Un peu de temps s'était écoulé depuis l'épisode glaçant ayant opposé les gantzers à Vecna. Reika avait prévenu Balthazar qu'un nouvel appel de Gantz surviendrait mais qu'il pouvait se passer du temps d'ici là. Elle lui avait conseillé de profiter de la vie.
Il avait suivi ce conseil, comprenant le besoin de chacun de refaire un certain point. Leur relation avait été forte, très forte. Et rapide aussi donc s'éloigner pour mieux réfléchir était une bonne solution.
Balthazar étant ce qu'il était, parti faire un saut à Uatis City. Ce n'était pas un hasard s'il allait là-bas: Bubble y vivait, et Bubble était une cochonne comme il en avait rarement croisé. Et en plus, elle était endurante. Sa forme d'athlète des rings y était pour beaucoup. Ils ne partageaient pas de sentiments mais juste une rage sexuelle que l'un et l'autre assumaient totalement. La technologie de la famille Noël aidant, il maintenait le lien avec Reika par sms. Les messages étaient affectueux, respectueux. On pouvait y deviner des sous-entendus et des essais de questionnements sur la suite. Un lien existait, c'était sûr, mais ils n'avaient parlé de rien allant dans le sens de quelque chose de sérieux.
Après que Bubble l'eut usé et que lui, l'eut démontée, Balthazar revint sur Terre. Très ouvert sur les questions de sexualité, il espérait bien que Reika s'était aussi amusée que lui. Il en doutait cependant. Elle était un star, et pas n'importe laquelle: une superstar adulée par des millions de fans dont la partie masculine l'élevait au degré de reine de l'érotisme. Reika était une idole mais cela ne signifiait pas qu'elle était une pute. Beaucoup ne faisaient pas la différence.
Balthazar la suivait sur ses réseaux sociaux sans être intrusif ni lourd. Il enregistrait chacune de ses photos postées et commentait toujours d'une phrase sympa, marrante ou à connotation à peine provocante. Elle connaissait son pseudo: BalthiGtz.
L'actualité de Reika étant quasi quotidienne, Balthazar voyait passer les notifications régulièrement. L'une d'elle capta son attention. Il voulait la voir, la retrouver, la toucher. Reika, ou plutôt son staff, organisait une session de dédicace à Atarashï Yoake. C'était le genre d'évènements que tous les fans attendaient car s'approcher aussi près de la star était comme atteindre le nirvana. Bon ... Balthazar, lui, s'était déjà suffisamment approché d'elle jusqu'à la pénétrer ... mais quand même, il pourrait lui faire cette petite surprise.
Le jour J, il était arrivé de très nombreuses heures avant le début de la séance. L'hôtel Marriott accueillait cet évènement hors normes avec tous les moyens de sécurité nécessaires et tout le monde avait fait comme Balthazar. Ses larges épaules et sa gueule pas commode lui permirent de gratter quelques centaines de place et il n'eut que quatre heures à attendre avant de pouvoir l'apercevoir. Un mini studio avait été monté pour l'occasion et les chanceux avaient droit à une photo avec Reika mais ... interdiction de toucher !!! D'ailleurs les gardes du corps, nombreux, veillaient.
Reika ne l'avait pas vu. Elle venait de faire un geste amical au garçon qui devançait le colosse et celui-ci quitta la zone, entrainé par le staff. Balthazar fit un pas en avant.
"Je suis votre plus grand fan Reika. Vous pourriez me signer votre dernière pochette de disque?"
Il ne pouvait que sourire face à cette superbe beauté qu'il connaissait comme personne. Son cœur battait la chamade.
Un photographe prit un cliché alors qu'ils s'approchaient l'un de l'autre comme deux amants se retrouvant après une longue période.
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Balthazar Noël
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Reika Shimohira
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- Demande de RP
La vie quotidienne de Reika avait évolué considérablement. Elle avait mis fin au contrat qui la liait avec son précédent agent, et avait désormais une nouvelle agence, « Aoi Kitsune », gérée par Aoki Kou, son agente. Cette dernière était connue dans le milieu pour être l’agente exclusive des célèbres Strawberry Girls, un trio d’idols très populaire. Le transfert de Reika avait fait grand bruit, car elle quittait après tout Tokyo pour une ville reculée, Atarashï Yoake, qui se situait au nord de Kyoto. La ville n’était pas non plus désertique, mais elle n’avait pas le charme de Tokyo.
Reika était sûre de son choix, et s’était donc installée dans un appartement de luxe, qui se situait dans le même immeuble que les Strawberries. Un penthouse luxueux. Reika avait appris que l’immeuble tout entier était en cours de rachat par Aoki et par son amie, Félicia Hardy. Elle cherchait à y regrouper toutes ses idols. Reika était une idol assez âgée, mais qui restait encore très populaire.
Aoki avait proposé à Reika de se faire connaître en organisant une séance de dédicace à une librairie assez populaire de la ville, le Café Moshi. Sa venue fut évidemment annoncée en grande pompe, et, quand Reika arriva, une solide queue s’était formée. Reika avait récemment sorti un livre autobiographique, précisément à l’annonce de son arrivée à Yoake : « La Survivante ». Dans ce livre, elle expliquait comment elle se reconstruisait après le massacre abominable de Shinjuku. Elle avait évidemment négligé de dire qu’elle avait rejoint l’équipe de Gantz, et que, certains soirs, elle se transformait en tueuse, ou qu’elle traquait des Yakuzas pour retrouver la personne qui l’avait tué.
Reika n’avait également pas oublié Balthazar. Ensemble, ils avaient fait l’amour avec une rare intensité, et Reika en avait conservé un excellent souvenir. Il avait promis de venir la voir, et elle espérait bien qu’il tienne parole.
Absorbée dans la signature des livres, elle remerciait chaque personne, prenait volontiers des selfies. Elle ne vit ainsi Balthazar que quand il fut planté devant elle, avec son corps massif.
« Bonjour », déclama-t-elle machinalement, avant de le voir.
Ses sourcils se haussèrent alors, et Reika se redressa d’un seul coup, sentant comme un frisson la traverser, tandis que son cœur se mit à battre la chamade.
« Oh… Balthazar ! »
Faisant alors fi de toute considération sociale, Reika se redressa, et enlaça Balthazar pendant quelques instants.
« Je suis tellement heureuse de te revoir ! Comment vas-tu ? »
Reika était sûre de son choix, et s’était donc installée dans un appartement de luxe, qui se situait dans le même immeuble que les Strawberries. Un penthouse luxueux. Reika avait appris que l’immeuble tout entier était en cours de rachat par Aoki et par son amie, Félicia Hardy. Elle cherchait à y regrouper toutes ses idols. Reika était une idol assez âgée, mais qui restait encore très populaire.
Aoki avait proposé à Reika de se faire connaître en organisant une séance de dédicace à une librairie assez populaire de la ville, le Café Moshi. Sa venue fut évidemment annoncée en grande pompe, et, quand Reika arriva, une solide queue s’était formée. Reika avait récemment sorti un livre autobiographique, précisément à l’annonce de son arrivée à Yoake : « La Survivante ». Dans ce livre, elle expliquait comment elle se reconstruisait après le massacre abominable de Shinjuku. Elle avait évidemment négligé de dire qu’elle avait rejoint l’équipe de Gantz, et que, certains soirs, elle se transformait en tueuse, ou qu’elle traquait des Yakuzas pour retrouver la personne qui l’avait tué.
Reika n’avait également pas oublié Balthazar. Ensemble, ils avaient fait l’amour avec une rare intensité, et Reika en avait conservé un excellent souvenir. Il avait promis de venir la voir, et elle espérait bien qu’il tienne parole.
Absorbée dans la signature des livres, elle remerciait chaque personne, prenait volontiers des selfies. Elle ne vit ainsi Balthazar que quand il fut planté devant elle, avec son corps massif.
« Bonjour », déclama-t-elle machinalement, avant de le voir.
Ses sourcils se haussèrent alors, et Reika se redressa d’un seul coup, sentant comme un frisson la traverser, tandis que son cœur se mit à battre la chamade.
« Oh… Balthazar ! »
Faisant alors fi de toute considération sociale, Reika se redressa, et enlaça Balthazar pendant quelques instants.
« Je suis tellement heureuse de te revoir ! Comment vas-tu ? »
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Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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Balthazar Noël
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Des murmures et des protestations parcoururent l'assemblée de fans. Comment cet insolent osait-il toucher l'idole de toute une génération? Il y eut des cris et un mouvement de foule. Quelques insultes fusèrent à l'encontre de l'homme à qui Reika offrait l'honneur d'être touchée. Le staff de la sécurité réagit au quart de tour et préserva une zone sûre autour du couple involontaire. Liés ainsi, Reika et Balthazar ressemblaient à un couple comme on en trouvait dans les pages de romans à l'eau de rose. Ils illuminaient la scène de leur présence, et si les hommes maudissaient le colosse chanceux, les filles, elles, enviaient Reika en s'imaginant des scènes sulfureuses avec ce beau gosse musclé.
"Je vais bien maintenant que je te tiens. Tu m'as manqué. Je pensais que le temps serait plus fort que nous mais chaque jour je pense à toi et à notre histoire. Tu es resplendissante; le succès te va bien."
Reika était déjà une star quand il l'avait rencontré. Ils avaient vécu une aventure folle en s'opposant à Vecna, et après il l'avait suivi de loin pour constater qu'elle était vraiment une personnalité d'importance au Japon. Ses fan-clubs étaient innombrables, elle était le modèle de nombreux cosplays, elle était l'héroïne de nombreux hentais assez salaces, et les plateaux de télévision se l'arrachaient. Donc oui, le succès était bien au rendez-vous mais il y avait aussi tout ce que le monde ignorait. Reika était morte, Reika était une combattante redoutable, et Reika se battait pour le bien de l'humanité. Et ... Reika avait aussi choisi un type bizarre pour lui tenir compagnie dans sa solitude. Balthazar en avait été très fier, et reconnaissant. Il gardait en mémoire ses paroles, ses demandes, ses remerciements, mais aussi la chaleur de son corps et ses petits plaisirs coupables qu'il serait indécent de révéler.
De l'avoir tout contre lui réveilla aussitôt sa nature délurée et ses gros doigts serrèrent ce joli corps souple et agile. Le tissu de la robe n'était qu'un détail et il pouvait la sentir vibrer et vivre. Vivre ... Elle lui avait dit une fois: "Fais moi me sentir vivante." Il ne l'avait jamais oublié tant ce cri de désespoir était déchirant. Il l'avait marqué au fer rouge, en lui, profondément. Le sort de Reika était injuste. Elle était si gentille et attentionnée, elle ne méritait aucune souffrance et pourtant, son existence était cruelle. Si Balthazar était revenu aussi vite, c'était aussi pour la soutenir car la solitude était l'une des pires ennemies qui soit.
Une manager du staff de Reika s'approcha pour indiquer discrètement que ces effusions pouvaient porter atteintes à l'image de l'idole. Ce n'était pas faux, le Japon était le royaume des colporteurs de rumeurs merdiques qui pouvaient ruiner une carrière.
"Je te vois très vite ... Je reste tout près."
Il se retira en s'excusant auprès des fans.
"J'en rêvais depuis toujours, pardon , pardon."
Vu sa carrure, personne n'osa trop venir lui reprocher de trop près son impertinence....
Il se mit en retrait dans le champ visuel de Reika et attendit que la séance se termine. Ce fut long et pour donner le change, quelques fans triés sur le volet purent aussi "un peu" toucher Reika. Quand ce fut terminé, les agents de sécurité s'assurèrent que l'endroit fut évacué du public, ne laissant que le staff pour le démontage et l'équipe de Reika.
Il se retrouvèrent et il lui prit les mains.
"Je veux tout savoir de toi depuis la dernière fois."
Si proche, il ne pouvait rien ignorer d'elle. Le toucher de sa peau, son odeur, son regard, ses lèvres ... Il la serra entre ses bras massifs.
"Nous avons beaucoup à rattraper. Dis moi que personne n'a volé ton cœur?"
"Je vais bien maintenant que je te tiens. Tu m'as manqué. Je pensais que le temps serait plus fort que nous mais chaque jour je pense à toi et à notre histoire. Tu es resplendissante; le succès te va bien."
Reika était déjà une star quand il l'avait rencontré. Ils avaient vécu une aventure folle en s'opposant à Vecna, et après il l'avait suivi de loin pour constater qu'elle était vraiment une personnalité d'importance au Japon. Ses fan-clubs étaient innombrables, elle était le modèle de nombreux cosplays, elle était l'héroïne de nombreux hentais assez salaces, et les plateaux de télévision se l'arrachaient. Donc oui, le succès était bien au rendez-vous mais il y avait aussi tout ce que le monde ignorait. Reika était morte, Reika était une combattante redoutable, et Reika se battait pour le bien de l'humanité. Et ... Reika avait aussi choisi un type bizarre pour lui tenir compagnie dans sa solitude. Balthazar en avait été très fier, et reconnaissant. Il gardait en mémoire ses paroles, ses demandes, ses remerciements, mais aussi la chaleur de son corps et ses petits plaisirs coupables qu'il serait indécent de révéler.
De l'avoir tout contre lui réveilla aussitôt sa nature délurée et ses gros doigts serrèrent ce joli corps souple et agile. Le tissu de la robe n'était qu'un détail et il pouvait la sentir vibrer et vivre. Vivre ... Elle lui avait dit une fois: "Fais moi me sentir vivante." Il ne l'avait jamais oublié tant ce cri de désespoir était déchirant. Il l'avait marqué au fer rouge, en lui, profondément. Le sort de Reika était injuste. Elle était si gentille et attentionnée, elle ne méritait aucune souffrance et pourtant, son existence était cruelle. Si Balthazar était revenu aussi vite, c'était aussi pour la soutenir car la solitude était l'une des pires ennemies qui soit.
Une manager du staff de Reika s'approcha pour indiquer discrètement que ces effusions pouvaient porter atteintes à l'image de l'idole. Ce n'était pas faux, le Japon était le royaume des colporteurs de rumeurs merdiques qui pouvaient ruiner une carrière.
"Je te vois très vite ... Je reste tout près."
Il se retira en s'excusant auprès des fans.
"J'en rêvais depuis toujours, pardon , pardon."
Vu sa carrure, personne n'osa trop venir lui reprocher de trop près son impertinence....
Il se mit en retrait dans le champ visuel de Reika et attendit que la séance se termine. Ce fut long et pour donner le change, quelques fans triés sur le volet purent aussi "un peu" toucher Reika. Quand ce fut terminé, les agents de sécurité s'assurèrent que l'endroit fut évacué du public, ne laissant que le staff pour le démontage et l'équipe de Reika.
Il se retrouvèrent et il lui prit les mains.
"Je veux tout savoir de toi depuis la dernière fois."
Si proche, il ne pouvait rien ignorer d'elle. Le toucher de sa peau, son odeur, son regard, ses lèvres ... Il la serra entre ses bras massifs.
"Nous avons beaucoup à rattraper. Dis moi que personne n'a volé ton cœur?"
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Reika Shimohira
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- Fiche
- Demande de RP
Reika savait très bien que, en se livrant à une telle accolade en public, elle aurait des retombées. Les Japonais n’étaient pas les Occidentaux. Toucher quelqu’un, c’était un acte assez intime, raison pour laquelle les Japonais ne se serraient pas la main pour se saluer, mais se courbaient. Mais, pour le dire simplement, Reika s’en moquait. Elle avait après tout franchi la mort. Elle sourit donc auprès de Balthazar, avant de se reculer. Difficile d’oublier l’aventure qu’elle et Balthazar avaient vécu. Ils avaient affronté les hordes de Vecna, et Balthazar avait bien malgré lui rejoint l’équipe de Gantz. Ils n’avaient pas encore été convoqués à nouveau depuis la bataille de Kumamoto, qui avait fait la une de l’actualité. Les journalistes avaient évoqué des forces spéciales en combinaison noire, et, par un miracle inexplicable, personne n’avait remonté jusqu’à Reika. Elle n’était pas pressée de retrouver Gantz, mais, en revoyant Balthazar, Reika devait bien admettre qu’elle était heureuse de le revoir.
« Reika-sama… Ce n’est pas prudent, les paparazzis pourraient s’intéresser à votre ami. »
Reika acquiesça au conseil de sa manager, puis indiqua à Balthazar de l’attendre à l’arrière de la librairie. Reika reprit ensuite ses esprits, et esquiva les questions éventuelles qu’on put lui poser sur Balthazar. Un peu perdue dans ses pensées, elle revint à elle, et expliqua sommairement qu’il était un fan de longue haleine, et qui avait traversé le monde pour la voir. Un moyen habile de rebondir en évitant les racontars. Pour le reste de la séance de dédicace, Reika fut un peu ailleurs. Elle se remémorait les quelques rares bons moments du siège de Kumamoto, impliquant surtout le moment où elle et cet inconnu massif avaient joyeusement fait l’amour. Il était l’une des rares personnes à connaître son secret, à savoir que Reika était morte, puis était revenue à la vie.
Quand la séance de dédicaces se termina, Reika fila par une entrée de service à l’arrière. Elle avait demandé à son Staff de laisser passer Balthazar, la ruelle étant fermée pour éviter que les fans ne s’agglutinent. Elle le retrouva donc à l’arrière, et sourit alors à nouveau… Puis elle se lova contre lui, et le prit dans ses bras.
« Tu m’as retrouvé, alors ! Je n’arrive pas à y croire… »
Reika lui sourit, et gloussa même quand Balthazar lui demanda si personne ne lui avait volé son cœur.
« Eh bien, il va falloir s’assurer de trouver un moyen de s’occuper de toi, maintenant que tu as été identifié publiquement… Tu vas avoir les paparazzis aux fesses, ça te changera de t’occuper du mien… »
Si la Japonaise typique était plutôt candide et pudique, Reika n’était clairement pas comme ça. Elle se hissa d’ailleurs sur la pointe des pieds, et embrassa l’homme.
« Pour faire simple, j’ai quitté mon ancienne agence pour une nouvelle, ici, à Atarashï Yoake. Je mène ma petite vie tranquille d’idol, je me fais de nouveaux fans, et je découvre les coutumes typiques de la ville. Et toi ? Tu es toujours occupé à défoncer les culs de toutes les belles filles que tu croises ? »
« Reika-sama… Ce n’est pas prudent, les paparazzis pourraient s’intéresser à votre ami. »
Reika acquiesça au conseil de sa manager, puis indiqua à Balthazar de l’attendre à l’arrière de la librairie. Reika reprit ensuite ses esprits, et esquiva les questions éventuelles qu’on put lui poser sur Balthazar. Un peu perdue dans ses pensées, elle revint à elle, et expliqua sommairement qu’il était un fan de longue haleine, et qui avait traversé le monde pour la voir. Un moyen habile de rebondir en évitant les racontars. Pour le reste de la séance de dédicace, Reika fut un peu ailleurs. Elle se remémorait les quelques rares bons moments du siège de Kumamoto, impliquant surtout le moment où elle et cet inconnu massif avaient joyeusement fait l’amour. Il était l’une des rares personnes à connaître son secret, à savoir que Reika était morte, puis était revenue à la vie.
Quand la séance de dédicaces se termina, Reika fila par une entrée de service à l’arrière. Elle avait demandé à son Staff de laisser passer Balthazar, la ruelle étant fermée pour éviter que les fans ne s’agglutinent. Elle le retrouva donc à l’arrière, et sourit alors à nouveau… Puis elle se lova contre lui, et le prit dans ses bras.
« Tu m’as retrouvé, alors ! Je n’arrive pas à y croire… »
Reika lui sourit, et gloussa même quand Balthazar lui demanda si personne ne lui avait volé son cœur.
« Eh bien, il va falloir s’assurer de trouver un moyen de s’occuper de toi, maintenant que tu as été identifié publiquement… Tu vas avoir les paparazzis aux fesses, ça te changera de t’occuper du mien… »
Si la Japonaise typique était plutôt candide et pudique, Reika n’était clairement pas comme ça. Elle se hissa d’ailleurs sur la pointe des pieds, et embrassa l’homme.
« Pour faire simple, j’ai quitté mon ancienne agence pour une nouvelle, ici, à Atarashï Yoake. Je mène ma petite vie tranquille d’idol, je me fais de nouveaux fans, et je découvre les coutumes typiques de la ville. Et toi ? Tu es toujours occupé à défoncer les culs de toutes les belles filles que tu croises ? »
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Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Reika sentait bon. Son visage rayonnait. Pour Balthazar, c'était le plus beau cadeau que de la voir aussi radieuse. Entre l'idole célèbre et la guerrière de l'épisode Kumamoto, il y avait tout un monde. La menace Vecna n'était pas close, ils le savaient tout les deux, mais quand un répit se présentait, il fallait le prendre à bras le corps.
Après la bataille, et la résurrection de la plupart des gantzers, tous s'étaient séparés. Pour Reika et Balthazar, bien que leur fusion ait été forte, un temps de réflexion était nécessaire pour que chaque chose rentre dans l'ordre. Ils en avaient convenu et s'étaient promis de se retrouver. C'était chose faite. Balthazar avait mis cette période à profit pour une introspection dont il avait tiré des conclusions: la première était qu'il avait découvert en Reika ce qu'aucune autre femme ne lui avait apporté. On ne parlait pas de sexe mais bien de relation plus profonde, avec une grande compréhension de l'autre et une plongée dans son âme. Reika était une personne honnête avec elle-même et avec les autres. Son instinct de survie passait après le bien commun, ce qui en faisait une perle rare à protéger absolument. Elle pouvait être très sérieuse et faire passer ses convictions avant ses propres intérêts et paradoxalement, quand elle riait, le monde entier pouvait s'agenouiller devant elle. Après, sur un aspect physique, elle dépotait. C'était indéniable. Elle n'avait pas un défaut et quand elle baisait, elle ne faisait pas semblant.
Ce cumul de qualité n'avait pas laissé Balthazar indifférent et on pourrait même dire que d'une certaine manière qu'il n'était pas encore prêt à avouer, il en pinçait pour elle. C'était un sentiment nouveau puisque jusqu'à présent, il se contentait du cul pour le cul avec toutes les partenaires qu'il avait martelé. Sa quête de sexualité absolue semblait toucher à son terme. L'objectif qu'il s'était donné en quittant le cocon familial était atteint. Depuis son départ, il baisait sans relâche presque tout ce qui lui tombait sous la bite. Il avait essayé tout ce qui pouvait être possible d'essayer, avait sélectionné ses préférences et banni d'autres pratiques, ou bizarres, ou douteuses. Maintenant, il se sentait prêt pour une certaine stabilité et ce n'était pas pour rien qu'il revenait vers Reika. Il estimait avoir envers elle un devoir de responsabilité et de protection. Elle avait souffert donc il voulait lui offrir un peu de bonheur et projeter un avenir commun. Ce n'était pas prétentieux, juste humaniste. Balthazar prenait certaines habitudes très humaines et cela lui convenait parfaitement.
Il posa un gros baiser sur le front de l'idole qu'il tenait dans ses bras.
"Mais quel langage tiens-tu? C'est ma présence qui te dévergondes?"
Il déposa un baiser sur les lèvres pulpeuses qu'il aimait autant goûter que sentir ventousées autour de son chibre.
"En fait ... il n'y a qu'un seul petit cul qui m'obsède en ce moment et il se trouve qu'il est exactement au bon endroit."
Ses grosses mains descendirent palper le postérieur de Reika. Oh qu'elle pouvait encaisser cette jolie petite cochonne, elle l'avait prouvé!
Mais plus sérieusement: "Je suis heureux d'apprendre que tu vis ta vie comme tu le souhaites. Profite en car le succès te colle à la peau. Tu ne resteras pas tranquille très longtemps mais ... je serais là pour toi. Est-ce que tu as un peu de place pour moi dans tes valises? Il se trouve que je restreins mes goûts aux belles femmes brunes, aux longs cheveux, à la peau claire, au corps parfait, ayant une mentalité orientée sur la débauche sexuelle mais masquée derrière une apparence très respectable, et ... avec une attente très prononcée pour la sodomie. C'est marrant mais ... cela me ramène irrémédiablement à toi."
Ils se tenaient accrochés l'un à l'autre, se balançant doucement comme enlacés dans l'équilibre précaire d'un slow.
Reika avait aussi raison. Les paparazzis avaient immortalisé leur étreinte et dans le monde de la communication, il allait falloir justifié ce petit écart qui ferait parler. Reika qui se jette sur un fan? Du jamais vu! Les jalousies allaient perdurer et il allait falloir faire diversion.
"Alors, que vas tu faire de moi? Je peux faire le ménage chez toi, la cuisine, te servir de chauffeur, être le gogoboy de service quand tu en as besoin ..."
Il l'embrassa.
"Cette dernière fonction m'irait à merveille ... mais, il faudrait que je vive chez toi pour plus d'efficacité non? Si je me souviens bien, tu as un appétit sexuel assez exigeant ..."
Après la bataille, et la résurrection de la plupart des gantzers, tous s'étaient séparés. Pour Reika et Balthazar, bien que leur fusion ait été forte, un temps de réflexion était nécessaire pour que chaque chose rentre dans l'ordre. Ils en avaient convenu et s'étaient promis de se retrouver. C'était chose faite. Balthazar avait mis cette période à profit pour une introspection dont il avait tiré des conclusions: la première était qu'il avait découvert en Reika ce qu'aucune autre femme ne lui avait apporté. On ne parlait pas de sexe mais bien de relation plus profonde, avec une grande compréhension de l'autre et une plongée dans son âme. Reika était une personne honnête avec elle-même et avec les autres. Son instinct de survie passait après le bien commun, ce qui en faisait une perle rare à protéger absolument. Elle pouvait être très sérieuse et faire passer ses convictions avant ses propres intérêts et paradoxalement, quand elle riait, le monde entier pouvait s'agenouiller devant elle. Après, sur un aspect physique, elle dépotait. C'était indéniable. Elle n'avait pas un défaut et quand elle baisait, elle ne faisait pas semblant.
Ce cumul de qualité n'avait pas laissé Balthazar indifférent et on pourrait même dire que d'une certaine manière qu'il n'était pas encore prêt à avouer, il en pinçait pour elle. C'était un sentiment nouveau puisque jusqu'à présent, il se contentait du cul pour le cul avec toutes les partenaires qu'il avait martelé. Sa quête de sexualité absolue semblait toucher à son terme. L'objectif qu'il s'était donné en quittant le cocon familial était atteint. Depuis son départ, il baisait sans relâche presque tout ce qui lui tombait sous la bite. Il avait essayé tout ce qui pouvait être possible d'essayer, avait sélectionné ses préférences et banni d'autres pratiques, ou bizarres, ou douteuses. Maintenant, il se sentait prêt pour une certaine stabilité et ce n'était pas pour rien qu'il revenait vers Reika. Il estimait avoir envers elle un devoir de responsabilité et de protection. Elle avait souffert donc il voulait lui offrir un peu de bonheur et projeter un avenir commun. Ce n'était pas prétentieux, juste humaniste. Balthazar prenait certaines habitudes très humaines et cela lui convenait parfaitement.
Il posa un gros baiser sur le front de l'idole qu'il tenait dans ses bras.
"Mais quel langage tiens-tu? C'est ma présence qui te dévergondes?"
Il déposa un baiser sur les lèvres pulpeuses qu'il aimait autant goûter que sentir ventousées autour de son chibre.
"En fait ... il n'y a qu'un seul petit cul qui m'obsède en ce moment et il se trouve qu'il est exactement au bon endroit."
Ses grosses mains descendirent palper le postérieur de Reika. Oh qu'elle pouvait encaisser cette jolie petite cochonne, elle l'avait prouvé!
Mais plus sérieusement: "Je suis heureux d'apprendre que tu vis ta vie comme tu le souhaites. Profite en car le succès te colle à la peau. Tu ne resteras pas tranquille très longtemps mais ... je serais là pour toi. Est-ce que tu as un peu de place pour moi dans tes valises? Il se trouve que je restreins mes goûts aux belles femmes brunes, aux longs cheveux, à la peau claire, au corps parfait, ayant une mentalité orientée sur la débauche sexuelle mais masquée derrière une apparence très respectable, et ... avec une attente très prononcée pour la sodomie. C'est marrant mais ... cela me ramène irrémédiablement à toi."
Ils se tenaient accrochés l'un à l'autre, se balançant doucement comme enlacés dans l'équilibre précaire d'un slow.
Reika avait aussi raison. Les paparazzis avaient immortalisé leur étreinte et dans le monde de la communication, il allait falloir justifié ce petit écart qui ferait parler. Reika qui se jette sur un fan? Du jamais vu! Les jalousies allaient perdurer et il allait falloir faire diversion.
"Alors, que vas tu faire de moi? Je peux faire le ménage chez toi, la cuisine, te servir de chauffeur, être le gogoboy de service quand tu en as besoin ..."
Il l'embrassa.
"Cette dernière fonction m'irait à merveille ... mais, il faudrait que je vive chez toi pour plus d'efficacité non? Si je me souviens bien, tu as un appétit sexuel assez exigeant ..."
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Reika Shimohira
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Balthazar était fidèle à lui-même ! Reika sourit en le constatant, même si elle fut assez surprise qu’il lui indique vouloir se rapprocher d’elle. Elle s’était attendue à aller dans un love hotel, Reika en connaissait qui assuraient la confidentialité de leurs clients. Ensemble, ils avaient défié Vecna, ils avaient survécu à ce dernier. Survivre à la mort, cela créait nécessairement des liens. Ils avaient aussi eu l’occasion de faire l’amour pendant cette mission. Elle sourit donc à ce dernier, et l’embrassa sur les lèvres.
« Tu veux squatter chez moi sans payer le loyer, alors ? Désolée, mon cher, mais ce n’est pas comme ça que ça marche ! »
Elle s’écarta alors de lui, et laissa planer le doute pendant quelques instants. Elle lui tourna le dos, puis se retourna vers lui en souriant, un doigt levé près de ses lèvres.
« Voilà le loyer : un orgasme par jour ! »
Reika ignorait encore ce que Balthazar ressentait vraiment à son sujet. Elle-même n’en savait trop rien, sa vie était après tout très spéciale. Balthazar savait qu’elle était morte, qu’elle appartenait désormais comme lui au programme Gantz, il était donc suffisamment proche d’elle pour ça.
« Pour le ménage, j’ai déjà des femmes de ménage qui sont très discrètes… Mais je te vois mal faire le ménage, te connaissant, tu risques plutôt de la retarder dans son travail. »
Elles étaient fournies par Aoki, sa manager, et venaient d’une agence de travail locale dont Reika n’avait jamais entendu parler, la « Warren Agency ».
« On trouvera bien de quoi t’occuper dans le domaine où tu t’en sors le mieux, car il me semble quand même que c’est toi qui as un appétit sexuel exigeant. »
Le sourire espiègle de Reika ne mentait pas sur ce qu’elle envisageait. Balthazar avait encore du travail à faire côté séduction.
« Je suis sûre que tu ne te rappelles même pas combien de femmes tu as baisé depuis notre mission… »
« Tu veux squatter chez moi sans payer le loyer, alors ? Désolée, mon cher, mais ce n’est pas comme ça que ça marche ! »
Elle s’écarta alors de lui, et laissa planer le doute pendant quelques instants. Elle lui tourna le dos, puis se retourna vers lui en souriant, un doigt levé près de ses lèvres.
« Voilà le loyer : un orgasme par jour ! »
Reika ignorait encore ce que Balthazar ressentait vraiment à son sujet. Elle-même n’en savait trop rien, sa vie était après tout très spéciale. Balthazar savait qu’elle était morte, qu’elle appartenait désormais comme lui au programme Gantz, il était donc suffisamment proche d’elle pour ça.
« Pour le ménage, j’ai déjà des femmes de ménage qui sont très discrètes… Mais je te vois mal faire le ménage, te connaissant, tu risques plutôt de la retarder dans son travail. »
Elles étaient fournies par Aoki, sa manager, et venaient d’une agence de travail locale dont Reika n’avait jamais entendu parler, la « Warren Agency ».
« On trouvera bien de quoi t’occuper dans le domaine où tu t’en sors le mieux, car il me semble quand même que c’est toi qui as un appétit sexuel exigeant. »
Le sourire espiègle de Reika ne mentait pas sur ce qu’elle envisageait. Balthazar avait encore du travail à faire côté séduction.
« Je suis sûre que tu ne te rappelles même pas combien de femmes tu as baisé depuis notre mission… »
DC de l'Observateur !
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Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
"Un orgasme par jour? je crois bien que j'arrivais à m'acquitter d'un tel paiement sans grandes difficultés!"
Reika est une joueuse qui sait parfaitement jouer de ses charmes. Ses mimiques sont adorables et craquantes. Elle s'échappe, revient, pour le plus grand bonheur des yeux de Balthazar. Et puis ses lèvres avaient un goût frais et sucré. Il la serra à nouveau dans ses bras, elle lui avait manqué.
"Oh oh ... et bien , et bien ? mes conquêtes t'intéressent tant que ça? Et si je te disais tout simplement que c'est à toi que je pense et que le reste m'indiffère. Que je ne ressens le goût des choses que quand je t'embrasse, que je ne reconnais que l'odeur de ta peau et que je ne souris qu'en te regardant ... Est ce que ça te suffirait pour croire que je ne tiens qu'à toi?"
Il lui caresse les hanches, le bas du dos. Un coup d'œil aux alentours lui permet de constater que le débouché de la ruelle est tenu par le service de sécurité de Reika. Les gardes leur tournent le dos, très professionnels, et ne se permettront pas d'écouter ou regarder ce qui se passe.
Balthazar soulève Reika et la porte contre ses hanches.
"Ne serait-ce pas un bon endroit pour fêter nos retrouvailles dans l'urgence? On a fait pire après tout."
Il l'embrasse et la pousse dos contre un mur. Bien évidemment, il bande déjà. Il a tellement attendu ce moment qu'il est incapable de se retenir. Son gros mandrin presse contre Reika, incisif et palpitant.
"Là, il n'y a qu'une seule femme que je veux baiser ..."
Il fait glisser les lanières de la robe de Reika sur ses épaules, dévoilant son soutien gorge bien rempli. il lutte un peu pour le dégrafer et libérer une charmante poitrine dont il a des souvenirs exquis. Il la pelote entre ses gros doigts, la couvre de ses mains, excite les tétons qui réagissent aussitôt. L'homme se frotte à l'idole. Ils ont vécu de telles horreurs ensembles que leur harmonie est quasiment parfaite et synchrone.
Balthazar guide la main de Reika entre ses cuisses tandis que lui même explore la moiteur de la brunette. Son clitoris n'est qu'une étape de l'exploration puisqu'il passe très vite à une inspection plus profonde avec ses doigts. Un seul ne suffit pas, Reika a besoin de bien plus, il ne l'a pas oublié. Elle avait crié : "Fais moi me sentir vivante!!" Cela il ne l'oublierait jamais. Il avait été brutal avec elle et elle avait joui comme jamais. Elle avait voulu un fist anal et même Balthazar avait été surpris par ce qu'elle pouvait encaisser. Ils avaient baisé comme des chiens dans des circonstances extrêmes. Là, au fond de cette ruelle, personne ne voulait les tuer et ils ne risquaient pas leur vie. Ils pouvaient se donner le temps de profiter un peu même s'ils n'étaient pas à l'abri d'être surpris. C'était peu probable mais ...
Balthazar doigtait Reika, retrouvant sa chaleur corporelle et ses frémissements. Lui-même n'en pouvait plus, dur comme de l'acier.
Reika est une joueuse qui sait parfaitement jouer de ses charmes. Ses mimiques sont adorables et craquantes. Elle s'échappe, revient, pour le plus grand bonheur des yeux de Balthazar. Et puis ses lèvres avaient un goût frais et sucré. Il la serra à nouveau dans ses bras, elle lui avait manqué.
"Oh oh ... et bien , et bien ? mes conquêtes t'intéressent tant que ça? Et si je te disais tout simplement que c'est à toi que je pense et que le reste m'indiffère. Que je ne ressens le goût des choses que quand je t'embrasse, que je ne reconnais que l'odeur de ta peau et que je ne souris qu'en te regardant ... Est ce que ça te suffirait pour croire que je ne tiens qu'à toi?"
Il lui caresse les hanches, le bas du dos. Un coup d'œil aux alentours lui permet de constater que le débouché de la ruelle est tenu par le service de sécurité de Reika. Les gardes leur tournent le dos, très professionnels, et ne se permettront pas d'écouter ou regarder ce qui se passe.
Balthazar soulève Reika et la porte contre ses hanches.
"Ne serait-ce pas un bon endroit pour fêter nos retrouvailles dans l'urgence? On a fait pire après tout."
Il l'embrasse et la pousse dos contre un mur. Bien évidemment, il bande déjà. Il a tellement attendu ce moment qu'il est incapable de se retenir. Son gros mandrin presse contre Reika, incisif et palpitant.
"Là, il n'y a qu'une seule femme que je veux baiser ..."
Il fait glisser les lanières de la robe de Reika sur ses épaules, dévoilant son soutien gorge bien rempli. il lutte un peu pour le dégrafer et libérer une charmante poitrine dont il a des souvenirs exquis. Il la pelote entre ses gros doigts, la couvre de ses mains, excite les tétons qui réagissent aussitôt. L'homme se frotte à l'idole. Ils ont vécu de telles horreurs ensembles que leur harmonie est quasiment parfaite et synchrone.
Balthazar guide la main de Reika entre ses cuisses tandis que lui même explore la moiteur de la brunette. Son clitoris n'est qu'une étape de l'exploration puisqu'il passe très vite à une inspection plus profonde avec ses doigts. Un seul ne suffit pas, Reika a besoin de bien plus, il ne l'a pas oublié. Elle avait crié : "Fais moi me sentir vivante!!" Cela il ne l'oublierait jamais. Il avait été brutal avec elle et elle avait joui comme jamais. Elle avait voulu un fist anal et même Balthazar avait été surpris par ce qu'elle pouvait encaisser. Ils avaient baisé comme des chiens dans des circonstances extrêmes. Là, au fond de cette ruelle, personne ne voulait les tuer et ils ne risquaient pas leur vie. Ils pouvaient se donner le temps de profiter un peu même s'ils n'étaient pas à l'abri d'être surpris. C'était peu probable mais ...
Balthazar doigtait Reika, retrouvant sa chaleur corporelle et ses frémissements. Lui-même n'en pouvait plus, dur comme de l'acier.
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!-
Reika Shimohira
- Messages : 92
- Enregistré le : 20 nov. 2024 14:24
- Fiche
- Demande de RP
Oh, il était incorrigible ! Fidèle à lui-même et à son appétit sexuel d’ogre ! Un appétit qui s’accompagnait d’un manque total de prudence, et de respect des conventions ! Voilà en effet qu’il lui sautait dessus dans la ruelle ! Sans doute pouvait-il légitimement croire que Reika allait suivre, mais elle sentit surtout un vent de panique la saisir. Même s’ils étaient dans un endroit isolé, il suffisait d’un paparazzi mal placé, d’un voisin adossé à sa fenêtre, pour qu’on les surprenne.
« Ba-Balthazar, arrête… »
Elle soupira. Elle était heureuse de le revoir, naturellement, mais pas au point de risquer sa carrière, son avenir ! Reika se débattit donc, et réussit à le repousser. Elle pouvait lire la surprise dans ses yeux, la frustration, ce désir masculin qu’on brimait… Mais Reika tint bon. Si Balthazar voulait d’une midinette prête à s’effacer devant lui, il était vraiment tombé sur le mauvais lot !
Reika croisa son regard, et secoua la tête.
« Pas en public, Balthazar ! C’est beaucoup trop dangereux. Suis-moi ! »
Reika retourna à l’intérieur en attrapant la main de Balthazar. Elle grimpa un escalier latéral, et rejoignit un étage avec des portes donnant sur des salons privés. Reika connaissait les lieux, elle s’y était déjà rendue. Elle ouvrit une porte à l’aide d’une carte numérique, et ils entrèrent dans un salon. Il y avait des canapés, et même un bar. Elle referma l porte derrière eux, puis sauta contre Balthazar. Elle l’embrassa avec passion contre la porte, l’enlaçant, et soupira doucement. La prudence s’imposait toujours avec Reika, elle tenait à protéger sa carrière… Mais, maintenant que ce détail était réglé, les choses sérieuses allaient pouvoir commencer !
« Maintenant… Maintenant, tu peux me baiser, Balthazar ! »
« Ba-Balthazar, arrête… »
Elle soupira. Elle était heureuse de le revoir, naturellement, mais pas au point de risquer sa carrière, son avenir ! Reika se débattit donc, et réussit à le repousser. Elle pouvait lire la surprise dans ses yeux, la frustration, ce désir masculin qu’on brimait… Mais Reika tint bon. Si Balthazar voulait d’une midinette prête à s’effacer devant lui, il était vraiment tombé sur le mauvais lot !
Reika croisa son regard, et secoua la tête.
« Pas en public, Balthazar ! C’est beaucoup trop dangereux. Suis-moi ! »
Reika retourna à l’intérieur en attrapant la main de Balthazar. Elle grimpa un escalier latéral, et rejoignit un étage avec des portes donnant sur des salons privés. Reika connaissait les lieux, elle s’y était déjà rendue. Elle ouvrit une porte à l’aide d’une carte numérique, et ils entrèrent dans un salon. Il y avait des canapés, et même un bar. Elle referma l porte derrière eux, puis sauta contre Balthazar. Elle l’embrassa avec passion contre la porte, l’enlaçant, et soupira doucement. La prudence s’imposait toujours avec Reika, elle tenait à protéger sa carrière… Mais, maintenant que ce détail était réglé, les choses sérieuses allaient pouvoir commencer !
« Maintenant… Maintenant, tu peux me baiser, Balthazar ! »
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Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
"Mais mais mais ... on a fait plus lubrique que ça ..."
Seulement c'est vrai, Reika est une personnalité et il en faut peu pour qu'une carrière soit détruite par une malencontreuse négligence.
"Ok, pas en public mais ..."
Bordel qu'il a envie d'elle. Tout ce qu'ils ont vécu remonte à la surface, comme si la proximité de Reika suffisait à alarmer le grand homme. C'était bien le cas d'ailleurs car Balthazar en pinçait pour son idole même si ce n'était pas le terme que lui même utiliserait. Reika lui était très spéciale et aucune autre femme ne lui arrivait à la cheville. Elle était intelligente, belle, courageuse, altruiste et soucieuse des autres. Cela faisait beaucoup pour une seule personne et au fond de lui, Balthazar savait qu'il n'avait plus envie de courir les jupons mais seulement de se concentrer sur elle. Seulement, il lui fallait juste encore trouver le juste milieu entre passion et attirance. Donc, non, on ne baisait pas dans une ruelle quand cela pouvait avoir des conséquences dramatiques avec son égérie.
Mais heureusement, Reika avait elle aussi cette petite graine en elle qui l'émoustillait et l'incitait à rechercher "des sensations fortes". Même si elle était plus sérieuse que l'improbable partenaire qu'elle s'était trouvée, elle aussi avait besoin de ressentir certaines choses déjà vécues. Aussi elle entraina son amant à nouveau dans le bâtiment puis à l'étage dans un salon privé auquel elle avait accès. Porte fermée, verrouillée, un échange de regards brulants et ils recommençaient. C'est elle qui l'embrassa en l'enlaçant.
Il lui répondit tout aussi passionnément et la souleva contre lui en passant ses mains sous ses fesses. Elle n'avait qu'à verrouiller ses jambes derrière lui pour se maintenir confortablement. Balthazar la porta jusqu'à une commode et l'y assis. Il la dépouilla du léger tissu qui couvrait sa poitrine et grogna un peu en essayant de défaire le soutien gorge qui s'avéra techniquement compliqué à vaincre ... Il y parvint non sans efforts et rires et libéra la superbe poitrine de l'idole qu'il pelota. Elle était ronde et ferme et les tétons durs indiquaient qu'elle était dans le même état que lui.
"Donc tu veux que je te baise ... Et de quelle manière veux tu que je te baise Reika qui occupe mes pensées?"
Il avait crocheté ses doigts dans l'élastique de la culotte de Reika et s'apprêtait à la baisser le long de ses jambes parfaites.
Seulement c'est vrai, Reika est une personnalité et il en faut peu pour qu'une carrière soit détruite par une malencontreuse négligence.
"Ok, pas en public mais ..."
Bordel qu'il a envie d'elle. Tout ce qu'ils ont vécu remonte à la surface, comme si la proximité de Reika suffisait à alarmer le grand homme. C'était bien le cas d'ailleurs car Balthazar en pinçait pour son idole même si ce n'était pas le terme que lui même utiliserait. Reika lui était très spéciale et aucune autre femme ne lui arrivait à la cheville. Elle était intelligente, belle, courageuse, altruiste et soucieuse des autres. Cela faisait beaucoup pour une seule personne et au fond de lui, Balthazar savait qu'il n'avait plus envie de courir les jupons mais seulement de se concentrer sur elle. Seulement, il lui fallait juste encore trouver le juste milieu entre passion et attirance. Donc, non, on ne baisait pas dans une ruelle quand cela pouvait avoir des conséquences dramatiques avec son égérie.
Mais heureusement, Reika avait elle aussi cette petite graine en elle qui l'émoustillait et l'incitait à rechercher "des sensations fortes". Même si elle était plus sérieuse que l'improbable partenaire qu'elle s'était trouvée, elle aussi avait besoin de ressentir certaines choses déjà vécues. Aussi elle entraina son amant à nouveau dans le bâtiment puis à l'étage dans un salon privé auquel elle avait accès. Porte fermée, verrouillée, un échange de regards brulants et ils recommençaient. C'est elle qui l'embrassa en l'enlaçant.
Il lui répondit tout aussi passionnément et la souleva contre lui en passant ses mains sous ses fesses. Elle n'avait qu'à verrouiller ses jambes derrière lui pour se maintenir confortablement. Balthazar la porta jusqu'à une commode et l'y assis. Il la dépouilla du léger tissu qui couvrait sa poitrine et grogna un peu en essayant de défaire le soutien gorge qui s'avéra techniquement compliqué à vaincre ... Il y parvint non sans efforts et rires et libéra la superbe poitrine de l'idole qu'il pelota. Elle était ronde et ferme et les tétons durs indiquaient qu'elle était dans le même état que lui.
"Donc tu veux que je te baise ... Et de quelle manière veux tu que je te baise Reika qui occupe mes pensées?"
Il avait crocheté ses doigts dans l'élastique de la culotte de Reika et s'apprêtait à la baisser le long de ses jambes parfaites.
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Reika Shimohira
- Messages : 92
- Enregistré le : 20 nov. 2024 14:24
- Fiche
- Demande de RP
Avec un orang-outan comme Balthazar, Reika allait devoir fixer un cadre, et imposer des limites ! Elle avait néanmoins pris note que faire l’amour en public ne dérangeait pas Balthazar, et elle se promettait de lui réserver quelques surprises à ce sujet… Mais, pour l’heure, l’agréable salon où ils étaient allait être le lit d’une tempête sexuelle frénétique ! Pas de caméras, pas de micros, aucun angle pour les espionner, Reika comptait bien célébrer ses retrouvailles avec Balthazar comme ils le méritaient ! Elle n’avait en effet nullement oublié la manière dont ils avaient baisé comme des hyènes, au beau milieu d’une mission à haut risque au cœur de Kumamoto. Balthazar s’empressa d’agir, il souleva Reika, faisant frémir cette dernière. Son cœur se mit à tambouriner dans sa poitrine, tandis que les mains puissantes et solides de Balthazar se posèrent sur ses fesses. Il la souleva, et l’assit sur une commode. Elle soupira, posa une main sur sa nuque, ; et enroula ses jambes autour de sa taille. Reika portait une tenue normale, citadine, un chandail avec un jean.
« Haaa… » gémit Reika quand Balthazar tira sur son chandail.
Il libéra finalement l’accès à ses seins en tirant sur les boutons du chandail avec ses dents, ses mains retenues sur les fesses de Reika. Dessous, Reika portait encore un soutien-gorge, que Balthazar réussit à retirer en tirant dessus. Il exhiba ensuite le soutien-gorge dans sa bouche, ce qui amusa Reika, qui sourit, et gloussa un peu.
« Un vrai vandale… »
Elle se mordilla les lèvres, emballée par cette violence, émoustillée par la brutalité préhistorique de son amant. Elle sentait une solide bosse contre son jean, elle sentait l’excitation de l’homme. Il resta contre elle, et pressa ses seins, libérant ses fesses. Les tétons durcirent, Reika gémit, sentit ses joues s’empourprer, autant de signes extérieurs d’un désir intense, comme un volcan qui entrait en éruption. Il lui demanda ensuite comment elle voulait se faire baiser.
Soupirant doucement, Reika caressa le torse de Balthazar, et alla l’embrasser. Elle termina ce baiser en mordillant la lèvre inférieure de Balthazar, et en tirant dessus, faisant frémir ce dernier.
« J’ai le choix avec toi entre la manière forte et la manière de Balthazar… Mais je t'avoue que j’ignore quelles en sont les différences. »
Elle se pressa ensuite contre lui, prit appui avec une main sur ses cheveux, et murmura ensuite sensuellement contre son oreille :
« Baise-moi comme une chienne ! »
« Haaa… » gémit Reika quand Balthazar tira sur son chandail.
Il libéra finalement l’accès à ses seins en tirant sur les boutons du chandail avec ses dents, ses mains retenues sur les fesses de Reika. Dessous, Reika portait encore un soutien-gorge, que Balthazar réussit à retirer en tirant dessus. Il exhiba ensuite le soutien-gorge dans sa bouche, ce qui amusa Reika, qui sourit, et gloussa un peu.
« Un vrai vandale… »
Elle se mordilla les lèvres, emballée par cette violence, émoustillée par la brutalité préhistorique de son amant. Elle sentait une solide bosse contre son jean, elle sentait l’excitation de l’homme. Il resta contre elle, et pressa ses seins, libérant ses fesses. Les tétons durcirent, Reika gémit, sentit ses joues s’empourprer, autant de signes extérieurs d’un désir intense, comme un volcan qui entrait en éruption. Il lui demanda ensuite comment elle voulait se faire baiser.
Soupirant doucement, Reika caressa le torse de Balthazar, et alla l’embrasser. Elle termina ce baiser en mordillant la lèvre inférieure de Balthazar, et en tirant dessus, faisant frémir ce dernier.
« J’ai le choix avec toi entre la manière forte et la manière de Balthazar… Mais je t'avoue que j’ignore quelles en sont les différences. »
Elle se pressa ensuite contre lui, prit appui avec une main sur ses cheveux, et murmura ensuite sensuellement contre son oreille :
« Baise-moi comme une chienne ! »
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Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Voilà un langage que Balthazar comprenait parfaitement. Il ne s'attendait pas vraiment à une autre réponse, ayant déjà eu affaire aux préférences de Reika en matière de fornication. Derrière son apparence publique, elle disposait d'une solide personnalité perverse, ou si ce n'était pas le bon terme, d'un penchant prononcé pour les pratiques hardcore et dénuées de toute forme de ... propreté.
Donc qu'elle demande à se faire baiser comme une chienne relevait du normal et Balthazar allait bien évidemment lui faire ce petit plaisir. Il commença par passer sa grosse main dans les longs cheveux noirs de Reika et les maintenir serrer entre ses doigts à la base de la nuque de la jeune femme. Il s'écarta d'elle un peu après qu'elle eut susurré son insanité et d'une torsion du poignet tira la tête de l'idole en arrière. Il l'obligea à descendre de la commode et imprima une pression vers le bas pour qu'elle s'agenouille. Comme une chienne, il ne fallait pas qu'elle l'oublie. C'est ainsi qu'elle voulait être traitée ...
De sa main libre, Balthazar défit sa ceinture, se déboutonna et baissa sa braguette pour libérer son énorme queue qui jaillit comme un ressort, biflant Reika au visage.
L'homme affermit sa prise. Le visage de l'idole, levé vers lui, était superbe. Reika incarnait la beauté absolue, tout ce qui pouvait faire craquer un homme au premier regard. Cela avait été le cas pour Balthazar, et leurs aventures ayant suivi leur première rencontre avaient eu pour conséquences de bétonner le lien qui les unissaient.
"Je vais te baiser la bouche et te gicler au visage. Tu vas bouffer mon sperme, et après je vais t'enculer."
N'importe quel poète en ferait un infarctus mais entre eux, cela sonnait comme annonçant le petit moment sympa qui arrivait.
Balthazar, sans utiliser ses mains, frotta son gland contre les lèvres de l'idole. la taille paraissait disproportionnée mais Reika avait prouvé qu'elle était capable de l'avaler. Une légère pression plus tard, il pénétrait cette bouche délicieuse, suintant déjà du liquide pré-séminal. Il ne cherchait pas à se retenir et Reika devrait déjà avaler ce jus salé. L'homme torsada les cheveux de Reika pour ajuster l'angle et poussa enfin, grognant, tapant déjà à l'entrée de la gorge de la star sans qu'il la force pour autant.
Il fit imprimer à la tête de Reika un mouvement de va et vient, très possessif, lui permettant d'user de cette bouche de chienne comme il l'entendait. L'épaisseur de sa queue distendait les jolies lèvres qui s'ourlaient à chaque mouvement de sortie. Les joues de Reika se gonflaient quand l'encombrement buccal tardait trop à se retirer et très vite, de larges paquets de salive dévalèrent son menton. Balthazar lui faisait pomper son membre et quand il décida qu'il fallait accélérer sa cadence, il usa des deux mains pour la maintenir. Un long sillon de bave dévalait le creux de la poitrine de Reika pour imbiber l'entrecuisse de son jean.
L'homme accentua la pression et le gland se logea juste dans l'entrée de cette gorge prometteuse, l'obturant totalement et marquant son empreinte dans le cou gracile qui se bombait sous l'intrusion.
"Avale la."
Ce serait une épreuve pour n'importe quelle femme mais Reika n'était justement pas n'importe quelle femme. Elle était une nymphomane qui avait trouvé dans Balthazar l'homme qui saurait allier sexualité débridée et tendresse partagée.
Donc qu'elle demande à se faire baiser comme une chienne relevait du normal et Balthazar allait bien évidemment lui faire ce petit plaisir. Il commença par passer sa grosse main dans les longs cheveux noirs de Reika et les maintenir serrer entre ses doigts à la base de la nuque de la jeune femme. Il s'écarta d'elle un peu après qu'elle eut susurré son insanité et d'une torsion du poignet tira la tête de l'idole en arrière. Il l'obligea à descendre de la commode et imprima une pression vers le bas pour qu'elle s'agenouille. Comme une chienne, il ne fallait pas qu'elle l'oublie. C'est ainsi qu'elle voulait être traitée ...
De sa main libre, Balthazar défit sa ceinture, se déboutonna et baissa sa braguette pour libérer son énorme queue qui jaillit comme un ressort, biflant Reika au visage.
L'homme affermit sa prise. Le visage de l'idole, levé vers lui, était superbe. Reika incarnait la beauté absolue, tout ce qui pouvait faire craquer un homme au premier regard. Cela avait été le cas pour Balthazar, et leurs aventures ayant suivi leur première rencontre avaient eu pour conséquences de bétonner le lien qui les unissaient.
"Je vais te baiser la bouche et te gicler au visage. Tu vas bouffer mon sperme, et après je vais t'enculer."
N'importe quel poète en ferait un infarctus mais entre eux, cela sonnait comme annonçant le petit moment sympa qui arrivait.
Balthazar, sans utiliser ses mains, frotta son gland contre les lèvres de l'idole. la taille paraissait disproportionnée mais Reika avait prouvé qu'elle était capable de l'avaler. Une légère pression plus tard, il pénétrait cette bouche délicieuse, suintant déjà du liquide pré-séminal. Il ne cherchait pas à se retenir et Reika devrait déjà avaler ce jus salé. L'homme torsada les cheveux de Reika pour ajuster l'angle et poussa enfin, grognant, tapant déjà à l'entrée de la gorge de la star sans qu'il la force pour autant.
Il fit imprimer à la tête de Reika un mouvement de va et vient, très possessif, lui permettant d'user de cette bouche de chienne comme il l'entendait. L'épaisseur de sa queue distendait les jolies lèvres qui s'ourlaient à chaque mouvement de sortie. Les joues de Reika se gonflaient quand l'encombrement buccal tardait trop à se retirer et très vite, de larges paquets de salive dévalèrent son menton. Balthazar lui faisait pomper son membre et quand il décida qu'il fallait accélérer sa cadence, il usa des deux mains pour la maintenir. Un long sillon de bave dévalait le creux de la poitrine de Reika pour imbiber l'entrecuisse de son jean.
L'homme accentua la pression et le gland se logea juste dans l'entrée de cette gorge prometteuse, l'obturant totalement et marquant son empreinte dans le cou gracile qui se bombait sous l'intrusion.
"Avale la."
Ce serait une épreuve pour n'importe quelle femme mais Reika n'était justement pas n'importe quelle femme. Elle était une nymphomane qui avait trouvé dans Balthazar l'homme qui saurait allier sexualité débridée et tendresse partagée.
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Reika Shimohira
- Messages : 92
- Enregistré le : 20 nov. 2024 14:24
- Fiche
- Demande de RP
Mourir avait le don de changer vos perspectives sur la vie. Ce grand froid, ce vide en elle, Reika ne l’oublierait jamais. Gantz l’avait ramené à la vie. Comment ? Reika n’en savait rien. Mais sa mémoire était toujours là. Elle se souvenait encore de sa mort, et de ce froid, ce vide, cette absence totale de sensation. Alors, si elle aimait Balthazar, c’était parce qu’il la baisait fort, et que, en faisant ça, Reika se sentait vivre. Et ça, Reika en avait besoin. Elle voulait se faire sévèrement tringler, afin de se rappeler qu’elle vivait, qu’elle ressentait des choses, qu’elle était bien là, elle, qu’elle n’était plus ce cadavre glacial qui avait un trou dans la tête. Elle pouvait donc compter sur Balthazar pour ça, sur sa sauvagerie, sur cette bestialité sexuelle dont il faisait preuve. Et, pour le coup, Balthazar n’allait pas la décevoir ! Il la coucha en arrière, et planta sa verge dans sa bouche. Une fellation où Reika était couchée sur le dos, la tête à plat pour que la queue de Balthazar se glisse dans sa gorge, la déformant à chaque coup de reins, la salive de Reika glissant sur ce sexe épais.
« Hmmmm… !! »
Dès qu’il sortit sa queue, et usa de sa force sur elle pour la contraindre, Reika rougit, sentant la chaleur sur ses joues, dans tout son corps. Oh, ce qu’elle aimait ça ! C’était basique, primitif, mais tellement jouissif… L’exaltation du corps, la sauvagerie d’un homme musclé, un véritable australopithèque. Elle sentit l’odeur rance et forte de sa queue, cette odeur poisseuse de sexe, de résidus de foutre sur ses poils pubiens. Une odeur enivrante, amena Reika à se tortiller sur place. Elle se masturba, étalée sur une table à côté de la commode, et sentit l’homme continuer à la prendre, l’étouffant. Reika en eut les larmes aux yeux, et poussait des couinements exquis, en se masturbant joyeusement. Oh, que c’était bon ! La grosse queue de Balthazar continuait à coulisser en elle, tandis qu’elle lui offrait son corps.
Il retira sa queue de sa bouche, et l’approcha de ses lèvres, demandant à ce qu’elle le suce. Reika cessa de se masturber, et, les doigts dégoulinants de mouille, les posa sur les fesses de Balthazar.
« Oui, haaaa… Malaxe mes seins, Balthazar, pince mes tétons, déchire mes vêtements… Je veux que tu me baises comme jamais, fais-moi me sentir VIVANTE ! »
Et, joignant le geste à la parole, Reika crispa ses mains sur le cul de Balthazar, s’en servant comme appui, et pompa ainsi sa queue en gémissant…
« Hmmmm… !! »
Dès qu’il sortit sa queue, et usa de sa force sur elle pour la contraindre, Reika rougit, sentant la chaleur sur ses joues, dans tout son corps. Oh, ce qu’elle aimait ça ! C’était basique, primitif, mais tellement jouissif… L’exaltation du corps, la sauvagerie d’un homme musclé, un véritable australopithèque. Elle sentit l’odeur rance et forte de sa queue, cette odeur poisseuse de sexe, de résidus de foutre sur ses poils pubiens. Une odeur enivrante, amena Reika à se tortiller sur place. Elle se masturba, étalée sur une table à côté de la commode, et sentit l’homme continuer à la prendre, l’étouffant. Reika en eut les larmes aux yeux, et poussait des couinements exquis, en se masturbant joyeusement. Oh, que c’était bon ! La grosse queue de Balthazar continuait à coulisser en elle, tandis qu’elle lui offrait son corps.
Il retira sa queue de sa bouche, et l’approcha de ses lèvres, demandant à ce qu’elle le suce. Reika cessa de se masturber, et, les doigts dégoulinants de mouille, les posa sur les fesses de Balthazar.
« Oui, haaaa… Malaxe mes seins, Balthazar, pince mes tétons, déchire mes vêtements… Je veux que tu me baises comme jamais, fais-moi me sentir VIVANTE ! »
Et, joignant le geste à la parole, Reika crispa ses mains sur le cul de Balthazar, s’en servant comme appui, et pompa ainsi sa queue en gémissant…
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Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
La lueur, l'étincelle qui brillait dans les yeux de Reika valait tous les discours du monde. Elle aimait ce qu'elle faisait. Pour Balthazar, elle était précieuse; plus humaine que quiconque dans sa recherche de normalité. Reika était morte, puis ressuscitée ... d'une certaine manière; et sa souffrance était égale à l'impression de vide qui la dominait. Les termes pour la définir n'étaient pas forcement exacts mais Balthazar comprenait parfaitement ce qu'elle vivait pour l'avoir côtoyée sans ses intimités. Sa recherche de sensations fortes dépendait directement de ce passé violent et lui, qui avait eu la chance d'être son partenaire en bien comme en mal, dans les pires des situations, vouait une adoration pour cette femme forte qui avait autant à donné qu'à recevoir.
Alors certes, il ne pouvait pas lui offrir une douce vie de famille modèle et exemplaire car leurs situations actuelles ne s'y prêtaient pas mais au moins, il pouvait lui montrer qu'il était là pour elle et qu'il était capable de répondre présent à ses demandes.
Leurs retrouvailles étaient sulfureuses, il fallait s'y attendre. L'un comme l'autre étaient accrocs au sexe et ils répondaient mutuellement aux attentes de l'autre. Pourtant, si Reika avait voulu une relation plus douce, Balthazar aurait été heureux de la câliner aussi.
Donc, Reika brillait dans le rôle d'affamée sexuelle qu'elle exposait à son partenaire. Sa bouche et son menton étaient barbouillés de salive et quand elle se mit à genoux devant Balthazar, de longs filets gluants s'étendirent de son beau visage pour s'écraser en masse sur le décolleté de sa grosse poitrine.
"Petite cochonne ..."
Elle le gardait pour elle, maintenant cette grosse bite à proximité de sa bouche. Pour la forme, Balthazar lui prit la tête et lui baisa encore la gueule de manière à ce que Reika ne soit plus vraiment présentable. Son maquillage coulait en longues trainées, marquant ses joues de mascara. Son rouge à lèvres s'étalait aussi vulgairement autour de sa bouche en tâches colorées. Une vraie catin ... Balthazar prit bien soin de la contraindre, exercice qu'elle adorait. Il restreignait ses capacités respiratoires en lui bloquant la gorge de sa grosse queue. Il y restait plus que nécessaire provoquant spasmes et éructations. Et à chaque fois qu'un gargouillis sale menaçait de sortir, il la relâchait, la faisant haleter; avant de retourner labourer cette gorge fantastique.
Quand il gicla, ce fut une marée qui frappa Reika de plein fouet. Il lui remplit la bouche et se termina sur son visage. Il y en avait bien trop mais elle le méritait. L'homme grogna de plaisir et sans attendre, la laissant baignée dans cette explosion de sperme, il saisit les pans de son chemisier et tira pour arracher les boutons. La grosse poitrine de Reika jaillit et il lui colla deux taloches qui firent balloter ses seins. D'un claquement de doigts, il fit sauter le soutien gorge et vint placer sa queue entre ces mamelles surdéveloppées.
"Branle moi!!"
Alors certes, il ne pouvait pas lui offrir une douce vie de famille modèle et exemplaire car leurs situations actuelles ne s'y prêtaient pas mais au moins, il pouvait lui montrer qu'il était là pour elle et qu'il était capable de répondre présent à ses demandes.
Leurs retrouvailles étaient sulfureuses, il fallait s'y attendre. L'un comme l'autre étaient accrocs au sexe et ils répondaient mutuellement aux attentes de l'autre. Pourtant, si Reika avait voulu une relation plus douce, Balthazar aurait été heureux de la câliner aussi.
Donc, Reika brillait dans le rôle d'affamée sexuelle qu'elle exposait à son partenaire. Sa bouche et son menton étaient barbouillés de salive et quand elle se mit à genoux devant Balthazar, de longs filets gluants s'étendirent de son beau visage pour s'écraser en masse sur le décolleté de sa grosse poitrine.
"Petite cochonne ..."
Elle le gardait pour elle, maintenant cette grosse bite à proximité de sa bouche. Pour la forme, Balthazar lui prit la tête et lui baisa encore la gueule de manière à ce que Reika ne soit plus vraiment présentable. Son maquillage coulait en longues trainées, marquant ses joues de mascara. Son rouge à lèvres s'étalait aussi vulgairement autour de sa bouche en tâches colorées. Une vraie catin ... Balthazar prit bien soin de la contraindre, exercice qu'elle adorait. Il restreignait ses capacités respiratoires en lui bloquant la gorge de sa grosse queue. Il y restait plus que nécessaire provoquant spasmes et éructations. Et à chaque fois qu'un gargouillis sale menaçait de sortir, il la relâchait, la faisant haleter; avant de retourner labourer cette gorge fantastique.
Quand il gicla, ce fut une marée qui frappa Reika de plein fouet. Il lui remplit la bouche et se termina sur son visage. Il y en avait bien trop mais elle le méritait. L'homme grogna de plaisir et sans attendre, la laissant baignée dans cette explosion de sperme, il saisit les pans de son chemisier et tira pour arracher les boutons. La grosse poitrine de Reika jaillit et il lui colla deux taloches qui firent balloter ses seins. D'un claquement de doigts, il fit sauter le soutien gorge et vint placer sa queue entre ces mamelles surdéveloppées.
"Branle moi!!"
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Reika Shimohira
- Messages : 92
- Enregistré le : 20 nov. 2024 14:24
- Fiche
- Demande de RP
Balthazar était fidèle aux souvenirs que Reika avait de lui… Voire davantage ! Elle se souvenait d’un amant puissant, bourrin, mais il dépassait en ce moment les espérances et les souvenirs de Reika ! Il lui défonçait la bouche sans ménagement, grognant et soupirant, incarnation brute et sauvage de l’amant fougueux, du primate qui baisait sans relâche ! Reika appréciait de le revoir, mais elle aimait surtout qu’il la baise, qu’il la défonce méthodiquement. Même ici, dans un lieu public, il était incapable de se retenir ! Son amant jouit avec force dans sa bouche, et sa semence éclata aussi sur le visage de la belle Reika. Sans lui laisser vraiment le temps de se remettre, Balthazar déchira sa chemise, et pointa sa verge vers ses seins.
« Oh… Tu es vraiment impossible à sortir, Balthazar ! » fit mine de le rabrouer Reika.
Torse nu, elle se mit à genoux devant lui, et fourra la puissante verge trempée de Balthazar entre ses seins. Elle la renifla, s’imbibant de cette odeur sale, poisseuse, sentant le rouge lui monter aux joues. Ah, cette odeur, cette délicieuse odeur ! Reika n’arrivait pas à s’en lasser. Elle sourit donc, et continua à frotter la verge de Balthazar contre ses seins, sentant sur son visage le foutre de son amant.
« I-Imagine si je t’invite au restaurant… Tu saurais te retenir ? Ne pas déchirer une robe hors de prix juste pour le plaisir de me défoncer la chatte ? Oh, Balthazar, tu es encore plus insatiable que dans mes souvenirs ! Un vrai taureau ! »
S’il y avait bien une chose sur laquelle Reika n’allait pas objecter, c’était sur la fougue de Balthazar, sur sa puissance sexuelle. Quand il la baisait, c’était comme si une armée entière lui tombait dessus. C’était assurément torride, jouissivement intense… Si intense que Reika commençât d’ailleurs à avoir très chaud entre les cuisses, et à sentir la soif croître en elle… Une soif de stupre, au fur et à mesure que ses seins compressaient et remuaient sur la queue de Balthazar. Assez active, Reika en honorait la pointe tendue par des baisers et des coups de langue, sentant cette monstrueuse queue tressauter devant elle…
De quoi mettre la jeune idol girl en appétit !
« Oh… Tu es vraiment impossible à sortir, Balthazar ! » fit mine de le rabrouer Reika.
Torse nu, elle se mit à genoux devant lui, et fourra la puissante verge trempée de Balthazar entre ses seins. Elle la renifla, s’imbibant de cette odeur sale, poisseuse, sentant le rouge lui monter aux joues. Ah, cette odeur, cette délicieuse odeur ! Reika n’arrivait pas à s’en lasser. Elle sourit donc, et continua à frotter la verge de Balthazar contre ses seins, sentant sur son visage le foutre de son amant.
« I-Imagine si je t’invite au restaurant… Tu saurais te retenir ? Ne pas déchirer une robe hors de prix juste pour le plaisir de me défoncer la chatte ? Oh, Balthazar, tu es encore plus insatiable que dans mes souvenirs ! Un vrai taureau ! »
S’il y avait bien une chose sur laquelle Reika n’allait pas objecter, c’était sur la fougue de Balthazar, sur sa puissance sexuelle. Quand il la baisait, c’était comme si une armée entière lui tombait dessus. C’était assurément torride, jouissivement intense… Si intense que Reika commençât d’ailleurs à avoir très chaud entre les cuisses, et à sentir la soif croître en elle… Une soif de stupre, au fur et à mesure que ses seins compressaient et remuaient sur la queue de Balthazar. Assez active, Reika en honorait la pointe tendue par des baisers et des coups de langue, sentant cette monstrueuse queue tressauter devant elle…
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Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Le sexe de Balthazar montait et descendait au rythme des mouvements verticaux du colosse. Le gros membre disparaissait entre les seins de Reika, c'est dire si elle disposait vraiment d'une poitrine massive car il n'était pas aisé de masquer ainsi la taille du sexe épais. L'homme se retirait du sillon mammaire, ne laissant que son gland entre les masses chaudes, puis y revenait pour que là aussi, l'extrémité gonflée jaillisse des hauteurs pour bénéficier des soins attentifs de Reika. Chaque coup de langue, chaque baiser, dynamisait la volonté de Balthazar de continuer ainsi. Avec l'idole, cette pratique de la branlette espagnole ne constituait pas une fantaisie de second plan. Non, l'acte était aussi intense qu'une pénétration vaginale ou anale tant ils y mettaient du cœur et du plaisir.
Balthazar s'approcha plus encore de sa partenaire, collant leurs corps, se frottant contre sa peau et électrisant leurs envies réciproques. Il la regardait. Elle était si belle, même ainsi dépravée, SURTOUT ainsi dépravée. Reika était faite pour ce genre de scène. Si publiquement, elle retournait l'esprit de ses hordes de fans; alors en privé elle dégageait une réelle aura sexuelle qui impactait Balthazar au point qu'il en oubliait le statut de son égérie. Normalement, une star, on la chouchoutait, on en prenait soin et on se dépêchait d'accéder à tout ses désirs. Reika était une star fabuleuse et était connue des professionnels du secteur pour ne pas être comme les autres. Avec elle, pas de caprices, pas de prises de tête, pas d'idées stupides susceptibles de causer des problèmes. Mais personne d'autre ne la connaissait aussi bien que Balthazar. Il connaissait ses forces et ses faiblesses et adorait quand elle "exigeait" qu'il la fasse se sentir vivante. Cet aspect là lui était réservé et il s'en acquittait parfaitement.
Ainsi, dans cette pièce dans laquelle ils s'étaient isolés, il répondait à leurs attentes mutuelles et ils n'étaient pas prêts d'en finir. Pour que Reika soit satisfaite, il fallait la pousser à la limite de la souffrance, là où son corps lui rappelait qu'elle était une femme qui pouvait toujours ressentir des sensations.
Ses seins compressés subissaient les assauts de son amant. Il s'était bien calé sur elle et il avait passé ses mains derrière la nuque de l'idole pour l'empêcher de basculer en arrière. Il l'enfilait et sa queue se frayait un passage dans les chairs douces de Reika. Là, il s'y vida en longues giclées, inondant la poitrine et son creux lui étant réservé. Il complétait ainsi sa première éjaculation, celle qui avait fait du visage de Reika un magnifique réceptacle à foutre. La jolie brune ressemblait plus à une pornstar à cet instant qu'à une égérie des scènes musicales.Et le regard qu'elle lui lança allait complètement dans le sens de ce qui allait fatalement suivre.
Il se redressa, titubant, encore légèrement sonné par la pression qu'il venait de relâcher.
"Me retenir? Avec toi? Impossible! Où que ce soit! Tu ...Tu ... tu m'es trop chère, trop importante. Je me perds dès que tu me regardes. J'aime ta personnalité, ton corps, ton tout. Donc ... ne me demande pas de me retenir."
Et pour appuyer sa réponse, il l'aide à se relever et lui impose de se coucher sur une table ronde, à une hauteur idéale pour qu'il puisse pleinement en profiter. La débarrasser de ses derniers vêtements ne prend que quelques secondes et il lui écarte les jambes pour exposer un trésor de convoitise. Oh, elle n'a pas à rougir de cette démonstration, elle a fait et dit bien pire.
Balthazar s'approche et darde son pieu vers l'accès au paradis. Il pourrait l'enculer directement comme il l'a déjà fait. Il sait que Reika a un faible pour les sodos déjantées mais là, non, il veut "lui faire l'amour". Alors il s'allonge dur elle, embrasse ses belles lèvres brillantes de sperme et la pénètre doucement, longuement, pour qu'elle sente l'extase de chaque millimètre de cette pénétration.
Balthazar s'approcha plus encore de sa partenaire, collant leurs corps, se frottant contre sa peau et électrisant leurs envies réciproques. Il la regardait. Elle était si belle, même ainsi dépravée, SURTOUT ainsi dépravée. Reika était faite pour ce genre de scène. Si publiquement, elle retournait l'esprit de ses hordes de fans; alors en privé elle dégageait une réelle aura sexuelle qui impactait Balthazar au point qu'il en oubliait le statut de son égérie. Normalement, une star, on la chouchoutait, on en prenait soin et on se dépêchait d'accéder à tout ses désirs. Reika était une star fabuleuse et était connue des professionnels du secteur pour ne pas être comme les autres. Avec elle, pas de caprices, pas de prises de tête, pas d'idées stupides susceptibles de causer des problèmes. Mais personne d'autre ne la connaissait aussi bien que Balthazar. Il connaissait ses forces et ses faiblesses et adorait quand elle "exigeait" qu'il la fasse se sentir vivante. Cet aspect là lui était réservé et il s'en acquittait parfaitement.
Ainsi, dans cette pièce dans laquelle ils s'étaient isolés, il répondait à leurs attentes mutuelles et ils n'étaient pas prêts d'en finir. Pour que Reika soit satisfaite, il fallait la pousser à la limite de la souffrance, là où son corps lui rappelait qu'elle était une femme qui pouvait toujours ressentir des sensations.
Ses seins compressés subissaient les assauts de son amant. Il s'était bien calé sur elle et il avait passé ses mains derrière la nuque de l'idole pour l'empêcher de basculer en arrière. Il l'enfilait et sa queue se frayait un passage dans les chairs douces de Reika. Là, il s'y vida en longues giclées, inondant la poitrine et son creux lui étant réservé. Il complétait ainsi sa première éjaculation, celle qui avait fait du visage de Reika un magnifique réceptacle à foutre. La jolie brune ressemblait plus à une pornstar à cet instant qu'à une égérie des scènes musicales.Et le regard qu'elle lui lança allait complètement dans le sens de ce qui allait fatalement suivre.
Il se redressa, titubant, encore légèrement sonné par la pression qu'il venait de relâcher.
"Me retenir? Avec toi? Impossible! Où que ce soit! Tu ...Tu ... tu m'es trop chère, trop importante. Je me perds dès que tu me regardes. J'aime ta personnalité, ton corps, ton tout. Donc ... ne me demande pas de me retenir."
Et pour appuyer sa réponse, il l'aide à se relever et lui impose de se coucher sur une table ronde, à une hauteur idéale pour qu'il puisse pleinement en profiter. La débarrasser de ses derniers vêtements ne prend que quelques secondes et il lui écarte les jambes pour exposer un trésor de convoitise. Oh, elle n'a pas à rougir de cette démonstration, elle a fait et dit bien pire.
Balthazar s'approche et darde son pieu vers l'accès au paradis. Il pourrait l'enculer directement comme il l'a déjà fait. Il sait que Reika a un faible pour les sodos déjantées mais là, non, il veut "lui faire l'amour". Alors il s'allonge dur elle, embrasse ses belles lèvres brillantes de sperme et la pénètre doucement, longuement, pour qu'elle sente l'extase de chaque millimètre de cette pénétration.
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Reika Shimohira
- Messages : 92
- Enregistré le : 20 nov. 2024 14:24
- Fiche
- Demande de RP
À sa manière d’ours déconfit, Balthazar faisait preuve d’un semblant de romantisme. Se retenir face à elle ? Impossible, elle était trop bonne ! Face à n’importe qui d’autre, Reika se serait énervée, mais, en attendant Balthazar parler ainsi, ses parois intimes vinrent se contracter, se serrant autour de sa queue monstrueuse. C’était une brute sexuelle. Le seul moyen de conserver ses habits avec lui serait d’utiliser la combinaison de Gantzer. Suite à leur mission, Reika avait pu débloquer la capacité de modifier l’apparence de la combinaison. Elle pourrait donc lui donner la forme d’une robe… D’un autre côté, elle se voyait mal aller au restaurant avec Balthazar. Il serait vite repéré, et, si la vie d’une idol girl offrait bien des avantages, elle avait aussi bien des inconvénients. Elle songeait fugacement à tout cela quand Balthazar la coucha sur la table ronde, au milieu de la salle, et retourna se nicher en elle.
« Haaaa… »
Elle lui sourit, et l’enlaça. Une main sur sa nuque, l’autre en appui sur son bras, Reika l’embrassa tendrement, pressant son corps contre le sien. Elle releva également ses jambes pour les enrouler autour de son bassin, et serra dessus, répondant avec envie à son baiser.
« Tu es… Une brute, mon cher Balthazar… Ma brute, hmmm… Si je ne peux pas te sortir, alors… Baise-moi bien comme il faut, haaaa… »
Oui, Reika aimait le sexe, et le sexe fort ! Elle se sentait pleinement vivre quand on la tringlait avec force. Balthazar le savait, Reika avait connu la mort… La vraie mort, définitive. Gantz l’avait ramené à la vie. Pourquoi elle ? Elle n’en savait rien. Mais, si le fait de manquer de peu de mourir causait un traumatisme, le fait d’être véritablement morte en était un qui soit plus fort encore. Reika avait besoin de ça, de ses coups de reins, de sentir ce mâle-Alpha la besogner comme la dernière des putes. Elle aimait la force dont il faisait preuve, la bestialité, la sauvagerie… Chaque coup de butoir était comme une ode à la vie.
« Lààà, ouiii, vas-y, encore, haaaa… F-Fais-moi vivre, B-Balthazar… »
« Haaaa… »
Elle lui sourit, et l’enlaça. Une main sur sa nuque, l’autre en appui sur son bras, Reika l’embrassa tendrement, pressant son corps contre le sien. Elle releva également ses jambes pour les enrouler autour de son bassin, et serra dessus, répondant avec envie à son baiser.
« Tu es… Une brute, mon cher Balthazar… Ma brute, hmmm… Si je ne peux pas te sortir, alors… Baise-moi bien comme il faut, haaaa… »
Oui, Reika aimait le sexe, et le sexe fort ! Elle se sentait pleinement vivre quand on la tringlait avec force. Balthazar le savait, Reika avait connu la mort… La vraie mort, définitive. Gantz l’avait ramené à la vie. Pourquoi elle ? Elle n’en savait rien. Mais, si le fait de manquer de peu de mourir causait un traumatisme, le fait d’être véritablement morte en était un qui soit plus fort encore. Reika avait besoin de ça, de ses coups de reins, de sentir ce mâle-Alpha la besogner comme la dernière des putes. Elle aimait la force dont il faisait preuve, la bestialité, la sauvagerie… Chaque coup de butoir était comme une ode à la vie.
« Lààà, ouiii, vas-y, encore, haaaa… F-Fais-moi vivre, B-Balthazar… »
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Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Couché sur Reika, Balthazar n'accéda pas de suite à ses exigences. Il prit le temps de gouter à ses lèvres pulpeuses, sans modération, puis il lia ses doigts aux siens et ramena ses bras au dessus de la tête, l'étirant légèrement sans toutefois qu'elle ait à éprouver une gêne. L'homme voulait qu'elle ressente sa contrainte, sa prise sur elle. Elle devait dépendre de lui pour atteindre son climax et il la faisait languir dans ce sens.
Donc il lui fit l'amour comme on pourrait l'attendre d'un amoureux transi à son égérie. Ses pénétrations étaient lentes et profondes, et quand il atteignait le col de l'utérus, qu'il pouvait sentir comme une ventouse au bout de son gland, il pressait plus encore pour en faire l'objet de sa possession. Ce n'était pas simple pour un homme normal d'atteindre ce sanctuaire mais la taille de sa queue lui permettait cet exploit. Dans le ventre de Reika, c'était mille émotions qui remontaient à la surface. L'acte était si intense qu'il ne put, ni ne voulut, se retenir. Il trembla sur elle et éjacula, crispé, concentré à la remplir de sa semence, obnubilé par l'idée de lui noyer l'utérus. C'était l'acte ultime, l'étape finale avant ... la création de la vie.
Est-ce que Reika était capable, ou avait encore la possibilité d'être féconde. Impossible de le dire. La Mort l'avait frappée et malgré son retour à la vie, n'avait-elle pas des séquelles injustes qui pourraient porter atteinte à la plus belle des missions d'une femme? A savoir, donner la vie?
Cela, il n'y pensait pas consciemment mais pour Balthazar, il n'y aurait pas d'autre femme que Reika. Il avait trouvé la perle, celle avec qui il avait envie de passer du temps; et pas que pour baiser. Là c'était leurs retrouvailles donc ils s'envoyaient à l'air parce que c'était nécessaire après leur séparation. Mais après, ils se poseraient et prendraient le temps de profiter de tout ce que la vie pourrait leur apporter de bon.
"Bon sang que j'en avais besoin ... Tu m'as tellement manqué."
Mais comme il n'était pas égoïste et qu'il savait très bien ce que l'idole voulait, il ne se retira pas d'elle. Il sentait ses parois à vif se contracter autour de lui et il attendit là de reprendre de la vigueur. Sans avoir trop perdu de rigidité, il reprit sa dureté en elle et lui assena un coup de reins bref et soudain qui aurait pu lui briser le bassin. Il recommença une fois, deux fois, trois fois, tout aussi brutalement. La table tanguait dangereusement sous eux mais il continua.
Balthazar emmanchait le corps de Reika d'assauts sauvages. Avec une autre, il aurait fini au tribunal pour sévices mais elle, c'est ce qu'elle attendait de lui: cette manière de dépasser le correct et d'exposer son côté animal. Il agrémentait sa brutalité de commentaires éloquents: "Prends ça petite salope", "T'aimes te faire baiser comme une chienne!", "Sale petite pute:" ... Que des attentions qu'elle affectionnait ...
Après, il lui imposa à un rythme effréné une secouée qui la déboita. Il avait libéré ses doigts pour venir pétrir ses gros seins moelleux et les presser en s'arcqueboutant sur son corps.
"HAN! HAN! HAN!"
C'était bruyant. C'était dantesque. C'était sale et répugnant tant le corps de Reika était soumis à cette intense baise opposée à toute forme de normalisme.
Ils niquaient comme des bêtes.
Donc il lui fit l'amour comme on pourrait l'attendre d'un amoureux transi à son égérie. Ses pénétrations étaient lentes et profondes, et quand il atteignait le col de l'utérus, qu'il pouvait sentir comme une ventouse au bout de son gland, il pressait plus encore pour en faire l'objet de sa possession. Ce n'était pas simple pour un homme normal d'atteindre ce sanctuaire mais la taille de sa queue lui permettait cet exploit. Dans le ventre de Reika, c'était mille émotions qui remontaient à la surface. L'acte était si intense qu'il ne put, ni ne voulut, se retenir. Il trembla sur elle et éjacula, crispé, concentré à la remplir de sa semence, obnubilé par l'idée de lui noyer l'utérus. C'était l'acte ultime, l'étape finale avant ... la création de la vie.
Est-ce que Reika était capable, ou avait encore la possibilité d'être féconde. Impossible de le dire. La Mort l'avait frappée et malgré son retour à la vie, n'avait-elle pas des séquelles injustes qui pourraient porter atteinte à la plus belle des missions d'une femme? A savoir, donner la vie?
Cela, il n'y pensait pas consciemment mais pour Balthazar, il n'y aurait pas d'autre femme que Reika. Il avait trouvé la perle, celle avec qui il avait envie de passer du temps; et pas que pour baiser. Là c'était leurs retrouvailles donc ils s'envoyaient à l'air parce que c'était nécessaire après leur séparation. Mais après, ils se poseraient et prendraient le temps de profiter de tout ce que la vie pourrait leur apporter de bon.
"Bon sang que j'en avais besoin ... Tu m'as tellement manqué."
Mais comme il n'était pas égoïste et qu'il savait très bien ce que l'idole voulait, il ne se retira pas d'elle. Il sentait ses parois à vif se contracter autour de lui et il attendit là de reprendre de la vigueur. Sans avoir trop perdu de rigidité, il reprit sa dureté en elle et lui assena un coup de reins bref et soudain qui aurait pu lui briser le bassin. Il recommença une fois, deux fois, trois fois, tout aussi brutalement. La table tanguait dangereusement sous eux mais il continua.
Balthazar emmanchait le corps de Reika d'assauts sauvages. Avec une autre, il aurait fini au tribunal pour sévices mais elle, c'est ce qu'elle attendait de lui: cette manière de dépasser le correct et d'exposer son côté animal. Il agrémentait sa brutalité de commentaires éloquents: "Prends ça petite salope", "T'aimes te faire baiser comme une chienne!", "Sale petite pute:" ... Que des attentions qu'elle affectionnait ...
Après, il lui imposa à un rythme effréné une secouée qui la déboita. Il avait libéré ses doigts pour venir pétrir ses gros seins moelleux et les presser en s'arcqueboutant sur son corps.
"HAN! HAN! HAN!"
C'était bruyant. C'était dantesque. C'était sale et répugnant tant le corps de Reika était soumis à cette intense baise opposée à toute forme de normalisme.
Ils niquaient comme des bêtes.
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Reika Shimohira
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- Enregistré le : 20 nov. 2024 14:24
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- Demande de RP
Balthazar lui faisait l’amour avec tout le talent dont il était capable. Autant dire que c’était très intense. Tout ce dont elle se rappelait de lui se confirmait au rythme de ses coups de reins. Balthazar la prenait avec force, passionnément. Il emplissait progressivement le rythme. Ce phacochère mal dégrossi était endiablé, et, à chacun de ses coups de reins, Reika se sentait régressée, revenir à un état de nature primaire où elle n’était plus qu’un atome de plaisir pulsant avec lui. Un plaisir reptilien et préhistorique qui les stimulait tous les deux. Reika se laissait bercer par lui. Balthazar modifia son rythme, se montrant plus passionnel. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, et gémit régulièrement, sentant les coups de reins s’amplifier sur elle. Elle enroulait ses bras autour de la nuque de Balthazar, griffant parfois son dos, surtout quand il enfonçait sa queue en elle jusqu’à la garde, tapant contre son col de l’utérus.
« Haaaa… Haaaa… Ba-Balthazar… »
Elle gémissait, le corps en sueur, remuant d’avant en arrière, et de haut en bas. La table devenait glissante, à force de recevoir la sueur de Reika. Elle était délicieusement écrasée contre le corps de Balthazar, qui ne semblait devoir jamais s’interrompre. Il continuait à la prendre, à s’enfoncer en elle, sa queue durcie remuant, plongeant dans sa chatte. Reika en crachait parfois sa salive, et elle sentit Balthazar jouir. Elle-même multipliait les orgasmes, et se trouvait à vrai dire dans un état second, une sorte de transe sexuelle où il était difficile de définir quand elle était en état orgasmique ou non. Ce qu’elle vivait ne pouvait être décrit aisément, c’était une transcendance, où tout son corps remuait à l’harmonie avec celui de son amant.
Il jouit longuement, grognant contre elle. Elle caressa sa joue, elle regarda son visage pendant son orgasme. Elle le vit soupirer, serrer ses lèvres, bander ses muscles, tout en s’abandonnant en elle. Il se déversa généreusement, inondant sa chatte, la remplissant. Balthazar soupira ensuite, et, comme si sa queue ne devait jamais dégrossir, il reprit ses coups de reins, plus fortement encore. Il l’injuriait, et Reika gémissait, se tortillait à chaque fois qu’elle l’entendait.
« Haaaa… H-HHAAAAA… !! HHHAAAAANNN… !! BA-BALTHAZAR, PU… PUTAIN !! »
La vague était si forte que Reika s’en montrait grossière. Elle le griffa encore, tandis que la table oscillait d’avant en arrière. Elle le suivait, haletant et gémissant, caressant également son torse, pinçant ses muscles proéminents, avant de le sentir avec délectation s’écraser contre elle, l’étouffant sous cette masse de chair, de muscles, de sueur, de stupre…
« Haaaa… Haaaa… Ba-Balthazar… »
Elle gémissait, le corps en sueur, remuant d’avant en arrière, et de haut en bas. La table devenait glissante, à force de recevoir la sueur de Reika. Elle était délicieusement écrasée contre le corps de Balthazar, qui ne semblait devoir jamais s’interrompre. Il continuait à la prendre, à s’enfoncer en elle, sa queue durcie remuant, plongeant dans sa chatte. Reika en crachait parfois sa salive, et elle sentit Balthazar jouir. Elle-même multipliait les orgasmes, et se trouvait à vrai dire dans un état second, une sorte de transe sexuelle où il était difficile de définir quand elle était en état orgasmique ou non. Ce qu’elle vivait ne pouvait être décrit aisément, c’était une transcendance, où tout son corps remuait à l’harmonie avec celui de son amant.
Il jouit longuement, grognant contre elle. Elle caressa sa joue, elle regarda son visage pendant son orgasme. Elle le vit soupirer, serrer ses lèvres, bander ses muscles, tout en s’abandonnant en elle. Il se déversa généreusement, inondant sa chatte, la remplissant. Balthazar soupira ensuite, et, comme si sa queue ne devait jamais dégrossir, il reprit ses coups de reins, plus fortement encore. Il l’injuriait, et Reika gémissait, se tortillait à chaque fois qu’elle l’entendait.
« Haaaa… H-HHAAAAA… !! HHHAAAAANNN… !! BA-BALTHAZAR, PU… PUTAIN !! »
La vague était si forte que Reika s’en montrait grossière. Elle le griffa encore, tandis que la table oscillait d’avant en arrière. Elle le suivait, haletant et gémissant, caressant également son torse, pinçant ses muscles proéminents, avant de le sentir avec délectation s’écraser contre elle, l’étouffant sous cette masse de chair, de muscles, de sueur, de stupre…
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Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
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Balthazar Noël
- Messages : 162
- Enregistré le : 16 févr. 2025 09:05
- Fiche
Balthazar vint deux fois de plus dans Reika. Sans formalisme, ni demande d'autoristion, ni même sans la prévenir, il l'inonda tant et si bien que sa propre semence le repoussa tant le ventre de Reika était plein. Le vagin de l'idole , enfin libéré de son énorme présence, dégueula un flot de sperme qui s'étala entre ses cuisses. Charmant spectacle si e n'est qu'il tâcha ses vêtements mais ce n'était qu'un détail, quoique ...
Le colosse se recula de quelques pas pour regarder son égérie. Elle avait un joli petit ventre bien rebondi qui se dégonflait au fur et à mesure que ses contractions rejetaient ce qu'il venait de déverser en elle. Si elle ne l'arrêtait pas, ce n'est pas lui qui irait mettre un terme à cette folie sexuelle. Il pouvait la prendre dans toutes les positions possibles et sur ou contre n'importe quel meuble, au sol, contre un mur, debout, assise, couchée. Il traiterait ses orifices sans discernement, utilisant sa bouche comme son vagin ou son anus. Il ne se ferait pas l'amant doucereux qui la cajolerait en lui glissant des mots doux. Non, Reika, c'était sa chasse gardée, sa poupée sexuelle super consentante et apte à l'encaisser sur toute sa longueur et toute son épaisseur.
D'ailleurs, il n'eut qu'à peser un peu sur ses épaules pour qu'elle glisse à genoux devant lui. C'est avec un soupir de plaisir qu'il se fourra dans sa bouche, collant entre ses lèvres pulpeuses son sexe bien collant et encore gouteux de sa dernière pénétration.
Reika avait de longs cheveux épais, le genre de chevelure qui faisait pâlir d'envie les stars occidentales. Balthazar la noua derrière la nuque de la jeune femme et la torsada autour de son poignet. C'est lui qui la guida, qui utilisa sa tête comme un objet. Sa force surhumaine imposait un va et vient puissant destiné à ravager cette gorge pure, la sienne, sa possession. L'homme se délectait des déglutitions sonores de la chanteuse, de ses hoquets, de ses ravalements gras. Il était bien là où il était et comptait bien prendre son temps. Un facefuck de cette dimension était d'ordinaire réservé aux fantasmes de branleurs pervers mais la réalité de Balthazar et Reika en faisait un acte pornographique d'une saleté délicieuse.
Reika avait la gorge profonde et accueillante mais Balthazar voulait plus que cette générosité. Il voulait du physique, du dépassement. Aussi quand le visage de Reika s'écrasait sur son bas ventre et que sa gorge gonflait presque au point de craquer, il la bloquait contre lui et lui imposait de petits roulements de bassins destinés à la contraindre durement. Quelle que soit l'issue du geste, il s'en satisfaisait. Rien ne le révulsait et il s’accommodait de tous les résidus rejetés. Et quand ce n'était pas assez, il la baisait fort, très fort. A ce moment là, il la trainait dans toute la pièce, son sexe fiché dans cette putain de gorge et il la défonçait dans toutes les positions possibles: upside down, sur elle, tête bloquée, bras maitrisés, tout y passait en termes de contrainte.
Et bien entendu, des éjaculations massives, crachées à sa gueule, purgées dans son estomac, encore et encore. C'était un déluge de foutre dont il l'abreuvait et il avait du mal à s'extraire de cette spirale paradisiaque.
"C'est ... Putain! ... C'est ça la vie Reika!!"
Le colosse se recula de quelques pas pour regarder son égérie. Elle avait un joli petit ventre bien rebondi qui se dégonflait au fur et à mesure que ses contractions rejetaient ce qu'il venait de déverser en elle. Si elle ne l'arrêtait pas, ce n'est pas lui qui irait mettre un terme à cette folie sexuelle. Il pouvait la prendre dans toutes les positions possibles et sur ou contre n'importe quel meuble, au sol, contre un mur, debout, assise, couchée. Il traiterait ses orifices sans discernement, utilisant sa bouche comme son vagin ou son anus. Il ne se ferait pas l'amant doucereux qui la cajolerait en lui glissant des mots doux. Non, Reika, c'était sa chasse gardée, sa poupée sexuelle super consentante et apte à l'encaisser sur toute sa longueur et toute son épaisseur.
D'ailleurs, il n'eut qu'à peser un peu sur ses épaules pour qu'elle glisse à genoux devant lui. C'est avec un soupir de plaisir qu'il se fourra dans sa bouche, collant entre ses lèvres pulpeuses son sexe bien collant et encore gouteux de sa dernière pénétration.
Reika avait de longs cheveux épais, le genre de chevelure qui faisait pâlir d'envie les stars occidentales. Balthazar la noua derrière la nuque de la jeune femme et la torsada autour de son poignet. C'est lui qui la guida, qui utilisa sa tête comme un objet. Sa force surhumaine imposait un va et vient puissant destiné à ravager cette gorge pure, la sienne, sa possession. L'homme se délectait des déglutitions sonores de la chanteuse, de ses hoquets, de ses ravalements gras. Il était bien là où il était et comptait bien prendre son temps. Un facefuck de cette dimension était d'ordinaire réservé aux fantasmes de branleurs pervers mais la réalité de Balthazar et Reika en faisait un acte pornographique d'une saleté délicieuse.
Reika avait la gorge profonde et accueillante mais Balthazar voulait plus que cette générosité. Il voulait du physique, du dépassement. Aussi quand le visage de Reika s'écrasait sur son bas ventre et que sa gorge gonflait presque au point de craquer, il la bloquait contre lui et lui imposait de petits roulements de bassins destinés à la contraindre durement. Quelle que soit l'issue du geste, il s'en satisfaisait. Rien ne le révulsait et il s’accommodait de tous les résidus rejetés. Et quand ce n'était pas assez, il la baisait fort, très fort. A ce moment là, il la trainait dans toute la pièce, son sexe fiché dans cette putain de gorge et il la défonçait dans toutes les positions possibles: upside down, sur elle, tête bloquée, bras maitrisés, tout y passait en termes de contrainte.
Et bien entendu, des éjaculations massives, crachées à sa gueule, purgées dans son estomac, encore et encore. C'était un déluge de foutre dont il l'abreuvait et il avait du mal à s'extraire de cette spirale paradisiaque.
"C'est ... Putain! ... C'est ça la vie Reika!!"
Vous pouvez me contacter sur le compte d' Ombre si ce personnage vous intéresse!!-
Reika Shimohira
- Messages : 92
- Enregistré le : 20 nov. 2024 14:24
- Fiche
- Demande de RP
L’endurance phénoménale de Balthazar n’avait d’égale que son manque d’éducation, sa bestialité, une véritable sauvagerie sexuelle. Il l’avait déjà montré lors de leur mission à Kumamoto, mais ils étaient alors en pleine invasion de monstres. Balthazar avait désormais davantage le temps de baiser méthodiquement Reika, ce qu’il s’évertuait à faire. Il y avait chez lui un mélange d’arrogance, de passion, une frénésie sexuelle. Il ne se souciait pas vraiment de savoir s’il la faisait jouir, comme s’il se doutait que, inconsciemment, il ne pourrait que la faire jouir. C’était une véritable machine sexuelle, qui grognait et haletait contre elle. Reika ne pouvait pas nier qu’elle adorait ça. Elle adorait sentir ce corps musclé la prendre, elle adorait sentir sa sueur contre ses doigts, sentir son corps massif l’écraser, et sa queue monstrueuse la labourer comme jamais. Il la baisait avec l’énergie d’une armée venant l’assaillir, ne lui laissant aucun répit, grognant contre elle, l’insultant entre deux baisers, la pinçant, la fessant. Reika adorait ça, elle mouillait comme une folle, et, si Balthazar ne jouit « que » deux fois, elle, elle se retrouva dans un état d’orgasme presque permanent, jouissant fréquemment, au fur et à mesure qu’il la prenait avec force. Il était couché sur elle, imperturbable, et elle, elle griffait son dos, glissant ses mains jusqu’à presser les fesses musclées de Balthazar, gémissant encore.
La pièce s’emplissait des soupirs de Reika, de ses longs gémissements. Elle se crispait quand il s’enfonçait profondément, allant jusqu’à lui mordre le creux du cou. Chacun de ces gestes confirmait qu’elle aimait ce sexe débridé, passionnel. C’était l’exaltation du désir, l’exaltation de son corps et de ses pulsions. Reika continuait à se tortiller sur place, et le sentit encore jouir en elle, abondamment. Il grogna en se déversant, et se redressa ensuite. Son corps divinement sculpté présentait ici et là des traces rouges, tandis qu’il lui fit signe. Il la fit glisser vers le sol, et elle embrassa sa queue, avant de la prendre en bouche. Autoritaire et dominant, Balthazar glissa sa queue en elle, et attrapa ses cheveux, puis tira dessus. Gémissements supplémentaires de Reika ! Elle sentait cette épaisse queue remuer en elle, s’enfonçant au plus profond, tapant contre sa gorge. La jeune femme se tortillait sur place, et ne tarda pas à accompagner à sa manière les coups de reins solides de Balthazar, en se masturbant. Sa langue glissait sur sa queue, transformée en une sorte de fourreau humide sur laquelle le membre monstrueux de Balthazar se déplaçait.
Il continuait à la bourrer, et jouit encore en elle. Reika se laissait faire, sentant les minutes défiler, filant à toute allure. Dehors, il faisait nuit quand il se retira enfin de sa bouche, après avoir copieusement joui en elle. Agenouillée au sol, Reika éternua naturellement en se massant la gorge.
« Oh, diable de Balthazar… Mais… Tu n’as pas fini… Tu es un animal, et, si je dois être ta chienne, alors, il faut que tu me marques comme le font les chiens… »
La pièce s’emplissait des soupirs de Reika, de ses longs gémissements. Elle se crispait quand il s’enfonçait profondément, allant jusqu’à lui mordre le creux du cou. Chacun de ces gestes confirmait qu’elle aimait ce sexe débridé, passionnel. C’était l’exaltation du désir, l’exaltation de son corps et de ses pulsions. Reika continuait à se tortiller sur place, et le sentit encore jouir en elle, abondamment. Il grogna en se déversant, et se redressa ensuite. Son corps divinement sculpté présentait ici et là des traces rouges, tandis qu’il lui fit signe. Il la fit glisser vers le sol, et elle embrassa sa queue, avant de la prendre en bouche. Autoritaire et dominant, Balthazar glissa sa queue en elle, et attrapa ses cheveux, puis tira dessus. Gémissements supplémentaires de Reika ! Elle sentait cette épaisse queue remuer en elle, s’enfonçant au plus profond, tapant contre sa gorge. La jeune femme se tortillait sur place, et ne tarda pas à accompagner à sa manière les coups de reins solides de Balthazar, en se masturbant. Sa langue glissait sur sa queue, transformée en une sorte de fourreau humide sur laquelle le membre monstrueux de Balthazar se déplaçait.
Il continuait à la bourrer, et jouit encore en elle. Reika se laissait faire, sentant les minutes défiler, filant à toute allure. Dehors, il faisait nuit quand il se retira enfin de sa bouche, après avoir copieusement joui en elle. Agenouillée au sol, Reika éternua naturellement en se massant la gorge.
« Oh, diable de Balthazar… Mais… Tu n’as pas fini… Tu es un animal, et, si je dois être ta chienne, alors, il faut que tu me marques comme le font les chiens… »
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