Devant l’incendie de l’entrepôt, Alisa demanda à Amélie si c’était sa maison. La jeune Française secoua négativement la tête, en retenant difficilement quelques larmes de couler de son visage.
« Non, ce n’est pas une maison… Ce n’était qu’un entrepôt abandonné, mais c’était ce qui s’en rapprochait le plus… »
Sa vie devait assurément être bien pathétique ! Son seul refuge, cet entrepôt pourri rempli d’ordures ! Amélie observait la scène sans savoir quoi dire, surtout inquiète de savoir où Mishi et Zetsu s’étaient fourrés. Pourquoi ces types les auraient-ils capturé ? Amélie était totalement larguée, peinant à comprendre dans quel conflit de grande ampleur elle s’était engagée. Des femmes cybernétiques dotées d’armes futuristes, des cyborgs explosifs, des vaisseaux-espions géants… Elle se serait crue dans de la science-fiction, ou dans l’un de ces putains de mangas ! Alisa était prête à la ramener en bas, et invita Amélie à la suivre.
Celle-ci la considéra naturellement avec méfiance. Alisa venait de parler avec quelqu’un, mais elle n’avait nulle part où aller.
« Pour… Éviter de tomber ? »
Elle comprit qu’Alisa allait bondir. Amélie acquiesça, et s’agrippa à Alisa. La cyborg sauta ensuite dans les airs, prenant Amélie dans ses bras, la tenant sans difficulté. Des propulseurs s’enclenchèrent dans son dos, et Alisa descendit lentement. Elles rejoignirent l’entrée de l’entrepôt. Amélie reposa nerveusement ses pieds sur le sol. La scène ressemblait à une scène de guerre, avec de hautes flammes dansant dans le ciel. Et, face à elle, un géant blond aux yeux bleus en armure aux longs cheveux la fixa lentement. Lars Alexandersson, leader d’Yggdrasil.
« Je.. Euh… Bonjour ? »
Nerveuse, elle se recula, et heurta Alisa, sa tête frottant ses seins. Les mains d’Alisa se posèrent doucement sur son épaule, comme pour l’amener à se détendre. Lili et Asuka se trouvaient également là, mais les adversaires s’étaient enfuis. Amélie ne savait plus quoi dire, lorsque des sirènes de police se firent entendre.
« Euh… On devrait foutre le camp avant que la police rapplique ! »
Des hélicoptères se rapprochaient également, ainsi que des camions de pompiers, des ambulances. Mieux valait éviter d’attirer l’attention ! Amélie ignorait ce que tous ces gens lui voulaient, ni s’ils disposaient d’un moyen d’évacuation rapide…
« Non, ce n’est pas une maison… Ce n’était qu’un entrepôt abandonné, mais c’était ce qui s’en rapprochait le plus… »
Sa vie devait assurément être bien pathétique ! Son seul refuge, cet entrepôt pourri rempli d’ordures ! Amélie observait la scène sans savoir quoi dire, surtout inquiète de savoir où Mishi et Zetsu s’étaient fourrés. Pourquoi ces types les auraient-ils capturé ? Amélie était totalement larguée, peinant à comprendre dans quel conflit de grande ampleur elle s’était engagée. Des femmes cybernétiques dotées d’armes futuristes, des cyborgs explosifs, des vaisseaux-espions géants… Elle se serait crue dans de la science-fiction, ou dans l’un de ces putains de mangas ! Alisa était prête à la ramener en bas, et invita Amélie à la suivre.
Celle-ci la considéra naturellement avec méfiance. Alisa venait de parler avec quelqu’un, mais elle n’avait nulle part où aller.
« Pour… Éviter de tomber ? »
Elle comprit qu’Alisa allait bondir. Amélie acquiesça, et s’agrippa à Alisa. La cyborg sauta ensuite dans les airs, prenant Amélie dans ses bras, la tenant sans difficulté. Des propulseurs s’enclenchèrent dans son dos, et Alisa descendit lentement. Elles rejoignirent l’entrée de l’entrepôt. Amélie reposa nerveusement ses pieds sur le sol. La scène ressemblait à une scène de guerre, avec de hautes flammes dansant dans le ciel. Et, face à elle, un géant blond aux yeux bleus en armure aux longs cheveux la fixa lentement. Lars Alexandersson, leader d’Yggdrasil.
« Je.. Euh… Bonjour ? »
Nerveuse, elle se recula, et heurta Alisa, sa tête frottant ses seins. Les mains d’Alisa se posèrent doucement sur son épaule, comme pour l’amener à se détendre. Lili et Asuka se trouvaient également là, mais les adversaires s’étaient enfuis. Amélie ne savait plus quoi dire, lorsque des sirènes de police se firent entendre.
« Euh… On devrait foutre le camp avant que la police rapplique ! »
Des hélicoptères se rapprochaient également, ainsi que des camions de pompiers, des ambulances. Mieux valait éviter d’attirer l’attention ! Amélie ignorait ce que tous ces gens lui voulaient, ni s’ils disposaient d’un moyen d’évacuation rapide…