ! La petite Grace se sentait d’ailleurs à nouveau furieusement excitée, elle se mordillait les lèvres, et se caressait intimement, soupirant à chaque fessée que Maîtresse Pattie infligeait à sa mère.
Daniella, de son côté, sentait aussi toute la fougue de sa Maîtresse. Elle sentait que Pattie donnait toutes ses dernières forces. Son endurance sexuelle avait quelque chose d’incroyable. Daniella ne connaissait pas l’histoire de Pattie, mais elle était plus ou moins convaincue que Pattie-chan n’avait jamais autant baisé avec d’autres fans que maintenant ! Elle sentait sa grosse verge lui labourer le cul, la défonçant impitoyablement. Daniella poussait de longs cris, surtout quand sa Maîtresse la fessait, et lui rappelait qu’elle était désormais Sa propriété.
« Haaaa o-oui, M-Maîtresse, haaaa… V-Votre salope vous appartient p-pleinement, haaaannn… »
Pattie en semblait ravie. Se pouvait-il que, au fond, derrière sa célébrité, Pattie se sente seule ? Comment expliquer autrement ce désir presque instantané de féconder les Venay ? Mais Daniella et Grace avaient suivi cette idée, elles portaient toutes les deux les enfants de Pattie-chan. Daniella ferait tout pour sa fille, et elle comprenait en tout cas mieux pourquoi celle-ci aimait tant Pattie Cosplay. Dans un ultime soupir, Patricia Thompson grogna, et se mit à jouir furieusement.
« Haaaan, Maîtresse, ouuuii, remplissez-moi le cuuuull !! »
Daniella orgasma à son tour. Un orgasme anal, l’un de ses préférés ! Elle gémit encore, et s’affala sur le lit. Elle pouvait sentir la verge de Pattie exploser en elle, répandant des filaments de semence. Elle jouit longuement, généreusement, et reprit ensuite ses esprits. Daniella, couchée sur le lit, se retourna lentement. Elle était elle aussi en sueur, et vit Patricia retirer le haut de sa tenue. Un bref haussement de sourcils chez Daniella témoigna de sa surprise. En retirant une partie de la tenue, Maîtresse Pattie pouvait partir… Mais le reste de la tenue continuait à être là, et cela était visiblement suffisant.
Maîtresse Pattie retira son justaucorps. Elle portait encore ses gants et ses collants, et invita Grace à se rapprocher. Déglutissant lentement, la jeune femme grimpa sur le lit, et renifla le corps de Pattie. Elle sentait sa sueur, ce stupre.
« J-Je… Je veux vous lécher partout, Maîtresse, puis je veux que vous me b-baisiez avec ma mère… »
Une esclave qui demandait, ce n’était pas banal, mais c’était bien ce que Pattie avait sollicité. Daniella s’était à son tour redressée. Nue, et en sueur elle aussi, elle se mit à quatre pattes devant Pattie, et lécha l’un des seins de celle-ci, tout comme Grace, avant de lécher sa peau, remontant sous ses aisselles, puis sur ses épaules, son cou, ses joues, avant de redescendre… Et, tandis qu’elles s’appliquaient à la nettoyer, Pattie put sentir un fourmillement à hauteur de sa verge. Ce fut toutefois quand Grace et Daniella s’attaquèrent à son sexe et qu’elles le léchèrent que la verge de Pattie put gonfler, grossir, jusqu’à finalement… Se dédoubler !