Un peu de temps s'était écoulé depuis l'épisode glaçant ayant opposé les gantzers à Vecna. Reika avait prévenu Balthazar qu'un nouvel appel de Gantz surviendrait mais qu'il pouvait se passer du temps d'ici là. Elle lui avait conseillé de profiter de la vie.
Il avait suivi ce conseil, comprenant le besoin de chacun de refaire un certain point. Leur relation avait été forte, très forte. Et rapide aussi donc s'éloigner pour mieux réfléchir était une bonne solution.
Balthazar étant ce qu'il était, parti faire un saut à Uatis City. Ce n'était pas un hasard s'il allait là-bas: Bubble y vivait, et Bubble était une cochonne comme il en avait rarement croisé. Et en plus, elle était endurante. Sa forme d'athlète des rings y était pour beaucoup. Ils ne partageaient pas de sentiments mais juste une rage sexuelle que l'un et l'autre assumaient totalement. La technologie de la famille Noël aidant, il maintenait le lien avec Reika par sms. Les messages étaient affectueux, respectueux. On pouvait y deviner des sous-entendus et des essais de questionnements sur la suite. Un lien existait, c'était sûr, mais ils n'avaient parlé de rien allant dans le sens de quelque chose de sérieux.
Après que Bubble l'eut usé et que lui, l'eut démontée, Balthazar revint sur Terre. Très ouvert sur les questions de sexualité, il espérait bien que Reika s'était aussi amusée que lui. Il en doutait cependant. Elle était un star, et pas n'importe laquelle: une superstar adulée par des millions de fans dont la partie masculine l'élevait au degré de reine de l'érotisme. Reika était une idole mais cela ne signifiait pas qu'elle était une pute. Beaucoup ne faisaient pas la différence.
Balthazar la suivait sur ses réseaux sociaux sans être intrusif ni lourd. Il enregistrait chacune de ses photos postées et commentait toujours d'une phrase sympa, marrante ou à connotation à peine provocante. Elle connaissait son pseudo: BalthiGtz.
L'actualité de Reika étant quasi quotidienne, Balthazar voyait passer les notifications régulièrement. L'une d'elle capta son attention. Il voulait la voir, la retrouver, la toucher. Reika, ou plutôt son staff, organisait une session de dédicace à Atarashï Yoake. C'était le genre d'évènements que tous les fans attendaient car s'approcher aussi près de la star était comme atteindre le nirvana. Bon ... Balthazar, lui, s'était déjà suffisamment approché d'elle jusqu'à la pénétrer ... mais quand même, il pourrait lui faire cette petite surprise.
Le jour J, il était arrivé de très nombreuses heures avant le début de la séance. L'hôtel Marriott accueillait cet évènement hors normes avec tous les moyens de sécurité nécessaires et tout le monde avait fait comme Balthazar. Ses larges épaules et sa gueule pas commode lui permirent de gratter quelques centaines de place et il n'eut que quatre heures à attendre avant de pouvoir l'apercevoir. Un mini studio avait été monté pour l'occasion et les chanceux avaient droit à une photo avec Reika mais ... interdiction de toucher !!! D'ailleurs les gardes du corps, nombreux, veillaient.
Reika ne l'avait pas vu. Elle venait de faire un geste amical au garçon qui devançait le colosse et celui-ci quitta la zone, entrainé par le staff. Balthazar fit un pas en avant.
"Je suis votre plus grand fan Reika. Vous pourriez me signer votre dernière pochette de disque?"
Il ne pouvait que sourire face à cette superbe beauté qu'il connaissait comme personne. Son cœur battait la chamade.
Un photographe prit un cliché alors qu'ils s'approchaient l'un de l'autre comme deux amants se retrouvant après une longue période.
- Reika Shimohira
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- Fiche
- Demande de RP
La vie quotidienne de Reika avait évolué considérablement. Elle avait mis fin au contrat qui la liait avec son précédent agent, et avait désormais une nouvelle agence, « Aoi Kitsune », gérée par Aoki Kou, son agente. Cette dernière était connue dans le milieu pour être l’agente exclusive des célèbres Strawberry Girls, un trio d’idols très populaire. Le transfert de Reika avait fait grand bruit, car elle quittait après tout Tokyo pour une ville reculée, Atarashï Yoake, qui se situait au nord de Kyoto. La ville n’était pas non plus désertique, mais elle n’avait pas le charme de Tokyo.
Reika était sûre de son choix, et s’était donc installée dans un appartement de luxe, qui se situait dans le même immeuble que les Strawberries. Un penthouse luxueux. Reika avait appris que l’immeuble tout entier était en cours de rachat par Aoki et par son amie, Félicia Hardy. Elle cherchait à y regrouper toutes ses idols. Reika était une idol assez âgée, mais qui restait encore très populaire.
Aoki avait proposé à Reika de se faire connaître en organisant une séance de dédicace à une librairie assez populaire de la ville, le Café Moshi. Sa venue fut évidemment annoncée en grande pompe, et, quand Reika arriva, une solide queue s’était formée. Reika avait récemment sorti un livre autobiographique, précisément à l’annonce de son arrivée à Yoake : « La Survivante ». Dans ce livre, elle expliquait comment elle se reconstruisait après le massacre abominable de Shinjuku. Elle avait évidemment négligé de dire qu’elle avait rejoint l’équipe de Gantz, et que, certains soirs, elle se transformait en tueuse, ou qu’elle traquait des Yakuzas pour retrouver la personne qui l’avait tué.
Reika n’avait également pas oublié Balthazar. Ensemble, ils avaient fait l’amour avec une rare intensité, et Reika en avait conservé un excellent souvenir. Il avait promis de venir la voir, et elle espérait bien qu’il tienne parole.
Absorbée dans la signature des livres, elle remerciait chaque personne, prenait volontiers des selfies. Elle ne vit ainsi Balthazar que quand il fut planté devant elle, avec son corps massif.
« Bonjour », déclama-t-elle machinalement, avant de le voir.
Ses sourcils se haussèrent alors, et Reika se redressa d’un seul coup, sentant comme un frisson la traverser, tandis que son cœur se mit à battre la chamade.
« Oh… Balthazar ! »
Faisant alors fi de toute considération sociale, Reika se redressa, et enlaça Balthazar pendant quelques instants.
« Je suis tellement heureuse de te revoir ! Comment vas-tu ? »
Reika était sûre de son choix, et s’était donc installée dans un appartement de luxe, qui se situait dans le même immeuble que les Strawberries. Un penthouse luxueux. Reika avait appris que l’immeuble tout entier était en cours de rachat par Aoki et par son amie, Félicia Hardy. Elle cherchait à y regrouper toutes ses idols. Reika était une idol assez âgée, mais qui restait encore très populaire.
Aoki avait proposé à Reika de se faire connaître en organisant une séance de dédicace à une librairie assez populaire de la ville, le Café Moshi. Sa venue fut évidemment annoncée en grande pompe, et, quand Reika arriva, une solide queue s’était formée. Reika avait récemment sorti un livre autobiographique, précisément à l’annonce de son arrivée à Yoake : « La Survivante ». Dans ce livre, elle expliquait comment elle se reconstruisait après le massacre abominable de Shinjuku. Elle avait évidemment négligé de dire qu’elle avait rejoint l’équipe de Gantz, et que, certains soirs, elle se transformait en tueuse, ou qu’elle traquait des Yakuzas pour retrouver la personne qui l’avait tué.
Reika n’avait également pas oublié Balthazar. Ensemble, ils avaient fait l’amour avec une rare intensité, et Reika en avait conservé un excellent souvenir. Il avait promis de venir la voir, et elle espérait bien qu’il tienne parole.
Absorbée dans la signature des livres, elle remerciait chaque personne, prenait volontiers des selfies. Elle ne vit ainsi Balthazar que quand il fut planté devant elle, avec son corps massif.
« Bonjour », déclama-t-elle machinalement, avant de le voir.
Ses sourcils se haussèrent alors, et Reika se redressa d’un seul coup, sentant comme un frisson la traverser, tandis que son cœur se mit à battre la chamade.
« Oh… Balthazar ! »
Faisant alors fi de toute considération sociale, Reika se redressa, et enlaça Balthazar pendant quelques instants.
« Je suis tellement heureuse de te revoir ! Comment vas-tu ? »
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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- Balthazar Noël
- Messages : 112
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
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Des murmures et des protestations parcoururent l'assemblée de fans. Comment cet insolent osait-il toucher l'idole de toute une génération? Il y eut des cris et un mouvement de foule. Quelques insultes fusèrent à l'encontre de l'homme à qui Reika offrait l'honneur d'être touchée. Le staff de la sécurité réagit au quart de tour et préserva une zone sûre autour du couple involontaire. Liés ainsi, Reika et Balthazar ressemblaient à un couple comme on en trouvait dans les pages de romans à l'eau de rose. Ils illuminaient la scène de leur présence, et si les hommes maudissaient le colosse chanceux, les filles, elles, enviaient Reika en s'imaginant des scènes sulfureuses avec ce beau gosse musclé.
"Je vais bien maintenant que je te tiens. Tu m'as manqué. Je pensais que le temps serait plus fort que nous mais chaque jour je pense à toi et à notre histoire. Tu es resplendissante; le succès te va bien."
Reika était déjà une star quand il l'avait rencontré. Ils avaient vécu une aventure folle en s'opposant à Vecna, et après il l'avait suivi de loin pour constater qu'elle était vraiment une personnalité d'importance au Japon. Ses fan-clubs étaient innombrables, elle était le modèle de nombreux cosplays, elle était l'héroïne de nombreux hentais assez salaces, et les plateaux de télévision se l'arrachaient. Donc oui, le succès était bien au rendez-vous mais il y avait aussi tout ce que le monde ignorait. Reika était morte, Reika était une combattante redoutable, et Reika se battait pour le bien de l'humanité. Et ... Reika avait aussi choisi un type bizarre pour lui tenir compagnie dans sa solitude. Balthazar en avait été très fier, et reconnaissant. Il gardait en mémoire ses paroles, ses demandes, ses remerciements, mais aussi la chaleur de son corps et ses petits plaisirs coupables qu'il serait indécent de révéler.
De l'avoir tout contre lui réveilla aussitôt sa nature délurée et ses gros doigts serrèrent ce joli corps souple et agile. Le tissu de la robe n'était qu'un détail et il pouvait la sentir vibrer et vivre. Vivre ... Elle lui avait dit une fois: "Fais moi me sentir vivante." Il ne l'avait jamais oublié tant ce cri de désespoir était déchirant. Il l'avait marqué au fer rouge, en lui, profondément. Le sort de Reika était injuste. Elle était si gentille et attentionnée, elle ne méritait aucune souffrance et pourtant, son existence était cruelle. Si Balthazar était revenu aussi vite, c'était aussi pour la soutenir car la solitude était l'une des pires ennemies qui soit.
Une manager du staff de Reika s'approcha pour indiquer discrètement que ces effusions pouvaient porter atteintes à l'image de l'idole. Ce n'était pas faux, le Japon était le royaume des colporteurs de rumeurs merdiques qui pouvaient ruiner une carrière.
"Je te vois très vite ... Je reste tout près."
Il se retira en s'excusant auprès des fans.
"J'en rêvais depuis toujours, pardon , pardon."
Vu sa carrure, personne n'osa trop venir lui reprocher de trop près son impertinence....
Il se mit en retrait dans le champ visuel de Reika et attendit que la séance se termine. Ce fut long et pour donner le change, quelques fans triés sur le volet purent aussi "un peu" toucher Reika. Quand ce fut terminé, les agents de sécurité s'assurèrent que l'endroit fut évacué du public, ne laissant que le staff pour le démontage et l'équipe de Reika.
Il se retrouvèrent et il lui prit les mains.
"Je veux tout savoir de toi depuis la dernière fois."
Si proche, il ne pouvait rien ignorer d'elle. Le toucher de sa peau, son odeur, son regard, ses lèvres ... Il la serra entre ses bras massifs.
"Nous avons beaucoup à rattraper. Dis moi que personne n'a volé ton cœur?"
"Je vais bien maintenant que je te tiens. Tu m'as manqué. Je pensais que le temps serait plus fort que nous mais chaque jour je pense à toi et à notre histoire. Tu es resplendissante; le succès te va bien."
Reika était déjà une star quand il l'avait rencontré. Ils avaient vécu une aventure folle en s'opposant à Vecna, et après il l'avait suivi de loin pour constater qu'elle était vraiment une personnalité d'importance au Japon. Ses fan-clubs étaient innombrables, elle était le modèle de nombreux cosplays, elle était l'héroïne de nombreux hentais assez salaces, et les plateaux de télévision se l'arrachaient. Donc oui, le succès était bien au rendez-vous mais il y avait aussi tout ce que le monde ignorait. Reika était morte, Reika était une combattante redoutable, et Reika se battait pour le bien de l'humanité. Et ... Reika avait aussi choisi un type bizarre pour lui tenir compagnie dans sa solitude. Balthazar en avait été très fier, et reconnaissant. Il gardait en mémoire ses paroles, ses demandes, ses remerciements, mais aussi la chaleur de son corps et ses petits plaisirs coupables qu'il serait indécent de révéler.
De l'avoir tout contre lui réveilla aussitôt sa nature délurée et ses gros doigts serrèrent ce joli corps souple et agile. Le tissu de la robe n'était qu'un détail et il pouvait la sentir vibrer et vivre. Vivre ... Elle lui avait dit une fois: "Fais moi me sentir vivante." Il ne l'avait jamais oublié tant ce cri de désespoir était déchirant. Il l'avait marqué au fer rouge, en lui, profondément. Le sort de Reika était injuste. Elle était si gentille et attentionnée, elle ne méritait aucune souffrance et pourtant, son existence était cruelle. Si Balthazar était revenu aussi vite, c'était aussi pour la soutenir car la solitude était l'une des pires ennemies qui soit.
Une manager du staff de Reika s'approcha pour indiquer discrètement que ces effusions pouvaient porter atteintes à l'image de l'idole. Ce n'était pas faux, le Japon était le royaume des colporteurs de rumeurs merdiques qui pouvaient ruiner une carrière.
"Je te vois très vite ... Je reste tout près."
Il se retira en s'excusant auprès des fans.
"J'en rêvais depuis toujours, pardon , pardon."
Vu sa carrure, personne n'osa trop venir lui reprocher de trop près son impertinence....
Il se mit en retrait dans le champ visuel de Reika et attendit que la séance se termine. Ce fut long et pour donner le change, quelques fans triés sur le volet purent aussi "un peu" toucher Reika. Quand ce fut terminé, les agents de sécurité s'assurèrent que l'endroit fut évacué du public, ne laissant que le staff pour le démontage et l'équipe de Reika.
Il se retrouvèrent et il lui prit les mains.
"Je veux tout savoir de toi depuis la dernière fois."
Si proche, il ne pouvait rien ignorer d'elle. Le toucher de sa peau, son odeur, son regard, ses lèvres ... Il la serra entre ses bras massifs.
"Nous avons beaucoup à rattraper. Dis moi que personne n'a volé ton cœur?"
- Reika Shimohira
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- Demande de RP
Reika savait très bien que, en se livrant à une telle accolade en public, elle aurait des retombées. Les Japonais n’étaient pas les Occidentaux. Toucher quelqu’un, c’était un acte assez intime, raison pour laquelle les Japonais ne se serraient pas la main pour se saluer, mais se courbaient. Mais, pour le dire simplement, Reika s’en moquait. Elle avait après tout franchi la mort. Elle sourit donc auprès de Balthazar, avant de se reculer. Difficile d’oublier l’aventure qu’elle et Balthazar avaient vécu. Ils avaient affronté les hordes de Vecna, et Balthazar avait bien malgré lui rejoint l’équipe de Gantz. Ils n’avaient pas encore été convoqués à nouveau depuis la bataille de Kumamoto, qui avait fait la une de l’actualité. Les journalistes avaient évoqué des forces spéciales en combinaison noire, et, par un miracle inexplicable, personne n’avait remonté jusqu’à Reika. Elle n’était pas pressée de retrouver Gantz, mais, en revoyant Balthazar, Reika devait bien admettre qu’elle était heureuse de le revoir.
« Reika-sama… Ce n’est pas prudent, les paparazzis pourraient s’intéresser à votre ami. »
Reika acquiesça au conseil de sa manager, puis indiqua à Balthazar de l’attendre à l’arrière de la librairie. Reika reprit ensuite ses esprits, et esquiva les questions éventuelles qu’on put lui poser sur Balthazar. Un peu perdue dans ses pensées, elle revint à elle, et expliqua sommairement qu’il était un fan de longue haleine, et qui avait traversé le monde pour la voir. Un moyen habile de rebondir en évitant les racontars. Pour le reste de la séance de dédicace, Reika fut un peu ailleurs. Elle se remémorait les quelques rares bons moments du siège de Kumamoto, impliquant surtout le moment où elle et cet inconnu massif avaient joyeusement fait l’amour. Il était l’une des rares personnes à connaître son secret, à savoir que Reika était morte, puis était revenue à la vie.
Quand la séance de dédicaces se termina, Reika fila par une entrée de service à l’arrière. Elle avait demandé à son Staff de laisser passer Balthazar, la ruelle étant fermée pour éviter que les fans ne s’agglutinent. Elle le retrouva donc à l’arrière, et sourit alors à nouveau… Puis elle se lova contre lui, et le prit dans ses bras.
« Tu m’as retrouvé, alors ! Je n’arrive pas à y croire… »
Reika lui sourit, et gloussa même quand Balthazar lui demanda si personne ne lui avait volé son cœur.
« Eh bien, il va falloir s’assurer de trouver un moyen de s’occuper de toi, maintenant que tu as été identifié publiquement… Tu vas avoir les paparazzis aux fesses, ça te changera de t’occuper du mien… »
Si la Japonaise typique était plutôt candide et pudique, Reika n’était clairement pas comme ça. Elle se hissa d’ailleurs sur la pointe des pieds, et embrassa l’homme.
« Pour faire simple, j’ai quitté mon ancienne agence pour une nouvelle, ici, à Atarashï Yoake. Je mène ma petite vie tranquille d’idol, je me fais de nouveaux fans, et je découvre les coutumes typiques de la ville. Et toi ? Tu es toujours occupé à défoncer les culs de toutes les belles filles que tu croises ? »
« Reika-sama… Ce n’est pas prudent, les paparazzis pourraient s’intéresser à votre ami. »
Reika acquiesça au conseil de sa manager, puis indiqua à Balthazar de l’attendre à l’arrière de la librairie. Reika reprit ensuite ses esprits, et esquiva les questions éventuelles qu’on put lui poser sur Balthazar. Un peu perdue dans ses pensées, elle revint à elle, et expliqua sommairement qu’il était un fan de longue haleine, et qui avait traversé le monde pour la voir. Un moyen habile de rebondir en évitant les racontars. Pour le reste de la séance de dédicace, Reika fut un peu ailleurs. Elle se remémorait les quelques rares bons moments du siège de Kumamoto, impliquant surtout le moment où elle et cet inconnu massif avaient joyeusement fait l’amour. Il était l’une des rares personnes à connaître son secret, à savoir que Reika était morte, puis était revenue à la vie.
Quand la séance de dédicaces se termina, Reika fila par une entrée de service à l’arrière. Elle avait demandé à son Staff de laisser passer Balthazar, la ruelle étant fermée pour éviter que les fans ne s’agglutinent. Elle le retrouva donc à l’arrière, et sourit alors à nouveau… Puis elle se lova contre lui, et le prit dans ses bras.
« Tu m’as retrouvé, alors ! Je n’arrive pas à y croire… »
Reika lui sourit, et gloussa même quand Balthazar lui demanda si personne ne lui avait volé son cœur.
« Eh bien, il va falloir s’assurer de trouver un moyen de s’occuper de toi, maintenant que tu as été identifié publiquement… Tu vas avoir les paparazzis aux fesses, ça te changera de t’occuper du mien… »
Si la Japonaise typique était plutôt candide et pudique, Reika n’était clairement pas comme ça. Elle se hissa d’ailleurs sur la pointe des pieds, et embrassa l’homme.
« Pour faire simple, j’ai quitté mon ancienne agence pour une nouvelle, ici, à Atarashï Yoake. Je mène ma petite vie tranquille d’idol, je me fais de nouveaux fans, et je découvre les coutumes typiques de la ville. Et toi ? Tu es toujours occupé à défoncer les culs de toutes les belles filles que tu croises ? »
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
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- Balthazar Noël
- Messages : 112
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Reika sentait bon. Son visage rayonnait. Pour Balthazar, c'était le plus beau cadeau que de la voir aussi radieuse. Entre l'idole célèbre et la guerrière de l'épisode Kumamoto, il y avait tout un monde. La menace Vecna n'était pas close, ils le savaient tout les deux, mais quand un répit se présentait, il fallait le prendre à bras le corps.
Après la bataille, et la résurrection de la plupart des gantzers, tous s'étaient séparés. Pour Reika et Balthazar, bien que leur fusion ait été forte, un temps de réflexion était nécessaire pour que chaque chose rentre dans l'ordre. Ils en avaient convenu et s'étaient promis de se retrouver. C'était chose faite. Balthazar avait mis cette période à profit pour une introspection dont il avait tiré des conclusions: la première était qu'il avait découvert en Reika ce qu'aucune autre femme ne lui avait apporté. On ne parlait pas de sexe mais bien de relation plus profonde, avec une grande compréhension de l'autre et une plongée dans son âme. Reika était une personne honnête avec elle-même et avec les autres. Son instinct de survie passait après le bien commun, ce qui en faisait une perle rare à protéger absolument. Elle pouvait être très sérieuse et faire passer ses convictions avant ses propres intérêts et paradoxalement, quand elle riait, le monde entier pouvait s'agenouiller devant elle. Après, sur un aspect physique, elle dépotait. C'était indéniable. Elle n'avait pas un défaut et quand elle baisait, elle ne faisait pas semblant.
Ce cumul de qualité n'avait pas laissé Balthazar indifférent et on pourrait même dire que d'une certaine manière qu'il n'était pas encore prêt à avouer, il en pinçait pour elle. C'était un sentiment nouveau puisque jusqu'à présent, il se contentait du cul pour le cul avec toutes les partenaires qu'il avait martelé. Sa quête de sexualité absolue semblait toucher à son terme. L'objectif qu'il s'était donné en quittant le cocon familial était atteint. Depuis son départ, il baisait sans relâche presque tout ce qui lui tombait sous la bite. Il avait essayé tout ce qui pouvait être possible d'essayer, avait sélectionné ses préférences et banni d'autres pratiques, ou bizarres, ou douteuses. Maintenant, il se sentait prêt pour une certaine stabilité et ce n'était pas pour rien qu'il revenait vers Reika. Il estimait avoir envers elle un devoir de responsabilité et de protection. Elle avait souffert donc il voulait lui offrir un peu de bonheur et projeter un avenir commun. Ce n'était pas prétentieux, juste humaniste. Balthazar prenait certaines habitudes très humaines et cela lui convenait parfaitement.
Il posa un gros baiser sur le front de l'idole qu'il tenait dans ses bras.
"Mais quel langage tiens-tu? C'est ma présence qui te dévergondes?"
Il déposa un baiser sur les lèvres pulpeuses qu'il aimait autant goûter que sentir ventousées autour de son chibre.
"En fait ... il n'y a qu'un seul petit cul qui m'obsède en ce moment et il se trouve qu'il est exactement au bon endroit."
Ses grosses mains descendirent palper le postérieur de Reika. Oh qu'elle pouvait encaisser cette jolie petite cochonne, elle l'avait prouvé!
Mais plus sérieusement: "Je suis heureux d'apprendre que tu vis ta vie comme tu le souhaites. Profite en car le succès te colle à la peau. Tu ne resteras pas tranquille très longtemps mais ... je serais là pour toi. Est-ce que tu as un peu de place pour moi dans tes valises? Il se trouve que je restreins mes goûts aux belles femmes brunes, aux longs cheveux, à la peau claire, au corps parfait, ayant une mentalité orientée sur la débauche sexuelle mais masquée derrière une apparence très respectable, et ... avec une attente très prononcée pour la sodomie. C'est marrant mais ... cela me ramène irrémédiablement à toi."
Ils se tenaient accrochés l'un à l'autre, se balançant doucement comme enlacés dans l'équilibre précaire d'un slow.
Reika avait aussi raison. Les paparazzis avaient immortalisé leur étreinte et dans le monde de la communication, il allait falloir justifié ce petit écart qui ferait parler. Reika qui se jette sur un fan? Du jamais vu! Les jalousies allaient perdurer et il allait falloir faire diversion.
"Alors, que vas tu faire de moi? Je peux faire le ménage chez toi, la cuisine, te servir de chauffeur, être le gogoboy de service quand tu en as besoin ..."
Il l'embrassa.
"Cette dernière fonction m'irait à merveille ... mais, il faudrait que je vive chez toi pour plus d'efficacité non? Si je me souviens bien, tu as un appétit sexuel assez exigeant ..."
Après la bataille, et la résurrection de la plupart des gantzers, tous s'étaient séparés. Pour Reika et Balthazar, bien que leur fusion ait été forte, un temps de réflexion était nécessaire pour que chaque chose rentre dans l'ordre. Ils en avaient convenu et s'étaient promis de se retrouver. C'était chose faite. Balthazar avait mis cette période à profit pour une introspection dont il avait tiré des conclusions: la première était qu'il avait découvert en Reika ce qu'aucune autre femme ne lui avait apporté. On ne parlait pas de sexe mais bien de relation plus profonde, avec une grande compréhension de l'autre et une plongée dans son âme. Reika était une personne honnête avec elle-même et avec les autres. Son instinct de survie passait après le bien commun, ce qui en faisait une perle rare à protéger absolument. Elle pouvait être très sérieuse et faire passer ses convictions avant ses propres intérêts et paradoxalement, quand elle riait, le monde entier pouvait s'agenouiller devant elle. Après, sur un aspect physique, elle dépotait. C'était indéniable. Elle n'avait pas un défaut et quand elle baisait, elle ne faisait pas semblant.
Ce cumul de qualité n'avait pas laissé Balthazar indifférent et on pourrait même dire que d'une certaine manière qu'il n'était pas encore prêt à avouer, il en pinçait pour elle. C'était un sentiment nouveau puisque jusqu'à présent, il se contentait du cul pour le cul avec toutes les partenaires qu'il avait martelé. Sa quête de sexualité absolue semblait toucher à son terme. L'objectif qu'il s'était donné en quittant le cocon familial était atteint. Depuis son départ, il baisait sans relâche presque tout ce qui lui tombait sous la bite. Il avait essayé tout ce qui pouvait être possible d'essayer, avait sélectionné ses préférences et banni d'autres pratiques, ou bizarres, ou douteuses. Maintenant, il se sentait prêt pour une certaine stabilité et ce n'était pas pour rien qu'il revenait vers Reika. Il estimait avoir envers elle un devoir de responsabilité et de protection. Elle avait souffert donc il voulait lui offrir un peu de bonheur et projeter un avenir commun. Ce n'était pas prétentieux, juste humaniste. Balthazar prenait certaines habitudes très humaines et cela lui convenait parfaitement.
Il posa un gros baiser sur le front de l'idole qu'il tenait dans ses bras.
"Mais quel langage tiens-tu? C'est ma présence qui te dévergondes?"
Il déposa un baiser sur les lèvres pulpeuses qu'il aimait autant goûter que sentir ventousées autour de son chibre.
"En fait ... il n'y a qu'un seul petit cul qui m'obsède en ce moment et il se trouve qu'il est exactement au bon endroit."
Ses grosses mains descendirent palper le postérieur de Reika. Oh qu'elle pouvait encaisser cette jolie petite cochonne, elle l'avait prouvé!
Mais plus sérieusement: "Je suis heureux d'apprendre que tu vis ta vie comme tu le souhaites. Profite en car le succès te colle à la peau. Tu ne resteras pas tranquille très longtemps mais ... je serais là pour toi. Est-ce que tu as un peu de place pour moi dans tes valises? Il se trouve que je restreins mes goûts aux belles femmes brunes, aux longs cheveux, à la peau claire, au corps parfait, ayant une mentalité orientée sur la débauche sexuelle mais masquée derrière une apparence très respectable, et ... avec une attente très prononcée pour la sodomie. C'est marrant mais ... cela me ramène irrémédiablement à toi."
Ils se tenaient accrochés l'un à l'autre, se balançant doucement comme enlacés dans l'équilibre précaire d'un slow.
Reika avait aussi raison. Les paparazzis avaient immortalisé leur étreinte et dans le monde de la communication, il allait falloir justifié ce petit écart qui ferait parler. Reika qui se jette sur un fan? Du jamais vu! Les jalousies allaient perdurer et il allait falloir faire diversion.
"Alors, que vas tu faire de moi? Je peux faire le ménage chez toi, la cuisine, te servir de chauffeur, être le gogoboy de service quand tu en as besoin ..."
Il l'embrassa.
"Cette dernière fonction m'irait à merveille ... mais, il faudrait que je vive chez toi pour plus d'efficacité non? Si je me souviens bien, tu as un appétit sexuel assez exigeant ..."
- Reika Shimohira
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Balthazar était fidèle à lui-même ! Reika sourit en le constatant, même si elle fut assez surprise qu’il lui indique vouloir se rapprocher d’elle. Elle s’était attendue à aller dans un love hotel, Reika en connaissait qui assuraient la confidentialité de leurs clients. Ensemble, ils avaient défié Vecna, ils avaient survécu à ce dernier. Survivre à la mort, cela créait nécessairement des liens. Ils avaient aussi eu l’occasion de faire l’amour pendant cette mission. Elle sourit donc à ce dernier, et l’embrassa sur les lèvres.
« Tu veux squatter chez moi sans payer le loyer, alors ? Désolée, mon cher, mais ce n’est pas comme ça que ça marche ! »
Elle s’écarta alors de lui, et laissa planer le doute pendant quelques instants. Elle lui tourna le dos, puis se retourna vers lui en souriant, un doigt levé près de ses lèvres.
« Voilà le loyer : un orgasme par jour ! »
Reika ignorait encore ce que Balthazar ressentait vraiment à son sujet. Elle-même n’en savait trop rien, sa vie était après tout très spéciale. Balthazar savait qu’elle était morte, qu’elle appartenait désormais comme lui au programme Gantz, il était donc suffisamment proche d’elle pour ça.
« Pour le ménage, j’ai déjà des femmes de ménage qui sont très discrètes… Mais je te vois mal faire le ménage, te connaissant, tu risques plutôt de la retarder dans son travail. »
Elles étaient fournies par Aoki, sa manager, et venaient d’une agence de travail locale dont Reika n’avait jamais entendu parler, la « Warren Agency ».
« On trouvera bien de quoi t’occuper dans le domaine où tu t’en sors le mieux, car il me semble quand même que c’est toi qui as un appétit sexuel exigeant. »
Le sourire espiègle de Reika ne mentait pas sur ce qu’elle envisageait. Balthazar avait encore du travail à faire côté séduction.
« Je suis sûre que tu ne te rappelles même pas combien de femmes tu as baisé depuis notre mission… »
« Tu veux squatter chez moi sans payer le loyer, alors ? Désolée, mon cher, mais ce n’est pas comme ça que ça marche ! »
Elle s’écarta alors de lui, et laissa planer le doute pendant quelques instants. Elle lui tourna le dos, puis se retourna vers lui en souriant, un doigt levé près de ses lèvres.
« Voilà le loyer : un orgasme par jour ! »
Reika ignorait encore ce que Balthazar ressentait vraiment à son sujet. Elle-même n’en savait trop rien, sa vie était après tout très spéciale. Balthazar savait qu’elle était morte, qu’elle appartenait désormais comme lui au programme Gantz, il était donc suffisamment proche d’elle pour ça.
« Pour le ménage, j’ai déjà des femmes de ménage qui sont très discrètes… Mais je te vois mal faire le ménage, te connaissant, tu risques plutôt de la retarder dans son travail. »
Elles étaient fournies par Aoki, sa manager, et venaient d’une agence de travail locale dont Reika n’avait jamais entendu parler, la « Warren Agency ».
« On trouvera bien de quoi t’occuper dans le domaine où tu t’en sors le mieux, car il me semble quand même que c’est toi qui as un appétit sexuel exigeant. »
Le sourire espiègle de Reika ne mentait pas sur ce qu’elle envisageait. Balthazar avait encore du travail à faire côté séduction.
« Je suis sûre que tu ne te rappelles même pas combien de femmes tu as baisé depuis notre mission… »
DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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- Balthazar Noël
- Messages : 112
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
"Un orgasme par jour? je crois bien que j'arrivais à m'acquitter d'un tel paiement sans grandes difficultés!"
Reika est une joueuse qui sait parfaitement jouer de ses charmes. Ses mimiques sont adorables et craquantes. Elle s'échappe, revient, pour le plus grand bonheur des yeux de Balthazar. Et puis ses lèvres avaient un goût frais et sucré. Il la serra à nouveau dans ses bras, elle lui avait manqué.
"Oh oh ... et bien , et bien ? mes conquêtes t'intéressent tant que ça? Et si je te disais tout simplement que c'est à toi que je pense et que le reste m'indiffère. Que je ne ressens le goût des choses que quand je t'embrasse, que je ne reconnais que l'odeur de ta peau et que je ne souris qu'en te regardant ... Est ce que ça te suffirait pour croire que je ne tiens qu'à toi?"
Il lui caresse les hanches, le bas du dos. Un coup d'œil aux alentours lui permet de constater que le débouché de la ruelle est tenu par le service de sécurité de Reika. Les gardes leur tournent le dos, très professionnels, et ne se permettront pas d'écouter ou regarder ce qui se passe.
Balthazar soulève Reika et la porte contre ses hanches.
"Ne serait-ce pas un bon endroit pour fêter nos retrouvailles dans l'urgence? On a fait pire après tout."
Il l'embrasse et la pousse dos contre un mur. Bien évidemment, il bande déjà. Il a tellement attendu ce moment qu'il est incapable de se retenir. Son gros mandrin presse contre Reika, incisif et palpitant.
"Là, il n'y a qu'une seule femme que je veux baiser ..."
Il fait glisser les lanières de la robe de Reika sur ses épaules, dévoilant son soutien gorge bien rempli. il lutte un peu pour le dégrafer et libérer une charmante poitrine dont il a des souvenirs exquis. Il la pelote entre ses gros doigts, la couvre de ses mains, excite les tétons qui réagissent aussitôt. L'homme se frotte à l'idole. Ils ont vécu de telles horreurs ensembles que leur harmonie est quasiment parfaite et synchrone.
Balthazar guide la main de Reika entre ses cuisses tandis que lui même explore la moiteur de la brunette. Son clitoris n'est qu'une étape de l'exploration puisqu'il passe très vite à une inspection plus profonde avec ses doigts. Un seul ne suffit pas, Reika a besoin de bien plus, il ne l'a pas oublié. Elle avait crié : "Fais moi me sentir vivante!!" Cela il ne l'oublierait jamais. Il avait été brutal avec elle et elle avait joui comme jamais. Elle avait voulu un fist anal et même Balthazar avait été surpris par ce qu'elle pouvait encaisser. Ils avaient baisé comme des chiens dans des circonstances extrêmes. Là, au fond de cette ruelle, personne ne voulait les tuer et ils ne risquaient pas leur vie. Ils pouvaient se donner le temps de profiter un peu même s'ils n'étaient pas à l'abri d'être surpris. C'était peu probable mais ...
Balthazar doigtait Reika, retrouvant sa chaleur corporelle et ses frémissements. Lui-même n'en pouvait plus, dur comme de l'acier.
Reika est une joueuse qui sait parfaitement jouer de ses charmes. Ses mimiques sont adorables et craquantes. Elle s'échappe, revient, pour le plus grand bonheur des yeux de Balthazar. Et puis ses lèvres avaient un goût frais et sucré. Il la serra à nouveau dans ses bras, elle lui avait manqué.
"Oh oh ... et bien , et bien ? mes conquêtes t'intéressent tant que ça? Et si je te disais tout simplement que c'est à toi que je pense et que le reste m'indiffère. Que je ne ressens le goût des choses que quand je t'embrasse, que je ne reconnais que l'odeur de ta peau et que je ne souris qu'en te regardant ... Est ce que ça te suffirait pour croire que je ne tiens qu'à toi?"
Il lui caresse les hanches, le bas du dos. Un coup d'œil aux alentours lui permet de constater que le débouché de la ruelle est tenu par le service de sécurité de Reika. Les gardes leur tournent le dos, très professionnels, et ne se permettront pas d'écouter ou regarder ce qui se passe.
Balthazar soulève Reika et la porte contre ses hanches.
"Ne serait-ce pas un bon endroit pour fêter nos retrouvailles dans l'urgence? On a fait pire après tout."
Il l'embrasse et la pousse dos contre un mur. Bien évidemment, il bande déjà. Il a tellement attendu ce moment qu'il est incapable de se retenir. Son gros mandrin presse contre Reika, incisif et palpitant.
"Là, il n'y a qu'une seule femme que je veux baiser ..."
Il fait glisser les lanières de la robe de Reika sur ses épaules, dévoilant son soutien gorge bien rempli. il lutte un peu pour le dégrafer et libérer une charmante poitrine dont il a des souvenirs exquis. Il la pelote entre ses gros doigts, la couvre de ses mains, excite les tétons qui réagissent aussitôt. L'homme se frotte à l'idole. Ils ont vécu de telles horreurs ensembles que leur harmonie est quasiment parfaite et synchrone.
Balthazar guide la main de Reika entre ses cuisses tandis que lui même explore la moiteur de la brunette. Son clitoris n'est qu'une étape de l'exploration puisqu'il passe très vite à une inspection plus profonde avec ses doigts. Un seul ne suffit pas, Reika a besoin de bien plus, il ne l'a pas oublié. Elle avait crié : "Fais moi me sentir vivante!!" Cela il ne l'oublierait jamais. Il avait été brutal avec elle et elle avait joui comme jamais. Elle avait voulu un fist anal et même Balthazar avait été surpris par ce qu'elle pouvait encaisser. Ils avaient baisé comme des chiens dans des circonstances extrêmes. Là, au fond de cette ruelle, personne ne voulait les tuer et ils ne risquaient pas leur vie. Ils pouvaient se donner le temps de profiter un peu même s'ils n'étaient pas à l'abri d'être surpris. C'était peu probable mais ...
Balthazar doigtait Reika, retrouvant sa chaleur corporelle et ses frémissements. Lui-même n'en pouvait plus, dur comme de l'acier.