Béni par la lumière des Anges, Lumen est un puissant et riche royaume au cœur d'une puissante confédération.
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La Secte du Dragon Noir [Alérys de Valmyra]

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Cirillia
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Demande de RP
Située le long de la côte, Beauregard était une ville de taille médiévale s’articulant autour d’un magnifique château. De l’aveu de tous, c’était un endroit paisible, une région agricole et viticole qui offrait paix et prospérité aux Luméens.

Beauregard était sous la houlette des deux filles du Duc de Beauregard, qui était malheureusement mort suite à une maladie. Les deux Duchesses étzient très proches l’une de l’autre. L’une aux cheveux bruns s’appelait Aeolian, et l’autre, sa petite-sœur, Emilia. La mort de duc de Beauregard, dans des circonstances confuses, avait renforcé les troubles dans cette région. De plus, suite à l’Olympomachie, les monstres s’étaient multipliés, émanant tant de la mer que de la terre.

Le coup de grâce était toutefois venu d’une menace encore plus importante. Un dragon noir avait attaqué des navires marchands, avant d’attaquer des hameaux de fermiers reculés, incendiant caravanes et habitations. Le dragon noir n’était pas seul, et était accompagné de sinistres dragonniers qui attaquaient avec leurs chevaux les villageois. L’un d’entre eux chevauchait le dragon. Les motivations de cette faction étaient inconnues.

Pour Cirillia, elle espérait pouvoir enfin retrouver le dragon noir qu’elle poursuivait depuis des années. Elle avait donc voyagé jusqu’à Lumen, et avait chevauché un cheval l’amenant vers un village qui avait connu de meilleurs jours.

*Le dragon !*

Son terrible rugissement emplissait l’air, annonciateur du chaos qui déferlait sur le village. Les gardes locaux avaient été dépassés par les évènements, et, dans le ciel noir, chargé de soufre, les flammes des maisons en feu permettaient de voir les écailles du monstrueux dragon qui fondait sur les rues de la ville, soufflant en tuant tout ce qu’il voyait.

*Ce n’est même pas un pillage classique, ce dragon massacre tout ce qu’il voit…*

Face à cette vision d’horreur, qui rappelait à Cirillia des souvenirs malheureux, celle-ci s’élança vers le village, bien décidée à protéger qui elle pouvait, et à combattre ces mystérieux ennemis, ces dragonniers qui envahissaient la ville…
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Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

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Re: La Secte du Dragon Noir [Alérys de Valmyra]

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Alérys de Valmyra
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Demande de RP
« ‘Rys… Je crains que les nouvelles ne soient pas de bonnes augures. »

Mon regard s’élève sur cet homme qui m’accompagne depuis quelques jours, qui se fait déjà familier. Nous avons décidé ensemble de faire un bout de chemin sur les routes solitaires de Lumen. Lui cherche un vieil ami d’enfance, quant à moi… M’occuper l’esprit est déjà bien suffisant.

Avoir une compagnie, qui parle pour deux, égaye mes journées monotones et me permet d’apprendre à vivre. Pas à pas, je me libère de la doctrine et de la rudesse de mon éducation. Il m’arrive d’esquisser, parfois, un sourire. Mais aujourd’hui, sous ses paroles graves, son regard se fait froid, empreint d’une tristesse qui ne présage rien de bon.

Tirant une chaise, les pieds grincent contre le sol usé de la taverne. Son corps s’écrase lourdement sur l’assise. Son silence se fait pesant et mes doigts tapotent nerveusement la table. Quand compte-t-il me donner plus d’informations ? Mes lèvres s’entrouvrent mais j’hésite sur ses mots, sur comment lui tirer les vers du nez dans cette attente trop longue. Enfin, je me lève, prête à l’attraper par le col pour le secouer. Mais avant que mes doigts n’atteignent le tissu, Rodric se redresse sur sa chaise et attrape sa chope.

« Nous avions prévu de continuer notre chemin vers Beauregard mais le duché semble plier sous la menace de dragonniers. Ils attaquent tout, ravagent les champs et terrifient les paysans.
- Qu’est-ce qui nous empêche d’y aller ? »

Je me rassois. Ma question fait écarquiller les yeux de ce bon vagabond, avec autant de surprise que de crédulité. Sans doute, me prend-il pour une femme stupide à me jeter dans la gueule d’un ennemi puissant. La vérité, à mes yeux, est différente. Si aujourd’hui, je mets mon épée au service du plus offrant, je ne tourne jamais le dos aux faibles. Mon honneur a peut-être été blessé, meurtri et oublié dans un complot et la perte de mon seigneur… Je n’ai pas abandonné ma dignité.

« J’irais seule. »

La peur se lit si aisément sur le visage de ce vieux Rodric qu’il m’est impossible de chercher à pousser plus loin. Notre aventure se termine ici. Peut-être garderais-je un bon souvenir de ces quelques jours ensemble. Ma priorité, pour l’instant, demeure d’atteindre le duché et ses campagnes ravagées par une menace cruelle.

[...]

Il m’a fallu plusieurs jours pour entrevoir les premiers villages. L’un d’entre eux n’était qu’un cimetière à ciel ouvert, ravagé par les flammes d’un dragon tout-puissant et les lances des dragonniers cruels. Ce spectacle m’a attrapé par les tripes. Quel seigneur peut laisser ses sujets à un destin si cruel ? Sur mon chemin, je remarque des gardes qui ont subi un sort similaire. Des armures vides qui n’ont plus de propriétaire.

Je fais route vers Beauregard pour trouver des réponses, à cette fin prématurée qu’a connue mon seigneur mais au final, la dévastation et la mort me suivent où que j’aille. Je sais que je dois abandonner cette quête stupide, que je cache derrière mes prétendues intentions de mettre mon épée au service de l’or et des faibles. Finalement, qu’importe ma volonté de vivre et d’oublier, mes pas me ramènent toujours à cette réalité que je peine à accepter : la mort de cet homme.

[...]

Quelques jours supplémentaires à cheval m’ont mené à un nouveau village. Mais le spectacle est bien différent. Cette fois-ci, je peux l’admirer, ce dragon immense et son armée à ses côtés. Les cris des villageois me parviennent alors que du sommet d’une colline voisine, j’ai pris quelques brèves secondes pour analyser ce tableau apocalyptique. J’élance de nouveau ma monture dans ce conflit qui ne m’appartient pas, mon épée en main.

Il m’est impensable de laisser des civils mourir.

Sur le chemin, mon regard croise à quelques mètres une femme, chevauchant pour rejoindre comme moi les rues envahies. Elle ne semble être une menace mais peut-être, deviendra-t-elle une alliée pour affronter le dragon… Du moins, je l’espère. Seule, il risque de s’avérer bien compliqué de faire descendre la bestiole des cieux. Et encore, si l’endroit est équipé de balistes, ou n’importe quelle arme capable de dépasser son armure écailleuse.

Alors que je m’approches de la jeune femme, je fauches, au passage, un dragonnier avec mon épée, sur le point de s’en prendre à une femme et son enfant. Aucun vivant ne sera laissé… Comme dans ce village que j’ai pu visiter quelques jours auparavant.

« Dis ! Tu as une idée de comment faire descendre le dragon ? Dans les airs, peu de chances qu’on arrive à l’atteindre. »

Je connais quelques rudiments en magie mais qui seront loin de nous être utiles dans une telle situation. Je me suis consacrée toute ma courte vie à l’épée… Mon regard perd ensuite les gardes que je dépasse en m’approchant de la créature ailée. Elle prend en chasse un homme, tentant de s’échapper de cet enfer pour sa vie… Alors que je viens m’interposer, glissant en-dessous de cette dernière quand son ventre est, généralement, le point faible de ces créatures. Dans les contes, du moins.

Mon épée, seulement renforcée par ce pouvoir divin dont j’ignore bien les contours, arrive à transpercer la créature sans lui infliger une blessure véritablement sérieuse. Mais maintenant que j’ai son attention, il ne me reste plus qu’à la diriger loin des civils.

« Suis-moi, le lézard ! »

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Cirillia
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Ayant rejoint le village, Cirillia descendit de son cheval au milieu des badauds qui fuyaient la ville en hurlant. C’était un spectacle d’horreur qui la figea sur place. Trop de souvenirs remontèrent en elle, ceux de sa propre fuite, jadis, quand un dragon noir avait dévasté sa ville natale, et sa famille. Cirillia se ressaisit toutefois bien vite. Les miliciens étaient dépassés. Le dragon n’avait pas attaqué au hasard, il avait commencé par s’attaquer au manoir central, regroupant les quartiers de la milice. Les quelques soldats présents ici étaient toutefois bien en peine de pouvoir faire quoi que ce soit.

Cirillia se déplaça donc. Comme les sorceleurs, elle portait ses armes dans son dos, et, contrairement à eux, disposait également d’une redoutable arbalète à répétition. Elle se déplaça rapidement, sentant le soufre agresser ses narines, et se rua vers plusieurs dragonniers qui emmenaient des villageois dans une cage.

« Fus’ ! Ro’ ! Dah !’’ ! »

Ouvrant la bouche, Cirillia invoqua le Thu’um, cette magie draconique reposant sur l’utilisation de la voix qu’elle avait appris en tuant son premier dragon, et où elle avait absorbé son âme. Un déferlement repoussa le chariot, qui se renversa sur le sol. Surpris, les deux dragonniers se retournèrent vers elle.

« Une Dovahkiin ?!
- Voilà une offrande rare, mon frère ! »

Cirillia grimaça sur place. Elle attrapa une rune qu’elle frotta contre la lame de son épée, faisant s’illuminer des runes magiques gravées dessus. Son épée s’enflamma.

« Navrée, Messieurs, mais les seuls qui vont crever ici, c’est vous deux ! »

Elle s’élança alors. En absorbant l’âme d’un dragon, Cirillia avait aussi gagné en endurance. Elle n’avait plus besoin de porter d’armure lourde, ce qui la rendait donc agile, une caractéristique utile. Elle tournoya pour renforcer la puissance de son impact, et son épée frappa avec force la lame de l’un des dragonniers.

Son comparse saisit sa lance, et la pointa vers Cirillia, qui bondit en retrait, évitant la lame. Un coup anticipé par elle, qui fit un pas de côté, et décapita le deuxième dragonnier avec son épée, son imprudent coup de lance l’ayant rendu vulnérable. Surpris, le premier s’élança alors vers Cirillia, et frappa avec sa lame. Elle para une première attaque, puis recula. L’homme frappa encore en tentant d’attaquer par un mouvement circulaire allant du bas vers le haut. Cirillia se décala sur le côté, évitant l’attaque, tandis que son adversaire, par cette attaque, avait exposé son flanc droit. L’épée de Cirillia s’y rua, et, malgré l’armure de son ennemi, frappa violemment, entaillant l’armure, et fit jaillir le sang. Surpris, le dragonnier posa sa main sur son flanc, et Cirillia, en véritable danseuse, positionnée sur la droite de son adversaire, tournoya pour prendre encore de l’élan, et frappa avec sa lame dans le dos du dragonnier, décrivant un mouvement circulaire du haut vers le bas.

Un troisième larron avait voulu s’en prendre aux civils, mais une femme aux yeux bandés et portant une armure dorée peu complète venait de le tuer. Elle se rapprocha d’elle, et Cirillia la regarda pendant quelques secondes. Amie ? Ennemie ? Elle jugea rapidement avoir affaire à une amie. Tandis que les flammes autour de sa lame se dissipaient, Cirillia l’épongea du sang des ennemis avant de la remettre dans son fourreau.

« On ne peut pas le faire descendre sans équipement approprié. Il faut des balistes spéciales avec des flèches lourdes aptes à briser des écailles. Je dispose fort heureusement de carreaux spéciaux. »

De sa propre conception, ces carreaux étaient inspirés des pointes de flèches utilisés par les elfes de la Scoia’tael : des carreaux tranchants, qui, à l’impact, s’ouvraient pour former huit pointes qui s’enfonçaient dans la chair, renforçant la douleur et la difficulté à retirer le carreau. Mais cela permettait aussi d’entailler un peu plus les écailles d’un dragon. Il faudrait plus qu’un seul carreau, mais c’était déjà mieux que rien !

La femme se rua alors vers le dragon qui avait commencé à se descendre, prenant en chasse un homme. Elle frappa alors le dragon au ventre, surprenant ce dernier. Il pivota sur place en voyant la femme qui l’avait attaqué.

*Mais elle est folle !* songea Cirillia.

Le dragon rugit, et sa gorge s’illumina. Il allait souffler sur la jeune femme. Cirillia lui tira alors dessus avec son arbalète. Se scarreaux frappèrent le museau du dragon, qui grogna encore, et pivota sur place. Sa queue caudale fusa comme un fouet mortel, hérissé d’épines. Cirillia bondit alors vers Alérys, et la jeta au sol. La queue caudale leur passa au-dessus de la tête avant de venir percuter le mur d’une maison, qui s’effondra sur place. Le visage de Cirillia se retrouva ainsi proche de celui d’Alérys. Elle se redressa ensuite.

« Ne jouez pas aux héroïnes désespérées, ma jolie. Vous êtes trop belle pour qu’un dragon vous crame le cul. »

Le dragon se redressa pour s’envoler.

« Il existe des Cris pour forcer un dragon à se poser, mais je ne les connais pas. Je peux lui tirer dessus avec mon arbalète pour le retenir jusqu’à ce qu’il s’en aille. Est-ce que votre magie vous permet de renforcer mes carreaux ? »

Après avoir posé la question, Cirillia se retourna vers la femme.

« Au fait, je m’appelle Cirillia, et vous ? »
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Re: La Secte du Dragon Noir [Alérys de Valmyra]

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Alérys de Valmyra
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Demande de RP
La rousse est impressionnante, sidérante. Devant son combat harmonieux, cette danse martiale a coupé le souffle, ma bouche est restée entrouverte pendant quelques secondes. Je suis admirative de ce talent à l’épée, de cette harmonie magnifique que j’ai pu percevoir au-delà de mon bandeau. Puis, je viens apporter ma pierre à l’édifice, décapitant un dernier larron, offrant une pause méritée à cette femme impressionnante et la vie sauve à deux innocents. Face à ses capacités surprenantes, je finis par demander à l’inconnue si elle connaît un moyen de s’en sortir face à notre méchant adversaire.

C’est bien ce que je redoute le plus. Son insensibilité à des attaques lambdas peut nous causer quelques difficultés. La fuite est facile pour une si grande créature. Bien que je le voudrais, je ne suis pas encore capable de voler ou de le poursuivre indéfiniment. Notre espoir réside entre les carreaux de la belle rousse… Mais encore, je ne nous laisse pas le temps d'échafauder un plan que je m'élance à la poursuite de notre ennemi commun pour tenter de le distraire d’un pauvre homme, en pleine fuite.

[...]

Peut-être, n’ayant aucune peur de la mort, j’ai été imprudente. Mais la soudaine proximité avec ma sauveuse me surprend et ne me laisse pas indifférente. Derrière mon bandeau, mes yeux s’écarquillent et un sourire s’esquisse au coin de mes lèvres. Rapidement debout, juste après la rousse, je viens me relever. A ses mots, j’arque un sourire avant de répondre, avec le même aplomb :

« Mais si je peux me faire sauver une seconde fois par une si jolie femme, je veux bien me jeter de nouveau sous ses griffes. »

Des mots qui ne ressemblent guère à ceux d’une chevaleresse, d’une noble dame éduquée avec soin par ses parents. Mais depuis mon bannissement, j’ai abandonné toutes ses règles inutiles. J’ai abandonné l'idée d'être le rôle de la parfaite fille dans lequel on m’a toujours imaginé depuis ma naissance. Pourquoi demeurer noble quand je suis devenue moins qu’une paysanne ? La déchéance, la honte de ma famille. Mes émotions sont contradictoires à ce sujet, je peine à abandonner véritablement ce que je suis…. Mais je laisse ma véritable personnalité s’exprimer.

Un beau bordel, en soi.

Mon attention revient très vite sur notre situation et notre position face au gros lézard. Sans véritable aide de cette bourgade oubliée au confin d’un duché en crise, nous sommes loin d’être dans les meilleures dispositions pour l’affronter. La présence de Cirillia n’en demeure pas moins encourageante.

A sa question, une nouvelle seconde d'hésitation me surprend.

« Y a toujours un moment pour essayer de nouvelles choses, il paraît. »

C’est une grande première pour moi. Mais tâchons au moins d’essayer, non ? Je viens m’approcher d’elle, porter mes mains sur un de ses carreaux si unique pendant que notre bestiole volante reprend du poil de la bête. Une lueur dorée commence à s’échapper du projectile et l’enchantement divin prend forme. Ma magie se transmet, sous une forme brute et peu raffinée à l’instar de celle que mon épée me prendre.

« Alérys, enchantée ! Je ne pensais pas y arriver… »

Finalement, je découvre de nouvelles fonctions à cette magie tous les jours. Après, il nous reste encore à voir si elle est efficace contre un dragon de cette taille. J’ignore beaucoup de choses dessus, comme à quel type elle appartient. Pour ne pas aider, mes connaissances sur les lézards ne sont pas vraiment au beau fixe et sont principalement issus des contes que je lisais avec mon petit frère. Alors, je m’empare de mon enthousiasme et de ma volonté de me fritter contre le dragonnier.

« C’est l’heure de préparer notre contre-attaque ! Je vais essayer de grimper dessus et directement aller affronter le dragonnier. Si on s’en sort vivantes, je t’inviterais à boire un verre pour fêter ça ! »

Je m’échappe rapidement pour trouver une vieille auberge encore debout. En utilisant une fenêtre, j’arrive en quelques minutes, à me hisser sur le toit, assez haute pour prendre mon élan et sauter sur le dos de la créature, si jamais Cirillia arrive à me la rendre accessible. Mais dans un enthousiasme étonnant, exaltée par la ferveur du combat et le défi qui s’impose à moi, j’ai envie de lui faire confiance et lui remettre les clés de notre possible victoire entre les mains.
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